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2005. Óscar Lloveras. S/T (documentación teórica / texto Gilbert Lascault)

 LES STRUCTURES SOUPLES D’OSCAR LLOVERASLES ENERGIES, LES TENSIONS

Les vides, les espacements

Les sculptures, les peintures, les installations de l’artiste constituent , souvent, des structures souples, extensibles, apparemment frêles, presque instables. Elle trouvent leur place dans un terrain qu’elles transforment. Elles s’imposent avec discrétion et force. Elles jouent avec les vides, avec les écarts, avec les lacunes, avec les espacements, avec les intervalles.

Alors, les vides ne sont pas oubliés, ni inertes. Ils sont parcourus par des souffles. Sans les vides, l’espace vibrerait, chanterait. En 1944, dans un texte cour, le poète Paul Valéry met en relation la sensation d’être libre, notre respiration et la respiration de l’univers: «la liberté est une sensation. Cela se respire (…) par une simple, fraîche, profonde prise de souffle à la source universelle où nous puisons de quoi vivre un instant de plus, tout l’être délivré est envahi d’une renaissance délicieuse de ses volontés authentiques».

L’artiste est proche du peintre Henri Matisse qui, en 1908, parle de «la manière de situer les objets: l’air, les vides qui circulent autour d’eux». Dans un tableau, ce sont «la place qu’occupent les corps, les vides qui sont autour d’eux, les proportions»; car Matisse précise: «Je ne peins pas les choses, je ne peins que les différences entre les choses». Ainsi, les installations d’Oscar Lloveras soulignent les vides, les proportions, les différences entre les choses. Elles évitent l’encombrement des choses. Elles les séparent, les écartent. Elles produisent et opèrent les intervalles, l’entre-deux, puisque Marcel Duchamp note «L’écart est une opération».

L’artiste utilise les vides. Il lit peut-être des phrases du Tao-Tö-King de Lao-Tseu (VIe siècle avant J.-C): «Trente rayons se joignent en un moyeu unique; ce vide dans le char en permet l’usage. D’une motte de glaise, on façonne un vase; ce vide dans le vase en permet l’usage. On ménage portes et fenêtres pour une pièce; ce vide dans la pièce en permet l’usage. L’avoir fait l’avantage, mais le non-avoir fait l’usage.» Selon Lao-Tseu, le nœud, l’énergie sont liés aux vides: «Le creux du Ciel-Terre recueille la vie ; c’est le nœud vital, le centre vivant, le lieu de la formation des influx, des échanges» (1).

Alors, les œuvres de l’artiste tressent le monumental et l’intime, les matériaux et l’immatériel, les structures et le mythique, le géométrique et le sensuel. Centaines œuvres s’intitulent La montée des esprits, Colonnes… Les constructions donnent à voir des légendes, des récits, des rites, des cérémonies souvent discrètes, des célébrations souvent modestes, des rêves choisis. Alors l’art devient parfois proche de certains exercices chamaniques, de certains savoirs énigmatiques.

Ces constructions célèbrent la Nature, le cosmos. Le monde (comme l’exprime le philosophe grec, Héraclite d’Ephèse) est une «harmonie de tensions tour à tour tendues et détendues, comme les cordes tendues et détendues de l’arc et de la lyre». Dans le monde, les forces contraires se fondent en unité. Et, selon Héraclite, «l’harmonie cachée surpasse l’harmonie visible».

Cinq éléments

Dans un carnet de l’artiste, il dessine schématiquement un gorin-tô, un pagode «pagode à cinq cercles», qui représente les cinq «éléments». C’est une structure verticale composite, formée par un cube (représentant la terre), une sphère (l’eau), une pyramide (le feu), une demi-sphère (l’air) et une flamme (l’éther). Les gorin-tô sont introduits au Japon vers le IXe siècle et le bouddhisme les adopterait comme le symbole de l’univers. En pierre, ils ornent des mausolées et des petits tumulus (des Kyôzuka); parfois, ils sont en bois et décorent le sommet de poteaux placés entre les cimetières. Selon d’autres interprétations, les cinq éléments du cosmos seraient (dans des textes chinois) la terre, l’eau, le métal, le bois (ou le vent), le feu…Même si les classifications sont différentes, l’artiste privilégie toujours une dizaine d’éléments de l’univers et il tisse les matières et les souffles. Il mêle les toiles et les voiles. Il choisit les bois différents et coupés de diverses formes; les branches nouées; les métaux (des tiges, de fils de fer…); les pierres (parfois noires); les cordes végétales et les nattes «de bonheur»; les papiers; les tissus; le verre; les gaz rares (le néon, l’argon…) qui modifient les lumières ;un coquillage en forme d’une spirale; le feu…

Créer des arbres aériens

Le Philosophe Gaston Bachelard (L’air et les songes, Corti,1943) réfléchit sur l’ «arbre aérien». Il cite le poète André Suarès (1868-1948): «Sans cesse, l’arbre prend son élan et frémit les feuilles, ses innombrables ailes». Jack London évoque, sur un immense arbre, un «nid des hautes cimes». Dans une légende, l’ «arbre d’Adam» atteint l’enfer par ses racines et le ciel par ses branches. Parfois un arbre parle avec les vents et porte les étoiles. Et l’artiste crée des «arbres aériens», pour penser à l’arbre cosmique.

D’ailleurs, le mythologue Mircea Eliade(2) estime que , dans diverses civilisations,« tous les arbres rituels ou les poteaux, que l’on consacre avant ou pendant une cérémonie religieuse quelconque, sont comme projetés magiquement au Centre du Monde». Un texte de l’Inde védique décrit l’arbre comme le pilier cosmique: «De ton sommet tu supportes le Ciel; de ta partie médiane tu emplis les aires; de ton pied tu affermis la Terre.» Ou bien, dans le chamanisme, l’escalade d’un tel arbre par le chaman tatar symbolise son ascension au ciel. Ou encore, certains chamans obtiennent l’extase à l’aide de leurs tambours et « le tambour serait fait du bois même de l’Arbre du Monde». L’artiste suggère des végétaux dressés vers le ciel.

Les feuilles d’érable et les pièges des souffles

L’artiste conserve des feuilles d’érable de divers pays. Il les laisse sécher entre les feuilles de papier journal et les transporte. Il invente des installations dans lesquelles interviennent les feuilles d’érable: à Paris (dans son atelier), à Osaka, à Clamart (au Centre Albert Chanot), à Paris aussi ( dans la galerie Akié Arichi)…La feuille flamboyante d’érable est l’un des emblèmes de l’artiste. Il utilise les feuilles et les fils qui constituent les filets étranges, des nasses énigmatiques, des sortes de pièges pour attraper les souffles, les esprits puissants, les vents, les pensées venues d’on ne sait où. En particulier, dans un village d’une Ile de la Mer de Chine, dans un hangar de pêcheurs, il invente ces premiers filets.Au Japon, dans le Kansaï, en automne, les familles partent en week-end pour «capturer les feuilles et les images», pour contempler le rouge varié des érables.En Australie, dans une forêt, l’artiste, un matin, voit les feuillages encore plus rouges que jamais. C’est le feu dans une splendeur terrifiante, dangereuse.

L’éloge du papier

Les œuvres de l’artiste constituent un éloge du papier. Dans les villes, il trouve des papiers divers, occidentaux ou orientaux, fins ou épais, fragiles ou solides. Il le recueille, les conserve. Il les découpe. Il les modifie. Il les froisse et le repasse. Parfois, il utilise certains papiers insolites: par exemple, des fax de la guerre du Golfe. Souvent, il se sert du papier journal, du papier de soie, du papier qui enveloppe les pizzas. Il les colore avec des pigments naturels.

Au Japon, il fabrique personnellement son papier. Le papier japonais se nomme le Washi. Il le fabrique avec les fibres de l’écorce de trois arbustes. Le papier de mûrier est le plus robuste et rugueux; un autre papier est plus lisse. Le Washi est fort, doux.

Les papier de l’artiste sont des surfaces, des plans, des supports, des subjectiles. Ils interviennent dans les peintures et les installations de l’artiste. Ils sont suspendus.Ainsi, les gohei sont des symboles shintô faits de bandes de papier blanc pliées en zigzag, fixées soit sur un pilier, soit sur un support quelconque ou encore suspendues sur une corde sacrée tendue en travers d’un portique(Torii) de sanctuaire shintô. Les gohei indiqueraient la présence des divinités(les Kami). L’artiste pense souvent aux gohei et aux kami.

Les noeuds, les cordes

Dans les installations de l’artiste, les cordes( sacrées et profanes), les ligatures, les lianes, les noeuds, les tensions, les structures en cordage, les «nattes de bonheur» interviennent. Ancien marin, il manipule les grelins, les élingues.Au Japon, selon les régions, on fabrique des cordes végétales de formes variées. Par exemple, on y suspend de petits oranges amères qui sont autant des offrandes que des décorations. Ici, on note l’existence d’énormes cordes nouées. Ailleurs, les cordes de paille sont souvent remplacées par des nattes de la même paille. Par exemple, les cordes(ou les nattes) délimitent «l’abri du dieu de l’an» et le signalent; elles constituent aussi une barrière, interdisant les accès des aires sacrées aux forces du mal; on y suspend parfois des plaquettes de bois(4)… Vrilles végétales, paille, étoffe et papier sont les matériaux d’élection d’une longue tradition de nouage. Utilitaire, décoratif ou symbolique, le noeud japonais et soumis à des règles strictes; la couleur, la forme et l’emplacement du nœud du vêtement correspondant à des critères d’âge, de sexe, de classe; le nœud qui enserre le rouleau peint témoigne du degré artistique de celui qui l’a noué; les cordelettes de papier coloré sur le paquet-cadeau signifient rigoureusement la raison du présent et la valeur qu’on lui attache. Nouer n’est pas un acte innocent, mais signifiant, voire créateur. Le nœud relie(musubi) et il lie(yui); me est l’œil, la maille, le point de couture qui considère, du noeud, le centre surtout, le vide qu’il enlace et façonne entre les brins; shime est employé en composition et dénote l’idée de fermeture. Des cordes en paille ceignent les enceintes sacrées, balises proposées aux divinités, remparts opposés aux souillures. Le nœud central, suspendu au portique du sanctuaire proclame le sacré et barre la route au mal. Dans certaines cérémonies bouddhiques, le nœud qui lie la corde a perdu son support matériel: c’est une mudrâ, que l’on noue de ses doigts. De ses doigts, l’artiste peut parfois nouer des cordages invisibles et des cordes réelles…Pour assurer la clôture du monde rituel, encerclé de fines cordelettes nouées, le maître des rites ésotériques noue autour de l’autel les sceaux de la terre, des quatre directions.D’autre part, certaines divinités(musubi no kami) peuvent créer toutes choses en liant, susciter la vie en alliant deux matières inertes.Nouer est qu’une des premières techniques de l’industrie humaine: ce fut aussi l’une des premières techniques de création divine. En nouant, les dieux suscitèrent l’énergie de l’univers. Et aussi, nouer serait un acte qui permet d’attacher une parcelle d’esprit à un corps. Le nœud est un principe de vie.

Dans des poèmes japonais du VIIIe siècle, les nœuds symbolisent les liens amoureux, la fidélité et le retour de l’être aimé. Le nœud est l’un des symboles du mariage. Car les divinités du mariage sont noueuses de liens.

Explorer les territoires

L’artiste explore des territoires proches et lointains. Il les examine. Il les inspecte, les visite.Il apprécie et analyse leurs coordonnées, leurs orientation. Ses œuvres les métamorphosent.Les ateliers de l’artiste ( actuellement l’un a Paris et l’autre dans l’île de Shikoku au Japon, ne sont pas seulement des lieux de travail; ils se manifestent comme des espaces modifiés dans lesquels des plantes poussent parmi des pierres, parmi des livres. Sur un mure des structures sont accrochées. Une autre, giganteste, est d’abord couchée sur un plancher; puis l’artiste la dresse, l’érige. Des néons modifient la lumière de l’atelier. Dans un coin, discret, un petit autel est modeste: une pierre trouvée, des graines, une calligraphie, la formule d’une prière bouddhique.Dans le Nord de la France, les installations de l’artiste nous donnent à voir des images neuves de la Mer du Nord, de la lumière des peintres flamands, des villages mélancoliques, des usines désaffectées, des terrils de mines, des amoncellements, des scories. Elles révèlent une règion forte et grave, les traces tragiques des guerres recommencées, et les brouillards. L’artiste collecte les matériaux destinées à ses œuvres: les pierres noires, les tissus blancs des usines, les cordages, les métaux parfois rouillés. Une ferme abandonnée devient son atelier provisoire. Les installations de l’artiste unissent la présent et la mémoire, la nature et les travaux des hommes. Près de la mer, l’artiste dessine sur le sable.Ou bien, dans la ville, au cœur du vieux Lille, l’artiste découvre une église du XVIII ème siècle: La Grande Madeleine. La coupole est haute de 35 mètres. Entre les larges colonnades de marbre noir belge, on distingue trois autels, deux espaces qui servaient aux baptêmes et à l’accueil des moines. Alors, l’artiste présente une vingtaine de peintures de 5 mètres, des installations qui utilisent, entre autres, cordages et papier. Il crée des lumières artificielles dans l’ensemble bleuâtre, dû aux vitraux, sur le marbre noir. Par des tubes de verre, par l’argon, le néon, le mercure, il invente des lumières-couleurs qui donnent la sensation de l’unité de l’espace transfiguré. Il pense s’etre d’abord inspiré, pendant l’adolescence, de l’Arte Povera et du Land Art; puis il crée, dit il, «un objet sans forme» , dans son esprit, comme le «fruit du désir» . La nature y règne dans les lumières et les ombres, au cœur de la cité.Ou aussi, l’artiste inscrit des événements dans le paysage. Vous pouvez alors lire un poème de Charles Baudelaire: «La Nature est un temple ou les vivants piliers/ Laissent parfois sortir des confuses paroles/ L’homme y passe à travers des forêts et des symboles/ Qui l’observent avec des regards familiers.» Comme le précise le mythologue Mircea Eliade, l’installation dans un territoire équivaut à la fondation d’un monde. Pour lui, le temple (templum) et le temps (tempus) se correspondent.

 Pélérinages

A travers cinq continents, en particulier en Argentine, en Australie où il rencontre les Aborigènes, en France ( près de la Mer du Nord et près des mines), en Italie (à Carrare), en Indonésie, dans divers Îles du Japon, l’artiste est un pèlerin permanent, un voyageur voyant. Il ne cherche jamais l’exotisme. Il refuse tout pittoresque bariolé. Si Lanza del Vasto publie, en 1943, Le pèlerinage aux sources, l’artiste cherche à découvrir les sources des rivières, des fleuves et celles invisibles, secrètes, comme des sages, des chamans, des poètes, des rêveurs captent les principes de la vie, cherchent le chiffre des choses. Il erre et il contemple. Il découvre des terres privilégiées, des espaces inespérés, des lieux inattendues. Il écoute le chant des vents, des vagues de la mer, les êtres et des choses. Il découvre des mythes et des rites variés.

Le pèlerinage interminable de l’artiste est une initiation spirituelle. Il choisit ses périples. Souvent il garde des objets témoins (des feuilles d’érable, des pierres, des branches, des pots, des graines…), des traces conservées, des vestiges, des signes de la mémoire. Il cherche la quête de l’âme et de l’art dans un parcourt permanent, par la marche, par la recherche des chemins. Ses structures définissent les sites spirituels d’une géographie. L’artiste se métamorphose tout en modifiant l’espace.

Dans le «temps du rêve» dont parlent les aborigènes, dans le temps primordial des mythes, dans les voyages imaginés des divinités ou des ancêtres, l’artiste trouve son nomadisme spirituel, réglé.

Au cœur de l’Australie, sur les terres rouges et sèches, parsemées des buissons maigres, des centaines de pistes invisibles s’entremêlent. Pour les Aborigènes, pour ces rêveurs du désert, une piste parcourt mille kilomètres, balisée par des collines, des rochers, des arbres isolés, des sources : les sites sacrés d’un itinéraire. Les Aborigènes évoquent alors le voyage d’un peuple ancestral qui, dans l’espace-temps du Rêve, traversa le désert, avant de se transformer en étoiles. Ils peuvent chanter, danser, peindre les Rêves: le Rêve Emeu, le Rêve Perruche Verte, le Rêve Etoiles, le Rêve Bâton à Fouir, le Rêve Varan…Dans le temps du Rêve( «the dream time»), chaque évènement des ancêtres est marqué par une trace dans le paysage(5).

Au Japon, deux types de pèlerinages se pratiquent (6) : l’un, venu de Chine, est à rattacher au bouddhisme; l’autre, plus spécifiquement au Shintô. La pratique est un cheminement, un circuit de dévotions. Les circuits les plus populaires sont celui des «quatre-vingt-huit sanctuaires de Shikoku», le plus ancien et le plus fréquenté, et celui des «trente-trois sanctuaires des Provinces occidentales» (au Shikoku).

Le pèlerin parcourt les quatre-vingt-huit sanctuaires du Shikoku : 1240 kilomètres, au moins une quarantaine de jours. Il porte des cartes entre deux planchettes qu’il dépose à chaque station de son périple, pour attester son passage. Le pèlerinage constitue une géographie spirituelle, la reprise du parcours de Kôbo-Taishi (né en 774), un saint du bouddhisme japonais.

D’une autre façon, l’artiste invente, dans tel territoire qu’il a choisi, un cheminement spirituel. Il crée un pèlerinage modeste, discret, un parcours. Dans l’île de Shikoku, dans la forêt, il conçoit cinq installations en l’honneur de cinq villages, en rapport avec l’eau, le feu, la terre, le bois et le métal. Ces sites sont destinés aux villageois, aux adolescents qui sont des élèves de l’artiste, aux voyageurs. Devant les installations, certains se réunissent, boivent du saké et d’autres se reposent ou méditent.

Dans un paysage, chaque installation de l’artiste est une grande forme qui évoque parfois un immense oiseau; parfois la voile d’un navire ; ou bien une échelle qui se dresse de la terre au ciel ; ou aussi un rideau flottant ; ou encore une maison schématique ; ou peut-être un papillon ; ou aussi une croix ; parfois la silhouette épuisée d’un humain ou d’une divinité… La grande forme est le signal qui indique un terrain élu, un lieu de tension et de recueillement, un pôle d’énergies.

Les divinités de la montagne

Dans la région de la Montagne des divinités (Kami-yama), l’artiste sculpte, en 2000, une construction dressée, proche d’une architecture japonaise, un arbre qui serait l’axe du monde. La région serait bleue ; le ciel, les rochers, les arbres sembleraient bleus. L’artiste rencontre alors des pèlerins habillés de blanc, des prêtres, des sages.

L’artiste célèbre, glorifie les kami, les esprits divin. D’après la tradition, les Kami seraient au nombre de 88 millions. Ils sont vénérés, en particulier, dans des sanctuaires et ils peuvent habiter des sites naturels ; ils protègent les montagnes (yama no kami), les champs (ta no Kami), les chemins (sae no Kami)Dans la conscience japonaise, la terme yama (montagne) ne désigne pas tant les élévations de terrain, montagnes et collines, que les zones non défrichées par opposition aux terres cultivées, soit l’ensemble des zones forestières, souvent montagneuses, où on pratique la chasse et le bûcheronnage (7). Un rite inaugural consiste à aller couper solennellement en montagne pour la première fois de l’année. C’est l’accueil du dieu de la montagne descendant dans la rizière à la veille du début des travaux agraires. Les paysans choisissent un arbre convenable comme support symbolique du dieu de la montagne et ils font des offrandes d’alcool de riz et de gâteau , avant de couper les petites branches de l’arbre ; ils y accrochent un symbole de papier ou de bois.

Et, au début du bûcheronnage, les bûcherons «déterminent le bon arbre», récitent une formule pour s’attirer les bonnes grâces du dieu de la montagne. Sans doute, pour sculpter, l’artiste «détermine le bon arbre».

La montagne est le territoire de la divinité. Elle se loge souvent dans les arbres fourchus ou dans les pierres de forme bizarre. Les arbres et le gibier lui appartiennent. La divinité peut être une femme, un homme, un couple, un loup, un serpent, un renard, unvieillard borgne et unijambiste. Son culte est aussi multiforme que son aspect.

Traces sur le sable

Sable… Au Japon, pour la fête du dieu du sol. La pureté, l’absence de toute souillure est une condition du bon déroulement des rites et le sable ramassé sur la plage est dispersé devant et dans la maison, afin de purifier les lieux et leurs habitants…Parfois, un autel pour certains défunts consiste en un terre-plein parallélépipédique, rectangulaire, en sable de rivière aux quatre coins duquel on place des bambous décorés de feuilles de badiane de Chine. Le sable est maintenu par des bambous placés horizontalement et fixés aux piliers d’angle.

Le jardin du monastère Ryoan-Ji à Kyoto est un «jardin sec», recouvert de sable, meublé de quinze pierres, clos de murs. Les myriades de grains de sable symbolisent le vide entre les quinze rochers. Le sable est proprement balayé peut-être par les moines et les archipels des pierres sont, en quelque sorte, auréolés.

En 1948, dans le Sahara, Jean Dubuffet est fasciné par le sable du désert. Restent les empreintes des pieds nus dans le sable; elles font trace ; puis rien ; elles sont effacées par le vent.

 

Gilbert Lascault(octobre 2001)

(1) Cf. François Cheng, Vide et plein (le langage pictural chinois), Seuil, 1979.(2)Mircea Eliade, Images et symboles (essais sur le symbolisme magico-religieux), Gallimard, 1952(4) Laurence Berthier-Caillet et coll., Fêtes et rites des quatre saisons au Japon, PDF, 1981(5) Cf. Barbara Gowczewski, Les rêveurs du désert, Plon1989(6) Les pélerinages, Sources orientales, Seuil,1960(7) Laurence Berthier-Caillet et coll., Fêtes et rites des quatre saisons au Japon, P.O.F., 1981

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NOT FOR SALE (2007.10 / rectificación proyecto / documentación teórica)

OCTUBRE 2007

 

Alicia Framis presenta su más recientes trabajo, realizado en su mayoría en su estancia en la ciudad de Shangai, donde vive y trabaja actualmente. Los proyectos  de Framis siempre se relacionan con la sociedad y están directamente influenciados por la realidad que la rodea y el ambiente inmediato. Como es el caso de NOT FOR SALE (2007) para Madrid Abierto. Un Trabajo que refleja, de alguna manera, esta realidad y se vale de ingredientes del diseño de moda, la cultura popular y la arquitectura.

NOT FOR SALE  es un work in progress que analiza la situación de los niños que son vendidos alrededor del mundo. El proyecto empezó en la ciudad de Bangkok, Tailandia, donde Framis realizó el primer retrato de un niño desnudo que sólo lleva un collar que dice: NOT FOR SALE (no se vende).

A primera vista las imágenes son suaves y dulces; los niños están sonrientes y parecen estar felices y saludables. Es sólo cuando los observas con atención cuando salta a la vista lo que Framis pretende señalar: la realidad acerca de la fragilidad y la peligrosa posición en la que están muchos niños en la actualidad. Desde el momento en el que nacemos tenemos un precio, y para muchos niños existe un verdadero riesgo de convertirse en un producto más del marcado global.

Desde que vive en China, Framis está interesada en la idea del retrato como propaganda, como el de Mao Sedong, o el del rey de Tailandia Bhumibol Adulyadej, ambos exhibidos usualmente por toda la ciudad. En ‘NOT FOR SALE’ se usan los mismos métodos de los retratos propaganda, se mantienen las mismas medidas, pero se cambia el sujeto del líder por una versión más doméstica. Estos carteles siempre se muestran optimistas, con una apariencia alentadora que contiene ciertos detalles y atributos que cubren el mensaje, sólo mostrándolo sigilosamente desde abajo o con la bandera o la muchedumbre  que muestra el poder del líder. Framis muestra un niño sonreído en el un escenario idílico y con sólo un pequeño atributo  como es el pequeño collar que revela su posible destino.

Así mismo, Framis presenta este trabajo en conjunto con el artista Michael Lin, quien tendrá la responsabilidad de diseñar una estructura o plataforma arquitectónica especial, realizada en material textil,  sobre la cual se llevará a cabo la performance.

los llamativos estampados que caracterizan la pintura de Michael tienen su origen en los tejidos tradicionales asiáticos. Estos estampados, así como la cultura y la fabricación industrial de los tejidos y artes decorativas tradicionales, son conceptos importantísimos dentro de su trabajo; así, el tejido se convierte en estructuras arquitectónicas, y los vestidos pasearán sobre dichas estructuras, haciendo que los dos proyectos dialoguen y se complementen.

De esta manera, la estructura arquitectónica con motivos de tejidos orientales se convertirá en el marco perfecto para el desfile niños que llevarán los diversos colgantes de NOT FOR SALE.

Por otra parte, se pretende cerrar el desfile con la participación de algún cantante conocido a quien le pueda interesar participar en una propuesta artística que lleva consigo una denuncia social de tal magnitud.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-10. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Laurence BonvinGhostownwww.laurencebonvin.com

Lisa CheungHuert-o-Buswww.lisacheung.com Iñaki LarrimbeUnofficial Tourismwww.web.jet.es

Josep-María MartínUna casa digestiva para Lavapiés / A digestive house for Lavapiéswww.josep-mariamartin.org

Adaptive ActionsCampo AA, Madrid / AA Camp, Madrid    www.adaptiveactions.net

Gustavo RomanoTime Notes: Oficina móvil / Time Notes: Mobile Officewww.gustavoromano.org

Pablo ValbuenaTorre / Tower Blockwww.pablovalbuena.com

Teddy CruzVallecas Abierto: ¿Cómo nos van a ayudar con su arte? / Vallecas Abierto: How is your art going to help us?estudioteddycruz.com/

Susanne BoschHucha de desesos: ¡Todos somos un barrio, movilízate!www.susannebosch.de    Lara AlmarceguiBajar al subterráneo recién excavado / Going down to the recently excavated underground passage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (programa)

 Metro línea 1 Plaza de Castilla - Congosto, 1-2-07 07:00 - 08:00Obras de la M30, 1-2-07 09:00 - 10:00Ministerio del Interior - Audiencia Nacional, 1-2-07 10:00 - 11:00Torre Picasso, 1-2-07 11:00 - 12:00Plaza Cibeles, 1-2-07 12:00 - 13:00Instituto de educación secundaria San isidro, C/ Toledo 39, 1-2-07 13:30 - 14:30Ascensores del Edicificio España, plaza de España, 1-2-07, 14:30 - 15:30Público frente al Guernica, MNCARS, 1-2-07, 18:00 - 19:00Café Gijón y paseo de Recoletos, 1-2-07, 20:00 - 21:00Plaza de Chueca, Infantas, Gran Vía, 1-2-07, 22:00 - 23:00

http://www.rezosprayers.org 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (ubicación)

Parking C/ SerranoVisitas guiadas: días 28 de febrero, 28 de marzo, 25 de abril, 30 de mayo, 27 de junio y 25 de julio.Horario: 12.00 horas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (2005.11 / documentación técnica)

NOVIEMBRE 2005

 

Unidad de control de lucesUna unidad de Control de atenuación automática está conectada al circuito de la fila de luces elegida.

Cambio eventual de fuentes de luzSi las fuentes de luz están equipados con bombillas halógenas metálicas o similares, es necesario cambiar a bombillas, que emitan una luz de fuerza y temperatura similar, a las lámparas de halógeno metálico que no puede ser atenuadas en el modo cíclico deseado.

VERSIÓN IAl pulsar el interruptor la luz de todos los postes de luz a lo largo de toda la calle o la longitud de carril, cambiarán todas las fuentes de luz para los regulables (bombillas).

VERSIÓN IIAl pulsar la luz de la farola secciónCambiar fuentes de luz elegidas para las bombillas. Si las bombillas no emiten la misma fuerza y temperatura de luz como fuente de luz originales se situaran dos lámparas cada lado del segmento elegido que también debe ser cambiado pero no estar conectado a la unidad de regulador, para hacer que la luz pase por el punto de transición menos evidente.

Secuencia de oscilación (ciclos continuos)Luz-oscuridad-oscuridad-luz, aproximadamente en 30 segundos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Compañía de Caracas    Espacio Móvil    www.angelabonadies.comwww.maggynavarro.com

Colectivo Tercerunquinto        www.tercerunquinto.org

Fernando Baena Familias encontradashttp://www.fernandobaena.com/

Henry Eric Hernández García    Zona vigilada

José Dávila    Mirador Nómada

María Alos + Nicolás Dumit    El museo peatonal    www.longwoodarts.org/artists/nicolas  www.idensitat.org/dumit/dumitcalaf.html   

Óscar Lloveras Sin títulohttp://oscarlloveras.com/

Raimond Chaves    El río, las cosas que pasan    www.puiqui.com    www.lascosasquepasan.net Rebekka Reich + Anne Lorenz    Taxi Madrid    www.rebekkareich.dewww.annelorenz.ch    www.taximadrid.com Simon Greenan + Christopher Sperandio    Soy Madrid    www.kartoonkings.com    www.soymadrid.com

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. S/T (documentación teórica / texto Duchène Gérard)

 Lo que me sorprende en el trabqjo de Oscar Lloveras es su relacion con la sociedad humana pero tambien con la naturaleza. Tratar de borrar lal dualidad…la dualidad existante entre los unos y los otros o entre los unos y la totalidad de su propio medio.

Faros tangibles de una apertura permanente hacia lo monumental, pero tambien hacia lo infinitamente pequenio de una huella, de una ramilla que encontrara dentro de un cuaderno de memorias. Memorias de un recorrido escrito con la mirada.

La insistencia de transmitir todo lo que puede producirse en el campo de la vision. Una curiosidad ( una avertura) que va a desplazarse dentro de ese campo.

Podriamos imaginar el gestoen circunvolucion inscrito dentro del espacio de los signos invisibles participando del recorrido. Luego, el gesto «se toca» en el taller.Lo «todo es bueno» para escribir el accidente, la sorpresa; el cuerpo se libera en directo con su soporte a veces mordiente. La punte metalica incisando para reunir con la escriture plastica una traduccion de lo visto. Osmosis entre la presencia del recuerdo y la realidad del gesto. Se trata de adaptar esta suma de recuerdo a la realidad. Es el porqué de la actividad de Oscar Lloveras que penetre dans los sitios donde es propuesta a la observacion del otro. El gesto puede desarrollarse de manera infima o monumental. El trqbqjo fisico ( importantisimo) participe « de lo fisico» del medio ambiente interrogandolo otra vez. El encuentro de una relacion directa entre lo observado y el hacer: lo vivido del propio sitio. Podriamos decir que el sitio se adapta a esa intrusa que es la obra. El tierra a tierra del pasage obligado para borrar la ausancia o mas claramente, ocuparlo «la separacion de un espacio qui se abre al mismo tiempo». Concretamente la gravure, metiendo a plano sin los vacios producidos dentro de las estructuras «de espacio» escalona las bandes con huellas, un recorrido vertical. Hojillas de tinta araniada.

Oscar Lloveras es un aventurero del espacio. Para precisar los viajes sucesivos se producen por necesidad de aprehender un todo sin concluirlo. El acto de fabricacion estaria siempre ligado al placer. El placer esta presente siempre aunque su geqto sea monacal. El silencio esta atravezado de rayas de luz. El cuerpo de pie deja un lugar al cuerpo plegado en el taller.

La diversidad de las tecnicas y los materiales son testigos de esta sensibilidad atencionada del grano de arena hasta el arbol- de la arcada de una iglesia hasta la piedra en el camino. El camino de la arcada uniria el suelo y el cielo.Trata de poner en relacion simple y directa con los otros el conjunto de sus experiencias plasticas. «La forma se acerca del ser y el ser de la forma». No tiene nada de inocente su trabajo en el cual se desarrolla frecuentemente como laminas de las paginas de un libro. Comunicar seria crucial en su obra. Es por esto que el lenguaje que sea es preponderante. Rechazo de concluir en el sentido donde el trabajo de Oscar Lloveras no tiene necesidad de socalo. En su movimiento permanente, se dirige a la infinidad de nosotros.

Duchène Gérard

«Sans Titre»

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch (Cv)

WESEL, GERMANY, 1967VIVE Y TRABAJA EN BELFAST Y BERLINWWW.SUSANNEBOSCH.DEWWW.RESTPFENNIG.COMOBRA EN MADRID ABIERTO HUCHA DE DESESOS:¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE!

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (selección)2009Themen, die nicht zählen, Orte, die nicht wichtig sind, Kunstverein,Würzburg.

2004Mensch weg/ Insan yitmis / Meri helazbune (human disappeared), sox36, Berlin.

2004ATA, Galerie35, Berlin.

2001 Restpfennigaktion/ Left-over Penny Campaign, SchmidtBank-Gallery, Nürnberg.Installation and Interviews, Left-over Penny Campaign, Gallery sox36, Berlin.

1998Restpfennigaktion/ Left-over Penny Campaign, Gallery Kohlenhof, Nürnberg.

EXPOSICIONES COLECTIVAS (selección) 2009Festival della Creatività, Fortezza da Basso di Firenze, Fondazione Sistema Toscana, Florence, Italia.Exhibition of Berlin Senate Sholarship for Istanbul, Künstlerhaus Bethanien,Berlin.The History of Crisis II, curated by Tessa Gibbin and Monica Nunez, Project Room Dublin and Belfast Exposed, Belfast, IrelandExhibition of Berlin Senate Sholarship for Istanbul, BM SUMA CONTEMPORARY ART CENTER Istanbul. 2008THE COMMON GOOD: The Enterprise of Art, PAN | palazzo arti napoli, Napoli.

2007PAN SCREENING, PAN | palazzo arti napoli, Napoli.Rubin, Contemporary Museum of Art & Design, Nürnberg.

2006Daily artist at the XV BIENNALE DE PARIS, online shop with designs by Susanne Bosch, snebtor, María Linares, France.Visa Quartett at Rundgang, Bauhaus-University, Weimar.

2005Institute for experience with the unknown, soundinstallation in the belltower of the Galleria della Provincia de Modena / Chiesa di San Paolo and Chiesa delle Monache, in the frame of The Bauhaus moves / La Bauhaus si muove, artists of the Bauhaus-University Weimar being guests in Modena.

2002Kunstbank, Berlin (together with Marisa Maza/ exhibition of Berlin Senate stipends) Währungswechsel/ change of value, Städtische Gallery Fürth, Deutschland.

2000SomaVision, Art and Media Centre Adlershof, Berlin.Wettbewerb U2 Alexanderplatz (collaboration with Ulrike Dornis and Jens Hanke) competition for subway-station U2, NGBK, Berlin.Goldrausch XI _unterwegs/ Goldrausch XI_on tour, Presentation at Kunstbunker Nuremberg /  Kunstraum Düsseldorf/     halle_für_kunst Lüneburg/art forum, Art Fair Berlin.

1999Wie Macht Kunst?/ What Makes Art?, Fridericianum, Kasseler Kunstverein (collaboration with Vollrad Kutscher), Kassel.Materials, Künstlerhaus Bremen.Sozialmaschine Geld (social-machine money), O.K., Centre for  ContemporaryArt, Linz, Austria (collaboration with V.Kutscher)Klinik, Morphing Systems (.collaboration with Stephan Kurr), Zürich.

1997Germinations 9, Villa Arson, Nice, France  Förderpreisträgerausstellung, Kunsthaus Nürnberg.Germinations 9, Tutesall/ Chateau de Bourglinster, Luxembourg.

1996Germinations 9, Prague, Castle, Czech Republic KunstRaumFranken, Kunsthalle Nürnberg.

PROYECTOS DE ARTE PÚBLICO2009-2010Madrid Abierto 2009-2010, public art intervention in Madrid.

2009Verwunderlich, dass Ihr Euch wundert, aber wir tun es auch. Multimedia Installation in Cafe Kotti, Berlin (contribution to the exhibition of Berlin Senate Sholarship for Istanbul).An·nex, Homage to John Cage "4'33", public intervention, Boyd Park, Belfast, Susanne Bosch in collaboration with Dragan Miloshevski & Michelle Moloney, Northern Ireland.AGENCY, Billboard in public space, Berlin.

2008Art, Media and Contested Space, Billboard in public space, Belfast Biennale 2008, Northern IrelandTHE COMMON GOOD: The Enterprise of Art, PAN | palazzo arti napoli, Napoli.

2007/8WHOSE VOICE IS IT ANYWAY?, Migrant-Media-Project in Belfast with screenings: 2MOVE: IRELAND, Belfast/Navan, NVTV/Belfast, Northern Ireland.

2007IKEA says HOME is the most important place, FIX07 – 7th InternationalPerformance Festival, Belfast, Northern Ireland.A viewing, public intervention in collaboration with Sandra Johnston and Marilyn Arsem, Out Of Site 2007, Dublin, Ireland.Performative event APPROPRIATE in collaboration with Alma Suljevic,(Sarajevo), Marilyn Arsem (Boston) and Sandra Johnston (Belfast), Northern Ireland.Top trumps Polish Migrants at Northbound Conference, Derry/Londonderry, Northern Ireland.

2006Mobile economies at Permanent moving, DGB Haus Berlin and public space Berlin-Schöneberg.Top trumps Work Migration at Out Of Site 2006, Performance in public space, Fringe Festival Dublin, Ireland.

2005Institute for experience with the unknown, soundinstallation in the belltower of the Galleria della Provincia de Modena / Chiesa di San  Paolo and Chiesa delle Monache, in the frame of The Bauhaus moves / La Bauhaus si muove, Modena.

2004Hic bir yere gidememek/ Nirgendwo Ankommen/ To arrive nowhere I-III, Café MittenMang and outdoor in Reuterkiez, Berlin.WG/3Zi/K/Bar, Düsseldorf. LOCK YOUR MIND, Apartman Project Space, Istanbul. Káko ßi dúschitschke mója? / How are you, my little soul? Lovesongs for Gropiusstadt, sound installation in an elevator in Gropiusstadt, Berlin.

1998-2002Restpfennigaktion/ Left-over Penny Campaign, art in public space project with collection sites in Wuhlheide, Berlin, centre of Nuremberg, Marienplatz, Munich, Alexanderplatz, Berlin.

1996-97Curriculum Vitae, poster action in Prague, Nuremberg, Nice and Luxembourg

PROYECTOS CURATORIALES4/2009Open Space Learning Exchange, in collaboration with Dr. Cherie Driver and Jo Töpfer, Connswater, Northern Ireland.

8/2008Summer School Art in Public, Open Space Technology Training, in collaboration with Dr. Cherie Driver, Jo Töpfer, Michael M Pannwitz, Connswater, Northern Ireland.

9/2007Summer School Art in Public, Artistic Communication Forms in Spaces of Social Interaction, Belfast, in collaboration with Catalyst Arts, Francis Zeischegg, Ailbhe Murphy and Ele Carpenter, CatalystArts Gallery, Belfast, Northern Ireland.

200613 Monday Night Lectures, TEMPORARY INTERVENTIONS in cooperation with the ACC Gallery Weimar.

2005/0612 Monday Night Lectures, ART AND COMMEMORATION, in cooperation with the ACC Gallery Weimar.

2004    12 Monday Night Lecture, NEW ARTISTIC STRATEGIES, in Cooperation with the ACC Gallery Weimar.

2001-2002member of Kunstcoop© , www.kunstcoop.de in collaboration with the NGBK (Neue Gesellschaft Bildende Kunst, Berlin and the artists Nanna Lüth, Carmen Mörsch, Ana Bilankov, Bill Masuch, Ulrike Stutz, Maria Linares), Berlin.

10/2000-12/2002    Initiator of the sox36 - space in Oranienstrasse 175 in Berlin, Kreuzberg, Deutschland in cooperation with Alessio Trevisani/dancer, Stephan Kurr/artist, Marbo Becker/actor.

1996/97Co-curator with Christina Oberbauer of the yearbook/ Jahrbuchs 1997 walking through society Institute of Modern Art Nürnberg,Germany, 15 positions on site-specific or     interventional artwork: Guerrilla Girls, Olav Westphalen, Ute Meta Bauer/ Fareed Armaly, Sabine Kammerl, Bernard Brunon/Jade Dellinger, Rikrit Tiravanija, Maria Eichhorn, Christine and Irene Hohenbüchler, Iris Häussler, Shedhalle Zürich.

ACTIVIDAD ACADÉMICA since 2006 Lecturer in Fine Art Research, Interface Art and Its Locations /  FOCUS: Art in Contested Spaces and Art & Documentation, University of Ulster, Belfast / Northern Ireland | Course Director of the MA Art in Public.

2005/ 2006         Assistant professor of the international MFA-programme Public Art and New Artistic Strategies at the Bauhaus-University, Weimar.

CONFERENCIAS7/2009The Pre-History of Crisis II, round table discussion, Belfast Exposed, Belfast,Northern Ireland.

2/2009Urban Buddy Scheme, Conference, La Casa Encendida, Madrid, Spain.

11/2008Decision committee meeting in PAN, Napoli.

10/2008Art, Media and Contested Space, panel member, MAC, Belfast Biennale, Belfast, Northern Ireland.

2/2008Culture moves, Symposia on Art in Social Context, Evangelische Akademie Tutzing, München.

2/2008Public-Private: Art in Public Space, Symposia in Cultural Theory, Alanus University of Arts and Social Sciences, Bonn.

2000-2002 Artist-talks in Weimar (ACC-Gallery and Bauhaus-University), Nuremberg (University and Städtische Gallery Fürth), Frankfurt a.M., Halle (University), Kunsthaus Bremen, Berlin (NBK and artist-run-gallery Weiss), Gallery KS Würzburg, Deutschland.

7/2007Die pARTizipanten, KOMM, lecture and workshop to develop a public art tender for the city of Nuremberg, Nürnberg.

6/2007Poland in Northern Ireland, lecture, Social Change and Resistance, conference, Gdansk, Poland.

6/2007ART RADIO LIVE, radio talk for Venice Biennale, www.wps1.org, invited by PS1, PAN, and the Perna Foundation, Italia. Scientific Committee member for the EU project FUTURE (Future Urban Research in Europe), http://www.urban-future.net/, Sverige.

4/2007AHH conference CONTESTATIONS: Ex-Jugoslavia: Looking at neighbouring concepts, workshop and lecture, Belfast, Northern Ireland.

1/2007Presentation of paper Human traffic in/from Istanbul and chair of one part of the conference Public sphere Istanbul, Bauhaus University Weimar.Part of roundtable about Sustainable action in relation to culture, Nürnberg, Deutschland.

11/2006Chair at APPROACH, roundtable meeting of international performance artists, I CONFESS, Switch Room, Belfast, Northern Ireland.

10/2006Chair at FAQ, Trauma, memory and counter-memory in relation to space, Culturlann, Belfast, Northern Ireland.

5/2006Performative events in public space, University of Art Berlin-Weissensee in cooperation with office of Public Art Berlin.

4/2006Urban Social Space, Conference of the city development in Jena, Deutschland.

11/2005Art in the social realm, University of Applied Science, Frankfurt/Main, Deutschland.

6/2004Art/Activism/ Civil society, with Lael Klime/Jerusalem, ACC Gallery Weimar.

1/2004The true, good and beautiful, between art and working reality, University assel, Deutschland.

11/2003Introduction of my art practice, Loft, Istanbul.

2003Art is something for rich people, my mother said, symposium art and economy, Werketage Berlin.Working Situation, lecture, Bauhaus-University Weimar, Deutschland.The model of selfgeneration, Goldrausch Künstlerinnen-Projekt, Berlin.

FORMACIÓN ACADÉMICA 2004 Four months training course for Civil Conflict Transformation / Civil Peace Service, Academy for Conflict Transformation, ForumZFD.

1999Goldrausch, artist project grant, professionalisation programme for female artists, Berlin.

Since 1996    Working as a freelance artist.

1990-96 University Erlangen / Nuremberg and Academy of Fine Arts Nuremberg, Master Student in Fine Arts. 1993Guest semester at Universidad Complutense, Madrid/Spain, Art and Spanish,Madrid.

BECAS Y PREMIOS 2009Self-Arranged Residency to Madrid, Arts Council Northern Ireland.

2008/9Travel grant, Arts Council Northern Ireland to Mae Sot at the Thai BurmeseBorder, Thailand.

2008Pilotproject Gropiusstadt, Berlin. Invitation to AGENCY* to live one week inGropiusstadt to develop a site specific project.

2007Visiting Arts grant, Henry Moore Foundation/ Arts Council Northern Ireland/Scottish Arts Council/ British Council for the one week performative event APPROPRIATE in collaboration with Alma Suljevic, (Sarajevo), Marilyn Arsem (Boston) and Sandra Johnston (Belfast).

2006Percentage of Art Commission, Bezirksamt Tempelhof-Schöneberg, Berlin (invited to submit an idea and model).

2003Cultural exchange grant for Istanbul, Turkey from the Berlin Senate of Science, Research and Culture. Pilotproject Gropiusstadt, Berlin. A project developed by Birgit Anna Schumacher & Uwe Jonas. Invitation, to live one week in Gropiusstadt to develop a site specific project.

2001Working grant from the Berlin Senate of Science, Research and Culture.

2000Project grant from the Berlin Senate of Science, Research and Culture.

1998Residency in Nicaragua, office of international affairs, Nuremberg 3 months in San Carlos, Nicaragua. With Almut Determeyer.

1998Klinik, Morphing Systems (collaboration with Stephan Kurr), Zurich, Swiss (Cat.). Invitation to develop a site-specific work in an abandoned hospital. project curated by Teresa Chen, Dorothea Wimmer and Tristian Kobler.

1997Award of the Foundation Fine Arts Nürnberg.

1995Germinations Europe, residency for European artists in Poland.

1993Summer Academy Salzburg, Austria, workshop with Nan Goldin, financed by the Bavarian Ministry of Culture.

OBRA EN COLECCIONES 2009Brae Art Centre, Ballymena, Northern Ireland.

CATÁLOGOS 2009Istanbul/Berlin fellows1998-2009, sourcebook, Berlin, pg 82-87 (Cat. Exp.).

2009Yearbook of pilotproject Gropiusstadt, Berlin, pg 12-14 (Cat. Exp.).

2008    Yearbook of Bauhaus University Weimar, pg. 148-163 Preoccupations: Things Artists Do Anyway, 111 Artists Reveal TheirPassion, Published by 泥人laiyanprojects & Studio Bibliothèque, HongKong, Edited by Cornelia Erdmann and Michael Lee Hong HwePublic Istanbul – Spaces and Spheres of the Urban Edited by Prof. Dr. Frank Eckardt and Dr. Kathrin Wildner, Transcript, Frankfurt.Des/IRE, Designing Houses for Contemporary Ireland, Gandon  Editions / National Sculpture Factory Cork, Ireland.

2007Rubin, 40 Years of Institute of Contemprory Art Nürnberg.Istanbul Dergisi, Magazine, edition May 2007Istanbul Dergisi, Magazine, edition Sept. 2007The art of creating the Tomorrow, Spaceshuttle catalogue, BelfastIm Dienst der Sache, stadtkunst magazine, Berlin.Shifting the Stereotypes, Visual Artists' News Sheet, Issue 1.

2006Schnittstelle Kommunikation, book about communication in art, Berlin.Lock your mind, Istanbul-Berlin project in 2004 (Cat. Exp.).

2005     Yearbook of pilotproject Gropiusstadt, Berlin (Cat. Exp.).

2004     Yearbook of pilotproject Gropiusstadt, Berlin (Cat. Exp.).

2002        Sox36, programme 2000-2002, catalogue about the projects URTUX, art as utopia, Yearbook of the Institute of Moderne Art Nürnberg.

2000-2002Kunstcoop©, book about pilotproject artist do art-mediation/-education/communication at the NGBK, Berlin.WährungsTausch, catalogue from exhibition at Städtische Gallery Fürth (Cat. Exp.).

1998Berlin Alexanderplatz U2, catalogue from competition art at the subway, 12 selected projects, (Cat. Exp.).Sozialmaschine Geld, Kunst.Positionen, catalogue from exhibition about money at the O.K. Centre for Contemporary Art Linz, Austria, (Cat. Exp.).Restpfennigaktion, broschure about the project in public spaceMorphing, catalogue from exhibtion in abandonned hospital in Zurich, Suisse.

1996Isswas, Bavarian American Hotel, Nürnberg (Cat. Exp.).Germinations 9 (Cat. Exp.).

1996/97Kunst Raum Franken, Kunsthalle Nürnberg (Cat. Exp.).

RESEÑAS 2009The Pre-History of Crisis II, Sunday Times, 3rd August 2009The Pre-History of Crisis II, BBC Radio Ulster, 10 min Interview, 7th July 2009CNN Turk, 9.4.2009.Liane Thau, Bilder vom Alltag und ein Jubilaeum, Die Kitzinger, 27.3.2009.Aivers, Aine, A Report on Interface Summer School: Open Space Technology Training, Belfast, 10th - 16th of September 2008,   Visual Artists’ News Sheet, Issue 1, 2009.

2008Scala, radio feature about my work in Belfast, WDR  3, Deutschland.

2007Joan Fowler, High Stakes, Visual Artists’ News Sheet, Issue 6, 2007, pg 23Cherie Driver/ Anne Marie Dillon, On and on, Visual Artists’ News Sheet, Issue 5, 2007, pg 10.

2004Roswitha Buchner, „Hic bir yer gidememek“, Bayrischer Rundfunk, Sept. 2004.Stefan Strauss, Thailändische Schmusesongs im Neuköllner  Fahrstuhl, Berliner Zeitung, 24.08.2004.Meike Jansen, Einblick (57), TAZ Berlin, S. 28, 04.08.200M. Reichelt Philip Wiegands »Bar« und die Geschichte des sox36, Kunstforum International, pg 263 ff, Köln.

20025,3 Tonnen Pfennige sind 50 0000 Euro, Süddeutsche Zeitung,  28.06.2002, pg 42.Wahjudi, Claudia Die Münzmanagerin, Zitty / Kunst, 9/2002,  pg 83.

2001Falk, Sabine Wunschproduktion, kunststadt, stadtkunst, Nr.  47/2001, Berlin, pg 23.Schmidt, Peter Von der Potenz der Restpfennige, Süddeutsche  Zeitung, 8/2001, pg 56.Wagner, Thomas »Restpfennig«, FAZ, 31.12.2001, Feuilleton.

1999Das Fidericianum Magazin, Kunstverein und Kunsthalle Kassel, Heft 3, Herbst 1999, pg 32 ff

1998Kunstforum International, Bd. 149, S.108-109, Köln.  Blättner, M. »Restpfennigaktion«, Kunstforum International,  S.414-15, Bd. 140, Köln.

BIBLIOGRAFÍA 2006Weimar Day-to-Day (co-editor with Prof. Liz Bachhuber) Verlag der Bauhaus Universität Weimar. Liebe Mariela, catalogue text for Mariela Limerutti.

2005Schiller goes public (co-editor with Prof. Liz Bachhuber) Verlag der Bauhaus Universität Weimar.

2003Restpfennigaktion, book about the project in public space, including the collection of 1601 wishes, text contributions from Claudia Wahjudi, Dr. Volker Volkholz (sociology), Prof. F.B. Simon (psychology and economist), 314 pages, published by Verlag für moderne Kunst Nürnberg. Restpfennigaktion, poster about the project in public space.

1997Walking through society, Yearbook of the Institute of Moderne Art Nuremberg 1997 in collaboration with Christina Jacoby.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (ubicación)

12 de noviembre-22 de febrero: Plaza Puerta de Moros.

27 de febrero: Sala de Columnas del Círculo de Bellas Artes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2010.01 / documentación técnica)

ENERO 2010 

NECESISDADES TÉCNICAS

Conexión WIFI: (para que los asistentes puedan ver la web, añadir información directamente y para que nosotros podamos trabajar y comunicarnos- la mayoría de nosotros no tendremos teléfono)

Energía electrica (enchufes) de 1000-1200 vwatios: para 3 ordenadores portátiles (3x65 Watios), una pequeña impresora (100 Watios), 5 lamparas (5x60 Watios), 2 cargadores de batería (2x 65 Watios)y ocasionalmente un proyector para presentaciones (200 Watios) y 200 Watios para necesidades adicionales.

Instalación: 4 días (3 min) para instalar (enero 31, febrero 1, 2, 3), 1 día para desintalar (marzo 1)

Un pequeño espacio para almacenar: en la estación para que podamos depositar una maleta con la impresora y pequeños objetos)

+

Si la reunión va bien podrías pedirle 10-15 sillas plegábles? (para los talleres y seminario) y tres mesas para todo el mes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Alicia Framis + Michael Lin    Not for sale/No se vende    www.aliciaframis.com Andreas Templin    Hell is coming/World ends today    www.andreas-templin.blogspot.com    www.worldendstoday.wordpress.com

Dier + Noaz    Estado de excepción    www.vdier.com www.noazmadrid.blogspot.comwww,flirck.com/photos/noazmadrid/

Anno Dijkstra    Proposal Nr. 19 + Gift    www.annodijkstra.nl

Fernando Llanos    Videointervenciones móviles en contextos urbanos específicos    www.fllanos.com

Guillaume Ségur    Welcome On Board

Fernando Prats    Gran Sur    www.fernandoprats.cl

Jota Castro No more no less + La hucha de los Incashttp://www.jotacastro.eu/

LaHostiaFineArts (LHFA)    Explorando Usera    www.lahostiafinearts.es

Santiago Cirugeda    Construye tu casa en una azotea    www.recetasurbanas.net

Todo por la Praxis    Speculator + Empty World    www.todoporlapraxis.com

Santiago Sierra    Bandera negra de la república españolawww.santiago-sierra.com

Annamarie Ho + Inmi Lee    La guerra es nuestra    www.annamariecho.comwww.inmilee.net

 

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon. S/T (documentación teórica)

 

Sans façon es una colaboración práctica entre un artista (Tristan Surtees) y un arquitecto (Charles Blanc). Sus trabajos están definidos por su relación con lugares, incorporando la situación y las cualidades de cualquier ambiente como parte activa de la instalación.

Utilizan las intervenciones como un filtro a través del cual cada uno puede observar el espacio de diferente manera. Con una mínima intervención muestran las condiciones del lugar, los trabajos, la estructura, y aportan una percepción nueva del entorno. Tratan de crear algo que pueda ser celebrado, no por su magnificencia sino por lo que revela, lo que permite ser visto, disfrutado y reflexionado: la ubicación. Utilizan las intervenciones como una herramienta para enriquecer nuestras percepciones.

Ella le estaba diciendo: “yo no veo lo que ves tú”, y él: “Es posible que yo añada algo, lo admito, pero lo esencial está en las cosas, su poder de provocación [...], eso es indiscutible y mi único interés como guía es ser capaz de revelártelas.Yves Berger, Santa Fe

La propuesta para Madrid Abierto se ubica en el Depósito Elevado de la Plaza de Castilla. Este edificio es un buen ejemplo de un objeto urbano banal sin pretensiones, es técnico y funcional. Es el tipo de estructura en la que los transeúntes no se fijan porque no es ni mencionado ni meritorio, es simplemente un depósito de agua. La instalación intenta hacer que la gente lo mire de nuevo, no como una obra de arte en sí misma, sino que disfrute y aprecie esta estructura emblemática e impresionante.

Se proponen vestir los pilares de la torre con espejos acrílicos. En primer lugar, para crear una percepción diferente de este objeto; los edificios reflejados en los pilares presentan una nueva lectura de los alrededores, de los reflejos creados y de la apariencia inmóvil de la estructura.

Además, esto expresa y juega con la cualidad arquitectónica del edificio. Los reflejos crean cierta transparencia, las dimensiones del tanque de hormigón se hacen mucho más presentes una vez que la estructura sustentante desaparece, al tiempo que recuerda la etapa inconclusa el edificio durante 7 años debido a la agitación política.

Esta gran masa de hormigón colgando en el aire provoca una visión desequilibrada e incómoda, su construcción no parece que desempeñe su función estructural. El aspecto alterado del depósito elevado cuestiona el estado inmutable de nuestro ambiente construido.

La intervención transforma el depósito elevado en una “escultura” solamente cambiando la percepción del mismo. Por un período de tiempo, el depósito elevado se convierte en un acontecimiento. Mientras que anteriormente formaba parte de nuestra observación diaria, adquirirá una nueva existencia en la memoria y la imaginación una vez pasada la intervención.

“La vida misma ha invocado esta deidad poética que miles ignorarán pero que de repente se hace palpable y terriblemente cautivadora para aquellos que finalmente han obtenido una percepción confusa de la misma.”

Louis Aragon, Paris Peasant

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena (Cv)

MADRID, 1978VIVE Y TRABAJA EN: MADRIDWWW.PABLOVALBUENA.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: TORRE / TOWER BLOCK

FORMACIÓN ACADÉMICA2003Architect at Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Madrid, Spain. E.T.S.A.M.

EXPOSICIONES (SELECCIÓN) 2010Gallery Max Estrella. Madrid, España. (Upcoming)Sala Parpalló. Valencia, España. (Upcoming)Madrid Abierto. Madrid, España. (Upcoming)Matadero Madrid. Abierto x obras. Madrid, España. (Upcoming)Laboral Centro de Arte. Gijón, España.. (Upcoming)MUAC (Museo Universitario de Arte Contemporáneo). México D.F., México. (Upcoming)

2009CREAM. International Festival for Arts and Media. Yokohama, Japan.DAF09. Museum of Contemporary Arts Taipei. Taipei, Taiwan.Almost Cinema. Vooruit. Gent, Belgique.Alter Arte 09. Murcia, España.Fluid Architectures. Netherlands Media Art Institute. Amsterdam, Nederland.Mostravideo. Belo Horizonte and Vitoria, Brasil.Vrije Academie. Open studio. The Hague, Nederland.Hambre 09. Madrid, España.ARCO 09. Contemporary art fair. Gallery Max Estrella. Madrid, España.Murcia City Hall. Building by Rafael Moneo. Murcia, España.

2008Seoul Museum of Art. 5th International Seoul Media Art Biennale. Seoul, Corea.OK Centrum for Contemporary Art. Linz, Austria.Laboral centro de arte. Nowhere / Now Here. Gijón, España.Todaysart 08. The Hague, Nederland.Photoespaña 08. Barrio de las Letras/Medialab Prado. Madrid, España.Hambre 08. Madrid, España.Centre dʼart Santa Mónica. Sonarama. Barcelona, España.Mois Multi 9. Meduse. Quebec City, Canada.ARCO 08. Contemporary art fair. Area de las artes ayto. Madrid, España.The Hague City Hall. Building by Richard Meier, Nederland.

2007Singapore SC Museum. DAT exhibition. Singapore.Ars Electronica 2007: Goodbye Privacy. Second City exhibition. Linz, Austria.Noche en Blanco 2007. Medialab Prado. Madrid, España.Casa de Velázquez. Madrid, España.Interactivos 2007. Medialab Madrid, Centro Cultural Conde Duque. España.

2006Proyecta 2006. ʻArquitecturasʼ. Madrid, España.Centro Párraga. Arquifoto: Proyecciones Atemporales. Murcia, España.PUBLIC ART PROJECTS

PREMIOS Y BECASMatadero Madrid. Ayudas a la creación contemporánea. Madrid, Spain.

2009Research and artist in residence program. WBK Vrije Academie / World Wide VisualFactory. The Hague, Nederland.Madrid Abierto. Public Art interventions, Madrid, España.

2008Honorary Mention. Prix Ars Electronica.

2007Artist in Residence. Casa de Velázquez. Madrid, España.

CONFERENCIAS2009Bern University. Joint Master of Architecture. Bern, Switzerland. Museo de Arte Abstracto Español. Cuenca, España.Madrid Abierto: Urban Buddy Scheme. La Casa Encendida. Madrid, España.

2008 / 2009Light, Space and Perception. Conducting workshop/research group at Medialab-Prado,Madrid.

2008V2 test_lab: urban play. V2- Noordkaap foundation, Dordrecht, Nederland.Universidad Complutense de Madrid.Arquiset 08. Lightscapes. Architecture week. Barcelona, España.

2007Dorkbot Madrid, España.Interactivos 08. Medialab-Prado. Madrid, España.Entramado. Noche en blanco. Plaza de las Letras - Medialab-Prado, Madrid, España.

BIBLIOGRAFÍA Van Bogaert, Pieter, Projection-Injection-Incision. About Pablo Valbuenaʼs Extension Series,  Paper for Almost Cinema. Gent, Belgique. 2009Casey Reas. FORM+CODE in Design, Architecture, and Art. Princeton ArchitecturalPress. (to appear).Agotai, Doris (2009), Der Raum im Off. Die Leerstelle als inszenatorisches Gestaltungsmoment, in: Frohne, Ursula; Haberer, Lilian Eds., Kinematographische Räume,München (to appear).Agotai, Doris (2009), Starring Architecture, in: Cultuur en media, 609, Mediafonds, Stimuleringsfonds Nederlandse Culturele Mediaproducties, Amsterdam, p. 8–12.Bea Espejo. ʻArtistas con Hambreʼ. El Cultural. June 6, 2009.R. Klanten, L. Feireiss. ʻBeyond architecture. Imaginative buildings and fictional citiesʼ.Gestalten. February 2009.Hambre 09. Exhibition Catalogue. 2009.Turn and widen. 5th Seoul international biennale. Exhibition Catalogue. 2008.Nowhere / Now here. Laboral Centro de Arte. Exhibition Catalogue. 2008.Graham Coulter-Smith. ʻPablo Valbuena, Augmented sculpture v1.2ʼ. artintelligence.net.January 2, 2008.Jose Luis de Vicente. ʻPablo Valbuena ilumina el barrio de las letrasʼ. El Cultural. March 6, 2008.R.Bosco / S.Caldana. ʻPremios Ars Electronicaʼ. Ciberpaís, El País. July 3, 2008.Beatriz Portinari. ʻLa vanguardia de la vanguardiaʼ. El País. January 26, 2008.ʻEsto es la Plaza de las Letrasʼ. El País. January 26, 2008.Marta Peirano. ʻMenos interés por la tecnología y más por las ideasʼ. ADN.es. September 10, 2007.R.Bosco / S.Caldana. ʻArs Electronica invade el espacio urbano de Linzʼ. El País.September 6, 2007.Carlos Albaladejo / Marta Peirano. ʻArs Electronica ve las estrellasʼ. ADN.es. September 6, 2007.Regine Debatty. ʻAugmented Sculpture v1.0ʼ. We-make-money-not-art.com. June 29, 2007.Sánchez Argilés, Mónica. ʻLa instalación, cómo y por quéʼ y ʻ5x5ʼ, El Cultural. 26 de Junio, 2009.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (ubicación)

Fachada de la Casa de América (Pº de Recoletos nº 2)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Discoteca Flaming Star    Discoteca Flaming Star        www.discotecaflamingstar.com

Johanna Billing    You don’t love me yet    www.makeithappen.org/johannabilling.html

Alfonso Gil + Francis Gomila   Guantanamera    www.alonsogil.com   www.digitalartsgallery.co.uk/FG.ARTISTSpage.html

Ben Frost   I lay my ear to furious latinwww.ethermachines.com

Dan Perjovschi    Off www.perjovschi.rowww.lombard-freid.comwww.gregorpodnar.com

Dirk Vollenbroich    Short circuit / Cortocircuito www.dirkvollebroich

Mandla Reuter Pictureshttp://www.mandlareuter.com/

Susan PhillipszFollow Me

Anikka Ström    The missed concert    www.annikastrom.net

Dora García    Rezos/Prayers    www.doragarcia.net    www.rezosprayers.org

Nexus Art Group    Proyecto[NEXUS*]Jose Luis Delgado Guitart Ricardo EchevarríaMajorie KanterAchilleas Kentonis María Papacharalambous

Oswaldo Macià    Cuando los perros ladran     www.oswaldomacia.com

Leopold KesslerAlarm bikehttp://www.leopoldkessler.net/www/index.html

 

 

 

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2004. Warren Neidich + Elena Bajo. SILENT (documentación teórica)

 

DESCRIPCIÓN

Proponen los artistas la colocación de una barrera de sonido / escultura de plexiglás, titulada Silent, desde el Museo de Escultura al Aire Libre en el Paseo de la Castellana hacia la calle del Marqués de Riscal. Este tipo de barrera de sonido se coloca normalmente a lo largo de las autopistas para limitar la contaminación acústica de los que viven a su alrededor. Pero los ambientes urbanos y los habitantes de las ciudades también sufren los efectos de la insidiosa contaminación sonora. El propósito de esta obra es crear áreas tranquilas y silenciosas dentro del complejo y congestionado espacio urbano y crear una escultura que conecte con las que ya están allí situadas. En lugar de ser un monumento relacionado con el pasado, como lo están las otras esculturas en el área, Silent es una obra sobre el espacio y el proceso. Es un trabajo interactivo que crea un lugar donde la gente puede disfrutar de paz y tranquilidad; donde pueden pensar, leer o conversar. Ésta es una condición normal en el campo, donde hay muchos lugares en los que un hombre o una mujer pueden disfrutar de la tranquilidad y en lugares donde el ambiente urbano ha sido reducido y comprimido. Espacios como el que les gustaría crear son escasos, frágiles y preciosos. Quieren los artistas hacer de esta pieza un regalo/trabajo artístico a los ciudadanos de Madrid, como un acto de generosidad para que mejore su calidad de vida, un gesto efímero.

Las pantallas acústicas, como su nombre indica, son barreras construidas para desviar las ondas sonoras disonantes que se crean con la interacción de los automóviles con el asfalto. Al crecer, los países industrializados, como los pertenecientes a la Unión Europea, han comenzado a ocupar con viviendas las zonas de terreno disponibles, esos espacios marginales que quedaban a lo largo de las autopistas y las carreteras. Las comunidades de la periferia se han desarrollado en estos espacios y han creado nuevas estrategias y soluciones para controlar ciertas cualidades desfavorables como la contaminación sonora y del aire. Las pantallas acústicas son uno de estos inventos. Pero la ciudad es también un lugar donde este tipo de contaminación existe. El proyecto es fundamentalmente un rediseño, una reconstrucción y una recolocación de un artefacto industrial disponible que pasa de su lugar primigenio a lo largo de la autopista a uno incluido en la estructura urbana y cercano a un barrio muy activo, el entorno del eje de Castellana. Es un “readymade” recontextualizado y configurado para aliarse con un plan urbanístico que lo redefina como un lugar menos ruidoso al mismo tiempo que crea una obra de arte como un gesto ondulante de transparencia pura.

Pero hay otros niveles del discurso que actúan subliminalmente y que son muy importantes para definir las relaciones sociales, políticas, históricas y psicológicas de nuestro proyecto que deben incluirse.

Como se menciona más arriba, esta obra de arte público conectará profundamente con las personas que la vean y que interactúen con ella. Su reiteración del paisaje urbano creará significados metafóricos y analógicos como una escultura social que debe cruzarse. Esta reiteración es visual, acústica y física. En primer lugar, su transparencia enmarcará de nuevo ciertas escenas prestando más atención a ciertas estructuras mientras simultáneamente decrece la presencia de otras. En segundo lugar, los urbanistas y los arquitectos que durante mucho tiempo han formado parte de la cultura del espectáculo y que ahora diseñan estructuras para que no crezca la estimulación.

Todos estamos sobre-estimulados por ruidos aleatorios y parece que necesitamos un descanso. Este trabajo artístico reduce la cantidad de sonido, acabando también con su hermano bastardo, el ruido. Comienza y acaba de forma abrupta en los pasos de cebra, siendo una especie de reconstrucción de un cruce que refiere a la proximidad de la obra al monumento a Cristóbal Colón. Estamos interesados en el modo en que estas barreras de sonido operan en espacios de indeterminación que separan la cultura nómada, de la carretera, de la prístina domesticidad de la vida sedentaria; como si la barrera fuese impenetrable para el sonido pero permeable a otras formas de información, permitiendo que unas culturas muy diversas y diferentes se interconecten y formen morfologías híbridas. Creo que en este mundo acelerado, cambiante y global, este tipo de formas híbridas constituyen una relevante analogía de cómo otras culturas basadas en discursos muy distintos pueden mezclarse y mutar.

Especialmente en su manifestación más reciente como pantallas de plexiglás transparente, estas barreras de sonido comienzan a funcionar como metáforas de apertura al hacer más posible que estas dos formas extremas, pero necesarias, convivan en proximidad creando nuevas posibilidades, haciendo que surja una especie de tercer espacio. Pero debemos también considerar este proyecto desde el punto de vista escultórico, y no podemos dejar de señalar el asombroso parecido morfológico entre estas estructuras y la obra de Ricardo Sierra, con la que también comparte una base perceptiva y fenomenológica. A pesar de ello, el énfasis de la pieza en la belleza y su optimismo social, son preocupaciones muy alejadas de las de este autor.

Juntos, estos niveles más profundos de significado interactúan con la base materialista de la escultura física realizada en el mundo real, empírico. Pero al interpretar la obra desde puntos de vista tan diversos, la misma se convierte en inmaterial y metafísica.

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano (Cv)

BUENOS AIRES, 1958VIVE Y TRABAJA EN BUENOS AIRESWWW.GUSTAVOROMANO.ORGOBRA EN MADRID ABIERTO: TIME NOTES: OFICINA MÓVIL / TIME NOTES: MOBILE OFFICE

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (SELECCIÓN) 

Utilitarios para un universo inestable, Museo Tamayo, México DF, México.Mercado de futuros, Galería Ruth Benzacar, Buenos Aires, Argentina.Sabotaje en la máquina abstracta (obras de 1998 al 2007) MEIAC, Badajoz, España.Heterotopía, Galería Ruth Benzacar, Buenos Aires, Argentina.Pieza sonora para ser caminada, Centro Cultural Recoleta, Buenos Aires, Argentina.La tarde de un escritor, Museo de Arte Moderno de  Buenos Aires, Argentina.Tres Acciones, Galería Ruth Benzacar, Buenos Aires, Argentina.Evidencias Circunstanciales – con Jorge Macchi -, Museo de Arte Moderno de  Buenos Aires, Argentina.Casos de Identidad,  Centro Cultural España Córdoba, Argentina.Video Instalaciones y Objetos, Centro Cultural España, Buenos Aires, Argentina.

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN) 

Variation Time, Galerie der Künstler, München, Deutschland.Sintopías, Instituto Cervantes, New York.Taking Time / Tiempo al Tiempo, MARCO, Vigo, España.Art Goes Heiligendamm, Rostock, Deutschland.Videonale 11, Kunstmuseum, Bonn, Deutschland.Sintopías, Instituto Cervantes, Beijing, China.I Bienal del fin del mundo, Ushuaia, Argentina.I Bienal de SingaporeEn las fronteras / Grenzgänge, Instituto Cervantes, Viena, Austria.Relecturas en la Colección del MAMbA, Museo de Arte Moderno de Buenos Aires, Argentina.Sobre una realidad ineludible, MEIAC, Badajoz, y Centro de Arte Caja de Burgos, España.Mystic, Massachusets College of Arts, Boston, Massachusetts.Cardinales, MARCO - Museo de Arte Contemporánea de Vigo, España.Nueva/Vista Videoarte de Latinoamérica, IFA Gallery, Bonn, Berlin, Stuttgart, Deutschland.Selección de obras de la Colección del New Museum, New Museum, New York.El Final Del Eclipse, Fundación Telefónica, Madrid, Granada y Salamanca, España.VII Bienal de la Habana, Cuba.Interferences, Belfort, France.I Bienal Internacional de Buenos Aires, Museo Nacional de Bellas Artes, Buenos Aires, Argentina.Borges.es, Casa de América, Madrid, España.II Bienal del Mercosur, Porto Alegre, Brasil.I Bienal de Lima, Perú.

PERFORMANCES

Oficina de reintegro del tiempo perdido y Time Waves, MARCO, Vigo.Pieza con globos #2 y #3, Laboratorio Arte Alameda, Ciudad de México.Losing Time y Exchange Office, I Bienal de Singapur, Singapore.Underground Information System, Intervención en el sistema de información y trenes del metro de Buenos Aires, Festival Diálogos Buenos Aires- Berlín.Pieza sonora para ser caminada, Centro de España en Montevideo, Uruguay; Centro Nacional de las Artes, Ciudad de México.

PROGRAMAS DE VÍDEO

Festival Transitio MX, Laboratorio Arte Alameda, DF, México.Festival VAE10, Lima, Perú.Festival FILE, San Pablo, Rio de Janeiro, Brasil.Festival Centro + Media, Centro, DF, México.Videobrasil, San Pablo, Brasil.Net.art CD.art, Casa Encendida, Madrid, España.Transmediale, Berlin, Deutschland.Encuentros Internacionales Paris/Berlín.Festival Ars Electronica, Linz, Austria.

PROYECTOS

IP Poetry Project www.ip-poetry.findelmundo.com.arAzul cielo y blanca www.findelmundo.com.ar/azulcielo/Pieza Privada Nº1 www.findelmundo.com.ar/pp01/Pocketlog www.moblog.findelmundo.com.ar/CyberZoo www.cyberzoo.orgHyperbody  www.hyperbody.org Mi deseo es tu deseo  www.findelmundo.com.ar/mdtd

PROYECTOS CURATORIALES 

Re/Apropiaciones, MEIAC de Badajoz, España.Desmontajes, MEIAC de Badajoz, España.El video como zona de cruce, Centro Cultural de España en Montevideo.Acciones, Investigaciones y Relecturas, Centro Cultural España Córdoba, Argentina.Net(art)working, Centro Cultural de España en Buenos Aires.Robot Ludens, Centro Cultural de España en Buenos Aires.De camaleones y caballos de Troya, Centro Cultural de España en Buenos Aires.Caleidoscopios, Centro Cultural de España en Buenos Aires.(Re)codificaciones, Centro Cultural de España en Buenos Aires.Itinerarios y Souvenirs, Centro Cultural de España en Buenos Aires.Turbulencias (en el ciberespacio), Centro Cultural San Martín, Buenos Aires.

PUBLICACIONES

2009Desmontajes, Badajoz, MEIAC.

2006Netart.ib, Buenos Aires, CCEBA.

2003Cuadernos del Limbo (ed), Buenos Aires, Limbo Ediciones.

BECAS Y PREMIOS 

John Simon Guggenheim Memorial Foundation Fellowship, New York.Incentivo para nuevas producciones del concurso Vida 7.0, Fundación Telefónica de España, Madrid.Premio Konex de Platino, Fundación Konex, Buenos Aires.Primer premio en Buenos Aires Video XII, Premio ICI de Video, Buenos Aires.

OBRA EN MUSEOS Y COLECCIONES 

New Museum of Contemporary Art, New York.Fundación Arco, Madrid.MEIAC, Badajoz.Museo de Arte Moderno de Buenos Aires.Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires.

BIBLIOGRAFÍA 

Mercedes Urquiza, “El tiempo no es dinero, quizás”, Diario Perfil, Buenos Aires, 19 de abril de 2009.Eugeni Bonet, “Lógica del contrasentido”. Sabotaje en la máquina abstracta, MEIAC, Badajoz, 2008. (Cat. Exp)Laura Revuelta, “Que no se apague la llama del ingenio”, ABCD, diario ABC, Madrid. 22 de marzo de 2008.Carlos Jiménez, reseña de “Sabotaje en la maquina abstracta”, Babelia, diario El País, 15 de marzo de 2008, Madrid.Nilo Casares. “El «chip» poético”, ABCD, diario ABC. 8 de marzo de 2008, Madrid.Johan Frederik Hartle, “El tiempo es oro… ¿o no?”, Tiempo al tiempo, Vigo, 2007. (Cat. Exp)Eva Grinstein, “El secreto mejor guardado del Net.art”. ARTECONTEXTO, Madrid, agosto de 2007.Belén Gache, “Time Notes”. I Bienal de Singapur, 2006. (Cat. Exp)Laura Baigorri, “Viaje sin destino. Para no olvidar”, Arte y Compromiso, MEIAC, Badajoz, 2004. (Cat. Exp)Jorge López Anaya, “Nuevos y viejos medios”, diario La Nación, Buenos Aires, 3 de junio de 2004.Jorge López Anaya, “Gustavo Romano, la poética tecnológica”, diario La Nación, Buenos Aires, 9 de abril de 2000.Arturo Carrera, Tres Acciones, Buenos Aires, 2000. (Cat. Exp)Belén Gache, “El lado invisible de las cosas”, borges.es, Casa de América, Madrid, 1999. (Cat. Exp)José Tono Martínez, Evidencias circunstanciales, Buenos Aires, 1998. (Cat. Exp)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (ubicación)

Torre Madrid (Plaza de España) Días: jueves 18 de febrero y viernes 19 de febreroHorario: de 20.00 a 02.00

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Arnoud SchuurmanTranslucid View        www.arnoud.is.dreaming.org

Chus García FrailePost it        www.chusgarciafraile.com

Virginia Corda + Maria Paula DobertiAccidentes urbanos        www.virginiacorda.com.ar www.mariapauladoberti.com.ar

Gustav HellbergPulsing Path: una visión ambigua        www.gustavhellberg.com

Lorma MartiBlend Out    Stefano de Martino+ Karen Lohrmann    www.lormamarti.com

Nicole Cousino + Chris VecchioSpeakhere!        www.ncousino.comwww.noisemantra.com

Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian    Locutorio Colón        www.tadanori.desorde.net/www.studio-kg.com/studio-kg.com

Tao G. Vrhovec    Reality Soundtrack    www.realitysoundtrack.org    www.taogvs.org

Tere Recarens    Remolino        www.tererecarens.com    Wilfredo Prieto    Ouroboros        www.wilfredo-prieto.com

 

 

 

 

 

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2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (documentación técnica)

NECESIDADES TÉCNICAS

Todas las necesidades técnicas están basadas en el informe de los ingenieros estructurales para house-Madrid de ARUP, Newcastle (ver copia añadida).

 

CONSTRUCTORES PRINCIPALES

R.BAU Limited han aceptado ser los principales constructores de house-Madrid. R.BAU Limited llevará a cabo la construcción y desmontaje de todo el proyecto. Esto incluye la realización del curso húmedo (primer curso en mortero normal) y la realización de una pequeña obra de bloque. La gestión operativa, de emplazamiento, perímetro del emplazamiento y seguridad del perímetro son responsabilidad de R.BAU Limited.

Mantenimiento, manipulación de material, desmontaje del proyecto y la limpieza del lugar una vez completado el proyecto son tareas de R.BAU Limited.

R.BAU Limited se asegurará de que las regulaciones de salud y seguridad aplicables a las obras de construccionsean seguidas al pie de la letra por sus empleados. De todos modos, la empresa no se hará responsable de la adecuación a las mismas de otros participantes en el proyecto ni aceptarán responsabilidad por elementos de seguridad que no estén directamente relacionados con las obras de la empresa.

BLOQUES

Los bloques necesarios para house-Madrid serán patrocinados por THERMALITE, Birmingham.THERMALITE ha aceptado traer los bloques al emplazamiento de Madrid.

OTROS MATERIALES PARA EL EDIFICIO

Materiales y herramientas aportados por Madrid Abierto:

- AndamiajeDos andamios de peso (altura de 6m y anchura de 4m)Algún operario local debería realizar el montaje del mismo.- Vallado.El vallado para el área de almacenado y para el lugar en sí.- Grúas.Dos grúas para subir los materiales al andamio.- Un batidor eléctrico de obra- 20 bolsas de cemento y 0,5 toneladas de arena- Un mezclador de cemento- 4 cubos- Un contenedor (para materiales de desperdicio)- 12 dinteles de hojalata- membrana a prueba de agua 50cm de ancho, 50 cm de largo- 4 palas

Materiales y herramientas para que gestionen R.Bau y THERMALlTE:- R.Bau proporcionará herramientas manuales, cascos y otros elementos.THERMALITE proveerá el mortero

MADRID ABIERTO

Madrid Abierto será responsable de asegurar la adecuación de la obra a todas las necesidades legales para la construcción del proyecto y debería informar al artista y a R.BAU por escrito, dandosuficiente antelación de cualquier cuestión relaccionada con el proyecto que requiera de nuestra presencia.

Madrid Abierto proporcionará hospedaje para 7 trabajadores (5 trabajadores, un maestro de obra y un supervisor).

Madrid Abierto proporcionará acceso a 220 voltios de energía a agua. Madrid Abierto también asegurará el acceso a Internet.

Madrid Abierto gestionará qué se hará con los desperdicios.

VOLUNTARIOS DE MADRID

house-Madrid depende de la ayuda de voluntarios de Madrid. Esto forma una parte importante de la idea de la obra. Los ayudantes deberían involucrarse en el proceso de construcción y desmontaje. Para casa-ciudad en Newcastle trabajamos junto con el departamento de obras de la Universidad local. Diez de sus alumnos y dos profesores nos ayudaron durante los cuatro días de montaje. Nos gustaría que Madrid Abierto organizase algo similar con una empresa de obras o alguna universidad de Madrid. Los materiales, tanto usados como no usados serán donados. Los materiales deberán ser recogidos en el lugar mismo.

PELÍCULA, CÁMARA WEB Y FOTOGRAFÍAS DE LAPSO DE TIEMPO

house-Madrid será documentada con dos películas de lapso de tiempo.

El artista tendrá acceso al poder y una habitación con cerradura para guardar cerca del equipo.Las cámaras de cine que se coloca alrededor del sitio de acuerdo a plano adjunto y fotografías.

house-Madrid también se documentará con una web-cam en vivo. La cámara necesita ser instalada cerca de una fuente de energia y acceso a Internet. (Ver fotografías y plano)El artista se encargara de la pagina web para la web-cam en vivo.

El artista realizara fotografías de la evolución durante el período de construcción de 10 días de la casa-Madrid.Cuatro cámaras de formato fotográficas grandes necesitan ser colocados alrededor del sitio de acuerdo con el plano adjunto y las fotografías.

Para el montaje de la instalación de las cámaras el artista necesita:Peso reforzando las partes de andamios para soportar un poste de luz y formar un trípode.(Ver fotografías y plano)Ser organizado por Madrid Abierto junto con los andamios para la construcción.

Madrid Abierto organizará los permisos para la instalación de las cámaras de acuerdo con el plano y las fotografías.

PUNTO DE INFORMACIÓN

Madrid Abierto creará un punto de información cerca del sitio. Los detalles necesitan ser discutidos.

PLANIFICACIÓN

La obra en edificio de house-Madrid empezará el jueves 5 de febrero de 2004 y terminará el domingo 15 de febrero de 2004. Las jornadas serán de 7:00 a 19:00 todos los días. Los materiales llegarán el sábado 4 de febrero. El lugar será recogido el último día de trabajo, el domingo 15 de febrero de 2004.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe (Cv)

VITORIA, 1967VIVE Y TRABAJA EN VITORIAWWW.WEB.JET.ES/LARRY/OBRA EN MADRID ABIERTO: UNOFFICIAL TOURISM

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (SELECCIÓN)2004Agnosia, Galería J.M, Málaga.Cara de chicle, Cajastur, Gijón, (catálogo editado).

2003La casa de goma, C.C Montehermoso, Vitoria-Gasteiz, (catálogo editado).

2002Plasticity, Galería Bilkin, Bilbao.

2001Plasticman, Bilbao-arte, Ayuntamiento de Bilbao, (catálogo editado).

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN) 2009Comparada, Sala Fundación Caja Vital, Vitoria-Gasteiz.

2007Objeto de réplica, Artium, Vitoria-Gasteiz.

2006Bienal de Artes Plásticas, Ciudad de Pamplona.

2005Objetland, Junto a Ciuco Gutierrez y Txema Madoz. Galería Siboney, Santander.

2004Dfoto, Stand Galería Bilkin, San Sebastián. Sin Sentido, Galería Trayecto, Vitoria-Gasteiz.Arco 2004, Stand Galería Bilkin, San Sebastián.

2003Feria Internacional de Arte de Bruselas, Stand Ego Galery.Arco 2003, Stand Galería Bilkin, San Sebastián.

2002Foro Sur, Stand Galería Siboney, Cáceres.Gótico pero exótico, Museo Artium de Álava, Vitoria-Gasteiz.Feria Internacional de Arte de Turín, Stand Galería Alter Ego, Torino.Arco 2002, Stand Galería Siboney.Red, Galería Alter-Ego, Barcelona.

2001Feria Internacional de Arte de Frankfurt, Galería Alter-Ego, Frankfurt. PROYECTOS 2009-10Unofficial Tourism, Oficina de turismo alternativo, Madrid Abierto, Madrid.

2009Iquitos, Perú, Hotel Sándalo, Habitación 23, Sesión de fotos turísticas realizadas y entregadas a una familia sin recursos económicos.

2008¿Sauna finlandesa o descenso de barrancos? Espacio de alojamiento para turistas culturales, Con el apoyo de la galería Trayecto, el Centro Cultural Montehermoso y Krea, Vitoria-Gasteiz.

2007Bogotá, Hotel Princesa, Habitación 14, Cómic-diario de viaje, Expuesto en la Galería Santa Fé de la Alcaldía Mayor, Planetario de Bogotá.

2006Airotiv, Columna de crítica cultural, Diario de Noticias de Álava. Hotel Páramo, Habitación 122, Ejerciendo de turista en la propia cuidad, Galería Trayecto, Vitoria-Gasteiz.Seria Soneub, Realización de guía de viaje, C.C. Recoletta, Gobierno de Buenos Aires, Argentina.

2005Caracas, Hotel Eliot. Habitación 123, Libro de viaje, Itineró por diversos espacios alternativos del País Vasco.

PROYECTOS CURATORIALES2010Hartos de arte, Exposición itinerante y publicación para ser distribuida con la revista TMEO.

2009Co-realización del Proyecto Amárica (proyecto de gestión de tres salas expositivas del Departamento de Cultura de la Diputación Foral de Álava por parte de una asamblea abierta de agentes culturales locales, actualmente funcionando)

1999-09Coordinador del Espacio independiente Zuloa, Vitoria-Gasteiz.

2008-9Coordinador de Inmersiones, Sala Amárica, Vitoria-Gasteiz.

2003-8 Coordina el Festival Cultural, Crash Cómic de Vitoria, Vitoria-Gasteiz.

1988 Cofundador de la revista de cómic TMEO, Realiza cómics y la diseña

PUBLICACIONES 2005Columnista cultural en el diario de su ciudad, Vitoria-Gasteiz.

2005-6Crítico puntual de arte en el suplemento Mugalari (Gara)

1999-2002Director del fanzine cultural Acción.

FORMACIÓN ACADÉMICA Licenciado en Bellas Artes.

BECAS Y PREMIOS 2008Ayudas a la producción. Centro Cultural Krea. Vitoria-Gasteiz.

2006Beca Centro Museo Vasco Artium. Premio a la promoción de la cultura local. Diario de Noticias de Álava.

2004Compra de obra en el 3er Premio Concurso de Artes Plásticas de Cantabria.

2002-2003Ayudas a la creación, Ayuntamiento de Vitoria-Gasteiz.

2000Adquisición de obra en el Certamen de Artes Plásticas de Pollenca, Mallorca.

1999Beca de fotografía Can Basté, Ayuntamiento de Barcelona.

OBRA EN MUSEOS Y COLECCIONESArtium de Álava, Gobierno de Cantabria, Bilbao Arte, Gobierno Vasco. Ayuntamiento de Pollenca, Ministerio de Cultura Español.

BIBLIOGRAFÍA ARTÍCULOS2006Revista Lápiz. Abril.

2004, 2003Catálogos de Arco.

LIBROS2009Libro, Sauna finlandesa o descenso de barrancos, Iñaki Larrimbe. Colección Esci Project 3. Ayuntamiento de Vitoria-Gasteiz.

2004Catálogo, Cara de chicle, Iñaki Larrimbe, Cajastur, Oviedo.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (ubicación)

Distintos puntos de la ciudad y Casa de Muñecas, Casa de América

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. ARTISTAS / INTERVENCIONES / LINKS

Emancipator bubbleBubble Business   www.emancipator.org

Diana LarreaEl palacio encantado   www.dianalarrea.com

El perro Virtual DemolitionIvan López, Ramón Mateos, Pablo España. Fundado en 1989 y disuelto en 2006www.elperro.info/vdm

Maider López Carteles Y banderolas

Etoy.CORPORATION       www.etoy.com

Fernando López Castillo Perspectiva ciudadana

Warren Neidich+Elena Bajo Silent   www.elenabajo.comwww.warrenneidich.com

Wolfgang Weileder House-Madrid   www.wolfangweileder.comwww.fold-up.infowww.house-proyects.comwww.transfer-project.org

Sans Façon       Tristan Surtees, Charles Blanc   www.sansfacon.co.uk

 

 

 

 

 

 

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2006. Theo Tegelaers. ARTE EN ZONAS PÚBLICAS

 ¿utopía, monstruo polifacético o proyecto social?

El Arte que en la primera mitad del siglo XX se ocupaba de la arquitectura y los espacios públicos, proveía nuevas formas de vida y tenía un carácter muy utópico. Estaba ligado a formas visionarias sobre la vida social e intentaba ponerse en servicio de la gente lo mejor posible. Tenemos por ejemplo el Monumento a la Tercera Internacional de Tatlin, alguien que estaba persuadido de que el arte debía tener una función y una finalidad primariamente sociales. El artista Constant diseñó la ciudad utópica Babilonia la Nueva, donde los hombres podrían vivir en una sociedad sin hambre, sin explotaciones, sin trabajo también, una sociedad pues donde toda persona podría desarrollar su creatividad completamente. Allí el hombre ya no tendría que trabajar, sino que los ciudadanos llevarían una existencia nómada siguiendo sus inclinaciones.

El situacionismo se situó en esa línea, y pretendía eliminar la frontera que separaba el arte de la vida. Auguraba una comunidad libre de burocracia, en una ciudad a la que darían forma las inclinaciones y los anhelos de sus habitantes, una ciudad dinámica y cambiante llena de poesía de sonidos, olores, gustos y colores.

Dos modelos importantes dentro de la tendencia situacionista son la "psicogeografía" y el "detournement". La psicogeografía consiste en replantear o "mapear" barrios, ciudades, cruces y redes según ciertos deseos o aspiraciones determinadas de antemano. Se daban paseos dejándose llevar figurada y a veces literalmente por el olfato, haciendo lo que se denominaba "dérive", ir a la deriva. Estos itinerarios urbanos sin rumbo hechos por personas en sintonía servían de base para renovar la cartografía. Wilfried Hou je Bek (véase socialfiction.org) explota estas teorías en la actualidad.

La aspiración de descubrir lo que hay de oculto en una ciudad, sin pretensiones ni prejuicios, sigue existiendo. Recorridos cuya finalidad es descubrir o redescubrir el espacio público, para destapar fenómenos sumergidos en dicho espacio, es lo que ha llevado a Social Fiction a comenzar su Proyecto Psicogeográfico.

Por "détournement" (despiste) se entiende la tergiversación de textos, obras de arte y composiciones preexistentes. La distorsión de textos, imágenes y mensajes comerciales y mediáticos produce confusión en la cultura y en la sociedad.

También esta táctica tienen su variante contemporánea, llamada culture jamming, el reordenamiento de datos e imágenes. Quienes diseñan pegatinas usan métodos con el mismo punto de partida: manipulan códigos, eslóganes y logotipos para despistar al ciudadano normal.

Por eso dice Wilfried Hou Je Bek que la culture jamming es una estrategia del márketing.

La elección del arte en espacios públicos ha estado durante muchos años (desde los setenta) en manos de expertos y entendidos; así se evitaba que la opinión pública pudiera jugar un papel decisivo en ella. Al contrario, el arte servía para elevar e ilustrar al pueblo.

Esta política ha resultado en un arte público que a menudo se pliega a las exigencias de su entorno, donde da una impresión de impotencia, como si gritase que el arte es un medio incapaz de cambiar la realidad.

Además, las obras artísticas que están ligadas a la arquitectura o a grupos concretos sociales o culturales, y por tanto hacen caso omiso de los demás, tienden a favorecer la privatización del dominio público.

Actualmente observamos muchas situaciones donde se invita al artista a utilizar su capacidad artística sin que por ello pueda rozar el ámbito del poder.

Se espera del artista que analice el entorno, que presente su análisis y que piense en términos de resolver problemas: a menudo se troca la capacidad plástica y visual por las capacidades conceptuales y organizativas del artista. En tales casos los procesos sociales forman parte del trabajo y son una manera de satisfacer los deseos de la población y de formular una finalidad común.

Con este simulacro de proceso co-decisorio y aprovechando la voluntad de ponerse de acuerdo, se hace al público cómplice de resolver asuntos espaciales y urbanísticos por medio de proyectos artísticos. El resultado son a menudo interacciones pacatas, que desembocan en muy poco arte.

Habría que preguntarse si los artistas deben participar en los procesos decisorios o si deben abstenerse de ello. Porque el deseo de que el arte forme parte integrante de la sociedad en conjunto, y de que la obra artística sea un resultado de tipo creativo de determinados procesos sociales, despoja al arte del carácter independiente y descomprometido que le es propio. La fuerza del arte se esconde precisamente en lo inesperado e irracional.

En otros proyectos se procura provocar experiencias "auténticas". Lo cual a menudo conduce a adornar el entorno, a hacerlo más bonito, dado que es imposible darle a todo transeúnte y en cualquier momento del día, una experiencia "auténtica". El deseo de los promotores es más bien darle cierta autenticidad al entorno. Se les pide a los artistas que revelen originalidad en un entorno que carece ya de toda naturalidad. Por eso, solicitar una "auténtica experiencia" no parece sincero. Dentro de esta realidad no hay lugar para una naturaleza propiamente dicha, la cual se considera inmanejable en la comunidad factible que pretendemos alcanzar. Con lo cual y efectivamente, hemos desterrado la fe en la autenticidad.

¿Debe el arte moverse en el terreno de lo real y debe pues dirigirse a la autoridad, a los gobernantes? ¿No es precisamente esta realidad preexistente lo que estorba los planes renovadores y los experimentos con el espacio público? ¿Y no es el precio de ello la realidad soñada, no nos hace prescindir de visiones futuristas? ¿O debe primar el público? Porque el espacio público es el espacio del público. Pero la obra artística hecha para "el público" presupone que existe “un público” homogéneo, mientras que lo que llamamos "el público" es más bien un conglomerado variopinto de grupos sociales y étnicos con intereses y deseos contrapuestos.

En la tradición anglosajona, el "public art" deriva su derecho de existir de la interacción entre las autoridades y el público.

Según este patrón social, el arte no intenta lograr un consenso sino que expone al público contradicciones, conflictos y discusiones. Grupos distintos de personas organizan y financian "sus" obras, mostrando de esta manera "su" presencia en el espacio común y haciendo visible "su" postura cultural o social.

Esta forma de pensar resulta en "community art" o proyectos en los que la autoorganización juega un papel importante. También aquí se juntan factores como urbanismo, movimientos sociales y artes plásticas, y la cuestión de cuándo la actividad de algunos individuos empieza a formar parte del espacio común y del ambiente urbano, no se plantea a nivel administrativo sino que los interesados la traducen directamente a actos concretos.

A menudo se trata de actividades sociales marginalizadas y de fenómenos que se escapan a las limitaciones de la normativa sobre los espacios públicos.

Estos proyectos surgen de la necesidad de querer implicarse en el aspecto actual y futuro de la propia urbe; del deseo de sentirse seguro y amparado, de adecentar áreas comunes degradadas y de incrementar la autoestima de un barrio o vecindad. Si el arte no se responsabiliza él mismo de las cuestiones sociales y económicas, las cuales a menudo tienen mucha influencia en la forma de urbanizar una zona, las decisiones sobre dichas cuestiones seguirán en manos de las autoridades que estén en ese momento en el poder; en cuyo caso, e incluso aunque las autoridades tengan buena voluntad, los intereses creados y el pensar a corto plazo pueden causar un resultado pésimo.

El arte era -y sigue siendo- algo que ofrecen las autoridades pero demasiado a menudo sin hacer caso de las necesidades urbanas y ninguneando al público. Sólo el arte explícitamente implicado con el espacio público y con los grupos sociales que forman juntos la comunidad, merece llamarse "arte público".

Termino con palabras del artista holandés Marc Bijl:

«Tenéis en las manos las normas del espacio público. Procura no perturbar este espacio.»

«Trata bien a los demás en esta zona o peléate con ellos: tú verás lo que haces. Es sitio de todos, es una jungla libre. Cuídala y cuídate tú.»

Theo TegelaersConservador y asesor de proyectos artísticos.

Referencias:Siebe Thissen, Over openbare kunst; 2004.Jeroen Boomgaard, Kunst gevangen tussen authenticiteit en constructie; Open 4, 2003.

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung (Cv)

HONG KONG,1969VIVE Y TRABAJA ENTRE LONDON, UK, y GRANADA, SPAINWWW.LISACHEUNG.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: HUERT-O-BUS

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2008Fountain of Clear Ripples, Cliffe Castle, Keighley.

2007New Chandeliers, Hoxton Hall, London.

2006Whispering Roses, Museum of Garden History, London. Fireflies, Seoul Fringe Festival, Seoul.

2005Pique Nique, Firstsite at Minories Art Gallery, Colchester.

2004GWC”, Spacex Gallery, Exeter.

2003New Year, Chinese Arts Centre, Manchester.

2002Twilight Garden, Camden Arts Centre, London. Light Familia”, Derby Museum and Art Gallery, Derby.

2001Lite Bites, Gasworks Gallery, London.

1998Nightlights, Para/Site Central, HK.

1997Eat in or Take-Away, Plymouth Arts Centre, Plymouth.

EXPOSICIONES COLECTIVAS (selección)2009Group Process, Radar Arts Programme, Loughborough University, Loughborough.

2008Contemporary Chinoisere, Collyer Bristow Gallery, London.China Design Now, Liberty Department Store, London.Tatton Park Biennial, curated by Parabola, Tatton Park, Knutsford.

2007Human Cargo, Plymouth Museum and Art Gallery, Plymouth. Boutique, Chinese Arts Centre, Manchester.

2006Close Distance, Plymouth Museum and Art Gallery, Plymouth. Double Six, G Index, Toronto.

2004Homeland, Spacex Gallery, Exeter.Nit Niu 04, Pollenca, Mallorca.Artsparkle, Leeds City Gallery, Leeds.Stranger than Fiction”, ACE Touring Show.

2003Exhumed, curated by Danielle Arnaud, Museum of GardenHistory, London.Did you know Hong Kong was still last night?, Parasite Art Space, HK.Glamour, British Council, Praha.Meinstrastando, El Conde Duque, Madrid.Carioquinha, Espaco Bananeias, Rio de Janeiro.

2002New Releases, Art Gallery of New South Wales, Australia.Diversion, Museum of Garden History, London.Gwangju Biennale, with Parasite Arts Space, Gwangju, Korea.

2000Hong Kong Artscope 2000, Mizuma Gallery, Tokyo.How the West was Lost and Won, British Council, Praha.

1999Gracelands Palace, Sungkok Museum, Seoul (pub.). II@Dogenhaus, Dogenhaus Annex Gallery, Berlin.

1997Fish Out of Water, Curwen Gallery, London (pub.).

PROYECTOS INDIVIDUALES 2009Mobile Allotment, Nightingale Estate, Greenwich, London.

2008El Club de los Dedos Verde, Intermediae, Madrid.Summer Palace, A Foundation (off site), Liverpool. Spirit of Gosport, Aspex Gallery (offsite) Portsmouth. 2005I asked her and she said yes, Chinese Arts Centre, Manchester.

PROYECTOS COLABORATIVOS 2007Blink (with public works), St Peter’s Estate, London.

2006Lassie Come Home (with Ming Wong), Camden Arts Centre, London.

2004TV Dinners (with Ayako Yoshimura), Home, London (pub.).

1999Double Happiness (with Emil Goh). Outdoor project of Hayward Gallery, London.

PERFORMANCES2009Alternative Village Fête, curated by HOME, National Theatre, London.

2007Celebrando, Intermediae, Madrid.Vital 07, Chinese Arts Centre, Manchester.

2003Art and Food, curated by HOME, Victoria & Albert Museum, London.

FORMACIÓN ACADÉMICA1989-92Bachelors of Fine Arts, Queen’s University, Kingston, Canada.

1996-97Post Graduate Diploma of Arts, Goldsmiths College, London.

1997-98Master of Arts, Goldsmiths College.

EXPOSICIONES PERMANENTES2006Secret Lives of Hours and Minutes, ACE, London

2004Bliss, Chinese Arts Centre, Manchester.

2003Tradescant’s Ark, Museum of Garden History, London.

BECAS Y PREMIOS 2009 & 2007Grants for the Arts, ACE.

2003Travel Grant, British Council.

2001Visual Artists Fund, London Arts Board.

2000Year of the Artist, Northwest Arts Board.

1999Florence Trust Studio Award, Florence Trust, London.

1999Freeman Fellowship, Vermont Studio Centre, Vermont, USA.

1995Project Grant, Hong Kong Arts Development Council.

1992Best in Show & Best Sculpture, Toronto Outdoor Art Exhibition.

COLECCIONES PÚBLICASArts Council of England, UKPlymouth Museum and Art Gallery, UKDerby Museum and Art Gallery, UKAgnes Etherington Arts Centre, Kingston, Canada

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (ubicación)

Estación de Atocha, vestíbulo superior, entrada AVE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin (Cv)

SIERRE, SWITZERLAND, 1967VIVE Y TRABAJA EN BERLIN Y GÉNEVEWWW.LAURENCEBONVIN.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: GHOSTOWN

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (SELECCIÓN) 2010CPIF, Pontault-Combault, Paris.

2009On Location, Museum for Photography, Braunschweig.

2008On The Edges of Paradise, Center for Photography, Géneve.

2007Ferne Fenster, SOX 36, Berlin (with Tarramo Broenimann).

2007The Photographers, Platform Garanti Contemporary Art, Istanbul (2 persons show with Juul Hondius).

2006When I Look at You, 10m2 Gallery, Sarajevo.

2004Contemporary Art Forum, Sierre.

2003Espace abstract, Lausanne.One-eyed Little Owl, Palais de l’Athénée, Géneve.

2002White Heat, Skopia Gallery, Géneve.

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN)2009Us, Johannesburg Art Gallery, Goodman Gallery, Johannesburg.I Am By Birth A Genevese, Vegas Gallery, London and Forde, Géneve.

2008The Waste Land, Caravan, Berlin.Howl, Caravan, Berlin.

2007Welt Bilder II, Helmhaus, Zürich.L’Europe en devenir, Centre Culturel Suisse, Paris.Cahiers d’artistes 2006-2007, Fri-Art, Fribourg.Global Cities, Tate Modern, London.

2006Swiss Art Awards, Art-Basel, Basel.Let’s Stay Alive Until Monday, Tbilisi (curated by Daniel Baumann).

2005   Wednesday Calls for the Future (curated by Daniel Bauman), N.A.C., Tbilisi.Zoom in - zoom out, Fri-Art, Fribourg.

2004Interférences – Contemporary Swiss Photography, Aarhus, Copenhagen.

2002What about 9/11 Photographers. Center for Photography, Géneve.Meyrin : 4 Photographers, Forum Meyrin, Meyrin.

PROYECTOS CURATORIALES Territoire & Paysage, N Gallery, Tbilissi (cat.)

ACTIVIDADES ACADÉMICAS Teaching position, photography department, ecal, University of Art & Design, Lausanne.

PUBLICACIONES 2009Freizeit, Berlin Schoenhauser, FCAC, Géneve, (mongraphy).

2008Stream n°1, Paris, (magazine).On the Edges of Paradise, edition fink, Zürich, (monography).Face, Géneve, (magazine).

2007Laurence Bonvin, Cahier d’artiste, Pro Hevetia, edizione Periferia, (mongraphy).Welt Bilder 2, Helmhaus, Zürich.

2006Graz Architecture Magazine, 03, Graz. Magazine XXI, Istanbul, Summer.Von General zur Glamour Girl – A Portrait of Switzerland, S.N.L. Bern (cat.).

2005DECORUM, KunstBulletin Supplemen, (contribution).

2004Flughafenkopf, Hochparterre Supplement, December  (contribution).Takeoff, Geneva School of Art Yearly Review, Artist Contribution.

2003Abstract,  (magazine).What about 9/11 Photographers. Photography Center, Géneve (cat.).Territory & Paysage (cat.).Girl’s n’ Boys, Meyrin : 4 Photographers  (cat.).Weltenblicke, Fotomuseum Winterthur (cat.), Suisse.Genève-Bruxelles, aller-retour, Saint-Gervais, Géneve (cat.).

1993Aus der Romandie, Fotomuseum Winterthur (cat.).

FORMACIÓN ACADÉMICA Graduated from the National School of Photography, Arles, France, 1991

BECAS Y PREMIOS2009South African Residency, Pro Helvetia.Ile-de-France Center for Photography Residency, Les Recollets, Paris.

2008Over 35, project grant, City of Geneva.

2007Publication, Cahier d’artiste, Pro Helvetia.Berlin Schönhauser Residency, Canton of Géneve.

2006Swiss Art Award, Basel.

2005 /2003Project grant, Cultural Affairs Department, Géneve.

2002Swiss Art Award, Basel.

2001Vordemberge-Gildewart Price, Neuchâtel. 

2000Project grant, Culture council, Sion.

OBRA EN MUSEOS Y COLECCIONES Communication Museum, Bern, Suisse.Municipal  Contemporary Art Collection, City of Géneve.Municipal  Photography Collection, City of Géneve.National Swiss Bank, Zürich.Nacional Swiss Library, Bern.André Malraux Center, Sarajevo.Private collections.

BIBLIOGRAFÍA2009Yves Rosset, De Mémoire in Freizeit, Berlin Schoenhauser, FCAC, Géneve.Gabriel Truan New Gate in Freizeit, Berlin Schoenhauser, FCAC, Géneve.Jochen Becker, Fade to Grey, Camera Austria n°115, Graz.

2008Urs Stahel, Constructed Promises in On the Edges of Paradise, edition fink, Zürich.Daniel Bauman, Gain and Loss (interview ) in On the Edges of Paradise, edition fink, Zürich.

2007Bertrand Bacqué in Laurence Bonvin, Cahier d’artiste, Pro Hevetia, edizione Periferia.Andreas Fiedler Welt Bilder 2, Helmhaus, Zürich.

2006Fatosh Üstek (interview), Magazine XXI, Istanbul.Lysianne Léchot-Hirt, What about 9/11 Photographers. Photography Center, Géneve.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (ubicación)

Días 6, 7, 20 y 21 terraza de La Casa Encendida (Ronda de Valencia nº 2)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (ubicación)

Pº de Recoletos, bulevar central.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Sierra (Cv)

MADRID, 1966 VIVE Y TRABAJA IN SITU WWW.SANTIAGO-SIERRA.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2007·    Centro Cultural Matucana (Santiago de Chile, Chile).·   Santiago Sierra, New Works. Galería Lisson (Londres, Reino Unido).  HYPERLINK "www.santiago-sierra.com/200709_1024.htm" 21 Módulos antropométricos hechos de heces humanas por la gente de SULABH international, India (Nueva Delhi/Jaipur, India).

2005–2006·    1549 Crímenes de Estado. Antiguo Edificio de la Secretaría de Relaciones Exteriores de la Plaza de las Tres Culturas (Tlatelolco, Ciudad de México).·    Himnos, Cabildo de Montevideo (Montevideo, Uruguay).·    Proyecto Caracas. Santiago Sierra, Sala Mendoza (Caracas, Venezuela).·    Concierto para Planta Eléctrica a Diésel, Salón Experimental de la Fundación Chacao (Caracas, Venezuela) ·    Submission, "Proyecto Juárez" (Ciudad de México, México). ·    Santiago Sierra, Prometeogallery (Milán, Italia).

2006·    Illumination of the space between two plains, Centro de Arte Contemporáneo de Málaga - CAC (Málaga, España).·    The Punished. Landgericht Frankfurt, Gerichtsstrasse 2, Kleinmarkthalle, Hasengasse 5-7, U-Bahn Hauptwache, S-Bahnzugang Hbhf, Deutsche Bibliothek, Adickesallee 1, Stadtbücherei, Zeil 17, Senckenberg Museum, Senckenberganlage 25, J-W.- Goethe Universität, Hauptgebäude, Senckenberganlage 31, Feria de las Bellas Artes, Messe Frankfurt Halle 9 (Francfort, Alemania).·    114 Stommeln citizens & 245 m3, Synagoge Stommeln (Alemania).·    Jewels collection. Diseñada por Chus Bures (Madrid, España).·    89 Huichols, San Andrés Jalisco (Jalisco, México).

2005·    102 Beggears, Plaza del Estudiante, 20 (México D.F.). ·    396 Women & The Corridor in the House of the People & Psychophony recordered in the House of the People, Casa del Pueblo (Bucarest, Rumanía).·    House in Mud, kestnergesellschaft (Hannover, Alemania), Maschsee-Projekt·    One person, Galleria Civica di Arte Contemporanea (Trento, Italia). ·    The visit, Colonia Polanco, Ciudad de México, Factoría Mexico/Daimler Chrysler-Mercedes Benz (Bremen, Alemania).·    Position Exanche for two dinstict, 30 metre volumes of earth. Zona Desmilitarizada entre Corea del Norte y del Sur.·    Loudspeakers. Entrada del Arsenal (Venecia).

2004·    Museum Dhondt-Dhaenens (Bélgica). ·    100 Constructions with 10 Modules and 10 Workers. Galería Peter Kilchmann (Zurich)·    Kunsthaus Bregenz (Bregenz).·    CAC Centre d'Art Contemporain de Brétigny (París).

2003·    Outdoor project, Galería Helga de Alvear (Madrid).·    Pabellón Español de la Bienal de Venecia (Venecia).

2002·    Hiring and Arrangement of 30 Workers in Relation to their Skin Color, Kunsthalle Wien (Viena).·    Space closed by corrugated metal, Part 1: Sept. 10 - Oct. 10 and Group of people facing a wall, Person facing into a corner, Part 2: Galería Lisson (Londres).·    3000 digs of 180 x 70 x 70 cm each, Fundación NMAC, Montenmedio (Cádiz, España).·    Nine forms of 100 x 100 x 600 cm each, constructed to be supported perpendicular to a wall, Deitch PROJECTS (Nueva York, EE.UU.).·    Spraying of Polyurethane over 18 People, Claudio Poleschi Arte Contemporanea (Lucca, Italia).·    The History of the Foksal Gallery Taught to an Unemployed Ukrainian. Fundación de la Galería FOKSAL (Varsovia). ·    11 People paid to learn a phrase, Project Room, ARCO'02 (Madrid). Galería Peter Kilchmann·    Person saying a Phrase. Galería IKON (Birmingham).·    Two Maraca Players, Galería Enrique Guerrero (Ciudad de México).

2001·    430 people paid 7 1/2 Soles ($ 1/2) per tour. Galería Pancho Fierro (Lima, Perú).·    Sit-In by twenty workers in the hold of a boat (Barcelona, España). ·    Banner held outside the entrance to an artfair, Art Unlimited Basel, Galería Peter Kilchmann.·    Object measuring 600 x 57 x 52 cm constructed to be held horizontally to a wall, Galería Peter Kilchmann (Zurich).

2000·    Six People who cannot be remunerated for the Staying in the interior of Cardboard Boxes, Kunstwerke (Berlín).·    Person Remunerated for a Period of 360 Consecutive Hours, P.S.1, Long Island City (Nueva York, EE.UU.). ·    12 Remunerated Workers. Galería Ace (Nueva York, EE.UU.). ·    Public transported between two points of Guatemala City, Bella de Vico Arte Contemporáneo.

1999·    Line of 250 cm tattooed over six paid persons. Espacio Aglutinador (La Habana, Cuba).·    465 Remunerated People. Gallery Seven (Ciudad de México, México).·    24 Concrete Blocks moved continuously during one working period by ten remunerated workers, Galería Ace (Los Ángeles, EE.UU.).

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN) 2007·    Plataforma Puebla 2006. Comisarios: Príamo Lozada y Bárbara Perea.

2005·    51ª Bienal de Venecia.

2004·    Arrangement of Twelve Prefabricated Parapets. Museo de Arte Herzliya (Israel).·    Bienal de Sao Paulo (Sao Paulo, Brasil).·    Bienal de Liverpool (Reino Unido).·    "Soziale Kreaturen", Wie Körper Kunst wird. Museo Sprengel (Hannover).·    "El real viaje real", Museo Patio Herreriano (Valladolid, España).

2003·    "El real viaje real", PS1, Long Island City (Nueva York, EE.UU.). ·    "fast forward", Media Art/Sammlung götz, ZKM Zentrum für Kunst und Medientechnologie, (Karlsruhe, Alemania). ·    "Terror Chic". Galería Monika Sprüth / Philomene Magers (Munich, Alemania).·    "Stretch", Galería de Arte Contemporáneo Powerplant (Toronto, Canadá).·    "Hardcore", Palais de Tokyo (París, Francia).·    "Witness - Contemporary Artists document our Time", Barbican Art, Barbican Center (Londres, Reino Unido).·    "Mexico Attacks", Associazione per L'Arte Contemporanea Prometeo (Lucca, Italia). Museo de Arte Herzliy (Herzliya, Israel).·    "M ARS - Art and War", Neue Galerie Graz am Landesmuseum Joanneum (Austria)

2002·    "20 Million Mexicans Can't be Wrong", Galería South London (Londres, Reino Unido). ·    "Centre of Attraction", 8ª Trienal Báltica de Arte Internacional, Centro de Arte Contemporáneo de Vilna (Lituania). ·    "Mexico City: An Exhibition about the Exchange Rates of Bodies and Values", P.S.1, Long Island City (Nueva York, EE.UU.).·    "Protest! Respect! - Politik als ästhetische Kategorie", Kunsthalle St. Gallen (Suiza).·    "Trans Sexual Express", ATRIUM (A Coruña, España).·    "The song of the pirate", Centro Cultural Andratx (Mallorca, España). ·    "Art & Economy", Deichtorhallen (Hamburgo, Alemania).·    "Spanish Contemporary Art", Galería de Arte Borusan (Estambul, Turquía).·    "Trans Sexual Express" (Budapest, Hungría).·    "Loop", Centro de Arte Contemporáneo P.S.1 (Long Island City, Nueva York)

2001·    "Marking the Territory". Museo Irlandés de Arte Moderno (Dublín, República de Irlanda).·    "ARS 01 - Unfolding perspectives", KIASMA (Helsinki, Finlandia).·    "Loop", Hypo Kunsthalle, Munich, Germany-travels to P.S.1 (Brooklyn, Nueva York).  ·    Person paid to remain tied down to a wooden block, "Transsexual Express", Centro de Arte Contemporáneo Santa Mónica (Barcelona, España).·    Kunsthalle Hanover (Alemania). ·    49ª Bienal de Venecia (Venecia, Italia).·    Trienal de Barcelona (Barcelona, España).·    "Artistas Latinoamericanos" (Salvador de Bahía, Brasil).

2000·    "Latin America", Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía (Madrid, España). ·    "PICAF Living the Islands" (Pusan, República de Corea del Sur).·    "A shot in a head". Galería Lisson (Londres, Reino Unido).·    "EV. A 2000, Friends and Neighbours. The 4th Biennial invited ev. a.", (Limerick, Irlanda).

1999·    Concentration of Illegal Workers, BF 15 Gallerys' Stand, FIAC (París, Francia).·    "No Title" (Guatemala)·    "Representar/Intervenir", X-Teresa Arte Actual (Ciudad de México).·    "Parada continua/Frequent Stops", Museo Carrillo Gil (Ciudad de México).

1998·    "Made in Mexico made in Venezuela", Galería Art Metropole (Toronto, Canadá).·    "Cambio II", Galería Sandra Gehring (Nueva York, EE.UU.). ·    "Después del cuerpo", Galería 127 (Ciudad de México).

PUBLICACIONES ·    Santiago Sierra, 7 Trabajos/7 Works, Galería Lisson (Londres, Reino Unido). Noviembre de 2007. Textos de Pilar Villela, Mariana David, Javier San Martín y Taiyana Pimentel·    Santiago Sierra. Textos de Fabbio Cavallucci y Carlos Jiménez. Publicado con ocasión del proyecto especial Una Persona, Galleria Civica di Arte Contemporanea (Trento, Italia).·    Santiago Sierra, Spanish Pavilion. 50ª Bienal de Venecia (Venecia, Italia).·    Santiago Sierra, Kunsthalle Wien, (Viena, Austria). Marzo de 2002. Entrevista de Gabriele Mackert·    Santiago Sierra. Espreado de poliuretano sobre 18 personas, Claudio Poleschi Arte Contemporanea. (Lucca, Italia). Marzo de 2002. Texto de Pier Luigi Tazzi.·    Santiago Sierra. Works 2002-1990, Galería IKON (Birmingham, Reino Unido). Febrero de 2002. Texto de Katya García-Antón·    Santiago Sierra, Galerie Peter Kilchmann (Zürich, Suiza). Marzo de 2001. Texto de Taiyana Pimentel

BIBLIOGRAFÍA (SELECCIÓN)2003·    Interviews, Kunsthalle Wien, Triton Verlag, (Viena, Austria). Entrevista de Gerald Matt·    Hardcore - Vers un nouvel activisme, Palais de Tokyo, Éditions Cercle D'Art (París, Francia). Entrevista de Jérôme Sans·    Witness, Barbican Art Center (Londres, Reino Unido). ·    Mexico Attacks!, Chiesa di San Matteo, Associazione Promoteo per l´Arte Contemporanea (Lucca, Italia) ·    M_ARS. Art and War, Neue Galerie Graz (Graz, Austria).

2002·    Zivot umjetnosti, Institut za povijest umjetnosti, (Zagreb, Croacia). Entrevista de Ivana Keser.·    Comer o no comer, Centro de Arte de Salamanca (Salamanca, España). Texto de Carlos Jiménez ·    Otredad y mismidad, Espacio Anexo a la Galería de Arte Contemporáneo y Diseño (Puebla, México). Texto de Ana María Guasch. ·    20 Million Mexicans Can´t Be Wrong, South London Gallery. (Londres, Reino Unido). Texto de Cuauhtémoc Medina·    Mexico City: an Exhibition about the Exchange Rates of Bodies and Values, P.S.1 Contemporary Art Center (Nueva York, EE.UU.).·    Art & Economy, Deichtorhallen Hamburg. Hatje Cantz Verlag. (Ostfildern, Alemania). Texto de Claudia Spinelli·    The Hall of Lost Steps, Borusan Kültur ve Sanat (Estambul, Turquía). Texto de Rosa Martínez.

2001·    Angst, Kokerei Zollverein (Essen, Alemania). ·    Santiago Sierra. 430 personas remuneradas por 7.5 soles la hora, Galería Pancho Fierro, Centro de Artes Visuales (Lima, Perú). Texto de Juan Peralta·    Políticas de la diferencia. Arte Iberoamericano de fin de siglo (Valencia, España - Pernambuco- Recife, Brasil): Consell General del Consorci de Museus de la Comunitat Valenciana-Governo do Estado de Pernambuco. Centro de Convenciones de Pernambuco. Texto de Cuauhtémoc Medina. ·    ARS 01-Unfolding Perspectives, Museum of Contemporary Art Kiasma (Helsinki, Finlandia).·    Pay Attention Please, Museo d'Arte Provincia di Nuoro (Olbia, Italia).·    Trans Sexual Express: A Classic for the Third Millennium, Centre d'Art Santa Mònica (Barcelona, España). Texto de Taiyana Pimentel·    Comunicación entre las artes. I Bienal de Valencia, Generalitat Valenciana (Valencia, España).·    Plateau of Humankind. 49 Biennale di Venezia (Venecia, Italia). Texto de Taiyana Pimentel.·    Neue Welt, Frankfurter Kunstverein (Francfort, Alemania).

2000·    No es sólo lo que ves: pervirtiendo el minimalismo, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía (Madrid, España). Texto de Taiyana Pimentel.·    Leaving the Island, Pusan International Contemporary Art Festival (Pusan, Corea).·    Puerto Rico '00 [Paréntesis en la ciudad], M&M proyectos, San Juan de Puerto Rico (Puerto Rico)

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. HUERT-O-BUS (ubicación)

Lunes: descanso

Martes: Plaza de la Pilarica, Usera.

Miércoles: Plaza Soledad Torres Acosta (Cines Luna). CANCELADO

Jueves: Plaza de Agustín Lara, Lavapiés (frente a las Escuelas Pías).

Viernes: Plaza de la Remonta, Tetuán.

Sábados y domingos: Jardines del Descubrimiento (Plaza de Colón)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (ubicación)

Diario Público

Espacio 28004 (C/ Marqués de Santa Ana nº 4)

INFOMAB (Pº de Recoletos, bulevar central)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Sierra. BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA (ubicación)

 

Difusión de carteles en zona centro y LavapiésPresentación en el Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía Salón de actos del edificio Sabatini

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis (Cv)

FUNDADO EN 1999 EN MADRID VIVEN Y TRABAJAN EN MADRIDWWW.TODOPORLAPRAXIS.COMWWW.SPECULATOR.ESWWW.EMPTYWORLD.ESOBRA EN MADRID ABIERTO: SPECULATOR + EMPTY WORLD

PROYECTOS2007·    Mausoleo. Pegatinas-intervención. Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid.·    Geto Sur. Diseño de pegatinas. Intervención en el metro de Madrid.·    Atentado Semiótico. Señales circulación. Intervención en el espacio público mediante la introducción de una nueva señalética. Centro de Nuevos Creadores de la Comunidad de Madrid

2005·    Los 5 puntos. Intervención mediante pegada de carteles. Barrio de Chueca, Madrid·    Atentado Semiótico. Escenografía Pasarela Cibeles para el diseñador Antonio Alvarado, Madrid

2004·    Moskea. Diseño de cartelería-folleto publicitario. Intervención y pegada de carteles. Barrio de Lavapiés, Madrid·    El Mundo es Azul. Diseño de carteles. Intervención en cabinas telefónicas. Plaza de España, Madrid.·    Calle Espíritu Santo. Intervención mediante plantillismo en la Calle Espíritu Santo, Madrid

2003·    Zona de Estacionamiento Privado y Controlado. Intervención en señalética. Madrid·    Propiedad Privada Prohibido el Paso. Intervención en la demarcación de aparcamiento de estacionamiento regulado. Barrio de Malasaña, Madrid·    Parking Privado en Espacio Público. Pegatinas. Intervención en parquímetros de la zona de estacionamiento regulado. Barrio de Malasaña, Madrid·    Iconos Des-estructurados. Intervención mediante la superposición de pasamontañas sobre esculturas ya existentes. Barrio de Malasaña, Madrid·    PornoStars. Valla Publicitaria. Madrid·    Restaurant. Pegatinas-Intervención en contenedores de basura. Barrio de Lavapiés, Madrid ·    Matar puede Matar. Semióticas portátiles. Diseño de camisetas·    ¿Cuánto Cuestas? Sello de caucho. Impresión en billetes de libre circulación·    Atentado Semiótico. Señales circulación. Intervención en el espacio público mediante la introducción de una nueva señalética. Barrio de Malasaña, Plaza de Colón y Conde Duque, Madrid

CONCURSOS Y PREMIOS·    2004. Premio en el XV Edición Circuitos de artes plásticas y fotografía de la Comunidad de Madrid. Exposición: Centro de Arte Joven de la Comunidad de Madrid, Centro Cultural la Asunción. Albacete, Centro Cultural Alcalá de Henares, Madrid

IDEACIÓN Y COORDINACIÓN DE ACTIVIDADES CULTURALES·    Jornadas sobre trabajo y Cultura 2, Universitat Politécnica de Catalunya. Participantes: Joseph Ferrer I Llop (Rector), Miguel Riera (Editor y escritor), Xavier Marce (Director de l´Institut d´inducstries Culturals de la Generalitat), José Maria Ripalda (Filósofo Político y escritor), Iván de la Nuez (Director de programación de la Virreina y escritor), entre otros, noviembre 2004·    Jornadas sobre trabajo y cultura 1, Universidad Complutense de Madrid. Participantes: Belén Gopegui (escritora), Juan Ramón Capella (Filósofo Político y escritor), Higinio Polo (escritor), Juan Carlos Rodríguez (Filósofo y escritor) Carlos Prieto del Campo (director Akal Antagonismos), Vicente Romano (escritor), entre otros, junio 2004·    WorkShop. Espacio Público 1; Prácticas artísticas de oposición y praxis política. Galería El ojo Atómico Madrid. Participantes: Diego Peris Sánchez (Arquitecto), Francisco  Martínez (Filósofo), Teresa Arenillas (Urbanista), La fiambrera obrera (Colectivo de artistas)·    Jornadas Modelos de Ciudad: Urbanismo y práctica política transformadora. Colegio de Arquitectos de Bilbao. Paticipantes: Javier Navascués, Iñaki Uriarte, Jordi Borja y Fernando Urrikoetxea

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR + EMPTY WORLD (ubicación)

 

Speculator. Pº de Recoletos, bulevar central, junto a Plaza de Colón.Empty World. Liquidación Total, C/ San Vicente Ferrer Nº 23Del 7 de febrero al 3 de marzo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (ubicación)

Pº de Recoletos, bulevar central junto a Plaza de la Cibeles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda (Cv)

SEVILLA, 1971 VIVE Y TRABAJA EN SEVILLAWWW.RECETASURBANAS.NETOBRA EN MADRID ABIERTO: CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA

Arquitecto. Desarrolla proyectos de subversión en distintos ámbitos de la realidad urbana. Actualmente involucrado en proyectos de autoconstrucción en varias ciudades españolas, donde grupos de ciudadanos deciden generar sus propios espacios urbanos.

FORMACIÓN·    Licenciado en arquitectura por la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Sevilla.

PROYECTOS SITUACIONALES. PRÓTESIS URBANAS2007·    Creación e instalación de mobiliario alegal. Vigo-Madrid·    Reutilización y tuneado de 45 contenedores de vivienda  para colectivos sociales·    Rehabilitación de Poblado Chabolista en As Rañas. La Coruña·    Cooperativa Ci-Arte. Sevilla·    Corte de Carretera. Proyecto en el territorio. El Cotillo, Fuerteventura·    Viviendas alegales contratadas en cubiertas comunitarias

2006·    Estudios en Alquiler en la cubierta de la Escuela Arte 4.Vivero de Empresas. Madrid·    Urbanización de 5000 m2 sobre cubierta no transitable. Mixart-Myrys.  Toulouse, Francia·    Casa del Tilo. Lacorzana, Álava·    35 viviendas para jóvenes en alquiler. Proyecto de gestión social. Basauri, Vizcaya·    Memorial víctimas de la guerra civil Málaga 1937 junto a Rogelio López Cuenca

2006–2005·    Desmontaje y Montaje. Aula Abierta. Granada

2005·    Aularios Trinchera Autoconstruidos. Facultad de Bellas Artes de Málaga·    Sábanas Rígidas. Viviendas camufladas·    Edificio desmontable. Viviendas unipersonales. Ocupación de solar en Barcelona·    Prótesis institucional. Ampliación del Centro de Arte Contemporáneo de Castellón, ESPAI

2004·    Apertura de solares con equipamiento público. Sevilla

2003·    Proyecto de centro de artes Visuales. Arquitectura autómata. Sevilla

2002·    Ocupación de solares con arquitectura mobiliaria. Sevilla-Madrid

2001·    Proyecto de refugios para excursionistas en los Toros de Osborne·    Ocupación de árboles. Casa-insecto, la estrategia de la garrapata

2000·    Casa-cartel con túneles. Plaza de la Mina, Cádiz·    Vivienda ilegal en el casco histórico (sistema de protección de testigos)·    Vivienda de 5 plantas insertada en bloque de 7 plantas. Propuesta Horizontal degenerada

1999·    Vivienda-Proyector. Estación de autobuses urbanos. El Puerto de Santa María, Cádiz·    Cápsula 1.S.C. Pabellón de Finlandia. Expo'92. Sevilla·    1998-2001·    Tiendas 13. (Células habitables). Sevilla; Cádiz; Granada; Córdoba

1997·    Calle San Luis (Instalación contenedor  S.C.). Sevilla·    Plaza de San Marcos (Ocupación de andamiaje).Sevilla·    Calle Divina Pastora (Habitación en andamio).Sevilla

1996·    Barrio de San Bernardo (Proyectar con Luces. Cesión vecinal de energía). Sevilla

EXPOSICIONES E INSTALACIONES2007·    Sueño de Casa Propia. Ginebra, Suiza·    Bienal de Arquitectura de Rótterdam, Holanda·    Proyecto de casa ilegal. Fundación Borgovico 33, Como, Italia·    Urban Reanimations and the minimal intervention. Swiss Arch Museum, Basilea, Suiza·    Civil Disovediencie: the work of Santiago Cirugeda. NYIT, Nueva York, EE.UU.

2006·    Sector Sur. Instituto Aberroes, Córdoba·    Galería AD-Hoc, Vigo·    SPAM city. Museo de Arte Contemporáneo, Santiago de Chile·    5ª Bienal d´Art Leandro Cristòfol, Lleida·    Confusión Project. Project 133. Londres·    Memorial Málaga 1937. ARCO'06, Madrid

2005·    Galería ADN, Barcelona·    1ª Bienal de Arte Contemporáneo de Moscú, Rusia

2004·    Intrusiones. Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Sevilla

2003·    MAD.03. Encuentros de arte experimental, Madrid·    Crossroads of n°11 creation, Design and habitats. Centro George Pompidou, París, Francia·    Urban Drift. Transformers. Berlín, Alemania·    UTOPIA STATION. 50ª Mostra di Arte. Biennale di Venecia, Italia·    The TENT. Bienal de Arquitectura de Rótterdam, Holanda

2002·    Legal-Space-Public. Établissement d´en face. Bruselas, Bélgica·    CAPITAL CONFORT. Alcorcón, Madrid·    MANIFIESTA 4. Research Room. Frankfurt, Alemania·    Colectivos y Asociados. Casa de América, INJUVE, Madrid·    Generación 2002. Caja Madrid, Madrid; Barcelona; Sevilla·    Cambio Climático. 1.1. Ministerio de Fomento . D.G.V.A.U. Madrid·    Living in Motion. Vitra Design Museum. Berlín, Alemania; Milán, Italia; Lisboa·    Portugal ; Londres, Gran Bretaña

2001·    ESPAÑA 1:1. Orden de los Arquitectos de Lisboa, Portugal·    METAPOLIS  Nº3,  Barcelona, octubre·    Second Architectural Market EME-3. Centre de Cultura Contemporánea de Barcelona·    IDENSITAT. Calaf art public. Centre de Cultura Contemporánea de Barcelona·    UTOPIA NOW. California College of the Arts de San Francisco y Sonoma County Museum. Los Ángeles. EE.UU.·    ARCHILAB .3.  Orleáns, Francia·    Exposición "MRGNC". Caja de San Fernando, Sevilla; Badajoz; Cádiz

2000·    METAPOLIS 2.0. Barcelona, junio·    Expo "Diseño Industrial  Andalucía".D.G.A.V. Junta de Andalucía. Sevilla·    1ª Convocatoria; Vínculos al tiempo". Ministerio de Fomento. D.G.V.A.U. Madrid

1999·    First Architectural Market. EME-3.  Barcelona·    Acción nº4 La Casita. Ciclo de Acciones. Ministerio de Fomento. D.G.V.A.U. Madrid·    Equilibrios, Casitas. Exposición. Galería Antoni Pinyol, Reus, Tarragona

1999–1995·    Instalación habitable .Pabellón de Finlandia. FIDAS \ COAAO. Sevilla

1998·    Video-work para Arts on the edge. Academy of performing Arts, Perth, Australia·    The City, Space + Globalization exhibition. University of Michigan. College of Architecture and Urban Planning. Slusser Gallery. Ann Arbor, Michigan, EE.UU.

1998–1997·    Museo S.C. Puente del Alamillo, Sevilla (denegado)

1997·    Jornadas Urbanísticas en el Barrio de San Bernardo. Diputación Provincial de Sevilla

1996·    Instancias .Centro Cívico Casa de las Columnas, Sevilla

1995·    Das Letzte Haus. The last house. Haus der Architektur. Graz, Austria

1993 ·    Contaminación. Vivienda unifamiliar. Sevilla

ARTÍCULOS Y PUBLICACIONES·    "Superuse", Recyclicity Fondation. Rótterdam, febrero, 2007·    Virus. Lisboa·    Mark Magazine, Ámsterdam, enero, 2007·    "Situaciones Urbanas", Edit. Tenor, enero, 2007·    "Arquitectura del Siglo XXI, más allá de Kioto", Madrid, enero, 2007·    "APTM.30m2", Actar, Barcelona, 2006·    SPAM arqu, nº 2. Santiago de Chile. Octubre 2006·    IMPASE, Lleida, nº 6, marzo, 2006·    Architecture in Spain, Taschen, noviembre, 2006·    Progettare, Milán, septiembre, 2005·    A10, Ámsterdam, Nº5, julio, 2005·    Magazine Archis, Ámsterdam, Nº2, julio, 2005·    Rooftop Architecture, NAI publishers·    Pasajes de Arquitectura y Crítica, Nº 86, abril 2005·    CASABASIC, Valencia, junio, 2005·    EXIT, abril, 2005·    "Arquitectura Portátil", Structure, 2005·    "TREE HOUSES", Pageone, 2005·    "VIA Construcción", Barcelona, Julio, 2004·    "MOVE HOUSE", Prestel, Londres, 2004·    OVIZINE. 3, Bilbao, 2004·    ZEHAR, Arteleku, San Sebastián, Nº52, enero, 2004·    Pasajes de Arquitectura y Crítica, Nº 53 y Nº 54, enero/febrero, 2004·    Blank, Madrid, octubre, 2003·    PAPERS D´ART, Gerona, Nº 85, 2003·    Clone, Sevilla, Nº 05, noviembre, 2003·    EIS, Madrid, octubre, 2003 ·    SUBLIME, Gijón, Nº 10, octubre, 2003·    LAPIZ, Madrid, Nº 184, junio, 2002·    LAPIZ, Madrid, Nº 194, septiembre, 2003·    NEUTRA. 09-10 .COAS, Sevilla, septiembre, 2003·    SCALAE, Barcelona, Nº 2, septiembre, 2003·    IDENSITAT 2, Calaf-Barcelona, CCCB, Barcelona, 2003·    Generación 2002, Caja Madrid, Madrid, enero, 2003·    B-guided, Barcelona, diciembre, 2002·    Living in Motion, Vitra Design Museum, Berlín, 2002·    Pasajes de Arquitectura y crítica, Madrid, Nº 53, Nº54 y Nº 66·    ABITARE, Italia, diciembre, 2002·    El interior de la arquitectura, Chile, 2002·    ¿Qué hago yo aquí?, Madrid, Nº 2, 2002·    PISO. Revista de Arquitectura, México, 2002·    Colectivos y Asociados, INJUVE, Madrid, 2002·    TRANSVERSAL, Barcelona, septiembre, 2002·    Diseño interior, Madrid, septiembre, 2002·    AGGLUTINATIONS, Nueva York, Nº 1, junio, 2002·    "Cambio Climático. 1.1". Ministerio de Fomento, D.G.V.A.U., Madrid, 2002·    ARCH +, Berlín·    NADAES, Revista de arte, Cádiz, noviembre, 2001·    VERB,. Actar, Barcelona, Nº 1, noviembre, 2001·    ROJO, Barcelona, Nº 2, octubre, 2001·    "International Ateliers of Alsace and Lorraine", ACTE, Phalbourg, noviembre 2001·    "UTOPIA NOW", CCAC: California College of Arts and Crafts, San Francisco, 2001·    ARCHITECTUR AKTUELL, Austria, Nº7, Nº8, julio/agosto, 2001·    Diccionario de Arquitectura Avanzada, Actar, septiembre, 2001·    WERK, BAU+WOHNEN, Suiza, mayo, 2001·    ARCHILAB 3, Orleans, Francia, mayo, 2001·    NEO2, Nº 17, mayo, 2001·    MRGNC. Caja de San Fernando, Sevilla, marzo, 2001·    Pasajes de crítica y arquitectura, Nº 26, Nº 30·    INSITU, Oporto, Nº 1, marzo, 2001·    CONSTRUCTIVA, Barcelona,  Nº 4, Nº 6, diciembre, 2000·    FIDAS del COAAOC, Sevilla, febrero/septiembre/octubre, 2000·    "CONVOCATORIA", Ministerio de Fomento, D.G.V.A.U., Madrid, noviembre, 2000·    METÁPOLIS  2.0, Actar, Barcelona, julio, 2000·    Piezas de Autor. 1920-1999, Diseño Industrial de Andalucía Junta de Andalucía, mayo, 2000·    Fisuras de la cultura contemporánea, febrero, N° 8, 2000·    QUADERNS, N° 244, febrero, 2000·    SUBURBAN, Sevilla, Nº2, 1999·    Acciones, Ministerio de Fomento, N° 4, mayo, 1999·    FIDAS del COAAOc, enero, 1999·    Pasajes de crítica y arquitectura, Nº 2, Nº 3, Nº 4, Nº 6, Nº 12, Nº 26, Nº 30, diciembre 1998, enero/febrero/abril/diciembre 1999, abril/octubre 2001·    Mi-5, Nº 1, diciembre, 1997·    "La última casa", Austria, Steirisher Herbst, 1995

CONFERENCIAS (SELECCIÓN)·    "Sobre cultura Contemporánea", Taller de Verano, Almería, julio 2007·    "Otras maneras de hacer ciudad: alternativas a la globalización", UIMP, Santander, julio 2007·    Encuentro de Arte Contemporáneo MED07, Medellín, mayo 2007·    "Intramuros" Lecture series and Workshop, PBSA-FH, Dusseldorf, noviembre 2006·    "Vivienda asequible" Seminario, CCCB Barcelona, noviembre 2006·    "La Vivienda del Siglo XXI", Cursos Verano UPM La Granja de San Ildefonso,  julio 2006·    "Los Jóvenes y la Vivienda". FORO CIVITAS NOVA 2006, Guadalajara, marzo 2006·    "Arquitectura del Siglo XXI, más allá de Kioto", 2ª Jornada de Sostenibilidad, Madrid, febrero 2006·    HOUSING IS BACK. Simposio, Munich, enero 2006·    "Ciudades en (re)construcción" Curso Diputación de Barcelona, diciembre 2005·    "Danza y Arquitectura". UPC, Barcelona, mayo 2005·    COAM, Madrid, abril 2005·    ARCHITAXI, Granada, febrero 2005·    Colegio de Arquitectos de Castellón, marzo 2005·    Fundacione Querini Stampalia, Venecia, septiembre 2004·    "Arte Público en España", Fondazione Adriano Olivetti, Roma, 2004·    "Participación Ciudadana", C.O.A., Ciudad Real, 2004·    Jornadas sobre patrimonio, C.O.A., Toledo, 2004·    PERIFERIAK, Bilbao, 2004·    Architecture in Migration, Colonia, 2004·    "LABITACIONES", Arteleku, San Sebastián, 2003·    "Urban Drift", Transformers, Berlín, 2003·    Fundación de Estudios Superiores, Olot, Gerona, 2003·    "The Tent", Rótterdam, Holanda, 2003·    Escuela de Arquitectura de Oporto, Portugal, 2003·    Barraca Barcelona, FAD, Barcelona, 2002·    Escuela de Arquitectura, Universidad Javeriana, Bogotá, 2002·    Escuela Superior de Arquitectura de Sevilla, 2002·    Escuela de Diseño Elisava, Barcelona, 2002·    "Legal-Space-Public", Établissement d´en face, Bruselas, 2002·    Escuela de arquitectura de Alicante, mayo 2002·    ESDI. Sabadell, noviembre 2001·    Facultad de Arquitectura, Universidad Técnica de Lisboa, 2001·    "Un espacio para el arte", Andanza, Sevilla, 2001·    ARCHILAB .3, Orleans, Francia, 2001·    Máster "Habitat: vivienda y entorno contemporáneos", ESARQ, Barcelona, 2001·    ETSA Granada, Universidad de Granada, 2000·    Máster "Metrópolis 8", Centro de Cultura Contemporánea de Barcelona UPC, 2000·    Facultad de Arquitectura, Universidad Técnica de Lisboa, 2000·    First Architectural Market, Eme -3, Barcelona, 1999·    Forum "No Homologado" ESARQ, Barcelona, 1999·    ETSAV, Universidad de San Cugat del Vallés, Barcelona, 1999·    Nuevas tendencias en la Docencia, Fidas.COAAOc, Sevilla, 1998·    Seminario "Intervenir La Ciudad" Instituto del teatro, Sevilla, 1998·    Arts on the edge Conference", Academy of performing Arts, Perth, Australia, 1997

DOCENCIA·    Taller Arpafil, FIL de Guadalajara, México, noviembre 2006·    Semana de Arquitectura. Habitares; Chapultepec. México D.F., octubre 2006·    EUTOPÍA. Encuentro de jóvenes creadores, Córdoba, septiembre 2006·    Taller de arte y arquitectura. Cooperación Internacional de España, Panamá, agosto 2006·    Taller Internacional Intersekzi, Bilbaoarte, Bilbao julio 2006·    Taller "Sevilla aérea, huyendo de la especulación", CACC, junio 2006·    Taller Danza y Arquitectura. "Catedrales", ENDANZA, Sevilla, marzo 2006·    Taller de Investigación, Foro BARRIADAS, Sevilla, 2006·    Taller internacional "Cartagena de Indias", Universidad de los Andes, Colombia, julio 2005·    Dirección taller AULA ABIERTA, Facultad de Bellas Artes, Granada, marzo 2005·    Máster "Arquitectura y Espacios Efímeros", UPC, Barcelona, 2004-2005·    Taller "La subversión del Espacio público", CAAC, Sevilla 2004·    Taller "Situaciones urbanas", Centro cultural de España, Montevideo, Uruguay, 2003·    Seminario "La metrópolis Contemporánea", Círculo de Bellas Artes, Madrid, 2003·    Tratamiento de Centros Históricos, C.O.A., Castilla la Mancha, Toledo, 2003·    "Labitaciones", Taller Arteleku, San Sebastián, 2003·    Taller "Dripping shit. Estrategias urbanas", PERIFERIADOS, Gijón, 2003·    "BARRACA BCN", Taller Barcelona, 2003·    Dirección Workshop "Construir en lo Construido 2", Escuela LAI, Barcelona, 2003·    Dirección Workshop, "Maestría de planeamiento urbano", Bogotá, 2002·    Dirección Workshop "Construir en lo Construido", ESARQ. UIC., Barcelona, 2002·    Máster "Diseño y Espacio Público", ELISAVA, Barcelona, 2002, 2004, 2005 y 2006·    Coodirección del curso "Danza Vertical-Danza Arquitectura" con Geneviéve Mazin, ENDANZA, Sevilla

1999·    FIDAS, COAAOc, Instituto Andaluz de Teatro, Escuela de Escenografía, Sevilla, 1999·    Dirección del curso "Intervenciones urbanas. Un lugar desde la Institución"·    Dirección del curso "Dripping shit. Arte Público", Instituto Andaluz de Teatro·    Escenografía, Sevilla, 1998·    Escuela de Escenografía, Sevilla, 1997·    Dirección del curso "Situacionales urbanos. Arte Público", Instituto Andaluz de Teatro

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (ubicación)

 

Visitas guiadas: 7 de febrero a las 13.30 h. y 17.00 h. y del 11 al 18 de febrero a las 12.00 h. y 17.00 h. Salida: Plaza de Neptuno. Zona de aparcamientos.www.lahostiafinearts.es

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Jota Castro. NO MORE NO LESS + LA HUCHA DE LOS INCAS (ubicación)

 

No more no less. Difusión de carteles en zona centro y Lavapiés.La hucha de los Incas. Obra retirada por el artista.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (Cv)

FUNDADO EN MADRID VIVEN Y TRABAJAN EN MADRIDPROYECTO ARTÍSTICO DE COLABORACIÓN SIN MARGEN DEFINIDO NI COLOR.EN CADA OCASIÓN PUEDE ESTAR FORMADO POR DIFERENTES PERSONAS.WWW.LAHOSTIAFINEARTS.ESOBRA EN MADRID ABIERTO: EXPLORANDO USERA

PERFORMANCES2007·    Una performance con futuro. Performas. Centro de Arte Moderno. Madrid·    Drawing Gibraltar. Off Limits. Madrid·    Eventos: Videoperformances e intervenciones de videoperformances. Presentado en EDITA 07, Punta Umbría y MAD 07 ACCIÓN, Círculo de Bellas Artes, Madrid·    Benidorm. Entresijos y Gallinejas. Centre d'Art Santa Mònica. Barcelona

2006·    Incidencia... Performas. Centro de Arte Moderno. Madrid·    Benidorm. De Fijo a Móvil Madrid; EFTI. Galería Tercer Espacio. Madrid

2005·    Picnic. The Art Palace. Madrid·    Desfile. Ven y Vino. Madrid·    Historias de Madrid. Madrid Abierto. Mención

2002·    Spitting Image. El Papel del Papel. Galería Moriarty. Madrid·    Passport. COSLART. Coslada. Madrid

2001·    El baile de mi Tani. Érase una vez... Lavapiés. Madrid

1999·    Venta El Tigre. Espacios Cruzados. Universidad Autónoma. Madrid·    Venta El Tigre. La Ciudad y la Tierra. Cruce. Madrid

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (ubicación)

Fachada de la Casa de América

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (dossier de prensa)

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (dossier de prensa)

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2008. Guillaume Ségur. WELCOME ON BOARD (ubicación)

Pº de la Castellana esquina C/ Goya, frente a Plaza de Colón

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Jota Castro (Cv)

PERÚ VIVE Y TRABAJA EN BRUXELLESWWW.JOTACASTRO.EUOBRA EN MADRID ABIERTO: NO LESS + LA HUCHA DE LOS INCAS

Utiliza la fotografía, la escultura, el vídeo y los montajes para hablar de cuestiones sociales. Es Editor Asesor de Janus Magazine, de Bélgica, y de Nolens Volens, de España. Su obra se ha expuesto ampliamente en todo el mundo. Ha participado en las bienales de Venecia, Tirana, Praga y Kwangju. En 2004 obtuvo el Premio de la Bienal de Gwandju (Corea).

EXPOSICIONES INDIVIDUALES RECIENTES  2008·    Sleep tight, Elaine Levy Project (Bruselas, Bélgica).

2007·    Enjoy your travel, Galería Umberto Di Marino (Nápoles, Italia). ·    2006·    No More No less, Galería Oliva Arauna (Madrid, España).·    Row window, Museo Kiasma (Helsinki, Finlandia). ·    Born to be alive, Elaine Levy Project (Bruselas, Bélgica).

2005·    Exposition universelle 1, Palais de Tokio (París, Francia)  ·    Taking part, Sterdelijk Museum's - Hertegenosch (Países Bajos).  ·    Introduction to Jota Castro, Galería Uplands (Melbourne, Australia).

EXPOSICIONES COLECTIVAS RECIENTES 2008·    Art in the life World (Dublín, Irlanda).·    Arte e Omosessualità (Florencia, Italia). ·    Fate Presto (Salerno, Italia).

2008–2007·    Informacion Contra Informacion, CGAC (España).·    2007·    We are your future, Bienal de Moscú. ·    Construyendo el mundo, Marco Museo de Arte Contemporáneo de ·    Monterrey (México). ·    Confine, MAN - Museo di arte di Nuoro (Cerdeña, Italia).

2006·    Ars06, Kiasma (Helsinki, Finlandia).·    Bienal de Tirana (Albania).

2004·    Bienal de Kwangju (Corea).

2003·    50ª Bienal de Venecia.

PREMIOS ·    Premio de la Bienal de Gwandju (Corea), 2004.·    Premio Joven Poeta Peruano, 1983

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, LA RAMPA EN VEDADO, HABANA, CUBA, 2006

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, LA RAMPA EN VEDADO, HABANA, CUBA, 2006

 

       

       

      

        

        

        

LA RAMPA EN VEDADO, HABANA, CUBA, 2006Documentación de la intervención en La Habana como artistas invitados a la Novena Bienal de la HabanaCon el patrocinio de CONACULTA, SRE y Embajada de México en Cuba

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (ubicación)

 

Videointervenciones en distintos puntos de la ciudad Exposición Casa de Muñecas, Casa de Américawww.fllanos.com/vi_video

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL. EXPOSICIÓN MUCA-Roma, 2004

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL. EXPOSICIÓN MUCA-Roma, 2004

 

      

      

         

        

EXPOSICIÓN MUCA-Roma, 2004En el Museo Universitario de Ciencias y Arte (MUCA-Roma)(www.facebook.com/muca.roma)México City

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. PROPORSAL NR 19 + GIFT (ubicación)

Pº de Recoletos, Bulevar central

Proporsall Nº19 del 7 DE Febrero al 2 DE Marzo  

Gift (performance) 7 de Febrero, 12:00 H

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats (Cv)

SANTIAGO DE CHILE, 1967 VIVE Y TRABAJA EN BARCELONA WWW.FERNANDOPRATS.CLOBRA EN MADRID ABIERTO: GRAN SUR

FORMACIÓN1997–2000·    Estudios de Postgrado en Universidad de Barcelona. Grado de Magíster1996·    Licenciado en arte, Universidad de Chile, Santiago de Chile1990–1993·    Graduado especialidad pintura, Escola Massana Barcelona

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Peregrinatio, Tríptico en dinamismo, Sagunto, Valencia·    Natura Naturans, Galería Álvaro Alcázar, Madrid

2006·    Basho: la región salvaje. Jornadas Alois M. Hass 2006, Mística y pensamiento contemporáneo, Universidad Pompeu y Fabre, Barcelona

2005·    Affatus, Galería Joan Prats Artgrafic, Barcelona

2004·    Del Cardener a la Antártica, Instalación Hall Central y Sala Matta, Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago de Chile

2003·    Pou de Llum, Centre Cultural El Casino, Manresa, Barcelona·    Hacia el Polo Sur, Kunst-Station Sankt Peter Köln, Alemania

2002·    Desahogo, Galería Joan Prats Artgrafic, Barcelona·    Congelación, acción de arte realizada en el Continente Antártico chileno. De la obra Del Cardener a la Antártica, Chile

2001·    Pathografías, Galería Animal, Santiago de Chile

2000·    New Art Barcelona, Galería Joan Prats, Barcelona·    Deambulatoris, intervención en la Catedral de Vic, Barcelona

1999·    Synaisthesis Substantiae, Galería Joan Prats Artgráfic, Barcelona

1997·    Anástasis, Intervención Espacio Eclesial Iglesia de la Providencia, Santiago de Chile

1996·    Obra reciente, Galería Antonio de Bartola, Barcelona

1995·    Cripta, Cicle Pandemónium. Espai 13, Fundaciò Joan Miró, Centre ·    d´estudis d`art Contemporani, Barcelona

1994·    Serie Exordio y crucifixión, Galería Antonio de Bartola, Barcelona

1993·    Serie Exordio y crucifixión, Centre Civic Sant Andreu, Barcelona

EXPOSICIONES COLECTIVAS2007·    ARCO’07, Galería Joan Prats, Barcelona

2006·    ARCO’06, Galería Joan Prats, Barcelona

2002·    Transfiguració, Galería Joan Prats Artgráfic, Barcelona·    Tempus Fugit, Galería LLucia Homs, Barcelona

2001·    Mirada en Viaje, Centro de Arte Santa Mónica, Barcelona

2000·    Art i Religió. Iconografía cristiana contemporánea, Galería LLucia Homs, Barcelona·    Chile 100 años. Artes Visuales. Tercer periodo. Transferencia y Densidad en el campo plástico Chileno (1973 - 2000). Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago de Chile·    Art Cologne´00, Galería Joan Prats, Colonia, Alemania

1999·    Art Cologne´99, Galería Joan Prats, Galería Metropolitana de Barcelona, Colonia, Alemania

1998·    Pasaje de ida, Galería Antonio de Barnola, Barcelona·    ARCO’98, Galería Metropolitana de Barcelona

1997·    Art Forum’97, Galería Antonio Bartola, Berlín, Alemania

1996·    Puente Aéreo tres, Museo Moderno, Buenos Aires, Argentina·    ARCO’96, Galería Antonio Bartola, Barcelona ·    Colecció testimoni, Fundació La Caixa, Barcelona·    Expanded Collage, Galería Antonio Bartola, Barcelona

1995·    ARCO’95, Galería Antonio Barnola, Barcelona·    Desplacaments D`Impermanència, Espais D`Arts Contemporani.Girona, España·    Biennal D`Art Ciutat D`Amposta, Barcelona

1994·    XI Biennal Internacional de Arte Iberoamericana, Valparaíso, Chile

1993·    Excursus any Miró, Galería Salvador Riera y Associacio Art  Barcelona·    Es quan tanquem que mostrem el nostre homenatge, any Miró, Galería Berini y Associacio Art Barcelona

1992·    Petit Museo Provicional, Universitat Autónoma de Barcelona, España·    VII premi de pintura Miquel Casablanca, Ayuntamiento de Sant Andreu, Barcelona

PERFORMANCES 2007·    Acción Natura naturans, Estudio del artista, Barcelona

2006·    Agitación. Geiser del Tatio, Machuca, Chile; Salar de Atacama, Chile; Mina Rajo abierto, Chuquicamata, Chile

2005·    Ideografía, Estudio del artista, Barcelona

2003·    Pou de Llum, Acción y perforación geológica, La balconada, Manresa Barcelona·    Agua a presión abriendo un hoyo en la carne para luego desaparecer. Kunst -Sation Sankt Peter Köln, Alemania

2002·    Congelación, Continente Antártico chileno. De la obra Del Cardener a la Antártica

2001·    Ir, Altum, acción realizada en el estudio del artista en Barcelona. De la obra Del Cardener a la Antártica

2000·    Cardener, acción realizada en el río Cardener, De la obra Del Cardener a la Antártica. Interior de la cova de Manresa, Barcelona

1999·    K2-Kenôsis. Acción documental realizada en  el estudio del artista, Barcelona

1998·    Proyecto Teología del cuerpo. Fundación América, Chile

PREMIOS Y BECAS2006·    Beca John Simon Guggenheim Memorial Foundation

2003·    Premio FONDART 2003, Santiago de Chile·    Artista residente en la Kunst Station Sank Peter Köln, Alemania

1998·    Beca Presidente de la República Santiago de Chile

1995·    Finalista Biennal d´Art, ciutat d´Amposta

1994·    Mención de honor Premi especial Pilar Juncosa y Sothebey’s. Fundació Pilar y Joan Miró. Palma de Mallorca

1992·    Primer premio. VII Premi de Pintura Miquel Casablanca, Barcelona

OBRA EN COLECCIONES·    Die-Museum, der Diözese, Würzburg, Alemania ·    Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago de Chile·    Colecció Testimoni Fundació la Caixa, Barcelona·    Colecció Testimoni Fundació la Caixa, Barcelona·    Monasterio Cisterciense Poblet, Tarragona

BIBLIOGRAFÍA·    Fernando Castro López, Peregrinatio La mirada interior, “Arte en las ermitas de Sagunto”, Editado y publicado por la Generalitat Valenciana, 2007·    Fernando Castro López, Natura naturans, Madrid, 2007·    Gerardo Mosquera, Copiar el edén: Arte reciente en Chile, Santiago de Chile, 2007·    Amador Vega, Affatus, Barcelona, 2006·    Friedhelm Mennekes, Amador Vega y Javier Melloni, Del Cardener a la Antártica, Editado y publicado por ayuntamiento de Manresa, Barcelona, 2003·    Teresa Blanch, Desahogo, Barcelona, 2002·    Juan Noemí, Teología del Cuerpo, Editado y publicado por Talleres Experimental Cuerpos Pintados, Santiago de Chile ·    Luis Francisco Pérez, Pathografias, catálogo Anual, Galería Animal, Santiago de Chile, 2001 ·    Eva Vilaró, “Deambulatorios de Fernando Prats - Intervención en la Catedral de Vic- L`alberguería”, ARS SACRA, Nª 17, Madrid, 2001·    Pilar Parcerisas, Joan Torras y Friedhelm Mennekes, Deambulatoris. Fernando Prats, Ediciones Polígrafa y Ediciones Diac, Barcelona, 2000·    Friedhelm Mennekes, Substàncies, Barcelona, España, 1999·    Juan Noemí, “El arte de Fernando Prats. Una aproximación Teológica”, AISTHESIS de Investigaciones Estéticas, Nº 32, Arte Sagrado, Pontificia Universidad Católica de Chile·    María Elvira Iriarte, “Fernando Prats. Church of the Divine Providence, Santiago de Chile”, Art Nexus, 1998·    Juan Noemi y Justo Pastor Mellados. Fernando Prats, Anastasis. Iglesia de la Divina Providencia, Santiago de Chile, 1997·    Mónica Regas, Cripta, Espais 13, Fundació Joan Miró, Barcelona, 1996·    Marta Pol, Desplacaments d’impermanència, Espais Centre d’Art Contemporani, Barcelona, 1995·    Luis Francisco Pérez, Fernando Prats, Galería Antonio Barnola, Barcelona, 1995·    Catálogo Colecció Testimoni, Caixa de Pensions, Barcelona, 1995

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, CLAREMONT, CALIFORNA, 2008

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, CLAREMONT, CALIFORNA, 2008

.........................................................................................................................................................................................................................................................EXPOSICIÓN, CLAREMONT MUSEUM OF ART

     

     

 

.........................................................................................................................................................................................................................................................INTERVENCIÓN

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Dier + Noaz. ESTADO DE EXCEPCIÓN (ubicación)

Pº de la Castellana. Bulevar central. Próximo al puente de Juan Bravo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, KITCHENER, CANADA, 2007

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, KITCHENER, CANADA, 2007

 

       

       

       

          

         

         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Guillaume Ségur (Cv)

CASTRES, FRANCE, 1978 VIVE Y TRABAJA EN PARISOBRA EN MADRID ABIERTO: WELCOME ON BOARD

FORMACIÓN ACADÉMICA 2006·    Alumno de Le Fresnoy - estudio nacional de artes contemporáneas.2004·    DNSEP (Diploma Avanzado de Artes Visuales) en la Escuela Nacional de Bellas Artes de Lyón. 2003·    Intercambio en la Universidad Concordia de Montreal, departamento de bellas artes: estudios interdisciplinarios y artes electrónicas.2002·    DNAP (Diploma Nacional de Artes Visuales) en la Escuela Nacional de Bellas Artes de Lyón.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2007·    RDV07, Les subsistances (Lyón, Francia).·    Enlarge your pratice, Friche belle de mai (Marsella, Francia).·    Platform for Urban Investigation, Island 6 art center (Shangai, China).

2006·    Notre meilleur monde (Panorama 7), Le Fresnoy, Estudio Nacional (Tourcoing, Francia).·    Multipolaire, Halle 14, Baumwollspinnerei (Leipzig, Alemania).·    Royal Wedding Expanded, Console (París, Francia).

2005·    Rendez-vous 2005: la jeune création contemporaine (en résonance avec la Biennale d'art contemporain), Galerie des terreaux (Lyón, Francia).·    Opus, Nouvelle présentation des collections permanentes, Musée d'art moderne Lille Métropole (Villeneuve d'Ascq, Francia).·    Casting Stories (Panorama 6), Le Fresnoy, Estudio Nacional (Tourcoing, Francia).·    Les enfants du Sabbat 6, le creux de l'enfer, centre d'art contemporain de Thiers (Francia).

2004·    European Gemine Muse, Galería Ivan Mestrovic (Split, Croacia)·    Installation, ENS-LSH (Lyón, Francia).

2003·    Machin-Machine, Université Claude Bernard (Lyón, Francia).  ·    Elsewhere 2, Galería VAV (Montreal, Canadá)

2001·    Sichere freiheit, Lothringer13 (Munich, Alemania).

FESTIVALES2006·    XIIeme Gan Canarias Mediafest (Palma de Gran Canaria, España).·    Viper festival, Kunsthalle (Basilea, Suiza).

2004·    Marathon vidéo des écoles d'art de la région Rhône Alpes, CRAC (Valence, Francia)

2000·    Marathon vidéo des écoles d'art de la région Rhône Alpes, Le Magasin (Grenoble, Francia).

PREMIOS 2006·    Ganador del «Villa Médicis Hors les murs» programa CULTUREFRANCE 2007, por el proyecto Shaolin Park, escrito conjuntamente con Emmanuel Vantillard.

2005·    Ganador del premio Pézieux, otorgado por un jurado compuesto por: Marie Claude Jeune, representante de las artes de la DRAC (Dirección Regional de Asuntos Culturales) Rhône Alpes; Anne Giffon-Selle, directora de  "l'espace arts plastiques de Vénissieux"; Dean Inkster, escritor y profesor de la Escuela de Bellas Artes de Valence, e Yves Robert, Director de la Escuela de Bellas Artes de Lyón.

PUBLICACIONES2007·    Panorama 7: Notre meilleur monde, édition Le Fresnoy, 2006.·    Panorama 6: Casting stories, édition Le Fresnoy, 2005.·    Les enfants du Sabbat 6, exposition au Creux de l'enfer, édition le creux de l'enfer, 2005.·    Gemine Muse: young artists in European museums, 2005.

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, PLAZA VIEJA, HABANA, CUBA, 2006

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, PLAZA VIEJA, HABANA, CUBA, 2006

 

     

    

     

      

        

        

        

PLAZA VIEJA, HABANA, CUBA, 2006Documentación de la intervención en La Habana como rtistas invitados para la Novena Bienal de La HabanaCon el patrocinio de CONACULTA, SRE y Embajada de México en Cuba

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (ubicación)

Diferentes lugares en la ciudad. Del 7 al 14 de febrero. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, EL ZÓCALO, PUEBLA, MÉXICO, 2006

EL ZÓCALO, PUEBLA, MÉXICO, 2006Intervención documental en Puebla como parte de la Plataforma Puebla

.........................................................................................................................................................................................................................................................EXPOSICIÓN

   

    

      

      

 

.........................................................................................................................................................................................................................................................INTERVENCIÓN

    

    

      

       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NOT FOR SALE (ubicación)

La Casa Encendida. Ronda de Valencia, 2. 28012 Madrid.8 de febrero, 21:30 H

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos (Cv)

CIUDAD SATÉLITE, MÉXICO DF, 1974 VIVE Y TRABAJA EN MÉXICO DF WWW.FLLANOS.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: [VI VIDEO] VIDEOINTERVENCIONES MÓVILES EN CONTEXTOS URBANOS ESPECÍFICOS

"Fernando Llanos es uno de los nodos del arte y el video en México. Al mismo tiempo productor y catalizador". Cuauhtemoc Medina, Curador.

"Fernando Llanos es uno de los artistas experimentales más interesantes del Mexico contemporáneo. Su obra deambula entre varios territorios y disciplinas incluyendo el video, la robótica, el ciber-arte y el performance". Guillermo Gomez-Peña, Artista.

"Es un chingón". Guillermo Arriaga, Escritor.

"Este mexicano de 29 años es un claro referente del net art de América Latina". Periódico La Nación, Buenos Aires.

"Fernando Llanos, uno de los referentes iberoamericanos en materia de videoarte y net art". Centro Cultural de España, Cordoba, Argentina.

Considerado uno de los artistas mexicanos jóvenes más destacados en el uso del video, ha presentado su trabajo en más de veinte países en lugares como el Guggenheim de Nueva York, el Festival de Nuevo Cine y Nuevos Medios de Montreal, World Wide Video Festival (Ámsterdam), Transmediale (Berlín), Interference (Francia), Videochroniques (Marsella), Bienal do Mercosul (Brasil), etc. Su producción en video va desde la experimentación formal, los documentales no-ortodoxos, cuestiones interactivas no-lineales, manipulación y mezcla en vivo, hasta webcinema. Recientemente publicó con TRILCE un libro, el cual ha presentado en México (SITAC), Madrid (Medialab), Valencia (CAM) y Barcelona (Espai Ras). En el cine ha trabajado en películas como Amores Perros y Dancer in the Dark.

Actualmente es maestro de "apreciación de arte digital" y de "video y nuevas tecnologías".

FORMACIÓN1995–2000·    Licenciatura en Artes Plásticas en la Escuela Nacional de Pintura, Escultura y Grabado La Esmeralda. Especialización en vídeo. Titulado con mención honorífica.·    2000 Maya Transition -animación 3D, D.E.G.E.S.C.A., U.N.A.M., México ·    1999 Historia del cine experimental en México, Centro de la Imagen, México1998·    Taller de guión cinematográfico, Universidad Andrés Bello, Venezuela·    Taller de cine experimental, Centro de Capacitación Cinematográfica·    1996 Fotografía digital: Autorretrato. Impartido por Gerardo Suter e Instalación interactiva y arte robótico por Simon Penny, Centro Multimedia, Centro Nacional de las Artes, México D.F.

PROYECCIONES DE VÍDEO2007·    Festival de Artes Electrónicas y Video Transitio_MX 2.0, Centro de la Imagen y Centro Nacional de las Artes, México D.F.·    Close up. Festival de video Creación Strobe, Amposta, Tarragona, España; Pasagüero, México, D.F. y Laboratorio de Arte Alameda, México, D.F.·    A viaxe Dislocada, videoviajes y turismo, Museo de Arte Contemporáneo de Vigo, España·    Glorieta, muestra de video sobre la ciudad, X-Teresa, Mexico D. F.·    La Cooperativa de Arte en Video, Mediateca de Caixa Forum, Barcelona·    El regreso de la Cooperativa de Arte en Video, Videomuros, Centro Cultural Muros, Cuernavaca, Morelos, México y Festival Internacional de Cine Contemporáneo de la Ciudad de México, Cinemex Insurgentes, México D.F.·    Ruido, Mostravideo, Instituto Itaú Cultural, Palácio das artes en Belo Horizonte e Instituto de artes do pará en Belém, Brasil

2006·    Sreenings Honoring Mexican Independent Cinema, Zonema, Chelsea Center for the arts, Nueva York, EE.UU.·    vídeo_dumbo. 10º Festival anual de arte bajo el puente. Centro para las artes centro d.u.m.b.o. Brooklyn, Nueva York, EE.UU.·    ida y vuelta. Escuela Nacional de Pintura, Escultura y Grabado La Esmeralda, Centro Nacional de las Artes, México·    2nd On The Road. Video Festival Celebrando a Jack Kerouac, 119 Gallery, Washington DC, EE.UU.·    35 Festival Internacional Cervantino, Arte Urbe, Guanajuato, México·    Arte.mov. Festival Internacional de arte en medias móviles. Conservatorio de Música de UFMG. Horizonte, Brasil·    Videomix. Dibujos en vídeo. La Casa Encendida, Madrid·    Digital Setting. Semana 01. Fundación de Arte Contemporáneo, Montevideo, Uruguay·    Bolivar 36, una reflexión sobre vibujo y dideo, Bolivar 36, Centro Histórico, México D.F.·    arteBA2006, 15ª Feria de Arte Contemporáneo, La Rural, Buenos Aires, Argentina·    Pabellón dd. versión final. Centro de Arte Juan Ismael, Fuerteventura, Gran Canaria, España·    Videobonus para curiosos. CINEMEX, 3º Festival Internacional de Cine Contemporáneo de la Ciudad de México

2005·    Transitio_MX Festival de artes electrónicas y video, Centro Nacional de las Artes, México D.F.·    Videomix - Videojournal.1, La Casa Encendida, Madrid·    El Primer Festival de Videoarte KO, Ekhaya Media Centre en Kwa-Mashu, Durban, Sudáfrica·    V Bienal do Mercosul, Porto Alegre, Brasil·    Fotografest, Alberca Artes A. C., Cuernavaca, México·    Videomails, Videoteca del MADC, Museo de Arte y Diseño Contemporáneo, San José, Costa Rica·    Ciclo de Audio Visuales Iberoamericanos, Centro Cultural de España, Córdoba, Argentina·    Derive mental, Colectiva de video dentro del programa de Panorámica, Museo Tamayo Arte Contemporáneo, México D. F.·    DIGITAL STORYTELLERS (net art), Piamonte Share Festival, Torino, Italia·    México 70, disciplinas varias/estrategias múltiples, Casa del Lago, Chapultepec, México D.F.·    ¡ARRÁNCAME EL CORAZÓN!, 14 piezas de audiovisual actual mexicano...sobre el amor, La Casa Encendida, Madrid·    In the Air, Projections of México, Museo Guggenheim, Nueva York, EE.UU.

2004·    Unzipping codes, Art Center Nabi, Seul, Corea del Sur·    De Chile, de mole y de dulce (tres programas de videoarte contemporáneo mexicano); Universidad Doshisha, Kyoto, Japón·    VideoFest24K, Bienal de video y cine contemporáneo, Centro Estatal de las Artes, Mexicali, México·    Festival Off Loop'04, FNAC L'Illa, Barcelona·    Áreas verdes. Sala del deseo, Centro de la Imagen, México D. F.·    Transmitiendo Trazos. Festival Todos o Nadie, Museo Taller Erasto Cortés, Puebla, México·    Esmeralda X. Galería Central, Centro Nacional de las Artes, México D.F.·    TOP TEN, muestra retrospectiva monocanal de video, Galería Animal, Santiago de Chile; Centro Cultural España, Montevideo, Uruguay; Auditorio Un perro Andaluz del Centro Cultural España, Argentina·    VideoVIAJES. Muestra monocanal de video, Centro Cultural Parque de España/AECI de Rosario, Argentina·    Un, dos, tres por mí y por todos mis compañeros, Espacio Fundación Telefónica, Buenos Aires, Argentina·    D_video_urbano, dentro de la exposición "centro + media", Centro de Diseño cine y televisión, México D. F.·    Videomails y Transmitiendo Trazos, El Ojo Atómico, Madrid·    Videoviajes. Proyecciones Video-Creación Mexicana, Vitoria Territorio Visual, Centro Cultural Montehermoso, Vitoria·    Contra el Silencio Todas las Voces. III Encuentro Hispanoamericano de Video Documental Independiente. Concurso "Carlos Velo", Casa Jaime Sabines, México D. F.·    ...esto es tech-mex, dentro del programa "Áreas Verdes", Instituto de México, París, Francia·    Festival de Video Arte FFWD, Cholula, Puebla·    Handmade (hecho a mano), Galería Laboratorio Arte Binaria, Centro Nacional de las Artes, México D. F.·    Just a Kiss, Art Addict, McCallen, Texas, EE.UU.·    Un, dos, tres por mí y por todos mis compañeros. Centro Cultural España, México D. F.

2003·    Festival Ruido Digital, Belo Horizonte, Brasil·    Tequila con Charanda, Videos con denominación de origen, Galería Particular, México D. F.·    Project room de la Feria Paris Photo 2003, París, Francia·    VIII Festival Nacional de Video Imagem em 5 minutos, Salvador de Bahía, Brasil·    4º Festival Internacional de Investigación Artística de Valencia: Observatori 2003 Dentro del pabellón de Valencia, España·    Museo de Arte Moderno de Buenos Aires, Argentina·    Museo Nacional de Artes Visuales, Montevideo, Uruguay·    Escuela de Cine de la Cinemateca Uruguaya / ECU, Montevideo Uruguay·    Justicia. Documental. Dentro del proyecto "Este corto si se ve", Proyección de videos al aire libre en la Colonia Condesa, México D.F·    Festival de Arte Electrónico "Interactiva'03", Mérida, Yucatán, México·    Cooperativa Arte en Video. Maratón de video mexicano, Museo Tamayo de Arte Contemporáneo·    >wartime<. Muestra colectiva net.art contra la guerra, Galería del Centro Multimedia y estacionamiento del Centro Nacional de las Artes, México

2002·    Creación en Movimiento. Generación 2000-2001, Galería Central del Centro Nacional de las Artes, México D. F.·    Open_digi_party (latino venue), Bradys, Brixton, Londres·    MEXARTFEST, Kyoto, Japón·    Moov2002, White Box, Nueva York, EE.UU.·    Dis + Art + Tec 4 (Diseño + Arte + Tecnología); Muestra internacional de videoarte "Contaminados. (Ex)Tensiones de lo audiovisual", Museo de Arte y Diseño Contemporáneo, Costa Rica·    Festival Audiovisual Zemos98, Viso del Alcor, Sevilla

2001·    World Wide Video Festival, Edición 19, Amsterdam, Holanda·    Arte 01, Videoinstalación Teatro Julio Castillo y dentro del programa de videoarte la revista Glicerina, México D.F.·    Assemblée, De chrysanthèmes en chrysanthèmes..., Centre Culturel du Mexique, París·    Panorama, III Sección de videoarte Festival Internacional de Buenos Aires, Argentina·    Video-mails. Sala del Cielo, Centro de la Imagen, México D. F.·    Cuatro, Museo de Fotografía de California, EE.UU.·    Interactiva' 01, Museo de Arte Contemporáneo Ateneo, Mérida, Yucatán, México

2000·    Video do Minuto, Sao Paulo, Brasil·    VIDEOCRHONIQUES, Marsella, Francia·    Viper Festival, competición en línea, Suiza·    INTERFERENCE, Francia·    Festival Mediterra 2000, Atenas, Grecia·    Festival Internacional de Cortometraje, Santiago de Chile·    Museo de Bellas Artes de Caracas, Venezuela·    Festival TRANSMEDIALE, Berlín, Alemania·    II Festival Cine Video Sociedad, Mérida, México·    VIART, Caracas, Venezuela

1999·    Muestra Internacional de Performance (utopía/distopía), Museo de Historia Natural, México D.F.·    Me and my circunstance, Museo de Bellas Artes de Montreal, Canadá·    Desmaterialización en raciones; Cineteca-Fototeca Nuevo León, México ·    Videarte, Festival de video y artes electrónicas. Categoría documental. Centro Nacional de las Artes, México D.F.

1998·    VI Festival Universitario de Video. VIART. Caracas, Venezuela

1997.       IV Muestra de Video Independiente de León. Guanajuato, México

PREMIOS Y BECAS·    2005, Mención honorífica, Festival Transitio mx de artes electrónicas y video, México·    2003, Ganador del programa de intercambio de residencias artísticas México-Canadá. Centro Banff para las Artes·    2000-2001, Beca jóvenes creadores del Fondo Nacional para la Cultura y las Artes en video (FONCA)·    2000, Beca de apoyo para titulación, Programa de apoyo a la docencia, investigación y difusión de las Artes, México·    1998, Premio al mejor video experimental Concurso "VIART", Caracas, Venezuela

CURADURIAS Y PROYECTOS DE DIFUSIÓN2008–2007·    Coordinador general y conceptualizador del Foro de Animación Contemporánea "Animasivo", Festival de México en el Centro Histórico. México

2007·    Manchuria- visión periférica. Exposición retrospectiva de Felipe Ehrenberg, Centro Cultura Universitario de la Universidad Autónoma de Nuevo León, México·    La Cooperativa de Arte en Video, Mediateca de Caixa Forum, Barcelona·    Madrid, Madrid, Madrid. Reflexiones urbanas en video. Espacio Menosuno, Madrid·    El regreso de la Cooperativa de Arte en Video. Festival Internacional de Cine Contemporáneo de la Ciudad de México, Cinemex Insurgentes, México D. F.; Videomuros, Centro Cultural Muros, Cuernavaca, Morelos, México

2006·    Bolívar 36, una reflexión sobre vibujo y dideo, Bolivar 36, Centro Histórico, México D. F.·    Curador del programa "videobonus para curiosos", 3er Festival Internacional de Cine Contemporáneo de la Ciudad de México CINEMEX·    In the Air. La Máquina. Monterrey, México

2005·    Coordinador general de "Conciencia Concéntrica", 1er Concurso de video del Centro Histórico, Laboratorio Arte Alameda, Ciudad de México; Centro Cultural de España, Córdoba; Museo de Arte Moderno de Buenos Aires, Argentina·    In the Air, Museo Guggenheim de Nueva York, EE.UU.; Museo Nacional De Antropología y Auditorio Torres Bodet, México D. F.

2004·    Pinche Malinche (o 7 historias de amor videográfico, HUESCA Imagen 04, México. Tendencias, Museo de Huesca, Sala del Matadero, Madrid. 2 de Galería Animal, Santiago de Chile

2003·    Tequila con Charanda, Videos con denominación de origen. Galería Particular, México D. F.·    Hecho en México. Escuela de Cine de la Cinemateca Uruguaya, Montevideo, Uruguay, Museo de Arte Moderno de Buenos Aires, Argentina; VIII Festival Nacional de Video, Salvador Bahía, Brasil; Festival Ruido Digital, Belo Horizonte, Brasil; Proyecciones Video-Creación Mexicana, Vitoria Territorio Visual, Centro Cultural Montehermoso, Vitoria.·    Cooperativa Arte en Video, Maratón de video mexicano, Museo Tamayo de Arte Contemporáneo·    Wartime. Muestra colectiva net.art contra la guerra. Centro Nacional de las Artes, Madrid

2002·    Hecho en México. Videoarte Mexicano Contemporáneo, Lunes de la Fabrica, Madrid; ·    Curador de video del Primer Encuentro de Videoarte Latinoamericano en Bogotá, Museo de Arte Moderno, Bogotá, Colombia·    Martes de video, proyecciones semanales en el bar REXO, México D. F.·    Proyecto México. Selección de 9 videoartistas no-mexicanos en línea, México·    Curador de un programa de videoarte contemporáneo mexicano para el Festival MexArtFest, México

DOCENCIA2007·    Video para llevar. Taller de video con teléfono móvil en el marco del Festival de Artes Electrónicas y Video Transitio_MX, Centro de la Imagen y Centro Nacional de las Artes, México D.F.·    Taller teórico-práctico de arte en video, Museo de la Ciudad de México y Centro de la Imagen, México·    Clases de dibujo propedéutico, CENTRO, México D.F.·    Del grabar y listo. Taller de video con teléfonos móviles, Sala Parpalló - Nuevos Medios, Valencia·    Taller teórico práctico de Arte en Video, La Casa Encendida, Madrid

2006·    Profesor de Técnicas Multimedia en el Arte Contemporáneo. Universidad del Claustro de Sor Juana, México

2005·    Conciencia histórica Versión Montevideo. Taller intensivo para realizar videos sobre el centro de la ciudad de Montevideo, Centro Cultural España, Montevideo, Uruguay·    Taller-Concurso Un día en la vida II, 24 horas para pensar, diseñar y producir un website, Espacio Fundación Telefónica, Buenos Aires, Argentina·    El arte en medios. Centro de Arte Mexicano, México2004·    Taller-Concurso Un día en la vida. En colaboración con Martín Groisman, Espacio Fundación Telefónica, Buenos Aires, Argentina·    Profesor de Video y nuevas tecnologías en La Esmeralda, Centro Nacional de las Artes, Ciudad de México y Apreciación de Arte Digital en la Universidad Iberoamericana, departamento de Historia del Arte, México·    Taller teórico-práctico de videoarte Videomeopatía en el contexto del VIII Festival Nacional de Video: Imagem em 5 minutos, Salvador Bahía, Brasil

2003·    Curso Introductorio de videoarte, INES espacio para la Reflexión, México·    Taller de Verano Del Satélite a la Uña. Museo Tamayo de Arte Contemporáneo, sección de "Arte y computación", México·    Curso de Construcción simultánea de audio y video, en colaboración con Enrique Greiner, Centro Multimedia, Centro Nacional de las Artes, México

2002–2001·    Profesor de Arte Digital Universidad Iberoamericana, Área de Comunicaciones, México

2001–2000·    Guión de medios audiovisuales y Producción cinematográfica. Profesor adjunto de Guillermo Arriaga, Ciencias de la Comunicación, Tecnológico de Monterrey, campus sur de la Ciudad de México

2000–1997·    Asistente técnico y editor no-lineal en el Taller de video de la E.N.P.E.G. La Esmeralda, Centro Nacional de las Artes, México D.F.

JURADO2007·    Jurado en medios audiovisuales para el Programa de Intercambio de Residencias Artísticas en el extranjero, FONCA, México

2006·    Concurso de páginas web para el Festival Internacional por el Agua "Tlalocan", como parte del IV Foro Mundial del Agua, México

2005·    Apoyo a Proyectos Artísticos y Culturales IMJUVE, México·    4ª Muestra Centroamericana de Videocreación y Arte digital "Inquieta Imagen", Museo de Arte y Diseño Contemporáneo, San José, Costa Rica

2005·    Concurso "Conciencia Concéntrica". 1er concurso de video sobre el Centro Histórico, México D.F.

2004·    Festival de Cortometrajes KINOKI, Universidad Latinoamericana, México D.F.

2002·    Medio, ciudad y Naturaleza. Concurso Internacional de net.art, Colombia net.art, Colombia

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, ENTRADA DEL METRO, UNAM, 2004

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, ENTRADA DEL METRO, UNAM, 2004

 

   

    

      

     

ENTRADA DE METRO (METRO UNIVERSIDAD) UNAM, 2004Documentación de la intervención en Mexico City. Patrocinado por MUCA Roma y Dirección de Artes Visuales UNAM

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Oswaldo Macià. CUANDO LOS PERROS LADRAN EL CAMELLO LOS IGNORA (ubicación)

Centro Cultural de la Villa de Madrid, Jardines del descubrimiento, S/N de 14:00 a 23:00

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, SOUTH BRONX, NEW YORK, 2004

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, SOUTH BRONX, NEW YORK, 2004

  

SOUTH BRONX, NEW YORK, 2004Patrocinado por el Bronx Council of the Arts, Hostos University and Longwood Art Gallery

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (ubicación)

 Paradas de Metro Banco de España y Serrano

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra (Cv)

S’ANNAPAROCHIE, NETHERLANDS, 1970 VIVE Y TRABAJA ENTRE AMSTERDAM; HAARLEM, NETHERLANDSWWW.ANNODIJKSTRA.NLOBRA EN MADRID ABIERTO: PROPOSAL NR. 19 + GIFT

FORMACIÓN ACADÉMICA·    Gerrit Rietveld Academie, afdeling Autonoom Sculptuur diploma 1998 te Amsterdam.·    2001-2003 Toekenning Startstipendium door het Fonds BKVB.·    2004-2006 Toekenning basisbeurs door het Fonds BKVB.

EXPOSICIONES (Selección)1996·    Virtual Room, Hengelo.·    AIAS workshop, Linz (Austria).·    De Fabriek ‘Booreiland’, Eindhoven.

1998·    Desolaat’ lokatie project, Alkmaar.

2000·    De Vest, Alkmaar.

2001·    Niggendijker, Groningen. ·    Rebus, Alkmaar.

2002·    Land, Ámsterdam. ·    Non members only( Arti), Ámsterdam. ·    Nieuwe vide centraal, Haarlem.

2003·    Hedah, Maastricht. ·    R2, Hamburgo (Alemania). ·    Kunstfort Vijfhuizen, Haarlem. ·    Bubbel (NP3/platformGRAS), Groninga. ·    Nieuwe Vide (en solitario), Haarlem.

2004·    R1 hamburg, Hamburgo (Alemania). ·    Gallerie Kusseneers, Amberes (Bélgica). ·    NP3, Groninga.

2005·    Gorcums museum, Gorinchem. ·    Artist inc., Nueva York (EE.UU.). ·    Witte zaal, Gante (Bélgica). ·    PAK////T, Ámsterdam.·    Colonie 21 (SMAK in Bredene), Bredene (Bélgica).

2006·    Moscow Bernadette (SMAK), Gante (Bélgica). ·    MENS locatie project SMAK, Lovaina (Bélgica).

2007·    Lek in het zwijgen…noise, Watou (Bélgica). ·    Data, Haarlem. ·    Trading places, Gdansk (Polonia) Hoorn.

INTERPRETACIONES 1998·    Provadja theater ‘Clone Control’, Alkmaar.

1999·    Muiderpoort theater ‘Fetitia’, Ámsterdam. ·    Gasthuis theater, Ámsterdam . ·    Kunst Ruimte Kampen, Kampen. ·    Gasthuis theater ‘Hero’s’, Ámsterdam.

2000·    Muiderpoort theatre, Ámsterdam. ·    G. Washington University, Washington (EE.UU.). ·    Art Space, Richmond (EE.UU.). ·    Niggendijker’Shopping around’, Groninga.

2001·    Theater Frascatie ‘250 kuub’, Ámsterdam. ·    Theater Frascatie ‘250 kuub’, Ámsterdam.

2002·    Wake, Ámsterdam. ·    Theater Frascatie ‘250kuub’, Ámsterdam. ·    VIP in de Vide, Haarlem.

2003·    Vensters, Alkmaar. ·    Save the flat (opening), Zwolle.

2004·    Nieuwe Domeinen, Ámsterdam.

2006·    MENS, Lovaina.

2007·    GHB van Abbemuseum, Eindhoven. ·    Stad als podium, Haarlem.

ADQUISICIONES 2001·    ‘Urnen’ aan particulier ·    ‘Kill your darlings’ aan particulieren

2002·    ‘Kill your darlings’ aan particulieren ·    2005·    Utopia aan particulieren

PUBLICACIONES ·    Catalogus ‘Gewapend behang’, Uitgave Gerrit Rietveld Academie Amsterdam, 1998.·    Alkmaars Dagblad ‘Clone control’, 1998.·    Alkmaarse Courant ‘Desolaat’, 2000. ·    Volkskrant ‘Wake’, 2002. ·    Parool ‘Wake’, 2002. ·    Volkskrant ‘Land’, 2002. ·    Parool ‘LAND’, 2002. ·    Catalogus Utopia gorcums museum, 2006.·    Catalogus MENS (SMAK), 2006.·    Catalogus ‘Lek in het zwijgen’ Watou, 2006.

ORGANIZADOR ·    ‘Desolaat’. Proyecto de ubicación en Alkmaar, 2000.·    ‘LAND’. Proyecto de ubicación en Ijburg/Amsterdam, 2002.·    ‘Edelwies’. Proyecto de ubicación en Haarlem, 2006.

EXTRAS·    Workperiod EKWC, DenBosch, 2004.·    Winner of contest St’leve de Bouwput. El premio consiste en la realización de una obra de arte para el espacio público en Ámsterdam, 2004

 

 

 

 

 

 

08prtb1777

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, TIMES SQUARE, 2002

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, TIMES SQUARE, 2002

 

    

       

           

     

     

   

TIMES SQUARE, 2002Documentación de la intervención en un escaparate en Times Square, 129 West 42nd Street

 

 

 

 

 

 

 

 

 

05inme3670

2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (ubicación)

Performance 1 de febrero. Información posterior: Café Gijón, Pº de Recoletos, 21 de Miércoles a Sábados de 17:00 a 21:00h

 

 

 

 

 

 

 

 

07intd1427

2005. María Alos + Nicolás Dumit. EL MUSEO PEATONAL, LOWER MANHATTAN, 2002

2005. María Alos + Nicolás Dumit. EL MUSEO PEATONAL, LOWER MANHATTAN, 2002

 

  

LOWER MANHATTAN 2002Documentación de la intervención en Lower Manhattan, NYC, 12 Church Street. Patrocinado por LMCC.

 

    

   

    

   

    

     

      

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (texto publicado / libro Madrid Abierto 2009-2012)

 

HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE!LUGAR: MADRID, LA LATINA,PRODUCCIÓN: DEL 12 DE NOVIEMBRE DE 2009 HASTA EL 27 DE FEBRERO DE 2010: PIEZA DE ARTE DE PARTICIPACIÓN PÚBLICA EN LA LATINA,1 – 26 DE FEBRERO 2010: ESCRITOS CON TIZA EN PASEO DE RECOLETOS27 DE FEBRERO 2010: TOMA DE DECISIONES EN EVENTO EN ESPACIO ABIERTO EN EL CÍRCULO DE BELLAS ARTESDESDE MARZO DE 2010: REALIZACIÓN DE 2 DESEOS POR LA ASOCIACIÓN AMIGOS DE LA CORNISA-LAS VESTILLAS Y ZOOHAUSCOMPAÑEROS DE PROCESO: EL PROYECTO FUE PROPUESTO E INICIADO POR LA ARTISTA ALEMANA SUSANNE BOSCH (WWW.SUSANNEBOSCH.DE) PARA MADRID ABIERTO 2010 (WWW.MADRIDABIERTO.COM), ELEGIDA POR CECILIA ANDERSSON /COMISARIA (WWW.WERKPROJECTS.ORG) EN COLABORACIÓN CON ZOOHAUS (WWW.ZOOHAUS.NET), CÍRCULO DE BELLAS ARTES (WWW.CIRCULOBELLASARTES.COM), AULA URBANA / MARÍA MOLINA LÓPEZ CON SAGRADO CORAZÓN DE JESÚS Y CENTROS DE DÍA NUMANCIA AND PALOMA, IGNACIO TEJEDOR LÓPEZ / VIRGINIA LAZARO VILLA / MARIO LEAL / ELENA BUENO (ASISTENTES DE PROYECTO) Y EL BARRIO ENTERO DE LA LATINA. FUE PARCIALMENTE FINANCIADO POR EL ARTS COUNCIL NORTHERN IRELAND & BRITISH COUNCIL. LOS DOS DESEOS FUERON REALIZADOS POR LA ASOCIACIÓN AMIGOS DE LA CORNISA-LAS VESTILLAS Y ZOOHAUS.PROYECTO WEB: WWW.HUCHADEDESEOS.WORDPRESS.COM

 

El proyecto de arte público Hucha de Deseos comenzó el 12 de noviembre de 2009 y fomentó, a lo largo de un periodo de tres meses y medio, un vivo dialogo entre vecinos de La Latina sobre qué hacer para mejorar es­pacios públicos comunes. El proyecto recaudó dinero sin usar, de las antiguas pesetas en La Latina y España.

512 deseos y propuestas fueron recopilados (a través de grabaciones de audio, entrevistas, postales, carte­les, medios de comunicación) gracias a un dispositivo multimedia de recolección diseñado por el colectivo zoohaus. Todos ellos pueden ser leídos en www.hu­chadedeseos.wordpress.com. El 27 de febrero de 2010, 55 vecinos de La Latina se reunieron durante un día en el Círculo de Bellas Artes.

Juntos decidieron que ocurriría con los 512 deseos en y para La Latina y con las 85000 pesetas, que al cambio son 513,70 €. Este evento de espacio abierto les llevó a seleccionar dos propuestas. El deseo más pronunciado fue la creación de más espacio verde en el barrio. Se realizó plantando ocho ciruelos en el par­que de La Cornisa el 14 de marzo de 2010. La Asocia­ción Amigos de la Cornisa-Las Vistillas llevó a cabo el deseo en una acción conjunta.

El segundo deseo, que consistía en poner un buzón en la Plaza Puerta de Moros —lugar que había albergado la Hucha— con la cual todas las asociaciones de la zona puedieran comunicarse, compartir ideas e infor­marse entre sí de eventos, está en proceso de realiza­ción. La idea es subir toda la nueva información en un blog para fortalecer las redes locales. Zoohaus estuvo de acuerdo.

Del el 1 al 26 de febrero de 2010, los 512 deseos fueron escritos en una acción diaria de tres horas de duración con tiza en el pavimento del Paseo de Recoletos.

El programa didáctico (Aula Urbana), creado por Ma­ría Molina López, tomó dos grupos de estudiantes de instituto del Sagrado Corazón de Jesús en La Latina para participar en el proyecto durante 4 meses. Los estudiantes se convirtieron en participantes activos a la hora de recolectar deseos, entrevistando a vecinos y tomando parte en el proceso de toma de decisiones.

María y Susanne también establecieron contacto con personas mayores en los centros de día Numancia y Paloma, ubicados en el barrio, para saber más sobre la historia del lugar y su opinión sobre la situación actual.

 

PASAJES DE LA CONVERSACIÓN ENTRE CECILIA ANDERSSON Y SUSANNE BOSCH EN MARZO DE 2010

S: ¿Fue acaso tu concepto inicial para Madrid Abierto la idea de qué se necesita y hace falta en Madrid?

C: Sin duda, también me basé en conversaciones con gente que conozco en el mundo del arte de Madrid. Había preocupación con el hecho de que la ciudad se estaba volviendo muy cerrada y conservadora. En ce­nas que organizaba percibí que la gente se alegraba deencontrarse con otras personas localmente. La idea era trabajar esa “cercanía” a una escala mayor dentro de Madrid Abierto. La idea de abrir las cosas un poquito. Así enfoqué la tarea de trabajar en Madrid Abierto.

S: Esa ‘cercanía a mayor escala’ tuvo lugar en mi pro­yecto. Aunque, para mi, una “verdadera” colaboración necesita relaciones más sólidas y estables. Yo diría que este era un paso hacia una colaboración que deman­daba una participación apasionada, y que literalmen­te aportaba servicios y contribuciones. En términos de producir un proyecto de participación pública, me interesa quién toma parte en la elaboración del mis­mo; por ejemplo, mi relación con zoohaus surgió de una recomendación. La idea de involucrar a un grupo local, joven, con una experiencia relativa, fue, por una parte, brillante, pero, por otra, cometimos muchos errores que podríamos haber evitado con más expe­riencia y bases sólidas.

C: Trabajaste en colaboración con la gente de Ma­drid. Pero obviamente yo elegí tu concepto porque encajaba a la perfección con mi idea de colaboración. Era un proyecto en colaboración muy claro.

S: Imagino que mi enfoque de la colaboración es —en sentido puro— un concepto y labor que se desarrollan juntos. Madrid Abierto no me dio el tiempo suficien­te para desarrollar una obra de la nada en un entorno nuevo. Una de mis preguntas es, ¿cómo puede una idea llegar a un vecindario cuando es propuesta por alguien ajeno a ese lugar?

C: No considero tu proyecto como una naturaleza ‘externa’ en absoluto, porque te pusiste en contacto con un montón de gente del barrio para realizarlo. Si uno se encontraba con la Hucha, ese era el objeto que percibía, pero el proyecto era mucho más profundo.

S: ¿Cómo calculas el éxito de un proyecto de este tipo?

C: No tengo medidas para calcular el éxito. Esta no es la razón por la que estamos haciendo esto, no se trata del éxito o el fracaso, tampoco se trata de decir si es bueno o malo, no estoy interesada en eso. Pero sí pien­so que en términos de proceso ha tenido mucho éxito.

Tu proyecto ha involucrado a tanta gente para hacerse realidad. Hace enteramente aquello que se supone que debería hacer y se ha desarrollado de muchas mane­ras. Ha planteado tantas cuestiones sin contestar. Para mi ha sido un éxito total, me entusiasmo pensando en ello. No se trata de una obra final que viene, aterriza y es completa como tal. Creo que es una obra muy diná­mica en ese sentido y para mi es un éxito.

S: María, que vive en este barrio siempre andaba preocupada: ¿Realmente vienen los vecinos, realmen­te toman parte en la toma de decisiones?

C: Estaba realmente sorprendida con lo bien que fue el evento en espacio abierto. Pero creo que es dema­siado limitado juzgar el proyecto por la participación en ese evento. Los vecinos ya participaron al depo­sitar sus deseos o al grabarlos en la hucha. No puede juzgarse sólo por el número de personas que vinieron al evento. Es un hecho que el proyecto estuvo insta­lado durante 3 meses y medio y que la gente tuvo la oportunidad de participar. Durante ese evento la gen­te decidió quedarse durante horas y esperar mientras se prolongaban unas discusiones que en momentos podían llegar a ser tediosas. Pero resultó ser un pro­ceso fantástico. Otra cosa es que nos gusten o no las decisiones que fueron tomadas. A mi personalmente me impresionó.

 

................................................................................................................................................................................................................DESPUÉS DE ROSARIO SONABA LA CHANA GUANATexto: Zoohaus

La película Magnolia de 1999, comienza a través de muchos hechos extraños aparentemente frutos solo del azar. Después de la última de estas historias, el narrador nos cuenta su propia opinión. “En la humilde opinión de este narrador, esto no puede ser algo que simplemente pasó,  esto no puede ser una de esas cosas. Esto por favor no puede ser eso. Por lo que a mi respecta, no puede ser, esto no fue solo una cuestión de azar. No, estas cosas extrañas suceden a todas horas.”

El día que se decidió que hacer con las pesetas recaudadas en la “hucha de los deseos” muchos vecinos de La Latina acudieron a la reunión. Después de una jornada intensa, una decisión salomónica pero participada, repartió equitativamente las pesetas obtenidas en dos grandes deseos para el barrio. El primero una necesidad imperiosa, realista y muy repetida en las grabaciones de los vecinos: más árboles. Pero más árboles intencionados, no colocados de cualquier manera, sino apoyando una de las causas populares más importantes que se están llevando a cabo, unos árboles destinados a reforzar el parque de la cornisa, actualmente en peligro de extinción. El segundo deseo para utilizar el resto de las pesetas, no fue seguramente ningún deseo grabado en la memoria interna de “rosario”, fue un deseo aparecido en el debate y en el consenso. Un deseo que nace como resultado de la convivencia durante seis meses de La Latina con la hucha. Un deseo que reflexionó sobre lo que realmente había significado disponer de un canal que escuchara a la gente, que la invitará a participar proponiendo como mejorar el barrio. Algo raro sucedía, este canal nuevo, había creado un agujero de gusano que traspasa de alguna manera la esfera vecinal a la esfera representativa. Rosario se había convertido en un dispositivo capaz de unir estas esferas y el deseo solicitó que esto continuara.

Dos años después, las pesetas de Rosario sirvieron para construir una puerta/buzón para El Campo de Cebada. Un espacio público compartido, recuperado por los vecinos. Una plaza de cinco mil metros cuadrados, cogestionada por los ciudadanos que han conseguido de alguna manera, volver a unir las esferas, separar la brecha entre los que toman las decisiones y los que las sufren. En El Campo de Cebada, ciudadanía y administración se juntan en el espacio público para diseñarlo y gestionarlo buscando nuevas maneras.

Dos años después, en la plaza de Los Carros, donde se encontraba físicamente la hucha, todos los sábados desde el 15 de Mayo, se reúnen vecinos para hablar sobre como debe mejorar el barrio, en la llamada “Asamblea Austrias”.

Muchos diréis que todo esto es fruto del azar, que no tienen relación directa estos hechos con “Rosario”, pero si me permitís, en la opinión de este humilde narrador, esto no puede ser algo que simplemente pasó. Esto no puede ser una de esas cosas, esto por favor no puede ser eso. Por lo que a mi respecta, no puede ser, esto no fue solo una cuestión de azar.

www.elcampodecebada.org

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Anikka Ström. THE MISSED CONCERT (ubicación)

La casa encendida, Ronda de Valencia nº 2. 1 de febrero, 20:00 horas

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Dier + Noaz (Cv)

OBRA EN MADRID ABIERTO: Estado de excepción

DIERMadrid, 1979 Vive y trabaja en Madrid www.vdier.com

NOAZMadrid, 1978 Vive y trabaja entre Madrid y otras ciudades del mundo  www.noazmadrid.blogspot.com/ www.flickr.com/photos/noazmadrid/

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. RECOSNTRUCTION - PROPOSAL NR 7, 2005

2008. Anno Dijstra. RECOSNTRUCTION - PROPOSAL NR 7, 2005

 

    

RECOSNTRUCTION - PROPOSAL NR 7, 2005 Trinity site , Where the worlds first nuclear divice was exploded on july 16 1945 380 x 90 x 90 _plaster and wood.The work was made on the location, the citzens could see me work.

DISLOCATIONSTrinity Site, the American monument for the first ever atomic bomb tests has been carefully rebuilt in plaster and placed in a suburb of Ghent. A starving child from Ethiopia is cast in bronze and shows up in down town Madrid. Tourists like to have their picture taken in front of the touching sculpture with a compassionate look in their eyes. A polyester copy of the Vietnamese girl Kim Phuk stands for a while in a suburb of Hoorn before moving on to various locations throughout Gdansk. Another scale model of an atomic explosion cast in bronze is placed on a green in front of a block of 70’s flats in Haarlem.

The reactions by people living in the area and coincidental passers by to the dislocations are strikingly diverse. Some take pity on the naked Vietnamese girl by dressing her in cloths for the cold winter nights. Others just wonder; where have I seen this before? Some people are incensed by the sculpture, in others it summons up anger, why now? Why here? What gives the artist the right to confront me with this on my own doorstep? Exactly the same images that are haphazardly thrust into our living rooms (the personal domain) through the television set seem to be experienced as less invasive.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (texto publicado / libro Madrid Abierto 2009-2012)

2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (texto publicado / libro Madrid Abierto 2009-2012)

PSYCHOECONOMY!Corporate Summit 2010 

INTRODUCCIÓN

Psychoeconomy es una plataforma de discusión e investigación artística que propone un enfoque alternativo sobre diversos temas de interés global, aprovechando las particularidades del espacio de reflexión y difusión que genera el campo del arte. Entre otras acciones, impulsa los Corporate Summits, que consisten en reuniones anuales de foros constituido por entidades creadas por artistas (por ejemplo, bancos, empresas de tecnología, e incluso micro naciones).

Psychoeconomy propone revisar las formas de participación ciudadana a escala global, en la resolución de conflictos en los que los ciudadanos mayoritariamente quedan excluidos de la toma de decisiones pero de los cuales padecen sus consecuencias.

CORPORATE SUMMIT MADRID 2010

Para la primera edición, se propuso la realización de un encuentro de discusión acerca de la crisis financiera internacional y los sistemas imperantes de intercambio monetario, entre artistas que trabajan el tema de la economía mediante un uso táctico de los medios, la apropiación de estrategias corporativas o la ironía. Bancos, empresas de tecnología, e incluso micro naciones, son algunos ejemplos de las corporaciones (algunas ficticias y otras no), creadas por los artistas convocados.

El objetivo principal de este encuentro fue el de elaborar un documento a modo de declaración sobre el estado actual de la crisis. Esta declaración, junto a las propuestas de cada “corporación”, fueron compiladas en una publicación. La versión en papel fue presentada durante el Corporate Summit Sevilla 2011, mientras que su versión digital puede descargarse gratuitamente desde la web de Psychoeconomy.

Aprovechando las particularidades del espacio de reflexión y difusión que genera el campo del arte, el encuentro intentó poner en diálogo los proyectos de los artistas participantes, en los que encontraremos propuestas que abordan una deconstrucción de lo cotidiano, del ordenamiento social, de la rutina individual y de los entornos y protocolos de interacción e intercambio personal. Un cuestionamiento a las promesas democráticas e igualitarias de los medios tecnológicos y una crítica a la voluntad de control que esconden detrás de su aparente transparencia.

CONTENIDOS DE LA PUBLICACIÓN

La Declaración de Madrid.Las corporaciones participantes.FUQ: Frequently Unanswered Questions.(Preguntas Frecuentemente No Respondidas).Psychoeconomy BlogAdelanto Sevilla 2011

 

PARTICIPANTES

Daniel García Andújar Barcelona Technologies To The People

Partiendo de la constatación de que las nuevas tecnologías de la información y la comunicación transforman nuestra experiencia cotidiana, Daniel G. Andújar crea una ficción (Technologies To The People, 1996) con el objetivo de hacernos tomar conciencia de la realidad que nos rodea y del engaño de unas promesas de libre elección que se convierten, irremisiblemente, en nuevas formas de control y desigualdad. Miembro histórico de irational.org (referente internacional del arte en red) y creador de numerosos proyectos en red, como art-net-dortmund, e-barcelona.org, e-valencia.org, e-seoul.org, e-wac.org, e-sevilla.org, etc. En 2009, participa en la Bienal de Venecia por el pabellón de Catalunya.

http://www.irational.org/tttp/primera.html www.danielandujar.org

 

Fran Ilich Tijuana Space Bank

Fiel a su lema, "purifica tu dinero", el Space Bank ofrece una serie de ideas innovadoras y revolucionarias aplicadas a la banca, la especulación y las inversiones, de acuerdo con la consigna de ayudar a alcanzar sus objetivos sin perjudicar a los demás. Entre los servicios que ofrece se encuentran las inversiones en el mercado de materias primas en concepto de café o maíz zapatista, o la financiación, proyectos literarios, de arte y propuestas de tactical media.

Fran Ilich es escritor, artista y activista digital con base en Tijuana. Ha participado en numerosos eventos internacionales, entre ellos, la Documenta 12. Entre sus proyectos figura Borderhack, un campamento de arte montado en la frontera entre Tijuana y San Diego, y Possible Worlds, un servidor autónomo cooperativo puesto en marcha en ocasión de la Sexta Declaración de la Selva Lacandona del Ejército Zapatista. http://spacebank.org/ http://sabotage.tv/ 

 

Gustavo Romano Buenos Aires - Madrid Time Notes / Promoter of the 2010 Summit

El proyecto Time Notes comprende una serie de acciones en espacios públicos utilizando un sistema de dinero basado en unidades temporales (billetes de 1 año, 60 minutos, etc.). A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín en 2004, se han instalado oficinas en Singapur, Rostock, Vigo, Buenos Aires, México, Madrid, Múnich, Mumbay e incluso en el edificio del Banco Mundial en Washington DC. Uno de los servicios que presta es el de Reintegro del Tiempo Perdido, con oficinas en espacios públicos que se ofrecen como lugar de recepción y clasificación del tiempo cedido involuntariamente, bajo presión o por razones arbitrarias.

 Gustavo Romano es un artista nacido en Buenos Aires que se desenvuelve en diversos medios y prácticas como el arte de acción, el net art, el vídeo y la fotografía. Pertenece a una clase de artistas que favorece el concepto de “proyecto” sobre el de obra, por su connotación de creación cerrada y llevada a un estado definitivo e inmutable. Romano se sirve sobre todo de las herramientas de nuestro presente mediático y tecnológico, aunque los desvía de su uso normal, los adultera, los desordena, los utiliza una y otra vez de manera diversa forzando una reflexión sobre nuestra rutina diaria

En 2006 recibe la beca Guggenheim Fellowship. www.timenoteshouse.org www.gustavoromano.com.ar

 

Georg Zoche Munich Transnational Republic

La Transnational Republic es un proyecto generado por un grupo de artistas alemanes que impulsan la construcción de la primera república transnacional, en la que los ciudadanos son definidos por la afinidad de sus ideas y sentimientos. La nueva república representa a sus ciudadanos en el terreno de lo civil, por primera vez sin sucumbir a intereses nacionales sino concentrándose en problemáticas globales.

Fundada en Munich en 1996 por Georg y Jakob Zoche, ha crecido hasta incluir más de 4.700 ciudadanos en junio de 2009, y ha sido representada en conferencias internacionales y encuentros en Europa, Asia, Suramérica y Australia. La moneda de la Transnational Republic es la "payola", emitida por el Banco Central de la UTR (United Transnational Republics). http://www.transnationalrepublic.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Susan Phillipsz. FOLLOW ME (ubicación)

Paseo de Recoletos, Bulevard central de 11 a 23H   

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. LUFTHANSA. Light, 2004 (prensa)

2007. Dirk Vollenbroich. LUFTHANSA. Light, 2004 (prensa)

LUFTHANSA. Light, 2004 Lufthansa headquarter Cologne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. FRESH FRUIT FOR THE PEOPLE, 2006

2008. Anno Dijstra. FRESH FRUIT FOR THE PEOPLE, 2006

 

FRESH FRUIT FOR THE PEOPLE, 2006Streched limousine _ fruit 2 hours

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. PICTURES (ubicación)

C/ Antonio Acuña, 18 7º Dcha, 17:H. 8,15 y 22 de febrero: 19 H 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Annamarie Ho + Inmi Lee (Cv)

ANNAMARIE HOSAN DIEGO, CALIFORNIA, USA, 1980VIVE Y TRABAJA EN NEW YORK WWW.ANNAMARIEHO.COM

INMI LEESEOUL, KOREA, 1979 VIVE Y TRABAJA EN KUTZTOWN, PENNSYLVANIA, USA; NEW YORK WWW.INMILEE.NET

OBRA EN MADRID ABIERTO: LA GUERRA ES NUESTRA

ANNAMARIE HOFORMACIÓN 2005·    Master en Bellas Artes, especialidad de Medios Digitales. Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island).·    Centro Sheridan de Docencia y Aprendizaje. Certificado de Docencia Universitaria. Universidad I. Brown (Providence, Rhode Island).

2003·    Licenciada en Filosofía y Letras, especialidad de Estudios Interdisciplinarios. Universidad de California, campus de Berkeley (Berkeley, California).·    Asignatura secundaria: Ingeniería Industrial e Investigación de Operaciones.

EXPOSICIONES 2007·    The Armory Show (bajo los auspicios del Parque de Esculturas Sócrates), Pier 94 (Nueva York, Nueva York). ·    Festival of Women's Film and Media Arts, Museo Nacional de Mujeres en las Artes (Washington, DC). ·    ColLABorations, The Lab, (Nueva York, Nueva York) (comisario de la exposición, Peter Dudek)

2006·    Emerging Artist Fellowship Exhibition, Parque de Esculturas Sócrates (Long Island City, Nueva York).·    Entrapment, Galería Amelie A. Wallace, SUNY College de Old Westbury (Old Westbury, Nueva York) (comisaria de la exposición, Hyewon Yi)

2005·    MFA Thesis Show, Museo de la Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island). ·    Other Nature, Cyberarts Festival de Boston (Boston, Massachussets).·    Selected Graduate Works, Galería Sol Koffler, Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island). ·    Concepts Translated, Galería Sol Koffler, Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island).

2004·    Visual AIDS: Postcards from the Edge, Galería Brent Sikkema (Nueva York, Nueva York). ·    For Pleasure, Priska Juschka Fine Art, (Brooklyn, Nueva York) (comisarios de la exposición, Daniele Balice y Ryan Schneider)·    A La Carte, Galería Pond (San Francisco, California).·    Under Construction, The Space at Alice (Providence, Rhode Island). ·    Digital Media Graduate Exhibition, Galería Sol Koffler, Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island).

2003·    Id/Entity: Portraiture in the 21st Century, SF Cameraworks (San Francisco, California). ·    (comisarias de la exposición, Christine Yang y Marisa S. Olson). Proyecto en colaboración con el artista principal, Ken Goldberg.·    Rock the Projects, Archivo Cinematográfico del Pacífico, Universidad de California, campus de Berkeley (Berkeley, California)

2002·    Teleopolis, Exploratorium (San Francisco, California). Proyecto en colaboración con el artista principal, Ken Goldberg.

·    <http://www.boingboing.net/2006/09/19/annamarie_hos_beteln.html>, 19 de septiembre de 2006.

EMPLEO ACTUAL·    Directora de Estudio, Amann + Estabrook Conservation Associates, (Nueva York, Nueva York).·    Colaboradora, Mousse Magazine (Milán, Italia).

 

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INMI LEEFORMACIÓN 2005·    Master en Bellas Artes, especialidad de Medios Digitales. Escuela de Diseño de Rhode Island (Providence, Rhode Island).

2001·    Licenciada en Bellas Artes, especialidad de Comunicación Visual, Escuela del Instituto de Arte de Chicago (Chicago, Illinois)

EXPOSICIONES2006·    Dual Realities, Cuarta Bienal Internacional de Seúl sobre el Arte en los Medios (Media_City Seúl, 2006) Museo de Arte de Seúl (Seúl, Corea) (comisarios de la exposición, Yuko Hasegawa, Lev Manovich, Iris Mayr y Pi Li)·    Fragmented Show, ViaFiarini (Milán, Italia) (comisarios de la exposición, Anna Daneri y Roberto Pinto)·    Corso Aperto, ex Ticosa, Fondazione Antonio Ratti (Como) (comisario de la exposición, Cesare Pietroiusti)·    Entrapment, Amelle Wallace Gallery (Nueva York) (comisaria de la exposición, Hyewon Yi)

2005·    Pixilations V.2 (Firstworksprov Festival), un escaparate de medios digitales y representación interactiva (Providence, Rhode Island). ·    M.F.A. Thesis Show, Museo de la Escuela de Diseño de Rhode Island (Rhode Island).·    Other Nature, CyberArts Festival (Boston, Massachussets).·    d i s p l a c e, Museo de la Escuela de Diseño de Rhode Island, Montaje Específico para el Emplazamiento, (Providence, Rhode Island) (comisaria de la exposición, Lisa Tung)

2004·    Sabara Sutra Sanja, Graduate Digital Media Show, Galería Sol Koffler (Providence, Rhode Island).

1998·    Conflict, KOFA (Organización Coreana de Bellas Artes en la Universidad de Nueva Gales del Sur) (Sydney, Australia).

PREMIOS/BECAS/RESIDENCIAS 2007·    Reconocimiento a la Distinción, Universidad de Kutztown (Pensilvania)

2006·    Fondazione Antonio Ratti, Como (Italia). Curso Avanzado de Artes Visuales.

2005·    Beca para Desarrollo Profesional, Universidad de Kutztown (Pensilvania).·    Museo de la RISD, Escuela de Diseño de Rhode Island. ·    Beca Concedida en Concurso Fallado por Jurado, Sitings.·    d i s p l a c e, Seleccionada para Montaje. Exposición en el Museo de la RISD. ·    Propuesta de Montaje "Exercise in Futility- Interactive Wallpaper". Seleccionada como Finalista.

2004·    Beca Presidencial, Escuela de Diseño de Rhode Island (Rhode Island).

2001·    Premio al Reconocimiento del Liderazgo y el Esfuerzo, Instituto de Arte de Chicago (Illinois)

BIBLIOGRAFÍA·    "Dual Realities: The 4th Seoul International Media Art Biennale", Seoul Museum of Art, Seoul, Korea, 2006·    Chang-yong Yim, "When Technology Meets Art," Korea Daily, Seoul, Korea, 26 de octubre de 2006.·    Aileen Jacobson, "Film hits high note in the Hamptons," Newsday, New York, 15 de Octubre de 2006.·    "Fragmented Book," Advanced Course in Visual Arts, Fondazione Antonio Ratti, Como, Italia, 2006·    Stewart Dearing, "'displace' takes innovative approach to study of immigrant identity,"·    The Brown Daily Herald, Providence, Rhode Island, 8 de abril de 2005.·    Chloe Malle, "Tune Falls Flat for Audio Poetry," The College Hill Independent, Providence, Rhode Island, 7 de abril de 2005

EXPERIENCIA DOCENTE 2005 ·    Profesora Ayudante del Departamento de Educación Artística y Artesanía, Universidad de Kutztown (Pensilvania).

COLABORACIONES2007 ·    Mousse magazine, Milán (Italia). Colaboradora.

 

 

 

 

 

 

 

08prtb1773, 08prtb1775

2007. Leopold Kessler. ALARM BIKE (ubicación)

Círculo de Bellas Artes. De lunes a sábado, 10:00-21:00 horas

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. DISLOCATIONS

2008. Anno Dijstra. DISLOCATIONS

 Trinity Site, the American monument for the first ever atomic bomb tests has been carefully rebuilt in plaster and placed in a suburb of Ghent. A starving child from Ethiopia is cast in bronze and shows up in down town Madrid. Tourists like to have their picture taken in front of the touching sculpture with a compassionate look in their eyes. A polyester copy of the Vietnamese girl Kim Phuk stands for a while in a suburb of Hoorn before moving on to various locations throughout Gdansk. Another scale model of an atomic explosion cast in bronze is placed on a green in front of a block of 70’s flats in Haarlem.

The reactions by people living in the area and coincidental passers by to the dislocations are strikingly diverse. Some take pity on the naked Vietnamese girl by dressing her in cloths for the cold winter nights. Others just wonder; where have I seen this before? Some people are incensed by the sculpture, in others it summons up anger, why now? Why here? What gives the artist the right to confront me with this on my own doorstep? Exactly the same images that are haphazardly thrust into our living rooms (the personal domain) through the television set seem to be experienced as less invasive.

 

PROPOSAL Nr 17, 2007Site specific160x110x60cm _ polyester/cement

 

 

VOORSTEL 22, 2009Locatie projectSite Specific 130 x 80 cm _brons

 

RECONSTRUCTION – PROPOSAL NR 7, 2005Trinity site, Where the worlds first nuclear divice was exploded on july 16 1945 380 x 90 x 90 _ plaster and woodThe work was made on the location, the citzens could see me work

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin (Cv)

OBRA EN MADRID ABIERTO: HELL IS COMING/WORLD ENDS TODAYGUNZENHAUSEN, DEUTSCHLAND, 1975 VIVE Y TRABAJA EN BERLIN WWW.ANDREAS-TEMPLIN.BLOGSPOT.COMWEBSITE PROJECT MADRID ABIERTO: WWW.WORLDENDSTODAY.WORDPRESS.COM

SOBRE SU OBRA Mi obra está creada a menudo en torno a idiomas dominantes: formal, visual y contex-tualmente. Actúa desde un ambiente postproductivo de producción artística e intenta hacer un uso impulsivo de estilos y gestos de gran amplitud. Adoptar un enfoque de dirección creativa que ponga en práctica todos los medios y for-mas de expresión (por principio), y que esté más bien guiado por un proceso crítico basa-do en ideas, con una retórica que acabe firmemente incorporada a la obra de arte acaba-da/ exposición, me parece algo sumamente interesante. Mantiene, desde un punto de vis-ta formal, una cierta tradición con el arte conceptual, pero también se nutre de “la idea de la superficie perfecta”, así como de la ironía y el humor, que se transforman en armas del proceso artístico. En mi trabajo trato de captar los dominios de lo esquizoide, la doblez y la irracionalidad, así como las reestructuraciones e interacciones que estos dominios pueden escenificar, acompañados de un sentido de duda sobre los métodos y enfoques que tratan de ser muy canónicos mediante cuestiones formales o contextuales. En medios tradicionales, las cuestiones retóricas han llegado a un extremo disociativo, cono todos sabemos y experimentamos. Que, por ejemplo, siempre exista la posibilidad de cambiar de bando mediante la interpretación y reinterpretación de hechos en un dis-curso, es una extraña evolución. Esto, naturalmente, también influye en el discurso que tiene lugar en las artes visuales. Como no veo la necesidad de que una obra tome partido, trato el contenido democrática-mente: existe una cuestión de interpretación, pero los dominios puestos en práctica no están dirigidos a un desenlace determinado: reformular las cuestiones desde y al margen de un punto de vista artístico en el sentido de un proyecto democrático es mi intención más destacada.

FORMACIÓN 1997–1999·    Estudio de Arte Visual, Departamento de Dirección Libre, Academia Gerrit Rietveld (Ámsterdam, Países Bajos).2006–2008·    Instituto Sandberg (Ámsterdam, Países Bajos).

EXPOSICIONES (SELECCIÓN)2008·    Evolution de l‘Art, exposición colectiva sobre arte inmaterial. Het Blauwe Huis, (Ámsterdam, Países Bajos).·    Olympic OneMinutes, Today Art Museum (Beijing, China).·    Viewing CLub Nice, recopilada por Andreas Templin, organizada en colaboración con Heike Kelter y Axel Huber.·    Un par de textos y escritos críticos (los detalles se facilitan previa petición).

2007·    Don't cry- Work!, (Dublín, República de Irlanda). Comisario: Padraic Moore www.padraicmoore.4t.com ·    One & the other painting, W129/basement, (Ámsterdam, Países Bajos). Comisario: Tim Chen Chuanxi·    De Ontdekking van de Traagheid, KW 14‘s (Hertogenbosch, Países Bajos).·    Bienal de Arquitectura de Rótterdam (Rótterdam, Países Bajos).·    EGOART-prize, galería BASTART. (Bratislava, Eslovaquia).·    Synch-Festival (Atenas, Grecia) www.synch.rg    ·    Instituto Mobile (Bruselas, Bélgica).·    Dertien Hectare Weiland (Heeswijk, Países Bajos) www.dertienhectare.nl para los detalles. El nuevo texto de Andreas Templin titulado “Embedded Art” se publicará en TEXT-REVUE, (Berlín, Alemania). ·    Exposición colectiva en el Centro Artístico Chino-Europeo (Xiamen, China).·    Preview Berlin, representada por Comisarios sin Fronteras (Berlín, Alemania).·    “C.A.R.L. Center for the Advancement of Recreation and Leisure“. Exposición en solitario de Eric van Robertson,  W139 Amsterdam. Artista invitado: Andreas Tem-plin.

2006 ·    VC “Viewing Club”. (Londres, Reino Unido). ·    Schwarzwaldinstitut, una noche de proyectos interdisciplinarios a cargo del comisa-rio Martin G. Schmid. Ballhaus Ost theatre (Berlín, Alemania).·    Andreas Templin plays Bach presentada por maksverlag/München, veladas cele-bradas en Stuttgart y Tubinga.·    Luminale 06 (Francfort del Meno, Alemania), en colaboración con LIC (Hamburgo) y Heinrich Fiedeler (Wiesbaden).·    Andreas Templin, selected videoworks, 00130gallery. Videoteca de Helsinki (Hel-sinki, Finlandia) 00130gallery-video-art.blogs.fi·    PixelDance Festival (Salónica, Grecia) www.pixeldance.gr·    crashed satellite,  ganador del Concours Belluard Bollwerk International (Friburgo, Suiza), con el amable apoyo de la Fondation Nestlé pour l’Art y el Cantón de Fri-burgo www.belluard.ch·    Viewing Club 6 Berlin, Lovelite, (Berlín, Alemania). www.viewingclub.org·    Festival Summertime (Lyón, Francia) www.asso-summertime.com·    PARKGEWUSEL, Machfeld, Sociedad Internacional de las Artes y la Cultura (Vie-na, Austria) www.machfeld.net/studio/parkgewusel·    Bienal Europea del Arte Contemporáneo (Nimes, Francia), www.lemanif.org·    Fair play video-price. Galería de juegos para películas y fotos fijas (Berlín, Alema-nia). www.pushthebuttonplay.com·    Crashed satellite, Kunsthalle Interazioni (Locarno, Suiza) con ocasión del Festival Internacional de Cine www.interazioni.ch·    Impakt Festival Utrecht, Centraal Museum (Utrecht, Países Bajos) www.impakt.nl·    Presentación en solitario con ocasión del Artforum, (Berlín, Alemania). www.victoriabar.de·    VC 8, en colaboración con Kunstverein (Bonn, Alemania). Detalles en www.bonner-kunstverein.de·    Andreas Templin gana el concurso internacional para la realización de una pieza de arte terrestre, combinado con una residencia en el Centro Internacional de Arte “Paradise” de Irán, en colaboración con el Museo de Arte Contemporáneo de Tehe-rán www.wwwebart.com/riverart/paradise (proyecto en suspenso)·    Dogville, Galería del Ayuntamiento de la Ciudad de Helsinki (Helsinki, Finlandia). Comisario: 00130 gallery·    Fringe Shanghai www.fringeshanghai.com·    Andreas Templin en residencia en Pilotprojekt Gropiusstadt, (Berlín, Alemania). www.pilotprojekt-gropiusstadt.de·    TheOneMinutes Festival, Ketelhuis (Ámsterdam, Países Bajos). www.theoneminutes.org·    “Viewing Club 9”, Secession Wichtelgasse (Viena, Austria).·    Subasta benéfica a favor de Ballhaus-Ost, Kunsthaus Lempertz Berlin. Exposición avance en Lempertz Berlin www.ballhaus-ost.de, www.lempertz.com

2005·    Jianghu Mobile Video (Kumming, Provincia de Yunán, China) www.lijiangstudio.org ·    Monumento para Donatella Versace y el Siglo XX de Visita en el XXI , expuesto en Version >05 "Invincible Desire" y en conjunción con "Art in the Park/Art Chicago" (Chicago, EE.UU.) www.versionfest.com·    Proyección de Obras en Vídeo, Artists Television Access (San Francisco, EE.UU.). www.atasite.org·    Stormscene, una obra alternativa para el espacio público encargada por el Ayun-tamiento de Nuremberg (Alemania). ·    ASSO Summertime (Lyón, Francia) www.asso-summertime.com·    Rencontres Internationales de la Photographie (Arlés, Francia).·    Bayennale, Exposición Internacional de la Zona de la Bahía (San Francisco, EE.UU.). www.bayennale.com·    MAGISTRALE, (Berlín, Alemania). www.magistrale-kulturnacht.de·    Safia Dickersbach (pr-director artfacts.net) presenta Andreas Templins Monument for Donatella Versace, (Berlín, Alemania).·    FIELD OF VISION: EXTREMES. Instituto para Nuevos Medios (Fráncfort del Meno, Alemania).·    Artists at Viewing Club, una exposición colectiva internacional con artistas emer-gentes y consagrados (Londres, Reino Unidos) www.viewingclub.org·    RE-ESCAPE, una exposición colectiva internacional con artistas emergentes y consagrados (Hamburgo, Alemania) www.re-escape.com

2004·    Peace team, Atelier asphyxia/ juliettes literatursalon Berlin (en solitario)·    2003·    Junge Kunst, Kunstverein Trier (colectiva/página Web).

2002·    Rush, Wiensowski&Harbord, Berlín (en solitario).·    A Haunted House of Art, Outline-Institute Amsterdam, por invitación de Gabriel Les-ter (colectiva/página Web).·    Junge Kunst 2002, Museo Wilhelm-Hack (Ludwigshafen) (colectiva/catálogo).·    Kunstraum Günter Braunsberg, Fürth, Comisario: Günter Braunsberg, Neues Mu-seum Nürnberg (en solitario/página Web).

2001·    Prix Nouvelles Images, Galerie Nouvelle Images (La Haya) (colectiva, por invitación de Jonas Ohlson).·    Reich und berühmt -festival, Podewil Berlin, antiguo Staatsbank de la RDA (colecti-va/catálogo).·    Visiones del día de la Reunificación de Alemania, participación en concurso·    Landesverband Berliner Galerien e.V/ Partner für Berlin (colectiva/subasta Kette-rer).

2000·    Exposición-proyecto M.A.I.S. (www.mais-de.de) (Colonia) (grupo/página Web).

1999·    Swimming tapes, videoarte-radiodifusión PARK4DTV (www.park.nl) (Ámsterdam, Berlín y Rótterdam).

1998·    Gruesse aus dem Fernsehland, gallery berlintokyo Berlin (en solitario).

BECAS, PREMIOS Y RESIDENCIAS2007·    Ganador del premio EGOART 2006, (Bratislava/ESLOVAQUIA).

2006·    Ganador del Concours Belluard Bollwerk International (Friburgo, Suiza). ·    Ganador del concurso internacional para la realización de una pieza de arte terres-tre, combinado con una residencia en el Centro Internacional de Arte “Paradise” de Irán, en colaboración con el Museo de Arte Contemporáneo de Teherán. ·    Residencia en Pilotprojekt Gropiusstadt, (Berlín, Alemania).

2005·    Beca para viajes. Version Festival (Chicago/EE.UU.) Senado de la Ciudad de Ber-lín.

ACTIVIDADES/ PUBLICACIONES/ RECENSIONES2007·    Docente invitado en la Post-St.Joost Academie, s‘Hertogensbosch.·    Catálogo de la Exposición “Don‘t Cry- Work!“ con un ensayo de Padraic Moore. Anuario de Pilotprojekt Gropiusstadt, con un texto de Andreas Templin.·    Catálogo del “synch festival Athens”, con un texto de Alexandra Landre.·    Docente de la Fundación OneMinutes en la Reunión Europea de la Juventud (Ber-lín).·    “Andreas Templin wins EGOART-prize“, Slovak Spectator, Junio.

2006·    Docente de UNICEF. Taller en la zona del Ruhr (Alemania).·    Berlin Art Info. Revista de arte contemporáneo (Berlín) Noviembre. “Heißer Herbst“, por Christian Anslinger.·    “crashed satellite“, La Liberté (Suiza) Freiburger Nachrichten, “Der Bund“, Junio.·    “If you die in your dreams your life will be free of worries“, Adnoten zu Arbeiten An-dreas Templins, publicado con ocasión de la Bienal Europea de Arte Contemporá-neo celebrada en Kunsthalle Interazioni Locarno (catálogo + CD-ROM).

2005·    “second – hand experience”, Dr. Andreas L. Hofbauer, publicación complementaria de stormscene. Consejo Cultural de la Ciudad de Nuremberg.·    “Monument for Donatella Versace”, Chicago Reader (Chicago, EE.UU.), Lumpen, Chicago.·    “stormscene”, Nürnberger Nachrichten, Mayo;  Bild, Mayo; Woman, Julio; Sergej, Mayo; Plärrer, Mayo.

2004·    “Endless downloads into the wooden lab“ Andrew Cannon. Comisario: Mr Cannon Projekts (Berlín).

2003·    Andreas Templins digitales Werk, Dr. Paolo Sanvito, historiador del arte y comisa-rio, Roma; Berlin, Biblioteca Virtual www.vl-museen.de·    Featured artworks, magazine ph, número 2. Centro Nacional Ruso de Arte Con-temporáneo (Kaliningrado, Federación Rusa).

2002·    “Tagestipp”, páginas culturales, Der Tagesspiegel (Berlín), Febrero. ·    Rheinpfalz; Saarbrücker Zeitung; Leo; Septiembre.·    Brigitte Werneburg for die Tageszeitung (Berlín), Febrero.  ·    Günter Braunsberg, historiador del Arte MA, Neues Museum Nürnberg. ·    Catálogo Junge Kunst 2002, Wilhelm-Hack Museum Ludwigshafen

1999–2000·    Conferencias sobre cultura contemporánea, docente libre, Filosofisch Fakultaeit, en colaboración con Robin Brouwer (Universidad de Ámsterdam).

1998–1999·    Desarrollo y realización de un proyecto de arte contemporáneo y exposición bUG·    (www.dds.nl/bugsite), en colaboración con Sonja Beijering y Sebastiaan Duong.

1998·    Desarrollo y realización de diálogos nómadas (serie de diálogos interdisciplinarios sobre cultura contemporánea) en colaboración con HTV de Yjsberg (Universidad de Ámsterdam) y S. Beijering (Ámsterdam).

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] UTEP (vídeo)

 

UTEP   El Paso, Texas

opción 37ESPECTÁCULO FRONTERIZOProyección de narco-vídeos sobre el mismo edificio donde se pagaba para ver la Revolución Mexicana

opción 38MEMORIA VOLATILToma aérea de Paso, en el segundo barrio, una zona céntrica descuidada

opción 39INVOCANDO A TERESITATurismo revolucionario: se proyectó en su casa a Teresa Urrea, predecesora de la Revolución Mexicana

opción 40ANTI-GENTRIFICACIÓNproyección de archivos de activistas que defienden a los edificios antiguos de convertirse en un mall

UTEPColumbus, Nuevo México

opción 41LA VENGANZA DE VIDEOMANSe proyectó en Columbus fragmentos en cine sobre la invasión que hizo Pancho villa ahí en 1916

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dan Perjovschi. OFF (ubicación)

Muppis Pº del Prado- Pº Castellana

 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. I LAY MY EAR TO FURIOUS LATIN (ubicación)

Paseo de Recoletos, Bulevar Central al lado de Plaza de Colón  

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] ORGULLO LOCAL (vídeo)

 

Opción 8ORGULLO LOCALProyección de iconografía y material histórico de Ciudad Satélite sobre las Torres Satélite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin (Cv)

ALICIA FRAMISMATARÓ, BARCELONA, 1967 VIVE Y TRABAJA EN SHANGHAI WWW.ALICIAFRAMIS.COM

MICHAEL LIN TOKYO, JAPAN, 1964 VIVE Y TRABAJA ENTRE BRUXELLES, SHANGHAI, TAIPEI

OBRA EN MADRID ABIERTO: NOT FOR SALE/NO SE VENDE

 

ALICIA FRAMIS MATARÓFORMACIÓN·    Licenciada en Bellas Artes en la Facultad de Sant Jordi de la Universidad de Barcelona y Ecole de Beaux Arts de París·    Curso de postgrado en el Institut d’Hautes Etudes de París.·    Curso de postrado en la Rijksakademie van beelde Kunstende de Ámsterdam·    Actualmente trabaja como Directora de Conceptos en el MOCA (Museum of Comtemporary art) de Shanghai, bajo la dirección de Samuel Kung.

 

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Desde China con amor, Galería Horach Moya, Palma de Mallorca·    From China with Love, Annet Gelink Gallery, Amsterdam, Holanda·    Alicia Framis, PYO Gallery, Seoul, Corea·    Alicia Framis, PYO Gallery, Beijing, China·    CHINA *****, Zendai Museum, Shanghai, China

2006·    Shanghai Duolun Museum of Modern Art, Shanghai, China·    Acciones secretas, Galería Helga de Alvear, Madrid, España·    Alicia Framis. Secret Strike, Mireille Mosler, Ltd, New York, USA·    Secret Strike. Archivo momentos, Centro Galego de Arte Contemporáneo·    CGAC, Santiago de Compostela, España·    Partages, Musée d’Art Contemporain de Bordeaux CACP, Burdeos, Francia

 

EXPOSICIONES COLECTIVAS2007·    Rightfully Yours, Justina M. Barnicke Gallery University Of Toronto, Canada ·    Wouldn’t it be nice… wishful thinking in art and design, Centre d’Art Contemporain de Genève, Ginebra·    Pensa-Piensa-Think, Centro de Arte Santa Mónica, Barcelona·    Artist Pention Trust, Today Art Museum, Beijing, China, comisario Dan Cameron·    Montevideo program: Acciona, Observatori-festival, Valencia, España·    After the News, BankART1929, Yokohama, Japón·    MOCA Museum, Shanghai, China·    Entreprise du lieu, Pommery, Reims, Francia, comisario Daniel Buren

2006·    Big City Lab, Art Forum Berlin, Berlín, comisario Friederike Nymphius·    On Mobility, CAC, Vilnius, Lituania·    59º Festival Internazionale del Film Locarno, Locarno, Suiza ·    Dresscode, Historisches und Voelkerkundemuseum (Borrower), St. Gallen, Suiza·    Femmes d’Europe, Saint Tropez, Francia·    Alicia Framis. 8 de junio, las modelos libran. A Life in a Bag, Loewe 160 Years Anniversary, Círculo de Bellas Artes, Madrid, España·    Fusión: Aspectos de la Cultura Asiática en la Colección MUSAC, MUSAC, León·    INVIDEO, Milán, Italia·    Victime de la mode-Fashion Victim, CRAC, Alsacia, Francia·    FASHIONS, Center of Contemporary Art in Leipzig, Alemania·    Secret Strike Tate Modern, Art Unlimited, Art 38 Basel, Basel, Suiza

 

PROYECTOS 2008·    Not For Sale, Río de Janeiro, Brasil ·    Nenes Amb Sort, Barcelona, España·    Secret Strikes Rockeffeler Center, Nueva York, USA·    Woman Solo Shop, Londres, Gran Bretaña

 

..................................................................................................................................................................................................................................................MICHAEL LIN TOKYOFORMACIÓN1993·    MFA College of Design, Pasadena, EE.UU.1990·    BFA Parsons School of Design, Los Ángeles, EE.UU.

                                                                                                                                                                                                                                                  EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Nogueras Blanchard, Barcelona

2006.       Eslite Gallery-Taipei, Taiwán

2005·    Nogueras Blanchard, Barcelona·    Kunsthalle Wien, Viena, Austria·    O2 ART 2, The Contemporary Museum, Honolulu, Hawai, EE.UU.

2004·    Eslite Gallery-Taipei, Taiwán·    Asian Art Museum, San Francisco, EE.UU.·    Contemporary Art Museum St. Louis, EE.UU.·    PS1 Contemporary Art Center-Long Island City, EE.UU.

2003·    Palais de Tokyo, Site de Creation Contemporaine, París·    Moroso Showroom, Milan·    Galerie Urs Meile, Lucerna, Suiza

2002·    Galerie Tanit, Munich, Alemania·    Den Hagg, City Hall, Stroom, La Haya, Holanda·    Galerie Ghislaine Hussenot, París·    Palais de Tokyo, Site de Creation Contemporaine, Paris, Contemporaine

2000·    Private Collection, Arstyl.com, París

1999·    Here, It Park Gallery, Taipei, Taiwán

1998·    Complimentary, Dimension Endowment of Art, Taipei, Taiwán

1996·    Interior, It Park Gallery, Taipei, Taiwán

1994·    Huh (Meander), It Park Gallery, Taipei, Taiwán

1993·    After, Art Center College of Design, Pasadena, EE.UU.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2007·    Throught the painting, Special Projects, 2ª Moscow Biennale, Rusia·    Schaurausch, O.K.Centrum, Linz, Austria

2006·    Collettiva, Galleria Cesare Manzo, Roma, Italia·    Notre histoire..., Palais de Tokyo, Site de Creation Contemporaine, París, Francia,  comisarios: Nicolas Bourriaud y Jérôme Sans·    Parcours de Saint Germain-Café de Flore, París, Francia·    Surplus Value, Tang Contemporary Art Center, Beijing, China·    New Space, Pinchuk Art Centre, Kiev, Ucrania·    Once Upon a Time..., Contemporary Fairytale-ARCOS Museum, Benevento, Italia

2005·    8ª Bienal de Lyon, Francia, comisarios: Nicolas Bourriaud y Jérôme Sans·    About Beauty, Haus der Kulturen der Welt, Berlín, Alemania·    The Elegance of silence, Mori Art Museum, Tokyo, Japón

2004·    The 21st Century Museum of Contemporary Art, Kanazawa, Japón·    Floral Habitat, Bury St. Edmunds Art Gallery, Suffolk, Gran Bretaña·    Odyssey, Shanghai Gallery of Art, Shangai, China

2003·    Flower Power, Lille 2004, Palais des Beaux Art, Lille, Francia·    The Fifth System, Shenzhen, China·    Tiger´s Eye, Proud Gallery, Londres·    Painting4, The Rose Art Museum, Waltham, MA, EE.UU.·    Cruzados, CCCB, Barcelona, España·    Fundación NMAC, Cádiz, España·    Chinese Contemporary Art/Subversion and Poetry, Culturgest, Lisboa, Portugal·    Bibliotherapy (con Remy Markowitsch), Kuntsmuseum, Lucerna, Suiza

2002·    Urgent Painting, ARC Musée d'Art Moderne de la Ville de París, Francia·    Synthetic, Gallery Zurcher, París, Francia·    How Big Is The World?, OK Center for Contemporary Art, Linz, Austria·    Gwangju Biennale 2002: Project 1: Pause, Conception, Corea·    Asian Art Triennial, Queensland Art Gallery,Brisbane, Australia·    International 2002, Liverpool Biennial, Liverpool·    The Gravity of the Immaterial, Total Museum, Seul, Korea·    Asian Vibe, Espai d'Art Contemporani de Castelló, España

2001·    Bibliotherapy (with Remy Markowitsch), Villa Merkel, Esslingen, Alemania·    Casino 2001, 1st Quadrennial of Contemporary Art, Stedelijk Museum voor·    Actuele Kunst, Gante, Bélgica·    ARS 01: Unfolding Perspectives, Museum of Contemporary Art Kiasma, Helsinki, Finlandia·    Egofugal: Fugue from Ego for the Next Emergence, 7th International Istanbul·    Biennal, Turquía·    49th Biennale di Venezia, Italia·    The Gravity of the Immaterial, Institute of Contemporary Art, Taipei, Taiwán·    Festival of Vision: Berlin in Hong Kong, Tamar Site, Hong Kong·    Sister Space Project, Southern Exposure, San Francisco, EE.UU.·    Very Fun Park: Contemporary Art From Taiwan, It Park Gallery, Taipei, Taiwán·    The Sky is the Limit, 2000 Taipei Biennial, Taipei Fine Arts Museum, Taipei,Taiwán

1999·    Visions of Pluralism: Contemporary Art in Taiwan 1988-1999, China Art Museum, Beijing, China·    Magnet Writing/Marching Ideas, It Park Gallery, Taipei,Taiwán·    1st Fukuoka Asian Art Triennale 1999, Fukuoka Asian Art Museum, Japón·    KHOJ '99: International Artists' Workshop', The British Council Gallery, Nueva Dheli, India

1998·    Tu Parles/J'Ecoute, La Ferme de Buisson Art Centre, Paris; Taiwán·    Back from Home, Bamboo Curtain Studio, Taipei, Taiwán

1997·    It Park Group Exhibition, Taipei Fine Arts Museum, Taiwán·    Allegory and Simulacra, Gallery Pierre, Taichung, Taipei

1996·    Perimeter 4, Gallery 456, New York, EE.UU.

1995·    Transitional Site, It Park Gallery, Taipei,Taiwán

1994·    Conceptual Art Action Under Post-Martial Law, Gate Gallery, Taipei, Taiwán·    Art and Text, National Normal College, Taipei, Taiwán·    The Undescribable Unknown, It Park Gallery, Taipei, Taiwán

1993·    Zuzuglich, Merz Akademie, Stuttgart, Alemania·    The 8th Annual Manifesto Night, Baroque Literary Arts Centre, Venice, EE.UU.

1992·    Sharon Lockhart/Michael Lin, Art Center, College of Design, Pasadena, EE.UU.

1991·    Earth, Scott Hanson Gallery, Los Ángeles, EE.UU.

1990·    Law of Desire, Future Perfect Gallery, Los Ángeles, EE.UU.·    Provisional Proof, Opus Gallery, Los Ángeles, EE.UU.·    Oltre il Muro, Accademia di Belle Arti de Brera, Milán, Italia

BIBLIOGRAFÍA·    Eugene Tang y Jason Wong, Island Life, Eslite Gallery, Taipei, Taiwán, 2007 ·    Mino Yutaka, Encounters in the 21st Century: Polyphony - Emerging Resonances, 21st, Century Museum of Contemporary Art, Kanazawa, 2005·    Sabine Folie y Matt Gerald, Michael Lin, Kunsthalle Wien, Viena, Austria, 2005·    Lin Hong-John, Michael Lin, Eslite Gallery, Taipei, Taiwán, 2004·    Shannon Fitzgerald y Frances Stark, Michael Lin, Contemporary Art Museum, St.·    Louis, EE.UU., 2004·    Pauline J. Yao, Spaces Within, Installations by Michael Lin and Wu Mali, Asian Art·    Museum, San Francisco EE.UU.·    Jérôme Sans y Vivian Rehberg, Michael Lin's, Palais de Tokyo, Site de Creation Contemporaine, París, Francia, 2003·    Rhana Davenport, Asia Pacific Trienal, Queensland Art Gallery, Brisbane, Australia, 2002, p.70-73·    Hou Hanru, Asian Vibe, Espai d'Art Contemporani de Castelló, España, 2002·    Manray Hsu, Urgent Painting, Musée d'Art Moderne de la Ville de París, p.86-89, 2002·    Hou Hanru, ARS 01, Museum of Contemporary Art Kiasma, Helsinki, Finlandia, p.142-143, 2001·    Mahoney Bronwyn, Egofugal, Istanbul Biennial, Turquía, p.128-129, 2001·    Kao Cien-huí, Living CEI, Venice Biennial, Pabellón de Taiwán, 2001·    Frances Stark, Complimentary, Dimension Endowment of Art, Taipei, Taiwán, 1998

ARTÍCULOS (SELECCIÓN)·    Kanae Hasegawa, "Couleur Locale", Frame, Nº 52, septiembre/octubre, 2006, p.70·    Christophe Maout, "Lyon Grand Angle", Le Monde 2, Nº 84, septiembre, 2005, p.58·    Hanru Hou, Yishu_Journal of Contemporary Chinese Art, primavera, 2005, p.55-62·    James Westcott, Nyartsmagazine, 22 de diciembre, 2004·    David Spalding, FlashArt, octubre, 2004, p.126·    "Michael Lin", Art Asia Pacific, nº 41, verano, 2004·    Annette Tietenberg," Wallflowers", Form,197, julio/agosto, 2004, p.36-43·    Hughes, Jeffrey, Contemporary, Nº65, 2004, p.67·    Lily Van Ginneken, "Made in Taiwan", Bloom, nº11, 2004, p.20-23·    "L'image du mois", Beaux Arts Magazine, noviembre, 2003·    Judicael Lavrador, "Les Artistes s'etalent", Beaux Arts Magazine, 231, agosto 2003, p.82-89·    Marie-Claire Maison, agosto, 2003·    Bronwyn Mahoney, "Patterns of Thought: The Installation of Michael Lin", Yishu_Journal Of Contemporary Chinese Art, primavera, 2003, p.82-85·    Eugene Tan, "Liverpool Biennial, Pleasant Street Board School", Contemporary, nº 10, octubre, 2002, p.94·    Sarah S. King, Art in America, junio, 2002·    ML, "The art of deco", Art Review, Vol.LIII, febrero, 2002, pp.50-51·    Rhana Devenport, "The sky is the limit: Taipei Biennial 2000", Art AsiaPacific, nº 30, 2001, p.20-22·    Barbara Casavecchia, "Taipei Biennial", Flash Art, vol. 33, nº 215, noviembre/diciembre, 2000, p.103·    Ann Wilson Lloyd, "Reorienting: Japan rediscovers Asia", Art in America, vol.87, nº 10, octubre, 1999, p.104-111·    Cecile Bourne, "Reviews: Taipei (Taiwan), Michael Lin", IT Park, Flash Art, vol.30, nº 194, mayo/junio, 1997, p.124·    Sophie McIntyre y Chia Chi Jason Wang, "Taipei in entropy", Flash Art, vol.29, nº 187, marzo/abril, 1996, p.57-60

 

 

 

 

 

 

 

 

08prtb1767, 08prtb1769

2008. Anno Dijstra. VORSCHALG, 2006 (publicación)

2008. Anno Dijstra. VORSCHALG, 2006 (publicación)

** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO

    

   

Reconstruction - proposal nr 14 // 2006 // childe 45 x 26 x 22, vulture 60 x 53 x 40, podium 730 x 900 cm // plastiline, pufoam, wood, metalstuds (max 7 people on the stage)

 

Reconstruction - proposal nr 14 // detail of the installation

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] POTENCIANDO CONTENIDOS (vídeo)

 

 

Opción 11POTENCIANDO CONTENIDOS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inve1875

2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (ubicación)

Círculo de Bellas Artes. Sala de columnas. 12 de Febrero, 20:00H

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Oswaldo Macià (Cv)

CARTAGENA DE INDIAS, COLOMBIA, 1960 VIVE Y TRABAJA EN LONDON WWW.OSWALDOMACIA.COMOBRA EN MADRID ABIERTO:CUANDO LOS PERROS LADRAN EL CAMELLO LOS IGNORA.................................................................................................................................................................................................................................................................................................. 

FORMACIÓN1993·    Goldsmiths' college, Universidad de Londres, Inglaterra LICENCIADO EN BELLAS ARTES.1990·    Universidad Guild hall de Londres, Inglaterra LICENCIADO EN ESCULTURA.1988·    Escuela Llotja, Barcelona, España  PINTURA MURAL1976·    Escuela de bellas artes, Cartagena De Indias, Colombia LICENCIADO EN BELLAS ARTES

EXPOSICIONES (SELECCIÓN)2007·    This is Tomorrow. Whitechapel Gallery Public Art, Londres 02|07·    Abstraction: extracting from the World. Sheffield Gallery. Sheffield UK 02|07

2006·    Urp! Dieci posizioni tra pubblico e privato. “The dog barks, but it makes no difference to the Camel” Cagliari, Italia 14|11|06·    Museo de ciencias de Oxford  “Smellscape” 23|10|06 - 27|11|06·    Kunstverein Freiburg “Invisible Worlds” “Surrounded in Tears “ 16|6|2006 – 6| 8| 2006·    South London Gallery ”Around the World in Eighty Days” 24|5|2006 -    16|7|2006

2005·    Feria de arte Zoo “Diversion End” Encargo. Londres (cat.)·    Museo de arte moderno, Dublín. “Vesper VI” Irlanda (cat.)·    51ª Bienal de Venecia “Something Going on Above My Head X” Jardín - Palazzo Franchetti .Venecia Italia (cat.)·    Colección Daros:” Cantos Cuentos Colombianos” “Vesper V”, Zurich (cat.)

2004·    Haunch of Venison: ”Animals”. “Something Going on Above My Head IX”, Londres (cat.)·    Tate Liverpool: III Bienal de Liverpool “Surrounded in Tears “ (con Jasper Morrison y Michael Nyman). Liverpool, R.U. (cat.)·    Bienal de Shanghai 2004: ”Techniques of the Visible”“Vesper IV” Sound–Smell Symphony..Shanghai, China (cat.)·    Premio The Place,  “E2 7SD “ Escultura de sonido (coreógrafo Rafael Bonachela). Presentado en Londres, R.U. (Primero premio)·    Colección Daros: “Cantos Cuentos Colombianos” “Something Going on Above My Head VIII, Zurich (cat.)

2003·    The Power Plant, galería de arte contemporáneo: “Stretch” “Something Going on Above My Head VII., Toronto, Canadá (cat.)·    II Bienal de Lanzarote: “El viaje inútil”; ”Vesper II “ Arrecife, España (cat.)·    VIII Bienal de La Habana: “El arte con la vida” “Vesper III” La Habana, Cuba (cat.)·    VIII Bienal de La Habana “ Es que no me oyen o es que no me ven”  Espacio Aglutinador, La Habana, Cuba·    VTO Gallery “Vesper I ”, Londres, R.U.·    Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía “Something Going on Above My Head VI /Algo pasa por encima de mi cabeza”, Madrid, España·    The Place  “Vesper” (coreógrafo Rafael Bonachela), Londres, R.U.

2002·    AfricAméricA “Something Going on Above My Head V“ Port–au–Prince, Haití·    Artlab   “Provokes/Evokes” (con Jasper Morrison), Colegio Imperial de las Ciencias, la Tecnología y la Medicina, Londres, R.U. (cat.)

2001·    Tercer Festival Internacional de Arte Sonoro “Para mañana tendremos un día nublado”—Sinfonía anal auditiva. México D.F., México·    Bienal de Tirana 1 Tirana “Something Going on Above My Head IV”, Albania (cat.)·    Ventana. Oficina en Madrid, Madrid, España

2000·    Galería Margaret Harvey, St Albans, “John, I'm Only Dancing”.  R.U. Viajó a: Collective Gallery, Edimburgo, R.U. (cat.)·    Ludwig Forum für Internationale Kunst, “Continental Shift. A Voyage Between Cultures”. Aquisgrán, Alemania (cat.)·    Iglesia del siglo XII de Gamla Uppsala “Something Going on Above My Head III”., Uppland, Suecia

1999·    ExTeresa Arte Actual, Cartucho.  “Something Going on Above My Head I”·    México D.F., México·    Whitechapel Art Gallery “Something Going on Above My Head II.”, Londres, R.U.

1998·    Juliet Gallery “From Within”, Trieste, Italia (cat.)1996·    Museo de arte contemporáneo, “Touch Me”. Londres, R.U. (cat.)·    Museo de Arte Moderno, “Bajando y cayendo”. Bogotá, Colombia (cat.)·    Biblioteca Luis Ángel Arango: Nuevos nombres. La lógica de los sentidos “Familiares anónimos”, Bogotá, Colombia (cat.)

1995·    Lisson Gallery, “Post Script”.  Londres, R.U.·    Lisson Gallery, “Ideal Standard Summertime”.  Londres, R.U.·    Museo de instalaciones, “Memory Skip”.  Londres, R.U. (cat. con CD)·    Museo de instalaciones, “Archive Show”. Londres, R.U.

1994·    Goldsmiths College “1 Woodchurch Rd London NW6 3PL” . MA Show. Londres, R.U.

BIBLIOGRAFÍA2006·    Modern Painters Texto de Sally O’Reilly Pág. 56·    Art Nexus Texto de Jiménez, Carlos. Pág. 56. La memoria inagotable de las voces.·    The Hours. (Texto cat.) Sebastián López Pág. 15.  Visual arts of contemporary Latin America IMMA-Museo irlandés de arte moderno, Dublín, y Daros-Latinamerica, Zurich.

2005·    Volatile architectures, Texto de Jim Drobnick. CRIME AND ORNAMENT Pág., 63 ed. de Bernie Miller y Melony Ward YYZ Books.·    Zoo Art Fair, (Texto cat.). Texto de Sally O’Reilly. Diversion End.

2004·    Cantos Cuentos Colombianos. (Texto cat.). Hans-Michael Herzog Pág.113 Arte contemporáneo colombiano Art Daros Latinamerica·    Animals (Texto cat.). Textos de Christiane Schneider y Raymond Gaita. Londres: Haunch of Venison, págs. 32–33, 61.·    Jiménez, Carlos. “Oswaldo Macià. De cómo crear silencios—How to Create Silences.” Lápiz 201, págs. 36–45.·    Bienal de Shanghai 2004 Techniques of the Visible. Texto Sebastián López. Pág.382·    Bienal Internacional de Liverpool 04. Textos de Laura Britton. Pág. 126.·    2003Artlab 021. Texto de John Slyce. London: Imperial College, pág. 61–65.·    Ciudad, Arte, Ciudadanía: Fotoars 2003: II Bienal de Lanzarote (cat. exp.). Textosde Santiago B. Olmo y otros. Lanzarote: Museo Internacional de Arte Contemporáneo, págs. 76–77.·    Octava Bienal de la Habana: El arte con la vida (cat. exp.). Textos de Hilda María Rodríguez Enríquez y otros. La Habana: Consejo Nacional de Artes Plásticas y Centro Wifredo Lam, págs. 149, 314–315.·    de Oliveira, Nicolas, Nicola Oxley, y Michael Petry. Installation Art in the New Millenium: The Empire of the Senses. London: Thames and Hudson, pág. 1, 4.

2002·    Toposmia art, scent, and interogations of spatiality.  Texto de Jim Drobnick, Journal of the  theoretical humanities Volumen 7 pag 31, ANGELAKI. Routledge.·    trans–barroso: 15 Latin American Artists in London. Textos de Leonardo Boix, Pablo Bronstein, Melina Berkenwald y Néstor Perlongher. Londres: premios CEMVO—Millenium, 2002, págs. 36–37.

2001·    Bienal de Tirana 1: Escape (cat. exp.). Textos de Giancarlo Politi y otros. Milán: Giancarlo Politi, págs. 268–269.

2000·    Continental Shift: Eine Reise zwischen den Kulturen (cat. exp.). Textos de Annette Lagler y otros. Freiburg im Breisgau: modo, pp. 96–97, 210·    John I’m Only Dancing: Embarrassment as Aesthetic Experience (cat. exp.). Textos de Sally O’Reily y otros. St Albans: University of Hertfordshire.

1998·    From Within (cat. exp.). Texto de Paulo Cecchetto. Trieste: Juliet Gallery.

1996·    Nuevos nombres: La lógica de los sentidos (cat. exp.). Texto de Ana Socolo. Bogotá: Biblioteca Luis Ángel Arango.·    V Bienal de Bogotá (cat. exp.). Textos de Gloria Zea y otros. Bogotá: Museo de Arte Moderno de Bogotá, págs. 36–37, 70–71.

1995·    Memory Skip (cat. exp. con CD). Londres: Museo de instalaciones.·    The Sound of Smell (CD). Hamburg: Audio Factory/Sony Austria.

 

 

 

 

07prtb1217

2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (ubicación)

Paseo de Recoletos, bulevar central. Performance 3 de Febrero, 22:00h

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] Opciones 13 a 15 (vídeos)

 

Opción 13CERVEZANTES

Opción 14 NATURALEZA MUERTATomas acuáticas (agua) sobre las paredes de los túneles

Opción 15PROYECTAS Y TE VASProyección sin contenido, realizada simultáneamente a la inuaguración del Festival por el presidente Fox

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. El Perro. VIRTUAL DEMOLITION MOBILE (imágenes)

2004. El Perro. VIRTUAL DEMOLITION MOBILE (imágenes)

 

     

     

     

     

     

     

      

     

                    

                    

 

 

 

 

 

04inic0110

2007. [NEXUS*] ART GROUP (Cv)

ACHILLEAS KENTONISNICOSIA, CYPRUS, 1963 VIVE Y TRABAJA EN NICOSIAWWW.ACHILLEASKENTONIS.BLOGSPOT.COM WWW.ARTOSFOUNDATION.ORG

JOSE LUIS DELGADO GUITARTTANGER, 1947 VIVE Y TRABAJA EN MADRIDWWW.ELASUNTO.COM

MARIA PAPACHARALAMBOUS NICOSIA, CYPRUS, 1964 VIVE Y TRABAJA EN NICOSIAWWW.MARIAPAPACHARALAMBOUS.BLOGSPOT.COM WWW.ARTOSFOUNDATION.ORG

MARJORIE KANTER (KASFIR) CINCINNATI, OHIO, 1943 VIVE Y TRABAJA ENTRE MADRID; TARIFA, CÁDIZWWW.ELASUNTO.COM/MKD.HTM

RICARDO ECHEVARRÍATOLEDO, 1972 VIVE Y TRABAJA ENMADRID WWW.HANGAR.ORG/ALMA_MATRIX

OBRA EN MADRID ABIERTO: PROYECTO[NEXUS*]..................................................................................................................................................................................................................................................................................................

ACHILLEAS KENTONISFORMACIÓN2001·    Candidato a doctor en el departamento de Tecnología y comunicaciones culturales de la Universidad del Egeo

1993·    Beca para estudios de postgrado en el Museo Internacional de Electrografía, Cuenca,Spain. Estética multimedia y nuevas tecnologías

1988·    Escuela de Bellas artes, University of South Alabama, EE.UU.

1987·    Marketing (Minor), University of South Alabama, EE.UU.

1983·    Lic. Ingeniería electrónica, University of South Alabama, EE.UU.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Game NOT Over FUNDACIÓN “LA CAIXA˝ DE LÉRIDA, España

2002·    Orientations Centro de arte contemporáneo Diatopos, Nicosia.·    Orientations, Museo Terriade, Grecia

1998·    From limestone to amethyst, Galería Argo, Nicosia

1994·    The bridge con Maria Papacharalambous, Famagusta Gate, Nicosia.

1992·    Hands in action, Centro Cultural Meseta de Orcasitas, Madrid.

1988·    The day after, Greenpeace –Soho, Nueva York.

EXPOSICIONES COLECTIVAS:2005·    Encuentros accidentales Centro municipal de arte, Nicosia·Video Sensitive PostcardsSan Marino. Fragility(vídeos cortos) Participación en el Femme Link International Video Collage Project.

2004·    HyperLinks – 20 Cypriot Artists, 20 new signalsFundación Evag. y Kath Lanitis, Limasol

2003·    “Detroit video festival”, Museum Of New Art, Detroit, EE.UU.·6η Triennale Mondiale D’Estampes, Chamalières, Francia·    Caminos a EuropaMuseo macedonio de arte ontemporáneo,Tesalónica, organizado por Intercambios artísticos europeos Apollonia.·International Art Expo– NONSTOP.·    Madrid03·International Art Expo– India 03·The C h o r o s Maker, Festival de cortos dramáticos, distinción especial del Centro cinematográfico helénico.

2002·    Los caminos a Europa, selección de intercambios artísticos europeos Apollonia, Place de la Gare y Parlamento europeo, Estrasburgo·Exposición de arte y vídeo, comisario Lucas Curci, Bari, Italia

2001·    Trienal en India, The West does not forgive…, Instalación en el espacio (con Maria Papacharalambous). Nueva Delhi, India.·    ·Días de cultura de Nicosia – Moscú, Rusia·    Chipre en fotografías - Palais des Nations, Ginebra.

2000·    , instalación bidireccional en el espacio (con Maria Papacharalambous), Factoría de la Escuela de Bellas artes de Atenas. Luces y sombras, Panorama del grabado griego, Centro municipal de arte de Nicosia y Galería nacional de Atenas.

1998·    Expo ‘98, Lisboa, Portugal·Estocolmo, Capital cultural Europea,Suecia·Chipre, seis rutas, Casa de Chipre, Atenas.· Jóvenes artistas chipriotasGinebra – Palais des Nations, Ginebra, Suiza.

1997·    Tokyo TodayMuseo metropolitano de fotografía de Tokio, Japón.··    Bienal de jóvenes artistas de países mediterráneos ‘97Turín, arquitectura con Maria Papacharalambous y Antonia Theodosiou. ·Helsinki 2000, Finlandia.· Τοkyo todaySalónica, Capital cultural europea.

1996·    Open bridgeHouston, Texas.Wonder wall, Copenhague, Capita cultural europea, Dinamarca,Alem da Agua, Copiacabana, Museo Extremeño e Iberoamericano de Arte Contemporáneo (MEIAC), río Guadiana, España. Festival internacional de vídeo y artes electrónicasFIV Buenos Aires, Argentina. Tokyo TodayCopenhague, Capital cultural europea, Dinamarca.

1995·    21ª bienal internacional de grabados ‘95, Lubliana, Eslovenia .· Open bridgeMuseo de Arte Contemporáneo Carrilio Gil, Μéxico.· Six Young Cypriot Artists, Centro municipal de arte de Atenas

1994·    Bienal de jóvenes artistas de países mediterráneos ’94, Lisboa, Portugal

1992·    Bienal de jóvenes artistas de países mediterráneos ’92,Valencia, España

1990·    1ª Bienal internacional de fotografía, Cataluña, España

1989·    International Plain Air (FIAP), Plovdiv, Bulgaria.

1988·    East and West, Intercambio cultural Eurocult, Moscú.· At the wall, Intercambio cultural Eurocult,Berlín.

BECAS Y PREMIOS2002·    The Choros Maker, corto de 35 mm, 2ª Festival de Cortos y Cortometrajes. Premio al documental. Teatro Rialto

2001·    The Choros Maker, Festival de cortos dramáticos, distinción especial del Centro cinematográfico helénico

2000·    The Washington, DC International Film Festival 2000. Película An Egg, ·    Galardón de la audiencia·    Festival internacional de cine IndieKINO, Seúl, Corea, agosto de 2000, ·    Película An Egg Premio NETIZEN

1998·    Τhe Berlin Wall’, 3º premio, concurso del Centro municipal de arte, Nicosia, Euro-Mediterranean Information Society Multimedia Award2º premio con CD- ROM del santo monasterio de Kyykos (realizado por la Universidad MRDLCyprus)

1998·    Nicosia según la crónica de Leontios Machairas, instalación, «Katafygia, 1º premio del concurso del Centro municipal de arte“ Nicosia·    1997 Premio Europa Nostra (con Maria Papacharalambous y Antonia Theodosiou)·    1995Mediterranean Woman Premio especial del Centro cultural francés ·    Premio ART Addiction (grupo espiral), Suecia.

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JOSE LUIS DELGADO GUITARTFORMACIÓN1977·    Licenciado en Comunicaciones Visuales por la Universidad de Massachussets.

EXPOSICIONES1977·    Expone pintura y obra gráfica en numerosas galerías de arte celebra exposiciones personales en: USA, Europa y África.

PREMIOS·    Premiado en el estado de Massachussets durante dos años consecutivos por su contribución a las artes.

CURSOS Y TALLERES1994·    Director Académico en la escuela de diseño Tracor, Madrid·    Cursos de creatividad para la Asociación de Hoteleros de Madrid (AEHM).·    Participa en el proyecto Brain-Linning (Tormentas de ideas on.line) con Compuserve.

1978·    Profesor de Creatividad, Bellas Artes, Diseño y Comunicaciones Visuales en: La Universidad de Massachussets (Boston), Mass College of Art (Boston) y Parsons University - Escuela de Diseño de Altos de Chavon (NYC- Republica Dominicana)·    Colabora en proyectos con el Center for Creative Imaging de Kodak, Graphic Languages Workshop (MIT) y Graphics Center (Harvard).·    Obra en colecciones (selección)·    La Biblioteca del Congreso de los EEUU (Washington),·    La Biblioteca Nacional de España (Madrid),·    La colección Forbes (Tánger )·    Mancomunidad del campo de Gibraltar·    Museo de La Legación Americana de Tánger·    Universidad de Cádiz·    Artista en Residencia en el Pratt Graphics Center (Nueva York)·    The MacDowell Colony for the Arts (Peterborough,NH)·    Moussem de Asilah (Marruecos).

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MARIA PAPACHARALAMBOUSFORMACIÓN1991·    Facultad de Bellas Artes, Universidad Complutense, Madrid-Pintura y Grabado (Matrícula de Honor), con una beca del Estado Español

1984·    Escuela de Bellas Artes, Atenas- Pintura (distinción), al mismo tiempo, talleres de escultura, diseño de escenarios, técnicas de fresco y pintura de iconos bizantinos con una beca del gobierno chipriota.

1982·    Conservatorio nacional de Atenas; Grecia

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    re-tales. Fundación ARTos, Nicosia

2002·    Galería Morfi, Limassol

2001·    Horizon: vertical. Centro de Arte Contemporáneo Diatopos, Nicosia

1999·    Little Forgotten Fairytales. Oktana, Nicosia

1997·    Dream Traps. Centro de arte, Nicosia

1994·    The bridge con A. Kentonis. Famagusta Gate, Nicosia

1992·    Centro Cultural meseta de Orcasitas, madrid

1991·    Casa de Chipre, Atenas·    Centro de arte, Nicosia.

HAPPENINGS / PERFORMANCES/ PUBLICACIONES / SIMPOSIOS·    the other dimension, happening multimedia, ARTos, Nicosia·    Cultura euromediterránea en Barcelona, España·    Encuentro de artistas e instituciones de arte contemporáneo de los Estados pequeños de Europa, República de San Marino·    Intercambios culturales, Consejo irlandés de las artes, Dublín, Donegal, Irlanda·    Diseño y aplicación estética de los edificios de la Fundación ARTos, Nicosia·    Synesthesia», performance y vídeo multimedia, Teatro R.I.K.·    Diseño y supervisión artística de la edición bilingüe de Orientations de Achilleas Kentonis, ARTos Foundation editions·    Teatro de las naciones, Universidad- iTi, Seúl, Corea·    Simposio Cultura en la economía global», Copenhague, Dinamarca·    Organización del primer acto internacional de internet art y Fax art en Chipre en el marco del Mes cultural europeo, Nicosia·    Organización de Open Bridge», Proyecto internacional de arte en colaboración con el museo M.I.D.E. de España; Museo de Arte Contemporáneo Carrilio Gil, Μéxico; presentado en Houston, Texas, Juegos Olímpicos de Atlanta 96 y en el Museo Carrilio Gil, Ciudad de México, México.·    Diseño y publicación de la edición trilingüe Message in a Bottle – Fire Border·    Organización del acto cultural internacional Message in a bottle» en tumbas antiguas (2 500 años de edad) en Chipre en el marco del Mes cultural europeo, Nicosia·    Simposio panhelénico Gea Aphrodite», Nicosia·    Intervención artística en el puente de San Pablo, Cuenca, España·    Desde 1997 hasta la actualidad, colabora con diversas compañías teatrales y con la Organización teatral de Chipre como diseñadora de escenarios y vestuario.·    Ha colaborado con el diseñador de moda Fotini Lamnissos en la creación de objetos artísticos y de diseño. 2000 metallaxis, Galería Argo, Nicosia; Bienal de Venecia 2005 y ARTos Design Shop·    La mayoría de los happenings, instalaciones, actos multimedia, diseño de escenarios y vestuarios, películas/ vídeos, proyectos arquitectónicos e internacionales se han llevado a cabo con el artista Achilleas Kentonis.

FILMOGRAFÍA·    Selección y aprobación por la junta asesora cinematográfica para la financiación de la película Once upon a dress…».·    Soundless Soundscapes10 min, Fragility 2 min.·    A Stroll 35 mm, corto de animación, 10 min.·    Memories after the silence 7min, Finikou 5 min, The choros maker 35 mm, 12min.·    Greed, proyección de vídeo perimétrico.·    Vecindarios del mundo, serie de cortos (50min).·    An Egg 14 min, animación de vídeo.

BECAS Y PREMIOS·    Distinción del Festival de cine artístico por la película A stroll.·    Distinción del Centro cinematográfico helénico en el 26º Festival de cortos y documentales, Grecia.·    Premio al documental – 2º Festival del corto y del documental, Chipre. “Audience award” Festival internacional de cine de Washington DC 2000·    “Netizen award”, Festival internacional de cine Idiekino, Seúl, Corea Premio “Europa Nostra”.Premio Art Addiction», Espiral Group, Estocolmo, Suecia

1992·    Beca del Museo Internacional de electrografía, MIDE, Universidad Castilla la mancha, Cuenca, España.

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MARJORIE KANTER (Kasfir)FORMACIÓN.       Licenciada por la Universidad de Ohio y la Universidad de Cincinnati, EE.UU

PROYECTOS (EN CURSO)·    House Menu·    The Light Traveller·    The Swimming Pool·    Upside Down Movie·    The tables were turned and we all ate upside down (recopilación en un libro)·    The Saddle Stitch Notebooks (proyecto en marcha de fragmentos de obras).

CONFERENCIAS, CURSOS Y TALLERES·    Miembro universitario y Directora de programa en el campo de Educación especial bilingüe/intercultural en educación superior, expresión bilingüeEn España, donde está trabajando en nuevas obras e imparte conferencias y sesiones de formación.

EXPERIENCIA COMO FORMADORA, JEFA DE TALLER, PRESENTACIONES EN CONFERENCIAS Y LECTURAS PÚBLICAS2004–presente ·    lecturas públicas y talleres en conferencias, escuelas y numerosas librerías de Madrid, Barcelona, Tarifa, París, Marruecos y EE.UU.

2006·    Asociación Wafae, Tánger, Marruecos, 2006;·    Expat Writers, University of New Orleans, 2006;·    MESEA, Sociedad de estudios multiétnicos, Conferencia internacional de escritura sobre la vida e historias, Pamplona, 2006;·    Hartley's Good Bookshop, Madrid, España, 2006;·    Monroe County Public Library, Florida, 2006;·    College English Association, San Antonio, Texas, 2006;

2005·    Conferencia internacional sobre lingüística contrastiva, Santiago de Compostela, 2005;·    Shakespeare and Co, París, Francia, 2005;·    Librería Laie, Barcelona, España, 2005;·    International House, Barcelona, España, 2005

2004·    transacciones/fadaiat tarifa 22+ 23 junio 2004, documentación y proyecciones;·    Conferencia internacional sobre narraciones cortas en inglés, Alcalá de Henares, 2004;·    Conferencia internacional sobre el análisis del discurso, Valencia, 2004; Feria del Libro, Madrid, España; Conferencia TESOL, Madrid, 2004;

1985·    Departamento de educación de Massachusetts, Coordinadora de formación·    Regis College, Weston, Massachusetts, Coordinadora de formación ·    Bridgewater State College, Massachusetts, Directora de programa·    Massachusetts Association of Bilingual Education, EE.UU., Editora, coordinación de conferencias y presentaciones·    National Association of Bilingual Education, EE.UU., Presidenta Grupo de interés especial sobre educación especial y presentaciones

OBRAS PUBLICADAS2006·    The Saddle Stitch Notebooks, Working Pieces Issue Number One: Relationships, Ediciones La Espiral Escrita, marzo 2006.

2005·    Piezas selectas incluidas en Blades 39, otoño 2005.

2004·    Desplazo el aire al caminar, recopilación en un libro de piezas entresacadas de diarios escritos durante un periodo de veinte años de vida en Tarifa, Madrid, Marruecos, el Caribe y Boston, Ediciones La Espiral Escrita, marzo 2004.

2000·    La falda, The Barcelona Review, marzo 2000.·    El Enano, Mucho Cuento, Editorial Acumán, España, noviembre 2000.·    Text Only Postcards, Ediciones Caracola en Patines, España, 1999.·    Vendaval Magazine, Editor, Tarifa, España, 1988-90.

BIBLIOGRAFÍA·    [De próxima aparición] Marjorie Kanter, Película de José Luis Delgado Guitart y Ricardo Echevarría, mayo 2006 "Desplazo el aire al caminar"·    Review by Dr. Ángel Amy Moreno, Five Stars, Amazon Reviews, 2005.·    Best pocket poetry book for 2004, Andrew Giles, InMadrid.·    Review by Andrew Giles, InMadrid.·    Reviewed in The Broadsheet, 2004.

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RICARDO ECHEVARRÍAFORMACIÓN2002·    1er Ciclo Arquitectura. CEES

1995·    Doctorado en BBAA. UCLM

1990·    Facultad de Bellas Arte de Cuenca (UCLM).

1990·    Música Electroacústica. Conservatorio Profesional de Música de Cuenca, (GME) y en la Universidad Menended y Pelayo (UIMP).

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    [SAMPLER] Centro Párraga. Murcia. (December 06-February 07)

2005·    Abraham. Espacio Contemporáneo Archivo de Toledo (ECAT),

2004·    Galería Forvm-Chantall Grande, Tarragona.·    Galería BS-Blanca Soto, Madrid.·    Fundación La Caixa, Lleida.

2001·    Finaltronics. Alternativa SXXI ,Malaga

1999·    Net-Pavillion. El Roser, Lleida,·    Tesseract. Centre Cultural, Fundación La Caixa, Lleida,

1997·    Poligrafía .Centre de Lectura de Reus

1996·    Museo de Arte Contemporáneo Samuel Leví, Toledo

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN)2006·    “Pompas de Jabón”. Künstlerhaus Glogauer, Berlin.·    1ª Bienal Fundación ONCE. Circulo de Bellas Artes. Madrid

2004·    Mapa Poètic. Forum Barcelona, 1-26 Junio·    ARCO 04 – Galería Forvm-Chantall Grande, Madrid

2003·    Premio de Arte Contemporáneo L´Oreal 2003. Finalista.2001·    100 años 100 diseñadores – Museo Reina Sofía (MNCARS) (2001)

2000·    Trasvases, Artistas Españoles en Vídeo, Peru, Argentina y México,·    Interzona. Palau de la Virreina, Barcelona·    Cymar -Hannover 2000 Expo, Weimar, Alemania.

1999·    Club Arts&Lounge. Art Museum of Granollers·    Visions de Futur – Tech Driven Society ,IMAC-Reus·    Pautas y Contrastes – Museo Reina Sofia (MNCARS)·    Germinations X . Atenas, Grecia Octubre 1998, Flandes, Bélgica.

1998·    ARCO 98 – Galería Dels Angels, Madrid·    Off-Sonic, Museo d´art Contemporany de Barcelona (MACBA)

1995·    Museo Español de Arte Contemporáneo de Madrid (MEAC). XI Muestra de Arte Joven·    Otros Mundos Posibles, Galería Cruce, Madrid

1994·    Los Angeles Center for Photographic Studies, Los Angeles, USA·    Galería Cruce, Madrid·    Anys 90 Distanzia 0. Centre d´art Santa Mónica, Barcelona

1993·    Radio Fontana Mix (RFM), Facultad de BB.AA, Cuenca

·    http://www.log-os.com/ del Pabellón Español en la Exposición Universal Hannover (Alemania).

1999·    Premio Internacional Moëbius. (Barcelona)

1994·    Primer Premio de Fotografía y Videocreación. Premios Castilla-La Mancha de Artes Plásticas, (Toledo)

1992·    Festival de Cine de Cannes (Francia) INJUVE, Premio de crítica de cine. (Madrid)

2000·    Beca de Artista en Residencia -C3 Foundation Soros (Budapest, Hungria)

1999·    Beca de Artista en Residencia -Facultad de Arte de Birmingham (Inglaterra),

1999·    Beca de Artista en Residencia -Escuela de Arte de Aix en Provence (Francia),

1996·    Beca de Artista en Residencia -European Cultural Month (Nicosia-Chipre).

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (ubicación)

Estación de Cercanías de Renfe Recoletos, hall central 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (texto y audio didáctico)

El Museo Peatonal se vale de un texto y audio didáctico con el cual informa a los posibles donantes sobre su filosofía y la forma en la que ofrece sus servicios.

The Passerby Museum

El Museo Peatonal es una institución itinerante dedicada a presentar exposiciones temporales en diferentes zonas de la ciudad. La colección del museo proviene de donaciones de gente como usted, aquellos que visitan, trabajan, o viven en los alrededores de la ubicación que el museo tenga en un momento determinado. El Museo Peatonal es la expresión física que refleja a través de las donaciones, el espíritu del barrio en que se encuentra.

El museo está actualmente aceptando donaciones para este espacio. Es por ello, que le invitamos a sumarse a este esfuerzo conjunto, contribuyendo con un objeto de su propiedad. Si desea mantener anonimato como donante, por favor solicítelo en el momento de su contribución. Para cualquier información adicional, favor de contactar al personal de la institución.  Todos los objetos donados pasarán a ser propiedad del Museo Peatonal.

Gracias por su cooperación.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (ubicación)

Paseo de Recoletos, Tienda Telefónica (junto al museo de cera)  

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García (Cv)

VALLADOLID, 1965VIVE Y TRABAJA EN BRUXELLESWWW.DORAGARCIA.NETOBRA EN MADRID ABIERTO: REZOS

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    Code inconnu. SMAK, Gent, Bélgica*·    Rooms, Conversations/ Cellule Cité Lenine. Les Laboratoires d’Aubervilliers,   Paris, Francia*·    Habitaciones, Conversaciones. Galería Juana de Aizpuru. Madrid, España·    Múltiples y Colectivos. Museu del Empordá, Figueras, Gerona, España. *

2005·    Letters to Other Planets. Galerie Michel Rein, París, Francia.·    Introduction to a Scientific Aesthetics con Matthew Buckingham.   Fundación Telefónica, Madrid, España.*·    Salas de proyectos Arco, Arco Madrid, España*·    Vibraciones, Musac, León España*·    Des Messages, des Instructions, des Questions Frac Bourgogne, Dijon Francia·    Dora García: Festival de Performance y Vídeo. Espacio1, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, España*

2004·    Galería Joan Prats. Barcelona, España·    Forever. Obra permanente encargada para el Frac Lorraine, Francia·    Luz Intolerable & La Esfinge. Museo Patio Herreriano, Valladolid España

2003·    The Kingdom. MACBA, Barcelona, España *·    Galerie Ellen de Bruijne, Ámsterdam, Países Bajos

2002·    The Breathing Lesson. Galería Jan Mot, Bruselas, Bélgica·    Galería Juana de Aizpuru, Madrid, España·    Galerie Jan Mot, Bruselas,Bélgica

2001·    Two Mirrors, Proyectos Ellen de Bruyne, Ámsterdam ,Países Bajos*·    Inserts in Real Time. Galerie Jan Mot, Bruselas, Bélgica·    1101001000infinito. Fundació La Caixa, Barcelona, España*·    La Pared de Cristal. La Gallera, Valencia, España*

2000·    Choreographies, Etablissement d'en Face, Bruselas - Bélgica*·    Sleep Close Up, Salas de proyecto Arco, Arco Madrid, España*·    Sleep Project. Proyectos Ellen de Bruyne, Ámsterdam, Países Bajos·    Va a Desaparecer. Galería Juana de Aizpuru, Madrid España*

EXPOSICIONES EN GRUPO2006·    Carnets du sous-sol. Galería Michel Rein, París, Francia.·    Entangled Tongues aka ‘Langues Emmêlées’. Centre Culturel François Mitterrand, Périgueux Francia·    “Say it Now!” Festival de performances Vooruit, Gent, Bélgica·    Miradas Breves. Casa de España en Buenos Aires,Argentina,·    - 60 minutes well spent. Proyección de vídeo, Frankfurter Kunstverein Alemania·    “Festival Trouble Les Halles de Schaerbeek”. Bruselas, Bélgica·    Untouchable. Villa Arson, Niza, Francia*·    Data Mining. Wallspace, Nueva York, EE.UU.·    Proxecto Edicion, CGAC, Santiago de Compostela, España*·    Cyberfem, EACC, Castellón España*·    Being in Brussels, Argos, Bruselas Bélgica*Publication

2005·    Short Stories: Contemporary Selections, Fundación Henry Art, Seattle,·    Washington, Estados Unidos·    Invisible Scripts. Letter To Morel. W139, Ámsterdam Países Bajos·    Ça ne se représentera plus. Ecole des Beaux-Arts de Rennes, Galerie du Cloître, Rennes, Francia·    Art Basel, Galería Juana de Aizpuru·    The Art Film Program, Kunsthalle Basel, 13-18 junio·    Posthumous Choreographies. White Box Gallery, N.Y. Estados Unidos·    Le Génie du Lieu, Musée des Beaux Arts de Dijon, Francia·    Libros de Artista. ProjectSD, Barcelona, España·    Le Tableau des Élements.  Mac Grand Hornu, Mons, Bélgica

2004·    “Festival de cine de Rotterdam”, Países Bajos*·    Opening Days, Beurschouwburg, Bruselas Bélgica·    “Bienal de Lieja Bélgica”*·    1x1xtemps, Frac Bourgogne Francia·    White Spirit, Frac Metz Francia·    Donderdagen, De Singel, Amberes, All The Stories, Bélgica·    Procesos Abiertos, Hangar, Barcelona/ Tarrasa*,España·    D_calage, échanges de vidéos et performances de femmes artistes entre Montréal et Bruxelles.  Petit Théatre Mercelis, Bruselas Bélgica·    “Courtisane film festival”, Gent Bélgica·    “Ann Arbor Film Festival”. Michigan,Estados Unidos·    Entropy AR/GE Kunst. Bolzano Italia*·    Schöner Wohnen, Be-Part, Waregem, Bélgica *·    Arte Portugués y Español de los Años 90. Centro Cultural Fonseca Salamanca; CaixaForum Barcelona; Centro Atlántico de Arte Moderno Canarias España

2003·    “Festival de Cine de Rotterdam”, Países Bajos*·    Monocanal, Museo Nacional Reina Sofía, Madrid, España*·    25hrs, International Video from the 90s, Barcelona, España*·    “Bienal de Estambul” . Turquía*·    “Festival de cine Argos”, Bruselas, Bélgica*·    La Conquista de la Ubicuidad. Centro Párraga Murcia, España, CAAM

2002·    IN/EX-HIBITION. Galería Les filles du calvaire, Paris, Francia·    Feb. 3. 2002, Museum Dhondt-Dhaenens, Deurle, Bélgica*·    Do it Yourself, Galería Jan Mot, Bruselas,Bélgica·    ARCO 2002, Galería Juana de Aizpuru España·    Action/Replay 2, MC 93. Bobigny, Francia. (25-26 mayo -1-2-8 junio 2002)·    Art Brussel, Galería Jan Mot Bélgica·    Móviles. Parcours de Saint Gilles, Bruselas, Bélgica*·    Lost Past.  Ypres Bélgica*

2001·    ARCO 2001 Stand Galería Juana de Aizpuru y Stand Caja Madrid**·    Vis à vis, proyección de vídeo FRAC Lorraine Francia·    “House of Games” Festival a/d Werf. Utrecht, Países Bajos·    Feria de arte de Basilea, stand Galería Juana de Aizpuru*·    Ici et maintenant, TNT, Bruselas, Bélgica.·    Silhouettes and Shadows, Tilburg Países Bajos·    BIDA, Universidad de Valencia*·    Stromereien, Open Performance Days Zurich Suiza·    Embodiment, De Brakke grond. Ámsterdam, Países Bajos*

2000·    ARCO 2000 , Galería Juana de Aizpuru, España·    Feria de arte de Bruselas, Galerie Mot&vanden Boogaard, Bélgica·    Feria de arte de Basilea, Galería Juana de Aizpuru, Suiza·    Stock, Proyectos Ellen de Bruyne, Ámsterdam Países Bajos·    El Espacio como Proyecto, Bienal de Pontevedra, España*·    Trasvases, Museo de Arte Moderno de Buenos Aires, Argentina*·    Metro>Polis, Metro de Bruselas, Bélgica*·    “Festival Audiovisual de Navarra”, España*

FORMACIÓN·    Bellas Artes en la Universidad de Salamanca, España, y en la Rijksacademie de Ámsterdam, Países Bajos

BIBLIOGRAFÍA MONOGRAFÍAS·    The Prophets, CGAC, Santiago de Compostela, España, Noviembre 2006·    All The Stories She/ Mujer, EACC, Castellón, Spain, Octubre 2006·    CCL cellule cité Lénine, Les Laboratoires d'Aubervilliers, Aubervilliers, Paris, Septiembre 2006·    Not for everybody, Frederique Berholtz, Metropolis M No.1 Febrero 2006·    Code inconnu, SMAK, Ghent Bélgica 2006·    Todas Las Historias, festival de performance y vídeo, MNCARS Espacio Uno, Madrid España 2005·    Sí/yes/oui, No/no/non, Musac León, España y Frac Bourgogne, Dijon Francia 2005·    Forever, Ediciones CRU España, 2005·    Chus Martínez, Dora García, Le système subtile, Arte Contexto, Madrid, Núm 5, Febrero 2005, págs 74-85·    Varios autores, Introducción a Una Estética Científica: Dora García y Matthew Buckingham, Fundación Telefónica, Madrid 2005. ISBN: 84-89884-57-9·    Luz Intolerable y La Esfinge, Patio Herreriano, Valladolid, 2004, ISBN 84-96286-03-7·    Dora García, El Reino/ The Kingdom, Macba, Barcelona, 2003, ISBN 84-89771-03-0·    Dora García, Sala La Gallera, Valencia, Generalitat Valenciana, ISBN 84-482-2945-2·    1101001000infinito, Sala Montcada, Fundació La Caixa, Barcelona 2001, ISBN: 84-7664-747-6·    Pocket, Galería Juana de Aizpuru y Junta de Castilla y León, 2000·    Dora García, de Vleeshal, Middelburg Países Bajos 1997 ISBN 90-72310-15-2·    Dora García, De Appel, Amsterdam Países Bajos 1991 ISBN 90-73501-09-1

 

 

 

 

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2006. Nicole Cousino + Chris Vecchio. SPEAKHERE! (ubicación)

Emisor: C/ Alcalá. Receptor: Parque del Retiro, entrada Plaza de la Independencia 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. INVITACIÓN, 2005

2007. Mandla Reuter. INVITACIÓN, 2005

 

INVITACIÓN, 2005VarsoviaCon la colaboración de Alexander Wolf.

El punto central del trabajo es la distribución de un juego de llaves a varias personas para acceder a un apartamento de una habitación en Varsovia. Como hay tantas llaves como tarjetas de invitación, más o menos 500, el apartamento pierde su carácter privado y se convierte en una especie de espacio público como podría ser un museo. El apartamento esta equipado de acuerdo con su tamaño (para una o dos personas).

Aunque el apartamento se encuentra en Varsovia, el proyecto en su conjunto no se basa en un lugar específico, dado que la distribución y entrega personal de llaves y tarjetas de invitación ya era parte esencial del mismo y los propietarios de las llaves podían ir a cualquier lado con ellas sabiendo que tienen acceso a un apartamento en Varsovia.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (postal)

2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (postal)

** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Anikka Ström (Cv)

HELSINGBORG, SWEDEN, 1964VIVE Y TRABAJA EN LONDON WWW.ANNIKASTROM.NETOBRA EN MADRID ABIERTO: THE MISSED CONCERT

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    Call for Demonstration, comisaria Monica Ross, Meta.gallery Hove, R.U.·    Sneaklaunch, Stockholm Citywide Billboard, proyecto encargado por Bonniers Konsthall, comisaria Sara Arrhenius, Estocolmo·    The kindest artist in the world, galería Random, (Espacio para proyecto de Praz Delavallade & Air dParis), París

2005·    Jag vill kunna se vad det är, Galleri Charlotte Lund, Estocolmo·    The missed concert and the kindest artist in the world, c/o - Atle Gerhardsen, Berlín

2004·    Mary Goldman, Los Ángeles, EE.UU.·    Det bästa, Galleri Box, Gotemburgo, Suecia·    I am in love/ all my dreams...Galleria Sonia Rosso, Turín, Italia

2003·    16 minutes,  Galerie Drantmann, Bruselas·    Everything in this show can be used against me, Casey Kaplan, Nueva York

2002·    Vatt på video, Galleri Charlotte Lund, Estocolmo

2001·    Six Songs for a Time Like This, c/o - Atle Gerhardsen, Berlín·    Six Songs for a Time Like This, IASPIS Galleriet, Estocolmo·    Six Songs for a Time Like This, Statement Art 32 Basel en c/o - Atle Gerhardsen, Basilea·    2000Grant for revolutionary  Goldman Tevis, Los Angeles, EE.UU.·    Ten New Love Songs, Videodrome, Copenhague·    Annika Ström, c/o Atle Gerhardsen, Oslo

1999·    Manuscript Song, Galleria Sonia Rosso, Pordenone, I (cat.)·    Annika Ström - Ten New Love Songs, Wiener Secession, Viena, (cat.)·    Annika Ström at Transmission, Transmission, Glasgow·    Seven Songs, Akershus Kunstnersenter, Akershus·    Fem Skäl, c/o - Atle Gerhardsen, Oslo

1998·    Seven Songs, Casey Kaplan Gallery, Nueva York, EE.UU.·    The First Song of Seven, Art Space 1%, Copenhague, Dinamarca1997·    Windowpillow, Casey Kaplan Gallery, Nueva York, EE.UU.·    Videoportrait screening No. X, Museo Rooseum de Arte ContemporáneoMalmö, Suecia·    The Pineapple Project, Malmö, Suecia

1996·    Annika Ström, Galería Rupert Goldsworthy, Berlín

1995·    Anna Ström & Annika Ström (actuación de 3 días), Rupert Goldsworthy Gallery, Berlín (cat.)·    Windowpillow, Galería Saga Basement con J. Schou, Copenhague

EXPOSICIONES COLECTIVAS / PROYECCIONES2006·    The Clinic. Berliner Hebbel Am Ufer-Theater, comisarios Anselm Franke y Hila Peleg·    In a Magical World comisaria Juan Antonia Alvarez Reyes, Cala San   Vicente, Pollensa, Mallorca·    Bastards, comisaria Sinasa Mitrovic, White Chapel, Londres·    I am a victim of this song… and other sung videos, comisaria    ·    Montse  Badia Centre d´Art Santa Mònica, Barcelona·    Too much love, comisaria Amy Adler, Angles Gallery, Santa Mónica,     EE.UU.·    Innenausstattung. Privates Handeln comisarias Janneke de Vries y     Kerstin Stakemeier,·    Franz West without Franz West, comisario Veit Loers, Centre d'art Santa Mònica, Barcelona y Centro Atlántico de Arte Moderno, Las Palmas de Gran Canaria·    Janssons frestelse/Jansson´s Temptation, comisario Niels Bonde, Instituto de Arte Contemporáneo Overgaden, Copenhague·    Franz West without Franz West, comisario Veit Loers, Centre d'art Santa Mònica, Barcelona·    Mobile Screening in La Vidéotheque mobile de Fabrice Gygi, Landowski,Boulogne.·    Thee Peninsula art and film Anthology, comisario Heman Chong·    Museo de historia de Singapur, Singapur

2005·    Edstrandska stiftelsen exhibition, Malmö Konstmuseum, Malmö·    Situated Self comisarios Branko Dimitrijevic y Mika Hannula, Museo de Arte Contemporáneo de Belgrado,  Belgrado, Serbia·    Situated Self , Museo de la ciudad de Helsinki, Finlandia·    Tourist Class, comisarios Lars O Ericsson y M von Hausswolff, Malmö·    Konstmuseum, Malmö·    The 15 min show, comisaria Christina Ricupero y Alexis Vaillant en Stedeljik Bureau, Amsterdam·    Lak-ka-pid-lak-ka-perd Invisible landscapes, comisario Miya Yoshida, Universidad Chula, Bangkok, Tailandia·    Moderna by night, edición del Libro de artista con ONESTARPRESS, Moderna Museet, Estocolmo, Suecia·    The failure, comisarias Fanny Gonella y Sabine Schmidt, Korridor, Berlín·    Kyss Frosken, Nasjonalmuseet for Kunst, Oslo, Noruega·    Electric Ladyland, Video und Weiblichkeit, comisaria Katjy Albers, Neuer Berliner Kunstverein, Berlín·    Funky Lessons, Bawag Foundation, Viena·    Media in F, from feminist to feminists,Young Kee Kim, Centro de arte Ewha, Seúl

2004·    Made in Berlin, comisario Zdenek Felix, Artforum, Berlín, Alemania·    Funky Lessons, Büreau Friedrich, comisario Jörg Heiser, Berlin, Alemania·    Live, comisario Jerome SansPalais de Tokyo, París·    Hotel Hollywood, Künstlerhaus Palais Thurn und Taxis, comisaria Svetlana Heger, Bregenz, Austria·    Density  ±O, comisarias Caroline Ferreira y Marainne Lavanere, Ecole Nationale des Beaux-Arts de París, Francia·    Die kleine Biennale, comisario Mark Kremer, De Jaarbeurs, Utrecht, Países Bajos·    Video-Film-Documentary Programme , NIFCA, Helsinki, Finlandia·    Video Hits, Queensland Art Gallery, South Brisbane, Australia·    Density  ±O, Freiburger Kunstverein e.V., Freiburg, Suiza·    Criss-Cross, Kino, Lunds Konsthall, Lund, Andorra Cinema, Helsinki, seguido de una gira internacional (2004-2006)

2003·    Narcissus , comisaria Hilde Teerlink, Crac Alsace, Altkirch, Francia·    Contingent Living (comisaria Michelle Grabner), Bodybuilder & Sportsman Gallery, Chicago·    Invisible Landscape, comisaria Miya Yoshida en el Centro Rooseum de arte contemporáneo Malmö, Suecia·    Paradigm of love, comisaria Judith Reichart, Vorarlberger Kunstverein, Bregenz, Austria·    Inside Outliners, a probable anthology (comisario Roland Patteeum), Kunsthalle  Lophem Belgium, Bélgica·    5 Projects: Contemporary Art from Sweden, Yerba Buena Center for the Arts, San Francisco, EE.UU. Piacenza, Milán, Italia, comisario Paolo Zani·    Annika Ström, Catrin Otto, (Senatsstipendiaten der Stadt Berlin 2003) Kunstbank, Berlín

2002·    Cine y casi cine, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, España·    Gossip, Konstmuseet Malmö, Malmö, Suecia·    Art costs more than sausages, Moderna Museet, Estocolmo, Suecia·    The music in me 1 Gesellschaft für Aktuelle Kunst, Bremen, Alemania·    Gallery Group Show, Goldman Tevis, Los Ángeles, EE.UU.·    Openvideospace (cur. by Marina Sorbello), Openspace, Milán, Italia·    Video Lounge (cur. by Maria Rosa Sossai), Fondazione Olivietti, Roma, Italia·    Documents, Documentaries and Documentation: Artists’ Film and Video Programme, Arnolfini, Bristol, R.U.·    “Je t’aime……moi non plus”, Kunstmuseum Thun, CH (exposición ambulante)·    Göteborg Filmfestival “Artfilm”, Cinema Atalante, Gotemburgo, Suecia

2001·    Experimental Film Festival BEFF, Project 304, Bangkok·    One Night Stand, (presentado por Make), The Lethaby Gallery, Londres, R.U.·    Silence of the City, Museo municipal de arte de Gwangju, Gwangju, Corea·    WonderWorld, Kleines Helmhaus, Zürich, Suiza·    The Wedding Show, Casey Kaplan, Nueva York, EE.UU.·    Summer Group Show, Galleria S.A.L.E.S., Roma, Italia·    The Artist’s World, curated by  Ralph Rugoff, CCAC Institute, San Francisco, EE.UU. (cat.)·    Monitor Vol. I, Gagosian Gallery, Nueva York, EE.UU.·    Berlin_London_2001, ICA London, Londres, R.U.·    Pandas and bamboo a new song by Annika Ström I am the Panda, Robin Pruitt at Gavin Brown’s Enterprise, Nueva York, EE.UU.·    Bra mot melankoli – Remedy for Melancholy (comisarios Anders Kreuger y Evaldas Stankevicius), Edsvik konst och kultur, Sollentuna, S / Baltic Art Center, Visby, S (cat.) / Centro de arte contemporáneo, Vilnius, Lituania

2000·    Filles Modernes, École Superieure d´Art de Perpignan, Perpiñán, Francia·    KS175.com, Kunstforeningen Gammelstrand, Copenhague, Dinamarca·    Wonderful Copenhagen, Stadtgalerie Kiel, Kiel, Alemania (cat.)·    Freeways and Garage, Sparwasser HQ, Berlín, Alemania·    Attraction, Metrónom, Barcelona, España·    WaterFront. Exposición internacional de arte en Helsingborg-Helsingør, Kulturhuset Toldkammeret, Museo Helsingør / Helsingborg, Dinamarca·    Escape_Space, Ursula Blicke Stiftung, Kraichtal-Unteröwisheim, Alemania (cat.)·    Flakk, or that extraordinary sensation of being abroad, even when at home, The Nordic House, Reykjavik, Islandia (cat.)·    Artists of the Gallery, Casey Kaplan, Nueva York, EE.UU.·    Amateur/ Eldsjäl. Variable Research Initiatives 1900-2000, Konstmuseum, Gotemburgo, Suecia (cat.)·    Shoot! Festival Internacional de Vídeo, Malmö, Suecia

1999·    Exit, Chisenhale, Londres, R.U.·    Close-ups, Nikolaj – Centro de arte contemporáneo de Copenhague, Copenhague, Dinamarca (cat.)·    Identität, Halle für Kunst, Lüneburg, Alemania·    Rosa für Jungs/Hellblau für Mädchen, NGBK, Berlín, Alemania (cat.)·    The search for the spirit. 25 Jahre RealismusStudio, NGBK, Berlín, Alemania (folleto)·    Level Cinema, W139, Amsterdam, Países Bajos·    Nasubi Gallery / Cities On The Move, Museo Louisiana de arte moderno, Humlebæk, Dinamarca

1998·    Nordic Nomads, White Columns, Nueva York, EE.UU.·    Beige & Sneakers, Concierto – Performance – Acto, Büro Friedrich, Berlín, Alemania·    Out of the North, Württembergischer Kunstverein, Stuttgart, Alemania (cat.)·    Wrapped, Vestsjællands Kunstmuseum Sorø, Dinamarca (cat.)·    Art Club Berlin, Mies van der Rohe Pavillion, Barcelona, España·    Bicycle Thieves, Beret Arte contemporáneo internacional de Copenhague, Chicago, EE.UU. (cat.)·    Pakkhus, Momentum, Festival nórdico de arte contemporáneo, Noruega (cat.)·    Videorama, Video Screenings, Viena, Austria·    Domesticity, Gallery Mehdi Chouakri, Berlín, Alemania·    After the Orgy, Smart Project Space, Amsterdam, Países Bajos·    Nuit Blanche - My Room, (programa de vídeo DK), Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, París, Francia (cat.)·    Jubileum Exhibition, Stalke Gallery, Copenhague, Dinamarca·    Undergrund, Gallery Asbæck, Copenhague, Dinamarca·    The Louisiana Exhibition, Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, Dinamarca (cat.)·    Art Calls, Telephone Project, Dinamarca (cat.)·    Do It, Nikolaj. Centro de arte contemporáneo de Copenhague, Copenhague, Dinamarca (cat.)·    Sitting Up Erect or Reclining, Home Show (comisario M. Goldman), Berlín, Alemania

1997·    Art Club Berlin, Art Forum Berlin, Berlín, Alemania·    What Is A... Do On A Deserted Island?, Middlegrundsfortet, Dinamarca·    One Band Stand, actuación en concierto con estancia, Rockefeller Center, Oslo, Noruega·    Gallery Stalke, con Recke & Bechmann, Copenhague, Dinamarca (cat.)·    Museo de arte contemporáneo, Roskilde, Dinamarca (cat.)·    Shift Kunstverein, Berlín, Alemania·    Splendid Isolation, Osmos Gardenshow, Berlín, Alemania·    Double Bind, Gallery Enkehuset, Estocolmo, Suecia (cat.)

1996·    Tidsanda III - Nordisk Konst, Museo de arte de Malmö, Malmö, Suecia·    When Shit Hits The Fan, (texto de Tone O. Nielsen) Overgaden. Sala de exposiciones de arte contemporáneo del Ministerio danés de cultura, Copenhague, Dinamarca (cat.)·    Vardagslivets Psykopatologi!, Galleri Struts, Oslo, Noruega·    Electronic Undercurrent - Video in Europe, Museo real de Bellas artes, Copenhague, Dinamarca (cat.)·    Compartments, Programa de vídeo: Escape attempts, organizado por Globe, Copenhague, Dinamarca (cat.)

1995·    5 Artists, Galleri Struts, Oslo, Noruega·    Trans.form.identity, Overgaden, Copenhague, Dinamarca·    Time Slice, Media Art School, Mueseo real de Bellas artes, Copenhague, Dinamarca

BIBLIOGRAFÍAMonografías / Folletos, Catálogos en exposiciones individuales·    Annika Ström, texts, onestar press, Francia (2005)·    Annika Ström. manuscript song, Galleria Sonia Rosso, Pordenone, I (2000)·    Annika Ström, Ten New Love Songs Ina Blom/ Dave beech, Secession, Viena, A (1999)·    Six Songs for a Time Like This, Jennifer Higgie , IASPIS GALLERIET, Estocolmo, Suecia (2001)·    Keep going  by Tom Morton, Meta paper, Metagallery, Hove (2006)

CATÁLOGOS DE EXPOSICIONES EN GRUPO / LIBROS2006·    Janssons Frestelse, Overgaden, Copenhague

2005·    Edstrandska stiftelsen art award, Malmö Konstmuseum, Malmö·    VERSION, Coloring Book, edited by Gabriela Vanga, Mircea Cantor, Ciprian Muresan, Versión Magazine 0.6, uomania·    Tourist Class, Malmö Konstmuseum, Malmö·    VideoZone2\, 2ª Bienal internacional de videoarte en Israel, Centro de arte contemporáneo, Tel Aviv, p. 50·    Lakka pid-lakka ped, Invisible Landscapes, Bangkok·    Situated Self, Confused, Compassionate and Conflictual, Museo de arte contemporáneo, Belgrado·    Funky Lessons, ( cur. by Jörg Heiser), Revolver, Francfort

2004·    Jahresbericht 2004, Künstlerhaus Palais Thurn und Taxis, Bregenz·    Live, Palais de tokyo, París·    Video Hits, Queensland Art Gallery, South Brisbane, Australia·    Density  ±O, Ecole Nationale des Beaux-Arts de , París·    Die kleine Biennale, De Jaarbeurs, Utrecht, Países Bajos·    Criss-Cross Video-Film-Documentary Programme, NIFCA, Helsinki, Finlandia (Folleto)

2003·    densité ±O, (comisaria Caroline Ferreira), Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de  Paris, Francia·    Love, Vorarlberger Kunstverein, (comisarios Judith Reichart y Wolfgang Fetz),  Bregenz, Austria

2002·    Je t’aime…moi non plus (Booklet), Exposición ambulante de vídeo (comisaria Hilde Teerlinck), Thun, Suiza·    Artificialities, Christoph Merian Verlag and Helmhaus, Zürich, Suiza·    Cine y Casi Cine, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, España

2001·    Art – Pop – City, Büro Friedrich, Berlín·    WonderWorld (Booklet), Kleines Helmhaus, Zürich, Suiza·    The Artist’s World, CCAC Institute, San Francisco, EE.UU.·    Bra mot melankoli – Remedy for Melancholy (comisarios Anders Kreuger y Evaldas Stankevicius), Edsvik konst och kultur, Sollentuna, S / Centro de arte báltico, Visby, Suecia

2000·    Wonderful Copenhagen - Aktuelle Kunst aus Dänemark, editado por Landeshauptstadt Kiel / Stadtgalerie, Kiel·    Flakk, or that extraordinary sensation of being abroard, even when at home, NIFCA and The Nordic House, Reykjavik, Islandia·    Crossing boundaries, Instituto cinematográfico danés, Filmhuset Copenhagen, Dinamarca·    Amateur/Eldsjäl, Göteborgs Konstmuseum, Gotemburgo, Suecia·    Escape_space, Ursula Blicke Stiftung (editores Ursula Frohne y Christian Katti), Kraichtal, Alemania·    Waterfront International Art Exhibition, Mueso Helsingør / Dinamarca y Museo Helsingborgs / Suecia

1999·    Searching For the Spirit, NGBK, Berlín, Alemania·    Close-ups, Nikolaj – Copenhagen Contemporary Art Center, Copenhague, Dinamarca·    Rosa für Jungs/Hellblau für Mädchen, NGBK, Berlín, Alemania·    The search for the spirit. 25 Jahre RealismusStudio (folleto) NGBK, Berlín, Alemania·    Nordic Nomads (comisaria Andrea Kroksnes), White Columns, Nueva York

1998·    Bicycle Thieves, Beret International Contemporary Art From Copenhagen, Chicago, EE.UU.·    Nuit Blanche, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, París, Francia·    Out of North, Württembergischer Kunstverein, Stuttgart, Alemania·    Wrapped (text by Ralf Christofori), Vestsjællands Kunstmuseum, Sorø, Dinamarca·    Pakkhus 98, Momentum: Festival nórdico de arte contemporáneo, Moss, Noruega

1997·    Lousiana Udstillingen. Ny Kunst fra Denmark og Skane, Museo Louisiana de arte modeno, Humlebæk, Dinamarca·    Annika Ström, Nikolaj Recke, Thorbjørn Bechmann, Stalke Galleri, Copenhague, Dinamarca·    Do It, Centro de arte contemporáneo de Copenhague, Copenhague, Dinamarca·    Double Bind, Gallery Enkehuset, Estocolmo, Suecia

1996·    Electronic Undercurrent - Video in Europe, Museo real de Bellas artes, Copenhague, Dinamarca·    When the Shit Hits the Fan, Overgaden. Sala de exposiciones de arte contemporáneo del Ministerio danés de cultura, Copenhague, Dinamarca·    Annika Ström, Landspeed Records, Londres, R.U.

1995·    Annika & Anna Ström, Rupert Goldsworthy Gallery, Berlín, Alemania

ARTÍCULOS SELECCIONADOS2006·    Allen, Jennifer: Annika Ström, c/o – Atle Gerhardsen, Artforum, 9 de enero 2006, 237·    Higgie, Jennifer Call for demonstration, Events, Frieze, septiembre 2006·    Frenker, Clarence:  Kolla in stans konstigaste kåk, Aftonbladet, Estocolmo, 3 de abril·    Steen, Paul: Bäst just nu Konst, Nojesguiden, mayo·    Annika Ström: Für manche Platten bin ich zu sentimental, Monopol, febrero, p. 28

2005·    Edlinger, Andrea: c/o – Atle Gerhardsen, Erfundene Konzerte und Freunde,In: taz, tazplan, Mi. 16 de nov. 2005, p. 28·    Lange, Christy:Bound to Fail, Tate Online, número 4·    Stange, Raimar: Annika Stroem, The missed concert and the kindest artist in the world. En: spike, Art Quarterly, invierno 2005, pp. 109-110

2003·    Higgie, Jennifer: With a little help from my friends, frieze, número 78, octubre 2003, pp. 102-105·    Wilson, Michael: Annika Ström/Casey Kaplan, Artforum, verano 2003, p. 189·    Liutauras, Psibilskis: Living on Video, Flash Art, Milán, n.º 229, marzo-abril, pp. 76-79·    Amazeen, Lauren Dyer: Annika Ström/Galleri Charlotte Lund, Tema Celeste, Milán, ene./feb.

2002·    Kaiser, Phillipp: I don´t know what to sing. I do sing anything, Kunst-Bulletin, Zürich, n.º 6/2002, pp. 40-43·    Olofsson, Anders: Annika Ström, Konsten.net, Estocolmo, 22 de octubre·    Orrghen, Anna: Möte med dem som inte fick vara med på video, Svenska Dagbladet,Estocolmmo, 9 de noviembre, p. 7

2001·    Allen, Jennifer: Annika Ström, c/o Atle Gerhardsen, Berlin / Aernout Mik, carlier/gebauer, Berlin, NU: The Nordic Art Review, vol. III N.º 6/01, 2001·    Allen, Jennifer: Annika Ström. Atle Gerhardsen Gallery, Artforum.com, octubre 2001Boije af Gennäs, Staffan: The subtle pleasure of displeasure, NU: The Nordic Art Review, vol. III, n.º 2, febrero 2001·    Nolte, Michaela: Ich möchte ein Eisbär sein. Gerhardsen, müllerdechiara, Crone, pepperprojects: ein Streifzug durch junge Galerien, die ihr Berlin-Debüt geben, Der Tagesspiegel, 27 de octubre. 2001·    Osswald, Anja: Das Leben ist ein Pop-Song. Home-Videos: Annika Ström in der neu eröffneten Galerie Atle Gerhardsen, Zitty. Illustrierte Stadtzeitung Berlin, n.º 22 / 2001, 18.-31. octubre, p. 55·    Zannier, Sabrina: Annika Ström, Flash Art, N.º 221, abril - mayo

2000·    Comis, Guido: Annika Ström, Tema Celeste, Milán, n.º 78, marzo – abril 2000, p. 111·    Erickson, Karl /Falkowski, Andrew: I´m Not Afraid to Say I Love You, New Art Examiner, marzo 2000, pp. 20-24·    Erickson, Karl: A&E at Chicago Project Room, Flash Art, mayo-junio, 2000, p. 74·    Hallenaut, Paul: A propos de la Halle au Poisson et des ‘Filles Modernes’, LeTravailleur Catalan, 24/30 de noviembre 2000·    Movin, Lars: Crossing boundaries, Danish Filminstitute, n.º 8, 2000·    Sveinsson, Hjálmar:Flakk, NU: The Nordic Art Review, vol. II, n.º 5, 2000, pp. 85-86·    Tuban, Grégory: Tendances floues, La Semaine du Roussillon, 16/22 de noviembre 2000·    Zannier, Sabrina: Annika Ström (Sonia Rosso), Flash Art (Edición italiana), Milán,·    No. 221, April – May 2000, pp. 117-118·    Zannier, Sabrina: Quotidiana finzione. Un video autobiografico di Annika, MessaggeroVeneto, 18 de enero 2000, p. 10·    M.S. Arriva Annika Ström. Nella prima presonale italiana, Arte Tendenze, Milán,  n.1 317, febrero 2000, p. 162·    Anónimo Les ‘Filles Modernes’ s’exposent!, L’Independant, 6 de noviembre 2000·    J.M.C. ’Trois filles modernes’, narcissiques et minimalistes, à la Halle au poisson, L’Independant, 12 de noviembre 2000

1999·    Blom, Ina: Annika Ström, NU: The Nordic Art Review, vol. I, n.º 1, 1999, p. 90·    Beech, Dave: Video after Diderot, Art Monthly, n.º 225, abril 1999·    Holm, Torre Geir: Annika Ström, BilledKunst, n.º1, 1999·    Rabinowitz, Cay S.: Annika Ström, Art Papers, marzo/abril 1999

1998·    Beech, Dave: New Art on the Block, BillyLiar, n.º 2, 1998·    Ebeling, Knut: Der Tagesspiegel, Berlin, 2 de mayo 1998·    Eichler, Dominic: Out of the North  (texto de catálogo)·    Kirkhoff Olsen, Brigitte: Støjsignaler SOS, Kunstmagasinet 1%, Número previo a la edición, Copenhague, diciembre 1997 – enero 1998, pp. 8-10·    Myers, Terry R.: The Louisiana Exhibition, Art/Text, n.º 60, febrero – abril 1998·    Nacking, Åsa: Med en Enkel Sång – nya verk av Annika Ström, Kunstmagasinet 1%, n.º 2, marzo 1998·    Patricio, Andrew: The Louisiana Exhibition, Øjeblikket, n.º 35, 1998·    Sirmans, Franklin: Aperto Copenhagen, Flash Art, n.º 201, 1998·    1997Kern & Høyer: Kunst på tvæers, AKTUELT, 3 de octubre 1997

1996·    Fricke, Harald: Kunst in Berlin, TAZ, 27/4, 1996·    Martin, Conrad: Südschwedische Hausfrau, Zitty, octubre1996

1995·    Nacking, Åsa: Annika Ström, Paletten, n.º 4/95, 1995

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. INVITACIÓN, 2006

2007. Mandla Reuter. INVITACIÓN, 2006

 

  

INVIATCIÓN, 2006Varsovia

Durante medio año un apartamento de Varsovia será alquilado. Estará equipado con los muebles necesarios para llevar una vida aceptable: una cama, una mesa y algunas sillas. La apariencia del piso debería ser lo más neutra posible.

Este proyecto, anunciado como una exposición, consiste en distribuir llaves duplicadas al mayor número de gente posible en distintos lugares en los que estaremos disponibles mientras dure proyecto. Estos podrían ser, por ejemplo, Frankfurt, Berlín o Estambul.

El objetivo del proyecto consiste en reblandecer los límites entre un apartamento privado y un espacio público incrementando el número de gente con acceso al lugar. Un espacio podría ser definido, entonces, como una especie de espacio público una vez circulen cierto número de llaves.

Las llaves son distribuidas en mano junto a una carta de invitación que describe los puntos del proyecto. Un gran número de personas tendrá la posibilidad de visitar el apartamento y tomar parte activa en el proyecto. No hay ningún horario que dé una visión de cómo es frecuentado el apartamento; por tanto la constante posibilidad de encuentros casuales es muy alta.

Una parte esencial del proyecto es el acto de ofrecer las llaves a gente de varios países. Un potencial de posibilidades diversas es introducido a través de la dimensión especulativa implícita al proyecto. Los propietarios de las llaves se deben decidir sobre las posibles variedades. Otra parte del proyecto tiene que ver con la elección de la ciudad. La idea de tomar Varsovia como el punto de inicio de la exposición se comprende dentro de unas coordinadas geográficas de la ciudad, que exige tomar conciencia del lugar específico.

A pesar del tema del apartamento público/privado que subyace al proyecto, también deberá funcionar como una especie de plataforma social y una oferta para gente que viaja a otro lugar. A pesar de que intentaremos hacer lo posible para llevar a cabo el proyecto del apartamento, será necesario trabajar conjuntamente con alguna de las instituciones de Varsovia y gente en cuanto a temas de organización y mantenimiento del piso.

El proyecto de Varsovia se realizó con el apoyo de Buero Kopernikus, www.buerokopernikus.org and e-flux.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (desplegable)

2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (desplegable)

** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (ubicación)

Pº del Prado, Boulevard central entre la Plaza de Cánovas del Castillo y Plaza Platería Martínez  

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. LA CASA DIGESTIVA, 2007

2009-2010. Josep-María Martín. LA CASA DIGESTIVA, 2007

LA CASA DIGESTIVA, 2007Memoria y hábitat: prototipo de hábitat en OnexBAC, Bâtiment d’Art Contemporain. Onex y Ginebra, Suiza

** VER PDF ADJUNTO

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (ubicación)

Pº del Prado, Boulevard central entre la Plaza de Cánovas del Castillo y la fuente de Apolo  

 

 

 

 

 

 

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2007. Susan Phillipsz (Cv)

GLASGOW, 1965VIVE Y TRABAJA EN BERLINOBRA EN MADRID ABIERTO: FOLLOW ME

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Kunst-Station, St Peters Church, Köln·    Susan Philiosz, CGAC, Centro Galego de Arte Contemporanea,Santiago·    Susan Philiosz, Centre d'Art Santa Monica, Barcelona·    Susan Philipsz, Mitzuma Gallery, Tokyo·    Imperial War Museum Commission, Duxford, England·    Susan Philiosz ,Centre Pour l'image contemporaine, Geneva

2006·    There Is Nothing Left Here, Isabella Bortolozzi Gallery, Berlin·    Something Better Change ,Special project, ARCO Art Fair, Madrid·    Stay With Me, Malmö Konstall, Malmö·    Ziggy Stardust, Appendiks, Copenhagen

2005·    Reception 3 (with Robert Barry) Bürofriedrich, Berlin

2004·    Susan Philipsz Kunstverein Arnsberg. E.V, Arnsberg·    Susan Philipsz Ellen de Bruijne Projects, Amsterdam·    Let Us Take You There, (with Paul Rooney) Site Gallery, Sheffield

2003·    Susan Philipsz, 38 Langham St, London

2002·    Susan Philipsz Ellen de Bruijne Projects, Amsterdam·    Pledge, Temple Bar Gallery, Dublin

2001·    Tomorrow Belongs To Me, Stadtlabor, Lüneburg

2000·    I Remember You, The Old Museum Arts Centre, Belfast·    Some Place Else, (with Mary McIntyre), Consortium Gallery, Amsterdam

1999·    Red Standard, (with Eoghan McTigue), The New Works Gallery, Chicago

1998·    Strip Tease, The Annual Programme, Manchester EXPOSICIONES COLECTIVAS2008·    Folkstone Triennial, Folkstone, Kent

2007·    Sculpture Projects Münster 07, Münster

2006·    The Busan Biennale, Busan, Korea·    The Grand Promenade, Museum of Contemporary Art. Athens·    Berlin Biennale, Berlin·    Undo Redo, Kunsthalle Fridncaum, Kassel·    Tina B, Festival of Contemporary Art, Prague·    Live Radio Project; “Radio Waves Goodbye” Hidden Rythms, Nijmegen·    Ars 06, Museum of Contemporary Art KIASMA, Helsinki

2005·    Gangzhou Triennale, Guangzhou, China·    Turin Triennale, church of Santa Crux, Rivoli·    Argos Festival, Brussels·    Leaps of Faith New Commission, Nicosia, Cyprus·    Our Surroundings, New Commission, Dundee Contemporary Arts, Dundee

2004·    The Stars Are So Big, The Earth is So Small....Stay As You Are,  c/o Esther Schipper, Berlin*·    I Feel mysterious Today, Palm Beach Institute of Contemporary Art, Palm Beach*·    Pass The Time of Day, Maryron Park, London*·    Berlin Art Forum, Ellen De Bruijne Projects·    Platform, Istanbul·    Depicting Love, Kuenstlerhaus Bethanien, Berlin*·    Space to Face, Westfaelischer Kunstverein, Muenster*·    Berlin North, Hamburger Bahnhof, Berlin *·    Beck's Futures 2004, ICA Galleries, London *

2003·    Susan Philipsz, Paul Pfeiffer, Brian Fridge, Art Pace Foundation, San Antonio/Texas*·    The Echo Show, Tramway, Glasgow*·    Days Like These, The Triennial of British Art, Tate Britain, London *·    The Moderns, Museo d’Arte Contemporanea, Castello di Rivoli, Turin *

2001·    The Glen Dimplex Awards, Irish Museum of Modern Art, Dublin *·    The International Language, grassy knoll productions, Belfast·    6th Tirana Biennale, Tirana, Albania *·    Sloan/ Philipsz/ McTigue, The Plug In Gallery, Winnipeg·    Total Object Complete with Missing Parts, Tramway, Glasgow·    Loop, Kunsthalle The Hypo-Kulturstiftung, Munich *·    Islands and Aeroplanes, Sparwasser HQ, Berlin·    New York New Sounds, Musée d’art contemporain de Lyon *

2000·    Manifesta 3, Ljubljana *·    The Internationale, Kunst-Werke, Berlin

1999·    Melbourne International Biennial *

FORMACIÓN1989–1993·    Duncan of Jordanstone College of Art BA Fine Art Sculpture

1993–1994·    University of Ulster, Belfast M.A. Fine Art

1999·    PT Lecturer at the University of Ulster

RESIDENCIAS2003·    Art Pace, San Antonio, Texas.

2002·    Kunst-Werke Berlin

2000·    PS1 Fellowship, New York.

BIBLIOGRAFÍA: CATÁLOGOS2006·    The Grand Promenade’, Museum of Contemporary Art. Athens. Text. Jacob Fabricius·     Mice and Men, 4th Berlin Biennial of Contemporary Art·    Ars 06, Kiasma Museum, Helsinki, text by Carolyn Christov Biekargiev

2005·    Susan Philipsz, Malmo Konsthall. Texts by Carolyn Christov Biekargiev, Francis McKee, Jacob Fabricius, Will Bradley, Andrew Renton·    Pantagruel Syndrome, Turin Triennial

2004·    I Feel Mysterious Today, Palm Beach Institute of Contemporary Art, Palm Beach·    Pass The Time of Day,  Gasworks Gallery, London·    Files, MUSAC Museo de Arte Contemporaneo de Castilla y Leon·    Becks Futures, Institute of Contemporary Arts London·    Susan Philipsz, Kunstverein Arnsberg. Text Lotte Moeller·    Yugoslav Biennal of Young Artists . Centre for Contemp[orary Arts Belgrade.

2003·    Susan Philipsz, 2003. Art Pace Foundation. Text by Carolyn Christov Biekargiev,·    Days Like These, Tate Triennial, Tate Britain. Text by Ben Tufnell,·    Cream 3, Phaidon Press, Curated by Carolyn Christov Biekargiev,·    The Moderns, Castello Di Rivoli Museo d'Arte. Text by Caoimhin MacGiollaLeith

2001·    Tirana Biennale 1, 2001. Giancarlo Politi Editore. Text by Eoghan McTigue·    The Glen Dimplex Artists Award Exhibition. The Irish Museum of Modern Art. Text by Caoimhin MacGiollaLeith

1998·    Resonate, 1998. Grassy Knoll Productions.

ARTÍCULOS2006·    5 Questions, Susan Philipsz, Zitty column, Zitty Magazine,·    Berliner Morgenpost, Von Gabriele Walde, Sonntag, 19 Marz·    Style and the Family Tunes, Rebecca Menzel, June 2006

2005·     Accapella Architecture’, Pernille Albrethsen, NY ARTS·    September/October 2005, Vol. 10

2004·    'Cross Platform', Anne Hilde Neset, The Wire, issue 244,

2003·    'Solo Voice', Niamh Ann Kelly, Art Monthly, Profile, issue 260

2001·    'Breathless', Mike Wilson, ‘Untitled’, issue 26, January 2001

1999·    'Sounds Teasing', Annie Fletcher, Circa magazine, issue 88 June 1999

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 WAYS TO WEAR A FLAG (2007.10 / revisión proyecto / documentación tecnica)

OCTUBRE 2007

 

DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICA DEL PROYECTO

NECESIDADES TÉCNICAS Y LOGÍSTICAS

1.    La locación para la performance debe ser cerrado preferiblemente, pues será en época de invierno. 2.    Será necesario iluminación y sonido (todavía por definir características específicas)3.    Las Modelos serán contratadas previamente a través de agencias de modelos madrileñas. 4.    El peinado y maquillaje de las modelos será organizado por parte del Alicia Framis Studio.5.    El equipo de Alicia Framis Studio se encargará de todas las contracciones. Así como del traslado de los vestidos si fuera necesario.

NECESIDADES TÉCNICAS DE ESTRUCTURA ARQUITECTÓNICA

1.    El sistema de montaje de la estructura arquitectónico estará descrito y detallado en el Dossier presentado por Michael Lin.2.    El sistema de Iluminación y sonido se hará por parte del personal contratado para este fin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (registro / recuento monedas)

 

REGISTRO RETIRADA DE PESETAS DIA 3-1-2010

PESETAS DESPUÉS DE 1997- 18 monedas de 1 ptas.- 32 monedas de 5 ptas.- 6 monedas de 10 ptas.- 7 monedas de 25 ptas.- 4 monedas de 100 ptas.- 1 moneda de 500 ptas.

PESETAS ANTES DE 1997- 1 moneda de 10 céntimos.- 42 monedas de 1 ptas.- 12 monedas de 5 ptas.

EUROS- 43 monedas de 0,01 €.- 40 monedas de 0,02 €.- 78 monedas de 0,05 €.- 84 monedas de 0,10 €.- 57 monedas de 0,20 €.- 38 monedas de 0,50 €.-30 monedas de 1 €.

MONEDAS EXTRANJERAS- 2000 pesos chilenos.- 1 real brasileño.- 20 centavos cubanos.- 25 centavos argentinos.- 1 cent de EEUU.- 1 penny de UK (3).- 20 pence de UK (2).-10 pence de UK.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 WAYS TO WEAR A FLAG (2007.10 / revisión proyecto / documentación visual)

2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 WAYS TO WEAR A FLAG (2007.10 / revisión proyecto / documentación visual)

OCTUBRE 2007

 

 

 

Ingrid Pastor

 

 Roberto Piqueras

 

   

Copias de diseños de modistos chinos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile. POST IT (ubicación)

Fachadas del Círculo de Bellas Artes, Casa de América y Palacio de comunicaciones   

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. INITZIATIVA CENTESIMO AVANZATO, 2008

2009-2010. Susanne Bosch. INITZIATIVA CENTESIMO AVANZATO, 2008

 

     

INITZIATIVA CENTESIMO AVANZATO, 2008Naples

Different from the longterm German project, I invited 2008 the Naples citizens to take part in a project in and for Naples. The period of the project was 4 months; a museum took care of the project.

It ment the coins could be open and with a box around it in the street and the museum employees all took care in spreading the project and taking care of the coins. They also were very careful about collecting the wishes. Up to Sept 2008, 460 Wishes were gathered.

The decision process in Naples will be different from the previous one. In November 2008 we will invite a group of young adults between 8 and 12 years to decide about the wishes. We will use the method of Open Space to allow them to develop their decision process collectively.

We decided to invite young adults as this is the age with a strong ethical understanding of truth, honesty and what is right for the community. Being aware that Naples suffers from a long tradition of informal network and decision making, the decision was even stronger to invite the young adults to be the committee.

No money was stolen out of the open tray so far.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter (Cv)

GLASGOW, 1965 VIVE Y TRABAJA EN BERLINOBRA EN MADRID ABIERTO: PICTURES

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2007·    Flaca, London

2006·    Isolated human particles floating weightlessly through a magnetic field of fabricated Pleasure, occasionally colliding·    rraum, Frankfurt, c. 1822–Forum, Frankfurt, c.·    Tirana, Albania·    Kerstin Cmelka, Kunstraum Doppelzimmer, Gießen·    Time Has Ceased Space Has Vanished, Four, Dublin

2005·    Invitation, Warsaw

2004·    Mandla Reuter, Dresdner Bank Hochhaus, c.

2003·    offspace, Vienna·    Make it New, Frankfurt am Main

2002·    Mandla Reuter / Michael Pfrommer, GAK, Bremen

2001·    Wohnung Draschan/ Wolff, Grüngasse, Vienna·    Warteraum, Stellwerk, Kulturbahnhof, Kassel

2000·    Frühe Arbeiten, Galerie Slutzky, Frankfurt am Main c.

1999·    Homevideo, Frankfurt/ Main

EXPOSICIONES COLECTIVAS2007·    Madrid Abierto, Madrid

2006·    The Possibility of Being Real Part One, Autocenter, Berlin·    Société des Nations, Circuit, Lausanne·    TV as Fireplace, Kunsthalle Wien·    Für die Ewigkeit, Jet, Berlin, c.·    Attitude, c/o Atle Gerhardsen, Berlin·    Oktagon, Dresden, c.

2005·    M, Dresden·    Conquering New Spaces, National Gallery, Prishtina, Kosovo, c.

2004·    Deutschland sucht, Kölnischer Kunstverein, Cologne, c.·    Erklärender Expressionismus, Dresden·    Sputniza, Kunsthaus Dresden

2003·    heute, HMWK Wiesbaden

2002·    Kunsthof Zurich·    Rraum02, Frankfurt am Main·    Diplomaten der Städelschule, Frankensteinerhof, Frankfurt am Main, c.

2001·    Vasistas, Technische Universität Istanbul, Istanbul Biennale·    Junger Westen, Kunsthalle Recklinghausen, c.

2000·    Büropark, Frankfurterstrasse, Neu Isenburg, c.·    Studio Hyäryllistä, Turku, Finland·    Festival Junger Talente, Messe Offenbach, c.

1999·    Jailbreak, Phantombüro im Kunstverein Frankfurt, Frankfurt am Main·    The Academy of Fine Art Gallery, Helsinki, Finland

1998·    Nr. 87, Portikus, Frankfurt am Main, c.·    Videocity , Videocity, Frankfurt am Main·    c. catalogo

OTROS2006·    Pigment Piano Marble, Buenos Aires, curated group show with·    Nevin Aladag, Michael Beutler, Wolfgang Breuer, Kerstin Cmelka, Eduardo Costa,Manuel Gorkiewicz, Rodney Graham, Gregor Hildebrandt, Sergej Jensen, Alfred Johansen, Michael Krebber, David Lamelas, Mark Leckey, Maria M. Loboda, Christian Mayer, Yves Mettler, Ariane Mueller, Kim Nekarda, Michael Pfrommer, Kirsten Pieroth, Jay Chung & Q Takeki Maeda, Bernd Ribbeck, Claus Richter, Cecilia Szalkowicz, Jan Timme, Alexander Wolff, X and the Living End, Haegue Yang, Heimo Zobernig, c.

2004·    Ausstellungen Studio Reuter, Dresden, shows with·    Peter Lütje/Michael Pfrommer, Kim Nekarda/Alexander Wolff, Sascha Pohle/Barak Reiser, Sabine Reitmeier/Claus Richter, Kerstin Cmelka/Thomas Seidemann, Gregor Hildebrandt/Alicja Kwade, Manuel Gorkiewicz/Christian MayerManuel Gorkiewicz/Christian Mayer, Michael Part/Taner Tümkaya

BECAS2005·    Kunstfonds Bonn

2004·    Hessische Kulturstiftung

2003·    Dynamo/Eintracht, Kulturstiftung Dresden

PUBLICACIONES2006·    Untitled, 2006, Revolver·    Pigment Piano Marble, 2006, Revolver (ed.)

2004·    Tokyo Panda, 2004, Revolver

2001·    Frühe Arbeiten, 2001, junto con Michael Pfrommer

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 WAYS TO WEAR A FLAG (2007.10 / revisión proyecto / documentación teórica)

OCTUBRE 2007

 

100 MANERAS DE VESTIR UNA BANDERA

Desde hace tres meses se está preparando en la ciudad de Shangai 100 WAYS TO WEAR A FLAG, un proyecto que consiste en crear  una colección de cien vestidos  utilizando como material principal o único la bandera China. Estos vestidos, realizados por diseñadores españoles y chinos, servirán para una gran performance que pretendemos realizar en la ciudad de Madrid. Digo queremos por que aunque nos presentemos por separado, Michael Lin y yo pretendemos trabajar juntos en este proyecto.

He invitado a los diseñadores de modas David Delfín, Hugo Gallego, Ingrid Pastor, Roberto Piqueras, El Delgado Buil. (Anna Figuera Delgado y Macarena Ramos Buil), y a todos los miembros de ADÑ Asociación Artística de Diseñadores Nacionales de Moda de España: Locking Shocking (Oscar Oscar y Ana González) Carmen March, Carlos Diez-Diez, Ion Fiz, Juanjo Oliva y  La Casita de Wendy, Antonio Alvarado; Y se les ha propuesto que cada uno diseñe y elabore un vestido con la bandera China, siempre teniendo en cuenta la situación de la mujer en ese país.

Como es de conocimiento común, la populación china, desde hace varias generaciones, es más numerosa en hombres que en mujeres, ya que a cada pareja sólo se le permite tener un hijo, y la preferencia se inclina a tener un varón. Esta situación hace que la posición de la mujer sea inferior, y el papel en la sociedad sea similar. Es por ello que cada diseñador invitado ha dado su versión del tema a través de su vestido.

En el proyecto inicial también participaban diseñadores de moda chinos. Sin embargo, en el proceso de investigación salió a relucir que la ley castiga, con un mes de cárcel y doce mil  euros, a la persona que intervenga o utilice la bandera China de cualquier manera. Aunque en el mundo de la moda se hagan diseños con muchas banderas del occidente como los innumerables diseños que se han realizado con la bandera inglesa, americana, etc. incluso ropa interior; esto en el régimen chino es imposible. Así que después de esta decepción he decidido copiar a los diseñadores chinos: ellos no tocarán la prenda, pero de cualquier modo estarán presentes en este trabajo

Por otra parte, para la realización de la performance Michael Lin creará una plataforma arquitectónica especial echa en material textil, que estará en concordancia con las banderas. También, existe la intención de que esta parte de la obra sea portátil para poder mostrarla en diferentes ciudades, junto a los vestidos. El trabajo de Lin es imprescindible en este proyecto porque el hace del tejido estructuras arquitectónicas, que se armará y pintará In-situ.

Para  MADRID ABIERTO propongo una noche de gran perfomance. Diecisiete modelos de procedencia asiática, preferiblemente chinas,  que llevarán los cien vestidos y los desfilarán por esta estructura arquitectura única, convirtiendo todo en una sola acción.

Es importante destacar, que de este proyecto ya se está editando un catálogo que recogerá todo el proceso de trabajo, desde dónde se compraron las banderas en Shangai, hasta cómo cada diseñador corta la bandera, hasta que la convierte en vestido y el uso de el mismo.

También se está planteando la posibilidad de cómo hacer para que esta acción que conjuga el arte, la moda y la arquitectura, dure más que una noche, aún nos queda tiempo…

Alicia Framis,  en colaboración con Michael Lin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (ubicación)

Muppies del Paseo del Prado-Recoletos-Castellana. Proyecciones en Canal Metro  

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR + EMPTY WORLD (2008.01 / revisión proyecto / documentación teórica)

 Todo por la Praxis: LABORATORIO DE PROYECTOS

Cuándo en 1999 se constituyo “Todo por la Praxis” (www.todoporlapraxis.com) su motivación última se localizaba en el desencanto de un grupo heterogéneo de subjetividades antisistémicas con las practicas existentes en el territorio de la crítica del espacio público. Procedentes de heterogéneas áreas de actividad teórica y disciplinar el “colectivo” se conformaba como un “intelectual colectivo” y un sujeto político activo: Como un Laboratorio de Proyectos cuya finalidad era instituir un territorio ampliado dónde practicar y practicarse -como agente transformador- dentro del campo simbólico de las prácticas artísticas.

Así, Todo por la Praxis (TxP) se presenta como un Laboratorio dónde ensayar proyectos de prácticas artísticas-activistas enfocadas a la amplificación estética-efectiva de los ciclos de lucha social. Un Laboratorio productor-amplificador de proyectos estéticos de resistencia cultural. Un Laboratorio dónde diseñar tácticas de comunicación visual eficaces, centrándose en el ensayo de herramientas, modelos organizativos y acciones artísticas no convencionales. Un Laboratorio en el que perfilar Proyectos centrados en la intervención en/sobre el espacio público urbano a través de; las prácticas artísticas activistas o prácticas de oposición -como medios de representar el conflicto social de forma estéticamente efectiva- y las prácticas artísticas en/sobre el espacio público (y sus repercusiones sobre el contexto social en el que se inscriben.)

Uno de los ejes temáticos más recientes de TxP se formaliza a través de Speculator visualizado en la creación de un personaje-arquetipo. Speculator se constituye como una identidad múltiple que asume diferentes “roles” en los diversos contextos en los que se inserta. El proyecto Speculator se centra en la cuestión urbana, la esfera publica y el mercado inmobiliario. En este sentido, todas aquellas prácticas enfocadas a generar espacios de oposición a las estructuras de dominación, a investigar estrategias de expropiación del espacio, serán absorbidas como potenciales proyectos de Speculator. Como objetivos específicos Speculator se propone; a) Des-ocultar la red de relaciones existentes entre especulación inmobiliaria y gentrificación, b) Analizar que mecanismos de segregación y que dispositivos de control social se despliegan en los actuales procesos de gentrificación transimbólica.

EMPTY WORLD

En Madrid hay aproximadamente 300.000 viviendas vacías que generan una realidad posurbana total. El abandono del patrimonio inmobiliario visualizado a través de las viviendas vacías es un indicador que nos permite constatar el papel del producto vivienda como una práctica especulativa de incremento de valor patrimonio. Es decir, en el actual mercado inmobiliario las viviendas fundamentalmente están vacías porque, se obtienen más beneficios del bien inmueble, sin ningún tipo de esfuerzo, que con su puesta en el mercado como vivienda en alquiler. Por lo tanto, existe un patrimonio inutilizado porque simplemente su acumulación y su revalorización especulativa ofrecen más intereses que ejercer un uso social de ese bien. EW pretende evidenciar estas prácticas, y posicionándose como un elemento más de resistencia y presión frente a estas prácticas, tan extendidas en nuestras ciudades y en particular en el barrio de Malasaña.

El barrio de Malasaña, que ocupa el espacio central de la ciudad, se ha visto sometido a diferentes presiones inmobiliarias a lo largo de su historia . En un primer momento se intento arrasar el barrio -en la época franquista- con una estrategia haussmaniana. Esta iniciativa pretendía generar una gran avenida que uniese Bilbao con la Gran Vía. La existencia un importante patrimonio inmobiliario en la línea hipotética de la calle proyectada paralizo el proyecto. La desaparición de la universidad del barrio genero también expectativas en el mercado pero llegaron los hippies, que posteriormente fueron sustituidos por la farándula de la movida, y frenaron la iniciativa del sector. El plan de rehabilitación del 95 fue un gran envite para el barrio ya que supuso la expulsión de una buena parte de la población existente con el pretextos de eliminar las infra-viviendas. Y el proceso ha finalizado con la introducción de nuevos inquilinos en “infra-viviendas de lujo”. En estos momentos existe un modelo por parte de la administración y de los intereses privados que intentan convertir en parques temáticos Disneyficando la ciudad y convirtiéndola en lugares de ocios y consumo. Como ya ocurrió con Chueca en los años noventa, Malasaña se encuentra sometida, actualmente, a una estrategia similar en la que el ocio y la moda son los parámetros que definen un escenario futuro. Un escenario de gentrificación a la madrileña que hemos denominado escenario posurbano.

La lógica del planeamiento posurbano que domina las administraciones públicas madrileñas consiste en vaciar-para-rellenar. Vaciar los espacios urbanos de sus referentes simbólicos y habitantes improductivos, transformándolos en escenarios posurbanos, sobre los que iniciar el proceso de gentrificación transimbólica; re-significar el nuevo espacio urbano configurado a la medida de las subjetividades productivas/reproductivas de la ciudad-fabrica global. Estas operaciones de “limpieza étnica-clasista” se camuflan bajo la retórica de la “re-habiltación”, concepto que esta actuando como verdadero eje de coordenadas del nuevo capitalismo de ficción. Este modelo de control social conlleva una compleja alianza entre diferentes intereses. Por un lado, las Instituciones públicas, presionadas por el sector empresarial y sus propios intereses económicos, tienden a favorecer la intervención privada sobre zonas a “recuperar,” al tiempo que se ven obligadas a gestionar el conflicto social que los agentes gentrificadores provocan. Por otro lado, los residentes de una zona determinada se dividen y confrontan, inevitablemente, entres quienes se ven favorecidos/as por el proceso de gentrificación y quienes se convierten en sus “víctimas”. El escenario posurbano se evidencia en todas sus dimensiones sociales; se fracturan las redes vecinales de apoyo mutuo, se deslocalizan los elementos simbólicos de pertenencia (laborales, familiares, etc.), se reducen los canales de comunicación social debido a la fragmentación del interés común de los residentes, y, por último, se polarizan las relaciones entre propietarios y “dependientes”.

En este contexto surge el proyecto EmptyWorld, que se encuentra inscrito dentro del Laboratorio de Proyectos de Todo por la Praxis.

EmptyWorld en cuatro movimientos. (Programa)

1. EW es un artefacto policéntrico y pluridisciplinar que se despliega sobre el campo simbólico y el campo social como táctica para conectar las diferencias dimensiones en las que operan los actuales agentes gentrificadores.

2. Hemos trazado EW como una estrategia de re-apropiación secuencial del espacio inactivo que representan los tres millones de viviendas vacías existentes en el estado español. Nuestro objetivo general es -desde el territorio de las prácticas artísticas-, posibilitar herramientas teórico-metodológicas al movimiento social antagonista.

3. EW como proyecto estético y socialmente efectivo, surge de la necesidad de desarrollar una serie de mecanismos de comunicación social y visual que sirviesen para cumplir el doble objetivo de: por un lado, cartografiar los nuevos escenarios posurbanos –registrando sus puntos débiles; las viviendas vacías existentes en un área concreta-, por otro; evaluar el nivel de riesgo de gentrificación al que estaban expuestas estas zonas –como se estructuraba el tejido social de esa área concreta, con que elementos de autodefensa contaban y cuál era su flanco más frágil o de potencial conflicto urbano. Para responder con cierta eficacia metodológica a estas cuestiones desarrollamos una investigación etnográfica de una de las áreas que suponíamos de alto riesgo de gentrificación; Barrio de Malasaña.

4. EW pretende posibilitar herramientas de resistencia –tácticas y estratégicas- al movimiento vecinal de resistencia, y la Señalización Física es una forma de hacerse presentes en contextos de potencial gentrificación. EW es un Programa de actuación.

(Enero 2008)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. LEV-OVER PENNY CAMPAING, 1998-2002

2009-2010. Susanne Bosch. LEV-OVER PENNY CAMPAING, 1998-2002

 

El proyecto recogió capital económico e intelectual sin explotar - además de ideas y deseos – a través de Alemania, en la forma de monedas desde 1998-2002. En total, se recogieron unas 13 toneladas de monedas en distintos lugares como la Alexanderplatz de Berlin, en Munich (Marienplatz), Núremberg (Königstrasse), Würzburg (Public Library), Weimar (ACC Gallery), Köpenick (FEZ), además de miles de dispositivos de recogida privados. 

1601 ideas y deseos llegaron a modo de cartas, e-mails y entrevistas.

Una parte del concepto era que los participantes decidiesen que ocurriría con la montaña de monedas. 1807 personas solicitaron participar en la toma de decisiones. De éstos, doce fueron seleccionados al azar a principios de abril 2002 e invitados a decidir cuál de las 1601 ideas y deseos debería realizarse.

El comité se reunió durante dos fines de semana de mayo y junio de 2002 en la Galería ACC de Weimar. Después de haber realizado juntos una lista de criterios, escogieron cuatro proyectos a realizar. En junio y julio de 2002, todas las cajas de recolecta fueron vaciadas, las monedas contadas públicamente y llevadas a los bancos nacionales para ser ingresadas. A lo largo de los cuatro años y medio, y aparte de los cientos de miles de personas que entregaron sus monedas y los 1601 “donantes de ideas”, participaron activamente en el proyecto unas 500 personas. Muchas instituciones, funcionarios, jurados de premio, responsables y ciudadanos privados contribuyeron a la realización del proyecto. 

   

Left-over Penny Campaign fue mi intento artístico de responsabilizarme de “convertir el futuro, que queremos o no queremos, en un objeto de discusión civil”. (Saage, Richard, 1997: Utopieforschung, eine Bilanz (Utopia Research, anAssessment), Primus Verlag, página 7)

LEV-OVER PENNY CAMPAING, 1998-2002Germany

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Leopold Kessler (Cv)

MÜNCHEN, 1976

VIVE Y TRABAJA EN WIEN 76

OBRA EN MADRID ABIERTO: ALARM BIKE

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    Graz, Studio/Neue Galerie, Graz·    Interventionen 02-05 Galerie der Stadt Schwaz, Schwaz

2005·    Transportable works Gallery Lombard&Freid, Nueva York·    O kunstbuero, Viena

2004·    Untitled Thomas K. Lang Gallery, Universidad Webster, Viena

2003·    Synchronization, espacio alternativo, Viena·    Privatisiert, Galería Corentin Hamel, París

EXPOSICIONES COLECTIVAS (selección)2006·    One second one year, Palais de Tokyo, París·    Wien Südbahnhof-Bratislava hl. st., Galería Nadine Gandy·    On mobility, Trafo, Budapest und de Appel, Ámsterdam·    Österreichisches Kulturinstitut, Praga

2005·    Lives&works in Vienna, Kunsthalle, Viena·    Galerie Claus Andersen, Copenhague·    OKAY/O.K., Instituto suizo, Nueva York·    Don´t interrupt your activities, Royal College, Londres

2004·    Manifesta 05, San Sebastián·    Beuys don´t cry Galleria Zero, Milán·    Personne n'est innocent... Confort Moderne, Poitier·    Niemandsland, Künstlerhaus, Viena

2003·    Klimatisch im hoch  Galerie Lisi Hämmerle, Bregenz·    VV2  Biennale di Venezia, Venecia·    Critique is not enough Shedhalle, Zúrich

2002·    Haunted by detail Stichting de Appel, Ámsterdam·    Interim plattform Galerie Kerstin Engholm, Viena·    “Big torino,Biennale internazionale arte giovane”, Turín

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCABADO (2010.02 / documentación técnica / prevención de riesgos)

2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCABADO (2010.02 / documentación técnica / prevención de riesgos)

 

EVALUACIÓN DE RIESGOS

............................................................................................................................................................................................................................................................................ 

FICHA INFORMATIVA DE PREVENCIÓN DE RIESGOS

............................................................................................................................................................................................................................................................................ 

PLAN DE EMERGENCIAS

.............................................................................................................................................................................................................................................................................

** ABRIR PDF ADJUNTO PARA VER EL DOCUMENTO COMPLETO

(FEBRERO 2010)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (deseos / postales transcripción)

 

Deseo 1:-Centro de ocio.-Un albergue donde los indigentes del barrio tengan un lugar donde dormir.-Un monumento simbólico de La Latina.-Seguridad en las calles.-Zona VerdeAutor : colegio sagrado corazón(don pedro)

Deseo 2:Un parque donde se pueda dejar libre a los perrosAuthor : rosa

Deseo 3:¡Desde LaLatina Hoy os apoyamos! ¡Nos parece una excelente iniciativa! Seguiremo de cerca toda la informaciónsobre el proyecto. Un saludo!

A1Mejorar las instalaciones del barrio de la Latina. Yo no cambiaría nada solo lo mejoraría.

A2Que los políticos entiendan la importancia del Arte. ¡Viva el arte!

A3Mi deseo, mi idea es que bajen los precios de los pisos.

A4Que no halla tanto ruido en la calle.

A5Vigilancia

A6Un polideportivo nuevo.

A7Que nos encontremos en cualquier país en el que estemos.Que la Latina sigue siendo igual.Que las cosas siguen siendo como son.

A8Lluvia de vino (Jumilla 2010)

A9Fomentad recitales poéticos, librerías y actividades culturales.

A10Reducir la criminalidad habitual del barrio (siempre son los mismos)Reducir los ruidos nocturnos.Más centros infantiles públicosMás zonas verdes(un vecino)

A11Polideportivo municipal. Antes teníamos uno pero ahora nada. Piscina municipal.

A12¡Queremos teatro en las calles – plazas! ¡Cultura para todos!

A13Vigilancia fija

A14Retirada de los bancos situados en la fachada del edificio nº 8 en la calle Gran Vía de San Francisco; aumentar la iluminaciónpara evitar que los indigentes se orinen en las paredes de la casa y limpieza para quitar los olores.

A15Recuperar el espíritu castizo del barrio; más seguridad; mejoras en las calles de la Latina y más negocios.

A16Que los pisos y locales vacíos de la Latina se recuperen para la gente del barrio.

A17Que se convierta en un parque de atracciones.

A18Deseo un polideportivo.

A19Policías fijos.

A20Me encantaría tener más verde, más plantas en nuestras plazas (de arena solo). ¡Más color!

A21Comprar la mayor cantidad posible de ejemplares de los libros de Daniel Estulin sobre el Club Bilderberg y repartirlogratuitamente.También se puede incluir el libro La CIA en España de Alfredo Grimaldos.

A22Que los guarros paren de mear las puertas y las esquinas del barrio.

A23Que nos hagan un mercado decente para no tener que ir a otros barrios a comprar.

A24Una máquina para viajar en el tiempo

A25Abrir un centro de ocio

A26Abrir una discoteca móvil

A27Un campo de fútbol en las Vistillas

A28Muros legales para graffiti

A29Ayudas para los indigentes.

A30Crear una fundación que ayude a los inmigrantes.

A31Abrir una discoteca para menores

A32Abrir un centro comercial

A33Un lugar de residencia para indigentes

A34Zona Verde

A35¡Inteligencia por favor!

A36Centro de ocio

A37Centro de ocio

A38Derruir el colegio ¡Muy importante!

A39Centro de ocio

A40Discoteca móvil

A41Un campo de fútbol en las Vistillas

A42Ganar un premio Mac Grimon

A43Un centro comercial

A44Un polideportivo

A45Otra piscina

A46Un centro comercial

A47Un cine

A48Ayudar a una fundación que realmente lo necesite o a los colegios para que puedan tener materiales escolares

A49Abrir un centro comercial

A50Un lugar para los indigentes

A51Un polideportivo

A52Un monumento

A53Lugar para que los indigentes duerman mejor o una estancia donde vivir

A54Una escuela de cine gratuita

A55Un colegio para niños discapacitados

A56Un centro de adopción

A57Un centro comercial

A58Un lugar donde puedan dormir los indigentes

A59Un polideportivo

A60Un centro comercial

A61Un lugar para los indigentes

A62Una discoteca

A63Un polideportivo

A64Un museo sobe la antigüedad de la Latina y cosas así.

A65Un restaurante japonés

A66Una escuela de discapacitados

A67Un centro de ocio

A68Un polideportivo

A69Un monumento que simbolice a la Latina

A70Más seguridad

A71Un restaurante japonés

A72Una escuela de Break Dance

A73Un restaurante Japonés

A74Una escuela de Break Dance

A75Un club

A76Un centro de ocio

A77Un centro de deporte

A78Ayudar a una fundación que realmente lo necesite o algún colegio público para que puedan tener libros y materiales escolares.

A79Un centro de acogida para indigentes

A80Un polideportivo

A81Un monumento

A82Un centro de ocio

A83Derruir el colegio

A84Un campo de fútbol para las Vistillas

A85Un centro de acogida para los que están en la calle

A86Que hagan un carril bici

A87Mejorar el barrio de la Latina con más seguridad

A88Más dinero, más limpieza en los barrios

A89Un mercado o supermercado decente

A90Deseo que pongan baños públicos para los guarros que vienen a mear los fines de semana a la calle.

A91Un polideportivo en condiciones en el barrio

A92Más parques, más verde…. Más guarderías públicas, más espacio para los pequeños.

A93Aseos públicos y centros sociales de arte

A94Un cine en la plaza gratuito en verano

A95Más músicos y trovadores en la plaza.Que los perros no se laven en la fuente.

A96Que el barrio sea como hace 10 años (o antes).Fuera ruidos, fuera exceso de bares, fuera pijos que se mean aquí y no en sus bonitos barrios.¡Más limpieza¡Nuestra piscina se la han cargado.Mi Mercado de la Cebada se lo van a cargar.Nuestras Vistillas que desaparecerán.No a la especulación- no a la degradación¡AYUDA!! ¡¡AYUDA!! ¡¡HELP, help, help…!

A97Seguridad y arreglo del barrio.

A98Más amor en el barrio.Más aparcamientos.

A99Más zonas verdes.

A100Un parking para residentes.

A101Que los bares cierren sus puertas.

A102Mi illusion es un Corte Inglés.

A103Teatro y animaciones en el barrio.

A104Conciertos y espectáculos teatrales cada fin de semana en la plaza ¡gratis!

A105Menos gente.Teatro de calle y música.

A106Adecuar la Plaza de los Carros y limpieza una vez por semana.

A107Mi deseo: que no se carguen (el ayuntamiento) el Parque de la Cornisa para dárselo a la Iglesia. ¡Es nuestro parque!

A108Limpiar la Plaza de los Carros 2 o 3 veces por semana.

A109Que nos limpien el Parque de la Cornisa para poder sentarse sin miedo. El Parque de las Dolices que sea más respetado y que haya menos colchones. El alumbrado que lo cuiden un poco más ya que hay zonas muy oscuras.

A110Deseo un sueño: que mi barrio, la Latina, sea como hace años.Deseo que desaparezcan de él la especulación y la degradación.Deseo mi piscina de la Latina.Deseo que no desaparezca mi querido Mercado de la Cebada.Deseo limpieza.Deseo que no haya ruido, que limiten el número de locales de ocio.Deseo que la “pijada” alternativa que nos invade se olvide de nosotros.Deseo que otro barrio, el de antes, sea posible, que los latinos de toda la vida podamos vivir.Si sois los reyes magos, ¡conseguidlo!

A111Por un barrio con bares que cumplan la normativa.

A112(escrito por un niño)Condicionar las plazas de Madrid para niños.

A113Que hagan algún sitio para los jóvenes y que no cambien el parque de la cornisa

A114Deseo que hagan canchas de fútbol en el antiguo polideportivo

A115Que halla más sitios de deporte, centros comerciales.

A116Cines, Burguer, McDonal, Polideportivo

A117Mi deseo es que el barrio se conserve tal y como está

A118Que hagan canchas de básquet y fútbol en el antiguo polideportivo

A119Que se mejore el parque de la cornisa y se mantenga

A120Mantener el parque de la Cornisa

A121Me gustaría que el barrio contara con instalaciones deportivas y centro de reunión para jóvenes y asociaciones.

A122Deseo que se hiciesen más sitios para acontecimientos para jóvenes y una escuela de baile económica

A123Un centro para actividades juveniles.

A124Deseo que haya más sitios para los jóvenes (tiendas, restaurantes, bares…)

A125Deseo un centro comercial o un polideportivo.

A126Que se mantenga el parque de la cornisaUn polideportivoUna academia de baile o un parque donde estaba el polideportivoCarril bici.

A127Deseo que no se cambie el parque de la Cornisa.

A128Que hagan un polideportivo grande y se haga un carril bici.

A129Más espacios jóvenes

A130Que se mantenga la plaza de los Carros y San AndrésHacer un carril bici y polideportivo.

A131Que construyan un nuevo polideportivo nuevo y grande.

A132Que se mantenga el parque de la CornisaQue se vuelva hacer el polideportivoCarril bici

A133PolideportivoConservar La Cornisa

A134Que no cambie la Iglesia de la Paloma y el Parque de la Cornisa

A135Quiero que pongan un Corte Inglés.

A136 (Mar, niña)Quiero que haya más naturaleza, más flores, más árboles.

A137Un parque mazo de bonito, que haya sitio para protegerse de la lluvia, que haya césped, árboles, bancos, mesitas…

A138 (Nicole, 10 años)Por favor necesitamos un parque en el barrio de la Latina.

A139 (niño)Un Corte Inglés.

A140¡Por un barrio más limpio!

A141 (niño)Quiero que pongan un Corte Inglés.

A142Queremos más árboles y verdor en la ciudad. Aquí se hacen obras, se ensanchan aceras y no se plantan árboles.Dónde los había se crean plazas enteras de granito. Madrid se vuelve un sofoco.¡PLANTAS, ÁRBOLES O PONED MACETAS ENORMES CON ARBUSTOS!

A143Un exhaustivo control en la apertura de bares sin licencias.

A144Deseo para el barrio más actividad y variedad cultural. Gracias.

A145 (niño)Desearía un Corte Inglés.

A146 (niño)Mi ilusión es un Corte Inglés.

A147Un parque con jardines.

A148Necesitamos en el barrio un parking público gratuito\ para residentes. ¡ES IMPOSIBLE APARCAR EN LA ZONA!

A148.1Hacer un campo de fútbol en las Vistillas muy simple, 2 porterías, las líneas del campo y ya está.

A149Más parques y menos perros que se hacen sus necesidades y no las limpian.

A150Más zonas verdes.

A151¡Zonas Verdes!

A152Más zonas verdes.

A153Acabar el polideportivo.

A154Que cambien el tipo de tiendas del centro comercial Puerta de Toledo.

A155Más festivales.

A156Un festival de música y un concierto gratuito.

A157Un festival.

A158Que construyan pisos para jóvenes a buen precio.

A159Soy un niño de 6 años y estoy cansado de ver mi barrio lleno de cacas de perros y basura.

A1601- Bicis y carriles en todo el barrio2- Libertad en las calles3- Zonas peatonales

A161Un Corte Inglés.

A162 (niño)Por favor que se quede el Parque de la Cornisa.

A163Ayudar a los indigentes del barrio.

A164Un parque de atracciones.

A165Deseo que vuelvan a construir el polideportivo de La Latina. ¡El deporte es salud!

A166Por favor que limpien y no dejen entrar a los perros a cagar en el Parque de Las Vistillas que es una vergüenza y los niños no pueden ni entrar. Gracias.

A167Comida para los pobres.

A168Prohibir los acordeones y parques.

A169Que hagan un cine.

A170Comprar tiendas de campaña para la gente que vive en la calle.Comida para la gente sin techo.Una comida muy buena para Navidad o según el dinero que se consiga, varias comidas durante el invierno.

A171Mi deseo es que el barrio de la Latina sea más limpio.A172 (niña)Deseo que nunca nos separemos papá y yo.

A173 (niño)Miles de cromos de la liga para cambiar.Un mundo maravilloso.

A174 (niña)No me quiero enfadarme con mi familia ni con mi hermana.No quiero mentir a nadie.

A175 (niño)Quiero a mi perrita y que se le curen las rodillas.

A176 (niño)Deseo que mi madre vuelva a casa lo antes posible.

A177 (niño)Que destruyan el colegio.

A176 (niño)Que tú seas muy feliz y que yo lo vea.

A177 (niño)Una montaña rusa para todo el mundo.

A178 (niño)Que se cumpla lo que los reyes quieran.

A179Un barrio limpio.

A180Nuestro deseo es un espacio con una fuente de agua potable y bancos donde poder sentarte o tumbarte (sin barra en medio) y una zona vallada para perros.

A181Que no nos quiten el Parque de la Cornisa.

A182 (niño)Quiero un gato. Quiero un loro.

A183 (niño)Quiero un Belén.

A184Deseo que Madrid se conserve igual de limpia y bonita; que ningún político la dañe.

A185Por un barrio más limpio y cuidado sin olores.

A186Un campo de fútbol.

A187Un campo de fútbol; conocernos todos; una máquina del tiempo.

A188Que no nos quiten el Parque de la Cornisa.

A189Más limpieza. Menos botellón.

A190Una piscina. Nuestra Piscina.

A191Un campo de fútbol.

A193Que dejen el Parque de la Cornisa y que no bajen los perros al jardín.

A194Poner un paso peatonal para la Residencia La Paloma para cruzar a la cafetería.

A195Un hostal donde dormir sin pagar para visitar La Latina.

A196Más seguridad.

A197Más zonas verdes.

A198Más señales de taxi.

A199Un mercado nuevo para el barrio de La Latina.

A200Un mercado nuevo. Menos ruidos en el barrio. Un polideportivo. Limpieza en las calles.

A201Me gustaría que el proyecto del Parque de la Cornisa no se llevara a cabo. También me gustaría que las calles estuvieranmás limpias.

A202Mi deseo es que se remodelara ¡por fin! El Mercado de la Cebada, dando así un impulso al barrio y facilitando las compras a todas las personas (sobre todo a las madres) del barrio.

A203Un nuevo mercado de La Latina y salud y paz para todo el mundo.

A204Más seguridad, menos mafias.

A205Modernizar el mercado.

A206Más seguridad para el barrio. Menos persecución o redadas a los inmigrantes.

A207Deseo que La Latina sea un barrio con más seguridad, que los jóvenes tengan más programación y una educación, ymás integración.

A208Un Parque de la Cornisa sostenible (sistema de riego autosuficiente).

A209Una huerta ecológica para el barrio en el Parque de la Cornisa.

A210¡Rehabilitar los jardines del seminario y abrirlo al público para disfrute de los vecinos, y de los turistas!

A211Que la cuesta de la Calle Toledo la quiten y vuelvan los comercios de antes.

A212Que sigan existiendo los comercios (ultramarinos, carnicería…) y las posadas (León de Oro, Cava Baja).

A213Poner una parada de autocar en la residencia (La Paloma) para excursiones.

A214Que se mantengan los pocos comercios antiguos que quedan en el barrio de La Latina.

A215Que se modernicen algunos comercios.

A216Quiero que quiten la cuesta de la Calle Toledo, porque los residentes de la residencia La Paloma no pueden subirla.

A217Quitar la cuesta de la Calle Toledo, hacerla más plana.

A218Que no quiten el Centro Numancia y hagan más centros para personas mayores.

A219Seguridad, hace falta en el barrio.

A220Más seguridad por la Calle Gil y Mon, y más farolas.

A221Que no quiten el Parque de la Cornisa, y planten más árboles.

A222Que no quiten el Centro Numancia.

A223Que no quiten el Parque de la Cornisa.

A224Que se mantenga el Mercado de la Cebada.

A225Que den siempre de comer en el Centro Numancia.

A226Que vuelvan los tranvías, más seguros, y que quiten los coches.

A227Que no quiten la Cornisa. Que no desaparezcan el barquillero, las patatas asadas, los boniatos, las castañas en una máquina de “ferroquil”.

A228Que sigan los pavos y el chico con la vara (Puerta Cerrada). Bautizos en los que se tiraban las monedas.

A229Que persistieran las fiestas de La Paloma.

A230Que duren las Kermes de las Vistillas.

A231Que arreglen el Paseo de Extremadura.

A232Mi deseo es que arreglen el Paseo de Extremadura.

A233Un tranvía desde la Puerta de Toledo que “rompió” el puente de piedra y no vuelva a pasar. “En la flor de la vida y sinpoderlo ganar madre mía” (Pierra).

A234¿Sería posible hacer un dibujo animado (divertido) que indujera a niños y jóvenes a no pegotear sus chicles en el suelo y a preservar edificios y comercios de pintadas?

A235Mi deseo es que este barrio de Centro-Latina esté más limpio. Vivo aquí desde los años 70, y nunca ha estado tan lleno de pintadas, es una pena, un barrio histórico tan bonito y que parezca que cualquiera que se compra un spray (que venden en los chinos) es el dueño de la calle y puede enguarrar fachadas, piedras, que aunque se limpien nunca quedarán bien. También me gustaría que los bares-terrazas limpiasen las servilletas que caen al suelo, si ellos hacen el negocio no tiene que estar la vía pública llena de los desperdicios. Y, por último, que procurase un alojamiento para los indigentes que viven en la calle. Este es un barrio histórico, turístico y damos una impresión a los que nos visitan de suciedad, cutre… no de capital moderna.

A236Mantener limpias de graffitis las paredes de Madrid.

A237Que restauren todos los monumentos históricos de Madrid.

A238Deseo que Madrid sea muy limpia y no haya cerdos y guarros.

A239¡Que nos devuelvan las Vistillas!

A240Quitarle las Vistillas a las iglesias.

A241Wi-fi para todo el barrio gratis.

A242Actividades semanales todos los sábados por la mañana: fen-shui, aerobic, danza del vientre, bazucada… El dinero parapagar a los profesores.

A243Organizar un grupo de juego/enseñanza para niños del barrio.

A244Más zonas verdes.

A245Poder aparcar cerca de mi casa (plazas de parking).

A246Mi deseo consistiría en crear zonas de ocio para la gente del barrio en las que se pueda practicar algún deporte, tarimas para bailarines callejeros, zonas para poder expresarte…

A247Más zonas verdes, infantiles, parkings. Contenedores de basura para reciclaje.

A248Un espacio abierto al público para la creación plástica, al igual que también parques y bibliotecas. A mi me gustaría un lugar para acoger a artistas de todas las edades.

A249Reuniones vecinales en las azoteas (habitabilidad de las azoteas como lugar común)

A250Más vegetación en las calles e incluso, plantaciones (jardines y huertos) de los propios vecinos.

A251No a la Iglesia, no al ‘minivaticano’.

A252Mi deseo es que haya menos presencia policial los domingos en el barrio.

A253Espacio público para actividades culturales, talleres, exposiciones.

A254Aparcamientos gratuitos.

A255Poner más contenedores para reciclaje.

A256Quiero más supermercados.

A257Albergues para indigentes y comedores.

A258Mejor servicio de limpieza.

A259Iluminación navideña todo el año.

A260Promoción del comercio tradicional.

A261Mayor inversión en el pequeño comercio del barrio.

A262Un nuevo asfaltado.

A263Más instalaciones públicas culturales en el barrio.

A264Menos especulación inmobiliaria en el barrio.

A265¡No al ‘minivaticano’! Que devuelvan las Vistillas. El barrio necesita más zonas verdes y menos contaminación.

A266Veranos de la Villa gratis… ¡pero de verdad!

A267Pista de atletismo bueno, un pabellón deportivo.

A268Que mejoren la línea 6 de metro. Que bajen el precio de los ‘bonometros’ en el barrio de La Latina.

A269Quiero un paso de cebra. Unos kilogramos de pintura = a un gran servicio para la comunidad. En un punto donde se concentran tres colegios de educación primaria y un centro de educación infantil. Al cruzar la carretera de San Francisco nos tiramos a los coches… ¿por qué? Porque desde Calle Tabernillas hasta Plaza San Francisco el Grande existe una distancia muy grande. SOLUCIÓN: paso de cebra con dos opciones:Calle Las Aguas con Carrera de San FranciscoCalle de San Isidro con Carrera de san Francisco

A270Que quiten el mini vaticano.

A271Que se rehaga el mercado antiguo de la Latina que se demolió en lugar del actual mercado que carece de presencia.Recuperar así una obra arquitectónica que nunca se debió perder.

A272Baños mixtos.

A273Más zonas verdes y menos graffitis.

A274Menos tráfico y más parques.

A275Más zonas verdes y menos graffitis.

A276Más zonas verdes y menos graffitis.

A277Deseo que Madrid se conserve igual de limpia y bonita.

A278Construir un parque para los niños.

A279Quiero que no haya contaminación.

A280Que reciclen más y que este mundo sea un mundo mejor.

A281No quiero cacas de perro por todas las calles de mi barrio, y puestos a pedir, polideportivos municipales con piscinas.

A282Ampliación de la zona infantil del Parque de la Cornisa y rehabilitar y abrir al público, sin edificar nada.

A283No al mini vaticano (zonas de Ocio).

A284Por favor que las casas sean gratis.

A285Mi deseo es que pongan árboles en el Parque de la Dalia.

A286Fuentes para que todos podamos beber y para el ganado.Conservar los parques.

A287Mejorar los accesos para personas mayores.

A288Que nos hagan otro hospital dónde estaba la cárcel.

A289Deseo mejorar el barrio de la Latina.

A300Que hagan una piscina grande y un polideportivo.

A301En los parques poner pavos y codornices. Que vuelvan los tranvías.

A302Que quiten el mercadillo del final de la Arganzuela. Que hagan una piscina enorme.

A303Que hagan más servicio en el barrio; más vigilancia. Es temeroso salir.

A304Que no quiten el parque.

A305Mejorar la seguridad.

A306Un Hospital.

A307Felicidad, más puestos de trabajo y más festivos.

A308Más zonas verdes.

A309Que pongan más bancos.

A310Que nos hagan un hospital.

A311Más zonas verdes para mi perrita.

A312Deseo que construyan un hospital.

A313Deseo que en el barrio haya un centro de día para personas discapacitadas jóvenes también con alzheimer.

A314Que arreglen el Puente de Segovia y pongan más policías por las calles.

A315Que no quiten el Parque de la Cornisa y que haya más vigilancia de perros y en el Parque de la Dalia que pongan árboles para que den sombra cuando salimos a pasear. (Esto lo escribe una señora mayor, gracias)

A316Que vuelvan los tranvías.

A317Que no haya tanta gente. Que estemos más tranquilos.

A318Zonas comunes de calidad.

A319Indicaciones de higiene (para los visitantes del botellón)Postes de información histórica con planos (qué es el rastro, la Plaza de la Paja…)

A320Que el cuerpo de agentes de movilidad reciban un sueldo acorde a su función (¡subida de sueldo ya!)

A321Un teatro más barato para invitar a mi churri.

A322Que se legalice la marihuana.

A323No tantos comercios chinos, indios y árabes en el barrio.

A324Que la facultad de Bellas Artes mejore aunque sea sólo un poquito.

A325Me gustaría que se les buscase un albergue o alojamiento a los mendigos de la iglesia. 

A326Hierba/césped en la Plaza de los Carros y en la Plaza de la Paja.

A327Creo que nuestros vecinos de la Iglesia de San Andrés no deberían vivir ahí. Es insalubre para ellos y los vecinos que vivimos por aquí. Toda la gente que viene de visita al barrio, que es mucha, se asombra e impacta con ellos. Creo que miembros del ayuntamiento y las Brigadas Sociales no deberían permitirlo y tendrían que llevarles a un sitio más apropiado.

A328Una estatua con las monedas mismas ¿cuál? Al haber teatros varios se me había ocurrido la imagen de las máscaras.

A329Poner salas de exposición para los nuevos artistas, independientemente de su edad.

A330Me gustaría que pusieran más plazas de aparcamiento, más zonas verdes.

A331Un Corte Inglés.

A332Un parque para niños y un parking para coches del barrio.

A333Llenar de árboles el Parque de la Cornisa y mantener protegidas las zonas verdes.

A334¡Muchos parques! El de la Cornisa ¡para siempre!

A335Más vigilancia para los “perreros”, que es una vergüenza las cacas; y un hospital y menos vaticano, “pero con la iglesia hemos topao, Don Quijote”.

A336Que pongan más zonas de paseo.

A337Nuestro deseo es un espacio con una fuente de agua potable y bancos donde poder sentarte o tumbarte (sin barra en medio), y una zona vallada para perros.

A338Que la gente no orine en mi calle, por favor.

A339Mi deseo es que el barrio de la Latina sea más limpio.

A340Campo de fútbol.

A341(Seguir teniendo el amor de mi familia y la amistad de los que me rodean). Querría que se invirtiera el dinero en guarderías gratuitas para los vecinos del barrio. Gracias por la iniciativa, un beso y un abrazo.

A342Muchas flores y arco iris, amigos y juegos en el Parque de la Cornisa.

A343Que se respete el Parque de la Cornisa, ya que el centro cuenta con escasas zonas verdes. Que se limpien más asiduamente las calles, también de “cacas”. Esta zona tiene muchísima densidad de población y precisa mayor limpieza. El barrio de Salamanca siempre está limpio ¿por qué?.

A344Indudablemente, mejorando las zonas verdes y creando otras nuevas. También sería necesario algo para reducir el ruido ambiente (coches etc.)

A345 (niño)Quiero que no haya contaminación y que no quiten el Parque de la Cornisa.

A346 (niño)Que limpien todos los días la caca de los perros.

A347 (niño)Arbolitos y arbolitos en mi barrio.

A348 (niño)Soy Daniel y no quiero que haya basura por las calles.

A349Poner césped alrededor de los árboles de la Plaza de los Carros.

A350Que Gallardón y la Vria abandonen la pésima idea de destruir la Cornisa-Vistillas para construir edificios que bien puedenestar en otros sitios.

A351Que se vuelva a hacer el polideportivo de la Cebada de nuevo y que no se traslade al Parque del la Cornisa.

A352Que se organicen conciertos al aire libre y semanales en el Parque de la Cornisa.

 

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C1La Latina es sinónimo de música, arte, alegría, personas, en definitiva; de vida, mi deseo es que no lo pierda.

C2Que compren unos patines al Sr. Alcalde para que recorra el barrio y vea en que estado está de abandonado una zona tan noble como es esta. Que los impuestos que pagamos se vean repercutidos en el barrio.

C3 (niño)Que no haya tanto humo ni cigarrillos en la calle ni en los bares.

C4Que no pierda su identidad y conserve su luz. ¡¡¡GRACIAS, LA LATINA!!!

C5Un transbordador espacialUn parque de dragones

C6Todo el mundo feliz

C7Sólo deseo el bienestar y la paz de los vecinos y la buena convivencia con la gente que viene todos los días a disfrutar del barrio. ¡Conocerse entre todos ya! (Y para que me avisen que día se hace: Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.)

C9 (niño)Que me vaya mucho mejor en el cole y en el recreo.

C10Las calles para al gente.Una vida de luz y color, de paz y amor. Y todos los presos a la calle.

C11Que todo cambie a mejor; la sociedad, África, los sin nombre…

C12Que las cosas cambien ¡si! Para bien y nunca para mal.

C13Que haya honradez

C14Que seamos buenos unos “para” los otros. Carlos Castella.

C15Más trabajos. Un buen ambiente.

C16Una reunión de vecinos. Integración migratoria.

C17Lo mejor por el barrio.

C18Que los jóvenes de hoy en día aprendan chotis y lo bailen en la Verbena de La Paloma.

C19Que mis nietos aprendan a bailar chotis.

C20Que las personas del barrio sean más amables.

C21Que el barrio sea lo que era antes, verbenas, bailes, diversión con pianillos en los patios. Hacer cadenetas.

C22Que todo el mundo sea feliz y paz en el mundo.

C23Deseo paz en el mundo, que todos puedan comer y beber sin pedir.

C24¡Tanta buona fortuna!

C25Que se respeten los centros culturales ocupas.

C26Llegar a una comunicación y entendimiento sin barreras sociales, culturales o capitales. Por esto deseo que todos compartamos lo mismo, amor y paz.

C27No a la represión policial.

C28Deseo sentirme bien conmigo misma, con los que me rodean y con los que no.

C29Mi deseo es que la juventud tenga trabajo.

C30Deseo en beneficio del barrio que se acaben las hipotecas.

C31Amor, consolación y cariño para Dios, salvador del mundo entero.

C32Me gustaría que se llevaran a cabo más propuestas como esta.

C33Deseo una paz mundial. (Un ciudadano del mundo)

C34Que el amor nos bañe a todos los seres humanos.

C35Deseo mucha paz en todo el mundo.

C36Que el mundo se dé cuenta de que lo que necesitamos es solidaridad, amor, sentido común… paz y amor para todos, para todo el mundo.

C37Que mi familia esté bien.

C38Un perro para mi hermano.

C39Salud para mis hermanos, muchas gracias.

C40Tranquilidad y amistad en este barrio.

C41Conseguir ser buena persona para hacer feliz a la gente y hacer cosas buenas.

C42Deseo que mi madre vuelva a casa lo antes posible, te quiero.

C43I wish to live in Europe someday!

C44Que sean todos felices.

C45Deseo ser una niña buena y sobre todo que pueda pasar bien el día de mi cumple y que me traigan muchos regalos.

C46Amor y paz.

C47 (niño)Deseo que lluevan chuches con una grúa gigante.

C48 (niño)Que lluevan juguetes y lo que queramos.

C49 (niño)Que no haya malos.

C50 (niño)Que llueva dinero y chocolate.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. EXTENSION, Toulouse 2008

2009-2010. Pablo Valbuena. EXTENSION, Toulouse 2008

 

EXTENSION, Toulouse. FR. 2008 Extension Series. Site-specific medium scale installations manipulating indoor space. Video projection on architecture. 2008 - present.

WORKS PART OF THESE SERIESToulouse. Private collection. Toulouse, FR. 2008NIMK. Netherlands Media Art Institute. Amsterdam, NL. 2009Hambre 09. Madrid, ES. 2009Vrije Academie. The Hague, NL. 2009Yokohama. CREAM, BankArt 1929. Yokohama, JP. 2009Almost Cinema. Vooruit. Ghent, BE. 2009Para-Sites. Conformed by three different interventions at Laboral Centro de Arte. Gijón, ES. 2010Vanishing points. Conformed by three different interventions at Galería Max Estrella. Madrid, ES. 2010

Llink videowww.pablovalbuena.com/videos/extension_video.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (deseos / audio transcripción)

AUDIOS GRABADOS

2Una casa para los indigentes.

3Un monumento que represente a la Latina y un polideportivo.

4Una zona verde.

6Un polideportivo.

9Una zona verde.

19Que me arreglen la calle que va a Jesús el Pobre porque está fatal. Han arreglado todas las calles adyacentes donde hay bares para poner terrazas.

22Querría que recogieran con más frecuencia la basura de los contenedores, que hay ratas y mucha porquería.

23Quisiera que pusieran baños públicos en las zonas de ocio nocturno, porque si no la gente mea en la calle y huele fatal.

25Queremos más fuentes de agua potable en la calle. Gracias.

28Que retiren los bancos de la Gran Vía de San Francisco numero 8 y que pongan más luz, por favor.

31Plazas húmedas no secarrales, no queremos secarrales. Gallardón ¡por favor!

75Que no nos quiten el parque de las Vistillas.

89Que no nos quiten el parque de la Cornisa.

94Que nos dejen las Vistillas y la Cornisa sin curas.

102Quiero recuperar la piscina de la Latina, porque ahora, cada vez que quiero ir a nadar me tengo que ir a Pacifico, por favor.

149Que Saconia se vuelva un barrio independiente. Quiero una Saconia libre, unida y única. Quiero una Saconia especial de España.

154Que arreglen la Travesía de las Vistillas, que está empedrada y está muy mal.

160Que el Vaticano deje libre la Colina de las Vistillas.

161Quiero que los locales vacíos de la Latina se utilicen para cosas del barrio.

162Aseos públicos para que la gente no mee en la calle.

177Que el 2010 traiga mucha alegría al barrio de la Latina.

243Que no quiten nunca el Parque de las Vistillas, y todo lo de alrededor que es San Francisco el grande.

283Deseo muchísimo, muchísimo, que en la fuente de aquí, de La Latina, haya una fuente de agua potable.

284Deseo que haya muchas más huchas como ésta, para que podamos dar voz a la gente del barrio.

287Hola, soy David, no soy de este barrio, pero si fuese mi barrio me gustaría que hubiese un carril bici. Gracias.

289A mi me gustaría, me gustaría mucho, que se sembrara romero y tomillo en los alcorques de la plaza.

292Que pongan aseos públicos por la calle para que no meen en las puertas de las casas.

308Quiero que pongan un montón de huchas más porque es lo que más mola de Madrid, sin duda.

323Queremos que quiten las cacas de perros en el barrio.

331Queremos un barrio más vivo de formas culturales de vida.

346Quiero que hagan más parques en el barrio, que no hay, por favor.

353No se que es lo que quiero para este barrio; habitaciones libres para alquilar, a buen precio, en torno a los 300 euros.

354Yo quiero que en éste barrio reformen las casas antiguas y les hagan bien las ventanas para que tengan más luz los salones, y no un dormitorio raro.

359En este barrio mucho trabajo para todos.

366Que Julia sea mi mejor amiga. Pero si esto es para el barrio, que siga estando tan precioso el barrio.

367Espacios infantiles y parques.

370Quiero que el barrio esté más limpio…, quiero que el barrio, pues que luzca más… quiero… tantas cosas.

417Pues estaría muy bien más limpieza en las calles.

419Hay mucha caca de perro.

426Cañas a un euro.

430Carril bici por todo Madrid y por todo el barrio.

432Un parque para hacer ‘botelleo’.

446Quiero que el barrio deje de oler a ‘meaos’ por culpa del alcalde que no cuida para nada el barrio. Gracias.

453Que haga peatonal la calle Toledo.

454Deseo que bajen todos los alquileres y que pongan terrazas en todas las casas y que en todas las casas de el sol.

461Desearía que no rompiesen más la hucha y que sirviese para algo y que éste proyecto que es tan divertido hiciese que éste barrio mejorase de verdad.

470Un campo de golf.

471Que no haya borrachos.

515Quiero que dejen la biblioteca pública. Y que lo hagan peatonal. ¡Latina peatonal ya!.

524Bancos públicos para toda la gente.

530Queremos que no haya tanto tráfico en el barrio.

552Sólo parque en la Cornisa.

554Sólo parque en la Cornisa.

560A ver, quiero que me dejen beber cerveza hasta la hora que me de la gana y no venga la policía a echarme.

563Quiero un parque en la plaza y que no haya tantos borrachos porque nos hacen cosas malas.

570Me encantaría que este barrio fuese super civilizado y que a la gente le gustasen mucho las cosas que se hacen, las cuidase y fuese muy amable con los objetos extraños.

572Quiero 400.000 árboles en mi barrio para que todos tengamos sombra en verano y sea muy verde.

574Queremos un parque para los niños para jugar todas las tardes.

596Quiero una estatua de Gallardón aquí.

602Me gustaría que pusieran una piscina desmontable los veranos aquí, en esta plaza.

607Una piscina para los niños.

612Deseo que haya más terrazas.

623Quiero el barrio limpio.

627Que haya más señales indicando el camino.

631Hola, lo primero quiero felicitaros, al proyecto, y bueno, pues desear que hagáis también algo en la calle Granados, en los escalones que hay.

643Que haya menos policía y que dejen cantar y tocar a la gente que está por aquí, de buen ver.

645Que limpien los pises.

648Hola, mi deseo es más limpieza para el barrio y la calle Granados.

649Una pared de graffitis para el barrio.

699Que la hucha se quede mucho más tiempo.

700Que La Latina tenga huertos.

701Que la hucha se quede en la Latina.

704Queremos alquileres más baratos en La Latina, en éste barrio tan bonito.

705Que no quiten el parque de la Cornisa.

707Una línea de autobuses que vaya a Moncloa. No tenemos casi transporte público por aquí.

 

 

.......................................................................................................................................................................................................................................................................TRANSCRIPCIÓN ESTREVISTAS REALIZADAS POR EL COLEGIO SAGRADO CORAZÓN

SC: sagrado corazónE: entrevistado

Sagrado Corazón 1SC- ¿La piscina de La Latina?E- Si, que la han tirado, para renovarla, pero no sabemos como la van a hacer.SC- Que la renuevenE- Entonces que la renueven y la dejen por que hay gente que si quiere venir a ella.Y si no está, pues… tienen que ir a otro lado que esté más… Además que es como una cosa de toda la vida, que yo conozca vamos. Eso no quiere decir que lleve muchos más años de los que yo tengo, vamos.

Sagrado Corazón 2E- ¿Que deseo para el barrio de La Latina?, tranquilidad.SC- ¿tranquilidad?E- Tranquilidad, me voy a mudar (risas). Que sea más tranquilo.SC- Algo que se hará, algo que se pueda construir… un parque…E- Que no, que no, que no hagan tantas películas allá abajo donde yo vivo que me ha llevado el coche la grúa un par de veces.

Sagrado Corazón 3Un deseo para el barrio de La Latina es que no cambien el Mercado de la Cebada. Que si lo van a hacer, que conserven las estructuras antiguas.

Sagrado Corazón 4Menos pisos caros, que mantengan el Mercado de la Cebada, lo que era el polideportivo, y más parques también.

Sagrado Corazón 5Muchos más parques que él de la Cornisa… sí, sí, el parque de la Cornisa.

Sagrado Corazón 6Yo vengo de Jerez, soy turista, pero desearía que hicieran en la Latina un parque.

Sagrado Corazón 7Quiero un barrio tan animado y tan feliz, y que haya menos drogas y menos delincuencia.

Sagrado Corazón 8Pues nada, a ver, pido un deseo para la gente de éste barrio, que quieren una piscinita para el veranito a ver si se puede hacer realidad.

Sagrado Corazón 9Que se reduzca el índice de mendicidad, que como se ve está poblando cada día más en las calles. Que haya más casas de socorro, más atención de instituciones públicas.

Sagrado Corazón 10Todo, sed buenecitas, y oye, el barrio que esté limpio, que esté curioso, que no haya robos, que todos seamos buenos, ¿vale? Ese es el deseo que yo quiero.

Sagrado Corazón 11Pues yo vivo en Holanda pero vengo aquí desde hace muchísimos años, y siempre me encuentro con unos sin casa allí, que me dan siempre mucha pena, y acabo de darles un euro, pero claro, eso no es una solución buena. Mira, ese señor allí está apagando su cubo que le sirve de cocina y habría que remediar esas situaciones tan penosas abriendo una casa de acogida y dándoles la atención que exigen y eso sería yo creo que una muy buena media para el barrio.

Sagrado Corazón 12Más vigilancia para los perreros, y nos pongan para un hospital y no para un segundo vaticano.

Sagrado Corazón 13La cartilla.

Sagrado Corazón 14E- Y que hagan una piscina enorme.SC- Para ti y para tus nietas.E- Para todos.

Sagrado Corazón 15Para una sala alternativa de teatro porque es un hueco que hay que cubrir en Madrid, porque las salsas alternativas que hay ahora, la más alternativa que había era la Cuarta Pared pero ahora todo el mundo se pega y hace cosas que son, que son muy de élite sabes, no hay alternativa y las otras pequeñitas pues para vivir y tal meten cosas comerciales tipo monólogos de estos de Manolo Manola aborregando de caca, culo, pedo, pis y no hay teatro alternativo.

Sagrado Corazón 16Nosotras que nos hicieran un ‘supermercao’ ahí, más grande, y que sirviera a las casas, porque las personas mayores no tenemos ni una sola tienda por aquí que sirva a domicilio. Ahí donde van a hacer eso podían hacer un centro comercial que sirviera a domicilio a las personas mayores porque precisamente éste barrio tiene muchas personas mayores.

Sagrado Corazón 17E1- Acción social a la gente más desfavorecida, ¿no? a los colectivos desfavorecidos.E2- Pero es que es complicado, Nacho.E1- Yo no lo usaría para instalar una farola, por ejemplo, porque eso le corresponde al ayuntamiento pero hay un montónde colectivos que necesitan apoyo de materiales o ese tipo de cosas, lugares que trabajan con niños que, por ahínecesitan lápices o ese tipo… digamos, no lo usaría para instalar un globo de cristal que dure un mes y que no, meparece que… lo usaría para algo social…, si, si.

Sagrado Corazón 18E1- Lo que yo diría, por ejemplo, estaría bueno hacer unas aulas de chotis, para que los mayores le enseñen a los mas jóvenes, así puedes captar el público anciano que es el poseedor de las pesetas, para enseñar un baile típico madrileño que muchos jóvenes no sabemos bailar y el chotis es altavoces, chotis, y en el suelo se baila y puede ser una buena relación entre el anciano, el joven, el anciano poniendo las pesetas, intercambiando información que tiene que ver con el antiguo Madrid, que tiene que ver con las antiguas pesetas, con el joven.E2- Igual Nacho, perdona, igual sería más adecuado zarzuela, por que el chotis…E1- bueno o cualquier baile que controlen, digamos la gente mayor de 55, 60 años, ¿eh?

Sagrado Corazón 19Lo primero, para mi, es que la gente sepa realmente lo que desea, creo que la gente puede pensar, hay mucha gente que dice “yo quiero ayudar a los demás” y no se da cuenta de que primeramente tiene que ayudarse a él mismo por el tipo de trabajo o el tipo de vida que lleva por la falta de atención que tiene a sus hijos. Yo promovería algo que concienciase a la gente de lo que realmente tiene valor en la vida. Concienciar a la gente, es decir, pues yo que se, promoverunas conferencias pero no a nivel intelectual, a nivel de a pie de calle que la gente ¿quieres información de como llevar mejor la vida en familia? o ¿quieres…? Yo una vez escuché que había un tipo que se dedicaba a hacer felices a los ricos y era muy criticado por que decían “pero si hay que hacer felices a los pobres” y decía “no no, los ricos tienen también lo suyo… porque solo coleccionan dinero y hay que enseñarles también a vivir no?” pues es un poco eh…, por que ahora en Madrid la gente dice “yo no tengo dinero” pero todos tenemos, todos. Éste mes no puedo pagar el piso, pero al mes que viene me sobra y… y no se. No se de que manera se puede llevar a cabo eso.

Sagrado Corazón 20Que lo tengan más limpio, ¿vale?

Sagrado Corazón 21Yo creo que lo mejor sería que hicieran más parques y un parking subterráneo para que no hubiera tantos coches enlas calles

Sagrado Corazón 22Hay muchos ¿eh?, tenemos muchos deseos. Que las calles estén más limpias; menos ruido; los bares que cierren las puertas para que no se oiga; luego el mercado que está hecho una pena. Que nos hagan un mercado, que nos hagan un polideportivo.

Sagrado Corazón 23-Eh, hola. Somos del Colegio sagrado Corazón y estamos participando en el proyecto de la Hucha de los Deseos, estamos preguntando a la gente sus deseos para la Latina y queríamos saber si nos podría decir el suyo.-Yo quiero, como he nacido en este barrio, quiero que podamos volver a estar todos en la calle. Que la calle no sea solo una manera de recaudar impuestos por parte de las instituciones si no que pueda volver a estar la calle llena de niños que haya serenos, que no importa, y que podamos volver a disfrutar todos del barrio que tenemos. Que no hacemos más que pagar y recibimos poco.

Sagrado Corazón 24Yo tengo varios deseos para decir. A ver, primero me gustaría que el mercado hiciera la remodelación, que lleva muchos años pendiente. Me gustaría que las calles estuvieran más limpias, me gustaría que el parque de la Cornisa lo dejaran como está, y que procuraran conservar el pequeño comercio. Esos son, de momento, todos los deseos de los que me acuerdo.

Sagrado Corazón 26Mis deseos para el barrio de a Latina, mis deseos son grandísimos y muy amplios. El primero y principal, que haya un mercado nuevo, que éste es muy antiguo, está muy deficiente, y un polideportivo, claro. Que la zona lo necesita, amén de un poquito de urbanización en sus calles, un poco como tienen otros barrios, este barrio está muy abandonado en ese sentido. Esos son mis deseos.

Sagrado Corazón 27E- ¡Bueno! que tenga salud fíjate.SC- Esto era el barrio, es decir algo que os gustaría que hubiera en el barrio de la Latina y que no lo hay.E- Que no lo hay, pues jolín, Pues lo grande, lo que no han hecho, dejar aquí el “mercao”, un “mercao” más nuevo,claro…SC- Más calentito.E- Más acondicionado. Vosotros como jóvenes, ¿Queréis un mercado así como está?SC- No.E- Pues con eso está dicho todo.

Sagrado Corazón 28¿Mi deseo? El mercado nuevo. Que hagan el nuevo mercado, por favor, que ya lo necesitamos.

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich (Cv)

BURGSTEINFURT, DEUTSCHLAND, 1969 VIVE Y TRABAJA EN KÖLNWWW.DIRKVOLLENBROICH.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: SHORT CIRCUIT/CORTOCIRCUITO

 

EXPOSICIONES (SELECCION)2006·    Tower lights treptower, Berlin·    Luminale frankfurter büro center, Frankfurt·    Videoarch trento, italy

2005·    Lux.us municipal gallery, Lüdenscheid·    Final cut cars & races Kurt gallery, Berlin

2004·    Lufthansa light administrative building LUFTHANSA, Cologne·    Watermusic regionale2004, Ahlen

2003·    Coming out museum of contemporary art, Siegen·    Flash chapel, Aulendorf·    The day by the sea salento, Italy

2002·    Powers of darkness museum of modern art, Frankfurt·    Bullets on you and me doicese of stuttgart, Stuttgart

2001·    Let´s go disco semper depot, Vienna·    Super NOVA iduna nova insurance building, Münster·    Scholarship: ‚cité des arts‘, Paris

2000·    Downtown künstlerhaus gallery, Vienna

1999·    The man who burned Adolf Hitler Int. filmfestival, Oberhausen

1998·    Let‘s go disco european media art festival, Osnabrück

1997·    Transform pavillon wewerka, Münster

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RIO, LAS COSAS QUE PASAN (ubicación)

Mobiliario urbano y proyecciones Canal Metro   

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. PROTOTIPO TEATRO, 2008

2009-2010. Pablo Valbuena. PROTOTIPO TEATRO, 2008

 

      

PROTOTIPO TEATRO, 2008Teatro de Alcobendas, Madrid

Instalación experimental para investigar sobre la interacción entre el cuerpo humano e instalaciones espaciales.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (2009.09-10 / trabajo de campo / permisos)

2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (2009.09-10 / trabajo de campo / permisos)

 

DOSSIERES PARA PERMISOS DE UBICACIÓN PARA EL AYUNTAMIENTO DE MADRID

 DOSSIER I. Septiembre2009

 

DOSSIER II. Octubre 2009

 ** ABRIR LOS PDFS ADJUNTOS PARA VER LOS DOCUMENTOS COMPLETOS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. S/T (ubicación)

Pº del Prado, frente al Museo del Prado

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. AUGMENTED SCULPTURE SERIES, 2007-2008

2009-2010. Pablo Valbuena. AUGMENTED SCULPTURE SERIES, 2007-2008

 

AUGMENTED SCULPTURE SERIES, 2007-2008Serie de instalaciones audiovisuales Este proyecto ahonda en las cualidades temporales del espacio, investigando el espacio-tiempo no sólo en el ámbito de las tres dimensiones, sino como espacio en transformación. Con este propósito se producen dos capas que exploran diferentes aspectos de la percepción espacio-temporal. Por un lado una capa física que trabaja con la percepción que tenemos del espacio y que sirve de soporte a otra capa proyectada, que a través de la luz controla la transformación de ese espacio. La unión de los dos niveles provoca la ilusión de una geometría física capaz de ser transformada. Este serie de piezas ha pasado por varios desarrollos y sigue evolucionando, desde su comienzo en Interactivos? 2007 se han expuesto en Canadá, Singapore, Francia, Korea, ARCO, etc. y ha recibido el apoyo de una mención honorífica en Ars Electronica 2008 (Linz, Austria).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dan Perjovschi (Cv)

SIBIU, ROMANIA, 1961 VIVE Y TRABAJA EN/BUCHARESTWWW.PERJOVSCHI.RO | WWW.LOMBARD-FREID.COM | WWW.GREGORPODNAR.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: OFF

EXPOSICIONES INDIVIDUALES

2006·    Bartana, Perjovschi, Sasnal, Museo Van Abbe, Eindhoven, Países Bajos·    Not me but you, not now but later Innsbruck Kunstraum, Austria·    On the other hand, Portikus, Francfort, Alemania·    Bryce, Borremans, Perjovschi Wurtemberghischer Kunstverein, Stuttgart, Alemania·    May First Moderna Museet, Estocolmo·    The Room Drawing, Tate Modern, Londres·    From Now On, Kunsthalle, Budapest·    First Class, Montcada Spac, La Caixa Forum, Barcelona

2005·    Naked Drawings, Museo Ludwig, Colonia, Alemania·    Toutes Directions, Le Quartier, Quimper, Bretaña, Francia

2004·    Attila, Protokoll Studio, Cluj, Rumanía·    No idea, Schnittraum, Colonia, Alemania

2003·    Ich habe keinnen zeitraum, Museo Brukenthal, Sibiu/ Hermannstadt, Rumanía·    Endless Collection, Kunsthalle Goppingen (con Lia Perjovschi), Alemania

1999·    rEST, 48 Bienal de Venecia, Pabellón rumano (con SubReal), Italia

1995·    Anthroprogramming, Franklin Furnace, Nueva York, EE.UU.

EXPOSICIONES COLECTIVAS

2006·    Give a way, Bienal de Limerick, República de Irlanda·    Focusing Iasi/The social Project, Bienal Iasi Periferic, Rumanía·    Phantom, Sala de exposiciones Charlottenborg, Copenhague, Dinamarca·    Normalization, Centro Rooseum de arte contemporáneo, Malmö·    The Vincent Biennial European Art Award, Museo Stedelijk, Ámsterdam, Países Bajos·    The Large Piece of Turf, proyectos en espacio público, Nurnberg, Alemania

2005·    New Europe. The Culture of Mixing and Politic of Representation, Fundación Generali, Viena, Austria·    Istanbul, IX Bienal de Estambul, Turquía·    I still believe in Miracles. Dessins sans papier ARC Musee d’Art Moderne de la Ville de Paris, Couvent de Cordeliers, París, Francia·    Paradoxes: the embodied city, Fundación Gulbenkian, Lisboa, Portugal·    Buenos días, Santiago, Museo de arte contemporáneo, Santiago de Chile

2004·    Comunaute, Institut d'Art Contemporain, Lyón, Francia·    Passage dEurope, Musee d’Art Moderne St Etienne, Francia·    Off site, Collective Gallery, Edimburgo, Reino Unido·    Flipside, Artist Space New York, EE.UU.

2003·    Open City-Models for Use, Kokerei Zollverein, Zeitgenossische Kunst und Kritik, Essen, Alemania·    In den Schluchten des Balkans, Kunsthalle Fridericianum, Kassel, Alemania·    Undesire, Apexart, Nueva York, EE.UU.

2001·    Primera bienal internacional de Gotemburgo, Kunsthalle Gotemburgo, Suecia

2000·    Arteast Collection, 2000+, Moderna Galerija, Liubliana, Eslovenia; Orangerie, Innsbruck, Austria y ZKM Karlsruhe, Alemania·    2000 Voila! Le monde dans la tête, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Francia

1999·    After the Wall, Moderna Museet, Estocolmo; Museo Ludwig, Budapest, Hungría·    Hamburger Bahnhoff, Berlín, Alemania

1999·    Rondo, Museo Ludwig, Budapest, Hungría

1998·    Manifesta 2, Luxemburgo

1995·    Beyond Belief', Chicago Museum of Contemporary Art e Institute of Contemporary Art, Filadelfia, EE.UU.

PREMIOS 

·    2004, premio George Maciunas·    2002, premio Henkel CEE de dibujo contemporáneo, Viena

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (localización)

Pº de Recoletos, Tienda de Telefónica, al lado de la Plaza de Colón  

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. ENTRAMADO, 2007

2009-2010. Pablo Valbuena. ENTRAMADO, 2007

 

   

ENTRAMADO, Medialab, 2007Plaza de las Letras. Medialab - Prado, La Noche en Blanco 07. Madrid. Instalación urbana

Entramado aborda la idea de transformación espacial en el espacio público. La superposición de un nivel de proyección sobre la arquitectura  de una plaza pública permite generar cambios y transformaciones en el sin una alteración física de la plaza, en su lugar se alteran los mecanismos perceptivos con los que experimentamos ese entorno urbano.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (imágenes)

2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (imágenes)

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PLAZA PUERTA DE LOS MOROS

     

     

     

    

Fotografías: Alfonso Herranz

 

Hucha de Deseos, Plaza Puerta de Moros /  Fotógrafa: Marta de la Torriente / Enero 2010        Posters en La Latina / Fotógrafo: Mario Leal / Enero 2010

Posters en La Latina / Fotógrafo: Mario Leal / Enero 2010   Posters en La Latina / Fotógrafa: Susanne Bosch    Fotógrafa: Susanne Bosch / 12 Noviembre 2009

Fotógrafa: Susanne Bosch / 12 Nov 2009    Fotógrafa: Susanne Bosch / 12 Noviembre 2009    Fotógrafa/Fotographer: Maria Molina Diciembre 2009 / Entrevista

Fotógrafa: Maria Molina /  Noviembre 2009 / reunión    Fotógrafa: Maria Molina /  Noviembre 2009    Fotógrafo: Estudiante de la ESO / Diciembre 2009 / entrevista

Mercado de la Cebada / Fotógrafo: Estudiante ESO/ Diciembre 2009     Mercado de la Cebada / Fotógrafo: Estudiante ESO/ Diciembre 2009     Fotógrafa: Susanne Bosch / 12 Nov 2009

 

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TIZA ACTION

  

  

Fotogarfías: Alfonso Herranz

 

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OPEN SPACE. 27 de Febrero 2010 

      

        

         

       

         

          

Fotografías: Alfonso Herranz

 

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PLANTACIÓN DE 8 CIRUELOS EN EL PARQUE DE LA CORNISA. 14 de Marzo 2010

        

                           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (cartel)

2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (cartel)

PRUEBA I

   

 

PRUEBA II + CORRECCIONES

 

PRUEBA III + CORRECCIONES

* VER PDF ADJUNTOS

 

 

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (ubicación)

Fachada de la Casa de América, Plaza de Cibeles 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. EXCHANGE OFFICE, 2006

2009-2010. Gustavo Romano. EXCHANGE OFFICE, 2006

 

 

EXCHANGE OFFICE, 2006 (Oficina de cambio)Orchard Road, Singapur, Agosto 2006. Acción, instalación, vídeo 10' 33''

La acción se desarrolló colocando un stand en Orchard Road (frente al mayor shopping mall de la ciudad) en donde se preguntó a los transeúntes qué pensaban acerca del nuevo sistema de dinero y se los invitó a intercambiar un billete por aquello que consideraban de un valor (en tiempo) correspondiente.

http://www.gustavoromano.com.ar/timenotes/ExOffspa.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost (Cv)

MELBOURNE, AUSTRALIA, 1980 VIVE Y TRABAJA EN REYKJAVÍKWWW.ETHERMACHINES.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: I LAY MY EAR TO FURIOUS LATIN

 

EXPOSICIONES SELECCIONADAS, ESTRENOS Y OBRAS PARA ACTUACIÓNTRABAJO ACTUAL2006·    Instalación pública de sonido/escultura I Lay my ear to furious Latin: Madrid Abierto, España·    Theory of Machines. 5 nuevas composiciones para maquinaria industrial y guitarras·    Jardskálftar Tónlist (Música de terremotos). Investigación y desarrollo de una instalación audiovisual no lineal basada en un terremoto en tiempo real

OBRA RECIENTE2006·    Glow,  Chunky Move Dance Company. Partitura, coreografía de Gideon Obarzanek y diseño del sistema interactivo de Weiß·    Singularity, Chunky Move Dance Company. Partitura, coreografía de Gideon Obarzanek. Holli Who?, Íslenskí Dansflokkurín (Compañía de danza islandesa)·    Partitura, coreografía de Halla Ólafsdottír sobre idea de Halla Ólafsdottír y Ben Frost·    Broken Window Theory, Bus Gallery, Melbourne Australia (Exposición de grupo). Instalación no lineal de audio·    MOB part 1, Mercado de carne de North Melbourne, Melbourne Australia. Instalación audiovisual, Instalación de sonido envolvente y varias pantallas como parte Cicada

2005·    Björk, Medúlla·    Desired Constellation Remix, One little Indian Label/Universal Music International·    Pyroclastic, Centro para las nuevas artes mediáticas, Armenia·    Trabajo de sonido con Ai Yamamoto, Exploración del sonido volcánico·    Salt Milk, IASKA, Kellerberrin, Australia occidental. Instalación audiovisual en las regiones alejadas de los lagos salados como parte de Cicada

OBRA ANTERIOR2004·    Amensal,exposición de la luminosidad, (ANAT) Adelaida, Australia. Instalación de proyección de vídeo/audio interactivo a gran escala con Cicada

2003·    Re_Squared. Prima Vera Festival, Museo nacional de arte contemporáneo, Sydney, Australia. Encargado en colaboración con artistas del vídeo. Performance/instalación audiovisual con inmersión de Cicada·    Sæluhúsid (Casa segura. Nylistasafnid (Museo de las artes vivas), Reykiavik, Islandia·    Performance directa por encargo con el artista islandés Valgeir Sigurdsson·    Steel Wound. Nuevo trabajo encargado para el sello discográfico Room40. Exploración de la guitarra como entorno, la geografía como instrumento, creado en una granja aislada

EXPOSICIONES COLECTIVAS2004·    Melatonin, Festival MAAP, Singapur (Exposición de grupo) Comisario Lawrence English. Instalación de sonido en un túnel con tráfico abierto al público. Exploración del sueño..    Melatonin. “Nextwave Festival” Bus Galleries, Melbourne Australia (Exposición en grupo). Instalación de audio, exploración del sueño, el R.E.M y la psicoacústica

FORMACIÓN2005·    RMIT University – Licenciatura en Artes mediáticas, con distinción (Bellas artes –Sonido/ composición) Dirigido por Dr. Philip Samartzis y el compositor Darrin Verhagen 

1999·    North Adelaide School of Art – Diploma superior en bellas artes (Pintura, escultura) incompleto

BECAS,PREMIOS Y RESIDENCIAS ARTÍSTICAS2005·    Media Arts Board, Consejo australiano para las artes – Beca a nuevas obras·    Apoyo y desarrollo al trabajo Jardskálftar (Terremotos)·    Music Board, Consejo australiano para las artes – Beca a nuevas obras·    Apoyo y desarrollo al trabajo Theory of Machines (Teoría de las máquinas)·    Instrumentos nativos, Alemania·    Apoyo a artistas·    Foundation For Young Australians- Fondo para becas a personas físicas·    Residencia artística en Greenhouse Studios Reykjavik, Islandia

2004·    New Media Board, Consejo australiano para las artes – Beca de investigación y desarrollo·    Investigación y desarrollo de nuevas obras en colaboración con Kirsten Bradley y Nick Ritar (Cicada)·    New Media Board, Consejo australiano para las artes – Beca International Pathways·    Gira internacional por EE.UU., R.U., Europa apoyando Steel Wound·    Ciudad de Sydney Australia- Art and About program award·    Para la obra de arte Re_Squared en colaboración con Kirsten Bradley y Nick Ritar (Cicada)·    BBC Radio, Critics Choice, Top 10 experimental Releases 2003·    Para la obra Steel Wound

2002·    Ableton Software, Alemania·    Apoyo a artistas

ASOCIACIONES2005·    Hasta hoyBedroom Community Label, Reykiavik, Islandia 

2003·    Hasta hoyRoom40 Label, Brisbane Australia

2002·    Hasta hoy  Cicada Arts Collective, Melbourne Australia

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (ubicación)

Museo de escultura al aire libre, Pº de la Castellana, Eduardo Dato

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. LOSING TIME, 2006

2009-2010. Gustavo Romano. LOSING TIME, 2006

 

LOSING TIME, 2006 (Perdiendo tiempo) Orchard Road, Singapur, Agosto 2006. Acción, vídeo. 1' 58''

La acción consistió en caminar por una calle peatonal en la zona comercial de Singapur dejando caer billetes de tiempo.www.gustavoromano.com.ar/timenotes/LTspa.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.02 / documentación técnica)

(FEBRERO 2010)

 

PROGRAMA DE ACTIVIDADES / FEBRERO 2009

LUNES 15 

[18:00-19:00]   Visita a la Casa de América para ver las instalaciones y terminar de organizar las actividades 

 

MIÉRCOLES 17  [15:00-17:00]   Reunión con los colectivos en Radio Vallekas (Puente de Vallecas)

>>> Programa de radio donde se narrarán, a través de relatos y entrevistas, las historias de los colectivos involucrados en este proyecto (Asociación Cultural “Al Alba” + Asociación Cultural “La Kalle” + “Radio Vallekas” + “Abierto Hasta el Amanecer”)

 

JUEVES 18  [11:00-12:00]   Llegada y montaje de la zona de reunión en el Salón Inca de la Casa de América

 >>> Necesidades = 1 mesa + 20 sillas + 1 proyector + 1 pantalla

[12:00-14:00]   Reunión del Foro Socioeducativo / Salón Inca de la Casa de América (20 personas aprox.)

[18:00-20:30]   Reunión de la Mesa de Convivencia / Salón Inca de la Casa de América (20 personas aprox.)

 

LUNES 22  [16:00-17:00]   Llegada y montaje de la zona de emisión en el Salón Inca de la Casa de América

 >>> Necesidades = 1 mesa + 6 sillas + conexión ADSL de subida de datos + electricidad

[17:00-19:30]   Emisión de Radio Vallekas desde la Casa de América

>>> Asociación Escuela de Mujeres del Alto del Arenal (20 personas aprox.)

>>> Coro femenino “KAFE 18” / Asociación Cultural “Al Alba” (10 personas aprox.)

>>> Grupo de mujeres “SEDOAC” / Empresa-cooperativa asesorada por Abierto Hasta el Amanecer S. Coop. Mad.

 

MIÉRCOLES 24  miércoles 24 o viernes 26, dependiendo de unas pre-reservas que hay ahora.

[17:00-17:30]   Batucada: Niñ@s de la (¿? personas aprox.)

[18:00-19:15]   Obra de teatro: “Debajo del pellejo” / Compañía: “Los Perdidos Teatro” (3 intérpretes)

[20:00-20:30]   Actuación: Coral “Al Alba” (40 personas aprox.)

SÁBADO 27 (O SÁBADO 20)

[09:00-10:00]   Llegada y montaje de la zona de emisión en el Salón Inca de la Casa de América

>>> Necesidades = 1 mesa + 6 sillas + conexión ADSL de subida de datos + electricidad

[10:00-12:00]   Emisión de Radio Vallekas desde la Casa de América

> Programación: “El Candelero” + “Fusionando” + “Del cuarto tipo”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (ubicación)

Círculo de Bellas Artes, fachada Alcalá

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME RELEASE, 2007

2009-2010. Gustavo Romano. TIME RELEASE, 2007

 

TIME RELEASE, 2007 (Liberación de tiempo)Silver Pearl ,Rostock, Junio 2007. Acción, video. 4' 08''

La acción se desarrolló en Rostock durante las manifestaciones contra el summit del G8, una reunión anual que se realiza en lugares cercados e inaccesibles por vía terrestre. Una copia de cada billete entregado en la Oficina de Reintegro del Tiempo Perdido, fue atada a un globo y luego liberado.www.gustavoromano.com.ar/timenotes/TRspa.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (texto publicado)

 “En aquel Imperio, el Arte de la Cartografía logró tal Perfección que el Mapa de una sola Provincia ocupaba toda una Ciudad, y el Mapa del Imperio, toda una Provincia. Con el tiempo, estos Mapas Desmesurados no satisficieron y los Colegios de Cartógrafos levantaron un Mapa del Imperio, que tenía el Tamaño del Imperio y coincidía puntualmente con él.“Del rigor en la ciencia, Jorge Luis Borges

La pieza consiste en una instalación específica donde se superpone en un elemento su propia representación abstracta. Con el dibujo de un plano sobre la arquitectura de referencia, se extiende la ciudad real hacia algo virtual.

El medio utilizado es la videoproyección pero más allá de lo técnico, el trabajo se basa en herramientas tan antiguas como la perspectiva o el trampantojo que funcionan manipulando la percepción del espectador.

La transformación del espacio urbano se logra gracias al movimiento, a la luz/ sombra. En lugar de construir arquitecturas con materiales físicos, es la proyección de líneas y planos de luz, los que generan la ilusión de nuevos espacios.

Se genera una ciudad y una arquitectura que solapa lo ‘real’ y lo ‘virtual’, que hace visible lo interior desde el exterior, transparentes los muros sólidos o patente el paso del tiempo en la ciudad…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Alfonso Gil + Francis Gomila (Cv)

ALFONSO GILBADAJOZ, 1966 VIVE Y TRABAJA EN SEVILLA WWW.ALONSOGIL.COM

FRANCIS GOMILAGIBRALTAR, 1954 VIVE Y TRABAJA ENTRE: NEWCASTLE, UNITED KINGDOM; BERLINWWW.DIGITALARTSGALLERY.CO.UK/FG.ARTISTSPAGE.HTML

OBRA EN MADRID ABIERTO: GUANTANAMERA

 

ALFONSO GIL  EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    La Celda Grande MEIAC Badajoz

2002·    Galería DV, San Sebastián·    Incómodo, Sala de eStar, Sevilla

1998·    Cada Cual a su Tirano, Galería Buades, Madrid

1997·    Acceder al interior es necesario, Galería Berini, Barcelona

1996·    Casa de Luces, Galería Cavecanem, Sevilla

1989·    Alonso Gil  Ascan Crone Galerie, Hamburgo, Alemania

EXPOSICIONES COLECTIVAS2004·    La alegría de mis sueños. I Bienal de Arte Contemporáneo de Sevilla (BIACS)·    Transacciones / Fadaiat. Archivo multimedia on line. Tarifa/Tanger I, UNIA arte y pensamiento

2003·    Lost boys, Smart Project Space, Amsterdan·    Flashed out, Instant Cities, Instituto de México, París·    Seen, Fact, Liverpool

2002·    Manifesta 4, Frankfurt·    The Big Social Game, Biennale Internazionale Arte Giovane Torino, Italia Living Proof, Newcastle·    Falling on you, Londres·    3 VIDEOROM, Galleria Gian Carla Zanutti, Milano

2000·    III Festival Internacional de Arte Sonoro Ex Teresa Arte Actual, México D.F., México;·    Punto de Partida. Apuntes para una colección, Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Sevilla

1999·    Art for Two, Art & Idea, Hotel de San Francisco, México D.F.; I y II Salón de los Refractarios, Galería Buades, Madrid (1998-1999);

1998·    Disappearance Act, Bound & Unbound Gallery, Nueva York (1998);

1997·    One of You, Among You, With You (homenaje a Martin Kippenberger), Galería Juana de Aizpuru, Madrid·    Obra al piso, Galería Vallarta 1085, Guadalajara, México·    Local Cultura, Museo y Archivo de la Autoridad Portuaria, Ceuta. Dentro del proyecto multidisciplinar Almadraba realizado en las orillas del Estrecho de Gibraltar·    Pasarse de la raya (programa de vídeo), ExpoArte’97, Guadalajara, México y Art & Idea, México D.F.,

1996·    México; Public Secrets. The Knitting Factory, Nueva York (1996)

1994·    Wheel of Fortune, Lombard-Freid Gallery, Nueva York;·    Multiples at Printed Matter, Printed Matter, Nueva York;·    Ida y vuelta. Galería Casa del Joven Creador (exposición paralela a la V Bienal de La Habana, Cuba)

FORMACIÓN·    Licenciado en Bellas Artes por la Universidad de Sevilla.

BECAS·    Generación 2002, Caja Madrid (2002);·    Creación Artística Contemporánea, Consejería de Cultura, Junta de Andalucía (2000·    Beca Pollock -Krasner Foundation, Nueva York (1999)·    Beca de la Fundación Rodríguez Acosta, Granada (1989).

PUBLICACIONES·    Promocional Copy (Robin Kahn, editor), Nueva York;·    Sin Dios, ni patria, ni ley, Puerto de las Artes, Diputación de Huelva;·    Atlántica Revista Internacional de las Artes, nº25, pp.182-187.

PROYECTOS2001·    An Error Occurred, Foro Sur, Cáceres

2000·    Doméstico 02, Madrid·    Deleitarse en la N y deleitarse en la O, Museo Ex Teresa Arte Actual, México D.F.

OBRA EN COLECCIONES·    Fundación Caja Madrid;·    Aduana,·    Fundación Rafael Alberti,·    Diputación de Cádiz; Ayuntamiento de Utrera, Sevilla;·    CAAC, Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Sevilla;·    Colección Testimony, Fundación  La Caixa, Barcelona;·    Congress Centrum Museum, Hamburgo, Alemania;·    Diputación Provincial de Málaga;·    Museo de Bellas Artes de Asturias, Oviedo;·    MEIAC Museo Extremeño e Iberoamericano de Arte Contemporáneo, Badajoz.

 

FRANCIS GOMILAEXPOSICIONES·    Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.·    BIENAL DE PRAGA 1.·    Museo del palacio Veletrzni, Praga.·    Artists Space, Nueva York.·    XI GRANCIA Siena, Italia.·    Expoarte, México.·    Smart Project Space, Ámsterdam.·    Franklin Art Works Minneapolis, EE.UU.·    NGBK, Berlín.·    Museo de arte contemporáneo de Marsella.·    Kunstlerwerkstatt, Munich..    ICA, Londres.

 

 

 

 

 

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2005. Compañía de Caracas. ESPACIO MÓVIL (ubicación)

Intervención sobre autobuses, Castellana-Recoletos-Prado

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME WAVES, 2007

2009-2010. Gustavo Romano. TIME WAVES, 2007

 

TIME WAVES, 2007 Praia de Patos, Nigrán, Vigo, Octubre de 2007. Acción, video. 4' 54''

El video registra una y otra vez, la acción de arrojar al mar un billete de 1 año, y la del mar, trayéndola nuevamente a la orilla.www.gustavoromano.com.ar/timenotes/TWspa.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009.2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (2009.10 / trabajo de campo)

2009.2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (2009.10  / trabajo de campo)

** ABRIR PDF ADJUNTO PARA VER EL DOCUMENTO COMPLETO(OCTUBRE 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (ubicación)

 Pº de la Castellana - Eduardo Dato, boulevard impares

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (imágenes)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (imágenes)

 

    

     

       

    

FOTOGRAFÍAS: Alfonso Herranz

 

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FOTOGRAFÍAS: cortesía del artista

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. SAUNA FINLANDESA O ¿DESCENSO DE BARRANCOS?, 2008

2009-2010. Iñaki Larrimbe. SAUNA FINLANDESA O ¿DESCENSO DE BARRANCOS?, 2008

 

 

SAUNA FINLANDESA O DESCENSO DE BARRANCOS

La intervención titulada “Sauna finlandesa o ¿descenso de barrancos” consiste en una caravana alojada en el estudio del autor (una lonja en alquiler). El proyecto se ofrece así no tanto como forma de habitar barata sino como un modo de uso temporal (una noche) para consumidores culturales.

La obra de esta manera se aloja en un ámbito de reflexión crítica de la industria cultural no situándose frente a la industria y sus consecuencias que avalaría una disposición típicamente moderna, sino como participante nihilista del proceso.

Poniendo sobre la mesa el "turismo cultural" como banalización, si no perversión, del equipaje argumental de las políticas públicas sobre arte y cultura que han situado la problemática del arte y la sociedad en la agenda de los departamentos de promoción económica y planificación estratégica de los gobiernos actuales.

 

PUBLICACIÓNColección: Esci Projects 3Edita: Ayuntamiento de vitoria-GasteizEspacio Ciudad (Centro de Arquitectura y Urbanismo para la Ciudad Contemporánea)** ver pdf adjunto

         

 

HOJA DE SALA ** ver pdf adjunto

 

  

     

     

     

    

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon. S/T (ubicación)

Depósito elevado de Plaza de Castilla

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual II)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual II)

 

DIA 8

          

           

            

 

DÍA 9

         

           

               

 

DÍA 10

            

             

              

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] BIENAL DO MECOSUL (vídeo)

 

                

[VI VÍDEO] BIENAL DO MERCOSULPorto Alegre, Brasil

Opción 1TERRORISMO POÉTICOAcciones de aviones proyectados en el aeropuerto

Opción 2 VIDEOMAN VS GAÚCHOProyecciones de gaúchos en el monumento Laçador

Opción 3SEXO / AMORProyección de un beso en Farrapos (zona roja)

Opción 4HOMENAGEM A SEU MADRUGA Proyecciones de Don Ramón (seu Madruga) en lote abandonado

Opción 5VIDEO NA RUAProyecciones de arte eb video en una calle del centro

Opción 6 VIEDOARTE O - FUTEBOL 5 Proyecciones de vídeo afuera de un estadio de futbol

Opción 7INVADIENDO ESPACIOSproyecciones durante la inuaguración de la V Bienal de Mercosul

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (imágenes)

2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (imágenes)

 

        

    

Fotógrafo: Alfonso Herranz 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Johanna Billing (Cv)

JÖNKÖPING, SUECIA, 1973 VIVE Y TRABAJA EN STOCKHOLM WWW.MAKEITHAPPEN.ORG/JOHANNABILLING.HTMLOBRA EN MADRID ABIERTO: YOU DON’T LOVE ME YET

 

Éste es el resumen ficticio de Johanna Billing, habría que contar algo sobre ella ademas de que nació en Jönköping, 1973 y que Reside y trabaja en Estocolmo.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2006·    Magical World, PS.1, Nueva York·    Magic & Loss, Kavi Gupta, Chicago·    Más películas sobre canciones, ciudades y círculos, Marabouparken, Sundbyberg·    Magical World, STANDARD, Oslo·    Museo de arte de Knoxville, Knoxville

2005·    Magical World, Hollybush Gardens, Londres

2004·    Look Out, Kavi Gupta Gallery, Chicago·    You don’t love me yet, Vedanta Gallery, Chicago

2003·    Studio Works, Milch at Gainsborough Studios, Londres·    You don’t love me yet, Índice, Estocolmo

2002·    Where She Is At, Bild Museet Umeå

2001·    Where She Is At, Moderna Museet Projekt/Oslo Kunsthall, Oslo·    Keep On Doing, Sub Bau, Gotemburgo

2000·    Proyecto para una revolución, Galleri Flach, Estocolmo

1999·    Coming Up, 149A, Academia real de arte, Estocolmo

1998·    Straight from the Hip, Ynglingagatan 1, Estocolmo

1996·    Är du lik en känd person?, Galleri Service, Estocolmo

EXPOSICIONES COLECTIVAS2006·    Belief, Bienal de Singapur, Singapur·    Fail Now, Fail Again, Fail Better, Momentum, Moss·    NIT NIU 06 "In a Magical World", la cala Sant Vicens, Pollença, Mallorca·    No More Reality, Belef, Centro de descontaminación cultural, Belgrado·    Phantom, Sala de exposiciones Charlottenborg, Copenhague·    Setting the Scene, Accademia di Belle Arti, Roma·    Outside the livingroom, GB-Agency, París·    Leap into the cold water, Shedhalle, Zúrich·    Everyday, Every other day, Blackwood Gallery, University of Toronto·    Group Dynamics, Museo de arte de Aspen, Aspen·    Don Quijote, Witte de With, Rotterdam·    Normalization, Rooseum, Malmoe·    Bienal Cuvée, OK, Linz, Austria·    Modernautställningen, Moderna Museet, Estocolmo

2005·    Gravity in Art, de Appel, Amsterdam·    Johanna Billing & Alan Currall, Display, comisario Vit Havranek, Praga·    Art that works, Catch Me, 46º Salón de octubre, Belgrado·    9ª Bienal de Estambul, Estambul·    Rock Music (dedicado a Igor Zabel) Gallery P74, Liubliana·    Adam, Espacio para proyectos Smart, Ámsterdam·    Hacerse menor, ¿con o sin?, Centro cultural, Belgrado.·    Si no puedo bailar, no quiero ser parte de vuestra revolución,(Festival a/d Werf, Utrecht, Festival Boulevard,’S-Hertogenbosch)·    Blava Narrow Focus, talleres Tranzit, Bratislava, Eslovaquia·    Radiodays, ctp programme, De Appel, Ámsterdam·    Moscow Biennale at NCCA Nizhnij Novgorod·    Havlandet, Museo de artes decorativas de Noruega occidental, Bergen·    Do Not Interrupt your Activities, Royal College of Art, Londres·    Dialectics of Hope, Museo Lenin, 1ª Bienal de Moscú, Moscú·    New Art Event, Museo de arte Ulrich, Wichita, Kansas·    Revolution is on hold, L’Associazione Isola dell’Arte, Milán

2004·    Normalization, Nova Gallery (For What How and for Whom), Zagreb·    Delayed on Time, Museo de arte contemporáneo, Zagreb, Croacia·    Collect Call, H.arta, Timisoara, Rumania·    Bienal yugoslava de jóvenes artistas, Vrsac, Serbia/ Montenegro·    The Principle of Hope, Three Colts Gallery, Londres·    Green Box, Trafo Gallery, Budapest·    "Pipshow #6, Fabrikken, Oslo

2003·    Premio de la Fundación Edstrandska, Malmö Konsthall, Malmö·    Socialism - A Love Letter, Fia Backstrom, Nueva York·    Peripheries become the center, Bienal de Praga 1, Praga·    Delays and Revolutions, Bienal de Venecia, Pabellón italiano, Venecia·    Vinyl Sky, Intro,Vilnius·    Kropp Idrott Konster, Museo Blekinge, Karlskrona·    Perfect Performance, Kulturhuset, Estocolmo

2002·    Baltic Babel, Rooseum, Malmö·    Paus, Gwangju Biennale, Gwangju, Corea·    Vårvideo, Kalmar Konstmuseum

2001·    Projects for a Revolution, Le Mois de la photo à Montréal, Montreal·    Motstånd/The Path of Resistance, Moderna Museet, Stockhom

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. PINTURA SOBRE TERRENO DE TENIS, 2005

2008. Alicia Framis + Michael Lin. PINTURA SOBRE TERRENO DE TENIS, 2005

 

Vista de la instalación en The contemporary Museum, Honolulu, Hawaii

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star (Cv)

FUNDADA EN 1998VIVEN Y TRABAJAN EN BERLIN WWW.DISCOTECAFLAMINGSTAR.COM

ESTÁ FORMADO POR:CRISTINA GÓMEZ BARRIO, MADRID, 1973WOLFGANG MAYER, KEMPTEN, DEUTSCHLAND, 1967

OBRA EN MADRID ABIERTO: FERNANDO (WE WERE YOUNG. FULL OF LIFE. NONE OF US PREPARED TO DIE)

PERFORMANCES/EXPOSICIONES/OTROS (SELECCIÓN)2006·    Terraplane Blues. Comisario Kamen Nedev. La Casa Encendida, Madrid (e,p)·    What a Great Space You Have... Comisario Marc Glöde. Luxe Gallery, Nueva York (e)·    Aladlona 2 (I love you green).  The Kitchen, Nueva York (p)·    Whitney Independent Study Program-Exhibition. Chelsea Museum, Nueva York (e)·    À Rebours. Escapism and the Terror of the Sublime. Comisario Michael Schultze. General Public, Berlín (e)

2005·    With all our love for the love of Orlando. Artist Space, Nueva York [en asociación con Performa 05] (p)·    I beg your pardon. or The Reestablishing of Cordial Relations. Comisaria Andrea Geyer. Vera List Center for Art and Politics en la The New School. Nueva York (e)·    Videoarte contemporáneo de Berlin. Comisaria Kathrin Becker. Museo Tamayo, Ciudad de México (e)·    With all our love for the love of Orlando. Ausland, Berlín (p)·    Love Party. Goethe Institute - Ojo Atómico, Madrid (p)

2004·    Dance Dance Revolution!. Comisarios Matthew Lyons y Lanka Tattersall. Leroy Neiman Gallery, Universidad de Columbia, Nueva York (e)·    Audiovisual injuve 2003. Sala Amadís, Madrid. (e, c)·    Sexy Bloody Cat. CD. Monsters & Miracles Musikproduktionen. (o)·    Discoteca Guitarrera Funkstorm (DFS + El Arroyo Los Cagaos), Plaza del Pueblo, Viandar de la Vera (p,o)·    Aladlona (I love you green). Ausland. Berlín. (p)·    o.T. Big Eden. Berlín. (p)·    Sexy Bloody Cat (I hope everything you love dies in your arms). Galerie Wieland. Berlín. (e,p)

2003·    Sexy Bloody Cat con ocasión de `Public Affairs’. MUMOK. Viena. (p,c)·    Radio Radio. Exposición. Programa de radio. Comisario Mel Brimfield. (CD publicado por Revolver Verlag) (o)·    AACB/BDAC. Parlour Projects. Nueva York. (e, p)·    Hardcore Karaoke. Estudio de Rita McBride y Glen Rubsamen. Colonia. (p)

2002·    DFS plays Kenneth Anger. Praterinsel. Munich. (p)·    o.T. Cheap Club. Berlín. (p)·    Königreich eine andere Welt (DFS + Dorothy Vallens). Opernpalais. Berlín. (p)·    o.T. (about Rock’n Roll) (DFS + CIB). Circo Interior Bruto. Madrid.p)·    o.T. at Stardust Deluxe. Lisa Lounge. Berlín. (p)

2001·    Roses and Paradise. Kunsthall. Oslo. (p)·    Crossing The Line, Cruel but Fair – Banda sonora para la instalación “Waikiki” de Rita McBride, Queens Museum. Nueva York. (o)·    Waveform: Teresa Seemann & David Galbraith, Vestíbulo Media Z del New Museum of Contemporary Art. Nueva York (e)·    Discoteca Flaming Star & Ignaz Schick. Take a look at me now. Galerie Wieland. Berlín. (e,p)·    Songs of love and hate. Side A. Bastard. Berlín. (p)·    55. De Sade – Reading. Juliettes Literatursalon. Berlín. (p)·    The Bridal Kiss. Estudio de Tom Früchtl. Munich. (p)

2000·    Discoteca Flaming Star plays Kenneth Anger. Siberia.Nueva York. (p)·    Discoteca Flaming Star loves to love you baby. Bar XVI. Nueva york. (p)·    Discoteca Flaming Star plays Kenneth Anger in “Arena seatings” by Rita·    McBride. Neuer Aachener Kunstverein. Aquisgrán. (p)·    Discoteca Flaming Star does Electric R’NR. Club 2. Munich. (p)·    Discoteca Flaming Star & Le Oktobre love to love you baby. Kunstverein. Munich. (p)·    Love & Avantgarde. CD. White Label (o)

1999·    Flaming Star at Band Wi(d)th 2000. Atomic Café. Munich. (p,o)·    Unter Umständen mit Frank Reinecke und Helge Slaatto. Atelier von Olaf Probst. Munich. (p)·    Forget Me Not #3. Bourbon Street Bar. Munich. (p)·    o.T. (Rote Single). Vinyl-Single. White Label (o)

1998·    o.T. Schalterhalle, Elektro Festival. Schalterhalle. Ulm. (p)·    p=performance, e=exposición, o=otros, c-catálogo

FORMACIÓN

CRISTINA GÓMEZ BARRIO2005·    Programa de estudio independiente Whitney, Nueva York

2005·    Beca de la Fundación Marcelino Botín, España.

2003·    ISCP. New York (con el apoyo del INJUVE. España)

1998·    DAAD-Caixa. Beca para la Akademie der Bildenden Kuenste. Munich

1997·    Programa de licenciatura. Departamento de Historia del Arte. Bellas Artes. UCM. Madrid.

WOLFGANG MAYER2006·    Beca de la Fundación Pollock-Krasner

2005·    Programa de estudio independiente Whitney, Nueva York

2005·    Beca Prinzregent Luitpold, Munich

1998·    Debutant 98, Munich

1996·    /97 Beca DAAD para Nueva York (Escuela de Artes Visuales. Departamento de fotografía y medios relacionados)

1993·    Beca para la academia de verano de Salzburgo para estudiar con Nan Goldin

1990·    Academia de bellas artes, Munich

 

 

 

 

 

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2004. Warren Neidich + Elena Bajo. SILENT (ubicación)

Paseo de la Castellana, entre Eduardo Dato y Marqués de Riscal

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. PALAIS DE TOKYO, 2002

2008. Alicia Framis + Michael Lin. PALAIS DE TOKYO, 2002

 

 

Paneles de madera  acolchados y pintados con estampados Vista de la instalación en el Palais de Tokyo, París.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (texto publicado)

 

El proyecto Time Notes comprende una serie de acciones en espacios públicos utilizando un nuevo sistema de dinero basado en unidades temporales: billetes de 1 año, 60 minutos, etc., y en cuyo reverso pueden leerse diversas citas de filósofos, escritores o economistas acerca del tiempo o del dinero.

A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín, se realizaron otras en diferentes ciudades como Singapur, Rostock, Vigo, Munich, México, Buenos Aires... y en cada caso intentaron poner en discusión las diferentes problemáticas locales relacionadas con el sistema de intercambio monetario y la vivencia y percepción del tiempo propio o ajeno.

 La propuesta para MADRID ABIERTO comprende la apertura de una Oficina Móvil y una Oficina Central ubicada en la Casa de América.

La Oficina Móvil se desplazará diariamente, desde su base en la Casa de América, por tres recorridos principales: línea Norte, tomando el Paseo de Recoletos en dirección hacia el Paseo de la Castellana; la línea Sur, por el Paseo del Prado hacia la estación de Atocha, y la línea Oeste, que tomará la calle Alcalá hacia la Plaza Mayor, derivando eventualmente por calles aledañas y desviándose de las arterias principales.

Ofrecerá dos de los servicios que presta el `banco´: el de Reintegro del tiempo perdido y el de Préstamos de tiempo. La Oficina, a través de su sistema de Reintegro del tiempo perdido, se presenta como lugar de recepción y clasificación del tiempo cedido involuntariamente, bajo presión o por razones arbitrarias, esto es, trabajando en un empleo no deseado, perdido en una relación equivocada, sirviendo al ejército, etc. En la Oficina móvil, un representante de Time Notes tomará recibo de la descripción de cómo ha perdido su tiempo el declarante, y se lo reintegrará con un billete del valor correspondiente, en cuyo reverso se imprimirá la causa de la pérdida. Se conformará además una base de datos online con la información recopilada.

Por otro lado, a través de su servicio de Préstamos de tiempo, la Oficina presenta su línea de crédito para la concreción de deseos postergados. A partir de la pregunta "Si tuvieras 1 minuto, 1 hora, 1 año extra en tu vida, ¿qué harías con él?" propone una reflexión acerca de nuestro uso del tiempo y de aquello que relegamos constantemente hacia el futuro.

Toda esta información brindada por los `clientes´ del banco se transmitirá diariamente al sitio web de Time Notes: www.timenoteshouse.org

Establecida como base de operaciones y centro de información, la Oficina Central, ubicada en la Sala de Muñecas de la Casa de América, servirá para varios usos y propósitos. Por un lado, ofrecerá -a través de un mapa actualizado- información sobre los recorridos realizados y el cronograma de futuros itinerarios de la Oficina Móvil.

También recibirá la señal de vídeo de la Oficina Móvil, en directo desde el lugar en donde ésta se encuentre, y se instalará un puesto de atención al público que brindará los mismos servicios que la oficina móvil.

Ofrecerá información documental, en vídeo, billetes y otros documentos, de lo previamente acontecido tanto en la Oficina Móvil, como en otras etapas del proyecto Time Notes y se constituirá en un centro de recepción, discusión y consulta bibliográfica acerca de la problemática del dinero, nuevos sistemas alternativos de intercambio y nuevas teorías financieras.

Por último, la Oficina Central servirá de estacionamiento para la Oficina Móvil cuando ésta haya terminado su recorrido diario.

 

...............................................................................................................................................................................................................................................................................ACTUALIZACIÓN DE DATOS PARA PUBLICACIÓN MADRID ABIERTO 2009-2012

A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín en 2004, se han instalado oficinas en Singapur, Rostock, Vigo, Buenos Aires, México, Madrid, Múnich, Mumbay e incluso en el edificio del Banco Mundial en Washington DC. y en cada caso intentaron poner en discusión las diferentes problemáticas locales relacionadas con el sistema de intercambio monetario y la vivencia y percepción del tiempo propio o ajeno.

(fragmento)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. GRIND, 2004

2008. Alicia Framis + Michael Lin. GRIND, 2004

 

Painted wooden floor and wallView of installation in PS1 Contemporary Art Centre, New York

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (imágenes)

2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (imágenes)

 

    

      

    

  

       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (2009.05 / revisión proyecto / documentación técnica)

PLANIFICACIÓN 

JulioDiseño de los billetes (versión Madrid Abierto)Diseño de los flyersDibujo de los planos del cartImpresión de billetesContactar o convocar posibles actoresConvocar invitados internacionales para la Jornada de discusiónContactar un lugar donde estar durante 4 días en Madrid en Agosto.

Agosto o Septiembre (a confirmar)Llegada a MadridAdquisición de ordenadores y resto del equipo técnicoReunión con actores, selecciónBúsqueda y selección de proveedores para realización del cartContactar invitados locales para la Jornada de discusión y definir espacioContactar piso para alquilar por enero y febreroSalida de MadridDesarrollo e instalación del software

EneroAlquiler de piso en MadridLlegada a MadridImpresión de flyersContratación del servicio Internet móvilRealización del cartDistribución de flyersPrimeras salidas con la Oficina MóvilRegistro en vídeoEdición del vídeo

Febrero (previo al 4)Montaje en Casa de AméricaPruebas de conectividad y comunicación entre Oficina Móvil y Central.

A partir del 4 de FebreroSalidas programadas de la Oficina MóvilFuncionamiento de la Oficina CentralPreparativos para la Jornada de discusión

Día a confirmar durante FebreroJornada de discusión

A partir del 1 de marzoDesmontaje

 

DETALLE DE MONTAJE Y PRODUCCION

Producción general

Impresión de 3000 billetes (emisión especial para Madrid Abierto)Flyers publicitarios para pegar por las calles

Producción para la acción de la oficina móvil

Realización del “cart” en base a un triciclo2 actores o voluntarios para atender la oficina.1 impresora1 portátil (con 1 batería extra y webcam)Conexión Internet móvil 3G

Producción para la oficina central (en Casa de América)

1 actor o voluntario para atender la oficina.1 escritorio, mesa o kiosco2 sillas1 mesa de lectura (o punto de lectura con 1 o 2 cubos)cartel publicitario para señalar la oficina1 ordenador1 impresoraConexión eléctricaConexión a Internet1 reproductor de DVD 1 monitor de TVAudífonos1 vitrina o mesa para exhibir los billetes

 (MAYO 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto (Cv)

ZAZA DEL MEDIO, CUBA, 1978 VIVE Y TRABAJA ENTRE CIUDAD DE LA HABANA, BARCELONAWWW.WILFREDO-PRIETO.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: OUROBOROS

FORMACIÓN ACADÉMICA2004·    Postgrado de performance en coordinación con el Instituto de Arte de San Francisco, EUA  y el Instituto Superior de Arte, Cuba·    Profesor en el Instituto Superior de Arte, La Habana

2002·    Instituto Superior de Arte, La Habana

1996·    Escuela Profesional de Artes Plásticas, Trinidad

1992·    Escuela Vocacional de Artes, Santa Clara

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2005·    S.t, Galeria NoguerasBlanchard, Barcelona

2004·    Speech, Gallery Martín Van Zomerem, Ámsterdam

2003·    Mucho ruido y pocas nueces, Galería Habana, La Habana

2002·    Wilfredo Prieto en el Wifredo Lam, Centro de Arte Contemporáneo Wifredo Lam, La Habana

2001·    Matriuska, Centro de Desarrollo de las Artes Visuales (CDAV), La Habana

2000·    Pie de obra, Coautor James Bonachea, Centro Cultural ICAIC, Fundación Ludwig de   Cuba, La Habana

1999·    Conceptualismo aditivo, Coautor James Bonachea, Galería Oscar Fernández Morera, Sancti-Spíritus

EXPOSICIONES COLECTIVAS2005·    ·    The hours, Irish Museum of Modern Art, Dublin · FIAC, Paris

2004·    Cordial invitation, Bak and Central Museum, Utrecht·    Island nations, The RISD Museum of Art, Rhode Island·    Just on time, Galería Habana, La Habana·    Feria Internacional de Arco, Madrid

2003·    VIII Bienal de la Habana, La Habana·    Stretch, The Power Plant Contemporary Art Gallery, Toronto·    Doble seducción, INJUVE, Madrid·    Sentido común,  Galería Habana, La Habana

2002 ·    El prestamista y el deudor, (grupo musical), Instituto Superior de Arte, La Habana·    Identidad, Convento de Santa Clara; Fundación Nicolás Guillén, La Habana·    III Bienal Internacional de Estandartes, Centro Cultural Tijuana, Tijuana·    Exposición colateral a la XXVI Bienal de Sao Paulo, Memorial América Latina, Sau Paulo

2001·    III Salón Nacional de Arte Cubano Contemporáneo, Centro de Desarrollo de las Artes Visuales (CDAV), La Habana·    Museu de Arte Contemporáneo de Goiás, DUPP, Brasil·    Comtemporary Cuban Art, The Mary Brogan Museum of Art and Science, DUPP, Florida·    Feria ElbArt NN, Hamburgo

2000·    VII Bienal de la Habana, DUPP, La Habana·    Watamula, International Artists Workshop, Curacao·    Con un pensar abstraído, DUPP, Galería Habana, La Habana

1999·    II Festival de performance Ana Mendieta, Pabellón cuba, La Habana·    El tiempo como espacio, Instituto Superior de Arte, La Habana·    Con un mirar abstraído, (intervención), Calle la Rampa, DUPP, La Habana·    La Época, (intervención), Centro comercial la Época, DUPP, La Habana

1998·    I Festival de performance Ana Mendieta, Unión Nacional de Escritores y Artistas de Cuba DUPP, La Habana·    1ra Bienal Nacional de Teoría y Critica de Arte Contemporáneo, Galería Oscar Fernández Morera, Sancti-Spíritus

PREMIOS Y BECAS2005·    Recidencia Artistica, Kadist foundation, Paris

2002·    Galería DUPP (Desde Una Pragmática Pedagógica)  Instituto Superior de Arte, La Habana

2000·    The UNESCO prize for the promotion of the arts, VII Bienal de la Habana, DUPP, La Habana

1997·    Premio-beca, Nubes Verdes, Asociación Hermanos Saíz, Sancti-Spíritus

ARTÍCULOS·    Peran, M. Wilfredo Prieto. Revista Exit Express, nº9, febrero, 2005·    Molina, Á. Biblioteques i camins que es bifurquen, El País, 20 de enero, 2005·    Rattemayer, C. VIII Bienal de Habana. Artforum, vol.XLII, n°6, febrero, 2004·    Salgado, G. 8th Havana Biennial : The Bittersweet Taste of Utopia, FlashArt, Enero-Febrero, 2004·    Noceda, J. M. Un texto infinito, AtlAntica, nº37, 2004·    Herzberg, J. ArtNexus, nº52, 2004·    Benítez Dueñas, I. extracto de ARCO 2004, ArtNexus, nº53·    Marx, G. Havana, Chicago, Tribune, 20 de noviembre, 2003·    Gopnik, B. La Havana, an Air of Possibility, The Washington Post, 16 de noviembre, 2003·    Mosquera, G. Del arte latinoamericano al arte desde América Latina, ArtNexus nº48, abril, 2003

BIBLIOGRAFÍA·    Tannenbaum, J. y Morales, R. Islas Naciones: Arte Nuevo de Cuba. La República Dominicana, Puerto Rico y la diáspora, Rhode Island School of Design Museum, Providence, Rhode Island, 2004·    Hlavajova, M. y Mosquera, G. Cordially Invited, BAK, basis voor actuele kunst, 2004·    Pera, R. Doble Seducción, INJUVE, Madrid, 2003·    Mosquera, G. y Francisco, R. Wilfredo Prieto, Centro Cultural Español, La Habana, 2002

 

 

 

 

 

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2004. Etoy CORPORATION (ubicación)

Jardines del descubrimiento, junto a Plaza de Colón

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. ATRIUM STADHUIS, 2002

2008. Alicia Framis + Michael Lin. ATRIUM STADHUIS, 2002

 

 

 Vista del espacio en el Ayuntamiento de La Haya, Paises Bajos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

El proyecto Time Notes comprende una serie de acciones en espacios públicos utilizando un sistema de dinero basado en unidades temporales (billetes de 1 año, 60 minutos, etc.) En su reverso pueden leerse diversas citas de filósofos, escritores o economistas acerca del tiempo y del dinero.

A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín, se realizaron otras en diferentes ciudades (Singapur, Rostock, Vigo) y en cada caso fueron producto de la observación de diferentes problemáticas locales relacionadas con el sistema de intercambio, la vivencia del tiempo (como propio o ajeno) y las reflexiones que sobre estos temas surgían en cada locación.

La propuesta para Madrid abierto se compone de tres instancias:

· La acción que desarrollará la Oficina Móvil· La instalación de la Oficina Central en Casa de América· La realización de una jornada de discusión

Estas acciones se acompañarán con una campaña de difusión en vía pública y a través del sitio en Internet

 

 DESCRIPCIÓN DE LA ACCIÓN DE LA OFICINA MOVIL 

La oficina se desplazará diariamente desde su base en Casa de América haciendo diferentes recorridos. Se plantean tres caminos principales: la línea Norte, tomando Recoletos en dirección hacia la Castellana, la línea Sur, por Paseo del Prado hacia Atocha, y la línea Oeste, que tomará por Alcalá hacia la Plaza Mayor.

La oficina comenzará a recorrer esos caminos, pero podrá derivar por calles aledañas desviándose de las arterias principales. También estará atenta a eventuales situaciones de concurrencia pública, acercándose a estos acontecimientos, ocasionales o programados durante el mes de febrero en Madrid.

La oficina ofrecerá dos de sus servicios el de Préstamos de tiempo y el de Reintegro del tiempo perdido. Se recopilará la información brindada por los “clientes” del banco, la cual se transmitirá diariamente al sitio web de Time Notes.

 

 DESCRIPCIÓN DE LOS SERVICIOS PRESTADOS POR LA OFICINA

“REINTEGRO DEL TIEMPO PERDIDO”

La oficina de reintegro del tiempo perdido se ofrece como lugar de recepción y clasificación del tiempo cedido involuntariamente, bajo presión o por razones arbitrarias (trabajando en un empleo no deseado, perdido en una relación equivocada, sirviendo al ejército, etc.).

En la oficina móvil, un representante de Time Notes, tomará recibo de la descripción de cómo ha perdido su tiempo el declarante, y se lo reintegrará con un billete del valor correspondiente, en cuyo reverso, se imprimirá la causa de la pérdida. Se conformará además una base de datos online con la información recopilada.

“PRESTAMOS DE TIEMPO”

Proponiendo una reflexión acerca del sistema de intercambio social y de nuestros preconceptos acerca del valor del tiempo y el dinero, y principalmente sobre el futuro, la Oficina de Préstamos presenta su línea de crédito para la concreción de deseos postergados. Si tuvieras 1 minuto, 1 hora, 1 año extra en tu vida, ¿qué harías con él?

 

 DESCRIPCIÓN DE LA INSTALACIÓN EN CASA DE AMÉRICA:OFICINA CENTRAL 

Establecida como base de operaciones y centro de información, la Sala de Muñecas de Casa de América servirá para varios usos y propósitos:

Ofrecerá a través de un mapa actualizado, información sobre los recorridos realizados y el cronograma de futuros itinerarios de la oficina móvil. Recibirá la señal de vídeo de la Oficina Móvil, en directo desde el lugar en que esta se encuentre.Se instalará un puesto de atención al público que brindará los mismos servicios que la oficina móvil.Ofrecerá información documental (en vídeo, billetes y otros documentos) de lo acontecido tanto en la Oficina Móvil, como en otras etapas del proyecto Time Notes.Se constituirá en un centro de recepción, discusión y consulta bibliográfica acerca de la problemática del dinero, nuevos sistemas alternativos de intercambio y nuevas teorías financieras.Servirá de estacionamiento para la Oficina Móvil cuando ésta haya terminado su recorrido diario.

 

DESCRIPCIÓN DE LA JORNADA DE DISCUSIÓN 

Se propone la realización de un encuentro de discusión acerca de los sistemas establecidos de intercambio y de presentación de sistemas alternativos.

La jornada se completaría con dos actividades:

- Una mesa redonda y presentación de proyectos, donde yo intervendría como moderador, con invitados a definir, pero que podrían ser por ejemplo, Greorg Zoche, fundador de la Transnational Republic, (con su moneda Payola), o Fran Ilich, director del SpaceBank (entidad financiera autogestionada que mueve activos del Zapatismo mexicano), pero que también pueden ser actores locales que aún no he logrado identificar.1

- La segunda actividad es la de generar una dinámica de charla informal y abierta entre los invitados y grupos interesados que ya han experimentado diversos sistemas alternativos de trueque o intercambio o quienes estén interesados en interiorizarse de estas temáticas.

1La jornada podría realizarse en cualquier sala de la que hubiere disponibilidad, o en cualquier espacio interesado en alojar el evento.

 

(MAYO 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. JARDÍN PASADIZO

En la fundación MNAC (Cadiz) + Cena Evento en el restaurante Carmelitas (Barcelona)

En colaboración con la Fundación Montenmedio Arte Contemporáneo (Cádiz), y la galería NoguerasBlanchard (Barcelona) este proyecto deviene de una intervención permanente en la arquitectura de un búnker renovado, que actualmente conforma las oficinas de la Fundación.

Se realizaron cuatro paneles que dividen el barracón de recepción de la fundación en cinco espacios. Cada panel tiene una puerta circular y la pared del fondo fue sustituida por un cristal para poder divisar el jardín exterior. De este modo, “Jardín Pasadizo” juega con la idea de reutilización y transformación del espacio mediante la recreación de un jardín chino dentro del barracón. La filosofía de los jardines chinos radica en la relación entre el interior y el exterior, el poder moldear la visión sobre el paisaje al gusto de uno mismo, creando segmentos y encuadrando la visión en un juego de perspectivas entre los diferentes espacios dentro del propio jardín.

A partir de la intervención en Montenmedio, se diseñaron unas mesas de madera pintada, que se emplearon como mobiliario durante una cena en el restaurante Carmelitas, en Barcelona. En línea con mi práctica artística, estas piezas fueron concebidas para espacios colectivos y proponen una forma diferente de experimentar con el espacio mediante la pintura y de ver el arte como un evento social.

Se utiliza el espacio como medio donde “la obra se convierte en parte del espacio, más que un objeto en el espacio”. Las pinturas invaden y transforman el espacio arquitectónico en una explosión de color y a su vez, crean una provocación o trangresión al invitar a que sean pisadas o, como en el ejemplo de las mesas, a que se cene encima de ellas sin tomar precaución alguna.

La influencia de los estampados decorativos, que son la esencia de la obra, proviene de los tejidos tradicionales taiwaneses. El proceso de creación refleja la fabricación industrial de los tejidos y artes decorativas tradicionales. Se contratan equipos de asistentes que se adaptan a un método de trabajo similar al de fabricación en serie, situandose así entre la tradición más clásica y la modernidad. Se emplean estos motivos por su familiaridaad y sensualidad, más que por sus connotaciones tradicionales, iconográficas o simbólicas, y mediante ellos se invita a interrrogarnos sobre el espacio expositivo, el límite entre lo público y lo privado y la relación entre las “artes nobles” y las “artes decorativas”.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens (Cv)

BARCELONA, 1967VIVE Y TRABAJA EN BERLÍNWWW.TERERECARENS.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: REMOLINO

FORMACIÓN ACADÉMICA ·    Estudió en la escuela Massana de Barcelona.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (SELECCIÓN)2005·    T’Team. Galería Toni Tàpies, Barcelona 

2004·    Shooting Star. Galería Maze, Turín·    Blind Man’s Bluff. Invaliden I, Berlín·    19 mars 2014, Centre Art Santa Monica, Barcelona2003·    Finger Flip. Parker’s Box, Nueva York 

2002·    ¿Cuándo vuelves? Galería Toni Tàpies, Barcelona 

2001·    The 8 mistakes. Maze Art Gallery, Turín 

2000·    I was ready to jump 1999. Festival A/D Werf, Utrecht·    In love. En colaboración con Elena del Rivero. Galería Javier López, Madrid 

1999·    Ethereal. Hal, Antwerpen 

1997·    Prisse de Terre, ART 3. Centre Contemporain d’art, Valenci 

1996·    Terremoto. Capella de l’Antic Hospital, Barcelona

EXPOSICIONES COLECTIVAS (SELECCIÓN)2005·    Gravity, De Appel, Ámsterdam  ·    Sessió Contínua, CCCB, Barcelona ·    I'm travellin' light... No, no, you don’t travel light.  Tindersticks'95. Gallery Spacement, Melbourne·    La problemática de la producción iberoamericano, Centro Cultural de España,  Montevideo ·    III Encuentro Bienal. Arte Lanzarote 2005, Centro Insular de Cultura El Almacen, Lanzarote·    Standards of Reality. Ben Maltz Gallery, Los Angeles·    X Anniversaire Triangle Artist. Friche Belle de Mai, Marsella·    Background II. Galería Horrach Moya, Palma de Mallorca·    Throb. Parker’s Box, Nueva Cork·    La insurrección invisible de un millón de mentes. Sala Rekalde, Bilbao 

2004·    Video-Zone2. 2ª Biennal International Video, Tel Aviv·    Plain Sight. Bloomberg Space, Londres·    Sur la bonne pente. Galerie Anne Barrault, París·    Summer Shorts (Fear of Flying). Parker’s Box, Nueva York·    Looking Further, Thinking Through. Listasafni Reykjavíkur del Reykjavik Art Museum, Reykjavík 

2003·    Old habits die hard. Sparwasser HQ, Berlín·    SMP. Betanien KunstHaus, Berlín·    Doble Seducción. Sala Amadis, Madrid·    Stand by. Centro de Arte Laboratorio Alameda, Méjico·    Monocanal. Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid 

2002·    Projectes 7.2. Centre d’art Santa Mònica, Barcelona·    Open House. Casino Luxembourg, Luxemburgo 

2001·    Ironia. Fundació Joan Miró, Barcelona; Koldo Mitxelena, San Sebastián·    ARCO. Caja Madrid, Madrid·    Puntos de encuentro 01. Cruce, Madrid·    BOOM!. Play Makers, Manifactura Tabacchi, Florencia·    Vostè està aquí. Trienal de Barcelona, Palau de la Virreina, Barcelona 

2000·    Triangle artists workshop. World Trade Center, Nueva York·    El espacio como proyecto, el espacio como realidad. XXVI Bienal de arte de Pontevedra 

1999·    Program Studio. PS1 & Clock Tower, Nueva York·    Subway outside. Artists Space, Swiss Instititute, Nueva York

PREMIOS Y BECAS (SELECCIÓN)2004·    Beca Fundación Marcelino Botín, Santander 

2003·    Beques a l’estranger per artistas. Beca de la Generalitat de Catalunya, Cataluña 

2002·    Studio Kaus Australis (Hangar), Rótterdam 

1999·    PS1 Contemporary Art Center. Program Studio, Nueva York 

1997·    Art 3. Centre Contemporain d’art, Valencia 

1994·    3r cicle Ecole d’Art Luminy. Marsella 

1992·    École d’Art de Grenoble. Generalitat de Catalunya

 

 

 

 

 

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2004. El Perro. VIRTUAL DEMOLITION MOBILE (ubicación)

Paseo de Recoletos junto a plaza de la Cibeles, Demoliciones virtuales de los edificios votados en la web.

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. POWERS OF THE DARCKNESS

2007. Dirk Vollenbroich. POWERS OF THE DARCKNESS

  

Powers of the darkness (Technical cityhall Frankfurt, 2002)

Each computer monitor inside the cityhall building dispalys an specially programmed screensaver during the night. The screenaver displays randomly every second a different color. The indirect, colored light kinetic displays a permanent changing image of the Frankfurt cityhall. 

( 85 offices )

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NO SE VENDE (2007.10 / rectificación proyecto / documentación técnica)

 

NECESIDADES TÉCNICAS Y LOGÍSTICAS 

1. Como ya es conocida la locación (LA CASA ENCENDIDA) es necesario obtener los planos del patio interno del edificio.

2. Montaje de un sistema de iluminación y de sonido.

3. Cámara de vídeo y pantalla de gran formato. Para que los colgantes puedan ser vistos de cerca, habrá una cámara que en un punto del desfile los enfoque y para que se proyecten en la pantalla.

4. Se pretende trabajar con  niños (sólo varones)  desde 4 a 17 años. Lo ideal es que sean niños acostumbrados a actuar o estar en público, la artista propone a los niños del Real Madrid. Como la actuación es en sábado no tendrían clases al día siguiente.

5. Será necesaria una habitación o sala que funcione como Backstage o camerino, tanto para los niños, como para el artista que posiblemente cierre la acción.

6. El equipo de Alicia Framis se encargará del traslado de todos los collares y de arreglar a los niños. 

 

NECESIDADES TÉCNICAS DE ESTRUCTURA ARQUITECTÓNICA  

1. El sistema de montaje de la estructura arquitectónico está siendo diseñada actualmente por Michael en cuanto se tengan detalles concretos se enviarán a través de Madrid Abierto.

 

(OCTUBRE 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Diana Larrea. EL PALACIO ENCANTADO (ubicación)

 Fachada de la Casa de América, Plaza de Cibeles

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RIO, LAS COSAS QUE PASAN (2005.05 / documentación teórica)

 

INTRODUCCIÓN

Desde hace unos años parte de mi trabajo viene desarrollándose alrededor de la elaboración de publicaciones que con diversos niveles de participación pública en el momento de su realización apuestan por la circulación de aquellas historias, imágenes, ideas, etc   que por su importancia y a la vez por su poca visibilidad creo merecen la pena ser conocidas y difundidas.

 

Reivindicando de esta manera la capacidad de la gente para contar la propia experiencia opongo estas narraciones a la impositiva capacidad de los media por construir acontecimientos y marcar agendas, en definitiva construir realidad.

Parte importante de estas propuestas editoriales se apoya en el trabajo de reelaboración de imágenes, en su mayor parte encontradas, para redundar en la voluntad de contestar desde otros ángulos y con otras miradas aquello que se conviene ‘está ocurriendo´.

 

Así, de esta manera narraciones, noticias, ecos, nuevas, imágenes, dibujos, y collages, editados en periódicos callejeros, posters, plantillas, murales y demás soportes plantean nuevas maneras de entender el mundo poniendo en duda las nociones de objetividad, imparcialidad y los roles de elaboración y recepción de la información.

 

ANTECEDENTES

Hangueando(*) –Periódico con Patas (ver imágenes que adjunté en correo electónico de octubre).

(*) Hanguear. Versión spanglish del verbo inglés to Hang Around y que en Puerto Rico se utiliza cómo sinónimo de deambular sin destino fijo ni propósito determinado.

Periódico póster que tanto se encola en las paredes de las calles y se muestra en exposiciones, como se vende en presentaciones públicas que acaban en fiesta, se intercambia o se regala.

HANGUEANDO se nutre de una gran variedad de iniciativas autónomas como son la elaboración independiente y despierta de imágenes, la capacidad de referirse a la propia experiencia, el sentido crítico para con el contexto y la versatilidad de ciertos objetos que bien por su utilidad o su poder simbólico ayudan a conocer el mundo. HANGUEANDO es un trabajo de edición basado en el reciclaje de imágenes y sentidos, en la difusión de historias y puntos de vista que no suelen tener cabida en otros medios y en celebrar la alegría de vivir.

Hasta la fecha se han editado los siguientes posters:

N0 0. Octubre de 2002, 59,4x84cm. 1500 ejemplares. Cuatricomía. Editado e impreso en Lima. Distribuido en Lima, San Juan de Puerto Rico, Bucaramanga, Bogotá, Barcelona, Madrid, Rotterdam, Berlín y Ljubljana.

N0 1. Abril de 2003, 59,4x84cm. 1500 ejemplares. Cuatricomía. Editado en Bogotá e impreso en Lima. Distribuido en Lima, San Juan de Puerto Rico, Mayagüez, Bucaramanga, Bogotá, Barcelona y Módena.

N0 2. Noviembre de 2003, 100x140cm. 1500 ejemplares. Impresión Digital. Editado entre Puerto Rico y República Dominicana. Impreso en Barcelona con el auspicio de 22a. Distribuido en Puerto Rico y Barcelona.

N0 3. Primavera-Verano de 2004, 70x100cm. Editado en Terrassa. Impreso en Madrid con el auspicio de El Perro, Distribuido en España. (Inédito a 5 de enero de 2005)

“Coca Crónica” (Rótterdam, 2002)

Ver imágenes en link http://www.jstk.org/airport/raimond/index.html#

“Veni, Sentate, Contame” (Lima, 2003) y “La Pura Oscura” (Bogotá, 2004) reelaboración en plantilla de imágenes periodísticas sobre el conflicto colombiano. -Ver imágenes adjuntas al   correo electrónico enviado en octubre y el link: www.puiqui.com

“Mural Candela" (Terrassa, 2004) Mural para la visibilidad callejera de un espacio de encuentro y discusión política.

-Ver imágenes adjuntas y link http://www.p-oberts.org/index1.html

 

PROPUESTA

“Hangueando y Colgando” se organiza en torno a una doble propuesta para Madrid Abierto de acuerdo con los medios con que será mostrada en las calles de la capital y también con las condiciones a las que está sujeto un artista itinerante que vive y trabaja entre Sudamérica, el Caribe y Europa.

“Hangueando”

La publicación de un nuevo poster para colocar como carteles en las calles de Madrid con textos, declaraciones e imágenes relevantes relacionadas con eventos y procesos que están teniendo lugar en Sudamérica y que son totalmente desconocidas en Europa. Eventos que son locales o están confinados a ciertas áreas de Sudamérica porque la globalización tiene sus consecuencias en España.

“Colgando”

La publicación de cerca de veinte a treinta banderolas distintas inspiradas en mi colección de imágenes de Sudamérica con las que elaboraré una historia gráfica (sin texto) sobre un tema similar al de la propuesta complementaria pero con el propósito de ser leída en movimiento (en vehículos que circulen por el Paseo de Recoletos). La secuencia de imágenes funcionará como un folioscopio, en que las imágenes crean un relato. Estas imágenes podrían ilustrar un “evento” en varios momentos, como, por ejemplo, una botella vaciándose o un volcán en erupción (de banderola en banderola).

 

CONCLUSIÓN

Quiero aprovechar mi condición de artista viajero que basa su trabajo en la recopilación de historias y en la reelaboración de imágenes para ofrecer versiones y ‘noticias´ que creo relevantes sobre asuntos locales con implicaciones globales. Como transeúnte, ciudadano y artista ofrezco estos relatos, en espacios públicos de Madrid, para potenciar su carácter público y explicitar mi voluntad de acercarlos a los demás.

LINKS

www.puiqui.com

(Mayo 2005)

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. SUPER NOVA, 2001

2007. Dirk Vollenbroich. SUPER NOVA, 2001

 

           

SUPER NOVA (2001) + LUFTHANSA LIGHT (2004)

 

SUPER NOVA, 2001

Every two seconds each of the 240 offices in the building was illuminated by a flash light module.The indirect light gernerated a ´fast-motion´ effect, displayed on the surface of the building.Compared to the buildings ‘speed of light’, all moves in public life seem to be in a slow-motion.

( 240 stroboscopes in 240 offices )

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec (Cv)

LJUBLJANA, ESLOVENIA, 1972VIVE Y TRABAJA ENTRE LJUBLJANA Y ÁMSTERDAMWWW.TAOGVS.ORG | WWW.REALITYSOUNDTRACK.ORGOBRA EN MADRID ABIERTO: REALITY SOUNDTRACK– INTERVENCIÓN SONORA MÓVIL EN ESPACIOS PÚBLICOS

FORMACIÓN ACADÉMICA·    Estudios de clarinete, composición musical y sonología en el Real Conservatorio de La Haya

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2000·    SCSI bar. La Haya, Holanda

2002·    Galería Kapelica, Ljubljana, Eslovenia

2004·    Galería Public Space With a Roof, Amsterdam, Holanda

EXPOSICIONES COLECTIVAS2001·    Helium. Galería City de Ljubljana·    Galería SKUC, Ljubljana, Eslovenia·    MANIFESTA 2002, Frankfurt·    WHAT? A tale in free images. Memlingmuseum, Brujas, Bélgica

2003·    Galería Nova Zagreb, Croacia·    4ª Trienal de Arte Esloveno Contemporáneo “U3”. Museo de Arte Moderno de Ljubljana, Eslovenia

2004·    Breaktrough. Grote Kerk, La Haya, Holanda·    Cosmopolis. MicrocosmosXmacrocosmos. Bienal de Arte Contemporáneo, Museo Estatal de Arte Contemporáneo, Tesealónica, Grecia·    7 Sins. ljubljana, Moscow, arteast exhibition. Museo de Arte Moderno, Ljubljana, Eslovenia

2005·    Radiodays. Galería DE APPEL, Ámsterdam, Holanda

CONCIERTOS/FESTIVALES1993·    Festival The Tower of Bable, Helsinki, Finlandia

1994·    Festival NORDLYD 94 de Trondheim, Noruega·    Bienal de Jóvenes Artistas de Europa, Lisboa, Portugal

1996·    Performance Art Festival Fly by Wire, Ljubljana, Eslovenia·    Festival Break 2.2, Ljubljana, Eslovenia·    Festival MUSICA A METRONOM, Barcelona

2004·    Festival Forum neuer Musik 2004, Colonia, Alemania·    Festival EUROJAZZ, Tomar, Portugal·    Festival CONTEMPORANEA 2004, Udine, Italia

ORGANIZACIÓN DE EXPOSICIONES2001·    Fundador y director artístico de BITSHIFT. Ciclo internacional de actos basados en el sonido en la Galería Kapelica de Ljubljiana

 

 

 

 

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2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (ubicación)

- Círculo de Bellas Artes- Arco- Zona de intervenciones

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. LUFTHANSA LIGHT, 2004

2007. Dirk Vollenbroich. LUFTHANSA LIGHT, 2004

 

   

SUPER NOVA (2001) + LUFTHANSA LIGHT (2004)

 

LUFTHANSA light (Lufthansa headquarter Cologne, 2004)

Within one second, the LUFTHANSA head office in cologne is kineticly illuminated by flash light modules. In a volitional chaotic succession, the indirect light jumps in visible stripes through the floors of the offices. The speed of light raises the building from the whole environment of urban motions.

(Lufthansa building: 135 Meters, 20kW stroboscope lightning/floor)

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (texto publicado)

Un espacio de producción, presentación y acciónwww.adaptiveactions.net

AA

El laboratorio de Adaptive Action (AA), iniciado en Londres en 20071, presta voz a causas marginales, estilos urbanos de vida alternativos, contra-conductuales y a la creación artística de la ciudadanía por la cual la imaginación y la creatividad personal influyen en la vida diaria. AA realiza un inventario y revela estas singularidades y acciones ya existentes, y tiene como objetivo animar a otras personas a que participen en nuevas actividades creativas para adaptar la estructura urbana. AA se nutre de contribuciones e iniciativas individuales y colectivas, y avanza gracias a un llamamiento a la colaboración (en varios lugares simultáneamente). AA está buscando nuevas contribuciones para su página web y para la nueva publicación (edición en Madrid), además de estimular la reflexión, discusiones y presentaciones en el Campo de Madrid. A través de la página web o en el Campo, la gente podrá registrarse como agentes activos enviando acciones, ya sean originales o ya existentes, ya sean creadas por uno mismo o por otros. También podrán comentar o discutir contribuciones futuras.

CAMPO AA, MADRID

En un espacio público de Madrid, todavía por determinar, un Campo de producción para la acción en vivo será sede del proyecto Adaptive Actions durante casi un mes. Experiencias y materiales (ya pertenezcan a esta producción o a producciones pasadas o futuras) serán presentados en el Campo y en la subsiguiente publicación. Los visitantes tendrán la posibilidad de modificarlos o enviar sus propias propuestas. El personal de apoyo2 ayudará a los participantes y debatirán posibles añadidos, acciones y consiguientes asuntos con ellos. Por primera vez, los ciudadanos de Madrid serán invitados a llevar a cabo micro acciones todavía por materializar.

TALLERES

El programa de eventos en el Campo AA (talleres/acciones, almuerzos para el aprendizaje) centrado en temas y localizaciones específicos, creará vínculos entre los participantes y las acciones. Éstas estarán sometidas a prolongaciones, remodelaciones; algunas tendrán lugar en Madrid (al igual que en otras ciudades y países), para ser posteriormente integradas en un proyecto artístico común. El objetivo, como bien diría Mauricio Lazzarato, no consiste en neutralizar las diferencias sino, al contrario, en enriquecer el concepto de comunidad a través de estas diferencias3. Siguiendo su razonamiento, el reto es encontrar maneras de retener esta multiplicidad, para abrazar la heterogeneidad manteniendo la disparidad.

PUBLICACIÓN EN VIVO

La segunda publicación4 se producirá y desarrollará en Madrid, en vivo y en público, dentro de un límite determinado de tiempo. Durante un mes, en el Campo de producción, todo el material a ser publicado será integrado y editado; al final del proceso el libro será publicado. Los participantes podrán contribuir directamente, tomando parte en el proceso de selección y preparación del material en el propio espacio o por e-mail. A lo largo de este proceso los visitantes propondrán nuevas acciones en el Campo, resaltando la renovación “en el presente” de adaptive actions, como contrapunto a aquellas contenidas en la publicación. En el Campo AA, estructura y programación coexistirán con lo inesperado.

MODO EXPLORATORIO

Este proyecto expandirá los pensamientos relacionados con temas diversos, asociados y complementarios a la arquitectura y el arte, incluyendo el concepto de pos-producción, y transformación y apropiación no planificadas que otorguen significado a la ciudad. A través de este proceso, varias impresiones se fusionarán, actos geográficamente aislados convergerán y, en amplios números, tomarán nuevas direcciones, coherencia, fuerza, despertando el interés a través de la creación de asociaciones inesperadas (de otra manera imposibles), vínculos y referencias cruzadas.

El proyecto se centra en micro acciones debido a que éstas provocan o modifican nuestra percepción del entorno urbano, y su diseño es el reflejo y expresión de un comportamiento en consonancia con la creación artística. Muchas acciones son anónimas, sin autoría, clandestinas, previas a la transformación (el autor sabe que estas acciones serán eventualmente modificadas, mantenidas o posiblemente suplantadas por otras). Su relación con el contexto sugiere una potencial re-apropiación, pero la imaginación colectiva que determinan (especialmente en el caso de que su número se multiplique y su existencia sea bien conocida) asegura la sustentación de un estado de conciencia similar al de la expresión artística. Conciencia, autoría y participación son por tanto inherentes a este tipo de proyectos. Las acciones ciudadanas sugieren una manera diferente de dar forma a las ciudades, abierta y colaboracionista, sensible e interactiva.

Visita www.adaptiveactions.net para obtener información y la programación de actividades, talleres y comidas que tendrán lugar semanalmente en el Campo AA de Madrid y otros lugares.

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1 Por Jean-François Prost y SPACE studios y residencia Canadiense Internacional en Hackney, East London.

2 Varios colaboradores pasados y futuros de AA estarán en el Campo.

3 Yves Citton, Puissance de la variation, Mauricio Lazzarato, Multitudes 20, pp.187-200 y libro Puissances de l’invention. La psychologie économique de Gabriel Tarde contre le économie politique, también publicado en Les empêcheurs de penser en rond, 2002.

4 La primera publicación de Adaptive Actions (edición británica) fue realizada en marzo de 2009. Contiene muchas acciones al igual que artículos escritos por Pascual Nicolas-Le Strat (Francia), Judith Laister (Austria), Frank Nobert y Jean-François Prost.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon. S/T (documentación visual-técnica)

2004. Sans Façon. S/T (documentación visual-técnica)

 

    

     

      

     

       

       

       

    

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian (Cv)

TADANORI YAMAGUCHINAGOYA, OSAKA, JAPÓN, 1970VIVE Y TRABAJA EN ASTURIAS WWW.TADANORI.DESORDEN.NET

MAKI PORTILLA-KAWAMURAOVIEDO, ESPAÑA, 1982 VIVE Y TRABAJA ENBASEL

KEY PORTILLA-KAWAMURAOVIEDO, ESPAÑA, 1979 VIVE Y TRABAJA ENTRE BASEL, MADRID WWW.STUDIO-KG.COM

ALI GANJAVIANTEHERÁN, 1979 VIVE Y TRABAJA EN MADRID WWW.STUDIO-KG.COM

OBRA EN MADRID ABIERTO: LOCUTORIO COLÓN

TADANORI YAMAGUCHIFORMACIÓN ACADÉMICA1999 ·    Oviedo Art School

1996 ·    Kyoto University Creative Art Centre, Japan

EXPOSICIONES Y PREMIOS2005·    Exposición colectiva en la Galería Espacio Líquido, Gijón

2004·    Exposición individual en la Galería Amaga, Avilés

2003·    Racimo de Ecos, mención especial en la I edición de Madrid Abierto·    Seleccionado en el Certamen de Arte de Luarca, Asturias·    Seleccionado en el Certamen de Arte de Caja España, Zamora·    Primer premio Bienal de Escultura de San Martín del Rey Aurelio, Asturias·    Espejos Recipro-visores, proyecto ganador en el concurso para intervenciones artísticas en la Autovía Minera, convocado por la Consejería de Cultura del Principado de Asturias·    Alfombra Mágica, proyecto ganador en el concurso para diseño de silla, convocado por la revista a-mínima (actualmente en proceso de fabricación)

2002·    Mirador bajo la escombrera, proyecto ganador en el concurso Espacio Mínimo Habitable, convocado por Morés-25 Aniversario

1999·    Exposición individual en el Museo Bartola, Gijón

1998·    Becado y exposición individual en el Museo Antón, Candás, Asturias

1996·    Seleccionado en el Simposium de Escultura en piedra en Kobe, Japón

1995·    Seleccionado en "Artists´ Camp" (simposio arte en piedra) en Kasama, Japón

1994·    Exposición individual en la Galería Chayamachi, Osaka, Japón

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MAKI PORTILLA-KAWAMURAFORMACIÓN ACADÉMICA2004 ·    Chelsea College of Art, London

2001 ·    Middlesex University School of Design, London

EXPOSICIONES Y PREMIOS2004·    Diseño y ejecución de espacio público en la comunidad Maya 9, Guatemala

2003·    Racimo de Ecos ·    Alfombra Mágica·    Espejos Recipro-visores

2002·    Mirador bajo la escombrera

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KEY PORTILLA-KAWAMURAFORMACIÓN ACADÉMICA2003 ·    Architectural Association School of Architecture, London

2000 ·    University of East London, School of Architecture, London

EXPOSICIONES Y PREMIOS2004·    Exposición AA in Slovenia en Ljubljana, Eslovenia·    Conferenciante en Cursos de Verano de la Universidad de Oviedo y en la Universität Kassel, Alemania

2003·    Racimo de Ecos ·    Espejos Recipro-visores

2002·    Exposición Critique is not Enough ·    Conferenciante en la Fondazione Pistolletto, Biella, Italia y en la Galería Shedhalle, Zürich, Suiza·    Mención Especial en el Minimum Prize de la Fondazione Pistolletto

2002·    Mirador bajo la escombrera

2002·    Conferenciante en Cursos de Verano de la Universidad Rey Juan Carlos, Aranjuez

2001·    Colaborador regular en el Foro de Expertos de Arte ARCO

2001·    Beca para jóvenes artistas Cajastur, Oviedo

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ALI GANJAVIANFORMACIÓN ACADÉMICA2004 ·    Royal College of Art, School of Architecture, London

2002 ·    Cooper Union, School of Photography, New York, USA

2001 ·    University of East London, School of Architecture, London

2000 ·    TVB School of Habitat, New Delhi, India

EXPOSICIONES Y PREMIOS2004·    Conferenciante en la Universität Kassel, Alemania·    Exposición Bio Land Galería Henry Moore, Londres·    Exposición y conferencia Fly Utopia Transmidiale, Berlín

2003·    Exposición colectivo Latent Utopias, Gratz

2002·    Exposición Critique is not Enough·    Conferenciante en la Fondazione Pistolletto, Biella, Italia y en la Galería Shedhalle, Zürich, Suiza·    Mención Especial en el Minimum Prize de la Fondazione Pistolletto

2001·    Colaborador en el Foro de Expertos de Arte ARCO

2001.   Invitado por la Escuela TVB de Nueva Delhi para proyecto de renovación de un poblado rural indio

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. HAUSMUSIK, 2006

2007. Dirk Vollenbroich. HAUSMUSIK, 2006

 

              

HAUSMUSIK (2006)

 

HAUSMUSIK ( Allianz Treptower, 2006 )

Walls and ceilings of selected offices in a high-rise building are color illuminated by a light control system. The windows, regarded from the outside, are colored rectangles on the buildings surface. An indirect lighting source is installed in two offices on each floor. From outside one can see a usual, from far visible, electronic soundlevel display. Hausmusik is the synchronized audio-level of the live send program by a local radio station.

( Treptower: 189 Meters )

 

HAUSMUSIK ( Frankfurter Büro Center, 2006 )

Walls and ceilings of selected offices in a high-rise building are color illuminated by a light control system. The windows, regarded from the outside, are colored rectangles on the buildings surface. An indirect lighting source is installed in two offices on each floor. From outside one can see a usual, from far visible, electronic soundlevel display. Hausmusik is the synchronized audio-level of the live send program by a local radio station.

( FBC: 165 Meters )

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (texto publicado)

 

Un proyecto de Josep-Maria Martín con Mouhamadou Bamba DiopProducción: MADRID ABIERTO Mediación cultural: Pensart

Los proyectos artísticos de Josep-Maria Martín están centrados en crear, desde el arte, nuevas estrategias de intervención en ciertas estructuras consolidadas en la sociedad actual, pero no por ello carentes de fisuras. El artista cuestiona y critica la realidad sobre la que decide trabajar. Sus piezas hacen hincapié en la idea de proceso, investigación, participación, implicación, negociación y proposición, haciendo que los agentes identificados para cada proyecto se conviertan en verdaderos generadores de un proyecto común.

Le interesa el arte cuyo objetivo supera el ámbito puramente estético proponiendo un desplazamiento desde la estética hacia la ética; la vida transformada por el arte y el arte de vivir transformando. Se trata de utilizar la estética para visibilizar situaciones e intentar cambiarlas.

Son proyectos multidisciplinares que se prestan a ser apropiados por los diferentes participantes. Por ejemplo, lo que para el artista es una pieza de arte contemporáneo para un trabajador social es un proyecto comunitario, etc. convirtiendo al objeto artístico en un objeto multifuncional.

EL PISO PATERA

En esta ocasión, en MADRID ABIERTO el artista pretendía cuestionar el espacio de vida en un piso patera y establecer una analogía entre el sistema digestivo y el hogar como un organismo que digiere la memoria personal y colectiva. Después de meses de investigación y entrevistas se localizó a Mouhamadou Bamba Diop, un senegalés que vive hacinado junto con otros 16 compatriotas sin papeles en el barrio de Lavapiés. El artista les propuso reflexionar acerca de cómo vivían en el piso patera y a Bamba que contara su vida en Senegal, su viaje en cayuco y el sueño de todos ellos de volver a su país a crear un futuro para los jóvenes de Kayar. La intención original del artista de trabajar sobre el piso patera terminó concretándose en proponer a Bamba un contrato que lo incorporara  al proyecto permitiéndole legalizar su situación. MADRID ABIERTO 2010 será una primera fase de esta propuesta. En enero Josep-Maria y Bamba han viajado a Senegal para desarrollar un proyecto socio-económico en Kayar.

EUROPA ¿ESO QUÉ ES?

Nacer. ¿Dónde? Allí. ¿Por qué? No lo sé. Crecer. Pensar. Mirar. Escuchar. Estudiar. Tú no puedes. Ya no puedo. Trabajar. Quiero más. Oír. Ver. Europa. ¿Y eso qué es? No lo sé. Suena bien. Él, se fue. Él también. ¿Llegó? No lo sé. Trabajar. Quiero más. Amor. Me caso. Yo también. Mi hijo. Me caso, otra vez. Otro hijo. Quiero más. Trabajo. Europa. ¿Y eso, qué es? No lo sé. Él se fue. Ellos, ahora, viven mejor. ¿Y Él? No lo sé. Trabajo. ¿Para qué? Poca cosa, quiero más. Europa. ¿Y eso qué es? Parece bueno. ¿Lo es? No lo sé. Él se fue. ¿Le fue bien? Tal vez. Te amo. Yo a ti, también. Mi primo se fue. ¿A dónde? España. ¿Y eso qué es? No lo sé. ¿Le fue bien? Seguro. ¿Qué hay que hacer? Trabajar. ¿Para qué? Quiero más. Él, llamó. ¿Está bien? Sí, llamó. Ellos, ahora, viven mejor. Me voy. ¿Tú también? Me quedo. ¿Quién se va? Yo, me voy. ¿Adónde vas? A un mundo mejor. ¿Mejor? Sí, mejor. ¿Estás seguro? Él se fue. ¿Cómo le fue? Ellos, ahora, viven mejor. ¿Y él? No lo sé.

EL MANIFIESTO DE MOUHAMADOU BAMBA DIOP Y SUS COMPAÑEROS DEL PISO PATERA EN LAVAPIÉSDesde nuestro piso patera

Somos un grupo de senegaleses que llegamos a España en cayuco, soñando que en Europa podríamos desarrollarnos como personas y ayudar a nuestras familias y a nuestra Comunidad. Llegamos a Madrid después de un viaje suicida. Hoy vivimos diecisiete senegaleses en un pequeño espacio de Lavapiés. Reivindicamos ser, tener, hacer, estar, subsistir, ser amparados, sentir, pertenecer...en libertad.

Sentir y sentirnos amados y respetados. Sentirnos visibles y escuchados. Sentir el sentir de los demás como algo nuestro y sentirnos tomados en cuenta. Sentir nuestras inquietudes y nuestras palabras escuchadas. Sentir frío, calor, amor, enfado, indignación, admiración…

Pertenecer e identificarnos como senegaleses dentro y fuera de nuestra tierra. Esto significa ser solidario por naturaleza y por convicción religiosa; amparar al débil, al que no tiene o al que no quiere; ser hospitalario y construir comunidad viviendo en paz con cuantos nos rodean; ser gracias a la fuerza que nos da la unión entre nosotros y el respeto a nuestras estructuras jerárquicas que facilitan la convivencia; tener el Corán como libro de cabecera y agarrarnos a nuestras creencias hasta nuestro último respiro.

…la libertad de irnos o de quedarnos, de desarrollarnos, de crear… La Libertad.

Ababacar Gningue, Aliou Badara Diouf, Assane Kebe, Bassirou Thioune, Daouda Kebe, Djibril Diop, Djibril Ndiaye, Ibrahima Gueye, Ibrahima Toure  Niang, Madeguene Gueye, Modou Diouf, Modou Sall Ndiaye, Mouhamadou Bamba Diop, Mouhamadou Lamine Diatta, Moury Conde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (documentación teórica)

2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (documentación teórica)

PSYCHOECONOMY! Corporate Summit 2010

 

INTRODUCCIÓN

Psychoeconomy se propone como una plataforma de discusión e investigación artística a partir de un enfoque alternativo sobre diversos temas de interés global. Las sucesivas ediciones consistirán en la realización de eventos públicos que derivarán luego en una publicación con las conclusiones y materiales resultantes, textos e imágenes.

Issue #1: Corporate Summit 2010

Para la primera edición, se propone la realización de un encuentro de discusión acerca de la crisis financiera internacional y los sistemas imperantes de intercambio monetario, entre artistas que trabajan el tema de la economía mediante un uso táctico de los medios, la apropiación de estrategias corporativas o la ironía. Bancos, empresas de tecnología, e incluso micro naciones, son algunos ejemplos de las corporaciones (algunas ficticias y otras no), creadas por los artistas convocados.

El objetivo principal de este encuentro será el de elaborar un documento a modo de declaración sobre el estado actual de la crisis, que incluirá la posición que, ante ella, adoptan estas “corporaciones”, junto a una serie de propuestas y acciones alternativas acordadas entre sus representantes. Esta declaración, junto a las propuestas de cada “corporación”, serán compiladas en una publicación.

Aprovechando las particularidades del espacio de reflexión y difusión que genera el campo del arte, el encuentro intentará poner en diálogo los proyectos de los artistas participantes, en los que encontraremos propuestas que abordan una deconstrucción de lo cotidiano, del ordenamiento social, de la rutina individual y de los entornos y protocolos de interacción e intercambio personal. Un cuestionamiento a las promesas democráticas e igualitarias de los medios tecnológicos y una crítica a la voluntad de control que esconden detrás de su aparente transparencia.

 

THE PUBLIC EVENT (DESCRIPCIÓN)

Durante el Summit se completarán tres actividades:

Actividad 1: Apertura y Presentaciones

Consistirá en la introducción de Psychoeconomy y del tema del congreso y en paneles de presentación de los proyectos de cada “corporación”. Estará moderada por Gustavo Romano, director del banco Time Notes y propulsor de este encuentro, con la participación de Georg Zoche, fundador de la Transnational Republic, Fran Ilich, director del SpaceBank, Daniel García Andújar, director de Technologies To The People..

Actividad 2: Debate interno

Consistirá en reuniones de debate y discusión entre los participantes del summit, en base a una agenda preacordada, durante las que se trabajará en una declaración final.

Actividad 3: Lectura y presentación de la Declaración

Consistirá en una presentación pública del documento acordado, una mesa redonda y un debate abierto.

 

LA PUBLICACIÓN

Para este número se plantean los siguientes contenidos:

· La declaración sobre la crisis

El contenido principal de la publicación será la declaración que emerja de las reuniones a puertas cerradas, basadas en una agenda de temas que serán discutidos en función de lograr un acuerdo.

· Un espacio para cada proyecto artistico seleccionado· Frequently Unanswered Questions (FUQ) (Preguntas frecuentemente no respondidas) · Reportajes y entrevistas · Publicidad · Editorial

Un introducción a cargo de Psychoeconomy.

 

PARTICIPANTES

Daniel García Andújar Barcelona Technologies To The People

Partiendo de la constatación de que las nuevas tecnologías de la información y la comunicación transforman nuestra experiencia cotidiana, Daniel G. Andújar crea una ficción (Technologies To The People, 1996) con el objetivo de hacernos tomar conciencia de la realidad que nos rodea y del engaño de unas promesas de libre elección que se convierten, irremisiblemente, en nuevas formas de control y desigualdad. Miembro histórico de irational.org (referente internacional del arte en red) y creador de numerosos proyectos en red, como art-net-dortmund, e-barcelona.org, e-valencia.org, e-seoul.org, e-wac.org, e-sevilla.org, etc. En 2009, participa en la Bienal de Venecia por el pabellón de Catalunya. http://www.irational.org/tttp/primera.html www.danielandujar.org

 

Fran Ilich Tijuana Space Bank

Fiel a su lema, "purifica tu dinero", el Space Bank ofrece una serie de ideas innovadoras y revolucionarias aplicadas a la banca, la especulación y las inversiones, de acuerdo con la consigna de ayudar a alcanzar sus objetivos sin perjudicar a los demás. Entre los servicios que ofrece se encuentran las inversiones en el mercado de materias primas en concepto de café o maíz zapatista, o la financiación, proyectos literarios, de arte y propuestas de tactical media.

Fran Ilich es escritor, artista y activista digital con base en Tijuana. Ha participado en numerosos eventos internacionales, entre ellos, la Documenta 12. Entre sus proyectos figura Borderhack, un campamento de arte montado en la frontera entre Tijuana y San Diego, y Possible Worlds, un servidor autónomo cooperativo puesto en marcha en ocasión de la Sexta Declaración de la Selva Lacandona del Ejército Zapatista. http://spacebank.org/ http://sabotage.tv/ 

 

Gustavo Romano Buenos Aires - Madrid Time Notes / Promoter of the 2010 Summit

El proyecto Time Notes comprende una serie de acciones en espacios públicos utilizando un sistema de dinero basado en unidades temporales (billetes de 1 año, 60 minutos, etc.). A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín en 2004, se han instalado oficinas en Singapur, Rostock, Vigo, Buenos Aires, México, Madrid, Múnich y próximamente en Washington DC, en el edificio del Banco Mundial. Uno de los servicios que presta es el de Reintegro del Tiempo Perdido, que se ofrece como lugar de recepción y clasificación del tiempo cedido involuntariamente, bajo presión o por razones arbitrarias.

Gustavo Romano es un artista nacido en Buenos Aires que se desenvuelve en diversos medios y prácticas como el arte de acción, el net art, el vídeo y la fotografía. Pertenece a una clase de artistas que favorece el concepto de “proyecto” sobre el de obra, por su connotación de creación cerrada y llevada a un estado definitivo e inmutable. Romano se sirve sobre todo de las herramientas de nuestro presente mediático y tecnológico, aunque los desvía de su uso normal, los adultera, los desordena, los utiliza una y otra vez de manera diversa forzando una reflexión sobre nuestra rutina diaria.

En 2006 recibe la beca Guggenheim Fellowship. www.timenoteshouse.org www.gustavoromano.com.ar

 

Georg Zoche Munich Transnational Republic

La Transnational Republic es un proyecto generado por un grupo de artistas alemanes que impulsan la construcción de la primera república transnacional, en la que los ciudadanos son definidos por la afinidad de sus ideas y sentimientos. La nueva república representa a sus ciudadanos en el terreno de lo civil, por primera vez sin sucumbir a intereses nacionales sino concentrándose en problemáticas globales.

Fundada en Munich en 1996 por Georg y Jakob Zoche, ha crecido hasta incluir más de 4.700 ciudadanos en junio de 2009, y ha sido representada en conferencias internacionales y encuentros en Europa, Asia, Suramérica y Australia. La moneda de la Transnational Republic es la "payola", emitida por el Banco Central de la UTR (United Transnational Republics). http://www.transnationalrepublic.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME, 2006

2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME, 2006

 

FOLLOW ME, 2006Cemeterio Old Garrison, Berlín4th Berlin BiennalePhoto Eoghan McTigueInstalación de sonido envolvente en 4 canales

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (2009.10 / documentación teórica)

 Gracias al proyecto Bajar al subterráneo recién excavado, Lara Almarcegui organiza visitas a las excavaciones que se están realizando bajo la calle Serrano para construir aparcamientos. Como las obras y la excavación –de 15 metros de profundidad- estarán en pleno proceso de desarrollo, las paredes del subterráneo realizado no se encontrarán recubiertas de hormigón y se podrán ver las distintas capas de roca del subsuelo de Madrid recién excavadas. Por un momento se podrá apreciar la ciudad tal y como es bajo tierra.

Madrid tiene un complejo entramado en el subsuelo compuesto de múltiples capas, a diferentes niveles. Son túneles y huecos que se corresponden con las infraestructuras del metro y trenes, tuberías de agua corriente, desagües y alcantarillado, cables de teléfono, luz e internet, ríos subterráneos, bodegas, aparcamientos y bunkers. La bajada al subterráneo recién excavado de los aparcamientos de Serrano supondrá un acercamiento a todos los otros subterráneos de infraestructuras de Madrid; pero también será una visita a lo primitivo y a la naturaleza que compone la ciudad.

El proyecto tiene que ver con conocer la realidad física de Madrid, roca-tierra, antes de ser ciudad. Además, en este descenso al subterráneo, Almarcegui busca que el visitante experimente el subconsciente negativo de la ciudad. Es decir, en lugar de construir, bajar para saber más, pero también para hacer simple y brutalmente lo contrario que hace la arquitectura.

La acción consistirá en invitar al público a presenciar un lugar en proceso, que cambia cada semana y que va a transformarse completamente. La maquinaria de la obra trabaja constantemente y sólo detiene su funcionamiento un día a la semana, los domingos, días en que se realizarán las visitas –del 4 al 28 de febrero-.

Los detalles y el horario para las visitas guiadas se podrán encontrar en el Punto de Información de MADRID ABIERTO ubicado en xxxx. La inscripción podrá realizarse allí mismo o enviando un correo electrónico a Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo. hasta completar aforo (El aforo será limitado y la inscripción deberá realizarse con 48 h. de antelación. Será imprescindible tener confirmación por parte de MADRID ABIERTO).

El descenso se realizará con un guía que acompañará al grupo al subterráneo y que presentará los trabajos de ingeniería, aclarando el funcionamiento de la maquinaria y su avance, pero sobre todo interpretará y presentará la geología de los estratos de materiales que vayan apareciendo en la excavación.

Las obras se están realizando con motivo de la construcción de tres aparcamientos sobre el futuro túnel que unirá la estación de Atocha con la de Chamartín, que tendrá casi 7 km de longitud y que se realizará durante los próximos dos años. Ambos proyectos son parte del plan de remodelación de la calle Serrano, que incluye la transformación de la vía pública, la construcción de los aparcamientos y el túnel.

La excavación que se visitará será el tercer aparcamiento que se sitúa bajo la calle Serrano entre la calle Jorge Juan y la Plaza de la Independencia o Puerta de Alcalá. Los accesos para peatones se extenderán a lo largo de la calle Serrano y los accesos a vehículos se situarán en la calle Jorge Juan, la calle Alcalá y la calle de Salustiano Olozaga.

(Diciembre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (Open Space / documentación técnica)

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DOCUMENTO DE MATERIALES Y LOGÍSTICA Espacio Abierto sobre La hucha de deseos 27th Feb 2010 Circulo de Bellas Artes Madrid, España Para una reunión de espacio abierto de 1 día de duración con unos 60-80 participantes aproximadamente

 

PREFACIO

Los parámetros descritos aquí han sido desarrollados a lo largo de la última década de prácticas de Espacio Abierto en más de 250 eventos usando Tecnología de Espacio Abierto. Las experiencias colectivas son transferidas a condiciones e infraestructuras que han probado ser de ayuda para el aprendizaje y trabajo autoorganizado en el formato de Espacio Abierto. Los materiales y requisitos señalados más adelante proporcionan la infraestructura para el aprendizaje y trabajo autoorganizado. ¡Ideas, sugerencias, mejoras y otras aportaciones de patrocinadores y participantes en los ensayos han servido como principal contribución al desarrollo de estos parámetros y son bienvenidos! Si estás considerando opciones alternativas, por favor consulta con el equipo de formación.

 

DINAMIZACIÓN

Mónica Castillo dinamizará el evento de Espacio Abierto.2 ayudante (TBN) apoyará para poner en marcha y mantener la infraestructura, registro de los participantes, realización de fotografías digitales, registrando los resultados, llevando las actas, tabla de contenidos, trabajo en la lista de contactos, etc. Deben estar disponibles un día antes del evento para montar y unas horas después para desmontar.

 

REQUISTOS DE LA SALA

Necesitaremos la totalidad de la Sala de Columnas durante tres días. Ninguna actividad puede organizarse al mismo tiempo. El espacio central para formar la mesa redonda estará en la Sala de Columnas. Hemos detectado 5 o 6 habitaciones para ocio en la Sala de Columnas.

Para 50-80 participantes necesitaremos unas 50-80 sillas, dispuestas en círculo. 30 sillas más para los 6-8 espacios de recreo. ¡Ninguna mesa! ¡La luz natural es fundamental! El centro del círculo necesita una alfombra u 8 cojines para que la gente se arrodille mientras escriben sus peticiones. Asegurarse de que podemos pegar papeles con cinta adhesiva protectora en las paredes.

¡Pedid permiso!

Es fundamental que el equipo tenga acceso completo a las instalaciones desde las 16:00 el día 26 de febrero, 2010 para montar la infraestructura de Espacio Abierto, hasta las 19:00 del 27 de Febrero, 2010 para desmontar.

 

EQUIPO

Una máquina fotocopiadora de alta velocidad que pueda ampliar de formato A4 a A3, incluyendo un toner extra en la instalación y apoyo técnico a mano. La fotocopiadora funcionará como escáner para el PDF (siempre que sea posible).8 cojines para el centro del círculo para que la gente se arrodille mientras escriben sus demandas.Tablones de anuncios móviles o espacio en la pared (aseguraos de que se puede pegar papeles con cinta adhesiva protectora a la pared. ¡Pedid permiso!)2 pegamentos.Rotuladores; 40 negros, 20 azules, 20 rojos y 10 verdes de punta gorda (de 4 a 5mm).Rotuladores (10mm) rojos, verdes, negros y azules.80 rotuladores de punta fina (0,4mm, negro).2 paquetes de lápices de colores.1500 alfileres, 4mm de diámetro, 15mm de largo.50 almohadillas para alfiler.12 tableros A4.20 cajas para materiales A4.2 pares de tijeras. 1 pequeño bote de Tipex. Un ordenador con acceso a impresora.Cámara de fotos digital.Cámara de video.Micrófono.

 

MATERIAL

100 hojas de papel para rotafolio (en blanco, sin rayas ni cuadrados) u hojas de papel similar (A1) 69cm x 99cm.200 hojas de papel A3 80g/ blanco.200 hojas de papel A3 80g/ amarillo.Tarjetas. 300 blancas, 300 amarillas y 200 rojas, 99 x 210mm, 160 g/.2 rollos de cinta adhesiva protectora de 30mm de ancho, Tesa # 4322.Post-its, autoadhesivos, tamaño: 12,5cm x 7,5cm, en 6 colores diferentes (un paquete de cada).Dos barras de pegamento.

Las actas se llevarán a cabo digitalmente y sólo existirán como 1 sola copia.

 

PROGRAMA

El programa deberá ser revisado a medida que se acerque la fecha.

Tiempo

 

Actividad

Equipo

Mónica y 2 ayudantes

Viernes 26

 

 

10 h

Montar el espacio, desempacar, lista de materiales, montar la oficina, hacer las señales, últimas preguntas

Mónica y 2 ayudantes

Susanne

4

Sábado 27 2010

 

 

10-10.30

Registro, taza de café, descanso

Mónica y 2 ayudantes,

1 persona para buffet

1 persona para documentación

10.30-35

Apertura

Susanne / Madrid Abierto

10.35-11

Presentación OS

Mónica

11-12

1. Sesión Break-out

 

13

2. Sesión Break-out

 

14

3. Sesión Break-out

 

15

Actas

 

15.30

Plan de acción

 

16.30-17 h

Cerrando el círculo

 

 

ACTAS

Durante el evento de Espacio Abierto con 50-80 participantes las actas contendrán unas 80 páginas, tabla de contenidos, página de cubierta, lista de contactos y fotos. Cada participante debería tener su propio PDF del libro. Esto debería otorgarse digitalmente. Un ayudante se ocupará de la creación del PDF. Esto puede realizarse directamente durante los 30 minutos de Cierre de Círculo y ser llevado a casa en un USB o enviándolo por e-mail o descargado de la página web una vez se marchen los participantes.

Si esto no funciona el organizador debe buscar l modo de enviar esto a cada participante poco después del evento (por e-mail, descarga o en caso contrario, como impreso).

 

CATERING / COMIDA

Espacio Abierto es una forma institucionalizada del descanso para el café. Por tanto, es importante que haya un catering permanente estilo buffet cerca de la habitación principal durante todo el evento. Consiste en agua mineral, zumo, café, té, leche fresca para el té y café, frutas, verduras (zanahorias, nabos, pepinillo, independientemente de la estación del año) con salsas de yogurt, frutos secos. Esto sustituye los descansos para el café tradicionales para los cuales no se ha provisto; los descansos son autoorganizados.

Este tipo de buffet non-stop también requiere servicio: platos limpios, rellenar, etc, con mucho esmero por parte de los camareros empleados.

 

CARTA DE INVITACIÓN (hecha por Susanne)

La invitación debería contener una fecha y lugar para la reunión, el organizador, el título y el contexto del propio evento de Espacio Abierto. Más aún, contiene alguna información sobre la Tecnología de Espacio Abierto y el modo en que el evento tendrá lugar. La lista de aspectos a tener en cuenta puede ayudar a formular la carta. Pero depende del organizador y los invitados lo que, de hecho, entrará en ella. En caso de duda: ¡menos es más!

 

LISTA DE CONTACTOS

La lista de contactos contiene la información de contacto de los participantes y será parte de las actas. La Lista de Contactos contendrá el apellido, el nombre, dirección postal, número de teléfono, e-mail,… otros elementos tales como organización, dirección de Internet, etc. Son opcionales. La lista estará formada por los apellidos por orden alfabético en la primera columna.

La Lista de Contactos empezará como un documento separado antes del evento de Espacio Abierto.

La lista preliminar será realizada en Excel o Word mientras los participantes se vayan apuntando al evento. Los archivos estarán disponibles al comienzo del evento. La lista será impresa, ampliada a tamaño A3 y pegada a la pared de la habitación principal. Los participantes podrán añadir, quitar o editar su propia información. La lista correcta será impresa y ampliada de nuevo para revisar la información. La versión final será incluida entonces en las Actas que cada invitado se llevará a casa consigo. Permite al participante estar en contacto y trabajar colectivamente en los planes creados a lo largo del proyecto.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, FACULTAD DE FILOSOFÍA Y LETRAS UNAM, 2004

2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL, FACULTAD DE FILOSOFÍA Y LETRAS UNAM, 2004

 

    

    

       

       

FACULTAD DE FILOSOFÍA Y LETRAS UNAM, 2004Documentación de la intervención en Mexico CityPatrocinado por MUCA Roma y Dirección de Artes Visuales UNAM

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Nicole Cousino + Chris Vecchio (Cv)

NICOLE COUSINOCHULA VISTA, CALIFORNIA, 1966 VIVE Y TRABAJA EN CALIFORNIA WWW.NCOUSINO.COM

CHRIS VECCHIO PHILADELPHIA, USA, 1964 VIVE Y TRABAJA EN PHILADELPHIAWWW.NOISEMANTRA.COM

OBRA EN MADRID ABIERTO: SPEAKHERE!

Chris Vecchio es ingeniero electrónico que comenzó a crear dispositivos esculturales e instalaciones de arte, para entender mejor la relación entre el hombre y la tecnología. Sus dispositivos sirven como apoyos que precipitan la interacción con y sobre el diálogo de la tecnología. En particular está interesado en el potencial de narrativa del trazado del circuito electrónico y en el empleo de interfaces de usuarios ambiguos pero sugestivos para generar los nuevos modos de interacción.   Chris posee un Master en Ingeniería Eléctrica y tiene más de 20 años de experiencia en analogía digital y diseño de software. A lo largo de los 10 años de experiencia laboral ha expuesto con frecuencia tanto en Estados Unidos como en Europa. Actualmente es Presidente de Nexus (fundación para el arte actual) y Director de investigación y desarrollo de la empresa de instrumentación médica Spectrasonics Inc.  Univesidad de Drexel, Philadelphia

NICOLE COUSINOFORMACIÓN ACADÉMICA1997·    MFA. Rutgers University, New Brunswick, Nueva Jersey

1990·    BA. San Francisco State University, San Francisco, California

ARTE VISUAL2005·    Detourism Bureau. Contemporary Artists Center, North Adams (Massachussets)·    VERSION>05. Public Media Institute, Chicago (Illinois)

2003·    Pretty Lies, Dirty Truths. BC Gallery, Laguna Beach (California)

2002·    Exposición fotográfica colectiva. RAID Projects, Los Angeles (California)·    Democracy When. Los Angeles Contemporary Exhibits, Los Angeles (California)·    Re-Public Relations. Parkhaus, Dusseldorf (Alemania)·    Border Hack 2.0. Playas de Tijuana, Tijuana (México)·    Violate Nature. Finca particular, Morongo Valley (California)

1998·    The Female Gaze: Women Look At Men. Pyramid Art Center, Rochester (Nueva York)

1996·    RUTGERS/YALE Exposición de esculturas de graduados. Mason Gross School of the Arts Gallery, New Brunswick (Nueva Jersey)

1994·    Home Base. New Langton Arts, San Francisco (California)

1992·    Smashing Myths In The Information Age. Programa en colaboración para Paper Tiger TV West, Walter McBean Gallery, San Francisco (California)

1991·    Conservative Show. Show n' Tell Gallery, San Francisco (California)

1990·    Pitstops On The Innerstate. Armpit Gallery, San Francisco (California)

VÍDEO DOCUMENTAL2003·    Kalundborg. Videodocumental experimental de 12 minutos (2004) VI Coloquio Internacional Arte Digital: Poéticas y Lenguajes, La Habana, Cuba; Restcycling Art Festival, Berlín, Alemania; LAISLE Video Art Festival, Rio de Janeiro, Brasil

2002·    Concrete & Sunshine. Documental de 60 minutos (2004 Documental, Santa Monica, California); 2003 Visualized Film Festival, Denver, Colorado. New College, San Francisco, California. Appendix Gallery, Copenhague, Dinamarca; Festival Internacional de Cine Documental CRONOGRAF 2002, Chisinau, República de Moldavia; Festival Internacional de Cine de Ajijic, Ajijic, México. Emisión nacional por cale en Free Speech TV

1998·    TALLER P.A.C.A. Documental de 15 minutos. Producido para CARE International Ecuador y Rutgers University

1995·    Fat Of The Land. Documental de 60 minutos. PROYECCIONES ESCOGIDAS: 2001 MACBA, Barcelona, España; Emisoras de PBS seleccionadas, retransmisión de ámbito nacional a través de Free Speech TV. 2000 Ontario Cinematheque, Notario, Canadá. 1999 Global Visions Festival, Edmonton, Alberta, Canadá. 1998 Yerba Buena Center, San Francisco, California. 1997 Museo de Arte Moderno, Nueva York, Nueva York. 1996 Atlanta Film Festival, Atlanta, Georgia; Pacific Film Archives, Berkeley , California; Melbourne International Film Festival, Melbourne, Australia; Images Film & Video Festival, Toronto, Ontario; National Educational Film & Video Festival, Oakland , California; Charlotte Film & Video Festival, Charlotte, Carolina del Norte; Portland Art Museum, Portland, Oregón; 911, Seattle, Washington; The Exploratorium, San Francisco, California; 1st National Congress for Democratic Media, San Francisco , California. 1995 Dallas Film Festival, Dallas, Tejas; Film Arts Foundation Festival, San Francisco, California; Site, Santa Fe, Nuevo México. PREMIOS: Manzana de Bronce en el Festival Nacional de Cine y Vídeo Educativos, Oakland, California; Primer puesto en el Festival de Super 8mm de los EE.UU., New Brunswick, Nueva Jersey; Primer puesto en el Festival de Cine y Vídeo de Sauguro, Sauguro, Arizona; Premio de 200 dólares en Festival de Cine y Vídeo de Athens, Athens, Ohio; Mención honorífica en el Images Festival de Atlanta, Georgia

1993·    Feminist Trilogy para Paper Tiger TV·    Call It What It Is. Documental de 30 minutos. 1993 SF Cameraworks, San Francisco, California. “WAC is Watching!” Other Cinema, San Francisco, California·    Sisterhood TM. Documental de 30 minutos. 1994 Free Video America, Yerba Buena Center, San Francisco, California; Women's Resources Film Festival, Nueva York, Nueva York. 1993 SF Cameraworks, San Francisco, California; New Langton Arts, San Francisco, California·    Wired For Action.Documental de 30 minutos. SFCameraworks, San Francisco, California

1992·    Sanguis Semen Christorium. Documental de 60 minutos. 1992 Public Access TV, San Francisco, California

CORTOS / EXPIRIMENTAL / NARRATIVO 2005·    here is neither the this nor the that. Vídeo narrativo experimental de 10 minutos. 2005 Festival Internacional de Vídeo Experimental ACCEA, Armenia

2002·    The Bird. Vídeo experimental de 3minutos. 2003 Cinemania[c], Festival de Cine de Pula, Zagreb, Croacia; 2002 Swamp Festival, Pomona, California. LA Screens, 2012 Gallery, Los Angeles, California·    2 vídeos A-CLIP for A-CLIP III. 2 vídeos experimentales de 90 minutos. 2002, proyecciones públicas en Los Angeles/Berlín/Londres

1998·    Lovestory. Vídeo narrativo experimental de 5 minutos

1997·    6 Of 1. Vídeo experimental de 15 minutos. 1997 Rutgers University, New Brunswick, Nueva Jersey

1996·    Asteriod. Vídeo experimental de 10 minutos·    Spirit Of A Nation. Vídeo experimental de 5 minutos. 1997 Other Cinema, San Francisco, California; Images Film & Video Festival, Toronto, Ontario; Exposición MFA de la Facultad de Artes, Hunter College, Nueva York, Nueva York; Locating Feminism, Pembroke Center, Brown University, Providence, Rhode Island. 1996 Fugitive Dyads, Knitting Factory, Nueva York, Nueva York

1990·    Repressed Transactions. Vídeo experimental de 5minutos. Film Arts Foundation, San Francisco, California. 1990 Other Cinema, San Francisco, California

ORGANIZACIÓN EXPOSICIONES 2001 ·    Violate Nature. Se invitó a 15 artistas a crear obras topoespecíficas en una zona desértica de 2 hectáreas con el fin de perturbar lugares y sistemas naturales. Finca particular, Morongo Valley, California

1997·    6 0f 1 Video Collaboration. 6 videoartistas crearon obras basadas en un artículo de prensa sobre una acción realizada por una mujer perteneciente a los "hombres del tiempo"

1988·    Armpit Gallery. Comisaria conjunta y directora de un espacio artístico independiente que producía exposiciones mensuales de arte local, performance, teatro, cine, música e instalaciones que hacían hincapié en el elemento de "interactividad"·    Irrigate The Media Wasteland. Estudio sobre los medios independientes, incluidos Internet, las zines, la alteración de vallas publicitarias, las radios piratas, y la televisión de acceso público, Armpit Gallery, San Francisco, California

1990·    Urban Scrawl. Muestra de obras artísticas sobre la crisis del SIDA. Armpit Gallery, San Francisco, California

BECAS Y PREMIOS2005·    Subvención Leeway Foundation Art & Change

2002·    Subvención Durfee Foundation Completion

2000·    Miembro del jurado de LA Freewaves Video Festival

1997·    Jurado de finalistas del USA Super 8 Film & Video Festival

1996·    Subvención Dodge Foundation por el Flaherty Film Seminar

1995·    Beca MGSA, Rutgers University, New Brunswick, Nueva Jersey·    Miembro del Comité de Artistas, San Francisco Art Institute, San Francisco, California·    Miembro del jurado del San Francisco Independent Film Festival ·    Miembro del jurado del National Educational Film & Video Festival, Oakland, California

1994·    Subvención Ben & Jerry's National·    Premio anual New Langston Arts

1992·    Mini-subvención del California Council for Humanities

COLOQUIOS1996·    Images Film Festival - Coloquio: Environment & Technology Toronto, Ontario, Canadá

1995·    Conferencia Boundaries in Question, UCB, Berkeley, California·    Diablo Valley College Environmental Technology Association, Diablo Valley, California

BIBLIOGRAFÍA·    Steve Montgomery, The 1st NYC Sierra Club Film & Video Festival, International Documentary, 1997, p. 19-20, Los Angeles, California·    Jane Farrow, Low Rent Media and Hi-Fat Message: Culture Jam Meltdown at the Images Festival, POV (Canadian Independent Film Caucus, Toronto), Otoño de 1996, Nº. 30, P. 27-29·    John Foyston, Greasy Riders in Fat City, The Oregonian, 28 de marzo de 1996·    Roy Chung, Fat of the Land, Los Angeles Times, 29 de septiembre de 1995·    The Skinny on the Fatmobile, The New York Times Magazine, 5 de febrero de 1995·    Kristy O'Rell, Greasy Riders: Cross Country on Fat, Boing Boing, San Francisco, California, Nº13, 1995·    Kristy O'Rell, “Greasy Riders”, en The Happy Mutant Handbook, Ed. Carla Sinclair , Nueva York: Riverhead Books, 1995, P. 154-57·    Karen Weiner, Greasing Down the Highway: The Making of Fat of the Land, Video Networks, BAVC: San Francisco, California, Oct.-Nov. 1995·    Giles Whitell, Greasy Riders Finish 3000 Mile Odyssey, London Times, 3 de septiembre 1994·    James O. Clifford, Lard Car Oozes into SF After Trek on French Fry Fuel, San Francisco Examiner, 29 de agosto de 1994·    Fry Power, USA Today, 29 de agosto de 1994·    Van in Fat City: French Fry Oil Fuels Unique Trip, San Jose Mercury News, 29 de agosto de 1994

..........................................................................................................................................................CHRIS VECCHIOFORMACIÓN ACADÉMICA 1992·    Master en ingeniería eléctrica

1987·    Licenciado en ingeniería eléctrica

EXPOSICIONES INDIVIDUALES (selección)2005·    Susquehanna Museum of Art. Harrisburg·    Myers Gallery at the Tulsa Living Arts Center

2003·    Dzyga Institute of Contemporary Art. Lviv, Ukraine

2002·    Evidence of Toolmaking. Nexus, Foundation for Today’s Art, Philadelphia

1999·    Technology Fetish, An exhibition of handmade electronic objects. Nexus, Foundation for Today’s Art, Philadelphia

EXPOSICIONES COLECTIVAS (selección)2004·    Subtle Nothings. Borowsky Gallery, Philadelphia

2002·    Hungarian Sculptural Exchange Exhibition. Janus Pannonius Museum, Pecs, Hungria·    Bio-Tech. DaVinci Art Alliance, Philadelphia·    Building Unique Works. Washington Square, Washington

2001·    Contemporary Philosophie. Bridgette Mayer Gallery, Philadelphia·    New Directions. Main Line Art Center, Haverford·    Future Imperfect. Sharadin Gallery, Kutztown University, Kutztown

2000·    Construction, works that challenge the categorical definitions of art. Painted Bride Art Center, Philadelphia·    Every day I think of you, installation, financiada por Philadelphia Fringe Festival·    Beginnings and Endings. Delaware Center for Contemporary Art, Wilmington·    Place of Memory: an archaeology of site specificity. Temple University Gallery, Philadelphia

1999·    Bridging the Gender Gap, Proximity, and Window to the Past. Visual Fringe Festival in conjunction with Dissentia Curatorial Services, Philadelphia

BIBLIOGRAFÍA2005·    "Dorkbot". Entrevista. Location One, New York, NY, 2 Noveimbre de 2005.·    NPR Entrevista de radio. Rich Fisher, Studio Tulsa, KWGS FM, 7 Enero de 2005.·    Tool Time. James D. Watts Jr. Tulsa World, 6 Enero de 2005

2003·    ЕксГібіція прИлаДіВ Львівянам сподобалася. Yarena Koval, L’vivska Gazette, 15 Agosto de 2003·    мИ маемо про Це поГоВорИТИ..., Natalia Kosmolinska, L’viv Post, 16-17 Agosto de 2003

2002·    NPR Entrevista de radio, Listen. Aries Keck, WHYY FM, 20 Junio de 2002·    Tools of the Trade, Edward Higgins, South Philadelphia Review, 20 Junio de 2002, p. 23·    Bells and Bone Whistles, Roberta Fallon, Philadelphia Weekly, 3 Julio de 2002·    Evidence of Toolmaking, Marisa Mariscotti, www.digitalcity.com/philadelphia, Junio de 2002·    Pick of the Week, Evidence of Toolmaking at Nexus, Nikki Roszko, Philadelphia City Paper, 6 Junio de 2002, p. 47·    Power to the People, Art in Science XVI: Electricity, Nikki Roszko, Philadelphia City Paper, 4 Abril de 2002

2001·    Sharadin Enters the Future of Art, Monica Ortwein, The Kutztown Keystone, 15 Febrero de 2001, p. 7·    Exploring Technology’s Human Side, Ron Schira, Reading Eagle Times, 23 Febrero de 2001, p. W8·    Perfect Strangers, Roberta Fallon, Philadelphia Weekly, 28 Febrero de 2001

1999·    Robot Poetry Radio, Raj Thadani, Sound Collector Magazine, Vol. 4, 1999, pp. 37-40·    Local Color, Edward Higgins, South Philadelphia Review, 27 Mayo 1999, p. 27·    Current Events, Gerard Brown, Philadelphia Weekly, 21 Abril de 1999·    Rubber Soul, Robin Rice, Philadelphia City Paper, 16 Abril de 1999·    Case For Art, Edward Sozanski, Philadelphia Inquirer, 16 Abril de 1999

1998.    Bella Vista’s Poet of the Airwaves, Mark Davis, Philadelphia Inquirer, 3 Noviembre de 1998, p. B1

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. S/T (2009.10 / documentación teórica)

 

Proyecto de arte público para Madrid Abierto 2009-2010 en La Latina/Plaza del Humilladero.Fecha de inicio: 29 de octubre 2009Lugar: Plaza del Humilladero y la totalidad de La Latina

Todo billete de banco tiene un valor de cambio, pero también un potencial valor futuro (ahorros para las próximas vacaciones, para la adquisición del coche deseado,…). Toda conversación conlleva el potencial de un negocio futuro, una nueva invención, una nueva tarea, una oportunidad. 

Todo el mundo lleva consigo un potencial sin realizar, una idea en mente, una observación, una historia oculta, monedas sin usar en un cajón de su casa. El proyecto de arte público TÍTULO trata de recolectar la mayor cantidad de estas pequeñas potencialidades individuales que sea posible. El proyecto de arte acumula para convertirlas en cosas tangibles, proyectos y resultados en el mundo real.

Más de 136 436 519 996,32 monedas de peseta y 159 065 015 995,71 pesetas en billetes permanecen como propiedad privada en manos de personas. TÍTULO recaudará monedas y billetes en pesetas en un emplazamiento público en la Plaza del Humilladero.

El barrio de la latina de Octubre de 2009 hasta mediados de Ferbrero de 2010.

Además de la recolección, el proyecto preguntará activamente al barrio y a los usuarios del vecindario -visitantes del Rastro y de mercados, bares, cafeterías- ¿que querrían llevar a cabo con este dinero público sin valor en y para la Latina? Durante el periodo que dure el evento, se tomará nota de los deseos de la ciudadanía y se publicarán en la página web del proyecto, en los medios públicos y en el vecindario.  Durante los últimos días de febrero los deseos o iniciativas serán presentados en una acción artística pública en La Castellana. El 20 de febrero de 2010, todo el mundo está invitado a contar públicamente las monedas y billetes antes de que sean transportados  al Banco de España el 22 de febrero de 2010.

El 27 de febrero de 2010 todo aquél que quiera tomar parte en el grupo de toma de decisiones, está invitado a asistir a un evento de Espacio Público en el Círculo de Bellas Artes. Este evento de un solo día tendrá lugar para decidir de modo colectivo que ocurrirá con esas pesetas y en qué modo este dinero desempeñará una labor práctica. 

TÍTULO es un proyecto artístico que sirve como modelo para otorgar poderes a las personas. Ofrece una plataforma creativa que permite a la gente trabajar unida para desarrollar un espíritu de colaboración e inclusión y brinda la posibilidad de formar parte de un proceso colectivo de decisión. El proyecto combina una apariencia estética con un significativo debate público, además de crear un amplio forum para el potencial. Al concentrarse en un determinado barrio, el proyecto ofrecerá posibilidades a gente que vive en las cercanías y que tiene una experiencia cercana y una conexión con el lugar y con las personas que lo habitan.

TÍTULO llevará esto a cabo a través de una serie de acciones artísticas e intervenciones a lo largo de 4 meses, desde finales de octubre de 2009 a finales de febrero de 2010. Un dispositivo de recolección multimedia será colocado en un lugar público de la Plaza del Humilladero durante 4 meses para recolectar monedas, billetes y deseos, también para ver los deseos.

Paralelamente, un blog interactivo y acciones regulares en el barrio irán introduciendo el proyecto. La fechas de las acciones son: 29.10.-1.11.2009, 12.11.-16.11.2009 , 12.12.-20.12. 2009  y 31.1.- 28.2. 2010.

Durante los últimos días de febrero los deseos o iniciativas serán presentados en una acción artística pública en La Castellana. El 20 de febrero de 2010, todo el mundo está invitado a contar públicamente las monedas y billetes antes de que sean transportados  al Banco de España el 22 de febrero de 2010. El 27 de febrero de 2010 todo aquél que quiera tomar parte en el grupo de toma de decisiones, está invitado a asistir a un evento de Espacio Público en el Círculo de Bellas Artes. Este evento de un solo día tendrá lugar para decidir de modo colectivo que ocurrirá con esas pesetas y en qué modo este dinero desempeñará una labor práctica.

 

Web info:xxx

El sitio multi.media de recolección ha sido diseñado y construído por www.zoohaus.net 

(Octubre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (vídeo)

 

        

 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / trabajo de campo)

MAYO 2009

 

INFORMACIÓN ESTADÍSTICA

 

 

AGENDA 21 DE LA CULTURA, EL PROGRAMA PARA LOS DISTRITOS

En la agenda 21 de la ciudad de Madrid encontré un vínculo interesante con mis intenciones con respecto a La Latina/ Lavapiés*:

*fuente: “programa electoral del candidato a la alcaldía de Madrid” Populares Madrid 2007”

http://www.agenda21culture.net/index.php?option=com_content&view=article&id=45&Itemid=62&lang=

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti (Cv)

FUNDADO EN 2002ESTÁ FORMADO POR STEFANO DE MARTINO (ST. GALLEN, SWEDEN, 1955) Y KAREN LOHRMANN (HAMBURG, 1967) VIVEN Y TRABAJAN EN BERLIN WWW.LORMAMARTI.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: BLEND OUT

Lorma Marti fue fundado por Karen Lohrmann y Stefano de Martino y actualmente reside a caballo entre Berlín y Roma. Su obra abarca una amplia variedad de escalas y herramientas, desde la arquitectura hasta la instalación, la fotografía, el vídeo y la pintura.

El proyecto Waiting Land observa la escalada de la construcción ilegal que caracteriza el moderno paisaje italiano; un fenómeno que, explotado a partes iguales por las Administraciones y los ciudadanos emprendedores, bordea los límites del populismo y la anarquía. Waiting Land mide la distancia entre los valores ideales, las ambiciones, las aspiraciones, los sueños, y su manifestación real, en una serie de reportajes fotográficos, esculturas, instalaciones y vídeos.

Site Surveys documenta de modo continuado en soporte digital los conflictos posibles o en ciernes que se derivan de la territorialización de los paisajes por las infraestructuras, los procesos de producción, las políticas de asentamiento y las pautas de consumo.

Otros proyectos son Dynamic Series, una serie de cuadros y murales basados en flujos que formulan un comentario sobre los de medios de representación abstrayendo la relación sujeto-objeto, y CMYKs, una serie de cuadros que se ocupan de la cuestión de la visualización de la información latente e implícita a través de la separación de los colores.

Return to Occupation es un comentario sobre Berlín, la ciudad reunificada y nueva capital alemana. Las consecuencias de la legislación internacional en materia de seguridad y los ambiciosos planes de densificación urbana, que sitúan la mayoría de las embajadas en el centro urbano, han hecho de nuevo de esta ciudad un lugar de espacios públicos bloqueados, desviaciones de tráfico a gran escala, y vigilancia omnipresente de los ciudadanos, algo que la población de Berlín apenas acaba de olvidar.

Entre sus exposiciones y publicaciones recientes se incluyen 2005/6 Waiting Land, Comune di Napoli (en preparación); 2005 One Minute Wonder, Lighthouse Brighton (Reino Unido); Old Market Hall Film and Digital Media Centre, Shrewsbury (Reino Unido); 2004 SSFVF Bilgi’de Sinema, Estanbul; Bath Film Festival (Reino Unido) RACA Gallery, Copenhague; SSFVF 3rd Floor Arts Centre, Portsmouth (Reino Unido) + publ.; Limiti Chiostro di Santa Chiara, Cutro (Italia) + publ.; Camp for Oppositional Architecture An Architektur, Berlín + publ.; 2003 Mobility Bienal de Rotterdam; Waiting Land y Calabria Eden ‘Clear Skies with Patches of Grey’ Berlín, publ.

Los proyectos de Lorma Marti han recibido recientemente el apoyo del Ministerio Austriaco de Educación, Investigación y Cultura (Bundesministerium für Bildung, Wissenschaft und Kultur, BMBWK), el Istituto Italiano di Cultura de Copenhague, y una subvención para proyectos artísticos del Instituto Alemán de Relaciones Exteriores (IFA).

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. I MY EAR TO FURIOUS LATIN (audio)

Name Play Size Duration
I lay my ear 1
25.3 MB 27:35 min
I lay my ear 2
25.5 MB 27:49 min
I lay my ear 3
27.3 MB 29:46 min

** LAS PISTAS SE DEBEN ESCUCHAR AL MISMO TIEMPO

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / ubicación)

2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / ubicación)

MAYO 2009

 

LA ZONA DE LA LATINA Y LAVAPIÉS

La zona en la que estoy interesada está en  el límite del distrito interno de Palacio and Embajadores. Tiene cierto número de escuelas, asociaciones sociales y culturales . Se encuentra en el centro de la ciudad con un vivo mercado (el Rastro), una agitada vida nocturna y puntos culturales que sirven para atraer el turismo internacional.

El lugar escogido es un barrio neutral al que la gente va para comprar, por turismo y entretenimiento. Al mismo tiempo la gente que vive ahí son bastante accesibles y participarán.

 

EL LUGAR ESCOGIDO

Me gustaría proponer un sitio a lo largo de: Plaza de la Cebada, o alternativamente San Millán, Duque de Alba.

El sitio debe satisfacer las siguientes demandas:-    Tanto residentes en la zona como turistas y clientes de tiendas deben recorrer la zona diariamente. -    La zona debe ser lo suficientemente segura como para dejar un objeto al aire libre durante el día y la noche, y atraer a gente de otros barrios y lugares. El lugar debe ser fácilmente accesible a los visitantes.-    El suelo debe ser capaz de aguantar un peso de 2-4 toneladas de peso. -    El barrio debe atraer a gente de diferentes edades y nacionalidades.

 

1.    Plaza del Humilladero

 

2.    Plaza de Cebada, en frente del mercado de la Cebada

 

3.    Metro de La Latina

 

4.    12 Duque de Alba

 

TRAYENDO LOS DESEOS A LA CASTELLANA, 1-28 FEBRERO DE 2010

La propuesta de espacio en La Castellana es, o Recoletos, entre Colón y Plaza de Cibeles o desde Plaza de Cibeles al Museo Thyssen Bormemisza.

 

EVENTO EN ESPACIO ABIERTO EL 27 D E FEBRERO 2010

A pesar de una interesante oferta para usar un espacio del Círculo de Bellas Artes, el lugar elegido debe encontrarse en el barrio del proyecto, idealmente estaría a la vista del objeto de recolección. Podrá tener lugar en una carpa o tienda montada para un día y con grupos de discusión en cafés de las cercanías. El catering y las sillas serán facilitadas por negocios de la zona.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10inmb3647

2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (audio)

Name Play Size Duration
You dont let me yet 1
10.7 MB 11:42 min
You dont let me yet 2
101.7 MB 1:51:07 min

 

 

 

 

 

 

07insc1352

2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / documentación técnica)

2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / documentación técnica)

MAYO 2009

 

PLAN DE ACCIONES E INTERVENCIONES

WHEN

WHAT

WHERE

REQUIREMENTS

MADRID ABIERTO

DETAILS

17th

collection site

public place in

Built by the

permission

Pages 6-

October-

 

La

winning groups of

 

11

20th

 

Latina/Lavapies

urbanaccion

  

February

  

2/2009*, lead by

  

2010

  

the Group ecosistema/ Michael Moradiellos, addressing the terms and conditions of an object in public

  

15th

PR and

public place in

2 student

PR,

Pages

October-

maintainance

La

invigilators and

permissions

12-13

20th

of the collection

Latina/Lavapies

Susanne Bosch

for

 

February

process

 

will do regular

postering

 

2010

  

clean-outs and neighbourhood activites, postering of wishes in surrounding

of Din A 3 copies (?)

 

1-28th February 2010

writing of the wishes with white charcoal on the floor of the paseo.

La Castellana

This action will be done for 3 hours every day by 1-2 persons

permission

Page 14-15

Saturday,

publicly sort the

public place in

everyone is

contact to

Page 15

20

coins and

La

invited to help,

Banco de

 

February

banknotes,

Latina/Lavapies

big public event

Espana,

 

2010

transport to the Banco de Espana

 

with benches, catering, info, media,

delivery modus, when and how, usage of bank account from La Coralla

 

22th

Removal from

public place in

Organized by by

  

February

collection site

La

the winning

  

2010

 

Latina/Lavapies

groups of urbanaccion 2/2009**, lead by the Group ecosistema**/ Michael Moradiellos,

  

27th

One day open

In public place

A large number of

Opening

Page 14-

February

space event

in La

participants, basic

speech of

15

2010

 

Latina/Lavapies,

catering and

the event

   

in close

venue, a

    

proximity to the

professional

    

collection site

Open Space

     

facilitator (e.g.

     

Antonio

     

Rodriguez)

  

March

Documentation,

Web, catalogue,

Susanne

PR to

 

2010

evaluation of

media

 

announce

  

event

  

the results

 

 

CALENDARIO

 

EL OBJETO DE LA RECOLECCIÓN Y LOS COLABORADORES 

El instrumento para la recolección será construido por uno de los grupos ganadores de urbanacción 2/2009*, guiado por el grupo “ecosistema”/Michael Moradiellos. El grupo desarrollará un objeto estético, público y funcional adaptable al lugar escogido. Lo construirán, transportarán al lugar indicado y lo montarán.

El objeto será retirado entre el 22-23 de Febrero después de vaciarlo el 20 de Febrero de 2010. Su futuro uso será posible. Podrá ser usado por otros o será llevado a un vertedero público.

Debe ser desarrollado, construido, transportado y retirado por un presupuesto total de 5000 Euros. Su función debe consistir en: un lugar para depositar y recolectar monedas y billetes de peseta. Un lugar donde recolectar deseos. La colección debe estar lo más expuesta al público posible. La colección debe estar lo más segura posible durante un periodo de 4 meses en un lugar público de Madrid sin necesidad de medidas de seguridad alternativas. Se le pedirá a vecinos y policía que presten atención***. El objeto debe informar e invitar al público a comprender su razón de ser y como funciona. Debe ser accesible para que una persona entre en él, además de limpiar/vaciarlo. Debe sobrevivir a una existencia pública, en el exterior durante 4 meses en la estación invernal. Debe estar hecho de una manera en que el material usado no pueda dañar a los transeúntes. El tamaño del objeto no deberá usar más de 4-5 metros cuadrados de suelo. El objeto y el subsuelo deben ser capaces de soportar un contenido pesado, en monedas. El grupo se reunirá en Junio de 2009, construirá el artilugio en Septiembre y lo expondrá al público en Octubre de 2009.

*urbanacción 2, ver www.coam.es

**www.ecosistemaurbano.org

***.De acuerdo con mi experiencia previa en Alemania con la exposición y recolecta pública en 3 ciudades desde 2000-2002, el público y la policía de servicio desarrollaron un afecto natural y un estado de concienciación respecto al objeto. No fue atacado ni vandalizado en ninguna de las 3 ciudades durante un periodo de 2 años.

 

COLABORACIÓN LOCAL

El proyecto tiene unos desarrollos y experiencias anteriores en Alemania (1998-2002) e Italia (2008). Aprendiendo de experiencias anteriores, mi intención en Madrid es la de involucrar a un grupo específico de interesados aparte del público general de transeúntes. El grupo específico será la asociación vecinal de La Corrala*.

 

UN PROCESO DE 4 MESES / ACTIVIDADES ENTORNO AL LUGAR DE LA COLECCIÓN

El proyecto funciona como una plataforma que invita a la gente a participar. Participación e integración en un proyecto supone fases:

Realizar una oferta, pensar la oferta y sus condiciones (cuanto tiempo hay que sacrificar, qué es, por qué debería participar, tiene algún interés para mí?..), hablar con alguien sobre ello, un momento de toma de decisiones, acción (dar tiempo e integrar en la idea).

Con respecto a este proceso propongo una duración de 4.5 meses. 3.5 meses (mediados de Octubre hasta finales de Enero) será dedicado a atraer la participación de modo activo y pasivo en la zona. El mes de Febrero se dedicará a la publicación de los deseos con algunas acciones públicas, para contar el dinero públicamente y para crear un evento público al aire libre donde los participantes decidirán cuales serán las consecuencias finales del proyecto.

Todas las fases se verán acompañadas de un trabajo mediático masivo en el vecindario para informar a la gente, la ciudad y el país respecto a este proyecto.

La fase de recolección de deseos y monedas/billetes se verá acompañado por actividades mensuales alrededor del lugar de recolección. Diversos centros culturales ya han ofrecido su espacio al proyecto para organizar discusiones de grupo, proyectar películas, para hacer talleres con grupos invitados sobre tópicos tales como: ¿si tuviese dinero de sobra, que cambiaría en mi entorno?,¿Cómo funciona e influye el dinero en la toma de decisiones?, la toma de decisiones en común y sus defectos..si fuese el rey/reina de la zona…involucrarles en pensar sobre la zona y las mejoras, cambios, ideas que tienen para el lugar. Debates entorno al dinero y el valor, nadar en dinero, visita de un banquero para explicar como se da la circulación del dinero, personas mayores hablando sobre los tiempos de la peseta..

Una vez al mes vendré durante 5-7 días a supervisar este tipo de eventos en colaboración con María y Virginia (estudiantes y ayudantes).

Invitamos activamente a instituciones clave y gente clave con influencia, a los eventos y al próximo evento en espacio abierto e informamos sobre el proceso de decisiones en Febrero de 2010.

Hay contacto establecido con La Corrala, pero también con otros grupos como: Traficantes de Sueño, La Eskalera Karakola, A.VV., Asociación de Mujeres, Juan Vallebuena (fotógrafo, no foto), Centro Cultural Lavapiés, C.A.S.I.T.A.,

*http://www.avvlacorrala.org

** Mientras investigaba en Febrero y Abril de 2009, hablé con un número de asociaciones vecinales, organizaciones sociales y culturales. También hablé con artistas y grupos de artistas así como con arquitectos sobre zonas en el distrito centro. La Corrala es una organización prominente que representa a todo el vecindario.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg (Cv)

ESTOCOLMO, 1967VIVE Y TRABAJA EN BERLÍNWWW.GUSTAVHELLBERG.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: PULSING PATH / UNA VISIÓN AMBIGUA

FORMACIÓN ACADÉMICA2000·    Estética filosófica, Universidad de Estocolmo

1993–98·    Kungl. Konsthögskolan, Estocolmo (MFA)

1995·    Hochschule der Künste (Berlín), Prof. Lothar Baumgarten

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2005·    Arnstedt & Kullgren, Båstad, Suecia

2003·    Hood Gallery, Los Angeles, EE.UU.

2002·    Blinka Malmö stadsbibliotek, Malmö, Suecia

2000·    Mors Mössa, Gothenburg, Suecia

1997·    Galleri Mejan, Stockholm, Suecia

EXPOSICIONES COLECTIVAS (selección)2005·    Projekt 0047, Berlín, Alemania·    Fused Space, Strom, La Haya, Países Bajos·    Evolutionäre Zellen Archive NGBK, Berlín, Alemania

2004·    Arnstedt & Kullgren, Båstad, Suecia·    Momentum 4, Moss, Países Bajos·    Zwischen Wasser, Bad Aibling, Alemania·    Armory Show, Nueva York, EE.UU.

2003·    Patrimonio Cultural Artístico Contemporáneo, Natalia, Turquía·    Evolutionäre Zellen, Historisches Museum, Frankfurt, Alemania·    LA-International, Raid Projects, Los Angeles·    Arnstedt & Kullgren, Båstad·    Evolutionäre Zellen, Freiraum / Transeuropa MQ, Viena, Austria·    Southbound, Leipzigerstrasse 54, Berlin, Alemania

2002·    Evolutionäre Zellen, NGBK, Berlín, Alemania·    Urban Drift, Berlín, Alemania·    Reactions, The Library of Congress, Washington DC. EE.UU.·    Reactions, The Williamson Gallery,Pasadena ·    Reactions, Exit Art, Nueva York, EE.UU.

2001·    Midsummer Night Extravaganza, Kaffee-Burger, Berlín, Alemania

2000·    Cave, Konstakuten, Estocolmo, Suecia·    1 Maj 2000, Svenska Dagbladet’ Internet-Gallery, Suecia

1999·    San Francisco Pin Up Gallery, Estocolmo, Suecia ·    Galleri Bäckalyckan, Jönköping, Suecia

PUBLICACIONES2003·    SITE, Estocolmo

2002·    Publikation (70), Malmö

2002·    Birthday Paper, Nueva York

2001·    Publikation (5), Malmö

COMISARIADO DE EXPOSICIONES2005·    Com. Öresundskraft, Helsingborg, Suecia

2004·    Repr. Region, Skåne, Suecia

2002·    Repr. The Library of Congress, Washington DC.

1999·    Repr. Jönköpings común, Suecia

1998·    Com. Akademiska sjukhuset Uppsala, Suecia·    Com. Studentpalatset, Estocolmo, Suecia

1997·    Repr. Modern Museum, Celje, Eslovenia

BECAS Y PREMIOS (selección)2003·    IASPIS, apoyo para exposición internacional

2002·    Comité Sueco de Subveciones Artísticas, subvención de trabajo de 2 años

2000·    Comité Sueco de Subveciones Artísticas

1999·    Royal Academy of Arts, subvención Emil Bergh

1998·    Fundación Helge Ax:son Johnson·    Royal Academy of Arts, Fundación Gustaf Cederström·    Royal Academy of Arts, Fundación Ragnar och Hilma Svensson

1997.   Fundación Helge Ax:son Johnson

 

 

 

 

 

06prtb0825

2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

2009-2010. Susanne Bosch. DREAM-DO-DONE (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

MAYO 2009

 

CONCEPTO GENERAL

Todo billete bancario tiene un valor de cambio, pero también un valor potencial futuro (ahorrar para las próximas vacaciones, para el coche deseado,…). Cada conversación porta la semilla de un futuro negocio, nueva invención, nuevo reto, una oportunidad.

Todo el mundo lleva consigo un potencial inutilizado, una idea en mente, una observación, una historia no narrada, viejas monedas sin usar en un armario en casa.

El proyecto artístico DREAM-DO-DONE busca recolectar el máximo número de pequeños potenciales individuales posibles. Este proyecto artístico las une todas para hacer de ellas cosas reales, proyectos, resultados en un mundo real.

DREAM-DO-DONE recolectará monedas de peseta* y billetes en una colección pública en los barrios de La Latina / Lavapiés durante el período desde mediados de Octubre de 2009 a mediados de Febrero de 2010. Además de la colección de pesetas, el proyecto preguntará activamente a la gente del barrio y aquellos visitantes (asiduos al Rastro, mercados, cafés, bares,..), ¿que quieren hacer con ese dinero público y devaluado? El proyecto tomará y publicará los deseos de la ciudadanía durante el periodo delk evento en una página web, en los medios públicos y en carteles en el vecindario. Durante los meses finales de Febrero, los deseos serán presentados en una acción artística pública diaria en la castellana. El 20 de Febrero de 2010, todo el mundo será invitado a contabilizar públicamente las monedas y billetes y transportarlas al Banco de España. El 27 de Febrero todo aquél que quiera tomar parte en la decisión de qué hacer con el dinero podrá participar en un evento abierto***. Este evento será el que decida qué se hará con el dinero recolectado.

*Se cree que el nombre se deriva del catalán “peceta” que significa “pequeño trozo”(i.e.,el diminutivo de peca, “-eta” siendo el diminutivo femenino).(1) Aun así, también es posible que el nombre sea diminutivo de “peso”, un tipo de moneda ya existente cuyo nombre se deriva de una unidad de peso; esto está en sintonía con otras monedas europeas como el “pound” Británico. “Peseta” es el nombre utilizado en Puerto Rico para denominar el cuarto de dóllar Estadounidense.

**A no ser que las lleves al Banco de España en C/Alcalá 48 a cambiarlas.

***Antonio Rodríguez del AEC- Actividades Educativas Culturales podría ser el moderador del evento como moderador entrenado en espacios públicos en Madrid. ( http:/www.aec-spain.net).

OBJETIVOS

DREAM-DO-DONE es un proyecto artístico que sirve como modelo para inspirar a la gente. Ofrece una plataforma creativa que permite a la gente trabajar en grupo, para desarrollar un espíritu de colaboración e integración. Ofrece una experiencia de un proceso colectivo de toma de decisiones. El proyecto combina un formato inusual con un debate público lleno de sentido. Crea un gran forum para desarrollar potencialidades. Concentrándose en un barrio particular, el proyecto inspirará a gente que vive en un mismo barrio y están en relación personal unos con otros, a conectarse entre sí en torno a un proyecto.

RESULTADOS / ACCIONES

DREAM-DO-DONE llevará esto a cabo gracias a una serie de acciones artísticas e intervenciones que idealmente durarían unos 4 meses y medio, desde mediados de Octubre a finales de Febrero de 2010.

El emplazamiento para la recolección estará en un lugar público de La Latina/Lavapiés durante 4 meses para recolectar monedas, billetes y deseos, también para visualizar deseos. Durante el mismo periodo un blog o web interactiva, carteles regulares y PR tendrán lugar.

Durante los últimos días de Febrero , los deseos serán presentados en una acción artística diaria en La Castellana. El 20 de Febrero de 2010, todo el mundo está invitado a clasificar y transportar las monedas y billetes al Banco de España. El 27 de Febrero de 2010 todo aquél que quiera tomar parte en la decisión final, puede ir al evento en abierto. Aquí se decidirá que hacer con el dinero acumulado y como ponerlo en acción.

TRAYENDO LOS DESEOS A LA CASTELLANA, 1-28 DE FEBRERO DE 2010

Desde el inicio al final de Febrero, los deseos dados por la gente durante los últimos 3.5 meses serán transformadas en un evento artístico público en La Castellana. Tendrá la siguiente forma:

En una acción pública diaria, 2 personas escribirán los deseos con tiza blanca en el suelo del paseo. Esta acción se realizará durante 3 horas cada día. Cada día la escritura continuará donde se dejó el día anterior o comenzará de nuevo (dependiendo de si la lluvia lo borró la noche anterior).

 

20 DE FEBRERO 2010. RECUENTO Y SEPARACIÓN DE DINERO PÚBLICO RECAUDADO EN MONEDAS Y BILLETES

El 20 de Febrero de 2010, la población será invitada a realizar el recuento de las monedas para llevarlas al Banco de España. Este será un evento público de un solo día con medios de comunicación presentes. Una furgoneta será alquilada para llevar las monedas y billetes contabilizados al Banco de España. Al público de le facilitará información, bebidas calientes y catering (esto lo haremos en colaboración con los bares y tiendas locales).

 

EVENTO EN ESPACIO ABIERTO EL 27 DE FEBRERO 2010

Tecnología de espacio abierto (Open  Space Technology) es un formato innovador para organizar reuniones de grandes grupos. (Tecnología en este caso quiere decir herramienta-un proceso, un método.) Representa un proceso de auto-organización. Los participantes crean la agenda e itinerario a lo largo de la reunión misma. Además habilita a todos los diferentes grupos a compartir y fusionar sus ideas, experiencias, preguntas y sabiduría. Tecnolgía de espacios abiertos permite a gente de diversa cuña afrontar tópicos complejos y potencialmente controvertidos. Funciona mejor en aquellos puntos en que el formato tradicional falla: situaciones conflictivas, complejidad, diversidad de pensamientos e ideologías, y tiempos cortos para la toma de decisiones.

Apoya sistemas de todo tipo y tamaño para impulsar las fuerzas de colaboración, cooperación, participación, creatividad y espíritu necesarios para afrontar los problemas*.

El evento al aire libre del 27 de Febrero terminará con un plan de acción (incluyendo un horario) para determinar qué hacer con el dinero y los deseos. También identificará quién llevará a cabo la realización del proyecto final.

 

El emplazamiento para la recolección estará en un lugar público de La Latina/Lavapiés durante 4 meses para recolectar monedas, billetes y deseos, también para visualizar deseos. Durante el mismo periodo un blog o web interactiva, carteles regulares y PR tendrán lugar.

Durante los últimos días de Febrero , los deseos serán presentados en una acción artística diaria en La Castellana. El 20 de Febrero de 2010, todo el mundo está invitado a clasificar y transportar las monedas y billetes al Banco de España. El 27 de Febrero de 2010 todo aquél que quiera tomar parte en la decisión final, puede ir al evento en abierto. Aquí se decidirá que hacer con el dinero acumulado y como ponerlo en acción.

*Antonio Rodríguez de AEC-Actividades Educativas Culturales podría ser el facilitador o moderador del evento como un experimentado moderador de eventos al aire libre en espacios públicos en Madrid. ( http://www.aec-spain.net)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Virginia Corda + Paula Doberti (Cv)

VIRGINIA CORDA BUENOS AIRES, 1967VIVE Y TRABAJA EN BUENOS AIRES, ARGENTINAWWW.VIRGINIACORDA.COM.AR

MARÍA PAULA DOBERTIBUENOS AIRES, 1966.VIVE Y TRABAJA EN BUENOS AIRESWWW.MARIAPAULADOBERTI.COM.AR

OBRA EN MADRID ABIERTO: ACCIDENTES URBANOS

 VIRGINIA CORDA FORMACIÓN ACADÉMICA2005·    Seminario de Fotografía como arte contemporáneo·    Taller de Procesos fotográficos Marcela Moguilesky

2004·    Clínica de obra con J. C. Romero·    Seminario de postgrado. Poesía visual y libro de artista

2002·    Seminario de Posgrado Gráfica crítica I, II y III·    Narraciones, acciones y señalamiento

2001·    Taller Oscar Smoje

1989·    Escuela Nacional de Bellas Artes Prilidiano Pueyrredón·    Profesora Nacional de Pintura. Docente de la cátedra de Oficio y técnicas del dibujo, en el Instituto Universitario Nacional del Arte (IUNA) Buenos Aires, Argentina·    Taller de Aníbal Carreño

1988·    Taller de Naum Goijman

1984·    Taller Antonio Oliva

1980·    Taller Domingo Onofrio

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2005·    Bienal Internacional SIART, La Paz- Bolivia

2003·    Miami Daniel Azoulay Gallery, USA

2002·    Leslie hotel, Miami

2001·    Museo de Arte Contemporáneo, Bolivia

1999·    Modern Art Café, México DF·    El Deco, México DF

1998·    Centro Cultural Gral. San Martín, Buenos Aires·    1991 Museo Casa de Yrurtia, Buenos Aires

EXPOSICIONES COLECTIVAS2005·    Nodofest. Festival ABC de fotografía colectiva

2004·    D.N.I. Caja de Arte 1/1, Buenos Aires·    24 hs. en la vida de una mujer. Espacio Esmeralda·    Unidos por el mismo vicio. Exposición de la Cátedra Fernícola (IUNA). Centro     Cultural Borges

2003·    6to encuentro internacional de Poesía visual y libro de artista. Centro Cultural Recoleta, Buenos Aires·    Molinos dique 3 este. Grafica Crítica Espacio Esmeralda, Buenos Aires·    Dibujo por tres. Escuela Superior de Bellas Artes Regina Pacis

2002·    Violencia. Gráfica crítica. Espacio Esmeralda, Buenos Aires·    Russian and Latin American Art FL Private Contemporary Art, USA Miami·    Estandartes de Artistas. Colectivo de Arte Público. Patio cubierto. Centro Cultural General San Martín·    Día del arte correo. Espacio Vórtice. Estampillas de artistas

2001·    SIART. Museo Nacional de Arte. Concurso internacional, La Paz Bolivia

2000·    Encontrarte. Casa hispanoamericana Milán, Italia·    Exposición Artistas plásticos pro lucha contra el cáncer de Mamas, México·    Exposición Artistas argentinos. Galería Euroamérica Nueva York

BECAS Y PREMIOS2005·    La niñez en la Argentina. Selección en el concurso de fotografía organizado por la Fundación Pedriática Argentina

2004·    Primer premio en la Bienal de pintura PROUNI. Universidad Nacional de Pilar·    Salón Nacional 2004. Nuevos soportes. Salas Nacionales de Exposición, Palais de Glacé

2001·    Salón SIART. Museo de Arte de La Paz, Bolivia

1996·    Salón Imagen Satelital

1993·    Salón Centenario. SAAP Salón de otoño dibujo

1991·    Salón Gente de Avellaneda

1992·    SAAP pintura

1991·    Pre-bienal de arte joven. Disciplina dibujo y pintura

1990·    SAAP pintura. Salón de otoño dibujo

1989·    Primer Premio de Pintura de la semana de las Artes, organizada por la  Escuela Superior de Bellas Artes Ernesto de la Cárcova

PROYECTOS DE ARTE PÚBLICO·    Huellas de la topografía Urbana. SIART·    Río- Memoria. Señalamientos. Proyecciones, videos y diapositivas  sobre la memoria colectiva del Río de la Plata. Investigación y registros fotográficos·    Funda junto Doberti, Kuperman y Zech el grupo de arte callejero Periferia con el cual viene realizando acciones urbanas desde el año 2002.  www.grupoperiferia.com.ar

 

MARÍA PAULA DOBERTIFORMACIÓN ACADÉMICA2004·    Clínica de obra con Juan Carlos Romero

2002·    Licenciada en Artes Visuales egresada del Instituto Universitario Nacional del Arte (I.U.N.A.)·    Taller de Pensamiento con Remo Bianchedi

1990·    Taller de Dibujo de Naum Goijman

1989·    Profesora Nacional de Pintura de la Escuela Nacional de Bellas Artes Prilidiano Pueyrredon·    Taller de Pintura de Aníbal Carreño

1985·    Taller de Pintura de Luisa Reisner

CURSOS Y SEMINARIOS2004·    Seminario de Posgrado Libro de artista y Poesía Visual. Dirección de Posgrado en artes visuales Ernesto de la Cárcova. IUNA. Profesor Juan Carlos Romero

2002·    Seminario de Posgrado Gráfica crítica. Nivel I, II y III Dirección de Posgrado en artes visuales Ernesto de la Cárcova. IUNA. Profesor Juan Carlos Romero·    Taller de narraciones, acciones y señalamientos. Profesora Silvia Diehl·    Seminario Sol LeWitt y el arte conceptual. FADU (UBA) y Fundación PROA. Profesoras Alina Tortosa y Silvia Diehl·    Encuentro en La Cumbre. Participación en los talleres realizados en la provincia de Córdoba en enero, bajo la coordinación general de Remo Bianchedi y Laura Batáis

2003·    Seminarios de Posgrado. Color y Forma. Niveles I, II y III. Dirección de Posgrado en artes visuales “Ernesto de la Cárcova”. IUNA. Profesor Juan Astica

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2000·    Asociación Cultural Pestalozzi

1999·    Alianza Francesa

1998·    Centro Cultural General San Martín. Sala 1

1996·    Centro Cultural General San Martín. Plaza Cubierta

1995·    Centro Cultural Parque Chacabuco

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2005·    Biblioteca: Libros de artista. Exposición itinerante: Galería 1 / 1 caja de arte, Museo Municipal de Rafaela, Santa Fé. / La Caverna. Espacio de Investigación de Arte Contemporáneo. Rosario, Santa Fe. / Pasourbano. Espacio de Arte. Bahía Blanca/Museo de Arte Contemporáneo Raúl Lozza.  Alberdi·    Participación en convocatorias de Arte Correo: 5 convocatorias internacionales·    Nuevas geografías. Arte de la red y nuevos medios. www.laberintos.org

2004·    Participación en convocatorias de Arte Correo: 5 convocatorias internacionales·    1º Certamen Experimental de Arte Independiente Latinoamérica Arde. Neuquén·    Participación en el libro/ colectivo 24 hs. en la vida de una mujer. Espacio Esmeralda·    Unidos por el mismo vicio. Exposición de la Cátedra Fernícola (IUNA). Centro Cultural Borges·    7º Encuentro Internacional de Poesía Visual. Centro Cultural Recoleta·    Homenaje a Julio Cortázar. Escuela Municipal de Bellas Artes Manuel Belgrano·    Proyecto Dominó convocado por Rosa Audisio. Feria del Libro y de las Artes de Necochea·    D. N. I. Galería 1 / 1 caja de arte·    20 años de Escuelas de Arte. Muestra de Docentes de Artística. Centro Cultural Recoleta·    Exposición colectiva. Centro Cultural de la Cooperación

2003·    Bienal Venus. Tandil·    Participación en convocatorias de Arte Correo: 10 muestras internacionales·    Dibujo por tres. Muestra junto a Virginia Corda y Ana Fernícola. Escuela Superior de Bellas Artes Regina Pacis·    6º Encuentro Internacional de Poesía Visual. Centro Cultural Recoleta·    Gráfica Crítica. Intervenciones Urbanas. Espacio Esmeralda

2002·    Estandartes de Artistas, colectivo de Arte Público. Patio cubierto. Centro Cultural General San Martín·    Muestra Docentes DAEA. Centro Cultural General San Martín. Sala Madres de Plaza de Mayo·    Homenaje a Olga Orozco. Escuela Municipal de Bellas Artes Manuel Belgrano·    Intervención vía Arte Correo en la Instalación Arenas para la construcción de la artista Gabriela Alonso, en Espacio Esmeralda·    Violencia. Gráfica crítica. Espacio Esmeralda·    Día del arte correo. Espacio Vórtice. Estampillas de artistas

2001·    Encontrarte. Espacio Giesso

2000·    Encontrarte. Casa Hispanoamericana. Milán, Italia

GRUPO TRANSIT2004 ·    Tránsito. Muestra itinerante por Ecuador: Centro Cultural Ecuatoriano Alemán, Guayaquil. Museo Municipal de Arte Moderno, Cuenca. Centro Cultural Pontificia Universidad Católica de Ecuador, Quito. Museo de Arte, Bahía de Caráquez. Museo de Arte, Manta

2002·    Transit.  Radolfzell, Alemania

2001·    Transit II: Centro Cultural Frank-Loebschen-Haus, Landau, Alemania. Evangelisches Gemeindehaus. Schamberg, Alemania. Artefaht, Tuttlingen, Alemania. “In Comunicación”. Pabellón 4. Buenos Aires

2000·    Nietzsche. Museo Ex Casa de la Moneda. Buenos Aires. “1º Bienal Internacional de Arte de Buenos Aires”. Museo Nacional de Bellas Artes

ACCIONES (SELECCIÓN)2005·    4ª Fiesta Nacional de Arte Callejero. Mina Clavero, Córdoba.

2003·    Autopartes / Autoservicio. Intervención urbana en el marco del proyecto “Obra en Tránsito”. Bahía Blanca

2002·    Intervenciones Urbanas. Asambleas Interbarriales en Parque Centenario·    Proyecto Río- Memoria. Acciones múltiples·    Funda junto a Corda, Kuperman y Zech el grupo de arte callejero Periferia con el cual viene realizando acciones urbanas desde el año 2002.  www.grupoperiferia.com.ar

OBRA EN COLECCIONES·    Museo Municipal de Arte Contemporáneo, Cuenca, Ecuador·    Museo del Banco Central, Bahía de Caráquez, Ecuador

PUBLICACIONES SELECCIONADAS2005·    Actualmente se encuentra investigando sobre Arte callejero en Argentina a pedido de la Editorial Asunto Impreso, teniendo como editor a Juan Carlos Romero

2004·    Investigadora del Departamento de Ideas Visuales del Centro Cultural de la Cooperación. Continúa investigando sobre “Nuevas formas y mecanismos de legitimación. Recorridos y parámetros de la obra y del artista” junto a Andrea Trotta (continúa)·    Acerca de la noción de autoría y la idea del público en el Arte Callejero. www.grupoperiferia.com.ar·    Transit Postal, una experiencia de Arte Correo. Pontificia Universidad Católica de Quito, Ecuador·    El público – multitud www.grupoperiferia.com.ar

2003·    Viajes, territorios y otredades. El Arte Correo como ritornelo. Una práctica artística en los límites, los márgenes y los cruces de los cánones tradicionales.CAIA·    Arte emergente en Argentina. Pontificia Universidad Católica de Chile·    Arte Callejero. Publicación interna de cátedra. IUNA·    Estructura constructiva y conceptualización territorial del arte callejero. www.ardearte.com

2002·    El espacio opresivo. El poder de la mirada. Resignificación plástica de conceptos que parten de la relación dominador-dominado: poder, saber, encierro, espacio, vacío, opresión, control. www.arteuna.com. www.sepiensa.cl·    ¿Qué es el Arte Correo y la Poesía Visual?  Publicación interna de cátedra. IUNA CONGRESOS (selección)2005·    III Congreso Internacional de Teoría e Historia del  Arte -XI Jornadas del CAIA. Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires·    Simposio Internacional Buch Objekt. Kaiserslautern, Alemania·    VI Congreso Nacional de la Asociación Argentina de Semiótica. Centro Cultural Gral. San Martín

2004·    Sextas Jornadas de Investigación del Instituto de Historia del Arte Argentino y Latinoamericano. Universidad de Buenos Aires (UBA)

2003·    II Congreso Internacional de Teoría e Historia del Arte y X Jornadas del CAIA. “Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires·    Simposio Nacional de la Asociación Argentina de Críticos de Arte. “Arte argentino y pensamiento crítico hoy”. Fundación Federico Klemm

ACTIVIDAD DOCENTE (selección)·    Jefa de trabajos Prácticos. Carrera de Artes (Facultad de Filosofía y Letras, U.B.A.) ·    Jefa de Trabajos Prácticos (concursada) en la materia Dibujo (Cátedra Ana Fernícola),  Instituto Universitario Nacional del Arte (IUNA)·    Profesora titular de las materias  Medios Audiovisuales y Cultura y Estética Contemporánea en la Escuela Municipal de Teatro San Miguel·    Profesora titular de la materia Dibujo en la Escuela Nacional de Bellas Artes Manuel Belgrano

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (texto publicado)

 A través del proyecto Bajar al subterráneo recién excavado, Lara Almarcegui organiza visitas a las excavaciones que se están realizando bajo la calle Serrano para construir aparcamientos. Como las obras y la excavación –de 15 metros de profundidad- estarán en pleno proceso de desarrollo, las paredes del subterráneo realizado no se encontrarán recubiertas de hormigón y se podrán ver las distintas capas de roca del subsuelo de Madrid recién excavadas. Por un momento se podrá apreciar la ciudad tal y como es bajo tierra.

Madrid tiene un complejo entramado en el subsuelo compuesto de múltiples capas, a diferentes niveles. Son túneles y huecos que se corresponden con las infraestructuras del metro y trenes, tuberías de agua corriente, desagües y alcantarillado, cables de teléfono, luz e internet, ríos subterráneos, bodegas, aparcamientos y bunkers. La bajada al subterráneo recién excavado de los aparcamientos de Serrano supondrá un acercamiento a todos los otros subterráneos de infraestructuras de Madrid; pero también será una visita a lo primitivo y a la naturaleza que compone la ciudad.

El proyecto tiene que ver con conocer la realidad física de Madrid, roca-tierra, antes de ser ciudad. Además, en este descenso al subterráneo, Almarcegui busca que el visitante experimente el subconsciente negativo de la ciudad. Es decir, en lugar de construir, bajar para saber más, pero también para hacer simple y brutalmente lo contrario que hace la arquitectura.

La acción consiste en invitar al público a presenciar un lugar en proceso, que cambia cada semana y que va a transformarse completamente. La maquinaria de la obra trabaja constantemente y sólo detiene su funcionamiento un día a la semana, los domingos, días en que se realizan las visitas – un domingo al mes durante los meses de febrero a junio-.

Los detalles y el horario para las visitas guiadas se pueden encontrar en el Punto de Información de MADRID ABIERTO ubicado, durante el mes de febrero, en el Paseo de Recoletos y también en la página web www.madridabierto.com. La inscripción se realiza enviando un correo electrónico a Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo. de lunes a viernes de 10.00 a 18.00 h. Se admiten solicitudes hasta completar aforo (El aforo está limitado a 20 personas) Es imprescindible recibir confirmación por parte de MADRID ABIERTO para realizar la visita.

El descenso se realiza con un guía que acompañará al grupo al subterráneo y que presenta los trabajos de ingeniería, aclarando el funcionamiento de la maquinaria y su avance, pero sobre todo interpreta y presenta la geología de los estratos de materiales que van apareciendo en la excavación.

Las obras se están realizando con motivo de la construcción de tres aparcamientos sobre el futuro túnel que unirá la estación de Atocha con la de Chamartín, que tendrá casi 7 km de longitud y que se realizará durante los próximos dos años. Ambos proyectos son parte del plan de remodelación de la calle Serrano, que incluye la transformación de la vía pública, la construcción de los aparcamientos y el túnel.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación teórica)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación teórica)

* VER PDF ADJUNTO(ENERO 2010)

  

CONTEXTO

De La Frontera Global al Barrio FronterizoNuestra investigacion arquitectonica en la frontera entre Tijuana, Mexico y San Diego, California se ha concentrado en observar las dinamicas urbanas trans-fronterizas entre estas dos ciudades atraves de las politicas de vigilancia e inmigracion, el conflicto entre los urbanismos y economias formales e informales y las tensiones entre los enclaves de poder economico y las zonas marginales de pobreza que definen a la ciudad contemporanea.

Los multiples vectores de division operando a escalas globales entre fronteras geo-politicas, recursos naturales y comunidades terminan inscribiendose en lo local a la escala del barrio contemporaneo. Es aqui donde el conflicto global toma especificidad particular convirtiendose en crisis local atraves de la escazes de vivienda sustentable, fuentes de trabajo, infrastructura publica y social.

Es asi como nuestro trabajo se ha enfocado en la micro escala del barrio metropolitano, entendiendolo como un sitio de produccion desde donde poder amplificar nuevas concepciones de sostenibilidad economica y social, vivienda y densidad. Este proceso nos ha motivado a questionar el papel de la practica arquitectonica y artistica en producir nuevas triangulaciones entre espacio fisico, programas alternativos, instituciones y comunidades.

La Fachada de Casa de America como sitio de produccionPara MADRID ABIERTO proponemos extender esta investigacion y transportarla al contexto de Madrid y la fachada de Casa de America. Mas alla de una intervencion puramente visual, singular y protagonista, nuestra propuesta tiene que ver con generar triangulaciones entre instituciones, redes y actores sociales, recursos economicos y un barrio especifico de Madrid. En vez de intervenir sobre la fachada de Casa de America, nos ha interesado actuar dentro de ella, literalmente activarla con un programa de trabajo, una plataforma de colaboracion con otros artistas y arquitectos de España y Latino America. Hacer de la fachada un sitio de produccion donde se pueda conceptualizar un proyecto que pueda tomar vida despues de que el programa de Madrid Abierto concluya, generar un evento despues del evento.

 

ELEMENTOS Y SECUENCIA DEL PROYECTO

Una ColaboracionProponemos activar esta fachada produciendo una colaboracion inter-disciplinaria critica. Este proyecto lo desarrollamos pricipalmente en colaboracion con el grupo M7Red de Buenos Aires, Argentina, conformado por los arquitectos Mauricio Corbalan y Pio Torroja. Este proceso inicial lo podemos concebir como un ‘artista en residencia’ dentro del programa Madrid Abierto (un programa dentro del programa), transformando nuestra intervencion en Casa de America en una plataforma de trafico cultural que facilite y promueva la presencia de arquitectos y artistas Latino Americanos para generar contacto con dinamicas locales dentro de un barrio Madrileño.

Un Barrio: Puente de VallecasHemos seleccionado a Puente de Vallecas como el barrio para operar por su historia como punto de cruce fronterizo en los margenes de la mancha metropolitana de Madrid, con una cuota significativa de poblacion inmigrante y su tejido asociativo y activista. Dentro de este barrio hemos seleccionado una serie de agencias y actores sociales que seran parte del proyecto, incluyendo Radio Vallecas, Asociacion al Alba y la Asociacion Cultural de la Kalle.

La Fachada AbiertaLos elementos que conforman la intervencion fisica de la fachada son minimos: un texto y una escalera. 1. El texto contextualiza emblematicamente la intervencion al amplicar en la fachada un pregunta que un inmigrante paraguayo expreso a un grupo de artistas durante un dialogo en Villa 31, un asentamiento informal dentro de Buenos Aires, en el que Teddy Cruz y M7Red colaboraron.“Como nos van a ayudar con su arte?” es la pregunta que decidimos trasladar desde Buenos Aires a la fachada de Casa de America y convertirla en el transfondo de nuestro proyecto en Madrid Abierto, sugiriendo la necesidad de buscar una relacion mas functional entre la investigacion e intervencion artistica contemporanea y la procuccion de la ciudad. 2. La escalera es el elemento fisico que nos permite ‘penetrar’ la fachada y activar su interior, utilizando el Salon Inca como escenario para una serie de talleres entre diferentes publicos y los diferentres activistas del barrio.

La Arquitectura de una ConversacionLos talleres de trabajo van a ser orquestrados y conceptualizados a traves de la colaboracion entre Teddy Cruz y M7Red, sugiriendo una serie de reglas y criterios que den forma a la conversacion y el proyecto alternativo hacia el barrio. Estos son algunos de los temas de contenido y parametros iniciales del encuentro:

-El papel de la practica artistica en relacion a la crisis inmobiliaria, la escasez de recursos socio-economicos y la infrastructura publica

-Abrir la pregunta del Presupuesto Participativo: La idea de vincular un capital economico semilla que emerja de nuestro presupuesto en Madrid Abierto para apoyar la intervencion en Vallecas y vincularlo con otros recursos publicos y procesos de actuacion e imaginación urbana, dentro y fuera del Estado.

-Generar un juego de mapeo de recursos dispersos, sin una idea previa de que se harian con ellos y luego con los actores y con el público componer relaciones entre ellos, espacial y temporalmente, usando la fachada como interfase entre este pensamiento en tiempo real y la ciudad

-Ademas de los encuentros cotidianos dentro de la fachada con los actores sociales (practicas activistas) de Vallecas para generar el proyecto de intervencion en el barrio se coordinaran intercambios con el público en general. Durante tres reunions separadas, El Salón Inca se abrira desde la fachada para invitar a un grupo de gente, algunos elegidos por los actores, otros institucionales y otros mas diversos. Durante estos 3 encuentros se elaborara una ‘mini-performance’ dentro del Salon Inca donde los actores y M7Red haran una actualización pública de la conversación y de los mapeos del barrio.

-La fachada de La Casa de America quizás podria tener un “doble” en Internet, y en algun lugar estratégico del Barrio. Nos interesa pensar que podriamos duplicar la fachada varias veces por ejemplo.

-Una parte esencial de este proyecto es que al concluir Madrid Abierto y se desmantele la instalacion en la fachada, nuestra intervencion pueda dejar la arquitectura de una colaboracion entre los grupos activistas del Barrio para generar un proyecto colectivo hacia Vallecas. Es aqui cuando se dara inicio al proyecto post Madrid Abierto.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación visual)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación visual)

** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO(ENERO 2010)

 

  (I)

 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (texto publicado)

 

Fecha de inicio: 12 de noviembre de 2009Lugar: Plaza Puerta de Moros y el conjunto del barrio de La Latina

Todo billete de banco tiene un valor de cambio, pero también un potencial valor futuro (ahorros para las próximas vacaciones, para la adquisición del coche deseado,…). Toda conversación conlleva el potencial de un negocio futuro, una nueva invención, una nueva tarea, una oportunidad. Todo el mundo lleva consigo un potencial sin realizar, una idea en mente, una observación, una historia oculta, monedas sin usar en un cajón de su casa.

El proyecto de arte público Hucha de deseos: ¡Todos somos un barrio, movilízate! trata de recolectar la mayor cantidad de estas pequeñas potencialidades individuales que sea posible. La artista Susanne Bosch las acumula para convertirlas en cosas tangibles, proyectos y resultados en el mundo real.

Más de 136 mil millones de pesetas1 en monedas y más de 154 mil millones en billetes continúan guardados en las propiedades privadas de las personas. Hucha de deseosrecolectará las monedas y billetes de peseta gracias a un dispositivo de recolecta público situado en la Plaza Puerta de Moros, en el barrio de la La Latina, y que podrá utilizarse desde noviembre de 2009 hasta mediados de febrero del 2010.

Además de la recolección, el proyecto preguntará activamente al barrio y a los usuarios del vecindario -visitantes del Rastro y de mercados, bares, cafeterías- ¿que querrían llevar a cabo con este dinero público sin valor en y para la Latina? Durante el periodo que dure el evento, se tomará nota de los deseos de los ciudadanos y se publicarán en la página web del proyecto, en los medios públicos y en el vecindario.  Asimismo, los últimos días de febrero los deseos o iniciativas serán presentados en una acción artística pública en el Paseo de la Castellana. El 20 de febrero de 2010, todo el mundo está invitado a contar públicamente las monedas y billetes antes de que sean transportadas  al Banco de España el 22 de febrero de 2010.

El 27 de febrero de 2010 todo aquél que quiera tomar parte en el grupo de toma de decisiones, está invitado a asistir a un evento Open Space en el Círculo de Bellas Artes. Este evento tendrá lugar para decidir, de modo colectivo, que ocurrirá con esas pesetas y en que modo este dinero desempeñará una labor práctica.

Hucha de deseos: ¡Todos somos un barrio, movilízate! es un proyecto artístico que sirve como modelo para otorgar poderes a las personas. Ofrece una plataforma creativa que permite a la gente trabajar unida para desarrollar un espíritu de colaboración e inclusión y brinda la posibilidad de formar parte de un proceso colectivo de decisión.

El proyecto combina una apariencia estética con un significativo debate público, además de crear un amplio forum para el potencial. Al concentrarse en un determinado barrio, Hucha de deseos: ¡Todos somos un barrio, movilízate! ofrecerá posibilidades a gente que vive en las cercanías y que tiene una relación cercana y una conexión con el lugar y con las personas que lo habitan.

Hucha de deseos: ¡Todos somos un barrio, movilízate! Llevará esto a cabo gracias a una serie de acciones artísticas e intervenciones a lo largo de 4 meses, desde finales de noviembre de 2009 hasta finales de febrero de 2010.

Un centro de muestreo multimedia ocupará un espacio público en la Plaza Puerta de Moros durante 4 meses para recolectar monedas, billetes y deseos, además de para visualizar deseos.

Durante ese mismo periodo, un blog interactivo y acciones regulares en el barrio darán a conocer el proyecto. Las fechas designadas para realizar acciones serán: 29.10.-1.11.2009, 12.11.-16.11.2009, 12.12.-20.12. 2009 y 21.1-28.2. 2010.

Durante los últimos días de febrero, los deseos serán presentados en una acción de arte público en el Paseo de la Castellana. El 20 de febrero de 2010 todo el mundo está invitado a contar las monedas y billetes públicamente para luego transportarlas al Banco de España. El 27 de febrero de 2010 todo aquel que quiera ser parte del grupo de toma de decisiones, está invitado a participar en un evento al aire libre. En este evento de un solo día se decidirá de modo colectivo qué ocurrirá con las pesetas y cómo se invertirán.

Web:  www.huchadedeseos.wordpress.com

El objeto multimedia ha sido diseñado y construido por www.zoohaus.net

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1. Se cree que el nombre se deriva del catalán `peceta´ que significa `pequeño trozo´ (i.e., el diminutivo de `peca´,`-eta´ siendo utilizado usualmente como diminutivo femenino) [1]. Sin embargo, también cabe la posibilidad de que el nombre sea un diminutivo de `peso´, una moneda ya existente cuyo nombre deriva de una unidad de peso; este razonamiento es consistente si lo comparamos con otras monedas como puede ser la libra británica.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación técnica / sala Inca)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación técnica / sala Inca)

** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO(ENERO 2010)

 

    

 

IMÁGENES SALA INCA

     

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile (Cv)

MADRID, 1965 VIVE Y TRABAJA EN MADRIDWWW.CHUSGARCIAFRAILE.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: POST IT

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2005·    Galería Fernando Pradilla, Madrid2004·    Galería Casas Riegner, Miami·    Galería ADN, Barcelona

2003·    2X1. Centro Municipal de las Artes de Alcorcón, Madrid·    For Sale. Galería Bacelos, Vigo·    Museo Municipal de Valdepeñas, Ciudad Real

2001·    Galería Antonio de Bartola, Barcelona

2000·    Galería Garaje Regium, Madrid

1998·    Galería Pilar Barrio, Madrid

1993·    Galería Fernando Silió, Santander·    Galería Pierre Birtschansky, París

EXPOSICIONES COLECTIVAS2005·    Shopped to death. Tuteurhaus, Berlín·    Plotart. Galería Massimo Lupoli, Roma·    Parafraseando al diablo. Harto-Espacio, Montevideo, Uruguay·    The other Europe. Gallerie Se, Bergen, Noruega·    PHOTOESPAÑA. Fundación Aena, Aeropuerto Barajas Madrid·    PHOTOESPAÑA. Galería Fernando Pradilla, Madrid·    Subliminal. Art  Proyects, Gijón·    D foto. Galería ADN, San Sebastián·    Certámen Internacional Fotografía PHOCO. Centro Cultural Cecilio Muñoz Fillol, Valdepeñas·    ARCO 05. Galería Fernando Pradilla, Madrid·    Unplugged. Gallerie Se, Bergen, Noruega·    Antirrealismos. Govett-Brewster Art Gallery, Nueva Zelanda·    Antirrealismos. Experimental Art Foundation, Adelaida, Australia

2004·    Solo para las masas. Galería Blanca Soto, Madrid·    Antirrealismos. Fremantle Art Centre, Perth·    Antirrealismos. Institute for Modern Arts (IMA), Brisbane, Australia·    Antirrealismos. Plimsoll Gallery Centre for the Arts, Hobart,Tasmania·    Fiberfib. Arte Publico, Intervención playa, Benicasim·    ADN 1. Galería ADN, Barcelona·    III Bienal Figuración Contemporánea. Galería Clave, Murcia·    ARCO. Galería Bacelos, Madrid

2003·    Arte Lisboa. Bacelos, Vigo·    Antirrealismos. Sydney, Australia·    Art Chicago 03. Galería Casas Riegner, EE.UU.·    Museo Municipal de Orense. Colección fotografía Purificación García ·    Colección Purificación García. Museo Municipal de Orense·    Salón de Otoño de Madrid. Casa de Vacas·    Galería Arcaute. Monterrey, México·    Indisciplinados. Marco, Vigo·    ARCO. Galería Antonio de Bartola, Madrid·    ARCO. Galería Fernando Pradilla, Madrid·    Art Miami Beach. Casas Riegner, Miami, EE.UU.·    Deluxe. Monasterio de Ntra. Sra. del Prado, Valladolid

BECAS Y PREMIOS 2005·    3º Premio PHOCO. Valdepeñas, Ciudad Real

2004·    Accésit Fundación Focus Abengoa, Sevilla·    Fibart. Proyecto intervención playa Benicasim, Castellón

2003·    Premio Adquisición VI Certamen Artes Plásticas Brocense. Diputación Cáceres·    Premio Extraordinario Reina Sofía. Salón de Otoño, Madrid·    Premio Adquisición Purificación García, Madrid·    Beca a la Creación Visual. VEGAP, Madrid

2002·    2º Premio Bienal Baloncesto. Fundación Pedro Ferrandiz, Madrid·    Accesit III Cértamen Intertnacional Pintura Royal Premier Hoteles, Málaga

OBRA EN COLECCIONES·    Facultad de BBAA, Madrid·    Ayuntamiento de Alcorcón, Madrid·    Ayuntamiento de Fregenal de la Sierra, Badajoz·    Caja de Ahorros de Segovia·    Colección de la UNED, Madrid·    Diputación de Alicante·    Junta de Extremadura·    Colección CC.OO. Valdemoro, Madrid·    Ayuntamiento de Brunete·    Caja de Ahorros de Ávila·    Museo Postal y Telegráfico, Madrid·    Colección Iberdrola. UCLM, Toledo·    Diputación Cáceres·    Museo Municipal de Arte Contemporáneo, Madrid·    Colección Diputación Valdepeñas·    Colección Caja Castilla La Mancha, Cuenca·    Hoteles Royal Premier, Málaga·    Colección Lóreal·    Colección Purificación García·    Institución Cultural El Brocense. Diputación de Cáceres·    Ministerio de Cultura, Madrid·    Colección Fibart·    Fundación Focus-abengoa, Sevilla·    Colección Ayuntamiento Valdepeñas·    Fundación AENA

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (texto publicado)

Teddy Cruz con M7Red e Iago Carro

CONTEXTO: DE LA FRONTERA GLOBAL AL BARRIO FRONTERIZO

La investigación arquitectónica de los artistas en la frontera entre Tijuana, México y San Diego, California se ha concentrado en observar las dinámicas urbanas transfronterizas entre estas dos ciudades a través de las políticas de vigilancia e inmigración, el conflicto entre los urbanismos y economías formales e informales y las tensiones entre los enclaves de poder económico y las zonas marginales de pobreza que definen a la ciudad contemporánea.

Los múltiples vectores de división operando a escalas globales entre fronteras geopolíticas, recursos naturales y comunidades terminan inscribiéndose en lo local a la escala del barrio contemporáneo. Es aquí donde el conflicto global toma especificidad particular convirtiéndose en crisis local a través de la escasez de vivienda sustentable, fuentes de trabajo e infraestructura pública y social.

Es así como el trabajo de Cruz se ha enfocado en la micro escala del barrio metropolitano, entendiéndolo como un sitio de producción desde donde poder amplificar nuevas concepciones de sostenibilidad económica y social, vivienda y densidad. Este proceso ha motivado a los artistas a cuestionar el papel de la práctica arquitectónica y artística en producir nuevas triangulaciones entre espacio físico, programas alternativos, instituciones y comunidades.

LA FACHADA DE CASA DE AMÉRICA COMO SITIO DE PRODUCCIÓN

Para MADRID ABIERTO los artistas proponen extender esta investigación y transportarla al contexto de Madrid y la fachada de la Casa de América. Mas allá de una intervención puramente visual, singular y protagonista, su propuesta tiene que ver con generar triangulaciones entre instituciones, redes y actores sociales, recursos económicos y un barrio específico de Madrid. En vez de intervenir sobre la fachada de la Casa de América, les ha interesado actuar dentro de ella, literalmente activarla con un programa de trabajo, una plataforma de colaboración con otros artistas y arquitectos de España y Latino America. Hacer de la fachada un sitio de producción donde se pueda conceptualizar un proyecto que tome vida después de que el programa MADRID ABIERTO concluya, generar un evento después del evento.

 Elementos y Secuencia del Proyecto:

Una ColaboraciónTeddy Cruz propone activar esta fachada produciendo una colaboración interdisciplinaria crítica. Este proyecto lo desarrolla principalmente Cruz en colaboración con el grupo M7Red de Buenos Aires, Argentina, conformado por los arquitectos Mauricio Corbalan y Pio Torroja. Este proceso inicial lo concibe como un ‘artista en residencia’ dentro del programa MADRID ABIERTO (un programa dentro del programa), transformando su intervención en la Casa de América en una plataforma de tráfico cultural que facilite y promueva la presencia de arquitectos y artistas Latino Americanos para generar contacto con dinámicas locales dentro de un barrio madrileño.

Un Barrio: Puente de VallecasLos artistas han seleccionado el Puente de Vallecas como el barrio para operar por su historia como punto de cruce fronterizo en los márgenes de la mancha metropolitana de Madrid, con una cuota significativa de población inmigrante y por su tejido asociativo y activista. Dentro de este barrio han seleccionado una serie de agencias y actores sociales que serán parte del proyecto, incluyendo Radio Vallecas, Asociación al Alba y la Asociación Cultural de la Kalle.

La Fachada AbiertaLos elementos que conforman la intervención física de la fachada son mínimos: un texto y una escalera. 1. El texto contextualiza emblemáticamente la intervención al aplicar en la fachada un pregunta que un inmigrante paraguayo expresó a un grupo de artistas durante un dialogo en Villa 31, un asentamiento informal dentro de Buenos Aires, en el que Teddy Cruz y M7Red colaboraron. “¿Como nos van a ayudar con su arte?” es la pregunta que han decidido trasladar desde Buenos Aires a la fachada de Casa de América y convertirla en el trasfondo de su proyecto en esta edición de MADRID ABIERTO, sugiriendo la necesidad de buscar una relación mas funcional entre la investigación e intervención artística contemporánea y la producción de la ciudad. 2. La escalera es el elemento físico que les permite ‘penetrar’ la fachada y activar su interior, utilizando el Salón Inca como escenario para una serie de talleres entre diferentes públicos y los diferentes activistas del barrio.

La Arquitectura de una ConversaciónLos talleres de trabajo van a estar orquestados y conceptualizados a través de la colaboración entre Teddy Cruz y M7Red, sugiriendo una serie de reglas y criterios que den forma a la conversación y al proyecto alternativo hacia el barrio. Éstos son algunos de los temas de contenido y parámetros iniciales del encuentro:

-El papel de la práctica artística en relación a la crisis inmobiliaria, la escasez de recursos socio-económicos y la infraestructura publica.

-Abrir la pregunta del Presupuesto Participativo: La idea de producir un capital económico semilla que emerja del presupuesto artistico de MADRID ABIERTO para apoyar la intervención en Vallecas y vincularlo con otros recursos públicos y procesos de actuación e imaginación urbana, dentro y fuera del Estado.

-Generar un juego de mapeo de recursos dispersos, sin una idea previa de que se harían con ellos y luego con los actores y con el público componer relaciones entre ellos, espacial y temporalmente, usando la fachada como interfase entre este pensamiento en tiempo real y la ciudad.

-Además de los encuentros programados  dentro de la fachada con los actores sociales (prácticas activistas) de Vallecas para generar el proyecto de intervención en el barrio se coordinaran intercambios con el público en general. Durante tres reuniones separadas, El Salón Inca se abrirá desde la fachada para invitar a un grupo de gente, algunos elegidos por los actores, otros institucionales y otros más diversos. Durante estos 3 encuentros se elaborara una ‘mini-performance’ dentro del Salón Inca donde los actores y M7Red harán una actualización pública de la conversación y de los mapeos del barrio.

-La fachada de la Casa de América quizás podría tener un ‘doble’ en Internet, y en algún lugar estratégico del Barrio. Les interesa pensar, por ejemplo, que podrían duplicar la fachada varias veces. -Para los artistas, una parte esencial de este proyecto es que al concluir MADRID ABIERTO, y se desmantele la instalación en la fachada, su intervención pueda dejar los vestigios de una  arquitectura de colaboración entre los grupos activistas del Barrio, quienes a suvez puedan generar un proyecto colectivo hacia Vallecas. Es ahí cuando se dará inicio al  verdadero proyecto de MADRID ABIERTO.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación técnica / andamio y lona)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2010.01 / documentación técnica / andamio y lona)

** VER LOS DOCUMENTOS ADJUNTOS(ENERO 2010)

    

  (I) 

 

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 (II)

 

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 (III) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (imágenes)

2009-2010. Gustavo Romano. PSYCHOECONOMY! (imágenes)

 

     

      

Fotógrafo: Alfonso Herranz

 

 

        

         

         

         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman (Cv)

 LEIDSCHENDAM, NETHERLANDS, 1976VIVE Y TRABAJA EN: ROTTERDAM WWW.ARNOUD.IS.DREAMING.ORGOBRA EN MADRID ABIERTO: TRANSLUCID VIEW

El intento de Arnoud Schuurman de incorporar el arte a los espacios públicos le conduce a buscar límites a las posibilidades experimentales.

"Intento renovar constantemente una sinergia entre los medios de comunicación y las técnicas. Con ello consigo ideas que evolucionan hacia algo nuevo. Para mí, la meta final consiste en visualizar algo inmaterial como el tiempo y el espacio, la luz y la oscuridad en un objeto o una entidad en sí".

Normalmente, intento planificar mis ideas para su aplicación en los espacios públicos. Creo que es interesante este rasgo de lo que nos rodea. En el caso de un proyecto de arte público, lo que evoluciona es la posibilidad de entrar en contacto con las personas que no están necesariamente allí para enfrentarse a una obra de arte. Me gustaría que mis instalaciones desencadenen un diálogo con los alrededores y con la arquitectura. De ahí que la obra genere con su presencia en el lugar circundante una fuerza imaginativa a la que enfrentarse que está en contacto con el público de forma espontánea e inevitable.’

El artista vive y trabaja en Rotterdam, Países Bajos. Ha expuesto y ha trabajado en diversos proyectos de arte público en los Países Bajos y otros países entre los que se encuentran: Canadá, México, Portugal, Chipre, Bélgica, Serbia y Montenegro.

FORMACIÓN ACADÉMICA 2000 * Curso magistral: How unique is a city? del arquitecto R. Yamamoto / Nai

1999 * Intercambio estudiantil con el Emily Carr Institute, Vancouver, Canadá

1996–2000 * Willem De Kooning Academy, R’dam - Visual Art department

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2005 * Urban Vitrine. Waterloostraat, Rótterdam

2002 * Structures of Interferente. Casa de la Cultura Morelia, México

2001 * Urban Field. Morgen, Rotterdam

1995 * Found Objects. Galería Keller, La Haya

EXPOSICIONES COLECTIVAS2005 * Composites.Patterns.Outcomes. Voorburgstraat Studios, Rótterdam

2004 * Noise-incidet.. Noise of Coincidence. Yuart Biënale Vrsac, Serbia y Montenegro * Accidentes Coordinados. Observatorio Morelia, México

2003 * Out of Line. Zona neutral de la ONU entre Chipre y la TKKC * Endless sequence no. 5’. Trans_Hábitos de Rótterdam/ MORGEN. Festival Interdisciplinar de Porto * Descubrir de Europa. NOC project 5.0 Morelia, México * Noiseobsession’ presentation 3.3. Noise of Coincidence en Nicosia, Chipre

2002 * Send Documents. STROOM, La Haya * Whats happening. CuCoSa, Rotterdam

2001 * Doormat of the Law. Art tour Rotterdam' City Hall

2000 * Perpetuem Mobile. Kunsthal, Rotterdam * A hot Welcome. Entrance academy, Rotterdam

1999 * Endless Sequence no. 2. Port Coquitlam City Hall, Canadá

PROYECTOS Y ARTE PÚBLICO2005–2006 * Port in the Picture. Katendrecht, Rotterdam

2005–2006 * Shadow Monument. Vosmaerstraat, Rotterdam

2003 * Shadow monument. Polderweg, Amsterdam * Noisecrossings. Block area-green line-Nicosia, Chipre

2001 * Spy mirror Monitoring. Witte de Withstraat, Parte de la ruta Art Express de Rotterdam * Borrador de propuesta para una obra en el nuevo teatro Luxor, Rótterdam

2000 * Confrontation Mirror. Obra semipermanente en la estación de metro Blaak. Encargo de by RET, Rótterdam

1999 * Tidal Bed. Proyecto de espacio público, Vancouver

1997 * Metro-Shelter. Surbröt, Bélgica

PREMIOS Y BECAS2005 * Robert Wilson's Watermill Center. Programa International Summer Arts. Long Island, NY - UNESCO Aschberg beca y Netherlands Foundation for Visual Arts, Design and Architecture

2004 * Prácticas en Edad de Bronce. Morelia, México. CBK Rotterdam bursary

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (imágenes)

2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (imágenes)

 

            

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Compañía de Caracas (Cv)

ÁNGELA BONADIESCARACAS, 1970 VIVE Y TRABAJA ENTRE CARACAS Y MADRID WWW.ANGELABONADIES.COM

MAGGY NAVARROCARACAS, 1961 VIVE Y TRABAJA EN CARACASWWW.MAGGYNAVARRO.COM

OBRA EN MADRID ABIERTO:ESPACIO MÓVIL 

ÁNGELA BONADIESFORMACIÓN ACADÉMICA2003·    Seminars in Arteleku, Donostia-San Sebastian.1996·    Photography workshop. Manoa Arte, Caracas.·    1988-93 Architecture and urbanism. Universidad Central de Venezuela, Caracas

EXPOSICIONES INDIVIDUALES  2002·    La gran congelación. Galería 491 Art i Recerca, Barcelona.

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2003·    Contra/sentido. Nueva fotografía venezolana. Sala Mendoza. Caracas.

2002·    Desde lo femenino. PhotoEspaña2002. La Fábrica fotogalería, Madrid; B-Guided magazine, Barcelona.

2001·    Desde fuera. Cuatro fotógrafas. Galería Art al Rec, Barcelona.

2000·    Un oasis en el desierto azul. Espai 13 of the Joan Miró Foundation, Barcelona·    III Salón CANTV   Jóvenes con FIA. Caracas Athenaeum.

1998·    Señales de tránsito . Sala de Arte PDVSA, Puerto La Cruz·    Josune Dorronsoro Latin American Photography Award . Museo de Bellas Artes, Caracas·    V National Art Biennial of Guayana, una selección . Museo Alejandro Otero, Caracas·    Banco de Imágenes award . Centro Nacional de Fotografía, Caracas.

1997·    V Natioanl Art Biennial of Guayana . Museo de Arte Moderno Jesús Soto, Ciudad Bolívar·    Abierto . Espacio alternativo León, Caracas.

BECAS Y PREMIOS2004·    Latin American award for photography “Josune Dorronsoro” 2004 for the series of photos “Inventarios”-Spain.

2003·    Grant for the development of artistic projects 2003 for the series “Inventarios” Caracas. National Council on Culture, Venezuela.

1997·    Honorary mention at the V National Art Biennial of Guayana 1997 for the series “Sur Oriente Medio”. Venezuela.·    Honorary mention. Latin American Award for Photography of Josune Dorronsoro 1997 for the series “Doc.Alzh.II”.

1996·    Banco de Imágenes 1996 award for the series “Los Chinos: la mirada del otro al otro”. National Library – National Council on Culture, Venezuela.

BIBLIOGRAFÍA·    Published in María Teresa Boulton's book “ 21 fotógrafas venezolanas” . Caracas, Venezuela, 2003.·    He has cooperated with Spanish, French and Venezuelan magazines such as B-Guided , Eseté , Enser, Lieu-dit, ExtraCámara , Estilo, Exceso and Verbigracia .·    Columnist for the magazine “ Athenea Digital” published by the Universidad Autónoma de Barcelona and collaborator for the daily newspaper in Venezuela “ El Nacional de Venezuela”.

MAGGY NAVARROFORMACIÓN ACADÉMICA1994·    Photography workshop. Manoa Arte, Caracas.

1985·    Photography, cinema and video. American University, Washington D.C.

1984·    Degree in International Relations, Latin American Issues. George Washington University,    Washington D.C.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 1999·    El Miedo . Sala Mendoza, Caracas.

1997·    Serie en Yo. Sala Alternativa, Caracas.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2004·    Arte contemporáneo venezolano en la Colección Cisneros (Contemporary Venezueal Art in the Cisneros Collection) (1990-2004). Museo Jesús Soto. Ciudad Bolívar, Venezuela

2003·    Retrospectiva Arte Venezolano siglo XX. Década de los 90 . (Retrospective of Venezuelan Art of the XX Century. Decade of the 90's) Museo de Arte Contemporáneo de Caracas

2002·    Políticas de la diferencia. Arte iberoamericano fin de siglo , Recife,·    Brasil. Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires

2001·    Utópolis . Galeria de Arte Nacional, Caracas·    13 Horas. Sala Mendoza, Caracas

2000·    International Photography Biennial . Museo Alejandro Otero, Caracas·    En el filo. Museo de Arte Moderno Juan Astorga Anta, Mérida, Venezuela·    Frontera, Museo de Arte Contemporáneo, Monterrey, Museo de la Fotografía, Oaxaca

1999·    Frontera. International Photography Biennial, Centro de la Imagen, México D.F·    International festival of Contemporary Art , Brussels. Fifty One Fine Art Photography Gallery.

1998·    Premio Mendoza , Sala Mendoza, Caracas  ·    La Resurrección del Cadáver Exquisito , Sala Mendoza, Caracas·    Una Selección: National Art Biennial of Guayana . Museo Alejandro Otero, Caracas·    Cabaret Digital , Sala Mendoza, Caracas.

1997·    V National Art Biennial of Guayana , Museo de Arte Jesús Soto, Bolívar·    Siete mujeres fotógrafas . Centro de Fotografía, CONAC, Caracas.

1994·    Jóvenes fotógrafos venezolanos . Alianza Francesa, Caracas.

BIBLIOGRAFÍA·    Published in María Teresa Boulton's book “ 21 fotógrafas venezolanas” . Caracas, Venezuela, 2003

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2009.12 / documentación técnica)

2009-2010. Teddy Cruz. VALLECAS ABIERTO: ¿CÓMO NOS VAN A AYUDAR CON SU ARTE? (2009.12 / documentación técnica)

** ABRIR PDF ADJUNTO PARA VER EL DOCUMENTO COMPLETO(DICIEMBRE 2009)

    

     

     

        

 

 

         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (entrevista a Susana Cremades)

2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (entrevista a Susana Cremades)

 

  

Entrevista de Jorge Díez a Susana Cremades, periodista y editora, que también ha realizado distintas tareas como asesora laboral y mediadora social, es vecina de Lavapiés  y abrió la posibilidad de que Josep-Maria Martín accediera a la realidad de los pisos patera en ese barrio de Madrid.

- ¿Conocías Madrid Abierto antes de ser ‘la llave’ del proyecto de Josep-Maria Martín? Lo cual quiero agradecerte especialmente, además de a  Ana Velasco, ‘llave de la llave’, y también agradecerte que te prestes a esta entrevista.

- Conocí Madrid Abierto leyendo el artículo que se publicó en Revista de Museología, en la que yo hacía el diseño gráfico, aunque ya antes había visto algunas intervenciones en la calle de Alcalá o en la Casa de América y siempre me había parecido algo curioso.

- Y en general, ¿cuál es tu relación con el arte?, porque veo aquí que tienes reproducciones de grandes artistas del siglo XX. Además de esa curiosidad que mencionas sobre Madrid Abierto ¿qué piensas del arte de ahora?

- Leo sobre ello, veo proyectos, pero no acabo de captar bien por dónde va. Me han explicado que está mucho más imbricado con lo social, pero el arte…, no sé. Cuando voy a una exposición busco que me aporte algo y disfruto con obras como esta reproducción que tengo ahí de Las señoritas de Aviñón de Picasso que, por cierto, también le gusta mucho a mi hijo, que tiene dos años. Si tuviera que decantarme por algo, lo que más me gusta es el expresionismo. Volviendo a ese arte más relacionado con la realidad social me parece que tiene que ver, sobre todo, con la decisión de los artistas que adoptan esa perspectiva, ¿pero el arte dónde está, en la persona que es artista o en lo que se hace?, porque hay otras personas que desarrollan proyectos con la comunidad difíciles de distinguir, en ocasiones, de lo que hacen determinados artistas.

- ¿Por qué crees que se producen fenómenos como ARCO, que tienen un abundante público, especialmente jóvenes, aunque haya un amplio escepticismo sobre el valor del arte actual?

- No sé qué impulsa a la gente a ver arte actual, seguro que algunos van a disfrutar, pero yo que soy realmente torpe a la hora de dibujar o de desarrollar cualquier habilidad plástica, me gusta ver lo que provoca en mí aquello que otra gente diestra en este terreno me ofrece. Es decir, que el disfrute y la posibilidad de conmoverse con cualquier expresión artística, sea un cuadro, una película o una música, está en el origen de mi interés y en el de mucha gente que se acerca al arte, aunque hay otros muchos que lo hacen por estatus o porque es lo que toca hacer, como un dictado de la moda o como resultado del marketing, que es lo que quizás pasa con ARCO.

- En este sentido, tú como periodista, como profesional, ¿cómo ves la relación de los medios de comunicación con la cultura en general y con el arte en particular?

- La verdad es que soy un poco crítica con los medios de comunicación, a pesar de ser periodista y actualmente no ejercer, porque creo que los medios de comunicación ahora mismo han dejado en gran parte de lado su misión de informar, de ayudar a formar un espíritu crítico. Sobre todo los medios de comunicación públicos que deberían defender los pilares básicos de la información y que se dedican a la guerra de audiencias, por lo que el supuesto interés público no se concreta en facilitar el acceso a la realidad compleja de muchas propuestas de arte contemporáneo que abordan los problemas de la ciudad, el paisaje urbano, la inmigración o cualquier asunto de carácter social. Y cuando algún medio público intenta hacerlo, la verdad es que como apenas tiene audiencia, no dispone de recursos para hacer bien su trabajo, por ejemplo, es un tópico que a todo el mundo le gusta La 2, aunque en realidad casi nadie la ve. De hecho en la función de los medios de comunicación hay un gran acuerdo, aunque a unos les guste y a otros no, pero también hay un gran acuerdo en que no cumplen dicha función.

- Sin embargo, en el ámbito de la cultura se produce algo distinto en los medios de comunicación, que quizás tiene que ver con la consideración general sobre la cultura, y que hace que, al menos en apariencia, no se siga la línea editorial o los intereses empresariales, sino que prima un tipo de información más libre o más próxima a la cultura como espectáculo.

- Viste mucho y si te interesa la cultura eres extraordinario, pero en los medios de comunicación, cultura y deportes les toca a los últimos periodistas de la fila, en cuanto a información se refiere, salvo aquellos casos en que el súper especialista se ocupa de la cultura entendida como algo de élite en suplementos especializados o en los semanales.

- Y volviendo a las prácticas artísticas actuales que no se centran en la producción de objetos artísticos sino en los procesos y en la aproximación a lo social, dando por supuesto que hay algún tipo de resultado que se inscribe en el campo de lo artístico, ¿crees que tienen algunas características comunes o que hay una diversidad de planteamientos y de actitudes de los propios artistas en la misma medida que en las prácticas convencionalmente entendidas como propias del arte?

- Tanto desde el punto de vista del arte, como de cualquier otro que atiende a la realidad social me parece positivo, aunque los propios artistas parecen situarse en otro plano, y hablo impropiamente en plural porque un contacto directo sólo lo he tenido ahora con Josep-Maria Martín, quien ha expresado varias veces que él como artista llega a muchos más sitios, o a sitios más importantes, que cualquier otra persona no puede llegar. Esa posibilidad de llegar a reunirse, por ejemplo, con un presidente de gobierno puede propiciar pequeños cambios en la realidad y eso me parece algo muy positivo.

- Pero ese acceso a quienes tienen poder o influencia puede tener otra lectura, que el artista continúa desempeñando el papel de acompañante del poder, que entretiene y da prestigio a quienes mandan en la política, la economía, ...,  y al mismo tiempo obtiene su propio prestigio y cuota de poder como elegido de ese poder. Y aunque determinados artistas no persigan de ninguna manera este objetivo, sino el de propiciar esos cambios en la realidad, ¿hasta qué punto no está sobredimensionada esa posibilidad transformadora del arte? ¿cómo puede el artista ser capaz de hacerse cargo de realidades complejas y de rebasar el campo propio del arte, haciendo el papel simultáneo de sociólogo, antropólogo, geógrafo y asistente social?

- Realmente no sé si alguna vez se produce eso o en muchas ocasiones es otra forma de manifestarse el ego de los artistas, sólo superado por el de los arquitectos estrella, pero habría que ver cada caso, no hay una pauta común, tiene que analizarse si un artista concreto se aproxima a una realidad que, en muchos casos, es la expresión del arte de vivir o de sobrevivir en unas condiciones pésimas o sólo trata de confirmar su idea previa sobre esa realidad concreta, que no tiene nada que ver con el arte y a la que es tan ajeno que es muy difícil entender y compartir en una aproximación muy breve y corta, como la que generalmente se produce en el desarrollo de muchos proyectos. Yo no soy artista, pero dudo mucho de que, por el hecho de serlo, se pueda conocer y comprender una realidad ajena y compleja. En cualquier caso me parece un planteamiento positivo y de interés, más allá de los resultados concretos.

- ¿Cómo crees que se entiende este acercamiento de los artistas a determinadas realidades sociales?

- Siempre se entiende, desde la otra parte, como un aprovechamiento. Es muy difícil una relación de igualdad cuando la situación de partida es tan distinta. En la tensión del proceso creativo, que siempre busca un resultado artístico, sea el que sea, el artista a veces olvida que está tratando con personas ajenas a sus intereses y que pueden percibir que no reciben nada concreto de él, más en el caso de personas que no comparten nuestros códigos porque no pertenecen a nuestro mal llamado primer mundo. Y lo contrario, cualquier comentario por parte de estas personas que pueda ser entendido como contraprestación, genera recelo ante la posibilidad de que quieran aprovecharse de una situación que tiene un objetivo artístico. Es como los piratas tan de actualidad, nos echamos las manos a la cabeza con estos piratas somalíes, pero ¿no somos nosotros piratas de ese mar, de su tierra, de sus gentes? Sus asaltos, los rescates, nos suenan a otro siglo y a una violencia que detestamos, pero ¿qué hace el primer mundo por ejemplo en ese mismo cuerno de África? En Etiopía se cultiva el teff, un cereal con el que se elabora la injera, pan gomoso que es el alimento básico de la población. Una empresa holandesa vio que tenía propiedades adelgazantes para un primer mundo sobrealimentado y ha patentado distintos derivados del teff gracias a un acuerdo con el gobierno Etíope, con las consecuencias de un incremento salvaje del precio del teff, que está privando a ese país de su producto básico, y que va a contribuir a que este año mueran seis millones de personas de hambre, al no poder acceder al único alimento disponible. ¿Ningún artista ha trabajado con este asunto tan importante y que afecta a mucha gente?

- No lo sé. Pero me interesa lo que señalas de la relación entre iguales y del posible aprovechamiento mutuo.

- Claro, un aprovechamiento que en el caso de los senegaleses del proyecto de Josep-Maria ha podido dar lugar en algún momento a pensar que ya están otra vez los blancos aprovechándose de nosotros, porque el rechazo del otro y el racismo es de ida y vuelta. Esa frase la he escuchado yo con motivo de este proyecto y eso no se puede consentir, porque no es cierto, no es verdad que este proyecto sea la ocasión para que alguien obtenga un beneficio económico.

- Este proyecto se hace en Lavapiés, que es donde vive este grupo de senegaleses, ¿por qué crees que hay tantos artistas interesados en este barrio?

- La idea que dan los medios de comunicación y los políticos que nos gobiernan es la de un barrio marginal, lleno de delincuencia, pero desde hace unos años en Lavapiés hay una tipología de profesionales y gente de la cultura que no tienen nada que ver con un barrio de viejos, de inmigrantes y de gente que no teníamos un duro y compramos las casas a un precio muy bajo porque esta zona era la más barata de Madrid, junto con Vallecas. Yo compré mi casa hace once o doce años porque además me gustaba Lavapiés, siempre había vivido cerca. Pero esta gente ha comprado casas de noventa metros cuadrados a noventa millones de las antiguas pesetas, gracias a planes de rehabilitación que han fomentado la “limpieza” del barrio. Una casa como esta, que yo compré por nueve millones y que no llega a cincuenta metros cuadrados, se ha vendido por cuarenta. ¿Quiénes compran estas casas? ¿Por qué gusta tanto este barrio? Quizás en la época de la movida mucha gente que vino al barrio tenía una procedencia social parecida pero un distinto enfoque vital y social. Ahora vienen los de los pantalones rotos a doscientos euros, que son una minoría dentro de la minoría española actual en el barrio, pero muy significativa, y que realmente no conviven con el resto del barrio, no conocen a sus vecinos ni se relacionan con ellos y de hecho contribuyen a ir echando a los vecinos tradicionales y a los nuevos vecinos inmigrantes, aunque no se lo hayan planteado y no sea esa su intención. Cosa distinta son las administraciones públicas que quieren convertir el centro de Madrid en un lugar igual al de otras grandes ciudades, lo cual está muy claro si vemos cómo se organiza la vida política, cómo se desarrollan los plenos municipales, cómo interviene la policía o cómo se llena el barrio con cámaras, que no responde desde luego a un proyecto artístico sino  a otros objetivos, pero que de rebote han generado proyectos, como el proyecto Camarón de Un barrio feliz, que me parece de lo más creativo, aunque no sabría decir si es arte, protesta social, o una manera distinta de hacer ciudad.

- ¿Qué opinas de algunos proyectos que se han ubicado en el barrio como el espacio Offlimits?

- Son algo distinto del proyecto al que me refería, que surge de las redes sociales, aunque la red social de Lavapiés ya no está activa. Han dejado de funcionar iniciativas como la mesa de vivienda y otras. La presión para cambiar y echar a los habitantes del barrio, también tiene que ver con problemas como el de la droga y la falta de voluntad política para solucionarlo. Sin embargo, afortunadamente han surgido nuevas redes sociales como la de acogida de inmigrantes que acaban de llegar expulsados de Canarias, adonde han llegado en patera. No son, evidentemente, intervenciones artísticas pero sí sociales, muy necesarias para el barrio. La voluntad no es hacer arte pero tienen un enorme potencial creativo a la hora de hacer barrio, de hacer otro tipo de ciudad. Me pregunto si se podría hacer algo desde el campo del arte, sin usar el barrio como un medio para corroborar las ideas previas que algunos artistas tienen de él.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio (Cv)

SIMON GRENNANLONDON, 1965 VIVE Y TRABAJA EN WREXHAM, WALES

CHRISTOPHER SPERANDIOKINGWOOD, WEST VIRGINIA, 1964VIVE Y TRABAJA EN HOUSTON, TEXAS

COLABORAN JUNTOS EN DISTINTOS PROYECTOS DESDE 1990 WWW.KARTOONKINGS.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: SOY MADRID

EXPOSICIONES INDIVIDUALES Y PROYECTOS DE ART PÚBLICO

2004·    The Hayward Gallery, Londres·    Spacewalk. Videoinstalación digital. The Hatton Gallery, Newcastle

2003·    De La Warr Pavilion, Reino Unido (catálogo)

2002·    Museum of Modern Art y PS1, Nueva York   (catálogo)·    Modern Masters. Proyecto iniciado con Robert Storr en el MoMA, y con Tom Finkelpearl en PS1·    Shifting Gear. Comisariada por Ruth Charity. Manchester Art Gallery e itinerante por ocho museos, Reino Unido (catálogo)·    What in the World?. Arts About Manchester. Canterbury City Council, Reino Unido·    Glazed Looks. Comisariada por Sam Wilkinson. Stafford Museum, Reino Unido ·    Young English. Comisariada por Sarah Black. Catalyst Arts, Belfast, Irlanda ·    Belfast Sky. Catalyst Arts. Hull Time Based Arts, Reino Unido ·    Tales of the River. Hull Time Based Arts. The Gallery, Stratford-upon-Avon, Reino Unido·    Talk of the Town. The Gallery. Itinerante

2001·    Aarhus Kuntsmuseum, Dinamarca·    Danish Pastries. Comisariada por Anders Koldt. Gallery of Modern Art, Glasgow, y Stratford, Reino Unido (catálogo)·    16/25. Comisariada por Victoria Hollows. Turnpike Gallery, Reino Unido ·    Don't Get Me Started. Comisariada por Kerrie Moogan.

2000·    Yerba Buena Center for the Arts, San Francisco·    Nearly There. Comisariada por Renny Pritikin. Art in Hospitals Trust, Reino Unido (catálogo)·    Nurses's Tale. Comisariada por Mary Hooper

1999·    Public Art Fund, Nueva York (catálogo)·    The Invisible City. Comisariada por Tom Eccles

1998·    Seattle Art Museum (catálogo)·    The Peasant and the Devil. Comisariada por Trevor Fairbrother·    American Fine Arts, Nueva York·    One Hundred. Photo '98 e Impressions Gallery, Reino Unido (catálogo)·    Buried Treasures. Comisariada por Andrew Cross. SMFA, Boston (catálogo)·    Art School Superstars. Comisariada por Lelia Amalfatano

1997·    British National Museum of Photography, Film and Television (catálogo)·    The Bradford 100. Comisariada por Greg Hobson

1996·    Museum of Fine Arts, Boston (catálogo)·    Dirt. Comisariada por Trevor Fairbrother. Institute of Contemporary Arts, Londres, Reino Unido (catálogo)·    Cartoon Hits. Comisariada por Katy Sender. Centre for Contemporary Arts, Glasgow·    All 'Round Awesome. Comisariada por Nicola White. American Fine Arts, Nueva York·    Fantastic Sh*t.

1995·    Cornerhouse, Manchester, Reino Unido (catálogo)·    Times like These. Comisariada por Stephen Snoddy. Salisbury Festival. Salisbury, Reino Unido

1994·    Center for the Arts, San Francisco (catálogo)·    Recollections. Comisariada por Renny Pritikin. College of DuPage, Chicago (catálogo)·    Maintenance. Telegraph Magazine, Reino Unido·    Anyone in Britain. Towner Gallery, Eastborne, Reino Unido (catálogo)·    6 Eastborne Dentists. Comisariada por Penny Johnson. James Hockey Gallery, Reino Unido (catálogo)·    Everyone in Farnham. Comisariada por Andrew Cross

1993·    Grey Art Gallery at Nueva York University, Nueva York (catálogo)·    Anyone in Nueva York. Comisariada por Tom Sokolowski

1992·    Lakeview Museum, Peoria (catálogo)·    At Home with the Collection.

1991·    Stadt Museum Fellbach, Stuttgart, Alemania·    Grennan and Sperandio. Astley Cheetham Collection, Reino Unido·    Manchester City Art Galleries, Manchester, Reino Unido

1990·    The Body, Chicago (catálogo)·    Esposiciones colectivas y proyectos

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    Spacemakers. Lothringer Dreizen, Munich, Alemania·    Worthless Protégé. The Suburban, Chicago

2003·    Live Culture. Tate Modern, Londres·    Wild nights: Remembering Colin de Land . CBGB 313 Gallery·    Comic Release. Regina Gouger Miller Gallery, Carnegie Mellon University (catálogo)

2002·    Palais de Tokyo, Paris·    The Armory Show . American Fine Arts, Booth #8145·    Ordinary Icons . Gallery 312, Chicago·    Personal Views . Milton Keynes Council, Milton Keynes

2001·    Rhode Island International Film Festival, Screening·    Tele[Visions]. Kunsthalle Vienna (catálogo)·    24th International Biennial of Graphic Arts, Ljubljana (catálogo)·    Animations . PS1/MoMA, Nueva York·    Milton Keynes Council, Milton Keynes·    Ink Studs . Gallery 10 in 1, Nueva York·    Saints and Sinners. Girifalco Fortress, Cortona, Italia

2000·    Modern Times 3 . Hasselblad Centre, Gottenburg, Suecia·    Up In The Air . Liverpool, Reino Unido (catálogo)·    Moss Side and Hulme Partnership, Manchester

1999·    South London Gallery, Londres, Reino Unido·    Street Wise. Row House Project, Houston·    Conceptual Art, Thread Waxing Space, Nueva York·    Hypervision . Elizabeth Cherry Contemporary Art, Tucson

1998·    Superfreaks : Trash. Greene Naftali Gallery·    Photo98 , Londres / Edinburgo·    Art Transpennine '98. Tate Gallery con Henry Moore Institute (catálogo)

1998·    Revenge. IKON Gallery, Birmingham, Reino Unido (catálogo)·    High Art Hi-jinx. Museum of Fine Arts, Boston

1996·    a/drift. Center for Curatorial Studies, Annendale-on-Hudson (catálogo)·    Shopping. Deitch Projects, Nueva York (catálogo)·    25 Young Artists. John Weber Gallery, Nueva York·    Traffic. CAPC Musée D'Art Contemporain, Burdeos (catálogo)·    Recontes de la photographie. Arles Photography Festival·    Mutant. Galerie Philippe Rizzo, Paris

1995·    Prison Sentences. Philadelphia (catálogo)·    Chocolate. Swiss Institute, Nueva York

1994·    American Fine Arts Co., Nueva York

1993·    Culture in Action. Sculpture Chicago (catálogo)·    Lotus Club. Daniel Bucholz Gallery. Cologne, Alemania·    Vox Pop. Laure Genillard Gallery, Londres·    Contacts/Proof. Jersey City Museum·    Andrea Rosen Gallery, Nueva York

1992·    Comfort and Dissent. Artists Space, Nueva York (catálogo)

1991·    The Fountainhead. Abel Joseph Gallery Chicago & Ewing Gallery, Knoxville·    Profiles. New Work by Chicago Artists, Randolph Street Gallery, Chicago (catálogo)·    Belgrove Station. Glasgow, Escocia

1989·    Modern Love. ARC Gallery, Chicago·    Proyectos de televisión

2003·    Music Television (MTV), Nueva York·    Drop it. Programa de introducción de serie de televisión

2001·    Music Television (MTV), Nueva York·    bloid!. Programa de introducción de serie de televisión·    Channel Four, Reino Unido·    The Liquid Pavilion. BALTIC Centre for Contemporary Art, Reino Unido·    The Hand and the Word. Encargo de Sune Nordgren

2000·    Music Television (MTV), Nueva York·    Reanimate. Programa de introducción de serie de televisión basado en el trabajo de Grennan y Sperandio. Harris Museum, Reino Unido·    Preston. Película animada, encargada por James Green·    Publicaciones·    'Strange Cargo'. The Hatton Gallery, Newcastle, Reino Unido·    'What in the World?'. Arts About Manchester·    'Modern Masters'. DC Comics, Museum of Modern Art/PS1, Nueva York·    '16/25'. Gallery of Modern Art, Glasgow, Escocia·    'Nurse's Tale'. Distribuido por Fantagraphics Books·    'The Invisible City'. Public Art Fund. Distribuido por Fantagraphics Books·    'Art School Superstars'. SMFA, Boston. Distribuido por Fantagraphics Books·    'The Peasant and the Devil'. Seattle Art Museum. Distribuido por Fantagraphics Books·    'Buried Treasures'. Photo '98. Distribuido por Fantagraphics Books·    'Ghost on the Stair'. Tate Gallery Liverpool y Henry Moore Sculpture Trust·    'Revenge'. IKON Gallery. Distribuido por Fantagraphics Books·    '100'. National Museum of Photography. Distribuido por Fantagraphics Books·    'Dirt'. Museum of Fine Arts, Boston. Distribuido por Fantagraphics Books·    'Cartoon Hits'. ICA London. Fantagraphics Books, Printed Matter·    'Life in Prison'. Prison Sentences. Fantagraphics Books, Printed Matter·    'Times Like These...'. Distribuido por Cornerhouse·    'Recollections'. Center for the Arts, Cornerhouse·    'Six Eastborne Dentists'. Towner Gallery, Cornerhouse·    'Everyone in Farnham'. James Hockey Gallery, Cornerhouse·    'Maintenance'. College of DuPage·    'Anyone in Nueva York'. Grey Art Gallery, Distribuido por DAP·    'At Home with the Collection'. Lakeview Museum, Cornerhouse·    'The Body'. 2 CAAP Development Grants, Printed Matter

BIBLIOGRAFÍA ·    Tom Eccles, Plop: 'Recent Projects from the Public Art Fund', 2004·    Ben Johnston, 'Comics are no laughing matter', The Western Front , 2004.·    James Fuentes, "Colin De Land," Zing Magazine, Mayo 2004·    Rob Clarke, 'Grennan and Sperandio', Guardian , Septiembre 2003.·    Helen   Tither, 'Daisy, 73, is a frock star', Manchester Eve News , Febrero 2003.·    Krainak, Paul. 'Grennan and Sperandio', Art Papers, Oct/Nov. 2002·    Kwon, Miwon. 'One Place after Another', MIT Press, 2002·    Dawson, Mike. 'Young English/Kartoon Kings', Flux Magazine, Ago/Sept. 2002·    Searle, Adrian. 'Pick of the Week: Grennan & Sperandio', Guardian Unlimited, Agosto 2002·    Haynes, Rob. 'Don't get me started',   The Big Issue, Marzo 2002·    Bhaskaran, Lakshmi. 'State of Independents', Graphics International, Jul/Ago 2002·    Colstrup, Tine. 'Wienerbrød for you and for me', Aarhus Kunstmuseum Demo, Junio 2001·    Grabner, Michelle. 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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.10 / documentación teórica)

 Querida Marta,(hola Jorge, hola Cecilia!) este es un update (actualización)...

Aqui te mando una pequeña descripcion de la nueva version del proyecto... para que puedan discutirla con Casa America... tambien un pdf con tres imagenes para contextualizar la intervencion...

1. la idea detras de esta version es la de ahorrarnos energia y dinero... al no tener que construir el andamio, la piel para forrarlo y los otros sistemas...

2. en vez de completamente igonirar la fachada, cubriendola en su totalidad... nos encanta la idea de 'jugar' con la fachada, exponioendola como parte de la intervencion 3. siempre la idea de nuestra propuesta tiene que ver con la de 'activar' la fachada con programas de activididad artistica... La idea todavia es la de que Felipe Zuñiga, el artista de Tijuana a quien yo estoy invitando como 'facilitador' trabaje con artistas jovenes de Puente de Vallecas para ultilizar la fachada como espacio de trabajo y exhibicion... creando un corredor performatico entre el barrio y la Casa America... tambien una triangulacion entre Vallecas y Tijuana... ya Felipe esta trabajando en un sistema de comuincacion para vincular a colectivos de Tijuana y Vallecas-Madrid... Yo me reuni con Emilia Maria y Charo de al municipalidad para empezar el proceso de seleccion de los artistas, grupos que estarian involucrados...

4. en este caso, la idea es, en esta nueva version, de activar realmente la fachada... y proponer 'penetrar' la fachada misma con dos escaleras que nos permiten 'entrar' por las ventanas del piano nobile... el piso con el balcon... y crear dos cuartitos muy pequeños detras de la fachada... estos espacios estarian construidos muy livianamente con madera etc... y no estarian en contacto fisicamente con las paredes interiores de Casa America... pero nuestra intencion es la de tambien documentar fotograficamente este 'taller parasito' dentro de el espacio oficial del museo... o sea hacer que el proyecto de intervencion sea exterior pero tambien interior...

5. el publico NO tendria acceso a estos dos espacios... estos serian nada mas espacios privados de trabajo para los artistas quienes tendrian permiso para trabajar dentro...

6. el trabajo de estos artistas se haria accesible en proyeccion: la burbuja de plastico... y tambien con sonido: un ducto que conecta al edifico con el volumen de conos de trafico que estaria cubriendo el banco existente en la banqueta-acera en frente del edificio... nos encanta la idea de que la intervencion 'capture' este banco y se pueda crear un 'refugio' para el peaton y que alguien pueda sentarse y escuchar narratives de vallecas, etc...

este es el resumen muy breve de la idea!

Gracias! ojala los de Casa America esten dispuestos a colaborar y vean posibilidad en esta version... que nos ahorra dinero pero tambien crea una relacion con el museo que es mas interesante... por supuesto... tendriamos que saber que es lo que esta en esos espacios del piano nobile... para saber soi esto es posible... nos encantaba la idea que la oficina del director(a) estuviese ahi, y que su oficina se compartiera con los artistas... pero por supuesto separados por una pared... no se verian uno al otro, pero compartirian el mismo espacio...

besos,Teddy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (texto publicado)

 

Con Unoficcial tourism, el artista Iñaki Larrimbe busca transformar una caravana en una oficina de turismo `no oficial´, situándola en las calles de Madrid con el objetivo de atender a consumidores culturales foráneos (turistas). A estos visitantes se les ofrecerá, desde la `oficina´ creada, planos y guías que recogen itinerarios madrileños alternativos, es decir, distintos a los ofertados por el `turismo oficial´.

Los itinerarios han sido realizados por seis personas residentes en Madrid y relacionadas con la cultura más alternativa, `underground´ o contracultural. Así, Mauro Entrialgo y Adriana Herreros han realizado el circuito “Luminosos publicitarios de neón”; Guillermo de Madrid ha organizado un itinerario de “Arte Urbano”; Jimina Sabadú nos muestra espacios públicos en los que se han rodado películas de cine; John Tones nos invita a pasear por locales en los que aún se conservan máquinas recreativas antiguas; Santi Otxoa nos ofrece el itinerario “Tabernas centenarias de Madrí”, y el colectivo Todo por la praxis nos invita a conocer la insólita fauna humana y flora urbanística de la “Cañada real”.

El proyecto Unoficcial tourism se quiere incrustar, por lo tanto, desde la economía de medios -el `háztelo tu mismo’- dentro de los mecanismos creados por las industrias de la cultura y del turismo. No deja de ser ésta una labor de parasitismo, de habilitar estructuras paralelas a las oficiales haciendo uso de espacios e infraestructuras públicas para poder generar así otras narrativas sobre la ciudad de Madrid. Se trata de trasladar la idea de `fanzine´ al terreno de la difusión turística, creando una `oficina underground’ con recursos que puedan estar al alcance de cualquier ciudadano: una caravana, principalmente.

Unoficcial tourism quiere, en definitiva, ser un proyecto que responda y atienda la demanda de entretenimiento cultural que las nuevas políticas culturales cimentadas en criterios socioeconómicos han generado. Pero Unoficcial tourism no alberga ánimo de crítica. La idea de Larrimbe es formar parte de esa realidad desde una posición nihilista, pues la crítica a la institución, hoy en día, ya no es posible: no hay un espacio virgen, al margen, no institucionalizado, desde el que poder generarla.

En este proyecto el artista sigue la estela de sus últimos trabajos en torno al turismo cultural. De la misma forma que el pasado año Larrimbe, recreaba en su ciudad, Vitoria, -y con escasos medios- un `hotel´ dentro de un local privado intentando dar respuesta a las necesidades de alojamiento que los Museos y Centros de arte y cultura están generando, ahora, con Unoficcial tourism pone en marcha esta `oficina alternativa de turismo´.

Como señala el crítico Peio Aguirre en el libro Sauna finlandesa o descenso de barrancos, “la figura de agitador cultural de Larrimbe dentro del entramado cultural de la ciudad lo sitúa en una posición difícil cara a poder asumir una posición de artista amparado en una legitimación representacional. Él es consciente de esta posición satélite. Si como él mismo advierte, la crítica ha sido ya digerida y los auto-sabotajes no dan más de sí, por lo tanto parece mejor jugar a inscribirse dentro de aquellos mecanismos (como aceite agregado a la máquina) contra los que diariamente se lucha. Entonces, a tenor de una posición artística como la de él, puede parecer mejor volver a interrogar sobre la naturaleza de la crítica y sobre los límites del adentro y del afuera institucionales. ¿Acaso es lo mismo escribir una columna en un periódico detallando los movimientos de las políticas culturales que llevar a cabo un proyecto donde se pone en representación todo un dispositivo de comunicación e infraestructura?

Obviamente no es lo mismo. Sin embargo, lo que se quiere decir no difiere demasiado. ¿La coartada del dispositivo-caravana refuerza o anula la crítica? ¿El contenido del enunciado se revuelve contra el propio medio? ¿En qué afecta a las instituciones el tener que contribuir de alguna manera a la iniciativa de Larrimbe?”.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz (Cv)

REBEKKA REICH HAMBURGO, 1969VIVE Y TRABAJA EN KÖLNWWW.REBEKKAREICH.DE

ANNE LORENZ WÜRZBURG, ALEMANIA, 1971VIVE Y TRABAJA EN ZÜRICHWWW.ANNELORENZ.CH

OBRA EN MADRID ABIERTO: TAXI MADRID

REBEKKA REICH FORMACIÓN ACADÉMICA1989·    Arquitectura. Universidad Politécnica de Braunschweig, Alemania

1995·    Arquitectura. Escuela Técnica Superior de Arquitectura Madrid

1999·    Danza moderna, improvisación y ‘tanztheater'. T.A.N.Z. Braunschweig

2000·    Master en escenografía. Hochschule für Gestaltung und Kunst Zürich

EXPERIENCIA PROFESIONAL1995·    Arquitecto·    Viktor Lopéz Cotelo, Madrid·    KSP Kraemer, Sieverts & Partner, Braunschweig and Berlin

2000·    Soung, danza-performance de S. Heyden, Burgplatz OpenAir, Braunschweig

2002·    Assistent stage design·    Odysee 2002, de Homer. Dirigido por Helena Waldmann, Luzerner Theater.·    Der Auftrag, de Heiner Müller. Dirigido por Stefan Nolte, Theater St. Gallen

ENSEÑANZA Y TALLERES2003·    Workshop Scenography. IPP Performance and Media Studies Summerschool, Johannes Gutenberg Universität Mainz

2004·    Lectura Field Work , Scenographical Design, Hochschule für Gestaltung u. Kunst Zürich

BECAS Y PREMIOS2004·    Beca de Land Nordrhein-Westfalen and European Union

2002·    Beca para proyecto de Kulturstiftung Appenzell Ausserrhoden2001·    Beca de investigación de Stiftung Lis und Roman Clemens Zürich

2000·    Beca de estudios de Stiftung für Kunst und Kultur Nordrhein Westfalen·    Beca de estudios de Stiftung Lis und Roman Clemens Zürich

1995·    Beca de estudios de Deutscher Akademiascher Austauschdienst DAAD

PROYECTOS INDIVIDUALES2000·    Hotel Konrad. Instalación en Studiobühne HGKZ, Zürich

2001·    Nabokov und Schubert. Video. Studiobühne HGKZ, Zürich·    Chaplin-Ford-Trott, de K.A. Hartmann. Dirigida por Peter Rasky, Concepto, escenografía y vestuario (con Anne Lorenz). Theater an der Sihl, Zürich·    Rosen für Alice...Fr.9,80. Company Delux. Concepto, realización y coreografía (con Noël Fischer). Zürich

2002·    Der Zoobär, de Jost Meier, dirigida por Peter Rasky. Concepto, escenografía y vestuario (con Anne Lorenz). Theater an der Sihl, Zürich·    turntable. Tanzplattform 12 MinMax. Concepto, coreografía (con Christina Sutter) y sonido. Tanzhaus Wasserwerk, Zürich·    BUCHERREICH Scenography, St. Gallen (fundada en 2001 con Karin Bucher)

2001·    Das Zündholzmuseum. Concepto y diseño de exposición. Konrad-Nef-Stiftung, Teufen

2002·    Exposure. Pabellón Suizo. Diseño con Rüdiger Kreiselmayer. Expo 2004 St. Dénis-Paris, Präsenz Schweiz, Berna·    Grubenmannsammlung. Diseño de exposición. Kulturkommission, Teufen·    Zentrum für Bauen und Kultur. Proyecto de reutilización de fábrica. Kulturkommission, Teufen·    Bücherkubus. Instalación. Librería, Teufen·    Roter Pfeil. Intervención. Librería, Teufen

2003·    Brundibàr , de H. Kràsa y A. Hoffmeister, dirigido por Barbara Bucher·    Stadtspaziergang, prólogo de la obra ‘Die Stunde, da wir nichts von einander wussten' de Peter Handkes. Theater St. Gallen, Pico-Pello-Platz, St. Gallen·    Fortschritt. Realización, coreografía y dirección de video danza. Kulturstiftung Appenzell Ausserrhoden

2004·    Ein Hotel verwöhnt sich selbst. Hotel Hof Weissbad, Weissbad

 

ANNE LORENZFORMACIÓN ACADÉMICA1991·    Kunstakademie Münster. Wilhelms-Universität, Münster

1993·    Departamento de Escultura. Escuela Superior de Bellas Artes, Barcelona

1994·    Departamento de Escultura. Edinburgh College of Art

1997·    Hochschule für Künste, Bremen

1999·    Master en Escenografía. Central Saint Martin's College of Art & Design, Londres

EXPOSICIONES INDIVIDUALES, COLECTIVAS Y PERFORMANCES2004·    Patterns of Behaviour. Theaterhaus Gessnerallee Zürich, Hope & Glory·    Festival. Escenografía y dirección de performance-instalación.·    Patterns of Behaviour. 5 ch version. Tanzhaus Wasserwerk, Zürich. Escenografía y dirección de performance-instalación.

2003·    Patterns of Behaviour. red + white version. Museum für Gestaltung, Zürich. Escenografía y dirección de performance.

2002·    Gilgamesch . Theater an der Sihl, Zürich. Escenografía para musical, en colaboración con Doug Geers, Maja Cerar·    Standpunkt . Theater Roxy, Basel & Tanzhaus Wasserwerk, Zürich. Video y escenografía para danza-performance de Eva Richterich.·    Der Zoobär. Theater an der Sihl, Zürich. Escenario y vestuario en colaboración con Rebekka Reich.

2000·    EuroSlide . Hoxton Hall, Londres. Escenario y video para performance en colaboración con Cathrine Kahn.·    17.55 . APT Gallery, Greenwich Film Festival, Londres. Video.·    Let's eat Sand. The Museum Of, Londres. Escenografía y dirección de performance.

1999·    Euro-Cowboys. What Everyone Wants Store, Newcastle. Sonido-instalación.·    Dream-Space. DFKU, Odense, Dinamarca. Instalación en colaboración con Marianne Bramsen.·    link-slip-link-slip. St. Nicholas Church, Londres, dentro del Deptford X Festival. Sonido-instalación.

1998·    Kronen für Bremen. KÖNIG/KÖNIG, Kunsthaus Bremen, Alemania.·    Packed Lunch. Santa Monica's Old School, Londres. Instalación.

1997·    summarie . Galerie Dechanatstraße, Bremen, Alemania. Audio-instalación.

1996·    A Spider's Tale. Demarco European Art Foundation, Edimburgo. Performance-Instalación.·    Fadenschein . Edinburgh Festival. Performance en colaboración con Mirella Weingarten.

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.10 / documentación visual)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.10 / documentación visual)

 

(Octubre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. HUERT-O-BUS (texto publicado)

 Huert-o-Bus es un invernadero que viaja, invitando a los residentes de Madrid a que cultiven verduras frescas y plantas en el centro de la ciudad. Huert-o-Bus intenta hacer uso de los espacios públicos urbanos existentes para crear jardines comunales y permitir el crecimiento local de alimentos.

Como un autobús público de la ciudad, Huert-o-Bus parará por diversos barrios y distritos, en plazas señaladas, con sus `pasajeros´ de semillas y plantas pequeñas. Cada sitio estará marcado por una `parada de autobús´ que informe a vecinos/visitantes del horario y las actividades del Huert-o-Bus.

Huert-o-Bus estará equipado con instalaciones para actuar como invernadero, así como un centro de actividades. Contendrá una pequeña biblioteca, herramientas para cultivar un huerto, asientos y una cocina. Se invita a los vecinos a que utilicen el invernadero para cultivar las semillas en su propio jardín y también para intercambiar plantas, alimento e ideas.

Huert-o-Bus recuerda las tradiciones de asignaciones de terreno en el Reino Unido y otros países europeos. Las asignaciones eran una necesidad durante las épocas de escasez alimenticias en los años de guerra y ahora han disfrutado de un resurgimiento reciente debido a la mayor importancia puesta en la producción ecológica y el interés en cultivar comida propia. A menudo, los espacios inusuales e indeseados en centros urbanos fueron utilizados para criar alimentos debido a su accesibilidad y disponibilidad. La tierra `inusitada´ se transformó en espacios comunales. Además, el jardín de asignación se caracteriza por un espíritu de comunidad fuerte, individuos apasionados y una distribución abundante de conocimiento, trabajo y, por supuesto, ¡alimento!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves (Cv)

BOGOTÁ, 1963 VIVE Y TRABAJA ENTRE LIMA, BARCELONA, BOGOTÁ WWW.PUIQUI.COMOBRA EN MADRID ABIERTO: EL RÍO, LAS COSAS QUE PASAN

FORMACIÓN ACADÉMICA1989·    Licenciado en Bellas Artes por la Universidad de Barcelona, España.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2004·    La Pura Oscura . Alianza Francesa, Bogotá, Colombia.·    Maestro Plantillero . Punctum, Lima, Perú.

2003·    Vení, Sentate, Contame . Valenzuela y Klenner Arte Contemporáneo, Bogotá, Colombia. 

2002·    Mobile Station . Fundación Kaus Australis, Rotterdam, Holanda. 

2001·    Balcony Panorama Lovers , con Carolina Caycedo.   Flat 37, Londres, Reino Unido. 

1997·    Esto fue lo que trajo el barco . Galería Ferran Cano, Barcelona, España.·    That's what the ship brought . Moderna Galerija, Rijeka, Croacia; Galerija Skuc, Ljubljana, Eslovenia. 

1996·    Tumba la casa . Universidad de Los Andes, Bogotá, Colombia. 

1995·    Guayabo. Espai 13, Fundació Joan Miró, Barcelona, España.

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    Trienal Poligráfica del Caribe, Instituto de Cultura Puertorriqueña, San Juan, Puerto Rico.·    Diaporama'04 . Primavera Fotográfica, Barcelona, España.·    PR 04 . M&M Proyectos, Rincón, Puerto Rico.·    ARCO, Galería Mirta Demare -Rotterdam- Madrid, España.·    P_O. Processos Oberts . Terrassa, Barcelona, España.·    Quórum . La Capella, Barcelona, España.·    Ambulantes-Cultura Portátil . Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Sevilla, España.·    Errancias: Viajes o virajes . Centro Cultural Comfandi, Cali, Colombia. 

2003·    Centro de Bellas Artes de Santurce, Instituto de Cultura Puertorriqueña, San Juan, Puerto Rico.·    MiamiArtBasel, M&M Proyectos -Puerto Rico- Miami·    Vª Bienal de Arte del Caribe, Santo Domingo, Republica Dominicana.·    Exploracions . La Capella, Barcelona, España.·    Un caballero no se sienta así . Planetario Distrital, Bogotá, Colombia.·    Errancias: Viajes o virajes . Valenzuela y Klenner Arte Contemporáneo, Bogotá, Colombia.·    Going Public. Politics, Subjects and Places . Museo d'Arte Sociale e Territoriale, an aMAZE project, Sassuolo, Modena, Italia.                     ·    Sommer Chou . Valenzuela y Klenner Arte Contemporáneo, Bogotá, Colombia.·    R. Revistes . La Capella, Barcelona, España.·    V Bienal Barrio Venecia, Salón Comunal, Barrio Venecia, Bogotá, Colombia.·    ARCO, Galería Mirta Demare -Rotterdam- Madrid, España.·    Doble Seducción . INJUVE, Madrid, España. 

2002·    Benjaminiana . Centro Cultural de España, AECI, Lima, Perú.·    Organisational Form . Galerija Skuc, Ljubljana, Eslovenia.·    La Guerra . Cruce, Arte y pensamiento contemporáneos, Madrid, España.·    ARCO, Galería Mirta Demare -Rotterdam- Madrid, España.·    Perspectives Creuades . Can Felipa, Barcelona, España.·    Arquitecturas para el Acontecimiento . EACC, Castelló, España.·    El Toque Criollo . Centro Cultural de España, AECI, Lima, Perú.·    Yes, en cualquier lugar puede suceder . Parte de Open Marks- PR'02. Naranjito, Puerto Rico. 

2001·    Oir: Aten al Planetario. Galería Santa Fe, Bogotá, Colombia.·    Istambul Biennal . Estambul, Turquía.·    Capital Confort- Arte Público en Alcorcón . Centro Municipal de las Artes, Alcorcón, España.·    Days of hope . Scoletta di San Zaccaria, off-Bienal de Venecia, Italia.  ·    Antroapologías . Galería Luis Adelantado, Valencia, España.·    Da Adversidade Vivemos . ARC-Museè d'Art Moderne de la Ville, Paris, Francia.·    Rope Walks Artists Residency . Hannover Gallery, Liverpool, Reino Unido.·    The Library Project . Temporary Services, Chicago, USA.·    El Objeto Paradójico . Museo de Arte de la Universidad Nacional, Bogotá, Colombia. 

2000·    Escenarios Domésticos. Koldo Mitxelena Kulturunea, San Sebastián, España.·    Public Inventions and Interventions Part 2-Public Phenomena . Temporary Services. Chicago, EE.UU.·    El Museo de la Calle . Museo de Arte de la Universidad Nacional, Bogotá, Colombia.·    PR OO . Paréntesis en la Ciudad - Intervenciones Urbanas, Fortaleza 302, Galería M. Marchaux. San Juan, Puerto Rico.·    Inter-Zona . Institut de Cultura, Palau de la Virreina, Barcelona, España.·    Lo del Telescopio . Idea y coordinación Nico Nubiola, Puerto de Barcelona, España. 

1999·    Expedición a El Dibujo . Fundación Gilberto Alzate Avendaño, Bogotá, Colombia. 

1998·    Pasaje de Ida . Galería Antonio de Barnola, Barcelona, España. 

1997·    Local Cultura. Parte del proyecto 'Almadraba', Museo Marítimo, Ceuta, España. 

1996·    Bog 25, Arte por para desde y contra Bogotá . Sótanos de la Jiménez, Bogotá, Colombia. 

1995·    Tu parles, J' écoute . Galerie Anne de Villepoix y Espace Société Jet Lag K, París, Francia.·    Bienal de la Europa Mediterránea, Rijeka, Croacia.

PROYECTOS 2004·    Maestro Plantillero Revolú . Trienal Poligráfica del Caribe, Instituto·    de Cultura Puertorriqueña, San Juan, Puerto Rico.·    El Toque Criollo . Diaporama de imágenes y archivos hablados a partir de una colección de carátulas de discos comprados en los mercados de pulgas de América Latina y el Caribe. Primavera Fotográfica, Barcelona, España.·    Talleres Móviles , con Gilda Mantilla. Coordinación y producción de talleres destinados a   difundir y potenciar conocimientos y saberes locales. Taller de fabricación de Yola Aguadillana -embarcación local- dictado por Rafael Vargas y Taller de Injertos dictado por Roberto Rosado. M&M Proyectos PR-04 , Comisión del Instituto de Cultura Puertorriqueña, Puerto Rico.·    El Piernas , con Ramón David-Sala deStar, Sevilla. Periódico callejero de cordel en la Plaza del Altozano, Triana, Sevilla, España.·    Ramal , con Javid Mughal director de 'El Mirador-Informativo Independiente de los Emigrantes'. Colaboraciones gráficas y escritas para El Mirador; elaboración de Rawal-Expres, periódico callejero de cordel y edición del nº 0 de la revista familiar bilingüe: 'Aroma-Khushboo' destinada a la comunidad paquistaní de Barcelona.·    Estació Mòbil Egara , con el Col.lectiu Intercultural de Terrassa-Ateneu Candela. Asistencia a las reuniones, trabajo en las convocatorias, creación de un grupo de trabajo para la realización de la revista Multitud y elaboraciones gráficas varias para sus actividades. Además Biblioteca Callejera en colaboración con Love Pili- Associació Cultural Repensa. Para Procesos_Oberts, Hangar, Ajuntament de Terrassa, Barcelona, España. 

2003·    Maestro Plantillero Revolú . V Bienal de Arte del Caribe, Santo Domingo,   Republica Dominicana.·    ¡Fuera ROTC de RUM!, con Gilda Mantilla. Trabajo de apoyo gráfico   para el campamento colegial del Frente Universitario por la Desmilitarización y la Educación. Acción de desobediencia civil contra la presencia del ejército   de los EE.UU en el Recinto Universitario de Mayagüez, Puerto Rico.·    Pa'Guindarlo , con Gilda Mantilla. Periódico de cordel realizado durante la presentación del catálogo "PR 02- En Ruta". M&M Proyectos, Museo de Arte de Puerto Rico.·    Dove Vai-Giornale sul Binario , con Gilda Mantilla. Periódico callejero de cordel en la Estación Ferroviaria de Sassuolo, Modena, Italia.·    HANGUEANDO-Periódico con Patas , con Gilda Mantilla. Periódico callejero de cordel con los vecinos de las comunidades de Manantial, Villa del Río, El Cerro, Stella y La Perla. M&M Proyectos, Comisión del Instituto de Cultura Puertorriqueña, Puerto Rico.·    Estación Móvil Barrio Venecia , con Gilda Mantilla. 'Descarga' creativa   para difundir la actividad cultural local a la vez que poner a circular   información y conocimiento   latinoamericanos. Barrio   Venecia, Bogotá, Colombia. 

2002·    Para no olvidar - Casas de la Memoria , con Gilda Mantilla. Escenografía y Sesión de dj. Jornada de clausura   de las audiencias de la comisión de la    verdad. Centro Cultural de   la Universidad de San Marcos, Lima, Perú.·    Retratos al Paso . Grabación de descripciones en audio y dibujo en las calles de Castelló, España.·    Unfair Tale , con Alicia Herrero. Pancartas, documentación y acción contra la boda del príncipe Guillermo Alejandro de Holanda y Máxima Zorreguieta, Amsterdam. Holanda. 

2001·    Bruggen Slaan Tusen Talen (Construyendo puentes entre lenguas), con Gilda Mantilla. Día de puertas abiertas The Language Academy, Universidad de Amsterdam, Holanda.·    O Carrinho Brica, O Carrinho Braque , con Carolina Caycedo. En las calles de Venecia, Italia y Lisboa, Portugal.·    El Museo de la Calle . Colectivo Cambalache: con Carolina Caycedo, Adriana García y   Federico Guzmán. Paris, Francia; Alcorcón, España y Estambul, Turquía.·    Diversión , con Carolina Caycedo y residentes del barrio RopeWalks. Year of the Artist Performance Residency for Rope Walks, Liverpool. Reino Unido.·    RadioRetratos , con estudiantes de Bellas Artes y oyentes de la emisora local Radio 9. En colaboración con el Departamento de Escultura, Facultad de Bellas Artes, Universidad Politécnica de Valencia, Agustín Pérez Rubio y   Galería   Luís Adelantado, Valencia, España. 

2000·    El Dibujo 24hs . Las Ramblas, Barcelona, Plaza Arturo Somohano, en el Viejo San Juan, Puerto Rico, y en el Terminal de Autobuses de Bogotá, Colombia. Con voluntarios locales en cada ciudad.·    El Museo de la Calle . Colectivo Cambalache: Carolina Caycedo, Adriana García y Federico Guzmán, en el Viejo San Juan, Puerto Rico y en las calles de Bogotá, Colombia. 

1999·    Expedición a El Dibujo , con Federico Guzmán, Andrés Corredor y Manolo Jaramillo. Bogotá, Colombia,   El Dibujo -Venezuela-, Bogotá, Colombia. 

1997·    Tumba La Casa. Instalación itinerante exhibida en la Universidad de  ·    Los Andes, Bogotá, Colombia; Fundació "La Caixa" Vic, Barcelona, España; Museo Marítimo , Ceuta, España; Hangar-Talleres de Santa Isabel, Barcelona, España; y Galerija Skuc, Ljubljana, Eslovenia.

RESIDENCIAS ARTÍSTICAS Y BECAS2003·    M&M Proyectos-Fortaleza 302, San Juan, Puerto Rico.2001·    Beca Hangar-KausAustralis, Rotterdam, Holanda.·    Year of The Artist /Arts Council Residency. Liverpool, Reino Unido.

ENSEÑANZA Y TALLERES 2002·    El Toque Criollo . Centro Cultural de España, AECI, Lima, Perú. 

2001·    El Rayo X . Centro Cultural de España, Agencia Española de Cooperación Iberoamericana, Lima, Perú.·    RadioRetratos , con estudiantes de Bellas Artes y oyentes de la emisora local Radio 9. Departamento de Escultura, Facultad de Bellas Artes, Universidad Politécnica de Valencia. España. 

2000·    Aprendiendo de SuperBarrio y otros Héroes del Vecindario . Taller para artistas y vecinos del barrio Poblenou. Associació d'Artistes Visuals de Catalunya y Tallers Oberts, Barcelona, España. 

1999·    Profesor de Arte en las universidades de Los Andes y Jorge Tadeo·    Lozano, Bogotá·    Talleres para los Salones Departamentales de Arte en Cali y Bucaramanga, Colombia·    Escuela Primaria y Instituto de Bachillerato Agrícola de Paratebueno, Colombia 

1998·    Talleres para el Ministerio de Cultura, Colombia.·    Producción y montaje de la exposición Salón de Objetos para el programa CREA en Girardot, Cundinamarca, Colombia.

CONFERENCIAS Y PRESENTACIONES 2004·    El Toque Criollo . Antic Teatre, Diaporama'04, Primavera Fotográfica, Barcelona, España. Sala Aqualung, Madrid y SalaDestar, Barcelona, España. Departamento de Arte, Universidad de los Andes, Bogotá, Colombia.·    Ja arriba l'EME . Sala Muncunill, Terrassa, España.·    DOVE VAI-Giornale sul Binario . ARCO, Galería Mirta Demare, Madrid, España. 

2003·    Últimos Proyectos. Escuela de Artes Plásticas de Puerto Rico, San Juan, Puerto Rico.·    HANGUEANDO-Periódico con Patas . Instituto Universitario de Desarrollo Comunitario, Mayagüez, Universidad de Puerto Rico.·    R. Revistes . La Capella, Barcelona, España·    Últimos Proyectos . Academia Superior de Arte, Bogotá, Colombia.·    V Bienal Internacional de Venecia de Bogotá y Salón Comunal de Nuevo Muzú, Bogotá, Colombia. 

2002·    Hangueando-Periódico con Patas . Gira de presentación en Het Vilde Weten, Rotterdam, Holanda; Künstlerhaus Bethanien, Berlín, Alemania; Cruce, Madrid, España; Galerija Skuc, Ljubljana, Slovenia y espacio la culpable, Lima, Perú.·    Mobile Station . Presentación en la velada 'Nomads and Residents' De Appel, Amsterdam, Holanda.·    En el ciclo 'Las escrituras del Arte', MACBA-Museu d'Art Contemporáni de Barcelona, España.·    Escola Eina, Barcelona, España. 

2001·    Charlas en el Centro Cultural de España, Lima, Perú. Talleres de la·    Quam, Barcelona y Universidad Politécnica de Valencia, España;   John Moores University y Liverpool Institute of Performing Arts, Liverpool, Reino Unido. Universidad de Los Andes, Universidad Jorge Tadeo Lozano y Academia Superior de Arte, Bogotá, Colombia. Museo de Arte Contemporáneo, Sevilla; Facultad de Bellas Artes, Universidad de Barcelona y Cárcel Modelo de Barcelona, España.

PUBLICACIONES2004·    HANGUEANDO-Periódico con Patas   nº 3, Póster, Terrassa. Impreso por El Perro en Madrid, España.·    DOVE VAI- Giornale Sul Binario . Versión tabloide, edición Sassuolo, Módena. Editado por aMAZE Cultural Lab, Milan. Italia. 

2003·    HANGUEANDO-Periódico con Patas nº 2, Póster, Puerto Rico. Impreso   por 22a en Barcelona, España.·    HANGUEANDO-Periódico con Patas . Versión tabloide, edición Barrio Venecia, Bogotá, Colombia.·    HANGUEANDO-Periódico con Patas nº1, Póster, autoedición, Bogotá, Colombia y Lima, Perú. 

2002·    HANGUEANDO-Periódico con Patas nº0, Póster, autoedición, Lima, Perú. 

2000·    Los Ladrones de Dinamita. AR Publicaciones, Barcelona, España. 

1995·    AMÉRICA . Fuego en el 55 ed. Barcelona, España.

COLABORACIONES2004·    Ciudad Hechiza, para la Revista Rebeca #1, Bogotá, Colombia.·    La Pura Oscura, para la revista Asterisco #7, Bogotá, Colombia.·    Maestro Plantillero, para Revista de Occidente # 273, Madrid, España.·    Los Vivos , para la revista Asterisco #6, Bogotá, Colombia.·    El Dibujante Dibujado, para D is for Drawing, Pilot Issue, Jan van Eyck Academie, Maastricht, Revolver, Frankfurt, June, 2004. 

2003·    Los Vivos , para la revista Casa Tomada #2, Palma de Mallorca, España. 

2002·    Cerros , para Revista Atlántica # 32, CAAM, Islas Canarias, España.·    Here, There and Elsewhere , proyecto editorial de David Blamey, Open Editions, Londres, Reino Unido.·    Liverpool , para la revista B-Guided #11 , Barcelona, España. 

2001·    Cheo, Richi y Bolas , para la revista Transversal, Lleida, España. 

2000·    Los 3 Suramericanos , para la revista gratuita Ginger coordinada por Audrey   Marhlens, Sabadell, Barcelona, España.·    Diktatura Ljubezni , con Carolina Caycedo para la revista Emzin nº 1-2 , Ljubljana, Slovenia.·    Las Ladronas de Dinamita , para la revista B-Guided # 3, Barcelona, España. 

1999·    SINDIOSNIPATRIANILEY , periódico gratuito. Coordinado por Angustias García e Isaías Griñolo Proyecto "Puerto de las Artes" , Muelle de las Carabelas, Forum Latinoamericano de La Rábida, Huelva, España.

BIBLIOGRAFÍA·    VV.AA, Calovski Yane ed. 'D is for Drawing', Pilot Issue, Jan van Eyck Academie, Maastricht, Revolver, Frankfurt, June, 2004.·    Serra Catalina, 'Miradas Cómplices sobre el Raval', El País, Barcelona, 24 de junio de 2004.·    Serra Catalina, 'Periódico Instantáneo', El País, Madrid, 16 de febrero de 2004.·    VV.AA. Space Invaders, 'Intervenciones Artísticas en Barcelona', 22a, Barcelona, 2004·    Pera, Rosa.   'Doble Seducción', en el catálogo de la exposición del mismo nombre, INJUVE, Madrid, 2004.·    Parcerisas, Pilar. 'Space Invaders', Avui, Barcelona, 20 de noviembre de 2003.·    Rodríguez, Víctor Manuel. 'The Relation Between Artistic Practices and Location' en el catálogo de la exposición Going Public, Museo di Arte Sociale e Territoriale, Milan, 2003.·    Villamarín. Paola. 'Vení, Sentate, Contame', El Tiempo, Bogotá, 4 de junio de 2003.·    Rodríguez, Víctor Manuel. ' La Relación entre las Prácticas Artísticas y la Localidad' encartado en la edición tabloide de HANGUEANDO-Periódico con Patas, Bienal Barrio Venecia, Bogotá,   2003.·    Villamarín, Paola. 'Las Obras se Quedan en Venecia', El Tiempo, Bogotá, 13 de mayo de 2003.·    Rodríguez, María Inés. Yes, 'En Cualquier Lugar Puede Suceder', en el catálogo de Puerto Rico'02 , M&M Proyectos, San Juan, Puerto Rico, 2003.·    Román, Elida. 'Una Acertada Curadoría', El Comercio, Lima, 18 de enero de 2003.·    Trivelli, Carlo. 'El Sino de Benjamín', El Comercio, Lima, 15 de diciembre de 2002.·    Quijano, Rodrigo. 'El Presente Aludido', en el catálogo de la exposición Benjaminiana, Centro Cultural de España, Lima, 2002.·    Martínez, Chus. 'El Fluir del Acontecimiento', La Vanguardia, Culturas, Barcelona 24 de julio de 2002.·    Pinilla, Benito. 'Exposición', La Luna, Madrid, 12 de julio de 2002.·    Perán, Martí. 'Raimond Chaves', en el catálogo de la exposición Arquitecturas Para El Acontecimiento, Espai d'Art Contemporàni, Castelló, 2002.·    Gili, Jaime. 'Raimond Chaves', LAPIZ, nº 182 , Madrid, abril de 2002.·    Blamey David.(ed.) 'The Street Museum', Colectivo Cambalache en Here, There, Elsewhere: Dialogues on Location and Mobility, Open Editions, London, 2002.·    Serra, Catalina. ' El dibujo consigue arañar protagonismo en una edición de Arco marcada por la fotografía', El País, Madrid 19 de febrero de 2002.·    Rivas, Quico. 'Los viajes de Federico Guzmán', ABC,   Madrid, 4 de agosto de 2001.·    Rivas, Quico y Sordo, Guadalupe. 'El Museo de La Calle Pasito a Pasito', El Plante #1, Sevilla, 2001.·    Rivas, Quico. 'El Laboratorio Colombiano', El Plante #1, Sevilla, 2001.·    Basualdo, Carlos. 'À Propos de l'Adversité', en el catálogo de Adversidade Vivemos. Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 2001.·    Pérez Rubio, Agustín. 'Antro-a-pologías', en el catálogo de la exposición del mismo nombre, Galería Luis Adelantado, Valencia, 2001.·    Martín Velázquez, Carmen. 'Retratos de la Vida y Se Buscan, dos reseñas inéditas sobre Los Ladrones de Dinamita'. Santiago de Compostela, 2001.·    Gras, Menene. 'Escenarios Domésticos' en el catálogo de la exposición del mismo nombre, Koldo Mitxelena, Donostia, 2001.·    Marxuach, Michy. 'Recuento del Evento' en el catálogo de Puerto Rico'00 [Paréntesis En La Ciudad], M&M Proyectos, San Juan, Puerto Rico, 2001.·    Rodríguez, Jorge. 'Paréntesis en la Ciudad', Escenario, San Juan, Puerto Rico, 7 de octubre de 2000.·    Ferrer, Melba. 'New Contemporary Art Show Seizes The Cultural Moment', The San Juan Star, San Juan, Puerto Rico, 7 de octubre de 2000.·    Varela, Mariana. 'El Museo de la Calle', en el catálogo de la exposición del mismo nombre en el Museo de la Universidad Nacional, Bogotá, 2000.·    Altaió, Vicenç. ' L'Espai 13, el laboratori d'investigació artística' , Barcelona Metrópolis Mediterránea #53, Barcelona, 2000.·    Rodríguez, María Inés. 'Expedición al Dibujo', Revista Valdez #4, Bogotá, 2000.·    Franco, Diana, 'Cambalache por Callejeras'. El Goce #14. El Espectador, Bogotá, 22 de octubre de 2000.·    Franco, Diana. 'Referencias Habladas con Dibujos 24 hrs'. El Goce #13, El Espectador, Bogotá, 15 de octubre de 2000.·    Molina, Margot. 'Sin Pretensión de Belleza', El País, 14 de julio 2001, Madrid, España.·    Serra, Catalina. ' Una exposición en el palacio de la Virreina revisa la "escena artística" de Barcelona', El País, Barcelona, 15 de abril de 2000.·    Uberquoi, Marie Claire. 'Una Casita Roja en la Virreina', El Mundo de Catalunya, Barcelona, 15 de abril de 2000.·    Clot, Manel, 'Raimond Chaves', en el catálogo de la exposición Inter-Zona, Institut de Cultura, Barcelona, 2000.·    Clot, Manel, 'Un Sonido Tremendo y Bestial', en el catálogo de la exposición Pasaje de Ida, Instituto de Cooperación Iberomaericana-Galería Antonio de Barnola, Barcelona, 1998.·    Bardagil, Miquel. 'L'Ombra de l'Arquitecte', en el catálogo de la exposición del mismo nombre, Fundació La Caixa, Vic, 1997.·    Rodríguez, Víctor Manuel. 'La Metáfora del Artista Viajero', en el catálogo de la exposición Tumba La Casa, Universidad de los Andes, Bogotá 1996.·    Botero Thierez, Manuela. 'Viaje a Través de los Mundos de Bogotá', El Tiempo, Bogotá, 21 de noviembre de 1996.·    Pera, Rosa. 'A Jugar!', en el catálogo de la exposición L'Escola Invisible, Tallers de la QUAM, 1988-1994, Barcelona, 1995.·    Fragmento de 'Que Viva la Música de Andrés Caicedo' en el catálogo de la exposición Màquina Íntima, Balmes 21, Barcelona, 1995.·    Regàs, Mónica. 'Balcones', El Guía-Ars Mediterránea #5-6, Barcelona, 1995.·    Regàs, Mónica. 'Raimond Chaves', Paladín de la Vida Moderna, en el catálogo de la exposición Guayabo, Espai 13, Fundació Miró, Barcelona, 1995.·    Portell, Susana, 'Diversión Cruda', El Observador, 27 de julio de 1992·    Clot, Manel, 'Cec, Sord, Mut', en el catálogo de la exposición del mismo nombre, Galería Ferran Cano, Barcelona, 1991.

ARTÍCULOS PUBLICADOS ·    'Patraseando Imágenes', en el catálogo de la exposición Doble Seducción, INJUVE, Madrid, 2004.·    'Reivindicación de la Artesanía', en el catálogo de la exposición Going Public, Museo di Arte Sociale e Territoriale, Milano, 2003.·    'Maestro Plantillero Revolú, en ¿Las Ilusiones Perdidas?' catálogo de la selección de artistas colombianos participantes en la Vª Bienal de Arte del Caribe, Santo Domingo, República Dominicana. 2003·    'Vení, Sentate, Contame', editado como póster para la exposición del mismo nombre en el espacio Valenzuela y Klenner-Arte Contemporáneo, Bogotá, Colombia, 2003.·    'Hangueando En El Cerro', en el catálogo de Puerto Rico'02 [En Ruta], M&M Proyectos, San Juan, Puerto Rico, 2003.·    'Trabajando en Movimiento y Working While Moving', para las exposiciones Perspectives Creuades, Can Felipa, Barcelona y Mobile Station, Stichting Kaus Australis, Rótterdam, Beca Hangar, Barcelona, 2001-2002.·    'L'illusión', con Carolina Caycedo y Federico Guzmán en el catálogo de la exposición D'Adversidade Vivemos. Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 2001.·    'Expedición a El Dibujo', con Federico Guzmán, Andrés Corredor y Manolo Jaramillo, en el catálogo de la exposición del mismo nombre, Fundación Gilberto Alzate Avendaño, Bogotá, 1999.·    'One year and three months later', en el catálogo de la exposición   That's what the ship brought, Galerija Skuc, Ljubljana, 1998.·    ' En el momento de lanzarse, uno ya lleva un tiempo cayendo', en el catálogo de la exposición Tumba La Casa, Universidad de los Andes, Bogotá, 1996.·    'El teléfono, un avión, el mar, dos ciudades, treinta y dos personas y un sotano...', en el catálogo de la exposición Bog25 Arte por para desde y contra Bogotá, Universidad de Los Andes, Bogotá, 1996.·    'Lo Importante... inédito', Barcelona, 1995.·    'Estamos perdiendo desde que empezamos...' en el catálogo de la exposición Guayabo, Espai 13, Fundació Miró, Barcelona, 1995.·    'Existen sólo tres cosas... (parafraseando a Borís Vian)', para la exposición Son las calles más largas de noche que de día, Galería Ferran Cano, Barcelona, 1994.·    ' La Vehemencia y El Relajo', para la exposición Diversión Cruda, Galería Ferran Cano, Barcelona, 1992.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.10 / estudio ubicación)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.10 / estudio ubicación)

 

 

Habitación para talleresPryecto de proyecciónPara el proyecto sonoroPequña habitación construida dentro de Casa de América, con tamaño a determinar

(Octubre 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (texto publicado)

 Ghostown es un proyecto fotográfico centrado en algunos de los nuevos barrios de Madrid y sus alrededores, principalmente Seseña -en el sur- y Valdeluz -al norte-. La serie recoge el estado de estos lugares tras la crisis financiera que ha afectado severamente a España a finales de 2008, desencadenando el colapso del sector inmobiliario.

Las construcciones en curso fueron o radicalmente suspendidas -como ocurrió en Valdeluz, una ciudad inacabada diseñada para 30.000 personas donde apenas viven unas 400 - o bien han sido dejadas vacías debido a la especulación, como ocurre en el caso de Seseña, donde la mayor parte de los propietarios nunca tuvo intención de vivir en esta zona remota y ahora se han encontrado con la imposibilidad de vender sus pisos. Así, Ghostown es un viaje a través de un extraño vacío y el melancólico estado sin vida en que han quedado estas áreas de construcción siempre en desarrollo.

A lo largo de MADRID ABIERTO 2010 Ghostown será expuesto en diferentes formatos: una publicación gratuita en formato a gran escala, una proyección de diapositivas en pantalla, postales y la publicación diaria de una de las imágenes en el periódico Público.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Oscar Lloveras (Cv)

BUENOS AIRES, 1960 VIVE Y TRABAJA EN PARISHTTP://OSCARLLOVERAS.COM/

FORMACIÓN ACADÉMICA 1986-1990    ·    Escuela Nacional Superior de Bellas Artes, París1994.    Escuela Práctica de Altos Estudios en Ciencias Religiosas (Sorbonne), París

EXPOSICIONES2004    ·    Galería Akié Arichi,Paris (exp.individual)·    Galeria Cité des Arts, Paris (exp.individual)·    Feria internacional Art Paris.·    Escultura pública, Hospital Bretonneau, Montmartre, Paris     ·    Escultura pública, Hospital Buillion, Ile de France  ·    Composición urbana, Lille, Capital europea de la cultura.·    Palacio Rihour, Lille (exp. Individual)·    Composición monumental, Shinrin Koen, Japon ·    Composición monumental, Observatorio de Medon.·    Feria Internacional Estampa, Madrid

2003    ·    Galería Storm, Lille (exp. individual)·    Instalación, Chapelle de la Salpétrière, París·    Homenage al Dalaï-Lama, instalación. Galería de Atrium, Chaville·    Bienal de Grabado, Ile de France, Versalles.·    Galería Pignon, Lille (exp.individual)·    Centro de Arte Faubourg de Betune, Lille (retrospectiva)

2002    ·    Galería Akié Arichi, Paris (exp. individual)·    Galería del Instituto Francés, Madrid (exp. individual)·    Feria Internacional Estampa, Tentaciones, Madrid·    Centro de Arte Contemporáneo Le Vivat, Armentières (exp. individual)·    Museo Nacional de Yokohama, Japón (exp. individual)·    2001    ·    Galería Akié Arichi, París (exp.individual)·    Centro de Arte Contemporáneo de Hanoura, Japón (exp. individual)·    Bienal de Issy-les-Moulineaux2000·    Centro de Arte Contemporáneo Albert Chanot, Paris (exp. individual)·    Centro de Arte Contemporáneo Zokey, Osaka (exp. individual) ·    1999    ·    Centro de Arte Contemporáneo St-Marie Madeleine, Lille (exp. individual)·    Museo Washi, Yamakawa (exp. individual)1998    ·    Centro de Artes gráficas, Hong Kong·    Museo de Locle, Suiza·    SAGA, París1997    ·    Galería Confluences, París·    1996     ·    Galería Bouscayrol, Biarritz·    Galería de Atrium, Chaville (exp. individual)1994    ·    Galería Théorème, Bruselas·    Fundación Charles Chaplin, Estonia1993·    Centro de Arte Contemporáneo La Ferme du Buisson, Marne-la-Vallée·    Galería Vittokiana, Bruselas1989·    Galería Godart, Sydney (exp. individual)·    Galería Horizons, Lille (exp.individual)

BECAS Y PREMIOS2000    ·    Premio de grabado de la Fundación J-One Art, Tokio·    1999    ·    Premio de la ciudad de Kamiyama (KAIR), Japón·    ·    Premio de la Comunidad Europea Strelli, Brusselas·    Premio Nacional de los Estudiantes en Artes, Buenos Aires

RESIDENCIAS ARTÍSTICAS KAIR, Japón, 1999. Museo Albert Chanot, Clamart, 2000. Centro de Arte Contemporáneo Le Vivat, Armentieres, 2001. Casa de Velázquez, Madrid, 2001. Lille Capital Europea, 2004.

COLECCIONES PÚBLICAS Fundación Bristol, Buenos AiresFundación Miss & Lang, Buenos AiresCiudad de LilleSASEM, ParísMuseo Albert Chanot, ClamartEPSM, LilleKAIR, JapónCiudad de Kamiyama, JapónCiudad de Tokushima, JapónInstituto Francés de MadridFundación Nacional, Hospitales de FranciaBiblioteca Nacional, Paris

PUBLICACIONESOscar Lloveras, Obras recientes, Ciudad de Lille, 1999Artist in residence, Edicion anual del KAIR, Kamiyama, Japón,1999Revista para las Artes, Fundación de la Industria, Tokushima ,Japón, 2000

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (imágenes publicación)

2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (imágenes publicación)

 

R-4, Seseña, Toledo

Extrarradio de Ciempozuelos, Seseña      Arroyomolinos

Rivas Vaciamadrid      Alcobendas   

Residencial Francisco Hernando, Seseña, Toledo    Vallecas    Arroyomolinos

Vallecas    Valdeluz, Guadalajara    Arroyomolinos   Arroyomolinos 

Valdeluz, Guadalajara    Valdeluz, Guadalajara    Valdeluz, Guadalajara   Vallecas

Las Rozas    Rivas Vaciamadrid    Cañada Real, Pinto    Valdeluz, Guadalajara

Residencial Francisco Hernando, Seseña, Toledo    Residencial Francisco Hernando, Seseña, Toledo   Residencial Francisco Hernando, Seseña, Toledo    Residencial Francisco Hernando, Seseña, Toledo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.09 / documentación visual)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.09 / documentación visual)

 

(Septiembre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit (Cv)

MARÍA ALÓSCAMBRIDGE, MASSACHUSETTS, USA, 1973VIVE Y TRABAJA EN MÉXICO D.F

NICOLÁS DUMIT ESTEVEZ SANTIAGO DE LOS TREINTA CABALLEROS, REPÚBLICA DOMINICANA, 1967VIVE Y TRABAJA EN NEW YORK WWW.IDENSITAT.NET

OBRA EN MADRID ABIERTO: EL MUSEO PEATONAL

MARÍA ALÓSFORMACIÓN ACADÉMICA2000·    MFA, Art Photography. Art Media Studies Department, Universidad de Siracusa, Nueva York.

1998·    Public Art and Urban Identities. Instituto Americano de Fotografía. Tisch School of the Arts. Universidad de Nueva York.

1995·    Computer Graphics. Diploma Program. Unidad de Posgrado de la Escuela de Diseño del Instituto Nacional de Bellas Artes, Ciudad de Méjico.

1994·    Fotografía. Escuela Activa de Fotografía , Ciudad de Méjico.

1993·    Fotografía. Escuela de Artes Visuales. Nueva York.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2004·    Incognito: D.F. Collection. nm projects . Galería Nina Menocal, Ciudad de Méjico·    The Passerby Museum . Proyecto de arte público en UNAM. Ciudad de Méjico·    FYI: The Passerby Museum . Window Project. La Lunchonette, Nueva York

2001·    Incognito . Artists Space. Nueva York

2000·    Come Play . Spark Gallery. Syracuse, Nueva York

1999·    In Bloom . Gallery 120. Syracuse, Nueva York·    Open . Gallery 120. Syracuse, Nueva York

1998·    Alter Ego y Ot ros Cuerpos . Centro Médico Nacional Siglo XXI. Fotoseptiembre 98', Ciudad de Méjico·    The Giantess. Gallery 120. Syracuse, Nueva York

1997·    El Ojo . Gallery 120. Syracuse, Nueva York

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    El Secreto esta en la masa . Cold Creations, Barcelona·    El Museo Peatonal e Indagaciones sobre la Colección MUCA CU . MUCA Roma, Ciudad de Méjico·    ASAP . Daimler Chrysler Building. Bordermates, Ciudad de Méjico·    Resistencia III SITAC . Teatro de los Insurgentes, Ciudad de Méjico·    Rehearsed . Longwood Arts Gallery, Bronx, Nueva York·    Collect/Recollect . ObjectNotFound Project Room. San Pedro, Nuevo Leon, Méjico·    Sunday Anxieties . Local Project, Nueva York

2003·    MHN.02   Modificaciones . Museo de Historia Natural, Ciudad de Méjico.·    La participación fue suspendida se desinstaló la obra tres horas antes de la inauguración. Ver documentación en www.origina.com.mx/mhn·    GO! Liquidación Total, Madrid·    Sexta Bienal de Video y Nuevos Medios, Santiago, Chile·    PrettyThingsPretty . Canzine Festival Programme, Toronto·    The Trespassers . Lyonswier Gallery, Nueva York·    Crossings : Artistic and Curatorial Practice. CAA 2003 Conference, Hilton Hotel, Nueva York·    Vertical Video . The Folsom Library Gallery, Rensselaer Polytechnic Institute, Troy, Nueva York·    Egeszsegedre . BPM Performance Space. Nueva York·    The Love a Commuter Project 2003 . Performance en estación de metro. El Museo del Barrio, Nueva York

·    Windows @ 42nd Street . Performance. Chashama, Nueva York

·    Circles and Squares . Jaraf Video @45 Below, Bleeker Theater, Nueva York

2000·    2000 Everson Biennial . Everson Museum of Art, Syracuse, Nueva York·    Master of Fine Arts Exhibition . Joe and Emily Lowe Gallery, Syracuse University, Nueva York·    The Fruit Show . Gallery 120, Syracuse, Nueva York·    Re-opening Show . Spark gallery, Syracuse, Nueva York·    Second Year Graduates Exhibition. Coyne Gallery, Syracuse University, Nueva York·    Women Art & Change . Wescott Community Center, Syracuse, Nueva York·    Media Blitz . Joe and Emily Lowe Gallery, Syracuse University, Nueva York·    Show-Show. Good Earth Café, Syracuse, Nueva York

1998·    Summer Show . Joe and Emily Lowe Gallery, Syracuse University, Nueva York·    National Graduate Seminar. Gulf & Western Gallery. Tisch School of the Arts, New York University

1997·    Art Photography Graduate Exhibition . Shaffer Art Building, Syracuse University, Nueva York

BECAS Y PREMIOS2002·    Beca Proyecto Independiente. Artists Space.

2001·    Premio ‘Best of Show' de eMotion Pictures: An Exhibition of Orthopaedics in Art. American Academy of Orthopedic Surgeons.

2000·    Programa ‘Artists in the Marketplace'. The Bronx Museum of the Arts.

1999–00·    Beca 3er curso. Universidad de Siracusa.·    Beca de verano. Universidad de Siracusa.·    Beca Investigación/Proyecto Creativo. Universidad de Siracusa.

1998·    American Photography Institute-National Graduate Seminar Fellowship. Tisch School of the Arts, New York University·    Syracuse University Teaching Assistantship and Scholarship

1997·    Syracuse University Scholarship

BIBLIOGRAFÍA·    Perea, Barbara. ‘ASAP'. Arte Contexto, Madrid·    Mallet, Ana Elena. ‘nmprojects: María Alós'. DF Magazine nº27. Ciudad de Méjico·    Oriard, Andres. ‘El Museo peatonal'. Exit Express, Madrid·    Mayer, Mónica. ‘El Museo Peatonal'. El Universal newspaper, Ciudad de Méjico·    Camil, Pia. ‘El Museo Peatonal'. Chilango Magazine, Ciudad de Méjico·    Pacho. “Museo Peatonal.” Ruidos de la Calle in the Culture Section. Reforma newspaper. Ciudad de Méjico·    López, Pancho. “Notas desde El Museo Peatonal”. La Crónica newspaper. Ciudad de Méjico Leñero, Isabel. “Artes Visuales—MUCA Roma.” Proceso Magazine. Ciudad de Méjico·    Ceballos, Miguel Angel. “Museo Peatonal”. Culture Section. El Universal newspaper. Ciudad de Méjico·    Núñez, Erika. “Crean museo de peatones”. Culture Section. Milenio newspaper. Ciudad de Méjico·    Blanco, Sergio R. “Toman ‘arte' de la calle”. Culture Section. Reforma newspaper. Ciudad de Méjico·    Terrazas, Kyzza. “El guiño como memorándum. Acercamientos a la obra de María Alos” . Revista Origina. Número Agosto. Ciudad de Méjico.·    Cotter, Holland. Art in Review. The New York Times, Nueva York·    Schmelz, Itala. ‘Acciones Propicias'. Arte Al Día News Mex. Ciudad de Méjico·    Villasmil, Alejandra. ‘ Exposiciones de arte en el Bronx exploran la identidad Latina'. El Híspano Newspaper, Nueva York·    Terrazas, Kyzza. ‘MHN: Recorrido Evaluativo; María Alós'. Catalog. Publicado por Origina. Ciudad de Méjico

2003·    Hernandez, Edgar Alejandro. ‘Denuncia Artista Censura de su Obra'. Reforma, Ciudad de Méjico·    Cotter, Holland. ‘The S Files'. Art in Review. The New York Times, Nueva York·    Helguera, Pablo. NYC Reviews. Art Nexus Magazine.·    Giovanotti, Micaela. ‘The S Files'. Tema Celeste No. 95

2002·    Cullen, Deborah and Noorthoorn, Victoria. ‘The (S) Files'. Catalogue. El Museo del Barrio, Nueva York·    ‘El Museo Peatonal Reabre en Enero'. El Caribe Newspaper. Santo Domingo·    Baptista, Greyza. ‘Bienal de Arte Joven en el Museo del Barrio'. Hoy Newspaper, Nueva York·    ‘El Museo del Barrio's Biennal' . El Caribe Newspaper. Santo Domingo·    Kalita, S. Mitra. ‘ With Touch of Color, Artists Help revive Downtown Block'. Newsday .·    ‘180: Maria Alos' Image Registry Intervention'. Lab 71: International Art Content. Issue 2. www.lab71.org, Nueva York·    Pictures of You Exhibition. El Norte Newspaper. Monterrey, México.·    Hernandez, Sofia. ‘Pictures of You'. Catálogo. The Americas Society. Nueva York·    Laster, Paul. ‘b.kyn 2.0, an online journal of the arts'. www.bkyn.com·    ‘AIM 21'. Catálogo. The Bronx Museum of the Arts. Bronx, Nueva York·    "Bleu&Blanc" Magazine. p. 96, number VIII. Fall issue. Ciudad de Méjico

2000·    Mellor, Carl. ‘Offbeat Art. Everson Biennial's focus on unconventional pieces should entice audiences'. Syracuse New Times.·    Friday, Matthew. ‘The Everson Biennial 2000, Postmodern Sublime'.   Nueva York Art Guide.

ARTÍCULOS PUBLICADOS·    Analysis on Panel Discussion. ‘The role of the Audience': Esther Shalev-Gerz, Leslie King Hammond y Krzysztof Wodiczko.·    Analysis on Panel Discussion. ‘New Strategies: Education of Public Artists': Judy Baca, Amalia Mesa-Bains y Susan Lacy.·    Synopsis on Miwon Kwon's lecture: ‘Public Art and Urban Identities'.  ·    ‘Eighth National Graduate Seminar Proceedings Journal: Public Strategies, Public Art and Public Spaces' . Publicado por American Photography Institute. Tisch School of the Arts, Nueva York University. Nueva York

2003·    ‘Morality and the Maker: Conscience as a consideration when creating contemporary art'. Mesa redonda moderada por Amy Goldrich en Mixed Greens, Nueva York·    ‘Visiting Artist. A Contemporary Cadavre Exquis'. Conferencia en SHiNE y Rush Philantropic Arts Foundation, Nueva York

2002·    Mesa redonda para Set in Motion. Apex Art. Nueva York·    Conferencia en The Americas Society for children para el proyecto B.R.A.C.E. (Bronx Region Access to Culture and English), Nueva York·    Conferencia en Thomas Erben Gallery, presentada por Louky Keijsers

2001·    Conferencia en Artists Space, presentada por Barbara Hunt·    ‘On Point: AIM21': conferencia en The Bronx Museum of the Arts, moderada por Edwin Ramoran

OBRA EN COLECCIONES·    Miriam and Ira D. Wallach Division of Art·    Prints and Photographs·    The Nueva York Public Library·    Astor·    Lenox and Tilden Foundations, Nueva York·    The Everson Museum of Art, Syracuse·    The New Museum of Contemporary Art, Nueva York

NICOLÁS DUMIT ESTEVEZFORMACIÓN ACADÉMICA2000·    Master en Bellas Artes. Tyler School of Art, Temple University, Philadelphia

1996·    Licenciatura en Artes cum laude (Studio Art), The City College of the City University of New York

EXPOSICIONES INDIVIDUALES

2004·    The Passerby Museum . Universidad Autónoma de Mexico (UNAM), Ciudad de Méjico. H ostos Community College, Longwood Art Project/The Bronx Council on the Arts, Bronx, Nueva York.

2001·    Cavum Gloriosum . Dixon Place, Nueva York

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    Good Enough to Eat . Performance presentada en Rita McBride's Arena at Sculpture Center, Long Island City·    S.O.S (Straight Off the Street): Moment , en colaboración con Mel Chin. Longwood Art Gallery/Project Room, Hostos Community College, Bronx, Nueva York.·    A.S.A.P. Daimler Chrysler Building, Ciudad de Méjico·    Re:source . Performance, Art In General, Nueva York·    Cabaret del Barrio . Heckster Theatre, Museo del Barrio, Nueva York·    CultureFest: Amigo Express , intervención presentada en LMCC's booth, Nueva York·    Freedom Salon, en colaboración con Mel Chin . Deitch Projects, Nueva York.·    The Passerby Museum . Museo de Ciencias y Arte (MUCA/Roma), Ciudad de Méjico·    No Lo Llames Performance/Don't Call It Performance . Museo del Barrio, Nueva York·    Jamaica Flux . Jamaica Center for Arts and Lea rning, Queens, Nueva York·    EA50 . Here Arts Center, Nueva York·    Super Salon . Samson Projects, Boston·    e-Bay-Buy or Sell or Buy . Pace Digital Galley, Pace University, Nueva York

2003·    Immigration and Expectations. Paul Robeson Gallery, Rutgers University, Newark, Nueva Jersey·    Insert . Cuchifritos, Nueva York·    In Practice . The Sculpture Center, Long Island City, Nueva York.·    Recuento de mis 15 . Bronx River Art Center, Bronx, Nueva York·    CultureFest: Not For Sale , intervención presentada en LMCC's booth, Nueva York·    The Caribbean Abroad . Newark Museum, Newark, Nueva Jersey·    Recession 2003, $99 Show , Cynthia Broan Gallery, Nueva York·    Orden Del Día . Museo de Arte Moderno, República Dominicana·    Espacios a la Experimentación II, Museo de Arte y Diseño Contemporáneo, Costa Rica                  ·    Video-Performance, Remote Lounge, Nueva York

2002·    White Box Annual Benefit Auction. White Box Gallery, Nueva York·    Trienal del Tile Cerámico, Museo de Arte Moderno, Santo Domingo·    Press . Southwest School of Arts and Crafts, San Antonio, Texas·    One Fine Day . Block Gallery, Sydney·    The S-Files . Museo del Barrio, Nueva York·    Looking In . Lower Manhattan Cultural Council, Nueva York·    Live from Downtown/Live Performance . Downtown Community Television (DCTV), Nueva York·    Hot Festival . Dixon Place, Nueva York·    The Love a Commuter Project 2002. Estaciones de metro 149th Street y Grand Concourse, Bronx, Nueva York·    Cultural Collaborations: Observations in Time and Space . Henry Street Settlent/Abrons Art Center, Nueva York·    PerfoPuerto/Festival Lationoamericano de Arte de Performance, Valparaiso, Chile

2001·    Peppermint . Smack Mellon Gallery, Brooklyn, Nueva York·    Mini Prints Portfolio . Lower East Side Printshop, Nueva York·    IV Caribbean Bienal. Museo de Arte Moderno, Santo Domingo·    Días Hábiles . Museo del Hombre Dominicano, Santo Domingo·    Spunky . Exit Art, Nueva York·    AIM 21 . The Bronx Mu seum of the Arts, Bronx, Nueva York·    Crossing the Line . The Queens Museum of Art, Queens, Nueva York·    Lecture Lounge Vol. I and II. P.S1/The Clocktower Gallery, Nueva York·    Recuerdos de Mis 15 . P.S.1/The Clocktower Gallery, Nueva York·    The Land Columbus Loved Best . Dixon Place, Nueva York·    The Love a Commuter Project 1999 . Times Square Subway Station, Nueva York

2000·    Super Merengue . Dixon Place, Nueva York·    Donors' Performance Night . Dixon Place, Nueva York·    B.U.M.F. Expo . Jersey City Art Tour 2000, Nueva Jersey·    Avant-Garde-Arama-Thon . P.S.122 Performance Space, Nueva York

1999·    The Y2K Solutions, Maryland Institute College of Art, Baltimore, Maryland and Mason Gross School of the Arts Gallery, Rutgers University, New Brunswick, Nueva Jersey

1995·    AccessZone 02, The Bronx Museum of the Arts, Bronx, NY

BECAS Y PREMIOS1997–02·    Franklin Furnace Fund para Performance Art, Nueva York

2004·    Programa de estudio de Lower Manhattan Cultural Council, New York·    Beca Puffin Foundation, Nueva Jersey·    Longwood Arts Project Cyber Residency, Longwood Arts Project/The Bronx Council on the Arts, Bronx, Nueva York

2003–06·    Lambent Fellowship in the Arts, Tides Foundation, Nueva York

2003·    Beca residencia de Artist Alliance Inc.'s Lower East Side Rotating·    Artists Alliance INC, Nueva York

2002·    Beca proyecto independiente, Artists Space, Nueva York·    Artist in Residence Fellowship, The Vermont Studio Center, Johnson·    2001–02 ·    The National Studio Program, P.S.1/MoMA, Long Island City, Nueva York   ·    Proyecto de colaboración cultural internacional, Snug Harbor, Trace·    Foundation y Henry Street Settlement/Abrons Art Center, Nueva York·    Special Editions Fellowship, The Lower East Side Printshop, Nueva York·    Artist in the Marketplace, The Bronx Museum of the Arts, Bronx, Nueva York·    1998–00 ·    Future Faculty Fellowship, Tyler School of Art, Temple University, Philadelphia, PA

1997·    Programa de residencia, Henry Street Settlement/Abrons Arts Center, Nueva York·    Rita Margrath Scholarship, Potters for Peace, Managua, Nicaragua·    Albert P. D'Andrea Award for Excellence in Art & Scholarship, The City College of the City University of New York

1995·    Connors Award, The City College of the City University of New York

PRESENTACIONES2004·    Hartwick College, Oneonta, Nueva York·    Queens Council on the Arts, Queens, Nueva York·    La Esmeralda, Mexico City·    Here Arts Center, Nueva York·    Educational Alliance, Nueva York·    Pace University, Nueva York ·    Sculpture Center, Nueva York·    Longwood Art Gallery, Bronx, Nueva York

2003·    Rutgers University, Newark NJ·    Aljira A Center for Contemporary Art, Newark, NJ

2002·    Johnson State College, Johnson, Vermont

2001·    The Bronx Museum of the Arts, Bronx, Nueva York·    Instituto de Arte y Cultura (ICA), Santiago, República Dominicana·    Museo de Arte Moderno, República Dominicana·    Universidad Tecnológica de Santiago, Santiago, República Dominicana

ARTÍCULOS PUBLICADOS Y BIBLIOGRAFÍA (selección)·    ‘Code Red', Tart, Canada 2004·    ‘Fefita al Oleo', Listín Diario, República Dominicana 2000·    ‘A Fuetazo Limpio', El Listín Diario, República Dominicana 2000·    ‘San Expedito se Muda a Manhattan', El Listín Diario, República Dominicana 2000·    ‘Open Wounds', Ceramics Technical, Australia 1999·    ‘Wedging Politics: Traveling the Nicaraguan Pottery Road', The Studio Potter, 1999·    ‘Post-Sandino, Pre-Columbian Pottery', Ceramics Technical, Australia 1999·    ‘The Matriarchal Hand', Contact, Canada 1998·    Mayer, Mónica, ‘El Museo Peatonal', Visual Arts Section, El Universal, Ciudad de Méjico 2004·    Camil, Pia, ‘El Museo Peatonal'. Chilango. Ciudad de Méjico 2004·    Pacho, ‘Museo Peatonal'. Ruidos de la Calle, La Reforma, Ciudad de Méjico 2004·    López, Pancho. ‘Notas desde El Museo Peatonal', La Crónica, Ciudad de Méjico 2004·    Leñero, Isabel. ‘Artes Visuales—MUCA Roma', Proceso, Ciudad de Méjico 2004·    Ceballos, Miguel Angel. ‘Museo Peatonal', El Universal, Méjico 2004·    Núñez, Erika, ‘Crean museo de peatones', El Milenio, Ciudad de Méjico 2004·    Blanco, Sergio R. ‘Toman ‘arte' de la calle', La Reforma, Ciudad de Méjico 2004·    Mandell, Meredith, ‘Artist Cooks Up Hot Performance', The Bronx Beat 2004·    Vega, María, ‘Las Travesuras Artísticas de Dumit Estévez', El Diario 2004·    Cotter, Holand, ‘Art in Review', The New York Times 2004·    Gennocchio, Benjamin, ‘Images of Tropical Lands, Issues of Caribbean Identities', The New York Times 2003·    Martínez, Arturo, ‘Caribbean artists show their visions of America',·    The Star Ledger 2003·    Walter, Robinson, Artnet 2003·    Amado, María del Carmen, ‘Nueva Bienal en el Museo de El Barrio', Hoy 2002·    Vega, María, ‘Abre Bienal del Museo del Barrio', El Diario 2002·    ‘The S-Files', El Museo del Barrio, Nueva York 2002·    ‘Latin American Biennial In New York', Artnet News 2002·    ‘El Museo Peatonal Reabre en Enero', El Caribe, Santo Domingo, República Dominicana 2002·    Baptísta, Greyza, ‘Bienal de Arte Joven en el Museo del Barrio', Hoy,·    Nueva York 2002·    Mitra , Kalita S. ‘With Touch of Color, Artists Help Revive Downtown Block', Newsday, Nueva York 2002·    Laster, Paul ‘bkyn 2.0, An Online Journal of the Arts', wwww.bkyn.com·    P.S.1/MoMA National and International Studio Program, Nueva York 2002·    Available in Large Print, The Lower East Side Printshop, Nueva York 2002·    Zayas, Antonio, ‘The 4th Caribbean Bienial in Santo Domingo', Artnexus no.44/volume 2·    Martínez, Labares, Vivian, ‘Viaje al centro de La Quisqueya: festival de Santo Domingo', Conjunto: Revista de Teatro Latinoamericano # 123, Habana, Cuba 2001·    Decena, Noris, ‘Arte por Doquier', El Listín Diario, República Dominicana 2001·    ‘El Museo del Hombre Exhíbe Días Hábiles', El Listín Diario, República Dominicana 2001·    ‘AIM 21, The Bronx Museum of the Arts', Bronx, Nueva York 2001·    Medína, Grisbel, ‘La Fundación Guaguarey Busca Unidad de los Artesanos del Higüerito',   El Listín Diario, República Dominicana 2000·    Medína, Grisbel, ‘Dumit Estévez', El Listín Diario, República Dominicana 2000

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Sierra. BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA (texto publicado)

 El artista Santiago Sierra ha realizado en telas e hilos negros una bandera de la República Española, que ha sido bordada por artesanos en Munich. Su intención, al crear lo que podemos denominar como un antisímbolo, es abrir una reflexión de carácter histórico, político, filosófico y estético sobre lo que ha podido suponer el fracaso de la II Republica Española en el contexto de nuestra historia contemporánea.

Esta reflexión se plantea en dos vías de actuación: la distribución de carteles con la imagen de esta bandera en las calles de Madrid y la presentación de la bandera en el Ateneo de Madrid. La presentación, por decisión del artista, correrá a cargo de dos ponentes de formación en estética y filosofía menores de cuarenta años. Esta elección responde a la pretensión de abrir la discusión sobre el papel de la memoria de la República a las generaciones más jóvenes. Los ponentes serán los críticos de arte y ensayistas José Luis Corazón (que recientemente ha editado el libro "La escalera da a la nada" sobre el pensamiento de Cirlot) y Fabio Rodríguez de la Flor.

Por un lado se pretende una comunicación masiva al intervenir en la calle interpelando al transeúnte con la imagen de la bandera negra, y por otro, el acto en el Ateneo supone un acto de mayor profundidad. La elección del Ateneo para realizar la presentación no es arbitrario, el artista pretende señalar el valor simbólico de este espacio como un ámbito dedicado a acoger el libre pensamiento, la discusión y el diálogo.

La reflexión planteada por los ponentes intentará profundizar en diversos puntos que de manera simbólica se dan cita en esta obra poniendo en relación lo histórico y lo presente de los ideales igualitarios en España, juntando elementos como el bordado, el lugar del bordado, las implicaciones del color, tanto hacia el luto como hacia lo libertario, los orígenes del régimen democrático, la pervivencia de desaparecidos, los intentos de silenciar la disensión.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.09 / documentación técnica)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (2009.09 / documentación técnica)

CINTA REFLECTANTEOrificios circulares en el envoltorio del andamio con cintas reflectantes de distintos colores.Longitud: aprox.200’Fuente: www.reflexite-europe.com

INVERNADERO PREFABRICADOInvernadero económico (prefabricado) con paneles de policarbonato puede aportar un espacio de exposición y talleres de debate.Tamaño: aprox. 8’ x 8’Fuente: www.elite-greenhouses.co.uk/

VERTEDOR DE BASURA (prefabricado)Disponible en el mercado, sistema de cubos usado para deshacerse de escombros desde posiciones verticales. Puede ser usado como un cono de sonido, transmitiendo el sonido a la acera.Fuente: www.oaklandsplastics.comTipo: Multi-vertedor (semi-rígido)Color: amarillo preferentementeTamaño: aprox. 60’ de largo

CORTINA DE TIRAS COLGANTES  DE PLÁSTICO PVCCortinas de tiras de plástico que sirven como entrada al edificio y al andamio.Color: amarillo.Tamaño: aprox.14’ x 14’Coste: aprox. 800$

HABITACIÓN DE CONOS DE TRÁFICO RECICLADOSUna pequeña habitación hecha de madera convencional y cubierta de 160 conos de tráfico reciclados del mismo tamaño. Esta habitación puede hacer de cuarto de sonido, lugar para los talleres…Tamaño contando con los conos: aprox. 10’ x 10’Número de conos: 196

BURBUJAS DE PLÁSTICOInfladas con un pequeño ventilador. Puede reflejar imágenes proyectadas.Cinta reflectante.Pequeños agujeros de colores en el envoltorio del andamio.Longitud: aprox. 200’Fuente: www.reflexite-europe.comReferencia: Raumlabor

MATERIAL PARA ENVOLVER ANDAMIOSMaterial disponible en el mercado para envolver sistemas de andamios, instalado a través de un proceso de calentamiento, se coloca en torno al andamio y es resistente a las inclemencias del tiempo. El andamio tras esta membrana, se convierte en la base para una variedad de pequeñas estructuras que se adaptan a diferentes entornos y programas.Tamaño del andamio: 8’ de ancho, envuelve la fachadaFuente: www.scaffoldwrap.com

(Septiembre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila (Cv)

GUADALAJARA, MÉJICO, 1974VIVE Y TRABAJA EN GUADALAJARA, MÉJICO D.F.OBRA EN MADRID ABIERTO: MIRADOR NÓMADA

FORMACIÓN ACADÉMICA1993·    Licenciatura en Arquitectura, Instituto Tecnológico y de Estudios·    Superiores de Occidente ITESO, Guadalajara, Jal., México

1997·    Taller de teoría "Nuevos medios/desaparición del objeto"

1994·    Cursos de fotografía y escultura, Academia de Bellas Artes, San Miguel Allende, Gto., México

1993·    Cursos de Arte y Arquitectuta del renacimiento, Academia ARS - Grammatica, Florencia, Italia

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2004·    Jose Dávila. Galería Enrique Guerrero, México D.F.

2003·    Untitled Elevation No 2. Les halles, Valais, Suiza·    ARCO'03. Project Room. Galería Enrique Guerrero, Madrid·    Erasing Memory. Galería Enrique Guerrero, México D.F.

2001·    Temporality is a question of survival. Camden Arts Center, Londres·    Monocromo. Project Room, México D.F.·    45 minute Project. Televicentro, Guadalajara, Jal. México

1998·    Watch your step. Galería 3.90 x 2.40 NAP, Guadalajara, Jal., México

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    Deconstruction for a construction. Galerie Valerie Cueto, París·    Light and atmosphere. Miami Art Museum, Miami·    Piel Fría /Peau Froide. Museo Carrillo Gil, México D.F.; Instituto de México en Paris

2003·    Cambio de valores. Colección ARCO/Espai de Art contemporani, Castellón·    In the absence of recombination. Bronx River Art Center, Nueva York·    IX Salón de Arte Bancomer. Museo de Arte Moderno, México D.F.; Museo de Arte Contemporáneo Alfredo Zalce, Morelia, Mich., México·    Mexico Iluminado. Freedman Gallery, Albright College, Philadelphia·    Mexico Attacks!. Associazione Prometeo per L'arte Contemporanea, Chiesa di San Matteo, Lucca, Italia·    Jetset. Museum of Installation, Londres·    The translator notes. Café Gallery Projects, Londres

2002·    Fatamorgana. Zero artecontemporanea, Piacenza, Italia·    INTER.PLAY. The Moore Building, Miami; MAPR San Juan, Puerto Rico·    Anonimous. Centro de arte Santa Mónica, Barcelona·    Panorama Emergente. III Iberoamerican Architecture Biennal, Santiago, Chile·    Mexico City: An Exhibition about the Exchange Rates of Bodies and Value. P.S.1 Contemporary, Nueva York; Art Center at Museum of Modern Art, Long Island City, Nueva York; Kunstwerke, Berlín·    Doble Interior. Visite la Casa Muestra, Galería ARTE3, Guanajuato, Gto., México·    Puerto Rico PR02. San Juan, Puerto Rico·    Casa, vestido, sustento. Plaza Carlos Pacheco, México D.F.·    Sauvage. La Panadería, México D.F.·    Teoría del Ocio. La Colección Jumex, Edo. de México

2001·    Asamblaire. Centre Culturel du Mexique, París·    The vanishing city. Programa Art Center, México D.F.; Centro de las Artes, Monterrey·    Recreo: Cuatro Artistas de Guadalajara. Galería Enrique Guerrero Open Studio, International Video Screenings, 291 Gallery, Londres·    Ventanas. Centro de Arte.com, Madrid

2000·    Cuarto de Demostraciones/La casa ideal. Museo Alejandro Otero, Caracas; Apex Art, New York; Gallery 400, Chicago; NICC, Antwerp, Bélgica.·    Artists Workshop, Oxford, R.U.·    Open Studio. Braziers Intl. Oxford, Inglaterra·    Fraccionamiento del terreno/a piece of the action. Galería Emma Molina, Monterrey·    Segundo Festival Internacional de Arte Sonoro, Museo Estudio Diego Rivera, México D.F.·    Propulsión a chorro. Museo de las Artes, Guadalajara, México

1999·    Ciencias In-naturales. Ex Teresa Arte Actual, México D.F.·    Look-Look, 1.Insideout ó Por qué ponerle dos rebanadas de jamón al sandwich cuando se le puede dar una mordida al puerco vivo? 2. Los secretos de victoria 3. Expose, Espacio 16/16, Guadalajara, México·    Yo y mis circunstancias / movilidad en el arte contemporáneo de México. Muestra de Video, Museo de Bellas Artes, Montreal, Canadá·    VIII Muestra Internacional de Performance (utopía/distopía). Ex Teresa Arte Actual, México D.F.·    Desmaterialización en raciones/Objeto de morfología. León, Gto.; Cineteca de Nuevo León, Monterrey, México·    El Arte Ataca. FIAC '99, León, Guanajuato, México·    Televisión Incidental. Grupo Incidental, Televicentro, Guadalajara, México·    En Busca De Un Lugar No Conquistado. Ex Teresa Arte Actual, México D.F.

1998·    Fotografía Incidental. Grupo Incidental, Guadalajara, México·    Doméstica. Grupo Incidental, Guadalajara, México

1997·    Obra al piso. Galería de Arte Contemporáneo, Guadalajara, México

1996·    Cien años de Cine. Universidad de Guadalajara, Guadalajara, México

BECAS Y PREMIOS 2004·    Residencia en Kunswerke, Berlín

2002·    Seleccionado para la III Bienal Iberoamericana de Arquitectura en Santiago de Chile

2001·    Residencia en Camden Arts Centre. Premio de The Andy Warhol Foundation.·    Seleccionado para la Bienal de Monterrey, member of Ediciones el chino·    Premio Jóvenes Creadores, FONCA, México

2000·    Residencia en Braziers Intl. Workshop, Oxford, Inglaterra

1998·    Beca para participar en el seminario 'Estudios de Arte Contemporáneo', FARCO A.C., Guadalajara, México

1996·    Mención Honorífica. Concurso de Arquitectura: 'Vivienda Estudiantil', Semana de Arquitectura,   ITESO, Guadalajara, México·    Mención Honorífica, Semana Cultural ITESO, ITESO, Guadalajara, México

BIBLIOGRAFÍA·    Gallo, Ruben, 'Cream 3', Phaidon Press 2003.·    Beith, Malcolm. 'Mexico's New Wave'. Newsweek International, Nueva York 2003·    'Cambio de Valores'. Catálogo de la exhibición. EACC, Castellón, 2003·    Macri, Teresa. 'Mexico Attacks'. Catálogo de la exhibición. Associazione Prometeo per l'Arte Contemporanea, Lucca, 2003.·    Capata, Paola. 'Assael, Caretto, Courbout, Davila'. Arte e Critica No. 33, Roma 2003·    Rivero Lake, Francisca. 'Jose Davila'. Art Nexus Magazine No.46, 2002·    'Interplay'. Catálogo de la exhibición. Moore Space, Miami 2002.·    Biesenbach, Klaus and Martín. 'Mexico City: An Exhibiton about the Exchange Rates of Bodies and Values'. Catálogo de la exhibición. P.S.1-Kunstwerke. Long Island City, Nueva York 2002.·    García, Omar. Periódico Reforma, Sección de Cultura, Méjico D.F. 2002.·    'Jose Davila'. Revista Celeste No. 3, 2001 - 2002·    Gallo, Ruben and Craddock, Sacha. 'Jose Dávila, Temporality is a question of survival'. Catálogo de la exhibición. Camden Arts Centre. Londres 2001.·    Currah, Mark. 'Jose Davila'. Time Out Magazine No. 1626, Londres 2001·    Smith, Dan. 'Jose Davila'. Art Monthly Magazine No. 251, Londres 2001.

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR + EMPTY WORLD (programa)

 

Empty World.

www.emptyworld.com 

Jornadas sobre resistencias Urbanas,

gentrificación y especulación inmobiliaria .

FEBRERO-2008

Jueves 21, Viernes 22 y Sábado 23.

Liquidación Total.

C/San Vicente Ferrer 23 Local 2

Metro Tribunal. Madrid.

 

 

J-21.18:00 h-21:00 h. 

Presentación Empty World (Asoc. de Vecinos de Malasaña – Acibu) Basurama. Colectivo emerge.es (Unidad sostenible) Andrés Jaque. (Arquitecto. Profesor de proyectos de ETS AM) 

 V-22. 18:00 h-21:00 h. 

Fernando Roch. (Catedrático de Urbanismo la ETSAM ) Francisco Gil. (Cooperativa Praxis)Democracia. 

S-23.18:00 h-21:00 h. 

 V de Vivienda. (Asamblea popular por el derecho a la vivienda) Jordi Claramente - Fiambrera Obrera. (Okupasa) Santiago Cirugeda. (Arquitecto) 

S-30.18:00 h-21:00 h.

Taller Empty World. (Patio Maravillas)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (2010.01 / documentación técnica)

2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (2010.01 / documentación técnica)

 

REFERENCIAS: TRABAJOS RELACIONADOS

THE HAGUE CITY HALLhttp://www.pablovalbuena.com/work/public-art/

( Enero 2010)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García (Cv)

CAMAGÜEY, 1971VIVE Y TRABAJA ENTRE MADRID, CIUDAD DE LA HABANAOBRA EN MADRID ABIERTO: ZONA VIGILADA

FORMACIÓN ACADÉMICA1993·    Instituto Superior de Arte, La Habana.

1996·    Taller de escultura impartido por Richard Deacon. ISA, La Habana.·    Taller de escultura impartido por Dean Knox. ISA, La Habana.

1995·    Taller de arte contemporáneo. Centro Wifredo Lam, La Habana.

1986·    Escuela Profesional de Arte, Camagüey.

1983·    Escuela Vocacional de Arte, Luis Casas Romero, Camagüey.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES2003·    Vídeo-show. Casa de las Américas. VIII Bienal de La Habana.

2002·    Out to the pagoda. Neutral Ground Gallery. Regina, SK. Canadá.

2001·    Sala transitoria. Fundación Ludwig de Cuba-C.D.A.V. La Habana.

2000·    Vídeo-show. Fundación Ludwig de Cuba, VII Bienal de La Habana.·    Unplugged. Centro de arte 23 y 12. La Habana.·    Vídeo-show. Controversia con el ghetto. C. C. Cinema. ICAIC. La Habana.

1998·    Sin celosías la encomienda va mejor. Centro Wifredo Lam. La Habana.1997·    Leyendas Caseras. Centro Cultural cubano-árabe. La Habana.·    1996 Virilidad Underground. Taller de serigrafía René Portocarrero.   La Habana.

1993·    Edictos. Galería Juan David. La Habana.

1992·    Rumbo al oasis. Galería Alejo Carpentier. Camagüey.

1991·    En pie famélica legión. Museo Ignacio Agramonte. Camagüey.

1990·    Guerrilleros vs Longobardos. Centro de Arte. Camagüey.·    Servidor afilado. Casona del F.C.B.C. Camagüey.

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2004·    Sin Embargo. Fluid Image. Grenoble, Francia.·    Muestra de Video Creación Iberoamericana. Madrid, España.·    II Muestra Internacional de Documental. Cádiz, España.·    Etats Generaux Du Film Documentaire. Lussas, Francia.

2003·    II Bienal de Cerámica en el Arte Contemporáneo. Albissola Mare, Italia.·    Al final del pasillo. C.6 # 218 Vedado. Censurada durante la VIII Bienal de La Habana.·    Doble Seducción. Sala Amadis. Madrid, España.·    Los Angeles Latino Film Festival. LA, U.S.A.·    Realización de arte y still en el cortometraje Molina´s solarix. Betacam.

2002·    Publicación NERTER no. 3-4. Tenerife, Islas Canarias.·    Arte Contemporáneo de Cuba. Colateral Bienal de Sao Pablo, Galería Martha Traba. Brasil.·    COPYRIGHT. Centro Cultural de España en La Habana.·    OVNI 2002, Muestra de Vídeo Independiente. C.C. Contemporánea de Barcelona.·    Dirección de Arte. Cortometraje The Friedman Castle. 35mm.

2001·    Políticas de la Diferencia, Arte Iberoamericano de Fin de Siglo.·    Internacional itinerante. Museo de Malba Buenos Aires, Museo de Sofia Imber Caracas, Centro Cultural de Sao Paulo, Museo de Arte Contemporáneo de P.R.·    Two Nations, work on paper. White Water Gallery, Canada / CDAV, La Habana.

2001·    III Salón de Arte Contemporáneo. Fototeca de Cuba. La Habana.·    XXI en el 21. GalerÌa Biblioteca Nacional. La Habana.·    Festival Cine Plaza de La Habana.·    Realización de Arte. Cortometraje Molina´s Test. 35mm.

2000·    H.E./V./A. M. Casa de Chile, VII Bienal de La Habana.·    IV Certamen de arte para Jóvenes. Castellón, España.·    Sin fin, sin contén, sin medida.. C.D.A.V. La Habana.·    A la vuelta del transvida. Intervención en la calle D'CLOUET, Cienfuegos.·    22 Festival Internacional del Nuevo Cine Latinoamericano de La Habana.

1999·    While Cuba waits. Art from the nineties. Track 16 Gallery, L.A. USA.·    Llocs Lliures. Séptima Edición, Xabia. España.

1998·    De una isla a otra isla. Habana-París, Fundación Ludwig de Cuba.·    II Salón de arte contemporáneo. C. Wifredo Lam. La Habana.·    Nuevos y Sinceros. C.D.A.V. La Habana.·    V Bienal de cerámica Amelia Peláez. Castillo de la Real Fuerza. La Habana.

1997·    A punto de cosido. C.D.A.V. La Habana.·    Antes de la lluvia. I.S.A. VI Bienal de La Habana.

1996·    Y la nave va. XX años del I.S.A. C.D.A.V. La Habana.

1995·    I Salón de arte contemporáneo. Museo Nacional de Bellas Artes. La Habana.·    El oficio del arte. C.D.A.V. La Habana.·    El rápido. Salón del I.S.A. La Habana.·    Algoritmos. C.D.A.V. La Habana.

1994·    No valen guayabas verdes. V Bienal de La Habana. I.S.A.·    Expo de premiados. Museo Provincial Ignacio Agramonte. Camagüey.

1990·    Salón Fidelio Ponce de León. Camagüey.

1991·    Salón de la Ciudad. Camagüey.

INTERVENCIONES2002·    A la víctima desconocida. Intervención en el patio de una casa de familia (antiguas fosas comunes de las víctimas de la Reconcentración de Weyler 1896-97). San José de las Lajas.

2001·    Kermesse al desengaño. Intervención en el patio de la escuela Manuel Ascunce Domenech, (cementerio de la parroquia, 1788-1841). San José de las Lajas, La Habana.

2000·    Lampo sobre la runa. Intervención en el Cementerio Judío (1906-1910). Guanabacoa. VII Bienal de La Habana.·    ¡A quitarse el antifaz! Intervención en el círculo infantil Conchita Mas Mederos (antigua casa de vivienda de familias pudientes). Ciudad de Cienfuegos.

1999·    Los que cavan su pirámide. Intervención en la Necrópolis Cristóbal·    Colón (1871-1888). Vedado, La Habana.

1999·    Controversia con el ghetto. Intervención en Ciudad Escolar Libertad (antiguo ·    Campamento Militar Columbia). Marianao, La Habana.

BECAS Y PREMIOS2004·    Artist in Residence. Agencia Española de Cooperación Internacional, España. Fluid Image, Francia.

2002·    Beca en John Simon Guggenheim Memorial Foundation, Nueva York.

2002·    Artist in Residence. Neutral Ground Run-Centre for Artist. Regina, California.

2000·    Premio ‘Raúl Martínez'. Fundación Himann, U.S.A. Instituto Superior de Arte, La Habana.·    Premio. Asociación Cultural Saloni. Castellón, España.

1999·    Beca C.O.S.U.D.E. Suiza - La Habana.

1994·    Premio. Salón Fidelio Ponce. Camagüey.

1993·    Premio. UNEAC, Salón de la Ciudad. Camagüey.

1992·    Premio. Salón Fidelio Ponce. Camagüey.·    Beca. Fondo Cubano de Bienes Culturales. Camagüey.

1991·    Premio. A.H.S. Salón de la Ciudad. Camagüey.

CONFERENCIAS2004·    Centro de Arte Museo Reina Sofía. Madrid, España.·    Colegio Mayor Sra. de Guadalupe. Madrid, España.

2003·    Stanford University. California, U.S.A.·    University South of Florida. Tampa, U.S.A.

2002·    University of Regina. SK. Canadá.·    Profesor Asesor de Dirección de Arte. Escuela Internacional de Cine y Televisión, La Habana.·    Miembro de la Sociedad General de Autores y Editores de España. SGAE·    Miembro de la Unión Nacional de Escritores y Artistas de Cuba. UNEAC·    Integrante de Producciones Doboch.

FILMOGRAFÍA 2004·    Sucedió en la habana (capítulo IV). 73min. Vídeo.·    Sucedió en la habana (capítulo I). 10min. Vídeo.

2003·    Sucedió en la habana (capítulo II). 50min. Vídeo.·    Triduto a Columbia . 5.56min. Vídeo.·    In memoriam . 2.30min. Vídeo.·    Reseña biográfica . 4.47min. Video.

2002·    Match con Indiana Jones . (reduce) 8.38min. Vídeo.

2001·    Sucedió en la habana . 13.20 min. Vídeo.·    Epitafios . 8.00 min. Vídeo.·    Match con Indiana Jones . 14.39 min. Vídeo.·    Almacén . 19.42 min. Vídeo.

2000·    Bocarrosa . 28,51 min. Vídeo.·    Controversia con el ghetto . 21min. Vídeo.

OBRA EN MUSEOS Y COLECCIONES·    Colección Tom Pattchet. Los Angeles. USA.·    Neutral Ground Run Centre and Gallery. Regina, SK. Canadá.·    Colección Asociación Cultural Saloni. Castellón. España.·    Museo Provincial Ignacio Agramonte. Camagüey.·    Museo Municipal de San José de las Lajas. La Habana.·    Videoteca Escuela Internacional de Cine. La Habana.·    Videoteca INJUVE. Madrid, España.

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR + EMPTY WORLD (textos publicados)

 TODO POR LA PRAXIS. (TxP) se presenta como Laboratorio donde ensayar proyectos de prácticas artísticas-activistas enfocadas a la amplificación estética-efectiva de los ciclos de lucha social. TxP se genera de la confluencia inevitable entre las prácticas artísticas-activistas, la praxis arquitectónica como proceso de interconexión entre espacio público y multitud, y la etnografía de la comunicación social enfocada a la constitución de espacios de intercambio inmaterial de oposición. Es una materialización epistemológica del capital cultural-social que las diferentes redes sociales de oposición a la hegemonía han ido tejiendo durante el último cuarto del siglo XX en las metrópolis post-industriales; un Laboratorio teórico-metodológico cuya función, en última instancia, es la investigación sobre los procesos de resistencia ontológicos de las subjetividades antagonistas.

En TxP presentamos 2 ejes de investigación a Madrid Abierto 08: Speculator- EmptyWorld. 

Speculator 

Apropiándonos de la imaginería del cómic hemos generado un superhéroe -o supervillano- estilo Marvell que personifica la idea semiconsciente del obrero masa, de la existencia de un sujeto-artefacto, el héroe positivo/negativo, que encarna la ideología del especulador/a realmente existente. A través de una serie de viñetas que se despliegan sobre el espacio del evento, y de la proyección visual sobre diferentes espacios, tratamos de publicitar a nuestro superhéroe del capitalismo social. La consigna de Speculator; “¡Bienvenidos al desierto de lo real!”, se transforma en la clave de lectura que nos permite realizar una deriva por Madrid como una recreación simbólica del poder inmaterial de la especulación inmobiliaria. 

Empty World. Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía 

Frente al problema de acceso a la vivienda de amplios sectores sociales, se contrapone un mercado inmobiliario sobredimensionado que obvia el patrimonio residencial existente, y que se encuentra abandonado o forma parte de los procesos especulativos. El móvil de este fenómeno es la ganancia especulativa obtenida a través del cambio sufrido en el valor del suelo entre la fase de abandono de la zona y su posterior revalorización. El análisis de estos procesos es el fin de Empty World.

Los/as vecinos/as del barrio son invitados a realizar una campaña de señalización -mediante pegatinas con el logotipo de Empty World (EW)- de las viviendas vacías en sus inmuebles/manzanas.

Se establece una Oficina de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía -Empty World- en el espacio de Liquidación Total. En el escaparate de Liquidación Total se reproduce la iconografía de las agencias inmobiliarias tradicionales y se ofertan viviendas vacías a potenciales inquilinos/as a través de un Catálogo (un registro de inmuebles desocupados) visual de las viviendas disponibles existentes en el barrio.

El proyecto incluye unas jornadas de trabajo en torno al fenómeno de la gentryfication y de la especulación inmobiliaria (véase Jornadas Empty World).

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 JORNADAS SOBRE RESISTENCIAS URBANAS, GENTRIFICACIÓN Y ESPECULACIÓN INMOBILIARIA

Liquidación Total.C/ San Vicente Ferrer nº 23 Local 2.Metro Tribunal. Madrid.

Jueves 21· Presentación Empty World (Asociación de Vecinos de Malasaña - Acibu).· Basurama (Acción urbana).· Colectivo emerge.es (Unidad sostenible).· Andrés Jaque (Arquitecto. Profesor de proyectos de la ETSAM).

Viernes 22· Fernando Roch (Catedrático de Urbanismode la ETSAM).· Francisco Gil (Cooperativa Praxis).· Democracia (Welfare State).

Sábado 23· V de Vivienda (Asamblea popular por el derecho a la vivienda).· Jordi Claramonte - Fiambrera Obrera (Okupasa).· Santiago Cirugeda (Arquitecto).

Sábado 30· Taller Empty world. Todo por la Praxis ó de cómo derribar el capitalismo desde su casa en 5 fáciles pasos:

1º.No somos lo que piensas que deberíamos ser. Tampoco lo que realmente somos. Somos una resistencia líquida que se auto-constituye permanentemente en relación a/con contextos fluidos, referenciales y autogestionarios. Somos un laboratorio de proyectos que practica la etnografía estructural sobre las prácticas artísticas activistas de oposición como formalizaciones potencialmente capaces de simbolizar el conflicto social en una ejecución estéticamente efectiva, en/sobre el espacio público. Somos el eco de la miseria de la filosofía, de sus derivaciones en/sobre el contexto social en el que se registra la retirada de los modelos-paradigmas y los relatos pos-post-modernos. Usted no lo sabe, pero todos somos un eje metodológico, una variante epistemológica entre varias. Primer paso para derribar el capitalismo desde su casa: Romper el silencio, hacerse visible como subjetividad antagonista; conviértase en un virus anticapitalista y propáguese.

2º.Somos siempre la otredad. Nunca nos re-conocerás. Somos elementos de agit-pop, una reformulación political-pop emanada de los estertores del espacio público –marginal- postindustrial del agitprop, un vínculo, un link extra-histórico, configurado como una resistencia total y multipolar a la hegemonía del capitalismo postmaterial. Somos un eje sobre el que se articulan tres ejes de investigación  (lo post-urbano, lo infra-urbano y lo supra-urbano) que representan la subjetividad proletaria en su axiomática preformativa de  poder, de una potencial transformación de una realidad, aparentemente, inmutable. Segundo paso para derribar el capitalismo desde su casa: Haga un esfuerzo, un pequeño esfuerzo, y recuerde qué era, qué creí ser, y qué quería ser antes de asumir lo que es; en el deseo habita el principio de la insurrección.

3º. Somos una consecuencia, el reverso oscuro impuesto por las fuerzas ciegas del capital, funcionando en piloto automático, que operan impersonalmente, sin pasión ni emoción, con su lógica seductora de control social-sensible de sujetos descoordinados en sus múltiples deseos gestionables. Como tal, actuamos como proyección del deseo de des-ocultación de una masa-muda. En función de la lógica del interés de clase, lo post-urbano esconde tras de sí cuestiones más sensibles que razonables, lo infra-urbano oculta ideas más románticas que efectivas y lo supra-urbano camufla una tranquilidad tan simulada, un bienestar tan débil y cuestionable que, por convincente, ha engendrado una revuelta suburbial que, además de cuestionar las formas institucionales, des-legitima su idea espectacular. De ahí la necesidad-social de un des-ocultamiento de los discursos y prácticas que se ocupan de la estructuración de lo urbano, centrándose en los sistemas de producción simbólica, circulación de sentido y procesos de significación social. Todas las prácticas encaminadas a inventar espacios de resistencia a los mecanismos-dispositivos de dominación son potenciales proyectos artísticos. Tercer paso para derribar el capitalismo desde su casa: Usted es un artista-activista; actúe como tal y genere su propio colectivo de autodefensa artística-activista.

4º. Somos alquimistas laicos que se oponen al capitalismo, ese espacio ficticio de gestión psico-técnica, el exhibicionismo minimalista de quienes sólo podemos trans-socializarnos en los márgenes de lo público-político a través del plotach  estetizado del intercambio de la desilusión intensa. Se trata de ampliar las prácticas artísticas como medios de articularse socialmente, como autores colectivos de nuestra propia experiencia, viviendo así la construcción de espacios de posición, como actores determinantes y no como espectadores pasivos. Cuarto paso para derribar el capitalismo desde su casa:Conviértase en un antagonismo innegociable; defiéndase del capitalismo.

5º. Somos un proceso; nuestro estado es un texto procesual derivado, una mala experiencia de identidades des-acopladas a una realidad virtualmente posible, imaginada como subjetividad potencial, congelada en la  fase proyectual. Somos explícitos, evidentes, pre-políticos: todas/os necesitamos rituales de autenticidad controlada y nosotros la proporcionamos en función de nuestra desmotivación existencial. Somos un laboratorio social post-situacionista generador de situaciones inmateriales capaces de alterar la nausea, la repetición sistémica. Somos el precariado intermitente, los insumisos de barriada que accedieron a sus academias, los primeros en encabezar la retirada urbana y los últimos en abandonar la trinchera epistemológica. Fuimos quienes gritamos contra lo inevitable antes de sumirnos en un mutismo decadente y posicional. Negamos el fin y los medios y ahora, reclamamos las calles como teatro de operaciones de las nuevas revueltas. Somos una provocación. Quemamos París en 2005 y volveremos a hacerlo. Seremos los primeros en sumarnos a una revolución, a una guerrilla por la auto-gestión de la economía simbólica del proletariado postindustrial. Éramos aquellos a quienes nunca nadie les vio en el lugar adecuado en el momento adecuado. ¡Somos invisibles! Tenemos en nuestras manos el quinto supuesto. Quinto paso para derribar el capitalismo desde su casa: Una nueva batalla está a punto de comenzar; prepárese para la revuelta global.

www.todoporlapraxis.com

www.emptyworld.es

www.speculator.es

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE (2010.01 / estudio ubicación)

2009-2010. Pablo Valbuena. TORRE  (2010.01 / estudio ubicación)

 

UBICACIONES PARA LA PROYECCIÓN

 

OPCIÓN A

 

OPCIÓN B

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena (Cv)

CÓRDOBA, 1962VIVE Y TRABAJA EN MADRIDHTTP://WWW.FERNANDOBAENA.COM/OBRA EN MADRID ABIERTO: FAMILIAS ENCONTRADAS

EXPOSICIONES INDIVIDUALES

2004    Ligero de equipaje. O Castelinho, Río de Janeiro, Brasil.2003    Caminos de Fernán-Núñez. Galería Magda Bellotti, Madrid.2001   Spanish executives. Bamboo Curtain Studio, Taipei, Taiwan.1999    De la economía. Sala de Arte del Ayuntamiento de Málaga. 606 m. de cuerda deshecha a mano II. Galería Valle Quintana, Tránsito, Toledo.1998    606 m. de cuerda deshecha a mano. Galería Valle Quintana, Madrid.            Desaprovechamiento de 128048580 cm3. de espacio expositivo de ZAT, Madrid.             Escenario. Cruce, Madrid.1997    Trile. Cruce, Madrid.    1996    Estoy aquí. Cruce, Madrid.             No-separados y no-unidos. Palacio de la Merced, Córdoba.1994    Pasillo. El Ojo Atómico, Madrid.1993    Sobre Mallarmé. Museo Municipal de Palma del Río, Córdoba.1992    Haz y envés. Galería Dziekanka, Varsovia,Polonia.1991    Centro de Recursos Culturales, Madrid.1990    Galería Carmen Romero. Marbella, Málaga.1988    Ayuntamiento de Fernán-Núñez, Córdoba.1987    Centro Cultural Huerta de la Salud, Madrid.1986    Colegio de Arquitectos de Córdoba.            Librería-Galería El Alef, Córdoba.1985    Palacio Ducal de Fernán-Núñez, Córdoba.1984    Ayuntamiento de Fernán-Núñez, Córdoba.

EXPOSICIONES COLECTIVAS

2004    Caminos de Fernán-Núñez. CO.04: Sala Puerta Nueva, Córdoba; Fundación Vázquez Díaz, Nerva, Huelva;    Museo de Adra, Almería.            In Memoriam. Loop´04, Barcelona. Galería Magda Bellotti, Madrid.            [R] [R] [F] 2004--->XP: Basics Festival, Salzburgo, Austria; Electronic Art Meeting, Pescara, Italia; VI Salon   y Coloquio International de Arte Digital, La Havana, Cuba; The International Festival of New Film/New Media, Split,  Croacia; Public Space_Festival Yerewan, Armenia; West Coast Nomusic & Electronic Arts Festival Stavanger, Noruega; Biennale of Electronic Art Perth, Australia; 1er International Digital Art Exhibition - Orilla'04. Museo de Arte Contemporáneo Art/Foro Universitario Santa Fe, Argentina; FILE - Electronic Language Festival. Sao Paulo,  Brasil; 404 - Electronic Art Festival. Juan B. Castagnino Art Museum, Rosario, Argentina Karaoke. Festival 143 delicias, L'Antic Teatre. Barcelona; Presentación de SOS Emergin Sumergin Art. Doméstico, Madrid; Control Remoto, MUCA-Roma, México D.F.

2003    Inclassificados 0. Espaço Bananeiras. Río de Janeiro, Brasil.            Inclassificados 1. Espacios SESC. Itinerante, Brasil.            Vídeo del deseo III. Barrios creando barrios, Madrid; MAD.03 Alterno, Madrid.            Infra-Lavapiés 03. Barrios creando barrios, Madrid; MAD.03 Alterno, Madrid.            Tres cuadros de corrala. Barrios creando barrios, Madrid; MAD.03 Alterno, Madrid.             36 caídas en Cerro Muriano. MAD.03 Digit, Madrid            Karaoke. Mínima 2003, Gandía             III Festival de Vídeo143 Delicias. Madrid.             Un ejecutivo español, aprox. Art Palace, Madrid            Deshaciendo el camino. Mirador, Berzosa del Lozoya, Madrid2002    Estoy aquí. Desesculturas. Castillo de Santa Bárbara, Alicante; Círculo de BBAA, Madrid.            Negro. A Caixa. Brasilia, Brasil.            Spitting image (con L.H.F.A.). El Papel del Papel. Galería Moriarti, Madrid.            La Ira. Ardearganda, Arganda del Rey, Madrid.            Karaoke. XXXII Festival de Cine de Alcalá de Henares. Madrid; I Festival de Vídeo de Ibi, Alicante.            La fuga. Per amor a l´art, Palma de Mallorca.           Sustitución de doce objetos. Casas y Calles, Madrid.           Passport (con L.H.F.A). Coslart, Coslada, Madrid.           Prácticas de invisibilidad V. Ven y Vino, Galería Chofereta, Madrid.2001   Coma. Sala de Exposiciones de Plaza de España de la Comunidad de Madrid.           El baile de mi Tani (con L.H.F.A.). Érase una vez... Lavapiés, Madrid.           Un ejecutivo español, aprox. III Bienal de Artes Plásticas, Córdoba            Vídeo del Deseo. Festival de Sesenta Piedras, Hualien, Taiwán.2000   Coma. Overgaden, Copenhague, Dinamarca.           19.973.196 cm2 de la Galería Valle Quintana. Galería Valle Quintana, Madrid.           Balones. Llocs Lliures, Xavea.            25 artistas, aproximadamente. Revista caminada nº 8. Ventas, Madrid.           Performance torera VI. Homenaje a José Ángel Valente. Torrelodones, Madrid.1999   Venta El Tigre (con L.H.F.A.). Espacios Cruzados, Univ. Autónoma, Madrid.            Venta El Tigre (con L.H.F.A). La ciudad y la tierra. Cruce, Madrid.           Hogar. Window 99, Madrid.           Monumento a la propiedad privada V. Rehabi(li)tar Lavapiés, Madrid.1998    Línea de azufre. Ex. Facultad de Bellas Artes de Madrid.            Spanish executives, 30 m2, approximately. Overgaden, Copenhague.            Ropa Vieja. Abierto. Cruce, Madrid.            Prácticas de invisibilidad III. Revista caminada nº4. La Latina, Madrid.            Prácticas de invisibilidad IV. IV Encuentro de performance. Pola de Lena, Asturias.            Pídola. Revista caminada nº6. Lavapiés, Madrid.1997    Residuos. Purgatori, Valencia.            Cesta de Navidad. Zona de Acción Temporal, Madrid.            Performances en Fotomatón. De viva veu. ARCO 97, Madrid.            Performance torera IV. Revista Aire. ARCO 97, Madrid.            Espectador. Revista caminada nº1.Tetuán, Madrid.            Muerte violenta (seis versiones). Vélez de Benaudalla, Granada.            Performance torera V. Revista caminada nº2. Atocha, Madrid.            Prácticas de invisibilidad. Per amor a l´art, Palma de Mallorca.            Prácticas de invisibilidad II. Revista caminada nº especial. Palma de Mallorca.            Bucle. Revista caminada nº3. Lavapiés, Madrid.1996      Programa. Sin Número. Arte de Acción. Círculo de BBAA. Madrid.           Movimiento e Inercia. Universidad de Valencia.           Araña. Calefacción y agua caliente en todos los pisos. Círculo de BBAA. Madrid.           Escarabajo pelotero. Arte Algo. Navalagamella, Madrid.           Performance torera I. De Viva Voz. Revista hablada nº2. Gal. Gayo Arte, Madrid.           Performance torera II. Revista caminada nº0. Lavapiés, Madrid.            Performance torera III. Teoría y Práctica de la Acción. Cruce, Madrid.1995    Improvisación. Encrucijadas. Alcázar de los Reyes Cristianos, Córdoba. 1994    Cubo. Islam y Arte Contemporáneo. Palacio de Congresos y Exposiciones, Córdoba.               Vigas. El artista es una abstracción. Cruce, Madrid.            Nichos. Pintar el museo. Museo Provincial de Bellas Artes, Córdoba.1993    II Encuentro y Nuevas formas de creación. Granada.                    Círculo. Estable-cimiento, Madrid.            III Festival Internacional de Arte Raro y Performances. Madrid.            I Beca de Artes Plásticas. Diputación de Córdoba.1992    En el abismo del milenio. Palau de la Música, Valencia.            Córdoba Arte Contemporáneo 1957 - 1990. Córdoba.            Minuesa. II Festival Internacional de Arte Raro y Performance. Madrid.1991    Galería Válgamedios, Madrid.1990    Circuitos de la Comunidad de Madrid. Centro de Recursos Culturales, Madrid.             Galería Carmen Romero. Marbella, Málaga.1989    22 sub 35. Sala de Capitulares. Córdoba.            Galería Carmen Romero. Marbella, Málaga. 1988    7 pintores 7. Diputación de Córdoba y CajaSur, Madrid.            4 Angular. Casa de Cultura de Fuengirola, Málaga.1987    Libros de Cabecera. Librería-Galería El Alef, Córdoba.1986    Colegio de Arquitectos de Sevilla.            Galería Villalar, Madrid.1985    Espacio P, Madrid.            Boulev’art 85. Nîmes.            Pintores de Emergencia. Posada del Potro, Córdoba.1984    Jaima Cultural. Córdoba. Itinerante.            La Carbonería. Sevilla.

PUBLICACIONES Y BIBLIOGRAFÍA SELECCIONADAS

Álvarez Enjuto, J. M. ‘En el curso del margen’, Catálogo C. R. C. Madrid, 1991 Álvarez Enjuto, J. M. ‘Fernando Baena’,  Revista LÁPIZ  nº 149 -150, 1999 Álvarez Reyes, J. A. ‘La clausura de l'espai d'exposicio’, Papers d´Art nº68, 1996 Álvarez Reyes, J. A. ‘En proceso’, Catálogo CoMa. Comunidad de Madrid, 2001 Castaño A. ‘Fernando Baena’, ABC Cultural nº255, 1996 Castro, Fdo. ‘Un lugar crítico’, Catálogo Ojo Atómico, 1996 Castro, Fdo. ‘Un lugar crítico’, Revista CIMAL nº50, 1998 Castro, Fdo. ‘La épica escultórica de Fernando Baena’, ABC Cultural. nº369, 1998 Castro, Fdo. ‘Chapuzas a domicilio’. Catálogo De la Economía, Sala de Arte del Ayto. de Málaga. 1999 Castro, I. ‘Residencia’. Catálogo Estoy aquí, A. C. Cruce, 1996 Castro de , Mª A. Catálogo Galería Dziekanka, 1992 Cereceda, M. ‘De los diversos modos de desperdiciar la vida’. Catálogo De la Economía, Sala de Arte del Ayto. de Málaga. 1999 Cereceda, M. ‘Desesculturas’. Cat. Desesculturas, Fundación Eduardo Capa, 2002 Clot, M. ‘Extensiones de experiencia’. Catálogo No-separados y no-unidos, 1995 Gabilondo, A. ‘Por los detalles’. Catálogo Escenarios, A. C. Cruce, 1998 García Yelo, M. ‘Koch/Baena’. ABC Cultural nº617. 2003 Herrera. I. ‘¿Hay alguien ahí?’. Catálogo Estoy aquí, A. C. Cruce, 1996 Jurado, M. Catálogo Especulación, A.C.Cruce,1993 Kendzulak, S. ‘A reminder to us all’, Taipei Times, 9 septiembre, 2001 Llorca, P. ‘La escultura desarticulada’. Cat. Desesculturas. Fund. Eduardo Capa, 2002 Olmo, S. ‘Escenarios para una disolución’. Cat. Desesculturas. Fund. Eduardo Capa, 2002 Pérez Villén, A.L. ‘F.B. Proceso artístico y naturaleza’. Revista El Guía nº6, 1990 Pérez Villén, A.L. ‘Sólo pintura’. Catálogo Especulación, 1993 Pérez Villén, A.L. ‘La restauración de la pintura y F.B’. Cuadernos del Sur, 1993 Pérez Villén, A.L. Catálogo Pintar el museo, 1994 Pérez Villén, A.L. ‘Fernando Baena’. Revista Lápiz nº111, 1995 Pérez Villén, A.L. ‘Otra escultura andaluza’. Revista Lápiz nº116, 1995 Pérez Villén, A.L. Catálogo Encrucijadas, 1995 Pérez Villén, A.L. ‘Una mirada retrospectiva’. Cat. No-separados y no-unidos, 1995 Pozuelo, A.H. ‘Eva Koch y Fernando Baena’. El Cultural El Mundo, 27-11-2003. Navarro, M. ‘Escenarios de Mayo y Baena’. ABC Cultural nº335, 1998 Navarro, M. ‘Fernando Baena’. El Cultural La Razón nº7, 1998 VV.AA. Catálogo Córdoba arte contemporáneo, 1990

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (horario)

 

H O R A R I O

de

A T E N C I Ó N

P Ú B L I C A

10:00 h

a

14:00  h

Del 18 al 24 de febrero

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2010.01 / revisión proyecto / ubicación)

2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2010.01 / revisión proyecto / ubicación)

 

Las variables para escoger una localización son principalmente las posibilidades de proyectar tridimensionalmente (en esquina), la disponibilidad de una zona donde colocar el/los proyectores con facilidad y un material de fachada claro.

Después de sopesar varias opciones dentro del eje Paseo del Prado/Recoletos me he decantado por la zona del Museo del Prado, que permite la visión de la fachada y gracias a la zona peatonal permite posicionar la estructura de los proyectores, algo que en otras localizaciones consideradas no es factible en el ángulo y distancia necesarios. Se plantean dos posibles localizaciones.

   

 

Plano de la zona con dos posibles localizaciones:

  

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto (Cv)

FUNDADO EN 1998JULIO CASTRO MONTERREY, NUEVO LEÓN, MÉXICO, 1976GABRIEL CÁZARES, MONTERREY, NUEVO LEÓN, MÉXICO, 1978ROLANDO FLORES TOVAR, MONTERREY, NUEVO LEÓN, MÉXICO, 1975VIVEN Y TRABAJAN EN MÉXICO D.F. WWW.TERCERUNQUINTO.ORG

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2003Proyecto para la Unidad Belén de la Universidad de Guanajuato, Festival Internacional Cervantino, Unidad Belén (Facultad de Arquitectura y Facultad de Ingeniería), Guanajuato, México.

2000Dibujos, registro de obra y textos del Colectivo 3er 1/5. Ciclo de artistas emergentes, Alianza Francesa de Monterrey, Monterrey, México.

1999La Bf15+Pared. Galería Bf15, Monterrey, México.

1998Pared. Primera Muestra de Creación Contemporánea, Espacio Cultural Voladero, Monterrey, México.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2004White Noise, REDCAT, Los Angeles, USA.BlueOrange Prize, Martin Gropius Bau, Berlin, Deutschland.Solo los personajes cambian, Museo de Arte Contemporáneo de Monterrey, Monterrey, México.Radicales Libres, Central de arte, Guadalajara, México.Proyectos para MUCA-Roma, Museo Universitario de Ciencias y Arte-Roma, Ciudad de México, México.

20034ª. Bienal do Mercosul, Arqueologías Contemporáneas, Pabellón de México, Porto Alegre, Brasil.In the Abscense of Recombination, Bronx River Art Center and Instituto de México, New York, USA.Instant City, Centre Culturel du Mexique, París, France.Espectacular, Centro Cultural de España, Ciudad de México, México.

2002México: Sensitive Negotiations, Instituto Cultural de México y Consulado General de México en Miami, Miami, USA.Zebra Crossing, Haus der Kulturen der Welt, Berlin, Deutschland.Intangible, Exposición Homenaje a Luis Barragán, Casa ITESO- Clavijero, Guadalajara, México.Architectures Consanguines, Galerie Roger Tator, Lyon, France.Ici Alleurs, Centre Culturel du Mexique, Paris, France.Sala de Recuperación, Museo de Arte Carrillo Gil, Ciudad de México, México.

2001Metropoli Mexique, Musée de Picardie, Amiens, France.Cómo es que los autos no vuelan aún, Centro de las Artes de Nuevo León, Monterrey, México.XXI Reseña de la Plástica Neoleonesa, Casa de la Cultura de Nuevo León, Monterrey, México.

20001er Festival de Arte Público, Festival Cultural Barrio Antiguo, Monterrey, México.Transiciones, Centro de las Artes de Nuevo León, Monterrey, México.XX Reseña de la Plástica Neoleonesa, Casa de la Cultura de Nuevo León, Monterrey, México.

1999Desplazamiento, X Teresa Arte Actual, Ciudad de México, México. Intervenciones-Instalaciones en sitio, Casona Blanca, Montemorelos, México.

19983era Bienal Regional de la Plástica Joven, Casa de la Cultura de Nuevo León, Monterrey, México.2do campamento por la diversidad, la tolerancia y la no violencia, Tepoztlan, México.Homeless, casa particular, Monterrey, México.

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (textos publicados)

ALQUILER DE AZOTEASInstale apartamentos reversibles en la azotea de su edificioUna manera de crear vivienda en arrendamiento sin coste de sueloServicio de asesoría y construcción gratuito:·    Redacción del contrato de arrendamiento·    Estudios de sobrecargas e instalaciones·    Materiales y dirección del montaje.

 

BOLETÍN INFORMATIVO

- Dentro de una tendencia con marcada herencia histórica, como es la de realizar construcciones en azoteas y terrazas, habitualmente utilizadas para ampliar las viviendas, consolidar una nueva o construir  trasteros, se plantea en la instalación de una de estas construcciones, con el fin de dar solución al acceso a la vivienda a D. ….....

- Fiel al respeto en la convivencia entre vecinos, y de acuerdo con la ley de Propiedad Horizontal del Código Civil, se insta a los copropietarios a dar su conformidad para dicha instalación, siempre y cuando se cumpla lo descrito en el convenio de régimen interno suscrito por los diferentes representantes de la comunidad de vecinos.

- La construcción en cuestión es de tipo ligero, de obra seca y reversible. Construida con forjados de madera, estructura de acero, y elementos de cerramiento ligeros, nunca utilizará fábrica de ladrillo. Todo este sistema permite la reversibilidad de la vivienda, y su  posible desmontaje sin generar ningún daño a la estructura del inmueble en el que se deposita, cuestión fundamental en la consideración dentro del Código Civil, como bien mobiliario.

El arquitecto Santiago Cirugeda, redactor de la propuesta, lleva realizadas, desde el año 2000, varias situaciones de autoconstrucción en cubiertas, que han generado una buena convivencia entre vecinos, un aporte económico para  el arreglo de elementos comunes del inmueble, y que ha permitido el acceso a una vivienda a personas con una capacidad económica reducida.

* Nota: ver alquiler de azoteas en www.youtube.com

 

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CONVENIO   DE   RÉGIMEN   INTERNOComunidad de propietarios del inmueble situado en el Nº

La comunidad de copropietarios, del inmueble situado en el número    de la calle, y cuyos representantes: (listado)D.D.D.D.Dª.Dª

a partir de ahora, la comunidad, reunidos con : D.    , a partir de ahora el nuevo inquilino, y D. Santiago Cirugeda,  a partir de ahora el arquitecto, firman el presente convenio.

PRIMEROLa comunidad permitirá que el nuevo inquilino instale en la cubierta superior del ático una vivienda reversible, de obra seca, de acuerdo al proyecto del arquitecto Santiago Cirugeda, que se hace responsable de la estabilidad de la misma y de la azotea en la que se instala.

Dicha construcción se equipara al resto de ampliaciones de viviendas y trasteros que se pueden observar en numerosas edificaciones vecinas. En nuestro caso, nunca superará el 30% marcado por la ordenanza municipal, de la superficie donde se instala.

SEGUNDOQue el nuevo inquilino correrá con los gastos de montaje, y evitará, en la medida de lo posible cualquier inconveniente a la hora del acopio y subida de materiales. El montaje, que no necesita maquinara ruidosa, se hará en horas laborales, y fines de semana.

TERCEROPor el uso de dicha cubierta, el inquilino pagará un alquiler mensual de 200 euros, durante 5 años, que revertirá en beneficio de la comunidad.Igualmente afrontará los gastos de comunidad que estén en vigor, por tiempo indefinido, durante el cual estará la vivienda instalada.

CUARTOLas acometidas eléctricas y conexión con bajantes y tomas de agua, se realizarán a través del inmueble situado en el ático, pudiendo formalizarse con el  propietario del mismo, el contrato de arrendamiento que justifique el ingreso a la comunidad, y el empadronamiento del inquilino.

QUINTONo se podrá transmitir por venta, dicha vivienda. Quedando el uso reservado al inquilino en cuestión y  la pareja del mismo. El régimen de convivencia será el mismo que asumen el resto de inquilinos, primando el respeto al descanso, y la buena convivencia entre los mismos. SEXTOCualquier obra para facilitar el acceso a la azotea, así como cualquier daño que se pudiera generar en la misma, correrá a cargo del nuevo inquilino.

SÉPTIMOCualquier solicitud, por parte de la administración, que pueda ser requerida para la estabilización del inmueble, así como la constitución de la legalidad del mismo, será solucionada bajo la responsabilidad del Arquitecto.

Madrid  2007

Firmado: Los representantes de la comunidad

D.                                                                 D.

D.                                                                D.

Dª.                                                               Dª

Fdo: D.            El nuevo inquilino.                 Fdo: D.Santiago Cirugeda. El Arquitecto.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2010.01 / revisión proyecto / documentación visual)

2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2010.01 / revisión proyecto / documentación visual)

 INSTALACIÓN Algunos bocetos que ilustran posibles estados de la pieza.

    

    

 

REFERENCIAS

La línea a seguir será cercana a estas dos piezas, en una escala intermedia entre las dos instalaciones:

The Hague City Hall - videowww.pablovalbuena.com/videos/the_hague_video.html

 

Extension - videowww.pablovalbuena.com/videos/extension_video.html

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon (Cv)

CHARLES BLANC / SAINT ETIENNE, FRANCE, 1974TRISTAN SURTEES / UNITED KINGDOM, 1977VIVEN Y TRABAJAN EN GLASGOW WWW.SANSFACON.CO.UK

CHARLES BLANC1999· March, Advanced Architectural Design, Universidad Strathclyde, Glasgow.

1998· DPLG, Escuela de Arquitectura de St. Etienne.

TRISTAN SURTEES2000· BA Hon´s, Escuela de Arte de Glasgow.

1997· HND, Leeds College of Art and Design.

PROYECTOS EN DESARROLLO2003·    Fish Quay, instalación temporal en North Shield, Newcastle.·    Stories, diseño de instalación en colaboración con Nick Bone, Magnetic North Theatre Company, Scotland.·    Billboards, serie de instalaciones en escaparates comerciales, Glasgow.·    Weeds, serie de instalaciones sobre la vegetación urbana, Glasgow.

2002-2003·    Viewing platform, comisariado de arte público para Valot wetland, Devon. ·    The walled garden, comisariado de arte público en Gorbals, Glasgow. ·    Millennium Award, investigación y diseño de una audio-librería para la ciudad de Glasgow.

PROYECTOS ANTERIORES 2001·    Stirring the City, comisariado y diseño de exposición de Gorbals Artworks Programme, Lighthouse, Glasgow.

2000·    Zones, programa estudiantil de la Escuela de Arte de Glasgow, 3º year Environmental Art.·    Samples, grabación del la Plaza de la Reina Elizabeth antes de su demolición, Glasgow.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2002·    Private view. Dun Laoghaire, Irlanda.·    En Passant, Sacy-le-Petit, Francia.·    Traces, exposición colectiva, RK Burt, Londres.

2001·    CATS, exposición colectiva. Dundee Contemporary Arts.·    Stirring the City, exposición colectiva en The Lighthouse, Glasgow.

2000·    Royal Scottish Academy, exposición colectiva, Edimburgo.

·    Clear @ Home, exposición colectiva, Glasgow.

PUBLICACIONES2003·    C.I.P.02, catálogo de exposición, Dun Laoghaire, Irlanda.

2002·    En passant, catálogo de exposición, Sacy-le-Petit, Francia.

2001·    Views of the West Coast of Scotland, producido por Book Lab™, comisariado por Cove Park.·    Sans façon, publicación propia.

2000·    Desire line, publicación colectiva publicada por la Escuela de Arte de Glasgow.

1999·    STARTS, publicación colectiva publicada por la Escuela de Arte de Glasgow.·    Becas

2002·    Sacy-le-Petit, Picardie, Francia.

2001-2002·    Dundee Contemporary Arts, Creative and Technical Skills Training Programme.

2001·    Cove Park, Outside the Box, Escocia.

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (horario autobus)

DÍAS: Del 11 al 18 (7 días)

HORARIO:Todos los días a las 12 y a las 5, salvo el 7 por la mañana que saldrá el autobús a las 13.30

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2010.01 / revisión proyecto / documentación teórica)

2009-2010. Pablo Valbuena. S/T  (2010.01 / revisión  proyecto / documentación teórica)

 El proyecto que propongo finalmente consiste en una proyección de gran formato sobre un edificio del eje Paseo del Prado/Recoletos.La instalación busca alterar perceptivamente el espacio urbano generando nuevos espacios a través de la proyección de luz.La línea a seguir será cercana a estas dos piezas, en una escala intermedia entre las dos instalaciones:

The Hague City Hall - videowww.pablovalbuena.com/videos/the_hague_video.html

Extension - videowww.pablovalbuena.com/videos/extension_video.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10intb3594, 09-10inmb3596

2004. Wolfgang Weileder (Cv)

MUNICH, 1965VIVE Y TRABAJA EN NEWCASTLE, REINO UNIDOWWW.WOLFGANGWEILEDER.COM | WWW.FOLD-UP.INFO | WWW.HOUSE-PROJECTS.COM | WWW.TRANSFER-PROJECT.ORGOBRA EN MADRID ABIERTO: House-Madrid

FORMACIÓN ACADÉMICA1989-1995· Academy of Fine Arts, Munich.· Universidad de Newcastle, Inglaterra.· MFA Photography and Related Media Programme, Escuela de Artes Visuales, New York.

2000–2002· Beca de Investigación en Escultura, Universidad de Newcastle.· Desde 2001· Profesor Fine Art Department, Universidad de Newcastle.

BECAS Y PREMIOS2000·    Ministerio Bávaro de Ciencia y Cultura. Beca de Investigación para EE.UU.

1999·    Premio del Estado Bávaro.

1998·    Residencia en la Fundación Erich Hauser

1995·    Servicio Alemán de Intercambio Académico (DAAD), Beca Debütantenpreis,·    Premio de la Academia de Bellas Artes, Munich.

1991·    Beca de La Fundación Nacional Alemana de Becas.

1990·    Primer Premio Kardinal Wetter.

PROYECTOS INDIVIDUALES 2003·    house-city, instalación efímero, Grainger Town, Newcastle.·    Barriers + dinghies, instalación temporal para Blue River Design, Newcastle.

2002·    Muraiki, instalación sonora en colaboración con Matthew Sansom, t-u-b-e·    Galerie für radiophone Kunst, München y Globe Gallery, North Shields, Reino Unido.

2000·    Jam, Ausstellungsforum FOE 156, Munich.

1998·    Presentación de la obra realizada durante la residencia en la Fundación Erich Hauser, Saline 36, Rottweil.

1996·    Sie zeigten, da?..., con Daniel Tharau, Arena, Berlín.·    Checkmate, con Daniel Tharau, SVA Amphitheater, Nueva York.

1994·    Kunstforum, Städtische Galerie im Lenbachaus, Munich.

1992·    Boat, Hatton Gallery, Universidad de Newcastle, Reino Unido.

EXPOSICIONES COLECTIVAS DESDE 1994 (selección)2002·    Connecting principle, Universidad Newcastle, Newcastle.·    Land and the Samling, Sculpture Park at Kielder Reservoir, Northumberland.

2001·    Ceramics, E.P.O. European Patent Office and Rathausgalerie, Munich.·    Premios de la Fundación Erich Hauser Foundation, Saline 36, Rottweil.

2000·    Was geschied bestimmt der Ort, L.A.C. Lieu d´art Contemporain, Sigean, France.·    Premios del Estado Bávaro, Galerie der Künstler, München.

1999·    x-mas, Kent Gallery, New York.

1997·    X Exposición de la Fundación Jürgen Ponto, Kunstverein, Frakfurt.

1996·    Specifics, SVA Gallery, New York·    Junge Kunst 1996, Saar Ferngas Förderpreis, Wilhelm-Hack-Museum, Ludwigshafen.·    Out of Egypt, Ägyptische Staatssammlung, Munich.

1995·    Debütantenpreis 1995, Academy of Fine Arts, Munich.·    Ortung, GSF-Forschungszentrum für Umwelt und Gesundheit, Munich.

1994·    Kunststudenten stellen aus, Kunsthalle der Bundesrepublik Deutschland, Bonn.·    Anvisiert, Deutsches Museum, Munich/Oberschleissheim.

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (texto publicado)

 “Un Madrid más abierto es posible” LHFA

LaHostiaFineArts se define como un proyecto artístico de colaboración sin margen definido ni color, que en cada ocasión puede estar integrado por diferentes personas. En esta ocasión, unas ciento quince personas exploran la realidad frágil de un espacio que, hasta ese momento, sólo funcionaba conceptualmente como marca. Incidiendo en las estrategias que subyacen bajo la mayoría de las iniciativas culturales auspiciadas desde arriba, en la confluencia entre tipismo municipal y turismo internacional, se desenmascaran las poses de nuestros dirigentes.

Asistimos actualmente a una apertura de Usera hacia el centro (obras de enterramiento de la M30, dinamización cultural de Legazpi, extensión de la línea 3 hasta Villaverde). En Explorando Usera nos salimos del escaparate del Eje Cultural madrileño para irnos al distrito de Usera, un lugar fronterizo, entramado social de convivencia de tres culturas diferenciadas: chinos, españoles y latinos en un proceso complejo de adaptación. Un autobús hará de oficina de turismo de Usera en Madrid. Los visitantes podrán ver en su interior el resultado de nuestra exploración en forma de material artístico de todo tipo: textos, dibujos, fotografías, material sonoro y audiovisual. El autobús realiza visitas guiadas por el distrito de Usera (ver horarios en página web de Explorando Usera).

En esta ocasión LHFA está formado por Fernando Baena, Rafael Burillo, Anna Gimein, Victor Sequí, Antonia Funes, Daniel Silvo, Mercedes Comendador, Alberto Cortés, Loreto Alonso, Joanna Speidel, Rafa Suárez, Marisa Marín, Beatriz Alegre, Marta Soul, Juan Alcón, Elisa Pérez-Cecilia, Jorge Portocarrero, Fernando Arrocha, Fernando Cubo, Miguel Lorente, Diego Ortiz, Sol Salcedo, Manolo Rufo, Luís Cobelo, Roberto Desiré, Iñaki Domingo, Agustín Martín Francés, Sebastián Navarro, Javier Esteban, Paula Anta, Carlos Sanva, Alejandra Duarte, Juan Santos, Campanilla, Cristina Busto, Alberto García, Pepe Murciego, Yolanda Pérez, Mercedes del Pico, Sylvie de Pauw, Pablo Romero, Rosa Poveda, Diego del Pozo, Susana Velasco, Roxana Popelka, Rafael Sánchez-Mateos, Raúl Alaejos, Lucía Alaejos, Susana García, Javier Lozano, Santiago Pardo, Pablo Fernández, Olga Fernández, Macarena Antolín, Lidia Sanz, Miren Doiz, Josemari Velasco Guinda, María Jesús Escudero, Alicia Wandelmer, Amanda Wandelmer, Mónica Gabriel y Galán, Javier González, David Ragcuter, Willy de Real, José Delgado, Fran Felipe, Miguel Cereceda, Rafa Lamata, Jaime Vallaure, Nieves Correa, Santiago Salvador, Max Salvador, Miguel Nava, Hilario Álvarez, Jesús Acevedo, Belén Cueto, Kamen Nedev, Julio Jara, Giusseppe Domínguez, Sebastián Navarro, Julián Vidal, Gonzalo Escarpa, Pacheco, Vritis, Javier Granado,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Warren Neidich + Elena Bajo (Cv)

WARREN NEIDICH NEW YORK, 1962VIVE Y TRABAJA EN BERLÍN.WWW.WARRENNEIDICH.COM

ELENA BAJOMADRID, 1975VIVE Y TRABAJA ENTRE MADRID, NEW YORK, BERLÍN, LOS ÁNGELES.WWW.ELENABAJO.COM

OBRA EN MADRID ABIERTO: Silent

WARREN NEIDICHTrabaja temporalmente como artista invitado en el Goldsmiths College de Londres y en The Cooper Union for Art and Science de Nueva York. Actualmente disfruta de la beca de investigación ACE-AHRB Arts and Science de British Council. Próximas exposiciones en Kunstverien Potsdam de Alemania, en Buero Fredrich de Berlín y en Edward Mitterand Gallery de Ginebra, Suiza.En 2002 tuvo una exposición individual en el California Museum of Photography de Riverside (California), en Muller de Chiara Gallery de Berlín (Alemania), en The Storefront for Art and Architecture de New York, y en Edward Mitterand Gallery de Ginebra (Suiza). Próximas exposiciones individuales en Kunstverein Potsdam, en Postdam (Alemania), y en Muller de Chiara Gallery.Su libro Blow-up: Photography, Cinema and the Brain, co-producido por Ford Foundation y DAP, presenta una introducción del historiador de arte Norman Bryson. Es miembro co-fundador de artbrain-org, una web site que trata sobre arte, escritos y cine relacionados con el cerebro.

ELENA BAJOLicenciada en Ciencias por la Universidad Complutense de Madrid, obtuvo la titulación superior en Arquitectura en la Universidad Internacional de Cataluña.Su trabajo artístico da prioridad a la experiencia receptiva a través de videos, intalaciones, performances y piezas arquitectónicas-escultóricas con las que investiga la relación entre las personas y el ambiente social en el que viven, cuestionándose sobre el tiempo y la percepción del espacio, y su influencia en el comportamiento humano.En 2003 se presentó un video y una performance titulada Undercovered en lo LMCC Open Studios en Nueva York, así como follow the rabbit hole formando parte de la feria de arte Miami-Basel Art. Próximamente se exhibirá en Nueva York un proyecto para Diesel, Miss Diesel, una instalación-performance que itinerará a Japón. En Septiembre de participará en la exposición Mondo Materialis en el Museo de Arte Moderno de Nueva York.

 

 

 

 

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2008. Jota Castro. NO MORE NO LESS + LA HUCHA DE LOS INCAS (texto publicado)

 

No more no less

Este proyecto nació durante una conversación con mi analista. Hablaba yo de la dificultad de ser mestizo y sobre todo de vivir en un lugar donde todo el mundo intenta hacer creer que la raza y el origen social de los individuos no son factores determinantes en la vida social y afectiva de una persona.

La mayoría de mis obras nacen así.

Salí de mi cita con la firme determinación de explicar de manera cruda y visual el fenómeno de la transculturización. ¿Qué significa venir de un lugar donde una cultura domina a otra hasta el punto de volverse ésta la cultura vehicular de un individuo? ¿Cómo mostrar que aceptar esa situación corresponde a ser poseído, utilizado y dominado? Claro, yo vivo en el mejor de los mundos y supuestamente esta situación es envidiable. Un rey dijo que París bien vale una misa y mi madre decía que algunas veces hay que cerrar los ojos y pensar en cualquier cosa… Entonces ¿De qué me quejo? Básicamente de nada, solamente me siento privilegiadamente obligado a decir la verdad.

El sentimiento de inferioridad es algo que cuesta mucho de superar y bueno, discutiendo con amigos de diferentes orígenes, viviendo en otros idiomas y culturas, estando habituados a provocar dudas y curiosidades profesionales y sociales, llegamos a la conclusión unánime y perfectamente visual de mostrar el fenómeno de la transculturización con la imagen de un culo penetrado por un símbolo falico de algunas culturas que dominaron o dominan el mundo… Así nació esta visual manera de hablar de un tema viejo como el mundo en que vivimos.

 

La hucha de los Incas (o el inicio de la devolucion del tesoro de los incas)

Una hucha enorme y dorada símbolo de infancia y de ahorro, un objeto casi pop.

En pleno centro de una ciudad europea; ¿qué puede significar?

Un problema personal en realidad.

Soy francés y peruano, puro producto de cinco siglos de idas y vueltas de la historia de dos continentes.

No sé si en España se enseña la historia de la conquista de la misma manera que en América Latina; recuerdo que de niño me sorprendió mucho la historia del rescate propuesto por los incas para recuperar Atahualpa: se llenó un lugar enorme de oro y plata venida de todo el imperio para salvar a nuestro soberano. No sirvió de nada, los conquistadores se lo cargaron igual.

Cuál sería mi sorpresa al contar esta historia a amigos del culo del mundo y descubrir que todos teníamos historias de rescates pagados, promesas incumplidas y soberanos finalmente ajusticiados o exiliados en el mejor de los casos.

Para simplificar el problema y visualizarlo mejor, todo individuo del tercer mundo que creció en un país colonizado es potencialmente un Inca: pagó un rescate, pagó su idioma, a veces su religión, su culpa, su trauma sin poder salvar a su inca…

Llenen la hucha a palmo y ya veremos lo que haremos con la plata devaluada y con mis complejos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. S/T (2009.09 / rectificación proyecto / documentación teórica)

 En aquel Imperio, el Arte de la Cartografía logró tal Perfección que el Mapa de una sola Provincia ocupaba toda una Ciudad, y el Mapa del Imperio, toda una Provincia. Con el tiempo, estos Mapas Desmesurados no satisficieron y los Colegios de Cartógrafos levantaron un Mapa del Imperio, que tenía el Tamaño del Imperio y coincidía puntualmente con él.”Del rigor en la ciencia, Jorge Luis Borges

La pieza consiste en una instalación específicadonde se superpone en un elemento su propia representación abstracta. Con el dibujo de un plano sobre la arquitectura de referencia, se extiende la ciudad real hacia algo virtual.

El medio utilizado es la video proyección pero más allá de lo técnico, el trabajo se basa en herramientas tan antiguas como la perspectiva o el trampantojo que funcionan manipulando la percepción del espectador.

La transformación del espacio urbano se logra gracias al movimiento, a la luz/ sombra. En lugar de construir arquitecturas con materiales físicos, es la proyección de líneas y planos de luz que genera la ilusión de nuevos espacios.

Se genera una ciudad y una arquitectura que solapa lo ‘real’ y lo ‘virtual’, que hace visible lo interior desde el exterior, transparentes los muros sólidos o patente el paso del tiempo en la ciudad…

(RECTIFICACIÓN PROYECTO / SEPTIEMBRE 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Fernando Sánchez Castillo (Cv)

MADRID, 1970VIVE Y TRABAJA ENTRE MADRID, AMSTERDAMOBRA EN MADRID ABIERTO : Perspectiva ciudadana

FORMACIÓN ACADÉMICA2000· Programa de investigación, ENSBA, París.

1995· MA en Filosofía y Estética. Universidad Autónoma, Madrid.

1993· Licenciatura en Bellas Artes. Universidad Complutense, Madrid

EXPOSICIONES INDIVIDUALES

2003·    A cada uno lo suyo, Fundaciò Espais, Gerona.·    A caballo, Caja San Fernando, Sevilla.·    Anamnesis. La casa encendida, Madrid.

2002·    NIHIL OBSTAT. Galería Max Estrella, Madrid.·    Tremblez Tyrans. Los Castillos, Alcorcón.·    A caballo. Caja San Fernando, Jerez.

2000·    Galerie Romain. Larivière, París.

1998·    Galería Marta Cervera, Madrid.

1996·    Desde el cuarto de estar. Galería Marta Cervera, Madrid.

1992·    Sala Recursos. Comunidad de Madrid, Madrid.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2003·    Fundación NMAC, Cádiz.·    Bad Boys. Comisariada por Agustín Pérez Rubio, Venecia.·    Spencer Browstone Gallery, Nueva York.·    Otros Incluidos. Casa de América, Madrid.·    ARCO´03. Art of this Century Gallery. Galería Max Estrella. Stand Caja Madrid. Madrid.·    Monocanal. Centro de Arte Reina Sofía, Madrid.

2002·    París Photo. Galería Juana de Aizpuru, París.·    Doméstico´02, Madrid.·    Madrid al descubierto. Salas de la CAM, Madrid.·    Capital Confort. Alcorcón, Madrid. ·    Extreme Protection. Nit Niu, Pollensa, Mallorca. ·    Plural. Salas del Senado, Madrid.·    ARCO´02. Galería Max Estrella, Madrid.·    Postperformance y otros acontecimientos paralógicos. Fundació Espais, Gerona.·    Burning. MNAC, Marsella.·    Big Torino 2002. Turín.·    Show y basura. Foro Sur, Cáceres.

2001·    Itinerarios. Fundación Marcelino Botín, Santander.·    Appartement, Intervención con Franz West. Deitchtorhallen, Hamburgo, Alemania.·    Art Cologne. Galería Max Estrella, Koln, Alemania.·    GAP. Grandes arquitecturas pequeñas. Asturias.·    OBSORGE. Zug Kunsthaus, con Franz West. CH·    Señales. Parque Ferial Juan Carlos I, Madrid.·    LISTE ’01. Galería Romain Larivière, Basilea.·    Batophare. París.·    Portes ouvertes. Programa de investigación, ENSBa, París.·    ARCO’ 01. Galería Max Estrella. Madrid.·    Open Spaces, ARCO’01.

2000·    Art Cologne. Galería Max Estrella, Alemania.·    Insumisiones. Fundación Marcelino Botín, Santander.·    Toy Stories. Injuve, Sala Amadís, Madrid.·    ARCO´00. Galería Max Estrella, Madrid.

1999·    FuturoPresente. Salas de Exposiciones de la Plaza de España, Madrid.·    Abracadabra. TATE Gallery of Modern Art, Londres.·    ARCO’99. Galería Marta Cervera, Madrid.

1998·    Germinations. The Factory, Atenas.·    Gramercy Park. Galería Marta Cervera, Nueva York.·    ARCO’98. Galería Marta Cervera, Madrid.·    Colección ARCO. CEGAC, Santiago de Compostela.·    Espacios Mentales. Zona de Acción Temporal, Madrid.·    La Voladura del Maine. Sala PEMASA, Madrid.·    Llocs Lliures. Altea, Alicante.·    Conjunto Vacío. Sala PEMASA, Madrid.

1997·    Muestra de Arte Joven. MEAC, Madrid.·    ARCO 97. Galería Marta Cervera, Madrid.·    Crías de Polvo. Facultad Bellas Artes, Madrid.

1996·    Circuitos-Comunidad de Madrid. Itinerante en Madrid e Inglaterra.·    Dibujos. Galería Marta Cervera, Madrid.·    Walking Behind The Glass. LAICPS, Los Ángeles.

1994·    Uno Cada Uno. Galería Juana de Aizpuru, Madrid.

BECAS Y PREMIOS 2002·    Beca para proyecto Generación 2002, Caja Madrid, Madrid.

2000·    Fundación Marcelino Botín, Santander.

1994·    Casa de Velázquez, Madrid.

OBRA EN MUSEOS Y COLECCIONES ·    FNAC, Fond National d’Art Contemporain, París.·    Fundación ARCO. Centro Galego de Arte Contemporanea (CGAC), Santiago de Compostela.·    Instituto de la Juventud (Injuve), Ministerio de Trabajo y Asuntos Sociales.·    Ayuntamiento de Alcorcón, Madrid.·    Fundación Jean Marc Salomon, Annency, Francia.·    UNED, Madrid.·    Consejería de Cultura, Cantabria.·    MUSAC, Junta de Castilla y León.·    Obra Social, Caja Madrid.

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (texto publicado)

 

 El proyecto Gran Sur utiliza el anuncio de la Imperial Trans-Antarctic Expedition de 1914, liderada por Ernest Shackleton y publicada en el periódico de la época, con el propósito de reclutar hombres y poder realizar la expedición a la Antártica; que con el tiempo, según dice la leyenda, se ha transformado en un famoso anuncio.

 “Se buscan hombres, para viaje arriesgado, poco sueldo, frío extremo, largos meses de oscuridad total, peligro constante, regreso a salvo dudoso, honor y reconocimiento en caso de éxito”

 Esta expedición tenía como propósito cruzar el continente Antártico por el polo, sin embargo el barco, el Endurance, fue atrapado e impactado por bancos de hielo antes de que siquiera pudieran desembarcar. Los miembros de la expedición sobrevivieron después de una épica jornada en Isla Elefante. Entonces Shackleton y otros cinco hombres cruzaron el Océano Antártico, en un bote abierto llamado James Caird, viajaban a Georgia del Sur para dar la alarma en la estación ballenera Grytviken. Después de varios intentos de rescate, finalmente todos los hombres de la Isla Elefante fueron rescatados en el pequeño barco chileno Yelcho comandado por Luis Pardo Villalón, desde Punta Arenas.

 Shackleton no perdió ni un solo hombre en los tres años que duró su expedición. La aventura de Shackleton, es posiblemente la más importante de cuantas se han vivido en los Polos, y aunque no aportó ningún beneficio material, ni ningún avance científico, la experiencia personal de los protagonistas, la supervivencia de todos los participantes, supone en sí misma un triunfo, una victoria del hombre sobre los elementos basándose en dos principios fundamentales: la solidaridad y el espíritu de lucha.

 Este anuncio es la corriente y motivación central de la instalación. Es comparable a un manifiesto o pensamiento artístico, es una síntesis a través de la palabra que nos narra una obra. El dibujo que traza sintetiza una historia.

 Los documentos recopilados de la expedición: fotografías, películas y bitácoras de viaje, revelan un recorrido experiencial de supervivencia. El sentido de la creación artística también transita por una ruta inexplorada y dirige los sentidos hacia objetivos que nos ayudan a comprender nuestra propia percepción del mundo que nos rodea. En nuestros propios límites están manifestándose nuestras fronteras a traspasar.

 La decisión del viaje de Sir Ernest Shackleton es análogo a cualquier idea artística que busca como fin descubrir y revelar lo inédito. Él tuvo una idea en la que nadie más creía. 

 La instalación expone imágenes ocultas detrás de cada palabra lumínica: un relato, un tiempo, un continente; en definitiva, una relectura después de 93 años de su primera y única publicación en la prensa.

 Cuántas breves historias a modo de anuncio podríamos publicar de los millones de emigrantes latinoamericanos que también han viajado y seguirán eternamente cruzando el atlántico con la utopía de lograr una hazaña, ahora no hay que mirar el polo sur como destino, la nueva región es el mundo. “La gran fortaleza como explorador polar de Ernest Shackleton se debe a que, en el Gran Sur, todas aquellas preocupaciones mundanas desaparecen por completo”.

Fernando PratsBarcelona, 2007

  

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 El trabajo de Fernando Prats es un “objet-trouvé” literario, recuperado y re-editado para convertir la fachada de una edificación en soporte discursivo. Se entiende que una institución es, desde ya, un discurso sedentario, que sella en el imaginario público lo que se puede llegar a esperar del uso de las palabras “casa” y “américa”, al que se sobrepone un texto que proviene de otro lugar de producción cultural y que opera como una expresión colectiva de deseo destinada a poner en movimiento a multitudes.

 Las 28 palabras puestas en exhibición espectacularizan las condiciones de un manifiesto migratorio que autoriza formas de traslado nocional entre diversas zonas del conocimiento social. Enunciados pensados para habitar en sus espacios de origen son deportados para intervenir en espacios para los que no fueron pensados, produciendo efectos de sentido que modificarán formas de reproducción de su existencia. Casa de América es convertida en la “casa del arte” referencial, desde donde resulta posible delimitar en forma paródica  los espacios “fuera de casa”, en los que se invierte una energía artística que busca sustraerse de los modelos de control social de poblaciones vulnerables. El cuerpo luminoso de la letra condensa el lastre ominoso de su sombra acarreada.

Justo Pastor MelladoCritico de arte, Santiago de ChileNoviembre de 2007

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Etoy CORPORATION (Cv)

FUNDADO EN 1994 EN VIENA, LJUBLJANAVIVEN Y TRABAJAN ENTRE ZÜRICH; BERLIN; CAMBRIDGE, UNITED KINGDOM; SAN JOSÉ, COSTA RICAWWW.ETOY.COM

La corporación etoy es un controvertido jugador global que actúa on-line desde 1994. etoy utiliza una estructura corporativa para maximizar el valor cultural. El acceso final en la cadena de valores. Para etoy los dramáticos problemas de la globalización no se solucionan simplemente rechazando los mercados globales, los intercambios económicos o las corporaciones multinacionales, sino que etoy se concentra en los valores que dirigen estas compañías, la cultura, los individuos y los políticos.

Compartiendo riesgos, recursos, manteniendo un fuerte sistema de delegaciones y maximizando el valor de los accionistas, la corporación etoy intenta explorar el valor social, cultural y financiero. Los accionistas de etoy invierten tiempo, conocimiento e ideas (o simplemente financiación). Las operaciones etoy se centran en el solapamiento de los valores del entretenimiento, cultura, sociedad y economía. Los accionistas de etoy participan en una obra de arte dinámica que tiene lugar durante 24 horas al día (on line y offline) en el centro de la sociedad.

 

 

 

 

 

 

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2008. Guillaume Ségur. WELCOME ON BOARD (texto publicado)

 

 El montaje cumple una doble función: es, a la vez, una escultura pública y un módulo para que los aficionados al monopatín practiquen su deporte. Una gigantesca tira de Möbius (de aproximadamente 7 metros de diámetro) ha sido fabricada de contrachapado y metal a la manera de la arquitectura de los parques estatales. Los materiales de los que la forma está construida sugieren una rampa, bien para ser utilizada, bien como un objeto reconocible asociado a la práctica del monopatín.

Welcome On Board es un ‘prototipo de espacio’ derivado de la consideración de los practicantes del monopatín en un entorno urbano. Partiendo de esta importante relación entre un entorno y una práctica, la finalidad que se persigue es la de adaptar los efectos de esta confrontación para producir una nueva forma. Considero la obra un ‘prototipo de espacio’ en el sentido de que materializa los efectos de la gente que se desliza sobre un entorno urbano.

El reto que plantea este proyecto es el de producir un objeto muy específico más que un objeto cultural “ya confeccionado” o un simple desplazamiento contextual. El objeto propuesto tendría la función múltiple de escultura pública, herramienta visual y espacio de juegos. La finalidad es la de desplazar la idea de escultura pública desde la de ‘monumento’ a la de ‘motor’. La forma arquitectónica propuesta se convierte en un vehículo para la reasignación, para un movimiento, para una actuación de la gente sobre sus alrededores. Aspira a alentar la interactuación del espacio urbano de una forma nueva: convirtiéndolo en un bucle, tirándolo boca abajo, deformándolo para mejor comprenderlo.

Resulta imposible interpretar la ciudad en su totalidad, imaginarla como un todo. Porque la ciudad se extiende, escapa a nuestro control cada vez que intentamos imaginarla, es necesario considerar los elementos que la vinculan con el fin de comprenderla como un único bloque. En los espacios públicos, los patinadores empiezan con un proceso de selección. Tal y como declara Ian Borden: “Los practicantes del monopatín analizan la arquitectura no por su contenido histórico, simbólico o de autoría, sino por la forma como las superficies se presentan como posibilitadoras del patinaje”1. Ellos fragmentan el espacio arquitectónico en partes útiles y producen continuidad entre los elementos. Este proyecto se centra en el estudio de dicho espacio urbano descompuesto. A través de la escultura aspiro a dar forma a los antes mencionados ‘elementos vinculantes’. 

Cuando considero la práctica del monopatín en términos de producción de formas o espacios, lo que se me viene a la mente es la tira de Möbius. Hacer bucles, girar, la inversión y el movimiento continuo son, todos ellos, figuras realizadas por el patinador en el espacio que le rodea. La forma resulta también de particular interés porque con frecuencia ha sido utilizada en proyectos de esculturas públicas. Es uno de los estereotipos de la escultura pública de los años setenta. En este contexto especial, la obra actúa como un patrón, como un código, como un signo reconocible.

Semejante a estructuras urbanas y a la arquitectura, la escultura pública puede ser considerada en un nivel semejante a los elementos de los espacios públicos de los que se ha apropiado el género del monopatín. Brinda nuevas formas, espacios y superficies a los patinadores, lo que, a su vez, fomenta la creación de nuevas figuras de patinaje. Una serie de soberbios ejemplos puede ser admirada en la obra “Riding modern art”, original de Raphael Zarka, que clasifica la utilización de la escultura pública en vídeos de patinadores.

“Skateboard Monument”, de Dan Graham, o “Skate Park”, de Peter Kogler, son obras que reutilizan formas existentes a la vez que celebran el arte del monopatín. En “Welcome on board” el módulo propuesto se concibe partiendo de la práctica del monopatín más que con la intención de la práctica. El reto que queda es si, en realidad, se puede patinar en él.

 

1 A Performative Critique of the American City: the Urban Practice of Skateboarding, 1958-1998, Iain Borden

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2010.01 / documentación técnica)

2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2010.01 / documentación técnica)

 

PLANIFICACIÓN EVENTO CASA ENCENDIDA 

19,00 hcomienzan a llegar los asistentes al evento.

19,05 hLos habitantes del piso patera junto con otros senegaleses caminaran desde la calle valencia hasta  LCE con las pancartas que construyeron los jóvenes de Kayar (Senegal), como legado o relevo de las inquietudes trasmitidas desde Senegal.

19,10 hIntentamos atraer a la gente para que vean como llegan los senegaleses con las pancartas desde el patio interior de LCE hasta llegar por las escaleras principales a la terraza.

19,15 hLas pancartas se colocan a modo de instalación en la terraza (suelo o clavadas en las jardineras)

19,20 hProyección del documental

20,10 hTermina el documental

20,20 hComienza el acto de interacción con las personas del piso patera y los asistentes.Cena senegalesa y Te caliente . ¿vino?

 

PLANO TÉCNICO

 (Deciembre 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10intb2645, 09-10inib2646

2004. Maider López (Cv)

SAN SEBASTIÁN, 1975 VIVE Y TRABAJA EN SAN SEBASTIÁNOBRA EN MADRID ABIERTO: Carteles publicitarios y banderolas

 

FORMACIÓN ACADÉMICA · Comienza doctorado en arquitectura. Universidad del País Vasco.

1998–99· Master en Bellas Artes, Chelsea College of Art and Design. Londres.

1998· Licenciada en Bellas Artes. Facultad de Bellas Artes de Bilbao (UPV). Especialidad pintura.

1995· Historia del Arte en Vitoria (UPV), simultaneado con Bellas Artes.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2003·    Max Estrella, Madrid.

2002·    Bores & Mallo. Cáceres.·    Torre de Ariz. Basauri.

2001·    65 x 90 cm. Galería DV. San Sebastián.

1997·    Sala Gallarta.

EXPOSICIONES COLECTIVAS2003·    Arco´03. Galería DV. Max Estrella. Trayecto. Caja Madrid.

2002·    Ocupaciones. Sala Amadís. Madrid.·    La Caixa. Lleida.·    Zona cero. Canal Isabel II, Madrid.·    Arco´02. Galería Trayecto y Galería DV.

2001·    Doméstico´01. 9 aulas en una academia. Madrid.·    Pasos de cebra. Muestra de Arte Joven Injuve. Círculo de Bellas Artes, Madrid.·    Puntos de Encuentro´01. Galería Cruce, Madrid.·    Itinerarios: Instituto Cervantes, Roma, y Fundación Marcelino Botín, Santander.·    ARCO´01, Galería DV.·    Las Representaciones del andar (1950-2000). Koldo Mitxelena. ·    Gure Artea. Koldo Mitxelena. San Sebastián.

2000·    Itinerarios 1998-99. Fundación Botín.·    El espacio como proyecto. Bienal de Pontevedra.

1999·    Galería Trayecto. Vitoria.·    MA Final Show. Chelsea College of Art and design. Londres.·    Depósito de Aguas. Vitoria. ·    Artistas Noveles de Guipúzcoa. Koldo Mitxelena, Guipúzcoa.

1998·    Gure Artea. Sala Amárica.

1997·    Wimbledon Library Gallery. Dirigida por el artista Richard Wentworth. Londres.·    Artistas Noveles. Koldo Mitxelena, Guipúzcoa.

1996·    Talleres de arte actual. Círculo de Bellas Artes, Madrid. ·    Villa Iris. Fundación Botín. Santander.

1995·    Exposición-taller H. Pijuan. Villa Iris. Fundación Marcelino Botín, Santander.

BECAS Y PREMIOS 2002·    Generación 2002. Beca Caja Madrid.

2001·    Beca Juan de Otaolaza y Pérez de Saracho. Basauri.

1999·    Beca de Artes Plásticas de la Diputación de Guipúzcoa.·    2º Premio Artistas Noveles de Guipúzcoa.

1998-99 ·    Beca de Artes Plásticas de la Fundación Botín.

1998·    Premio de pintura formato pequeño. Gayarta.

1997·    Beca de arte Mojácar, Almería.

1996-97 ·    Beca Erasmus. Wimbledon School of Art. Londres.

OBRA EN COLECCIONES ·    Ayuntamiento de Mojácar, Almería.·    Compañía Talens.·    Universidad del País Vasco (UPV)·    Kutxa. Caja de Ahorros de Gipuzkoa.·    Fundación Marcelino Botín.·    Artium. Museo de Arte Contemporáneo de Vitoria-Gasteiz.·    INJUVE. Ministerio de Cultura.

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (texto publicado)

Videointervenciones móviles en contextos urbanos específicos

 

 “Fernando Llanos es uno de los artistas experimentales más interesantes del México contemporáneo. Su obra deambula entre varios territorios y disciplinas incluyendo el video, la robótica, el ciber-arte y el performance.” Guillermo Goméz-Peña. Artista.

Videoman captura el subconsciente colectivo, justo donde la cultura y la contracultura se unen. El escenario es la calle, laboratorio en el cual la gente se abre paso sin darse cuenta de cómo transforma su entorno y crea nuevos modos de convivencia.

 El artista nos hace reflexionar en la clase de conciencia que puede generar una sociedad donde las masas obstruyen, uniforman e ignoran. Sin embargo, crean ciertos huecos donde el ser humano fluye individualmente, huecos que emplea Llanos para modificar tanto nuestra rutina como nuestros espacios.

Sus reflexiones en formato de video son proyectadas en diferentes sitios de la ciudad previamente investigados. El carácter efímero y móvil del proyecto involucra a las personas mediante un sistema de circuito cerrado que graba las reacciones de esta acción participativa que su creador ha definido como “acupuntura urbana”.

La nueva intervención será proyectada en el eje Paseo de la Castellana, Calle de Alcalá y Gran Vía y se presentará junto con las realizadas en Brasil y México, en Casa de América.

www.fllanos.com/vi_video

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2009.12 / trabajo de campo / El viaje de Bamba)

 

Desde muy joven siempre he tenido la idea de que Europa era lo mejor para tener una vida bastante aceptable, hoy me gustaría seguir creyendo eso pero viviendo lo que estoy viviendo con mis compañeros de piso, es algo casi imposible, por lo menos de momento.

De verdad pensaba que cuando llegara a España iba a encontrar un trabajo a mi gusto, un trabajo que me permitiera mantener a mi familia y sobre todo tener un éxito en mi vida. Pero hoy en día, por  lo mucho que podemos contar, el futuro del inmigrante y además sin papeles es muy oscuro, difícil en todos los sentidos, con las leyes que no paran de endurecerse, con las pateras que no paran de llegar y con la crisis que cada vez se hace más profunda… Todo esto me ha hecho pensar que ya no vale la pena abandonar tu país de origen por venir a Europa o jugarse la vida en un cayuco para vivir en España.

Yo fui una de las personas que se jugó la vida para venir a España. Tras seis años buscando un visado que no pude conseguir, decidí lograr mis sueños a costa de lo que fuera. En el verano de 2006, en Senegal, la cantidad de pateras que salían eran muchas, sería impensable saber la cifra exacta. Esto fue un período muy extraño donde todo el mundo parecía volverse loco por coger una patera para llegar a Europa. Según los medios de comunicación de Senegal, los sitios de embarcación de estas pateras eran los pueblos de los pescadores. Yo embarqué en uno de ellos que era el pueblo de mi madre, Kayar. Este día me marché a casa a las once de la mañana después de comer. Mi madre y mis hermanos no estaban en casa. Se habían ido a una ceremonia religiosa. Estaba mi mujer, mi hijo y yo en casa. Junto con un amigo me despedí de mi mujer quien me preguntaba dónde iba. Le dije que iba a dar un paseo a la playa. Yo y mi amigo cogimos un autobús rumbo a Kayar. Cuando llegamos a las cuatro de la tarde a la estación de autobuses de Kayar, la policía estaba haciendo un control porque en ese momento el gobierno de Senegal había decidió movilizar todos los agentes de policía para poner fin al fenómeno de las pateras. Entonces toda la gente que llegaba a este pueblo con maleta de viaje eran arrestados. Este día tuvimos suerte porque no llevábamos maleta ni nada que hiciera sospechar. Mi tío nos había preparado un cuarto en la residencia de mis abuelos para esperar la hora de partir. Mi tío tenía relación con el mafioso que organizaba el viaje, un hombre tan buscado por la policía… Este día nunca pensé que íbamos a viajar, en África el nivel de corrupción es tan elevado que se puede conseguir lo que sea con dinero porque seguramente los agentes de policía cobraban por cada patera que salía. Los mafiosos tenían a la policía en sus bolsillos. Al final conseguimos salir a las doce de la noche. Antes de esto, decidí llamar a mi mujer y contarle la verdad. Le expliqué brevemente que iba a coger una patera rumbo a España. No le dejé el tiempo para contestar porque seguramente me podría decir algo que me hiciera cambiar de opinión. Le dije que rezara por mí y cuidara de mi hijo y que la quería mucho. Un cayuco pequeño efectuaba el trayecto entre la playa y la patera que estaba a cinco kilómetros de la costa. Éramos los primeros en llegar a la patera. Una vez en ella, había muy poca gente. Detrás había dos motores, un montón de bidones que seguro llevaban carburante y agua. En el medio se habían colocados unas maderas como banquillos y delante se había puesto toda la comida. Para comer llevábamos leche, galletas, arroz y azúcar. Después de una hora, la patera estaba llena de gente. No había ni un sitio para poner un pie. Pero este viaje es tan ilegal que no se podía poner orden. Los mafiosos metían tanta gente como si fuéramos mercancía. Cuando llegó el momento que no cabía ni una mosca en la patera, el capitán, un hombre pescador, decidió partir. Entonces era la hora del discurso de despedida: “Este viaje es el viaje de Barça o Barzaq” que significa literalmente, o Barcelona o el más allá.”Si alguien no está dispuesto a lograr este sueño, hasta morir por él, que se despida ahora. No habrá marcha atrás.” Los momentos que siguieron a este discurso eran muy emocionantes. Algunos se habían decidido abandonar porque muchos de ellos habían empezado ya a vomitar. La mayoría de la gente que ha hecho este viaje son víctimas de las falsas informaciones que les habían dado los mafiosos. Jamás estuvieron en una patera. Así que la noche del sábado al domingo 27 de agosto de 2006, partimos para España. Nuestro primer día de viaje fue una noche tranquila de luna llena, una noche muy silenciosa. Sólo se escuchaba el ruido del motor y la patera que chocaba contra el agua. Ninguno de nosotros decía una sola palabra. Parecía que nuestras armas se habían desconectado de nuestros cuerpos. Atrás se podía ver las últimas luces del pueblo. Nos estábamos alejando de lo que fueron nuestras vidas, nuestros orígenes, nuestra identidad, lo que de verdad éramos. Aquella noche la mayoría de la gente no comió nada. Tantos vomitaron hasta ponerse enfermos que no había ganas de comer. Era una locura. Acabábamos de darnos cuenta. Eso no había hecho nada más que empezar. El día siguiente, después de dormir sentado toda la noche, nos dolía todo el cuerpo. Algunos tenían fiebre, otros parecían a punto de perder la conciencia. El capitán, con su equipo, intentaba ayudar a los que ya no podían más. Al medio día, el cocinero que había hecho arroz, repartió la comida a la gente  que aún podía comer algo. No había nada más que agua por todas partes, el cielo y el sol. No se podía saber si íbamos al norte, al sur, al este o al oeste. Para mí era un viaje sin sentido, un viaje hacia la muerte segura. Los primeros cuatro días fueron iguales hasta que se cambió el tiempo. Allí, justo, llegamos al invierno. El mar se había puesto horrible y nuestra patera empezó a hacer aguas. Tanto que decidí con mi amigo organizar un grupo para achicar agua. Pero cada vez que sacábamos un recipiente de agua fuera, parecía que no habíamos hecho nada. En este momento pensé que nos íbamos a hundir y la mayoría de la gente empezaba a llorar. Es muy difícil ver un adulto llorar pero tenían razón, la situación era desesperada. Parecía que no avanzábamos hacia ninguna parte, sólo había mar, el horizonte no estaba para nosotros. Pensé que habíamos caído en una trampa. Era una locura pensar que una patera podía llegar hasta España. Todo esto volvió locos a algunos de mis compañeros y empezaron a ver alucinaciones. Se querían tirar al agua y por la noche, algunos se tiraron al mar. No era para suicidarse, pensaron que estaban aún en tierra. Decían sentir la llamada de sus hijos o sus madres, esperándoles en el fondo del mar. Había gente despellejada por la sal, con heridas profundas en la boca, las piernas o el rostro. Muchos de mis compañeros de viaje no querían moverse ni para hacer sus necesidades y permanecían inmóviles inmersos en sus propios excrementos. Otros, recitaban sin parar versos del Corán. Todo esto no le afectaba a ninguno de los pescadores que manejaban la patera, acostumbrados al mar. Los tres últimos días fueron así, hasta que llegó la tarde del viernes y divisamos luces en el horizonte. Parecía que llegábamos a tierra. O tal vez un barco… Era la salvación para nosotros. Por fin encontramos lo que buscábamos, tierra firme, nada más.

Sábado 2 de Septiembre de 2006. Llegué a la Isla del Hierro. Nunca había visto una isla tan grande. Eran las nueve de la mañana hora local, nuestra patera arribaba con 74 personas a bordo. Había 9 menores, éramos todos hombres. Jamás había visto tantos hombres blancos, el olor que venía de ellos me mareaba, la mayoría llevaban uniforme de color rojo y blanco, otros vestían de verde y otros usaban uniforme de color azul oscuro. Nos sacaban del cayuco, nos colocaban para contarnos. Algunos de nosotros apenas podíamos andar, nos quitaban la ropa y nos daban otra nueva. De lejos se podía ver gente apoyada en sus ventanas viendo un escenario que yo pensaba que era inhabitual para ellos.

Un hombre con uniforme que seguramente era policía, se puso delante de nosotros y nos hizo la siguiente pregunta: ¿quién habla castellano aquí? Esta pregunta se quedó sin respuesta. Volvió a hacerla otra vez pero en francés, y tampoco consiguió respuesta aunque la hizo una tercera vez en inglés. Después de unos minutos decidí hablar con él porque no había más que hacer. Aunque tenía miedo dije: yo hablo castellano. Este agente, con un gesto de sorpresa, volvió otra vez a hacerme la misma pregunta y yo la misma respuesta. Allí empecé mi primer trabajo en España, me convertí en un traductor.

Después de pasar dos días en la Isla del Hierro, nos trasladaron a Tenerife a un centro de acogida que se llamaba Las Raíces, en realidad era un campo militar. Este centro tenía dos partes, una para los militares y la otra para nosotros que a su vez se dividía en otras dos partes llamadas Campamento A y Campamento B. Yo estaba en el B que era más grande, casi el doble que el A. Tenía 128 tiendas, dos duchas grandes, dos comedores enormes, más de 20 servicios y la tienda de los policías. Cada tienda  era ocupada por 24 personas y 24 camas. No es difícil imaginar el mundo que teníamos allí. Cada día yo tenía que organizar el reparto del desayuno, la comida y la cena. Colocaba a la gente en filas según las pateras a las que pertenecían. Cada grupo de patera, desde su tienda, tenía que hacer dos filas andando como militares hacia el comedor. Cuando a uno le tocaba su turno de comer, otros tenían que esperar en pie hasta que terminaran los primeros. Así, apenas había tiempo para que acabaran las 3072 personas de tomar el desayuno cuando aparecía el camión de la comida, y lo mismo pasaba con la cena. Cada vez que surgía un problema, lo que sea, me tocaba trabajar, era un trabajo sin descanso, sin horarios, sin sueldo. Tenía que llevar todas las mañanas unas 40 personas para buscar agua en el campamento A, y llevar a los enfermos a la Cruz Roja, limpiar todo el campamento con un grupo elegido por la policía que luego recibían comida a cambio de sus trabajos. Así, a parte de mi trabajo, también debía solucionar las peleas entre personas, organizar las salidas y las llegadas, atender a la gente que le hacía falta materiales como ropa, camisetas, pantalones, zapatos, productos para lavar la boca, para afeitar, etc. Esto fue mi vida diaria en este centro durante casi tres meses.

Normalmente, en este centro de acogida el tiempo legal que debe estar una persona es de 40 días pero, después de cumplir  el período legal, me pidió el jefe de policía que me quedara para trabajar con ellos a cambio de arreglarme los papeles. Esta propuesta era inesperada para mí. Entonces seguí allí durante un mes y medio más. Ya no dormía en el centro. Cada tarde, un inspector me recogía para llevarme a su casa y viví allí durante el tiempo en que trabajé gratis en este centro. Nos levantábamos de madrugada para ir al trabajo y el trayecto hacia el centro me permitió ver más o menos lo maravilloso que era Tenerife, un lugar de ensueño. Pero después de que me consiguieran un precontrato me informaron que no podían arreglarme los papeles porque según la ley eso era imposible antes de tres años. Este inspector me dijo que era mejor que me fuera porque no me darían nunca lo prometido. Me conseguí un billete de avión para Málaga a través de la Cruz Roja. Me fui de Tenerife. Llegué a Málaga por la noche y cogí un autobús para Almería donde vivía mi primo.

Una vez en Almería encontré a mi primo que llevaba ya dos años en España. Él me recogió en la estación de autobuses de Roquetas del Mar. Era un miércoles por la tarde. Mi primo vivía en el barrio de las doscientas viviendas, un barrio muy famoso porque casi el 95% de la gente que vive allí son inmigrantes; senegaleses, Malienses, Ghaneses, Nigerianos, Marroquíes y Rumanos. El piso donde estaba viviendo mi primo tenía dos dormitorios y un salón ocupado por seis personas, todas se dedicaban a la venta de cd’s piratas. Después de un día de reconocimiento del terreno me fui a buscar un trabajo en los campos que no conseguí porque había tanta gente que no había trabajo para todos. Entonces me quedaba una opción, que era la de la venta de los cd’s piratas. Esta venta se hacía en los mercadillos que tenían lugar en algunos sitios de Almería. Mi primo me dio una mochila con más de noventa cd’s y películas y una manta con cuerdas que servía para poner en el suelo. Un trabajo horroroso que no tiene nada que ver con un trabajo normal, porque siempre estás pendiente de algún agente de policía que te puede pillar y llevarte a la comisaría. A mí de verdad este trabajo me daba mucha vergüenza. Me veía mal y muy ridículo cogiendo una manta y corriendo entre la gente, aunque con esto me ganaba un poco la vida. Catorce días pasaron y llegó el día en que me pilló la policía con un coche en el que llevábamos películas, cd’s piratas y perfumes. Mi primo decidió llevarse la culpa por lo que le condenaron a ocho meses de cárcel y tres mil euros de multa. Entonces estaba solo en España, ni familia ni amigos, ni conocidos, ni nadie, el vacío total, con un dormitorio que pagar cada mes que me había alquilado mi primo en un piso frente al suyo, con una máquina para grabar cd’s y dvd’s, un montón de copias falsas y cd’s vírgenes. Este piso lo compartía con dos personas de origen Nigeriano,  un hombre que no sabía a qué se dedicaba y una mujer con su niña pequeña que seguro era prostituta. Después de dos días de caos, de confusión, buscando abogado para mi primo, decidí al fin seguir a delante y sustituir a mi primo en el negocio de los cd’s que le costó la cárcel. Desde entonces solamente grababa y vendía a la gente que iba al mercadillo. Alquilaba un coche para ir a Granada, comprando el material que necesitaba, cd’s vírgenes, copias, plásticos, etc.

Siete meses pasaron y cada vez el negocio me salía menos rentable. Decidí moverme. Era ya junio de 2007, un mes que nunca olvidaré como aquel octubre de 2006 cuando, estando en la playa de los cristianos en Tenerife me llamaron por teléfono para anunciarme que mi mujer había tenido un niño. Estaba embarazada de siete meses cuando me marché de casa. Aquel día estaba feliz y triste a la vez pero hoy se trataba de una mala noticia, acababa de perder a mi padre. Cada día, a cada momento se muere la gente sin que te des cuenta pero solamente hace falta que le toque a uno de tus seres queridos para que te enteres realmente lo cruel que es la muerte. Yo amaba a mi padre y me gustaría mucho volver a verlo, a compartir con él sus últimos días de vida. En realidad este hombre lo era todo para mí, una referencia, la seguridad, en definitiva un padre en todos los sentidos. Tenía una enfermedad que había afectado a su corazón. Después de diez días en el hospital volvió a casa y perdió la vida después  de cenar. Era un martes. Este día hablé con él por teléfono y hoy cuando me acuerdo entiendo por qué me había dicho aquellas palabras… un discurso sobre la vida, lo corta que es. Me dijo que siempre hay que rezar y hacer cosas buenas como si fueras a morir mañana, pero al mismo tiempo trabajar y adaptarse en el lugar donde vives como si nunca fueras a morir. Este día lloré durante toda la noche. Cada vez que me pasan por la cabeza las imágenes de mis dos hijos y mi padre me pregunto si la vida que llevo vale la pena vivirla, tan lejos de casa, de mi gente, de mis seres queridos. Estos días, de verdad, fueron los peores de mi vida. En ese momento pensé realmente volver a casa, pero al final decidí ir a Madrid.

Vine a Madrid una semana después de la muerte de mi padre. Aquí también me esperaba una nueva oportunidad. Llegué un viernes a las 6 de la mañana a la estación  Sur de Méndez Álvaro. Cogí un taxi que me llevó al barrio de Lavapiés donde vivía un amigo de la infancia, en la calle Jesús y María. Allí encontré algo que no me imaginaba, un piso patera. Se trata de un piso donde vivía  mucha gente. En este había doce personas, a penas se podía encontrar un rincón donde pasar la noche, era un verdadero agujero que le había alquilado un Bangladesh por 1.200€ al mes. Este piso tenía cuatro dormitorios y un salón. Allí también, como en Almería, era a la venta de los cd’s piratas a lo que se dedicaban los que vivían allí. Al día siguiente cogí mi mochila y fui a buscarme la vida por donde fuera. Después de un rato en la Renfe bajé en una ciudad llamada Torrejón de Ardoz. Allí encontré gente de Ecuador ejerciendo esta venta ilegal en una calle peatonal cerca de la plaza mayor. De verdad en este sitio me iba muy bien porque cada tarde al menos podía conseguir 50€, pero cuanto más arriba subes más dura es la caída. Después de un mes de venta me pilló la policía local con un chico de Ecuador y pasé mi primera noche en prisión. Esta noche pensé que el mundo se había parado porque después de que me metieran en este cuarto cerrado con puertas de hierro ya no podía saber ni la hora ni el tiempo, nada del mundo exterior, esto fue una experiencia muy dolorosa para mí. Al día siguiente me llevaron al juzgado y la jueza me dictó una sentencia. Mi abogado me informó que me tocaba firmar cada día uno y quince del mes. Regresé a casa muy hundido, tan hundido que ya no quería ni oír hablar de los cd’s. Se me fueron las ganas de vivir. Ya no tenía valor para hacer este trabajo. No pasaba ni un día sin que unos de mis compañeros de piso pasara la noche en la comisaría. Nunca había visto tanta seguridad en las calles de Madrid. Ahora parece que toda la gente que lleva gafas de sol son de la policía secreta. Había que buscarse otra cosa, fuera lo que fuera.

Después de un mes de inactividad la gente con la que vivía decidieron cambiar de piso y dividirse en diferentes lugares. Encontramos un piso cerca de la plaza de Lavapiés,  con tres dormitorios y un salón. El dueño era un hombre de Pakistán que nos pidió una tarjeta de residencia para hacer el contrato y 3.600€ para la fianza. Le dimos una parte. En un papel este señor escribió y reconoció haber recibido 1000€ de nosotros y firmó con su DNI. Se quedó con una copia y nos dio la otra, pero una semana después, cuando le pedimos que nos devolviera el dinero porque no teníamos la parte que faltaba, este señor se negó a devolvérnoslo porque dijo que había caducado la fecha del precontrato.  Después de discutir con él vino la policía y los agentes nos informaron de que no se podía hacer nada porque el precontrato era ilegal y no teníamos pruebas suficientes para culpar a este señor. La verdad es que la primera cosa que aprendes cuando estás aquí es que no te puedes fiar de nadie, ni de ti mismo. Este tío nos había robado el dinero. Al final reunimos el dinero suficiente  para conseguir otro piso de dos habitaciones en Lavapiés que costaba 850€ al mes. Desde el principio éramos seis personas. Era ya Agosto de 2007.

Un mes después conseguí un trabajo en San Martín de la Vega en un almacén de andamios. En este almacén trabajé siete meses seguidos cobrando 50€ al día y pagando 100€ por los papeles que me había alquilado un señor de origen Ghanés. En este país puedes trabajar con los papeles de otro porque la mayoría de los blancos creen que todos los negros son iguales y no pueden distinguir unos de otros. Cada día me levantaba a las 5 de la mañana para ir a trabajar pero en nuestro piso de verdad no se puede vivir si estás trabajando porque cada vez había uno nuevo que llegaba y al final nos hemos encontrado con 12 personas viviendo en un piso de dos habitaciones. Mis compañeros por la noche nunca duermen, se quedan a discutir cosas tontas y hablando tan alto que les podía oír desde la calle, entonces ya no podía aguantar más y decidí cambiar de casa. Encontré un dormitorio en Torrejón de Ardoz a 300€ que compartía con un tío  de mi país, pero siete meses pasaron y se me acabó el trabajo. Era Abril de 2008, justamente cuando empezó la crisis. Volví otra vez a la misma pesadilla de antes, exactamente la misma situación que al principio, buscando un trabajo que no me salía. Esperé tres meses pero entonces había que hacer algo y volví a la venta de cd’s pirata. Esta vez me ponía en el metro de Legazpi para vender, pero llegó el día en que un vigilante de seguridad me persiguió hasta el vagón y me quería sacar de allí. No me había pedido billete ni documentación, me ordenó salir del vagón y yo me negué porque yo tenía billete.  Tras empujarme durante unos minutos sacó su porra de defensa y me pegó dos veces hasta que tuvieron que intervenir dos personas que no conocía para defenderme de él. Esa noche volví a casa muy cabreado, tanto que no sabía lo que tenía que hacer. Volví a Legazpi para pedir explicaciones al jefe de este señor, pero cuando llegué este señor no tenía ni su porra de defensa y negaba haberme pegado. Me quité la camiseta para enseñarle los daños que me hizo pero esta gente no querían saber nada. Me pidieron que me marchara y no les ofendiera más. Decidí coger el metro otra vez pero estos señores me sacaron de la estación. Decidí ir a la policía y poner una denuncia, un asunto que todavía no está sentenciado.

Echo mucho de menos a mi país, y sobre todo a mi familia, mi madre, mis dos hermanos, mis dos hijos y mi mujer, una mujer de una belleza original, Africana. Quiero mucho a mi mujer, la amo, la adoro, daría todo el dinero del mundo para volver a verla. Es la única que me hace sentir realmente humano cuando estoy a su lado.

Tengo la sensación de que no tengo familia, que no tengo nada, porque lo que buscaba en España no lo encontré y tengo dudas de si algún día lo voy a encontrar. Me gustaría mucho que los dirigentes de África revisasen sus formas de gobernar, porque las cosas no pueden seguir así. Es verdad que África ha sido víctima de tres siglos de esclavitud, pero esto desde luego no es una excusa. Hay que seguir adelante, hay que buscar soluciones, hay que trabajar y dejar de engañar a la gente, de robar y matar. Hay que hacer también reflexionar a Europa de lo que pasa en África y por qué pasa. Es posible que todos tengamos la culpa, pero todos no padecemos las consecuencias. Las decisiones se toman en Europa y la Tierra se resquebraja en África.

La inmigración es algo bueno en un sentido, pero hay que decir que toda la gente que viene de allí no tiene las mismas oportunidades y ni mucho menos las mismas capacidades. Sería una locura pensar que todos los jóvenes de África quieren seguir viniendo a Europa.

Mouhamadou Bamba Diop

(Diciembre 2009 / Texto publicado en el libro Madrid abierto 2009-2012)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. El perro (Cv)

PABLO ESPAÑA, 1970IVÁN LÓPEZ, 1970RAMÓN MATEOS, 1968Fundado en Madrid en 1989 y disuelto en 2006. En la actualidad Pablo España e Iván López siguen trabajando en colectivo bajo el nombre de Democracia (www.democracia.com.es) y Ramón Mateos bajo su propio nombre (www.ramon-mateos.com; www.blackandnoir.com)OBRA EN MADRID ABIERTO: Virtual Demolition Mobile

 

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2001·    Wayaway. Sala Amadís, Injuve. Madrid

2000·    Situación Crítica (en colaboración con PSJM y Aitor Méndez). Mercat de les flors. Barcelona.

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2003·    Exposición documental La fragua & Centro de arte Párraga, Murcia.·    Advertising. Proyecto de arte público en Sabadell.·    Doble Seducción. Injuve, Sala Amadís, Madrid.·    Public Space/ Legal Space. Établissement dén face. Bruselas, Bélgica.·    Deluxe. Monasterio de Prado, Valladolid.·    Monocanal. Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid. Sala Díaz Cassou de Murcia. Centro Galego de Arte Contemporànea de Santiago de Compostela. Museo Patio Herreriano de Valladolid. Art in General, New York, EE.UU.·    Proyecto Boda. MEIAC, Badajoz.·    Arco 2003. Galería Salvador Díaz. Madrid.·    Arco 2003. Las otras galerías, MEIAC, Madrid.

2002·    Deluxe Miami. Casas Reigner Gallery, Miami, EE.UU. Art Basel Miami Beach 2002. Galería Salvador Díaz, Miami, EE.UU.·    Madrid al descubierto. Sala de exposiciones de Alcalá 31, Madrid.·    Arco 2002. Galería Salvador Díaz, Madrid.·    Arco 2002. Becas para Proyectos, Caja Madrid, Madrid.·    Big Torino 2002. Bienal de arte joven, Torino, Italia.·    Ninguna persona es ilegal. INÉDITOS. La casa encendida, Madrid.·    Deluxe. Sala de exposiciones de Plaza de España, Madrid.·    Advertising. Proyecto de arte público, Mataró.·    XXVII Bienal de Pontevedra. Pazo de la Cultura, Pontevedra. 

2001·    Periferias 2001. Sala de exposiciones de la Diputación de Huesca. Huesca.·    Media Ambientes. Mad 2001, Madrid.·    Puntos de encuentro. Cruce. Madrid·    Videometal. Circo Interior Bruto, Madrid.·    Screen Adictions. Dotlight club, Barcelona.·    Arte joven. Programa Nexo. Sala de exposiciones del convenio Andrés Bello, Bogotá. Colombia.·    Open Spaces. Arco 2001. Galería Salvador Díaz. Madrid.·    Programa Nexo. Museo Sofía Imber, Caracas, Venezuela. 

2000·    Oficina de arte público. Evento continuo de Rirkrit Tiravanija. Galería Salvador Díaz, Madrid.·    Operario de ideas. www.operariodeideas.com·    Muestra de Arte Joven Injuve 1999 en Iberoamérica. Itinerancia por Argentina, Uruguay, Paraguay, Guatemala y El Salvador.·    Generación 2000. Premios de Caja Madrid. Itinerancia por Madrid, Barcelona, Valladolid, Sevilla, Valencia.·    Tránsitos. Festival de arte contemporáneo, Toledo.·    Insumisiones. Fundación Marcelino Botín, Santander.·    Capital Confort. Intervenciones en espacios públicos. Alcorcón, Madrid.

PROYECTOS INDIVIDUALES  (Proyectos comisariados por El Perro)2003·    Deluxe (en colaboración con Paco Barragán). Monasterio de Prado, Valladolid.

2002·    Deluxe Miami (en colaboración con Paco Barragán). Casas Reigner Gallery, Miami, EE. UU.·    Quién es el arte. La Fábrica de Pan, Madrid.·    Deluxe (en colaboración con Paco Barragán). Sala de exposiciones de Plaza de España, Madrid.·    Capital confort. Intervenciones en espacios públicos de Alcorcón, Madrid.

2001·    Capital confort. Intervenciones en espacios públicos de Alcorcón, Madrid.

2000·    Capital confort. Intervenciones en espacios públicos de Alcorcón, Madrid..

1999·    Qué hago yo aquí. Espacio de Arte Garaje Pemasa, Madrid.

BECAS Y PREMIOS2001·    Beca para proyectos, nuevas tendencias. Generación 2001. Premio Caja Madrid.

2000·    Generación 2000. Premio Caja Madrid.

PUBLICACIONES SELECCIONADAS·    Qué hago yo aquí. Revista Anual. Números: Qué es el arte?, 2001; Quién es el arte?, 2002; Dónde es el arte?, 2003.

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. PROPORSAL NR 19 + GIFT (texto publicado)

 Visión obligada

Testigo de la hambruna de Etiopía de 1984, a los 14 años de edad, yo estaba viendo la televisión en casa.

Un recuerdo de una escena vista en la televisión. Una imagen con la que yo no tengo relación directa, inmaterial, evasiva, sin localización, flotando a través del aire. No puedo regresar al lugar donde se desarrolló el drama. La televisión de mi cuarto de estar es el lugar donde sucedió, pero la televisión ya muestra otras imágenes y en mi cuarto de estar no hay nada que remita al drama.

¿Cuán libre es observar sin comprometerse? Dicho en otras palabras, ¿puede un testigo ser culpable de lo que ve?

Fuera de lugar

Para Madrid Abierto, quiero investigar un nuevo ángulo de la reconstrucción/propuesta indagando la posición errónea. La provocada por los medios. En este contexto, un icono mediático conocido es colocado fuera del contexto original de televisión/Internet de nuestro cuarto de estar, situándolo en el espacio público. Del espacio público plano (TV) al espacio público tridimensional. Mediante la desaparición del conflicto provocada por la posición errónea (conozco esta imagen pero, ¿qué tiene que ver con este lugar?) la nueva situación revela la absurda posición del espectador, la absurda situación de ser testigo en la era de la globalización mediática.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. HUERTO-O-BUS (2010.01 / documentación técnica / texto informativo)

 

¡Bienvenidos al Huert-o-bus!

Un invernadero ‘viajero’ que visitara diferentes barrios de Madrid desde el 4 al 28 de Febrero.

Os invitamos a participar plantando una semilla, cuidando las plantas o realizando alguna actividad comunitaria o taller... y sobre todo ¡que disfrutéis de un espacio verde en la ciudad!

Huert-o-bus es un proyecto de Lisa Cheung para MADRID ABIERTO 2010 www.madridabierto.com

Fechasdel 4 al 28 de Febrero

Horariode 11 h a 18 h.

Los Lunesdescanso

Los MartesPlaza de la Pilarica en Usera (entre la C/ Pilarica y la C/ Dolores Barranco)

Los MiércolesPlaza Soledad Torres Acosta (Plaza de los Cines Luna)

Los JuevesPlaza de Agustín Lara, Lavapiés (frente a las Escuelas Pías, entre la C/ Sombrerete y la C/ Mesón de Paredes).

Los ViernesPlaza de la Remonta en Tetuán

Sábados y domingosJardines del Descubrimiento-Plaza de Colón

"Deja tu huella plantando una semilla"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Diana Larrea (Cv)

MADRID, 1972VIVE Y TRABAJA EN MADRID.WWW. DIANALARREA.COMOBRA EN MADRID ABIERTO : El palacio encantado

 

FORMACIÓN ACADÉMICA 1991–96* Licenciada en Bellas Artes. Universidad Complutense. Madrid.

1980–96* Estudios de Música. Real Conservatorio Superior de Música. Madrid.

EXPOSICIONES INDIVIDUALES 2002* Galería Garage Regium. Madrid.

2000* La Ventana de La Fábrica. Madrid.* Espacio F. Mercado de Fuencarral. Madrid.

1999* Doblespacio. Madrid.* Centro de Arte Joven de la Comunidad de Madrid.

EXPOSICIONES COLECTIVAS 2003* God. Human and Art. Gallery Kobo Chika. Tokio, Japón.* ARCO’03. Galería Fernando Pradilla. Madrid.* Certamen Audiovisual Injuve 2002. Sala Amadís, Madrid.* Otros incluidos. Casa de América, Madrid.

2002* ARCO’02. Stand Caja Madrid.* Magazine. Sala Amadís, Madrid.* Zona Cero. Sala del Canal de Isabel II, Madrid.* Galería Rina Bouwen. PhotoEspaña’02. Madrid.* 143 Delicias. II Festival de vídeo. Madrid.* Videometal II Muestra de vídeo experimental. C.S.O. El laboratorio 3. Madrid.* Premi Ciutat de Palma d’Arts Plàstiques. Casal Solleric. Palma de Mallorca.* Mujeres. Instituto Cervantes. Tánger, Marruecos.* ARTELISBOA, Stand Galería Bores & Mallo. Lisboa, Portugal.* ARTissima, the International Fair of Contemporary Art in Turin. Galería Garage Regium. Turín, Italia.* III Muestra de Videodanza. Aula de Danza, Universidad de Alcalá.

2001* Pasos de cebra. XVII Muestra de Arte Injuve. Círculo de Bellas Artes. Madrid.* Capital confort. Muestra de Arte Público comisariada por El Perro. Alcorcón.* songs of love and hate- side b. Galerie Wieland. Berlín, Alemania.* VII Bienal de Pamplona. Ciudadela del Ayuntamiento de Pamplona.

2000* ne travaillez jamais. Künstlerwerkstätte. Munich, Alemania.* XXVI Bienal de Arte de Pontevedra. Pontevedra.* Circuitos de Artes plásticas y Fotografía. Centro de Arte Joven de la Comunidad de Madrid. Itinerancia en Pontevedra, Alcalá de Henares y Nueva York.

1999* Paisajes españoles de hoy. Garage Regium. Madrid.* XV Premio de pintura L´orèal. Centro Cultural Conde Duque. Madrid.

BECAS Y PREMIOS 2002* Beca de Creación Plástica. Casa de América. Madrid* Proyecto seleccionado para su producción, II Encuentro de Arte Público Ardearganda’02. Arganda del Rey.* Primer Premio, II Concurso de Fotografía El Cultural. Diario El Mundo.* Proyecto seleccionado para su producción, Certamen audiovisual Injuve.

2001* Adquisición de obra. Muestra de Arte Injuve. Instituto de la Juventud.* Beca para realizar un proyecto, Generación 2001. Obra Social Caja Madrid.

1999* XV Premio de Pintura L´orèal.

1998* Beca de Arte. Ayuntamiento de Mojácar, Almería.* Obra en colecciones/ Works in collections* Ayuntamiento de Mojácar. Almería.* Biblioteca Nacional. Madrid.* Calcografía Nacional. Madrid.* Colección Caja Madrid.* Dirección General de la Mujer. Comunidad de Madrid.* Instituto de la Juventud. Ministerio de Trabajo y Asuntos Sociales.

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Dier + Noaz. ESTADO DE EXCEPCIÓN (texto publicado)

 En toda Europa y el mundo, las tendencias políticas más conservadoras resurgen intentando dar respuestas a un mundo complejo, con soluciones cada vez más sencillas.

Según European Forum For Urban Safety, España es el país de Europa con más policías por habitante, con 486 por cada 100.000 habitantes. España tiene también la tasa más alta de presos de Europa, 140 por cada 100.000 habitantes según la Dirección General de Instituciones Penitenciarias (Junio 2006).

Aunque en las estadísticas de criminalidad no se ve un especial aumento, constantemente vemos noticias en las que las autoridades locales piden endurecimientos de sanciones, y demandan más policías. Concretamente, esta petición es una constante en Madrid, sin duda, para dar respuesta a una sociedad cada día con más miedo.

¿Hasta qué punto puede llegar a transmitirse seguridad y miedo a la vez? El Paseo de Recoletos es un sitio perfecto para reflexionar acerca de ello, por ser uno de los lugares más seguros de Madrid gracias al turismo.

Buscamos generar la sensación de una respuesta de máxima seguridad ante una amenaza desconocida, mediante la instalación de un (falso) puesto de control militar y lemas donde se inste a la gente a estar alerta.

Esperamos que esta acción haga reflexionar al público, independientemente de su ideología política, sobre la posible degradación que puede sufrir nuestro entorno con una escalada de violencia y seguridad.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.03 / revisión proyecto / documentación técnica)

MARZO 2009

 

NECESIDADES TÉCNICAS

Qué necesito de Madrid Abierto:

1. Estar en contacto con una imprenta con experiencia en fotografía, un buen litógrafo y diseñador gráfico anglo-parlante que me apoye en el diseño, preparación e impresión de la publicación. Período de producción: Enero de 2010.

2. La negociación de una colaboración con un periódico (i.e. "El País") para obtener la publicación diaria de una imagen del proyecto a lo largo de Febrero 2010. La suma de las imágenes, más una selección de textos inéditosm, será compuesta para su publicación como suplemento del periódico dominical. Las unidades extras, no distribuidas con el periódico, formarán parte de la edición de artista a la venta durante las intervenciones y probablemente distribuidas más adelante.

3. Encontrar una casa editorial/distribuidora interesada en arte, fotografía y problemática urbana (como Actar) para co-producir y/o distribuir la publicación. Dicha colaboración podría contribuir a transformar el suplemento en un libro de artista.

4. Necesito estar en contacto con 2 muy buenos traductores, familiarizados con temas urbanos, que trabajen del Inglés al Castellano y del Castellano al Inglés.

5. Necesito un espacio designado para presentar y vender la publicación en el centro de información de Madrid Abierto.

6. Necesito reservar una selección (10-15) de las carteleras existentes, MUPI, en el Paseo del Prado desde Atocha donde pondré impresiones de ink jet.

PREGUNTAS

7 ¿Las Mupi son gratis?Sino¿Cuanto cuestan?

8  Cual sería un número razonable de ejemplares para la publicación?

 

PLANIFICACIÓN

Abril-Julio2009 Producción de fotografías

Agosto- Octubre 2009 Producción de textos Traducciones Selección de imágenes

Septiembre- Diciembre 2009 Diseño Scaneo

Enero –Febrero 2010 (hasta la inauguración) Producción de pósters Suplemento/libro de artista

Febrero 2010 (transcurso de las intervenciones) Publicación diaria de una imagen Venta de publicación

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Emancipator bubble (Cv)

SAIOA OLMO (BILBAO, 1976)TXELU BALBOA (VITORIA, 1974)RICARDO ANTÓN (BILBAO, 1974)OBRA EN MADRID ABIERTO: Emancipator bubble

 

 SAIOA OLMO (Bilbao, 1976) es licenciada en Bellas Artes en la UPV y Master de Diseño en DZ. Entiende su trabajo como un modo de producción de experiencias y situaciones de encuentro en las que el espectador tenga una función muy activa. Trabaja de un modo completamente interdisciplinar, muchas veces colectivamente. Sus últimos proyectos son: la comunicación y nueva imagen de ARTELEKU (con AMASTÉ);Chi-gua-gua, alrededor del mundo de la moda y la noche; o QUÉJATE_KEXATU, en el que se proporcionaba un espacio para la queja,etc. Actualmente, además de en EMANCIPATOR, trabaja en proyectos como PAIS VASCO TRADE MARK, un proyecto sobre el diseño de la identidad; FOYU, un grupo de postmúsica junto a Leticia Orue; o forma parte del laboratorio sobre vivienda LABITACIONES en Arteleku.

AMASTÉ (www.amaste.com) está dirigida por Txelu Balboa (Vitoria1974) y Ricardo Antón (Bilbao, 1974). Se dedica a la producción y difusión de proyectos relacionados con la sociedad actual y la cultura contemporánea. Entienden la creatividad, no tanto como un modo de expresión individual, sino como un espacio colectivo de comunicación. Editan la revista ESETÉ, colaboran en numerosos proyectos interdisciplinares y están presentes regularmente en eventos como ARCO, SONAR, LAUS, etc. Actualmente preparan números de ESETÉ dedicados al sexo, el metro o las prohibiciones, unas mesas de debate sobre nuevas publicaciones para ARCO o su presencia en la Bienal de Lleida.

Además, Alex y Hugo participan como consultores, Pedro Pérez es el diseñador industrial que ha desarrollado el prototipo y hay numerosos colaboradores que nos ayudan a sacar el proyecto adelante, como por ejemplo: Arteleku, Montehermoso, el Dpto. de Juventud del Gobierno Vasco, Madrid Abierto, Bilbotex y un montón de gente más sin la que todo esto no hubiese sido posible.

 

 

 

 

 

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2008. Annamarie Ho + Inmi Lee. LA GUERRA ES NUESTRA (texto publicado)

 Nuestra obra es una gran señal que contiene la declaración: “La guerra es nuestra”, detallada en caracteres negros con iluminación posterior, y colgada de la fachada del Círculo de Bellas Artes.

La señal recurre a un formato que se ve muy frecuentemente en los escaparates – el espectador puede, inicialmente, pasar la señal por alto, igual que a menudo somos indiferentes a la nueva información y a los nuevos medios que se nos presentan constantemente, pero un segundo vistazo puede dar lugar a una reacción diferente. Además, la colocación de semejante señal en un edificio cultural bien conocido lleva a una yuxtaposición de lo político, lo bello y lo histórico.

La referencia inicial de la declaración “La guerra es nuestra” es, naturalmente, a la guerra de Irak. Pero la declaración también es abierta; la “guerra” puede referirse a cualquier asunto que provoque preocupación en el espectador. En Madrid, esto podrían ser las actividades de la formación terrorista ETA o la necesidad de viviendas más asequibles dentro de la ciudad. Nuestra meta es mostrar que todo el mundo es participante voluntario en lo político. La indiferencia es una declaración, tanto como librar una guerra o participar en el activismo político.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Sierra. BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA (documentación teórica)

CORRESPONDENCIA

Edition Schellmann. Munich, Alemania. Diciembre 2007

Una bandera de la republica española fue bordada en telas e hilos negros por artesanos de Munich . El proyecto se divide en dos partes, una presentación en el Ateneo de la Bandera Negra de la Republica Española a cargo de Jose Luís Corazón y Fabio R. de la Flor, por otro lado se hace una pegada de carteles (100x80) con la reproducción de la bandera por el centro de Madrid. En cuanto a la producción habria que controlar la impresion y los carteleros. En cuanto al Ateneo ya tengo algun contacto que esta mirando la cesion del espacio. La imagen de la bandera va adjunta.

 Y a continuación  pego lo que me contaba Santiago como marco para los discursos de presentación:

_______________________________________________

Las pautas son las que la bandera misma pone en relación respecto a lo historico y lo presente de los ideales igualitarios en España. Juntando elementos como el bordado, el lugar del bordado, marianas pinedas de babaria, las implicaciones del color, tanto hacia el luto como hacia lo libertario, los origenes del regimen monarquico instaurado mediante la muerte y el cuarentañismo, la pervivencia de desaparecidos y cunetas. La pervivencia del desprecio. El estado que habla de memoria con exaltacion monarquica, calles, hospitales, museos, premios internacionales.... Los cercanos recordatorios latinoamericanos sobre lo que supuso nuestra sangrante  monarquia a nivel mundial. Los recientes intentos de silenciar la disension, en fin, que esta bandera da para mucho, como antisimbolo es potente, no se si la foto hace justicia....Además, es mi trabajo más hermoso y honra a nuestros abuelos muertos.

La España negra y su contraparte, LA ESPAÑA ENNEGRECIDA.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (texto publicado)

 

Hell Is Coming / World Ends Today, una obra situacionista para el centro del casco urbano de Madrid, consiste en una intervención temporal escenificada en dicha ciudad. Tiene una duración de una semana y contará con un total de 151 participantes.

En la obra Hell Is Coming / World Ends Today, Andreas Templin exhibe referencias al movimiento Situacionista, a su fuerte repercusión y a su ininterrumpido flujo y, en relación con eso, señala algunos de los problemas comunes por los que los movimientos parecen verse afectados: el momento de su pura comprensión por parte de la mente de un individuo frente a la competitividad de los estilos, actitudes y tendencias de conceptos específicos de la sociedad.

En esta creación artística, algunas de las tesis filosóficas clave que resumen, desde el punto de vista de Templin, la repercusión más fuerte y más directa sobre el individuo en las sociedades occidentales contemporáneas, culminan en una obra efímera.

Esto se produce trasladando los nombres de estos filósofos a la vida cotidiana pidiendo a 150 habitantes de Madrid que, durante una semana y en sus quehaceres diarios, luzcan artículos de moda urbana con etiquetas impresas. Mientras se limitan simplemente a seguir con su actividad diaria, la propia creación artística penetra en el espacio urbano, y los conceptos filosóficos compiten cara a cara con los demás conceptos de las etiquetas y marcas en el dominio público.

Tales conceptos y su aspecto visual son:

- Velocidad y devastación. Paul Virilio.

- El campamento / el campo de concentración. Giorgio Agamben.

- Poder / Michel Foucault.

- Odio / fundamentalismo / representado por una recreación de manifestaciones derechistas fanáticas. Esto será escenificado por un doble de un predicador que permanecerá de pie en varias esquinas de calles de Madrid.

La pregunta que plantea esta obra es: Estos nombres, ¿son ya “etiquetas” (o la gente los aclama simplemente como grandes etiquetas) o transmiten un significado? ¿Puede una intervención tan efímera sobrevivir como creación artística a los ojos del público?“. Andreas Templin

Habrá una página web disponible en vivo con aportaciones especiales del doctor Andreas L. Hofbauer y de Dennis De La Haye www.worldendstoday.wordpress.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (documentación visual)

2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (documentación visual)

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2007. Oswaldo Macià. CUANDO LOS PERROS LADRAN EL CAMELLO LOS IGNORA (texto publicado)

 Cuando los perros ladran el camello los ignora; somos los perros y el camello el mundo (Proverbio de Darfur)

Parecería que vivimos en un mundo permanentemente en crisis. Esto se debe, aunque no siempre lo percatemos del todo, a que las crisis son de los pocos mecanismos que generan cambios en nuestros días. Dicho de otra manera: las crisis son los catalizadores indispensables que determinan acciones capaces de transformar los escenarios personales, sociales y políticos de hoy.

No así, cada crisis tiene una intensidad, una iconografía y un lenguaje diferentes. Discernimos sobre ellas y les prestamos atención de acuerdo no sólo a nuestras inclinaciones políticas y gustos personales sino también dependiendo de su inmediatez como noticia y de la singularidad de su ocurrencia. Las crisis compiten entre sí mismas por nuestra atención debido a una especie de pugna permanente entre los innumerables grupos de presión de la sociedad civil y los intereses financieros cada vez mayores de los medios de información global.

A pesar de lo anterior, y dentro de esa visión global semi-apocalíptica que al parecer ahora todos compartimos, hay un tipo de crisis que la sabemos o intuimos más graves que cualquier otra: la crisis humanitaria. Nuestro ser ético se retuerce cada vez que se nos recuerda la capacidad que tenemos para la masacre y el genocidio. Los sabemos como crímenes repugnantes porque con ellos todos somos degradados y rebajados ontológicamente. Son crímenes injustificables pero no obstante no dejan de suceder.

Es justamente esa indiferencia, esa omisión en nuestro deber como ser humano, a la que esta pieza de Oswaldo Macià se refiere. Él nos recuerda con esta sinfonía -compuesta de 200 ladridos de perros- la capacidad que poseemos de bestializarnos y de como Darfur es un caso tan presente como ignominioso. El título mismo parece contener una mordaz ironía pues si decimos que "cuando los perros ladran el camello los ignora; somos los perros y el camello el mundo" invocamos esa doble posibilidad humana de expresar, por un lado, disconformidad y de sentirnos en peligro pero al mismo tiempo de rebajarnos también a la jauría e injusticia ayudadas ellas por nuestra propia indiferencia. Así bien, si el mundo es realmente un camello indiferente -tal y como al parecer lo son nuestros líderes e instituciones internacionales- deberemos entonces seguir ladrando hasta cuando esa lánguida bestia nómada se arrodille y escuche nuestro malestar.

Juan Toledo, Londres 2006

Descripción técnica: Composición con 200 sonidos de ladridos de perro provenientes de perreras municipales de Cerdeña. Composición hecha para 12 canales de sonido (2 DVD 5.1), programa de mano y valla publicitaria con el texto: Cuando los perros ladran el camello los ignora; somos los perros y el camello el mundo (Proverbio de Darfur).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (texto publicado)

 [nexus*]artgroup es un grupo artístico internacional de carácter flexible y permeable compuesto por:

marjorie kanter (USA, escritora)maría papacharalambous (Chipre, artista plástica)achilleas kentonis (Chipre, artista multimedia)delgado-guitart (Tánger/Madrid, artista multimedia)ricardo echevarría (España, artista multimedia)

proyecto[nexus*]

Este proyecto pretende generar sensibilidad respecto a la perdida de privacidad hacia la que nos dirigimos y al mismo tiempo experimentar con el nuevo lenguaje creativo que los nuevos medios permiten.

Se instalarán sistemas que envien sms/mms a todos aquellos transeúntes que, portando un terminal móvil, atraviesen un área previamente fijada distribuyendo de esta manera un número de mensajes/imágenes generados por el [nexus*]artgroup. Cada transeúnte que atraviese un hot-spot recibirá en su terminal un mensaje/imagen.

En este caso se emitirá el objeto artístico (imágenes y textos) en su más pura virtualidad a los transeúntes, con móviles, que pasen por un entorno determinado.

Esta intervención supone una adopción hibrida del mecanismo publicitario denominado spam y de los modos de irrupción de mensajes artístico/políticos usados en el situacionismo y en el arte urbano, es una acción comunicativa con animo de suscitar el shock del mensaje.

Las terminales móviles suponen los espacios de recepción del discurso artístico en este caso y la ubicación urbana hace que estemos ante un arte que se desplaza hacia la audiencia.

El discurso artístico se extiende al espacio electrónico haciendo de este y de las terminales personales las ubicaciones temporales de la intervención.

Consideramos este proyecto como un experimento urbano al mismo tiempo que un manifiesto activo sobre la re-consideración de la obra de arte y su carácter multidisciplinar.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL SUBTERRÁNEO RECIÉN EXCAVADO (2009.12 / trabajo de campo)

(DICIEMBRE 2009)

 

APARCAMIENTO 1Situado entre las calles Hermanos Bécquer y Marqués de Villamejor. Cuenta con un total de 1.118 plazas de aparcamiento: 24 destinadas a discapacitados, 293 de rotación y 825 para residentes.

APARCAMIENTO 2Situado entre las calles Ortega y Gasset y Hermosilla. Cuenta con un total de 1.153 plazas de aparcamiento: 24 destinadas a discapacitados, 384 de rotación y 769 para residentes. APARCAMIENTO 3Situado entre la calle Jorge Juan y la Plaza de la Independencia. Cuenta con un total de 1.026 plazas de aparcamiento: 24 destinadas a discapacitados, 270 de rotación y 756 para residentes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (listado actores)

Actores que hicieron la performance Lucia NapalClemente GarcíaMarcos GarcíaAna Petite Eduardo Cárcamo María Brea Juan Antonio Bottaro Paula Rodríguez Martín Alicia Torres Pablo Martínez Dilvio

Actores en el Café de Gijón De Miércoles a Sábados de 17.00 a 21.00 horasJuan Antonio Bottaro Clemente GarcíaPaula Rodríguez Martín

Actores en Arco De Miércoles a Sábado de 17.00 a 21.00 horasRebeca Tebar Nacho Diaz de Heredia

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (Open Space / trabajo de campo / investigación)

http://www.agile-spain.com/que-es-como-hacer-open-space 

  

QUÉ ES UN OPEN SPACELa técnica del Open Space permite conseguir, de un grupo numeroso de personas y en un mínimo tiempo, las mejores ideas alrededor de una o varias grandes materias (“tracks") sobre un gran tema. En un Open Space los asistentes se autoorganizan proponiendo los temas y programando una serie de reuniones que van a tener lugar justo a continuación. Suele durar entre medio día y hasta dos días completos. Las reuniones pueden tener lugar simultáneamente y los asistentes son libres de decidir a qué sesiones quieren asistir y de cambiar de reunión en cualquier momento.

 

LOS CUATRO PRINCIPIOS1. Cualquier persona que se presente en una reunión es la persona adecuada (cualquier participante en una reunión es correcto simplemente por que se ha preocupado en venir).

2. Cualquier cosa que esté sucediendo es la única cosa que podremos llegar a tener (estate atento a lo que está pasando ahora, en lugar de preocuparte sobre lo que podría pasar).

3. Sea cual sea el momento en que comience, es el momento correcto (este principio ayuda a superar la falta de un horario o agendas previo al Open Space y enfatiza la creatividad y la innovación).

4. Cuando se acabó, se acabó (fomenta que los participantes no desperdicien el tiempo y, por el contrario, que cambien a otro tema cuando una discusión fructífera deja de serlo).

 

LA ÚNICA LEY: “LA LEY DE LOS DOS PIES”Si en algún momento sientes que no estás aprendiendo o contribuyendo en nada, usa tus dos pies. Vete a otra reunión donde puedas aprender o contribuir. (Nadie debería estar en una reunión que considera aburrida, sólo las personas que estén genuinamente interesadas en el tema deberían asistir a una reunión).

http://www.openspaceworld.org/cgi/iberia.cgi?EspacioAbierto

 

ESPACIO ABIERTOLa metodología de reunión en Espacio Abierto (Open Space Technology) ha sido iniciada por Harrison Owen, cuyos sitio y libros son referencias primordiales de la metodología. El autor ha definido la metodología como no propietaria y que no necesita de cualquier "certificación". Un conjunto muy amplio de facilitadores de la metodología se fue organizando a través de reuniones locales, regionales e internacionales, de discusiones en mailing lists y de la creación de Institutos (que son organizaciones no lucrativas de facilitadores de Espacio Abierto, establecidas en el trabajo voluntario). Hasta el momento, los facilitadores de Espacio Abierto que se expresan en portugués o español son en número reducido, siendo una de nuestros intentos promover la metodología en los países de lenguas ibéricas en todo el mundo.

Este sitio web es una invitación para ponerse en contacto con las prácticas, personas, visiones y experiencias que formam el Espacio Abierto. Ha sido creado en comunión con el espíritu funcional, sencillo y poderoso de la metodología de Espacio Abierto -- brindar acceso fácil a organizaciones, facilitadores (practitioners) y recursos de Espacio Abierto provenientes de todo el mundo.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (texto publicado)

El 1 de febrero del 2007, entre las 07:00 y las 00:00 del día siguiente, diez performers, distribuidos en diez puntos diferentes de Madrid a diferentes horas del día, describen sin cesar todo aquello que ven y oyen en el lugar y el momento en que se encuentran, y esta descripción incesante, recitada como un rezo, es registrada individualmente por cada performer, creando un archivo de audio de una hora de duración.

La descripción recitada consiste tanto en descripción de personas, situaciones, actitudes, acontecimientos, como de edificios, estructuras, trayectorias, actividades, rutinas, objetos, atmósferas, circunstancias, sonidos, olores e incluso impresiones, deducciones e intuiciones del sujeto que describe o narra.

Lo importante es que el "rezo" no se interrumpa y que las personas que casualmente se encuentren con el performer sean conscientes de que están siendo integradas en una estructura narrativa (por el simple hecho de oír cómo son descritas, ellas y lo que hacen, y saber que esta descripción está siendo registrada).

Las pistas de audio creadas por los "performers" o "rezadores", pueden ser escuchadas, descargadas y combinadas entre sí en una página web www.rezosprayers.org, permitiendo al visitante reproducir en cierta manera la complejidad de la experiencia producida y vivida por el performer.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (postal)

2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (postal)

 

PRUEBAS IMAGEN I

    

 

PRUEBAS IMAGEN II

 

PRUEBAS IMAGEN III

 

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* VER LOS PDFS ADJUNTOS 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009. Anikka Ström. THE MISSED CONCERT (texto publicado)

 Las actuaciones públicas de Ström son breves y esto ha provocado que algunos de sus amigos se las hayan perdido por un mero capricho del destino. En su vídeo de 2005 The Missed Concert (El concierto perdido), la artista entrevista a algunos de quienes no llegaron a asistir y les pide que describan las circunstancias que les impidieron acudir. Una mujer con un vestido de flores habla de una excesiva libación después de un encuentro por sorpresa con un antiguo amigo. Un padre cuenta que recibió la llamada de una canguro aterrada por un pañal sucio. Un hombre con una camisa azul narra con detalle un viaje a tumba abierta en coche para llegar a tiempo a la cita y cómo se frustró por su necesidad de ir al aseo. La historia mejor y más improbable es la de una mujer australiana que relata que justo antes de un concierto en Oslo se coló en un museo en donde se quedó maravillada ante el cuadro de una mujer montada en un oso blanco. Como quería fotografiar la pintura con la cámara de su nuevo teléfono móvil con el que no estaba familiarizada, se puso a hurgar en los botones hasta que consiguió la foto y terminó corriendo al acto para encontrarse con que la actuación de Ström había terminado (‘Me sentí fatal’). Éste es el tipo de cosas que nos suceden, pero también el tipo de cosas que pueden transformar una amistad magullada en una amistad herida o incluso (si sucede con mucha frecuencia) hacer que se desvanezca. Así mirado, el vídeo de Ström es un ejercicio de generosidad y fe: un confesionario en el cual se creen las excusas de los desafortunados y el informal puede encontrar el perdón. Sin embargo, The Missed Concert también tiene un tono suavemente reprobatorio que acaricia los pies tanto de los amigos de Ström como del espectador. Existe una parte en la mayoría de nosotros que cree que el tiempo está de nuestra parte, que siempre llegaremos en el último momento o que acertaremos entre un millón de posibilidades; lo creemos porque es un cuento satisfactorio (¿cuántas películas hemos visto en las que el héroe no desactiva la bomba hasta el momento justo en que el reloj marca cero?) y somos criaturas propensas a transformar cualquier experiencia en una escena propia, en una película biográfica. Sin embargo, la vida real no es así (pregunte a un filósofo y le dirá que es imposible demostrar de manera satisfactoria incluso la causa y efecto más sencillos). En la vida real perdemos el último tren y las oportunidades doradas, nos perdemos los conciertos de nuestros amigos y, si no tenemos suerte, nos perdemos el encuentro con el amor de nuestra vida. The Missed Concert nos presenta un mundo –el nuestro– en el cual el tiempo está fuera de quicio y nuestra única línea de conducta posible es la de darles cuerda a nuestros relojes y esperar lo mejor.

Tom Morton, Meta.paper vol.1.No 4. 2006

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME (texto publicado)

 Follow Me es una instalación de sonido situada en el antiguo cementerio militar que forma parte de la IV Bienal de Berlín. Coloqué 4 altavoces en donde se cruzan los caminos para que los visitantes puedan pasear a través del sonido según los va rodeando. El sonido lo emito yo cantando una vieja canción de Yard Birds titulada Happenings 10 Years Time Ago, que trata de la realidad frente a la ilusión. Grabé 4 versiones distintas de la canción y dejé que fuesen seguidas como si se cantaran en una ronda, superponiéndose una a otra. El encuentro con voces desencarnadas con sus ecos y reverberaciones podría sugerir figuras espectrales procedentes del pasado que quedan presas en el tiempo.

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (documentación técnica)

2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (documentación técnica)

 

NECESIDADES TÉCNICAS

   

         

 

PLANOS

 

SOLUCIONES TÉCNICAS: CONEXIÓN ELECTRICIDAD

    

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. PICTURES (texto publicado)

 

Pictures de Mandla Reuter es la transformación de un piso privado de Madrid en un cine que muestra películas comerciales en cartelera que al mismo tiempo se están proyectando en las salas de cine de Madrid y en el resto del mundo. Un gran letrero luminoso colocado en la fachada del edificio anuncia la película que se está proyectando y conecta el interior del piso convertido en sala de cine con el exterior de la ciudad. En lugar de comentar la falta de espacio, Pictures negocia con ideas sobre el acceso y las posibilidades del espacio. Se borra la privacidad para posibilitar una intimidad en el espacio público: se podría decir que el trabajo no ofrece tanto un servicio público como un ‘servicio íntimo’. Sin embargo, esta intimidad obtiene una función de doble filo en relación con el glamour de Hollywood que pretenden transmitir las grandes dimensiones y la arquitectura particular de los multicines. ¿Qué aspecto tendrán las grandes estrellas de Hollywood cuando queden comprimidas en un pequeño piso de Madrid? ¿Seguirán siendo la principal atracción del lugar o será el gran proyector el centro del escenario? De esta forma, Reuter está realizando una versión de la industria del cine muy parecida a la forma en que Andy Warhol inventó a sus propias ‘pequeñas estrellas’ en películas como Chelsea Girls, un drama de armario en el cual los actores proyectaban sus personalidades glamourosas mediante la improvisación. En Pictures de Reuter lo que se pone de nuevo en juego es la cohabitación con el estrellato mediante una especie de parasitismo alegre sobre el ilusionismo de la industria de la cultura.

La transformación del espacio se alinea con otras obras de Reuter, en primer lugar y principalmente con Invitation (con Alexander Wolff), en la cual se repartieron 400 llaves junto con una tarjeta de invitación a un piso de Varsovia. Su predilección por la industria cinematográfica también es evidente en 3105 Cinestar-Original (2006), que consiste en una banda sonora de una película comercial que se reproduce en una galería de arte. Acompañada por las toses del público y el crujido de las bolsas de chucherías, la banda sonora se convierte en una especie de “confección contaminada”. Al elevar la banda sonora, se lleva a cabo un traslado de espacios: el espacio ilusorio de la industria cinematográfica se añade a la galería, mientras que se aporta y se deniega al mismo tiempo el recuerdo de la película.

La actitud ambivalente de Reuter hacia el material del que se apropia se puede enmarcar en el término híbrido de Jacques Derrida ‘hospitalité’, que denota una hospitalidad incondicional que juega con el hecho de que ‘hospitalidad’ y ‘hostilidad’ proceden de la misma raíz ‘hospis’. El proyecto de Reuter, que se basa en la apertura, en la hospitalidad y la inclusión totales, también se convierte en un escenario público en donde se pueden manifestar los sentimientos democráticos de formas pacíficas y también potencialmente antagonistas.

Lars Bang Larsen, Enero 2007

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Leopold Kessler. ALARM BIKE (texto publicado)

 Frente al espacio de la exposición hay una bicicleta sin candado, si alguien la mueve, empieza a ulular una sirena y las luces centellean. La bicicleta está equipada con un sistema de alarma que el propietario puede conectar y desconectar con ayuda de un control remoto. Es el gesto típico de mostrar tu poder y tu riqueza, como al desbloquear un BMW nuevo.

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. HUCHA DE DESEOS: ¡TODOS SOMOS UN BARRIO, MOVILÍZATE! (2010.02 / documentación técnica / Tiza Action)

 

CRONOGRAMA PARA TIZA ACTION

FEB 2010: Calendario con las personas responsables

1

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ELENA 

2

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NATALIA 

3

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MARIO

4

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MARIO

5

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ELENA 

 

6

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ELENA

7

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NATALIA 

WEEK 1

8

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ELENA 

9

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NATALIA 

 

10

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MARIO 

11

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MARIO 

12

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ELENA

13

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Ignacio

14

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Ignacio

WEEK 2

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Ignacio

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Ignacio

 

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MARIO 

 

18 

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MARIO 

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ELENA 

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ELENA 

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NATALIA 

WEEK 3

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ELENA

 

 

 

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NATALIA 

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MARIO 

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MARIO 

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ELENA

 

 

 

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WEEK 4

 

 

 

 

 

 

 (Febrero 2010)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. SHORT CIRCUIT / CORTOCIRCUITO (texto publicado)

 INSTALACIÓN TEMPORAL DE LUCES CINÉTICAS

Mi obra de arte se ha centrado durante aproximadamente diez años en la iluminación cinética de la arquitectura. Con ocasión de la próxima edición de MADRID ABIERTO 2007 he aquí el esbozo de mi obra‚ Short Circuit/Cortocircuito pensando en el `Palacio de Comunicaciones’.

LA IDEA

La arquitectura del Palacio de Comunicaciones se opone a la fuerza de las arquitecturas con las que normalmente trabajo. En el caso de esta construcción excesiva de hace noventa años, obra de Antonio Palacios, intento realizar una obra en oposición a mis instalaciones ‘que disuelven’ la luz en rascacielos (como por ejemplo, la sede de LUFTHANSA en Colonia, la ‘Technisches Rathaus’ de Francfort o el edificio IDUNA NOVA de Münster). Mediante una iluminación sincronizada dentro de cada sala del Palacio de Comunicaciones, generaré una unión de todos los espacios. La fachada estéticamente exagerada de este edificio neobarroco con sus elementos art déco se convertirá en una solución visual de su interior, lleno de recovecos.

EL MÉTODO

Se colocarán en cada sala del Palacio de Comunicaciones fuentes de luz (40 x 30 x 30 cm) reguladas especialmente. Todas las fuentes de luz que estén dentro del edificio parpadearán brevemente mediante un impulso electrónico transmitido en paralelo. Este parpadeo se controlará de forma aleatoria y se podrá percibir desde fuera como una iluminación indirecta a través de las ventanas.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dan Perjovschi. OFF (texto publicado)

 

”Reflexionaré a través de los dibujos en el estado de Madrid, España, Europa y el resto del mundo”

El dibujo es la herramienta de la que se vale Dan Perjovschi como modo de intervención en el espacio social, ya sea el acotado de un museo o sala de exposición, o bien el público, en sus muros y paredes o en las herramientas que la comunicación dispone: periódicos y, en esta ocasión en Madrid Abierto, el mobiliario urbano. El dibujo de Perjovschi es simple y directo, espontáneo y casi caricaturesco. Su obra está completamente ligada entre sí, pudiéndose establecer relaciones, diálogos y continuidades entre diferentes trabajos que el artista va realizando en diferentes proyectos.

Sus dibujos son comentarios a la situación política, social, cultural y artística de allá por donde va, entablando un diálogo entre esos lugares y su propio estatus de artista rumano que ha vivido la transición de un régimen comunista a otro capitalista y que se encuentra en una especie de tierra de nadie, de algún modo parecida a su situación laboral, como una especie de comentarista itinerante que habla de lo que ve con grandes dosis de agudeza y sencillez, yendo directamente al grano. El humor está presente en sus intervenciones de dibujo en grandes dosis, siendo una de sus características más destacadas junto a la economía de medios y la espontaneidad de sus trazos.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES: OFICINA MÓVIL (2009.12 / trabajo de campo)

 CONVOCATORIA: ACTORES 

PERFIL DE LOS ACTORES

Para la oficina móvil, un varón y una mujer, jóvenes, preferentemente de Madrid, o que no se los identifique por su acento como extranjeros. 

El perfil ideal es el de alguien jovial, que disfruta charlar con la gente, pero que sabe escuchar y dejar hablar. Alguien que sepa reconocer que el protagonista es el entrevistado y no él.

El perfil a evitar es alguien que tiene miedo a interactuar con desconocidos, alguien irascible o alguien que adopta siempre un tono de bromas.

Para la oficina central en Casa de America, es indistinto el género y no es importante la condición de que sepan encarar a la gente, ya que en este caso, la gente vendrá a la oficina por su voluntad.

HORARIOS Y HONORARIOS

La oficina móvil circulará 4 horas diarias durante 5 días a la semana. Deberíamos precisar cuando, pero en principio se me ocurre que de martes a sábado entre las 11 y las 15 sería adecuado. Pero espero sugerencias.

Durante 3 o 4 horas puede dar servicios la oficina en Casa de América (el resto del tiempo funcionaría sólo como sala). Allí el horario dependerá de Casa de América.

Dos actores atenderían la oficina móvil y uno, la oficina central.

Los honorarios previstos para los actores son en total 2000 euros.

Yo estaré a veces con la Oficina Móvil, otras en la Central.

TAREAS DE LOS ACTORES

Quienes trabajen en la Oficina Móvil, deberán desplazar diariamente el “carro-bici” y volverlo a traer a Casa de América.

Deberán detenerse en determinados puntos y comenzar a dar los servicios de Reintegro de tiempo perdido y de Préstamos.Para esto les explicaré en detalle la operativa personalmente, pero en líneas generales, consiste en preguntar a la gente sobre su tiempo perdido o qué haría si tuviera tiempo extra, darles los billetes correspondientes e ingresar los datos en el ordenador portátil.

ALGUNOS CONSEJOS PARA LOS ACTORES

1 - Hasta las más inusuales razones son bienvenidas. La función principal es la de recoger razones de la pérdida de tiempo. Cuando una persona llega a la "oficina", el funcionario explica más o menos así: "En esta oficina brindamos varios servicios, por ejemplo, el de reintegro de tiempo perdido. Usted nos dice cómo perdió su tiempo, a causa de una decisión equivocada, o algo que ha tenido que hacer y no quería, y se lo devolvemos con nuestros billetes. Tenemos de 1 minuto, 1 día, 1 año ... "

2 - Tratar de no forzar una razón. Si la persona está confundida o dubitativa, y se quiere evitar silencios incómodos, es mejor hacer algunas preguntas abiertas en lugar de ayudarle con ejemplos. Por ejemplo, se puede preguntar ... "¿Nunca pierdes el tiempo? ¿Estás seguro?”O preguntar algo sobre la persona “¿Trabajas, estudias?”O se puede decir ... "Tómate tu tiempo, no hay apuro"Si la persona no tiene nada en mente, como última opción, se le puede ayudar con algunos temas generales ... "Que suerte tiene ¿Estás tan feliz con tu trabajo? ¿Siempre haces lo que quieres? ", etc.

3 – Evitar la palabra Arte. En mi experiencia, si se aclara que esto es un proyecto de arte ... la gente se decepciona (y yo también).Nadie piensa que esta situación que se propone es real, pero todo el mundo quiere creer que es verdad. A todo el mundo le gusta esa ilusión, y quieren jugar el juego. Pero si dices la palabra "arte" ... el juego se termina.

De todos modos, ya que es un tipo de situación extraña, la gente se preguntará: "¿Qué es esto? ¿Para qué sirve? ¿Quienes sois?". Yo recomiendo tres estrategias. Primero. Tratar de no responder, esquivar la pregunta. Se puede tratar de responder con una pregunta. "¿Para qué te parece que podría servir? O ser útil? ¿cómo lo usarías?" En segundo lugar, se puede decir, "este es un nuevo sistema financiero, y cuando esto sea global, podrás pagar con esto, porque el tiempo es dinero". O ... "estamos tratando de sustituir la moneda actual con esta" "estamos difundiendo la idea de reemplazar el dinero por esto" ... En tercer lugar, si la persona es muy pesada, se puede decir ... "Estoy trabajando para esta Corporación Time Notes. Aquí puedes ver esta dirección en Internet, Puedes ir y averiguar más. Yo no se mucho más que lo que te dije”. Y, por supuesto. Si se presenta una situación muy incómoda... se puede terminar el juego y decir: "Ok, este es un proyecto de arte, bla, bla, bla ..."

4 – Tratar de que la gente hable. No tratar de imponer nuestras ideas. Escuchar. Preguntar y repreguntar. Tratar de que la gente nos brinde información más rica, no sólo la versión corta. Solicitar más información: dónde, cuándo, por qué ...

5 - No deprimirse si no lo hicimos muy bien con una persona. Vendrán más. Y cada persona es una historia totalmente distinta e independiente (y no escuchó lo que pasó antes). Y la idea principal es que esto no debe convertirse en un trabajo. Debe ser divertido y agradable para todos. Para el público y también para los actores.

6 - Ir a esta página para ver algunos ejemplos, algunas de las razones que la gente le dio a la oficina. www.timenoteshouse.org/ltdb.cgi

Hay aquí un vídeo de una acción anterior: www.youtube.com/watch?v=fsJ_8WLGd5s

 (Diciembre 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. I LAY MY EAR TO FURIOUS LATIN (texto publicado)

 

 La caja cerrada Abrirla es arriesgarse a un ataque de su contenido Tememos lo que no entendemos La caja está cerrada y por ello es peligrosa

 

Una colmena en un espacio público El enjambre Oculto a la vista Idiomas susurrados que no comprendemos

 

¿Quieren herirnos? ¿Es esto seguro?

 

El insecto singular inofensivo La masa del enjambre asesino Rabia y alquimia Secreto guardado.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.11 / trabajo de campo)

CONVOCATORIA: INVITACIÓN PARA PARTICIPAR

MEDIDAS DE ADAPTACIÓN Campamento en Madrid Un espacio de producción, presentación y acciones con Madrid Abierto, Febrero 2010

A quien pueda interesarle,  Varios colaboradores y yo mismo estamos trabajando en nuevos contenidos para el sitio web y la segunda publicación de Adaptive Actions (medidas de adaptación), para presentarlos y debatirlos en la próxima edición de Madrid Abierto. Adaptive Actions (www.adaptiveactions.net) establecerá su campamento del 4 al 28 de febrero de 2010, en el centro de Madrid. Será un espacio para el encuentro, el intercambio de experiencias y la presentación de acciones (que ocurrirán en la ciudad), al tiempo que se mostrarán las acciones anteriores o aquellas que estén en curso. La idea es crear un entorno en el que a través del pensamiento y la acción, representemos dimensiones tanto locales como internacionales. El proyecto investiga en teorías y ejemplos de arquitectura que se centran en el ámbito social, político, de género, activista u otros aspectos de la producción del espacio.  Me gustaría que pudiesen contribuir a la plataforma de investigación de Adaptive Actions en Madrid. Estoy buscando un colaborador, un profesor y varios estudiantes en Madrid que estén interesados en nuevas ideas e investigaciones relacionadas con las prácticas alternativas arquitectónicas y urbanas, para participar en un taller de trabajo (Charette) de 2-3 días que tendrá lugar en el AA (Adaptive Actions) Camp.  Propongo crear un documento inusual en base al tema de los espacios sobrecontrolados, abandonados, necesitados de reflexión y de distintas formas de activación. El objetivo es documentar las medidas de adaptación existentes y fomentar la creación de otras nuevas; para ello propondremos espacios críticos de intervención y dar, así, sentido a nuestro entorno construido diariamente.

Tras el “Charette” tendrá lugar una mesa redonda y ambas serán documentados progresivamente en el sitio web de Adaptive Actions y en la esperada segunda publicación (edición Madrid). 

Esperando que la propuesta sea de su interes y acepte participar en la misma, quedo a la espera de que podamos discutir los detalles y encontranos durante mi próxima estancia en Madrid.

Si necesitan alguna aclaración, por favor no duden en ponerse en contacto conmigo.

Muchas gracias por su atención. 

Un cordial saludo,

Jean-François Prost Adaptive ActionsEsta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.

(Noviembre 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (texto publicado)

“Con la tortura musical nuestra cultura ya no es un medio   de expresión individual sino un arma”Moustafa Bayoumi. Profesor del Brooklyn College, New York

 

Guantanamera es un proyecto multimedia que reflexiona sobre el uso de la música como instrumento de tortura. La pieza estará ubicada en el interior de uno de los respiraderos de metro de Madrid que conectan con la calle y será experimentable  audiovisualmente desde el exterior, es decir, desde la calle.

Nuestra propuesta  consiste en instalar un equipo de sonido  de alta amplificación en el interior de uno de los respiraderos del metro que dan a la calle, por el que pasarán todas las versiones existentes de la canción la guantanamera, incluyendo las de Celia Cruz, Los lobos, Compay Segundo, Tito Puente, Nana MousKouri, The Maveriks, y deThe Fugees, entre muchos otros, así como versiones especialmente hechas para esta obra por artistas y músicos

La guantanamera, es la canción mas internacional del cancionero cubano. Esa pegadiza canción que ha viajado por el mundo representando a los cubanos como un himno, es una adaptación de Julián Orbón basada en un poema de José Marti. La melodía existía desde el siglo XIX y Joseito Fernández la tomo para su noticiario cantado en las emisiones de radio de los años cuarenta.

Guantánamo es un vocablo de origen taino, que son los aborígenes de esa zona de Cuba, y significa “el rio de la tierra”. Es precisamente en esta zona geográfica donde esta situada la base naval de Estados Unidos.

Actualmente, en la guerra contra el terrorismo, las fuerzas militares de EEUU han usado música pop, rap y heavy metal, como un medio de tortura contra  los detenidos en las cárceles militares. Principalmente se ha utilizado en técnicas de privación del sueño, como base de una desorientación sistemática que en la mayoría de los casos conduce a la locura.

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (documentación técnica)

2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (documentación técnica)

 ** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO

 

 

SPECULATOR

Foco Dedolight 150wFoco Dedolight de 150 w con dimer incorporado. Pie de focoManfrotto incluido

Portería estándar estructura de Trush de aluminio cromado 3x5

Lona de impresión digital de dimensiones 3 x5 acabado microperforado

T Speculator

D La intervención se materializa mediante la realización de un cartel de carácter publicitario con imágenes del personaje, que, a modo de novela gráfica, permita realizar una presentación del personaje. Además, constará de un foco que proyectará en el cielo de Madrid la palabra Speculator, emulando al cómic de Batman en el que los ciudadanos de Gottan usaban este recurso para ponerse en contacto con el superhéroe. Usamos este mismo elemento para hacer una llamada al nuevo Speculator presente en la ciudad de Madrid.

A 2008

P Madrid Abierto 2008

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (texto publicado)

 

You Don't Love Me Yet congrega a personas en un agradable encuentro entre artistas, músicos y los miembros del público siendo el catalizador una canción pop de los años 80.

En su proyecto a largo plazo You don’t love me yet, que ha estado de gira por distintas ciudades internacionales entre 2002 y 2006 –Madrid ocupará el lugar número 16–, Johanna Billing invita a los músicos a que toquen una versión en directo de una canción de portada de 1994 del cantautor americano Roky Erickson según su propia interpretación. La idea surgió de un dato que oyó la artista en la radio según el cual Suecia es el país del mundo donde más personas viven solas.

En este proyecto, que juega con el potencial de las portadas y su invitación a la subversión y la reclamación, Johanna Billing se hace invisible como artista. Detrás del escenario, sin embargo, organiza el acto con tanta precisión como sea posible. Por ejemplo, eligiendo un lugar que normalmente no se utilice como espacio de música o proponiendo una tarde para representar el acto en lugar de una noche, ella intenta de forma consciente atravesar las normas de comportamiento existentes tanto en la música como en la escena artística visual. Como artista facilita una experiencia colectiva en donde la individualidad se expresa en distintas interpretaciones artísticas de la canción, en donde los músicos que actúan están invitados a escuchar las presentaciones de los demás y en donde el público es testigo del potencial de repetición, ya que el acto ofrece un amplio abanico de versiones de esta única letra. Cada acto tiene su línea específica de actuaciones de bandas de rock, coros, músicos informatizados, profesionales, aficionados o impromptu get-togethers, que proceden principalmente del ámbito local. Todos los conciertos terminan con la proyección de vídeo de la grabación de estudio de You don’t love me yet, una obra de Johanna Billing realizada junto con un grupo de músicos suecos en Estocolmo, 2003.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.11 / revisión proyecto / documentación técnica)

NOVIEMBRE 2009

 

 

NECESIDADES 

Espacio total requerido35m2-45m2

Equipo en el emplazamientoRealización de dos carteles con el título del proyecto (Adaptive Action) que irán fijados en dos postes móviles.

Dos mesas y una docena de sillas para llevar a cabo reuniones, talleres, debates y para permitir al  público visitante sentarse para aportar imágenes y textos para el proyecto.

Documentación del Proyecto AA (publicación, impresiones,…)

Conexión a InternetUn ordenador y una impresora, para poder entrar en el sitio web, registrarse y enviar materiales o comentarios.

Una tienda de campaña de 10 x 12 (comúnmente llamada Wall Tent en inglés) como espacio adicional, evitando la luz y el ruido para las reuniones, grabaciones, proyecciones de los trabajos de AA.

Accesorios: adaptadores y alargadores, lámparas para iluminar el lugar de trabajo, sillas plegables adicionales.

Actividades a desarrollarDebates y grupos de trabajo en torno al proyecto.

Presentaciones del proyecto en el espacio.

Dos talleres de unas 12-15 personas por cada taller.

 

 Jean-François Prost,representante del proyecto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (texto publicado)

 

DESCRIPCION DEL PROYECTO - - - MOTIVACIONES- - - INTENCIONES

“Fernando (We were young. Full of life. None of us prepared to die) / (Éramos jóvenes. Llenos de vida. Ninguno estábamos preparados para morir)”

Es una escultura -caseta metálica- a la que el público no puede acceder, el pasante escucha música y una voz que proviene del interior de la caseta. La escultura articula una presencia ligada a formas de comercio y arquitectura informal. El elemento de audio abre el carácter de la caseta al de una misteriosa y enorme caja de música. El elemento de audio ha sido desarrollado en colaboración con Álvaro Peña, compositor chileno.

-mezclar distintas categorías espaciales: interior-exterior, privado-público-artístico, visible, inaccesible, aparentemente funcional pero sin estar en funcionamiento.

---generar un espacio que no prometa nada que no quiera ofrecer nada; esperamos de esta manera invitar a una reflexión sobre la naturaleza política de lo público, su carácter vulnerable y la sustancia confrontativa del espacio público.

- elemento de audio – voz + música

--- cuestiones de literalidad, (i)racionalidad, pasión, diálogo, paseo, marco público y expresión colectiva a través de productos culturales. Integrar reflexiones a cerca de la diversidad de las relaciones de los distintos proyectos culturales e ideológicos de/en la ciudad.

BASES DE REFLEXION e INSPIRACION PARA el DESARROLLO DE ESTE PROYECTO

-LAS CASETAS DE LA FERIA DEL LIBRO NUEVO Y DE OCASIÓNDesde 1925, 30 casetas-librerías han estado ubicadas en la Cuesta de Moyano. En tanto que pequeñas, y por tanto de carácter pintoresco- las estructuras callejeras están ligadas a formas de economía informal que, salvo en su versión “manta”, son ajenas a las zonas delimitadas por el proyecto MADRID ABIERTO.

En la actualidad las casetas están temporalmente situadas en el Paseo del Prado hasta ser reubicadas en una remodelada Cuesta de Moyano – la harán peatonal- durante el 2007. Encontramos de especial interés las cuestiones inherentes a este cambio: ¿Hasta qué punto y cómo la cultura como evento interviene en la planificación urbanística y en los intereses inmobiliarios? ¿Significará la nueva cuesta un cambio en el contenido de las casetas?

-LA PACHANGA DE FERNANDO EN GUADALIX DE LA SIERRA (Madrid) Y EL TENDERETE DE CHICK EN POWERS STREET (Brooklyn – NYC)Como sitios construidos para retar la soledad, para constituirse como espacios de encuentro y conversación desde una base de intercambio comercial. Ambos han buscado (Fernando murió y su Pachanga fue derrumbada en el 2005) y buscan formas de desplegar ofertas que van más allá de lo puramente comercial e ignoran los imperativos estéticos construidos por las grandes compañías, generando formas propias de presentación y anuncio de sus “productos”.

-EL TREN DE VALPARAISO (Chile)Transporte público popular de la ciudad de Valparaíso desaparecido a causa de su transformación en metro subterráneo.

-LOS VERSOS, LETRAS, NARRACIONES, ENSAYOS y TONADILLAS deÁLVARO (más información abajo), Dorothy Parker, W.G. Sebald, Virginia Woolf, Albert Camus, Quentin Crisp, Karl Valentin, Jack Smith, Pasollini, El proceso de Jeanne d’Arc, Avery F. Gordon, Estrella de Diego, Mary Shelley, Yvonne Rainer, Jorge Semprún, Guy Debord, Ingeborg Bachmann, Ostermayer/Phettberg, el guión de C. Th. Dreyer para “Jeanne d’Arc”.

 

DISCOTECA FLAMING STAR  

Desde 1998 Discoteca Flaming Star viene realizando performances-colaboraciones con otros artistas en distintos contextos artísticos. En los últimos años la realización de trabajos audiovisuales ligados a la experiencia performativa ha ido en aumento. El grupo ha producido banners o fondos de telón, alfombras, collages, proyectos de audio y trabajos en vídeos.

El proyecto aquí propuesto quiere dar una dimensión escultural-física de carácter público a la búsqueda del grupo. Una búsqueda realizada en los campos de la expresión espontánea de la canción, entendiendo ésta como una respuesta individual a/en determinados momentos históricos, e investigando a través de ella formas de actuación e interpretación orgánicas ante los imperativos globales de la industria del entretenimiento. www.discotecaflamingstar.com

 

ÁLVARO PEÑA  

Compositor Chileno nacido en Valparaiso en 1943. Ya en los años sesenta en Chile integra varias bandas de música popular destacándose LOS BUMERANGS y LOS CHALLENGERS. A comienzos de los años setenta en Londres Álvaro forma junto con Joe Strummer (THE CLASH) la ahora legendaria banda THE 101'ERS.

Cabe destacar que a pesar de todas las tendencias musicales desde los años sesenta hasta hoy, la MUSICA TRANSITORIA de Álvaro sigue permaneciendo fresca y vigente como en su primer día, principalmente su estilo de piano como la fuerte identidad de su voz. Álvaro vive en estos momentos en Alemania haciendo giras en forma regular a través de Europa, Latinoamérica y USA. www.don-alvaro.net

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.11 / revisión proyecto / documentación teórica)

NOVIEMBRE 2009

 

ADAPTIVE ACTIONS. DESCRIPCIÓN GENERAL  Breve resumen  Adaptive Actions se inició en Londres en 2007 por Jean-François Prost y analiza las alteraciones en el lugar de trabajo, el hogar y los espacios públicos en general. Al identificar como diferentes formas de adaptación, la variedad de estas alteraciones personales que se encuentran en la ciudad, creamos un vocabulario de expresión para el imaginario colectivo, a través de esas estructuras urbanas ya existentes.

Estas "acciones" modifican y activan el uso previsto por la arquitectura y realzan el carácter de los entornos urbanos. Crean tensiones positivas que ponen a prueba los límites de las formas toleradas de asignación y distribución.

¿Pueden estas simples acciones, imágenes e ideas, tales como la hibridación de las realidades urbanas convencionales e inusuales, infiltrarse en nuestro imaginario colectivo para promover  sentimientos de identidad y un sentido de pertenencia cultural?

Adaptive Actions apunta a cómo los fenómenos urbanos impactan sobre la percepción que tienen los residentes del entorno y su relación con él. Al ofrecer un espacio para compartir experiencias, ideas, formas de acción y logros específicos, Adaptive Actions crea un inventario de alteraciones que rara vez son visibles para el público. Documentos impresos y eventos organizados se están planificando para aumentar la visibilidad de las acciones seleccionadas de cara al público, y así establecer afiliaciones y fomentar el pensamiento comunitario.

Para más información: www.adaptionactions.net 

AA Camp en Madrid  Para y durante el campamento de Adaptive Actions en Madrid, nos gustaría documentar y crear nuevas micro-acciones. Algunas acciones se iniciarán en Madrid (en diversos tipos de espacios,  y barrios) pero también en otras ciudades y en otros países. Valoramos la idea de crear un proyecto de acciones, que tengan lugar simultáneamente en diferentes espacios, siendo reunidas en un proyecto de arte comunitario. Todas las acciones estarán documentadas en la web y algunas formarán parte de la próxima publicación de Adaptive Actions.  Convocatoria abierta (para colaboración):  > En periódicos especializados y los periódicos locales del barrio > Pegada de carteles en vallas, mobiliario urbano y aquellos lugares donde se pueda, y de hecho, ya hayan incluido información.  > A  grupos comunitarios locales, escuelas y universidades. > A los artistas que están desarrollando una intervención en esta edición de Madrid Abierto y a todos aquellos que presentaron un proyecto pero que no fueron seleccionados, para ofrecerles la posibilidad de colaborar, y así aumentar el número de participantes, y ampliar el público potencial.  Duración  Desde el 4 al 28 de febrero de 2010. El campamento estará abierto 5 o 6 días a la semana en el cual habrá material visual en todo momento.  Publicación de AA- Edición de Madrid En el campamento ubicado en Madrid se realizará la publicación. Varias personas editarán el contenido existente y el nuevo contenido que se genere (localmente y a través de la web) y produciremos un nuevo libro, impreso y para la web (en formato eBook, una copia digital literal de la obra impresa) que se publicará con posterioridad a la estancia en Madrid.

La publicación incluirá (bilingüe en español y en inglés):

- 101 adaptive actions o lugares con imágenes y cuando sea necesario con descripciones breves.

- 4 textos (o más) entre los que se incluirán dos entrevistas sobre el tema de la micropolítica con el filósofo y teórico Brian Massumi y otra con Marie-Pier Boucher, estudiante de doctorado en la Universidad de Duke en Carolina del Norte, y Jean-François Prost como representante de Adaptive Actions.

ADAPTIVE ACTIONS. DESCRIPCIÓN EXTENSA

Idea global e intención El proyecto consiste en documentar, revelar y crear nuevas micro-acciones de asignación y usos no planificados en la ciudad de Madrid y otros lugares.  Acción - proceso El proyecto delimita e informa sobre las medidas de adaptación existentes en la ciudad y alienta a la aplicación de nuevas actividades en relación con la arquitectura, espacios urbanos y objetos. Se desarrolla en tres fases superpuestas: (1) convocatoria de propuestas, (2) acción y, (3) su posterior publicación/difusión.  (1) Convocatoria de contribuciones y propuestas:  Con el fin de documentar y crear un inventario de los actos urbanos existentes, se está llevando a cabo un estudio (antes y durante Madrid Abierto). El objetivo de este proyecto consiste en documentar formas y lugares de acciones singulares, más o menos conocidas, existentes o nuevas, marginales, singulares o populares. La solicitud de propuestas acelera todo el proceso. Varias de las Adaptive Actions existentes o de las propuestas recibidas serán seleccionadas junto con una idea común para realizar una acción colectiva y un taller.  (2) Acción  Un espacio para encontrarse, vaguear y presentar propuestas se ubicará en un concurrido edificio público de Madrid. Este campamento temporal (con un gran signo reconocible señalizando ADAPTIVE ACTIONS) combinará presencia, producción e interacción.  Nuestros conocimientos compartidos y experiencias se aplicarán a la implantación de un proyecto creativo cuyo objetivo es modificar el uso previsto o preponderante o limitado de elementos arquitectónicos y urbanos. Esta infiltración en el espacio público pone de relieve temas como las acciones adaptativas locales, las distribuciones de espacios, el potencial de transformación creativa, y la multiplicidad de usuarios y usos.  (3) Publicación/difusión  Estas nuevas Adaptive Actions se harán públicas a través de Internet1 y a través de la elaboración de una publicación. La difusión dentro de la comunidad tendrá como objetivo representar las diferentes formas de acciones (en el lugar de trabajo, el hogar o en espacios públicos en general) como un medio creativo de asignar o distribuir realidades compartidas y, por lo tanto, como una forma de adaptación. La presentación de las acciones (en una escala mayor o menor), ya sean proyectadas o terminadas, creará un vocabulario con el que la imaginación colectiva pueda expresarse, a través de la utilización de las estructuras existentes, y alentará el desarrollo de otras acciones.  La intervención se basa en la repetición de una serie de micro-acciones, la realización de gestos sencillos y el inicio de un cambio en nuestra percepción y concepción del entorno urbano.  Este proyecto pretende activar los usos en los espacios públicos; contribuir y comenzar a reconstruir un imaginario urbano; mostrar; fomentar actos visibles de resistencia, de sociabilidad y signos de antagonismo positivo. 

 

Jean-François Prost, representante del proyecto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (audio - transcripción)

HATE-SCRIPT (KIOSK)

 

 

I pity the young fascists,

and the old ones, whom I consider forms

of the most horrible evil, I oppose

only with the violence of reason.

 

I hate people removing the dust from houses. They make my world unbearable.Odio a la gente que limpia el polvo en sus casas. Hacen mi mundo insoportable.

I hate translations from French, which notoriously loses its flavour in translation.Odio las traducciones del frances, notoriamente pierden sabor en la traduccion.

I hate people saying “I was meant to be a ballet dancer,” while running a pig farm.Odio a la gente que dice “fui hecho para bailar balet” mientras crian cerdos.

I hate not knowing whether a non-smoker, not smoking is a smoker or a non smoker.Odio no saber si un fumador que no esta fumando es fumador o no lo es.

I hate those who always know where they are.Odio a todos esos que siempre saben donde estan.

I hate people dying a natural death;  I paid too much for them.Odio a la gente que muere de muerte natural, he invertido demasiado en ellos.

I hate knowledge; it cherishes hope.Odio el conocimiento; mantiene mi esperanza.

I hate Women; They get on my nerves.Odio a las mujeres, me ponen de los nervios.

I hate Men; They irritate me.Odio a los hombre; me irritan.

I hate Actresses; they get on my nerves.Odio a las actrices; me ponen de los nervios.

I hate Relatives; They cramp my style.Odio a los familiares; entorpecen mi estilo.

I hate order; it cheats on the apokalypse.Odio el orden, burla al apocalipsis.

I hate Slackers; They get on my nerves.Odio a los gandules; me ponen de los nervios.

I hate Bohemians; They shatter my morale.Odio a los bohemios; hacen mi moral a ñicos.

I hate the Office; It cuts in on my social life.Odio la oficina; interrumpe mi vida social.

I hate Actors; They ruin my evenings.Odio a los actores; arruinan mis tardes.

I hate Bores; They take the joy out of my life.Odio a los pelmas; apartan lo divertido de mi vida.

I hate the Drama; It cuts in on my sleep.Odio el drama; se cuela en mis sueños.

I hate Parties; They bring out the worst in me.Odio las fiestas; sacan lo peor de mi.

I hate Movies; They lower my vitality.Odio las peliculas; deprimen mi vitalidad.

I hate Books; They tire my eyes.Odio los libros; me cansan los ojos.

I hate fat corpses; they have no ghosts.Odio los cadaveres gordos; no tienen fantasmas.

I hate rich people; they are in my way.Odio a los ricos; se ponen en mi camino.

I hate the Younger Set; They harden my arteries.Odio a los grupos de jovenes, me endurecen las arterias.

I hate Summer Resorts; They ruin my vacation.Odio los lugares de veraneo; arruinan mis vacaciones.

I hate wash; it’s the beginning of dictatorship, without wash no hitler.Odio el lavar, es el inicio de las dictaduras, sin lavado no hay hitler.

I hate the tongues of  the slanderer, they poison my kitchen.Odio a los difamadores, envenenan mi cocina.

I hate Wives; Too many people have them.Odio a las esposas; demasiada gente las tiene.

I hate Husbands; They narrow my scope.Odio a los maridos, limitan mi alcance.

I hate College Boys; They get under my feet.Odio a los universarios; se ponen a mis pies.

I hate praise; its brutal and an obligation.Odio las alabanzas, no son solo brutales sino tambien una obligacion.

I hate people without gardens; they water my weed.Odio a la gente sin jardines; riegan mis malas hierbas.

I hate people who do not bath their frogs; they dry my politics.Odio a la gente que no baña a sus ranas, secan mis politicas.

I hate readers; they read so that a lot might stick in their minds.Odio a los lectores, leen para que se les quede algo en la mente.

I hate charts; they make me dissappear.Odio estadisticas, me hacen desaparecer.

I hate fences, they all look the same.Odio las cercas, todas son iguales.

I hate newspapers, they pretend to have a lot to say.Odio los periodicos, pretenden tener mucho que decir.

I hate interviewers, they always want to know what my opinion is.Odio a los entrevistadores, siempre quieren saber mi opinion.

I hate the internet, it brings out all the boredom in me.Odio internet, saca todo el aburrimiento que hay en mi.

I hate schools, they are full of children.Odio los colegios, están llenos de niños.

I hate security, it speaks all the time.Odio la seguridad, quiere hablar todo el tiempo.

I hate professors, the all want to teach me something.Odio a los profesores, todos me quieren enseñar algo.

I hate cosmetic products, they  oversize my luggage.Odio la cosmetica y sus productos, aumentan mi equipaje.

I hate illegal sellers, they get in my way.Odio a los vendedores ilegales, se ponen en mi camino.

I hate tourists, they narrow my scope.Odio a los turistas, limitan mi campo de visión.

I hate the future, it is too based on promises.Odio el futuro, está demasiado basado en promesas.

I hate investors, the constantly need new markets. Odio a los inversores, necesitan constantemente de nuevos mercados.

I hate the rain, it washes my make up away.Odio la lluvia, arruina mi maquillaje.

I hate militars, the move too constantly.Odio a los militares, se mueven todo el rato.

I hate diagrams, the insist on relationships.Odio los diagramas, insisten en las relaciones.

I hate buses, they let me wait.Odio a los autobuses, me hacen esperar.

I hate exhibitions, they tyre my feet.Odio exposiciones, me cansan los pies.

I hate restaurants, they smell like candles.Odio los restaurantes, huelen a velas.

I hate buildings, they are too big.Odio los edificios, son demasiado grandes.

I hate speculants, they want my interest.Odio a los especulantes, quieren mi interes.

I hate the suburbs, they miss the center.Odio a los suburvios, echan de menos  el centro.

I hate the subway, it darkness my perspectives.Odio el metro, ensombrece mis perspectivas.

I hate cakes, they enlarge my size.Odio los pasteles, me suben de talla.

I hate boutiques, they are not able to protect their maniquies.Odio a las boutiques, no son capaces de proteger a sus maniquis.

I hate bars, they bring out my lust.Odio los bares, me sacan el ansia.

I hate dogs, their smell is too strong.Odio a los perros, huelen demasiado fuerte.

I hate the police, they insist on being in movies.Odio a la policia, insisten en aparecer en las peliculas.

I hate cars, they make me look out of 6 windows. Odio a los coches, me hacen mirar por 6 ventanas.

I hate menus, they make me confused.Odio los menus, me provocan confusión.

I hate graffities, they all look the same.Odio los grafitis, todos son iguales.

I hate politicians, they narrow my scope.Odio a los politicos, estrechan mi punto de mira.

I hate growth; it’s too vulgar.Odio el crecimiento, es demasiado vulgar.

I hate wonders; they freeze my possibilities.Odio los milagros, congelan mis posibilidades.

I hate chewinggum; it brings out my contempt for others.Odio los chicles, despiertan mi desprecio hacia los demás.

I hate stars; they do not smell.Odio las estrellas, no huelan.

 

Inspiriert durch:

Dorothy Parker “Hate Verses”W.G. Sebald “Die Ausgewanderten”Virginia Woolf “Orlando”Albert Camus “Die Pest”Quentin Crisp “The Wit and Wisdom of Quentin Crisp”Karl ValentinJack Smith “Wait for me at the bottom of the pool”Pasolini “I work all day…”W.G. Sebald “Die Ringe des Saturn”Jeanne d’Arc “Der Prozess der Jeanne d’Arc”Drehbuch zu “Jeanne d’Arc” von Joseph Delteil und C.Th. DreyerMary Shelley “Frankenstein”Guy Debord, preface to “Jorn / Le jardin d’Albisola”Das Bilderbuch vom Karl ValentinIngeborg Bachmann “Malina”Ostermayer/Phettberg “Hermes Phettberg räumt seine Wohnung zamm”Franzobel “Phettberg”Gregg Bordowitz “The AIDS crisis is ridiculous and other writings”Avery F. Gordon “Ghostly Matters”Estrella de Diego “Travesias por la incertidumbre”Yvonne Rainer “Feelings are facts”

------------------------------------------------------------------------------------------------------ Zweite Wahl:

I hate those who apply the rules established by previous successes by others.

I hate women dressing like women while they are with men.

I hate destiny with its it little jokes. It makes me throw up with its stupid  cheerfullness.

I hate comfortableness; it produces recidivists.

I hate societies made by and for creatures who, when they are not grim and depressing are utter bores.

I hate computers, they tyre my wrists.

I  hate smiles, I do not bear to see all those teeth.

I hate risk, it makes me feel desea.

I hate cellphone ring tones, they get on my nerves.

I hate cities, they have too many windows.

I hate loneliness, it leaves me alone with myself.

I hate museums, they are too clean.

I hate speculants, they want my interest.

I hate the suburbs, they miss the center.

I hate menus, they make me confused.

I hate cancer, it attacks people I love.

I hate autobiographies, they are pretencious about the truth.

I hate wonders; they freeze my possibilities.

I hate people who cannot decide what makes them happy; they poison my blood.

I hate ambulances; they remind me of my fathers death.

I hate birds; they eat my crumbs.

I hate repetition; it kills.

I hate taxis; they all look the same.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. COSAS QUE HACER HOY EN EL ESPACIO PÚBLICO (documentación técnica)

 

NECESIDADES TÉCNICAS

Las necesidades técnicas dependen en gran medida de las posibilidades que el proyecto ofrece, como puede ser localización, cantidad de espacio disponible y condiciones para poner las pegatas en el área dada.Se necesitará permiso por parte de la municipalidad y propietarios de edificios para hacer posible el proyecto.La forma del proyecto puede variar de una hoja grande de cartón pegado a una superficie, a una señal de gran tamaño montada sobre una construcción que pueda soportar su peso. Tengo años de experiencia a la hora de hacer construcciones, aunque, para este proyecto quizás sea acertado contratar a un artesano que realice las pegatinas.

Las pegatas deberían ser montadas de modo adecuado. Deben ser resistentes al viento y al agua.Yo coordinaré el montaje de las pegatas con la ayuda de algún operario local.

No sé si el vandalismo va a ser más problemático de lo que puede ser en Holanda. Ahí, mientras algo tenga buena pinta es respetado.

En resumidas cuentas necesito:

-    Una lista de lugares disponibles para montar una de estas pegatinas.-    Un artesano local para realizar las mismas.-    Una lista de contratistas locales.-    Un andamio, si el lugar lo exige.

No puedo ser más específico hasta que el lugar esté claro.

Cuando haya sido seleccionado realizaré una propuesta más detallada. Sería una buena idea visitar Madrid para buscar localizaciones y pensar en comentarios/sugerencias, dependiendo de los recursos disponibles.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.05 / revisión proyecto / ubicaciones propuestas)

2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.05 / revisión proyecto / ubicaciones propuestas)

 

Opciones (ver imágenes de diferentes lugares en Madrid como referencia).

La elección de un lugar adecuado a las Acciones Adaptativas es crucial para el éxito del proyecto. No tuve suficiente tiempo para identificar un emplazamiento adecuado durante el viaje preparatorio, pero estaba planeando viajar a Madrid tres o cuatro días cuando vuelva a Londres y así encontrar un lugar adecuado. Mientras tanto, antes de mi regreso, a lo mejor vosotros tengáis alguna propuesta.

Necesitaría en torno a 60 u 80 m2 para la tienda y un espacio al exterior para la gente, paneles de información y un gran letrero (podría ser mayor o menor según el emplazamiento escogido).

1-Terreno abandonado.Donde poder establecer mi tienda (del tipo de la cruz roja).

Consideraciones: visibilidad, seguridad cuando esté desocupada y temperatura (en Madrid hacía más frío del que me esperaba, especialmente para actividades de larga duración).

2-Un lugar con una puerta de garaje que dé en una calle ajetreada de Madrid.Consideraciones: visibilidad.

3- Un espacio público interior donde pueda colocar una tienda (por ejemplo: la estación de Madrid).Consideraciones: quienes son los usuarios regulares y si constituyen una totalidad diversificada.

Estación de Atocha    Estación de Atocha

Patio de la Casa Encendida

Patio Museo Reina sofía

 

REVISIÓN PROYECTO MAYO 2009Jean-François Prost,representante del proyecto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (ubicaciones propuestas)

2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (ubicaciones propuestas)

 

TRES MODELOS DE ITINERARIOS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (texto publicado)

 

Cayendo hacia arriba

De objetos la realidad, de ideas la recolocación del objeto y los significados que genera el espacio que subvierte. Mas el gesto recontextualizador no se agota en el diálogo objeto-nuevo contexto sino banaliza la funcionabilidad y la utilidad lógica para proponer una imagen caótica y hasta lúdica de la estructura, víctima de su propio andamiaje funcional y reflejo de la incapacidad de mostrarse autónoma.

Ouroboros, en alusión a la mítica imagen de la serpiente que se muerde la cola, reclama pensar las relaciones de poder, el entramado social que las propias relaciones, ya sea a niveles institucionales o personales condicionan, y el sin sentido que evidencia la aplicación de estos preceptos en sus propios sistemas. Apelando a  la monumentalidad y al impacto visual como estrategias de inserción para el objeto, ya ahora nombrado Ouroboros, ya ahora demandando una aprehensión crítica de los procesos revertidos, se pretende connotar sígnicamente la forma y potenciar múltiples significados desde la ingenuidad aparente de selección y manipulación de la pieza.

Con extrema sutilidad se neutraliza el efecto del objeto al proponerse medio y fin en si mismo. La intervención mínima por su parte, desmitifica al artista como hacedor objetual y lo perfila un arqueólogo de presentes, de cotidianidades, de realidades que disueltas en su entorno escapan a la mirada aguda.

Ciertamente, la pieza pondera un cuestionamiento más explícito al poder y sus gestiones más visibles, a esto tributa la pesantez e inmensidad de la obra, lo formal introduce asociaciones con el poder y sus cristalizaciones sociales, sin embargo el concepto Ouroboros es susceptible a una lectura que privilegie entender el poder como método moral, como autoconciencia, como experiencia de práctica. Funciona como un estado subyacente. No es ajeno a la propia dinámica de la institución arte, a pesar de lo subrepticio de sus mecanismos igualmente sugestionadores. Ni siquiera el artista, inclusive la propia obra, con esta seña de cognición pueden eludir o permanecer distantes a los fundamentos conceptuales que se activan.

Direlia LazoEnero, 2006

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

 ACCIONES ADAPTATIVAS

El proceso y el concepto son los mismos que los propuestos anteriormente.

En vez de centrarnos en el “Loitering”(vaguear), prefiero hacer un llamamiento más amplio a la colaboración en el tema de la Acción Adaptativa y tener uno o dos talleres o acciones colectivas sobre un tópico tal como el “loitering”.

Para y durante el Campamento de Acciones Adaptativas en Madrid, nos gustaría documentar y crear por lo menos 101 nuevas micro-acciones. Algunas acciones serían iniciadas en Madrid (en diferentes tipos de vecindarios incluyendo el concurbano) y en otras ciudades españolas o en otros países. Valoro la idea de crear un proyecto de acciones distribuidas, que ocurran simultáneamente en distintos lugares y se vean unificados en un único proyecto común. Todas las acciones serán documentadas en la web y algunas serán parte de la próxima publicación AA que será producida durante el evento de Madrid Abierto.

 

ACCIONES ADAPTATIVAS CAMP EN MADRIDUn espacio de producción, presentación y acciones

Llamada abierta (para establecer colaboraciones)>En periódicos especializados pertenecientes a barrios locales.

>Pegada en paredes, mobiliario urbano y en lugares donde la gente pone información habitualmente.

>enviado a grupos comunitarios, escuelas y universidades.

>a todos aquellos que hicieron propuestas, enviaron proyectos a Madrid Abierto pero no fueron seleccionados- para ofrecerles una oportunidad de participar, para incrementar el número de participantes y llegar a un mayor público.

DuraciónUn mes en Madrid.

El campamento estaría abierto 6 días de la semana y activado por mí y mis colaboradores durante 4 o 5 días a la semana.

PublicaciónLa publicación incluirá:

Entre 30 (con el actual presupuesto) y 101 Acciones Adaptativas (dependiendo de el presupuesto final de imprenta y diseño).

Un póster que se doble por el centro

2-3 textos (o más si hay presupuesto adicional)

Una entrevista(que será traducida del inglés al español) sobre el tópico de las micropolíticas con el filósofo y teórico Brian Massumi y Marie-Pier Boucher, estudiante de doctorado en la Duke University en Carolina del Norte, y Jean François Prosa como representante de Acciones Adaptativas. Brian Massumi confirmó recientemente su participación y este verano estaremos haciendo unos seminarios y discusiones antes de la entrevista oficial.

ColaboradoresConfirmado para Madrid Abierto:

Marie-Pier Boucher (Raleigh , EEUU)= 1 semana (comité de publicación)

Frank Nobert (Montreal) = 3 semanas (comité de publicación)

Jean Maxime Dufresne (Montreal) = 4-5 días (talleres)

Durante las siguientes semanas estaré buscando a tres o cuatro personas que se encuentren en Madrid.

Tengo a varias personas en mente y espero conocer a más cuando regrese a Madrid y tras la llamada a la colaboración.

Voluntarios¿Tendrías uno o dos voluntarios? Recientemente tuve a dos personas con las que pude contar para una serie de eventos y se facilitan las cosas enormemente, tanto para el artista como para el público. Además permite al artista liberarse de ciertas tareas para poder tener tiempo y documentar y ayudar en el trabajo de los participantes que creen acciones fuera del campamento.

Ayudantes¿Cuantos ayudantes serían necesarios, y durante cuanto tiempo, para construir y deshacer el trabajo?

 

PROPUESTA DE PROYECTO PARA MADRID ABIERTO 2010

Idea general e intenciónEl proyecto consiste en documentar, revelando y creando nuevas micro-acciones de apropiaciones y usos no planeados en la ciudad de Madrid y en otros lugares.

Acción-procesoLos índices del proyecto y noticias que tenemos sobre Acciones Adaptativas en la ciudad, estimulan la creación de nuevas actividades en relación con la arquitectura, espacios urbanos y objetos. Se divide en tres estadios complementarios: (1) una llamada a realizar propuestas; (2) acción, y; (3) su subsiguiente publicación/publicitación.

1. Pedida de contribuciones y propuestas.Con objeto de documentar y crear un inventario de acciones de vagueo urbanas, un estudio se llevará a cabo (antes y durante Madrid Abierto). El objeto de este proyecto consiste en documentar nuevos o ya existentes, marginales, individuales o populares, menos discutidos o bien conocidas formas y lugares para vaguear. La pedida de propuestas acelera el proceso.

Varias acciones existentes o propuestas de vagueo serán escogidas al mismo tiempo que una acción colectiva y un taller.

2. AcciónUn espacio para el vagueo y la entrega de propuestas será dispuesto en una calle o plaza transitadas de Madrid, o en un edificio público donde la gente circula y raramente tiene la oportunidad o el tiempo para parar. En este espacio temporal (con una gran señal indicando LOITERING  en español) combinando presencia, producción e interacción, los participantes y visitantes de Madrid recibirán boletos de lotería (equivalente o superior al salario medio por hora en España)???. Se les pagará por no hacer nada y vaguear en uno de los Representativos de estas Acciones Adaptativas para compartir (descubrir) y documentar sus ya existentes o propuestos actos de vagancia. Talleres y actos de vagancia colectiva también serán discutidos y elaborados desde este espacio, durante el evento.

Nuestro conocimiento compartido y buen hacer serán utilizados para alcanzar un proyecto creativo, cuyo objetivo es el de modificar el uso de la arquitectura y elementos urbanos. Esta infiltración del espacio público resalta tópicos tales como acciones de adaptación de los residentes y apropiaciones, potencial de transformación creativa y la multiplicidad de usuarios y usos.

3.Publicación/emisiónLas acciones de vagancia existentes o nuevas se harán públicas gracias a la distribución de múltiples ejemplos de un documento impreso y vía Internet**. La distribución en la comunidad tendrá como objeto representar las diferentes formas de loitering ( en el trabajo, en casa o en lugares públicos en general) con la intención creativa de apropiarse realidades compartidas y, así mismo, como un proceso de adaptación. La presentación de acciones (en una escala mayor o menor), ya sean proyectadas o completadas, creará un vocabulario con el cual la imaginación colectiva pueda expresarse a sí misma a través del uso de estructuras existentes, y fomentar el desarrollo de acciones similares.

La intervención está basada en la repetición de una serie de micro-acciones, simples gestos que imparten e inician el cambio en nuestra percepción y concepción del entorno urbano. Este proyecto quiere activar los usos de los espacios públicos, contribuir y comenzar a reconstruir un imaginario urbano, enseñar, fomentar actos visibles de resistencia, de sociabilidad y signos de antagonismo positivo.

Llamada abierta (para establecer colaboraciones)

>En periódicos especializados pertenecientes a barrios locales.

>Pegada en paredes, mobiliario urbano y en lugares donde la gente  pone información habitualmente.

>enviado a grupos comunitarios, escuelas y universidades.

>a todos aquellos que hicieron propuestas, enviaron proyectos a Madrid Abierto pero no fueron seleccionados- para ofrecerles una oportunidad de participar, para incrementar el número de participantes y llegar a un mayor público.

MAYO 2009Jean-François Prost,representante del proyecto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (documentación teórica + visual)

2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (documentación teórica + visual)

 ** VER EL DOCUMENTO ADJUNTO

Todo por la Praxis (TPP) se constituye como un “laboratorio de Proyectos” generador de un banco de proyectos estéticos y culturales. TPP se formaliza en una especie de diseño y ensayo de las tácticas de resistencia actual más eficaces, centrándose en el ensayo de herramientas, organización y acción no convencionales en torno a proyectos de actuación concretos. Los dos grandes ejes temáticos son las prácticas artísticas activistas o prácticas de oposición como medios de representar el conflicto social de forma estéticamente efectiva y las prácticas artísticas en / sobre el espacio público y sus repercusiones sobre el contexto social en el que se inscriben. Estos ejes temáticos se dividen a su vez en tres líneas de investigación que quedan representadas a través de tres alter-egos (Speculator, Chema y Action Art): estableciendo un juego simbólico que delimita cada una de las áreas de trabajo.

 

Speculator: Heterónimo del proyecto de “Todo por la praxis”. Esta línea de trabajo se centra en la cuestión urbana, la esfera pública y el mercado inmoviliario. La temática urbana esconde tras de si cuestiones más sentidas que comprndidas de ahí la necesidad de un  desocultamiento de los discursos y prácticas enfocadas a generar espacios de oposición a las estructuras de dominación y a investigar estrategias de expropiación del espacio serán recibidas como potenciales proyectos de Speculator.

Se trata de ampliar las prácticas artíscticas como medio de articularse socialmente como autores colectivos de nuestra propia experiencia viviendo así la construcción de spciao de posición como actores y no como espectadores.

Para abordar el trabajo se desarrolla un personaje Speculator con claras referncias al cómic. Este personaje se erige como un antihéroe, que encarna los valores del especulador inmobiliario tipo: extorsión, chantaje, manipulación y por supuesto la especulación. Este juego simbólico, e irónico permite el desarrollo de los discursos y prácticas urbanas, que dominan en la ideología imperante.

Speculator: Alter-ego de Todo por la praxis. La intervención propuesta para la convocatoria de Madrid Abierto 2008 pretende ser una presentación del personaje Speculator en la ciudad de Madrid-

El proyecto Speculator tiene claras referencias al mundo del cómic. El uso del lenguaje del cómic se traduce en la construcción de un personaje: Speculator. La cuestión urbana, el creciente problema del urbanismo salvaje, es el contexto en el que se incribe la actividad de ste singular personaje. El juego irónico simbñolico de héroes y antihéroes, presente tanto en el planteamiento del proyecto como en la construcción del personaje Speculator, permite realizar una mirada crítica a las prácticas urbanas contemporáneas.

 

    

      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (texto publicado)

 

Remolino es una puerta giratoria semejante a las que encontramos en los aeropuertos. De fabricación propia, utiliza los elementos básicos necesarios y el cristal, es cambiado por marcos de madera y plástico translúcido.

En cada una de las 8 hojas de la puerta realizaré una serie de dibujos:

3. TAMBIEN TENIA UN BUEN AMIGO: SERVULLO

4. A CHRIS, LE VOLVI A ROMPER OTRA CAMISA!

De modo que los paseantes perseguiran los dibujos para verlos, pero otros dibujos estarán persiguiendo a los paseantes también.

5. A EL, LE GUSTABA MI JAMON

6. AL FINAL LO AMENACE: O PADRE O NADA!

Si los paseantes quisieran ver todos los dibujos, deberían dar 4 vueltas como mínimo.

7. CHRIS SE ASUSTO

8. A LOS NUEVE MESES TUVE UN ATAQUE DE RIÑONES

De modo que los paseantes deberán perseguir los dibujos para verlos, pero otros dibujos estarán persiguiendo a los paseantes también.

1. EN VERANO ME ENAMORE DE CHRIS

2. LO DESEABA TANTO QUE LE ROMPI LA CAMISA

Remolino es una puerta giratoria semejante a las que encontramos en los aeropuertos. De fabricación propia, utiliza los elementos básicos necesarios y el cristal es cambiado por marcos de madera y plástico translúcido.

En cada una de las 8 hojas de la puerta realizaré una serie de dibujos:

3. TAMBIEN TENIA UN BUEN AMIGO: SERVULLO

4. A CHRIS, LE VOLVI A ROMPER OTRA CAMISA!

De modo que los paseantes perseguiran los dibujos para verlos, pero otros dibujos estarán persiguiendo a los paseantes también.

5. A EL, LE GUSTABA MI JAMON

6. AL FINAL LO AMENACE: O PADRE O NADA!

Si los paseantes quisieran ver todos los dibujos, deberían dar 4 vueltas como mínimo.

7. CHRIS SE ASUSTO

8. A LOS NUEVE MESES TUVE UN ATAQUE DE RIÑONES

De modo que los paseantes perseguiran los dibujos para verlos, pero otros dibujos estarán persiguiendo a los paseantes también.

1. EN VERANO ME ENAMORE DE CHRIS

2. LO DESEABA TANTO QUE LE ROMPI LA CAMISA

3. TAMBIEN TENIA UN BUEN AMIGO: SERVULLO

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2009.12 / documentación visual)

2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2009.12 / documentación visual)

 

     

        

(Fotos: Enrique Pacheco / Diciembre 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (texto publicado)

 

 RS (REALITY SOUNDTRACK) es una intervención sonora en espacios públicos tales como oficinas de correos, pasajes, centros comerciales, calles... 

Los portadores del sonido son personas provistas de pequeños receptores de radio (25 o más personas, cada una de ellas con un receptor). 

Todos los receptores de radio transmiten la misma composición electrónica, que se emite desde una emisora móvil de corto alcance, o, aún mejor, desde una emisora de radio ya existente.

Todos los participantes-portadores caminan juntos por lugares de una ciudad, siguiendo una pauta de movimiento determinada. El resultado audible de la acción es una nube móvil de sonido que viaja a través de una ciudad.

La duración de la intervención es variable, preferiblemente en torno a 2 horas, por la tarde.

 

CONCEPTO

El objetivo de la intervención es trasponer una situación real en un espacio público a un plano de ficcionalidad. La intervención sonora altera el modo de percepción del oyente-transeúnte casual. Lo que el oyente ve se transforma en una ficción y en el soporte de que lo que oye. El resultado de esa alienación es que el oyente deja de percibir la realidad como algo que tiene un efecto inmediato en su existencia para percibirlo como un fenómeno estético. Este hecho, sin embargo, puede entrañar una amenaza directa contra su propia existencia.

 

REALITY SOUNDTRACK SE HA PRESENTADO HASTA AHORA EN

2003BREAK 2.2 Invisible Threat - Festival Internacional de Arte Contemporáneo de Ljubljana, Eslovenia.4ª Trienal de Arte Esloveno Contemporáneo U3 - Museo de Arte Moderno, Ljubljana, Eslovenia.

2004Galería Public Space With a Roof y Radio Amsterdam FM, Ámsterdam, Holanda.BREAKTROUGH – Perspectives on art from 10 new EU member states, La Haya, Holanda.EASA 2004 - Asamblea de Estudiantes Europeos de Arquitectura, Rubias, Francia.SOUNDING OUT 2 - Simposio Internacional sobre el Sonido y los Medios, Universidad de Nottingham, Reino Unido – CONFERENCIA CON EL TÍTULO: Reality Soundtrack – transforming the perception of reality by means of sound interventionCONTEMPORANEA 2004 - Festival Internacional de Música Contemporánea, Udine, Italia.INTERVENING URBAN VOID – proyecto de investigación sobre estrategias de intervención en la ciudad, galería Public Space With a Roof, Ámsterdam, Holanda – CONFERENCIA “... transforming the perception...”COSMOPOLIS – microcosmosXmacrocosmos, Bienal Balcánica de Arte Contemporáneo, Museo Estatal de Arte Contemporáneo, Tesalónica, Grecia.7 SINS – LJUBLJANA – MOSCOW, ARTEAST EXHIBITION, Museo de Arte Moderno, Ljubljana, Eslovenia.

2005RADIODAYS – exposición invisible, galería DE APPEL, Amsterdam – RADIO TALK. www.radiodays.org/program_detail.php?programID=187GAUDEAMUS MUSICWEEK – Festival internacional para jóvenes compositores, MUZIEKGEBOUW, Ámsterdam, Holanda.

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. MISPLACING (documentación visual)

2008. Anno Dijstra. MISPLACING (documentación visual)

 

 

EMAIL

Estimada asociación…

Gracias por vuestro e-mail, no tengo imágenes del proyecto ya que no es prefabricado, el proyecto constituye una nueva etapa en mi trabajo, pero desde un punto de vista reconstructivo, trabajos anteriores están realizados desde ese principio, de modo que este nuevo trabajo está conectado a los anteriores. Mi descripción del plan trata de este nuevo paso.

De acuerdo con mi modo de trabajar, nunca realizo esbozos ni maquetas, espero que esto no sea un problema para el comité.

Espero haber comprendido bien la pregunta de Madrid Abierto porque está pensado como un nuevo trabajo.

Saludos cordiales.

Anno Dijkstra

He añadido una foto de trabajo in situ para el proyecto Moscú – Bernadette de SMAK en Belgie, es una pieza especial para la gente de casa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2009.05 / revisión proyecto / documentación técnica)

 

PLANIFICACIÓN 

Septiembre 2008• Presentación del anteproyecto de Una casa digestiva para el barrio de Lavapiés a Madrid Abierto 2009-2010.

Noviembre 2008• Selección del anteproyecto de Una casa digestiva en un piso patera del barrio de Lavapiés de Madrid Abierto 2009-2010.

Febrero 2009• Jornadas de presentación de Madrid Abierto 2009-2010, Casa Encendida, Madrid

Marzo y abril 2009• Proponer a Pensart.org como coordinador del proyecto e interlocutor principal en el barrio.• Investigar y organizar la inmersión en el barrio mediante mediadores sociales.• Identificar y proponer a un realizador de video para grabar y editar un documental sobre el proyecto.• Abrir el proceso de participación realizando entrevistas a los especialistas, profesionales y agentes sociales interesados e implicados en la reflexión sobre los procesos de la digestión, la memoria y el hábitat

Entrevistados:

Belinda Muñoz, Tienda DelicatessenEsteban Ibarra, Asociación contra la intoleranciaRamón Maria Masat “Momo”, Ayudante Producción.Máximo Murat, Lutier italiano.Chen Pen Shengli, Vicepresidente de la Asociación de Chinos en España.Jacobo Rivero Rodríguez, Lider de Barrio.Rafael Ángel Palacios Soto, ubilado.David N. Luhn, Critico de arquitectura de arquitectura.Iris Rossi, Dominicana, presidenta de la Asociación AMOR y asesora del Embajador de la Rupública Dominicana en España.Carmelo Arcal, catedrático de Antropología Social, UCMManuel Maria de Bariluz, presidente de la asociación de vecinos “la Corrala de Lavapiés.José Roncero Siles “Pepe”, ocupa y agitador cultural.Ignacio Angulo, arquitecto/artista.Abdel Khalak El Kamoun, Imán de la mezquita de Lavapiés.Enrique Predero, urbanista.Chema Palas, director cine.Juan Carlos Sotinos, ecuatoriano, inquilino piso patera 1M. Antonia Fernández López, española, inquilina piso patera 1.Shahjamal Ahmed, Vicepresidente Asociación Bangladesh.Victor Defarges Pons, Medico especialista digestión, Hospital Ramón y Cajal.D. Emilio, parroco de Inglesia de la iglesia de San Lorenzo de Lavapiés.Manuel Jiménez, medico general, del Lavapiés.Silvia Robles, trabajadora social.Paloma García, abogada derecho de las mujeres inmigrantes.Uriel Fogué, arquitecto.Bamba, senegalés, habitante piso patera 2.Juan Ramos Cejudo, psicólogo.Galo Endara, ecuatoriano artista y creativo Minority.José Santamaria, director de Minority.

• Escoger el piso patera del barrio de Lavapiés para desarrollar el proyecto.• Presentar el Proyecto Una Casa Digestiva en un Piso Patera del Barrio de Lavapiés.

Mayo 2009Investigar y reflexionar sobre la importancia del hábitat para ayudar a “digerir la memoria”.Ordenar la información recogida sobre tema.Conceptualizar el proyecto arquitectónica para el piso patera

Junio 2009• Presentar, proponer y debatir el proyecto de Una casa digestiva en un piso pateradel barrio de Lavapiés a los ihabitantes del piso patera y a los interlocutores delproyecto.

Junio / septiembre 2009• Realizar el proyecto ejecutivo modificando, incorporando y enriqueciendo, la propuesta inicial del Prototipo de Una Casa Digestiva en un Piso Patera del Barrio de Lavapiés• Edición video documental.

Octubre 2009• Formalizar la gestión administrativa necesaria para realizar el proyecto.• Edición de un video documental en formato monocanal para su exhibición pública de 60’ de duración aproximadamente.

 

Diciembre / enero 2009 – Enero 2010• Construir el prototipo.• Edición video documental.

Febrero 2010• Difundir el proyecto:• Exponer el proyecto de Una casa digestiva en un piso patera del barrio de Lavapiés• Presentación del video documental en el marco de un cine próximo al Paseo Recoleto ( Circulo de Bellas Artes, Casa Encendida, Casa de America)• Página web sobre de proyecto.• Presentación en el barrio.

 (revisión proyecto mayo 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (texto publicado)

 COLÓN, EL PRIMER COMUNICADOR

Dice la historia que Cristóbal Colón descubrió América, aunque nosotros preferimos expresarnos en términos menos eurocéntricos y entendemos que Colón estableció el primer canal de comunicación entre el Viejo y el Nuevo Mundo, el primer hilo de una red que durante los siglos se ha densificado exponencialmente.

Creemos que la Plaza de Colón debería mantener ese carácter de comunicación con el que identificamos al personaje que le da nombre (curiosamente los jardines junto a la plaza se llaman Jardines del Descubrimiento). Ahora, más de cinco siglos después de aquel primer contacto, sugerimos utilizar éste céntrico ágora como exponente del estado de la relación contemporánea entre Europa y Latinoamérica.

REDES LOCALES, REDES GLOBALES

Michel Serres describe la condición hipercomunicativa contemporánea con su brillante reflexión sobre el hors là en su libro Atlas. Hors-là es un estado que pone en relación el contexto local y el contexto global, las redes comunitarias y las redes internacionales, lo minúsculo y lo mayúsculo.

Dentro de la maraña social de Madrid encontramos nuevas comunidades emergentes, formadas mayoritariamente por grupos de inmigrantes. De entre ellas, las correspondientes a los países latinoamericanos, son las más populosas. Por lo general siempre es imprescindible un catalizador que funcione como colágeno de cohesión social. En nuestra sociedad de la comunicación, los locutorios cumplen esta función catalítica entre los grupos de recién llegados. Son los vórtices físicos de una red imprecisa y densa de relaciones locales y además habilitan relaciones globales. En otras palabras, un epítome del hors-là.

LOCUTORIO COLÓN

La propuesta es tan sencilla y pragmática que roza el campo de lo debatiblemente (y deliberadamente) no-artístico. Somos conscientes de ello, y aun así sugerimos la instalación durante la duración del evento Madrid Abierto, de un locutorio gratuito en la Plaza de Colón.

Este proyecto intenta alejarse de la objetualidad y ansias de eternidad que con frecuencia tanto pesan sobre el arte contemporáneo. En cambio, el proyecto intenta ahondar en los aspectos colaterales a la pieza (el locutorio) misma: en cómo se corre la voz sobre su existencia, en cómo se organizan los turnos de uso, en las actividades paralelas que puedan surgir improvisadamente a su alrededor, en el horario de empleo previsiblemente nocturno que tendrá…

Nos gusta pensar que la plaza será exactamente la misma una vez se desmantele la cabina de teléfonos, sin embargos, habrá participado en elaborar una red social más compleja e intensa entre aquellos que a un lado y otro del Atlántico la han disfrutado.

Profundizando sobre las bases expuestas anteriormente, en primer lugar acometeremos una búsqueda de emplazamiento concreto dentro del amplio espacio urbano de la Plaza de Colón. Al analizar el comportamiento de los ciudadanos se identifican dos zonas de flujo: la primera peatonal siguiendo el eje Serrano-Castellana (Jardines del Descubrimiento) y otra rodada que es el territorio marcado por los skateboarders para sus trucos. En el encuentro de estos dos ámbitos decidimos intervenir de manera que la instalación pueda beneficiarse e incluso ser “apropiada” por los distintos tipos de ciudadanos que aquí conviven así como aquellos que vendrán atraídos por el hecho mismo del locutorio.

Nuestra intención es la de fomentar diversos tipos de comunicación: tanto la del rumor invisible que anuncia la existencia del locutorio Colón por los barrios de inmigrantes en Madrid, como la intercontinental facilitada por los interfaces telefónicos, así como la social entre aquellos que esperan su turno para hacer su llamada con aquellos que ya lo han hecho o incluso con los skateboarders o viandantes, y también la comunicación publicitaria-gráfica que con toda seguridad surgirá (carteles publicitarios pegados ilícitamente, graffitis…) antes o después sobe este nuevo huésped urbano.

No queriendo centrar toda la actividad en torno al elemento del teléfono y con el objetivo de permitir todos estos tipos de expresión anteriormente citados, se sugiere una variedad de posibilidades (quizás módulos ligeramente distintos el uno del otro) de uso de la propuesta ofreciendo una variedad de mini-espacios.

Se toma la decisión de fragmentar la propuesta en módulos fácilmente montables-desmontables- transportables. Con esto se facilita la operación constructiva y se posibilita un uso posterior en otras ciudades o plazas. La construcción estará formada por paneles de madera o viruta prensada con bastidores de listones de madera, de esta manera se reduce enormemente el coste material de la propuesta.

En aquellas horas del día en las que se desee cerrar la instalación, esta podrá convertirse en un “armario” estanco y a prueba de vandalismo.

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (2009.05 / revisión proyecto / documentación teórica)

 

ANTECEDENTES

Josep-Maria Martín fue invitado a participar, el 2007, a la exposición colectiva “Habitat / Variations”, para repensar el hábitat y las diferentes formas de vivir. Para desarrollar el proyecto le propuso al arquitecto ginebrino Raphael Nussbaumer, una colaboración para reflexionar conjuntamente, sobre los espacios en los que vivimos. Esa primera experiencia en Suiza, hace que sea muy interesante seguir desarrollando la reflexión en un piso patera del barrio de Lavapiés y el contexto de Madrid Abierto 2009-2010 una buena oportunidad para seguir profundizar la investigación de cómo los espacios nos ayudan a afrontar la memoria.

FUNDAMENTOS DE LA PROPUESTA

Cuestionar el espacio de vida de un piso patera y establecer una analogía entre el sistema digestivo y el hogar, como un organismo que digiere la memoria personal y colectiva. Es una forma de focalizar la relación entre los espacios que la gente usa para vivir y cómo éste puede ayudar a enfrentar y gestionar la historia, la memoria personal y colectiva con la esfera cognitiva de la vida y el bienestar de las personas. Se trata de encontrar de respuestas a la relación hábitat-memoria:

¿Cómo convive nuestra historia personal la historia que aportamos, con la historia que encontramos?

¿Vivimos el legado de la memoria de un espacio?

¿Qué aportamos a la memoria de un lugar?

¿Cómo afrontar nuestra memoria personal y colectiva?

¿Qué influencia tiene el hábitat en el individuo, la familia, la comunidad…?

¿Cómo nos ayuda el espacio a digerir los acontecimientos de la vida?

¿Qué es la calidad de vida de una familia?

¿Cómo participan los miembros de la familia en ella?

¿Cómo afecta en las relaciones personales y profesionales?

¿Cómo afrontamos el desplazamiento cultural?

¿Cómo convivimos con gente de otras procedencias y cultura?

PROPUESTA

Proponer la colaboración de un arquitecto para desarrollar el proyecto conjuntamente.

Identificar un piso patera en el barrio de Lavapiés para desarrollar el proyecto.

Abrir un proceso de participación.

Identificar e invitar a los diferentes interlocutores vinculados al proyecto.

Investigar sobre cómo el hábitat nos ayuda a afrontar la memoria.

Realizar entrevistas con cada una de las personas identificadas como significativas.

Reflexionar sobre la vida en un piso patera del barrio de Lavapiés.

Ordenar la información recogida.

Elaborar y conceptualizar la propuesta.

Diseñar el proyecto de intervención en el piso patera.

Debatir sobre la propuesta con habitantes del piso patera y los distintos interlocutores anteriormente entrevistados.

Diseñar el proyecto ejecutivo.

Construir e inaugurar el espacio diseñado.

Evaluar la experiencia.

Realizar un video documental sobre el proyecto

Difundir el proyecto.

Experimentar durante un periodo a determinar el funcionamiento del Prototipo.

 (revisión proyecto mayo 2009)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Nicole Cousino + Chris Vecchio. SPEAKHERE! (texto publicado)

 

SPEAKHERE! une cuerpos a través del espacio mediante el sonido. Al establecer un “agujero” para el orador en una intersección muy transitada de Madrid y un sistema de sonido montado en un parque se transmiten canciones personales, palabras, gritos, sonidos y susurros en tiempo real a una audiencia desprevenida. 

Basándose indirectamente en el concepto de la Speaker´s Corner en Hyde Park, en Londres, SPEAKHERE! se diferencia porque proporciona el anonimato al orador o participante. Ofrece la libertad y el poder de expresarse en público sin la neurosis de estar a la vista de una audiencia que escucha.

El hecho de expresar sus ideas u opiniones propias en un espacio público puede verse como un acto ofensivo o político y con frecuencia se rechaza, en especial en grandes ciudades. Por regla general, la única voz que se proyecta hacia el público es la del Estado o la de una entidad religiosa. Este proyecto proporciona una oportunidad a una gama variada de individuos de diferentes culturas, idiomas, perspectivas, actitudes y opiniones, de expresarse ante una audiencia potencial.

La segunda diferencia entre la Speaker´s Corner y SPEAKHERE! es que la persona que hable con el “agujero” no sabrá si hay un oyente al otro lado. ¿Está hablando con el viento, con los árboles, con un grupo de personas mayores duras de oído, con policías o niños o...? Pero, en caso de que haya una audiencia escuchando, SPEAKEHERE! busca transformar el espacio público inyectándole la sensación de lo no anticipado y lo espontáneo.

 

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile. POST IT (ubicaciones propuestas)

 Planteo dos posibilidades en cuanto ubicuación:

- o bien el eje c/Alcalá, cubriendo con dichas lonas, puerta de Alcalá, Banco de España, Edificio Metropolí (bifurcación c/Alcalá y Gran Vía)

- o bien el eje Recoletos, con las Torres de Colón y Plaza de Colón.

Siendo la organización según permisos o distribución de otros proyectos estime más conveniente.

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (textos publicados)

 

TEXTO PUBLICADO PERIÓDICO

Nuestro proyecto busca destacar la erosión y la ocupación del espacio público, algo que se da tan frecuentemente en el ámbito privado (principalmente en las construcciones ilegales toleradas) e institucional (principalmente en forma de medidas impuestas e invasivas).  Blend-out son una serie de obras que constan de andamios y vallas de seguridad envueltas en las telas, las mallas, los plásticos y las cubiertas contra el polvo habituales. Situadas en el centro de Madrid, y en una de sus principales avenidas, en medio de conjuntos históricos representativos y parques públicos, las obras modifican nuestra percepción del contexto en el que están inmersas y el uso que les damos. Los recintos nos dicen que algo está ocurriendo y que nosotros estamos excluidos, hacen referencia a los espacios abiertos, a los parques públicos y a los edificios existentes. Alejan algunas secciones del espacio público del mismo público, haciendo que sean inaccesibles o invisibles, y a cambio ofrecen a los lugares sobreexpuestos un descanso frente a las constantes expectaciones de los visitantes. Alternan los patrones de movimiento y enfoque, a través de la creación de obstáculos, pero también llevando la atención hacia otros lugares menos utilizados. Crean heterotopías, islas fuera de los límites, lugares que sólo se pueden recuperar mediante la transgresión. Durante el periodo que dure Madrid Abierto, Blend-out recopilará toda la “madera de arrastre” urbana: pósters, anuncios, noticias, envoltorios y panfletos – y se convertirá en un punto de contacto, un registro o un reflejo de todas las demás ciudades y espacios posibles.

 

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TEXTO PUBLICADO: LIBRO + WEB

Nuestro proyecto pretende poner de manifiesto la erosión y la ocupación del espacio público, algo que sucede tanto en el nivel privado (edificación ilegal en su mayor parte tolerada) como en el nivel institucional (medidas en su mayor parte impuestas e invasivas).

Para Madrid Abierto proponemos instalar una serie de "obras", o "trabajos de construcción", que consistirán en andamiajes de tamaño real, o vallas de seguridad, provistos de las habituales lonas, plásticos y pantallas para proteger del polvo.

Situadas en el centro de Madrid y a lo largo de sus bulevares más transitados, en mitad de conjuntos históricos representativos y en zonas verdes, las instalaciones hurtarían al viandante tramos de espacios públicos, haciéndolos inaccesibles o invisibles.

Las vallas de cerramiento sugerirían que sucede algo de lo que estamos excluidos y podrían aplicarse a espacios abiertos, zonas verdes, o edificios. Modificarían nuestra percepción del contexto en que se inserten, y del uso que hacemos de él. Crearían heterotopías contemporáneas, islas inaccesibles, lugares que sólo podrían recuperarse a través de la trasgresión. A lo largo de la duración de la instalación, recogerían todos esos pecios de información urbana que flotan a la deriva —carteles, anuncios, avisos, envoltorios, folletos— y actuarían como interfaz, como registro o segunda y sucesivas pieles de todas las otras ciudades y espacios posibles.

 

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile. POST IT (documentación técnica)

 DESCRIPCIÓN MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

1.Este proyecto consistiría en la produción e impresión digital de 10 lonas de poliester para exterior de tamaño 400 x 300 cm. Las impresiones digitales de los contenidos serian en tintas especiales fluorescentes , de manera que se leyeran también por la noche sin necesidad de que su ubicuación estuviese perfectamente iluminada.

2.El sistema de montaje se asimilaría a la cartelería publicitaria, éstas grandes lonas simplemente necesitarían de bridas de plástico que irian engarzadas a las lonas previamente preparadas con perforaciones en las esquinas superiores .

3. Técnicamente necesitaria de dos operarios y un manipulador de grua elevadora.En el caso de que los carteles pudieran ser colocados desde ventanales o accesos exteriores se resolvería de ésta manera, en casos en que su acceso interior a las fachadas fuera imposible o dificultoso, se colocarían directamente desde el exterior mediante una grua elevadora manipulada por un técnico operario de dicha grua.

4. El transporte necesitaría de una furgoneta de 4 metros de longitud en su capacidad de almacenamiento, y los dos operarios para carga , descarga y montaje.

PLANIFICACIÓN

Previsión de tiempo acceso y montaje en 3 dias hábiles.

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (2009.05 / revisión proyecto / documentación técnica)

INFORME

-Se ha seleccionado la ubicación de la intervención: en frente del Museo de Cera (Paseo de Recoletos 41)

-Se ha conformado un equipo de trabajo con los trazadores de itinerarios:John Tones va a realizar un itinerario de máquinas recreativas antiguas.Mauro Entrialgo, rótulos publicitarios luminosos.Jimina Sabadú, lugares de Madrid en los que se han rodado películas conocidas.Santi Otxoa, reliquias religiosas.Guillermo, murales.

-Marta ha pedido seis presupuestos a imprentas de Madrid para la elaboración de los mapas, del librillo y de los vinilos exteriores que decoran la caravana.

-Se ha valorado la contratación de una persona para atender la oficina de turismo alternativo. Se encargará de ello Marta.

-Se ha contactado con un artesano para que tunee la caravana en Vitoria (mobiliario interno)

-Se ha contactado con un diseñador gráfico en Vitoria para que diseñe todo el material gráfico

-Se ha contactado con una persona de Vitoria para que lleve la caravana a Madrid.

-Se ha creado una página web: www.unofficialtourism.com

-Se está revisando continuamente el presupuesto. El proyecto se ajusta perfectamente a él. En ese aspecto, no hay problemas.

 

PLANIFICACIÓN

- Finales de junio: entrega de mapas por parte de los colaboradores

- Julio, agosto, septiembre: diseño de mapas y del folleto por parte del diseñador

- Octubre, noviembre y diciembre: customización interna y externa de la caravana (diseñador y artesano)

- Finales de enero: contratación de la persona que atiende la caravana

- Finales de enero: traslado de la caravana a Madrid y colocación en el lugar de la intervención

(MAYO 2009)  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Virginia Corda + Paula Doberti. ACCIDENTES URBANOS (texto publicado)

 INTERVENCIÓN URBANA PERFORMÁTICA

Accidente: Alteración o cambio que aparece en una cosa sin que pierda su esencia o naturaleza.

La idea es detenerse en accidentes casuales e instancias diversas para obtener registros en donde se rescate, se simbolice y grafique el cambio, la superposición y/o el siniestro urbano.

Toda ciudad contemporánea exige un tiempo de atención, de velocidad extrema. Desde el movimiento, el apuro y el cambio constante, se pensó, por oposición, en el objetivo de esta acción urbana: detenerse en una mirada rescatadora, poética y con un carácter resignificativo propio y abierto.

La saturación de imágenes, el ruido ensordecedor, la multioferta icónica, la hiperestimulación sensorial, colocan al transeúnte en un lugar de sopor sobreexpuesto, de hastío violento, de introspección evasiva o de bloqueo sensorial.

La excesiva superposición de códigos cromáticos, de metalenguajes autorreferenciales, de símbolos universalizados y dimensiones inabarcables provoca lo que Benjamin llama shock urbano.

La memoria es un componente del tiempo que registra de sí los avatares del transcurrir del hombre.

El accidente señalado es la memoria, la historia del lugar donde se habita, en donde el transeúnte participa de sus particularidades.

METODOLOGÍA

• Señalamiento a manera de zoom de los accidentes urbanos

• Locación: Paseo de la Castellana (o aledaños al circuito Madrid Abierto)

• Se utilizará el lenguaje jurídico como metodología.

• El trabajo artístico se desarrolla en (3) tres etapas.

1ro.TRABAJO DE CAMPO

1-A. Observación del segmento de la avenida que resulte más apropiado para desarrollar la acción y el señalamiento.

1-B. Relevamiento de registros fotográficos de los accidentes urbanos.

2do. ACCIÓN PERFORMÁTICA

2-A. Obtenido el lugar y el registro a modo de pericia jurídica se realizarán los señalamientos con las fotografías ampliadas en el lugar.

2-B. La acción está planteada para desarrollarla con una acción performática dejando el registro fotográfico del incidente en cada sitio.

2-C. Se tomará declaración a los transeúntes sobre el hallazgo.

2-D. Se labrará un acta que se dejará en el lugar una vez concluida la acción junto a la referencia fotográfica, señalamiento.

3ro. REGISTRO

A modo de expediente judicial y como forma de registro del suceso se construye el libro de artista de la acción; fotos, opiniones, actas, registros de la observación y las acciones.

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile. POST IT (documentación teórica)

 Este proyecto pretende ser una reflexión cómo todo mi trabajo reciente acerca de la sociedad de consumo actual en la cultura occidental.

Mostraría 10 carteles extendidos sobre edificios puntuales(detallados en la nota de montaje),son reproducciones de los típicos POST IT, que todos usamos a diario como recordatorio, pero sobredimensionados. tratados a gran escala y sacados de su contexto habitual pretenden dar otra lectura y epatar al ciudadano.

Son notas de preocupaciones cotidianas actuales, son una forma de fijar en nuestra memoria comportamientos que conllevarían un cambio de actitud, basada en una reflexión sobre nuestros hábitos cotidianas.

Son muchos los espacios donde podemos contemplar dichos post it en nuestro habitat diario, (oficinas, dormitorios , cocinas, baños, etc), espacios donde pasamos largo tiempo y que nos ayudaria a grabar en nuestra memoria éstas a veces sentencias cotidianas.

Ir al gimnasio, hacer dieta ,la elección de un producto , fumar menos, etc, tendrían significados añadidos, a menudo vemos cómo un coche , una colonia etc, nos asegura mayor confianza , seguridad o éxito social , son signos o símbolos que llevan asociados nivel social o distinción . Un autor dijo que un ciudadano por la calle, se podría sentir más seguro con un buen traje que con una buena conciencia religiosa. y son éstas actitudes consumistas sin sentido las que apenas nos dejan tiempo y dinero para otras dedicaciones más importantes.

Asistimos a centros de belleza o recorremos grandes almacenes pareciendo que somos libres de ejercer nuestra libertad y que somos usuarios de aquello que necesitamos, pero en el fondo somos víctimas de esa gran presión que sobre nosotros ejercen los mass media, la persuasión del marketing . Ëste proyecto “POST IT”tendría cierto paralelismo con las escenografías cotidianas, como la cartelería publicitaria, y la invasión de la publicidad cada vez nos ocupan más espacio físico y mental utilizando estrategias cada vez más agresivas.

El consumo frenético , desmedido e irreflesivo tan sólo nos llevaría a satisfacciones efímeras y tendría su origen en insatisfacciones profundas.

Aparentemente dichas notas apuntarían decisiones pequeñas, pero que a la vez son las más importantes, puesto que se verían afectadas también normalmente la gente que vive a nuestro alrededor. Apelan a reducir o anular algunos excesos, la mitificación del bienestar llegaría a convertirse en el ideal máximo y el colmo del la realización personal. Éstas notas propondrían una nueva economía y ecología del consumo en nuestro ecosistema mental.

Sin pretensiones moralistas, ni críticas, simplemente pondría de manifiesto o en evidencia algunas preocupaciones cotidianas del ciudadano actual.

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. HUERTO-O-BUS (2010.01 / trabajo de campo)

 

ASOCIACIONES Y PUNTOS DE INTERÉS EN USERA  

Asociación de Vecinos Salud y AhorroC/ Cestona, 5

Asociación de Vecinos La IncoloraC/ Gregorio Ortiz, 12 Local

Fundación Secretariado General GitanoC/ Antonio Salvador, 97 (local bajo)

Asociación Colectivo La CalleC/ Censo, 6 lateral

Asociación KandilC/ Amor Hermoso, 60

Asociación SERSO-PANGEAAvda. Cerro de los Ángeles, 17

Asociación de Mujeres del Poblado de OrcasitasC/ Cestona, 5

Asociación de cooperación y apoyo a la integración ICEASC/ Deva, 76

Asociación Colectivo AlucinosC/ Adora, 5-7 y 9

Fundación Iniciativas SurPlaza de la Asociación, 1-3

Asociación Cultural Salud y AhorroC/ Cuesta, 13

Asociación Universidad Popular de MadridC/ Ricardo Beltrán y Rozpide, 1

Asociación Juvenil LambdaC/ Silvio Abad, 42

Asociación de Chilenos en España (ACHES)C/ Eduardo Caxes, 10. 7º A

Centro Cultural La NatividadC/ Torrox, 4

Asociación Cívico Cultural Tetuan TeatroCalle Cristo de la Victoria s.n

A.P. A  I.E.S. Enrique Tierno GalvánAvda Andalucia Km 6,200

Asociacion de padres de alumnos colegio Nuestra Señora de MontserratCl Trevelez s/n, 28041

Asociacion de padres de alumnos colegio obra social Maria ReinaAv Orcasur 42 b, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio San ViatorPz Fernandez Ladreda 2, 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio luz casanovaCl Madridejos 34, 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio de educacion infantil y primaria pradolongoCl Parque de la paloma 9, 28026

Asociacion de padres de alumnos Daoiz y VelardeCl Antonio Velasco zazo 34, 2º, 28026

Asociacion de padres de alumnos instituto de educacion secundaria ciudad de JaénCl Camino del rio 25, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio de educacion infantil y primaria Jorge ManriquePz pintor Lucas 17, 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio San FerminCl Estafeta 17, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos escuela infantil la jaraCl Hijas de Jesus 30, 28026

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio de educacion infantil y primaria Juan Sebastian El CanoCl Mirasierra 29, 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio publico Nuestra Señora de la FuencislaCl Tomelloso 40, 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio santa maria - marianistasCl Tolosa 6, 28041

Asociacion de padres de alumnos colegio publico Ciudad de JaenCl Camino del rio s/n 28041

Asociacion de padres de alumnos escuela infantil ZofioCl Fornillos 3, 28026

Asociacion de padres de alumnos conservatorio escuela de música Maestro BarbieriCl Cestona 5, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos escuela infantil AlbaicinCl Albaicin s/n 28041

Asociacion de padres de alumnos colegio Nuestra Señora de FátimaCl Manuel Muñoz 30, 28026

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio publico Meseta de OrcasitasCl Camino viejo de Villaverde 1, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos escuela infantil La cornisaCl Cristo de la Victoria s/n 28026

Asociacion de padres de alumnos colegio publico educacion especial Joan MiróAv Poblados 183, 28024

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio publico Marcelo UseraCl Perales de Tajuña 1, 28026

Asociacion de madres y padres de alumnos colegio de educacion infantil y primaria Republica del BrasilAv Fueros 34, 28041

Asociacion de madres y padres de alumnos instituto de educacion secundaria Pio BarojaCl General Marva s/n

(Enero 2010) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (documentación técnica)

PLANIFICACIÓN

Diciembre 2009• Iniciar la colaboración con el arquitecto.

Febrero 2009• Escoger la familia del barrio de Lavapies para desarrollar el proyecto.• Identificar al interlocutor principal del barrio.• Abrir el proceso de participación realizando entrevistas a los especialistas, profesionales y agentes sociales interesados e implicados en la reflexión sobre los procesos de la digestión, la memoria y el hábitat: psicólogos, antropólogos, arquitectos, historiadores, políticos, asociaciones de vecinos, ciudadanos, asociaciones culturales, digestólogo, dietista, trabajadores sociales, educadores,etc.

Mayo 2009• Investigar y reflexionar sobre la importancia del hábitat para ayudar a “digerir la memoria”.• Ordenar la información recogida sobre tema.

Junio 2009• Presentar las propuestas a la familia y a los interlocutores del proyecto y debatirlas.

Junio/ septiembre 2009• Realizar el proyecto ejecutivo modificando, incorporando y enriqueciendo, la propuesta inicial del Prototipo de una Casa Digestiva.

Octubre 2009• Formalizar la gestión administrativa necesaria para realizar el proyecto.

Diciembre 2009 – Enero 2010• Construir el prototipo.

Febrero 2010• Difundir el proyecto:• Exponer el proyecto de la Casa Digestiva.• Presentación del video documental y la página web sobre el prototipo.• Notas de prensa.• Publicación.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Chus García Fraile. POST IT (texto publicado)

 Este proyecto parte de una reflexión acerca de la sociedad de consumo en la cultura occidental y nuestros hábitos más comunes, los límites de lo público y lo privado, y la invasión del ámbito personal por la presión mediática a la que constantemente se ve sometido el ciudadano.

La propuesta consiste en la reproducción de las típicas notas autoadhesivas que todos usamos a diario como recordatorio. Son notas de preocupaciones que apelan a reducir o potenciar algunos comportamientos a la vez que los fijamos en nuestra memoria y que conllevarían un cambio de actitud de éstas casi sentencias cotidianas. Notas que sobredimensionadas y exhibidas en el espacio público se constituirían en una suerte de anuncios publicitarios de lo cotidiano, añadiendo así otras lecturas.

Los pequeños hitos de la vida diaria: Ir al gimnasio, hacer dieta, la elección de un producto en la lista de la compra, fumar menos, etc, en este nuevo contexto no reflejarían tanto nuestros propios deseos como la acción de continua seducción de la propaganda comercial.

Sometidos a las incesantes estrategias publicitarias, somos libres, pero sobre todo para elegir entre los distintos productos del mercado. A menudo vemos cómo un coche, una colonia etc, nos asegura mayor confianza, seguridad o éxito social, son símbolos que llevan asociados nivel social o distinción. Si hoy un ciudadano por la calle se puede sentir más seguro con un buen traje que con una buena conciencia religiosa es gracias a que la publicidad ha cobrado la importancia de una ideología. Nuestro sistema social y cultural ha asumido el discurso de la publicidad y no es en absoluto un discurso neutral. Las necesidades y las demandas de las personas -exceptuando las básicas- se van creando a cada momento histórico y responden a los intereses del sistema productivo.

Según Pérez Tornero “no es exagerado hablar de la construcción de un consumidor modelo. El discurso publicitario, mediante sus sucesivas oleadas de mensajes –todos redundantes en esencia- ayuda a modelar una persona preocupada por la novedad, que ansía el objeto ofrecido y que recicla sus valore y sus hábitos en función de las nuevas propuesta que le ofrece el mercado”, para Tornero, la publicidad, a través de sus estrategias de identificación y proyección con el consumidor, consigue que “cada anuncio sea una especie de viaje interior de nosotros mismos”.

En la medida en que esto sea cierto, los pequeños post-it privados que utilizamos para ordenar nuestra jornada coincidirán en lo esencial de los anuncios que se exhiben en las calles de nuestras ciudades, incluso podrían sustituirlos.

 

 

 

 

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2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (documentación teórica)

PRESENTACIÓN

Desde hace años los proyectos artísticos de Josep-Maria Martín están centrados en crear desde el arte, nuevas estrategias de intervención en ciertas estructuras consolidadas en la sociedad actual, pero no por ello carentes de fisuras. Con una voluntad subjetiva y reflexiva, cuestiona y critica la realidad sobre la que decide trabajar. Sus piezas hacen hincapié en la idea de proceso, investigación, participación, implicación y negociación, haciendo que los agentes identificados para cada proyecto se conviertan en verdaderos generadores de un proyecto común.

Le interesa el arte cuyo objetivo supera el ámbito estético: no se pueden negar los problemas con que nos enfrentamos en el entorno político, social, antropológico, de ordenación del territorio y la planificación urbana, etc.

Le interesa la vida transformada por el arte y el arte de vivir transformado. Transformar el espacio de la vida y la vida social transformada por la experiencia del arte.

El proceso artístico y político implica una subjetividad que permite un abordaje crítico de la complejidad del mundo. Para ello es fundamental un cambio de paradigma que de lugar a la creación de nuevas imágenes en un proceso de crítica permanente y de gestos éticos. Para conseguirlo abre procesos participados de investigación y análisis en contextos específicos, buscando grietas en los sistemas sociales o personales. A partir de ahí, negocia con criterio de transversalidad y horizontalidad y propone prototipos que se insertan en la realidad, haciendo de su utilización una experiencia reveladora de estas imágenes. En síntesis, utilizar la estética en el entrenamiento para el cambio y para poner en manos de la gente herramientas relacionales para abordar el horizonte del futuro.

Los proyectos artísticos de Josep-Maria Martín, al ser procesos pluridisciplinares, se prestan a ser interpretados desde cada una de las disciplinas de los agentes identificados e implicados en los proyectos. Por ejemplo: para el artista, es una pieza de arte contemporáneo, para un arquitecto, es un proyecto arquitectónico, para un trabajador social, es un proyecto comunitario, para un político, es un proyecto sobre políticas sociales, de negociación, de vivienda, de inmigración, etc. 

Josep-Maria Martín dice: “Soy curioso y eso hace que este tipo de proyectos sean muy interesantes para mi. Me interesa:

• Abrir procesos de aprendizaje.• Investigar en contextos concretos y encontrar nuevos caminos.• Conocer a las personas y la realidad.• Cuestionar y encontrar nuevas maneras de ver las cosas.• Buscar y encontrar imágenes que no hayamos concebido antes.• Identificar gestos éticos.• Desarrollar procesos compartidos para entrar en “territorios desconocidos”.• Desarrollar nuevas propuestas yendo de lo particular y lo personal a lo general.• Apostar por la innovación y proponer alternativas para conseguirlas.• Explorar las estéticas contemporáneas.• Crear la posibilidad de participar en programas que resulten interesantes desafíos para mi y se conviertan en fuentes de disfrute profesional, por estar en la línea del trabajo que realizo.• Reflexionar sobre el mundo contemporáneo y su traducción estética”.

UNA CASA DIGESTIVA. para el barrio de Lavapies, MadridMadrid Abierto 2009-2010

ANTECEDENTESJosep-Maria Martín fue invitado a participar, el 2007, a la exposición colectiva “Habitat / Variations”, para repensar el hábitat y las diferentes formas de vivir. Para desarrollar el proyecto le propuso al arquitecto ginebrino Raphaél Nussbaumer, una colaboración para reflexionar conjuntamente, sobre los espacios en los que vivimos.

Esa primera experiencia en Suiza, hace que sea muy interesante seguir desarrollando la reflexión en nuevo proyecto en Madrid. La convocatoria de Madrid Abierto 2009-2010 es una buena oportunidad para seguir desarrollando la reflexión de cómo los espacios nos ayudan a afrontar la memoria.

FUNDAMENTOS DE LA PROPUESTACuestionar el espacio de vida y establecer una analogía entre el sistema digestivo y el hogar, como un organismo que digiere la memoria personal y colectiva. Es una forma de focalizar la relación entre los espacios que la gente usa para vivir y cómo éste puede ayudar a enfrentar y gestionar la historia, la memoria personal y colectiva con la esfera cognitiva de la vida y el bienestar de las personas. Se trata de encontrar de encontrar respuestas a la relación hábitat-memoria:• ¿Cómo convive nuestra historia personal la historia que aportamos, con la historia que encontramos?• ¿Vivimos el legado de la memoria de un espacio?• ¿Qué aportamos a la memoria de un lugar?• ¿Cómo afrontar nuestra memoria personal y colectiva?• ¿Qué influencia tiene el hábitat en el individuo, la familia, la comunidad…?• ¿Cómo nos ayuda el espacio a digerir los acontecimientos de la vida?• ¿Qué es la calidad de vida de una familia?• ¿Cómo participan los miembros de la familia en ella?• ¿Cómo afecta en las relaciones personales y profesionales?• ¿Cómo afrontamos el desplazamiento cultural?• ¿Cómo convivimos con gente de otras procedencias y cultura?

PROPUESTA• Proponer la colaboración de un arquitecto para desarrollar el proyecto conjuntamente.• Identificar una familia del barrio de Lavapies para desarrollar el proyecto.• Abrir un proceso de participación.• Identificar e invitar a los diferentes interlocutores vinculados al proyecto.• Investigar sobre cómo el hábitat nos ayuda a afrontar la memoria.• Realizar entrevistas con cada una de las personas identificadas como significativas.• Reflexionar sobre una vivienda familiar del barrio de Lavapies.• Ordenar la información recogida.• Elaborar y conceptualizar la propuesta.• Diseñar el proyecto arquitectónico.• Debatir sobre la propuesta con la familia y los distintos interlocutores anteriormente entrevistados.• Diseñar el proyecto ejecutivo.• Construir e inaugurar el espacio diseñado.• Evaluar la experiencia.• Realizar una página web y un video documental sobre el proyecto• Difundir el proyecto.• Experimentar durante un periodo de 3 meses el funcionamiento del Prototipo.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (texto publicado)

 El proyecto Translucid view consiste en instalaciones fotográficas, dispuestas en una serie, ubicadas en los “muppies”. Cada muppi individual contiene la imagen del entorno inmediato situado tras él. Las instalaciones se colocarán en la zona del Paseo de la Castellana, Paseo de Recoletos y Paseo del Prado.

Las instalaciones se verán enmarcadas y mostrarán sólo una ligera diferencia con respecto a la realidad que será muy sutil. Los usuarios de los espacios públicos podrán intervenir como participantes, brindándoles la posibilidad de observar el cambio de la realidad en la obra a lo largo del tiempo.

Las personas que frecuenten más de una vez los alrededores de las instalaciones se darán cuenta de estos cambios. Condiciones como la luz y el tiempo en el momento en que se haya tomado la fotografía, no cambiarán, sino que serán los alrededores los que se transformen dependiendo de la hora del día o de las condiciones climatológicas.

‘Los espacios públicos son algo dado, vagamos por ellos, los hacemos nuestros y somos testigos de cómo cambian con el tiempo.’

El muppi (Mobiliario Urbano para Publicidad e Información; puntos publicitarios en espacios públicos) como objeto está allí en principio para que el público se enfrente a la información y a los espejismos de las cosas que no existen en la calle. La utilización comercial de estos objetos los convierte en un factor dominante sobre el resto del espacio público.

Puesto que los carteles se cambian con frecuencia, nunca tenemos la posibilidad de contemplarlos durante el tiempo suficiente para hacernos a la idea de que “lo hemos visto”. Así, nuestros ojos se ven obligados a mirar lo que no hayamos visto antes.

La noción de que esta instalación no será un anuncio puede incitar a las personas a que intenten saber de qué se trata porque no se podrá identificar fácilmente como arte a primera vista.

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. VA VA VOOM VEG (documentación técnica)

 MONTAJE Y DETALLES TÉCNICOS

VAVAVoom Veg es una unidad móvil contenida en sí misma, transportada por un tractor/motocicleta que puede permanecer con la unidad o ser usado en el momento oportuno.

REQUERIMIENTOS

Acceso a agua por sistema de irrigación

Plaza Pública Soleada dentro del barrio

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (texto publicado)

 Todo el mundo tiene fuertes sentimientos sobre el lugar donde reside, pero lo que resulta exótico para el turista puede ser algo normal o incluso aburrido para sus habitantes. De cualquier modo, el turismo puede vigorizar la economía local, y se puede despertar un nuevo interés hacia un mismo monumento histórico cuando es visto a través de los ojos del visitante. Y los acontecimientos mundiales y las diferencias políticas dejan de ser importantes en comparación a una cuestión como... ¿cuál es el mejor restaurante del Paseo del Prado?

Desde la información para turistas a las diatribas políticas, SOY MADRID se convertirá en una buena plataforma de colaboración entre los madrileños y los artistas-turistas Grennan y Sperandio.

A través de anuncios en periódicos, el boca a boca y una web específica, soymadrid.com, Grennan y Sperandio invitan a los madrileños a que les cuenten sus historias de la ciudad. Ambos artistas convertirán las historias seleccionadas en tiras de cómic llenas de color y brillo, escritas en español e inglés.

Políticas o despreocupadas, serias o frívolas, divertidas o misteriosas, estas intervenciones darán la oportunidad, tanto a los madrileños como a los visitantes, de reconsiderar algunas cuestiones conflictivas como las nociones de identidad local, nacionalismo, política y turismo.

Los cómics resultantes se reproducirán en distintos medios, como posters, tiras en periódicos o a través de la web. El aspecto más importante del proyecto SOY MADRID es la colaboración con un periódico local, ya que las historias para el proyecto se solicitarán desde el mismo y las tiras seleccionadas se imprimirán en ese periódico también.

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. HUERTO-O-BUS (2009.05 / revisión proyecto / ubicaciones propuestas)

2009-2010. Lisa Cheung. HUERTO-O-BUS (2009.05 / revisión proyecto / ubicaciones propuestas)

Huert-o-bus puede adaptarse a todos los lugares y todos están compuestos de superficies de cemento y constituyen espacios públicos.

1. Paseo de Recoletos (en frente de la Biblioteca Nacional).

2. Plaza de la Luna , C/ de la Luna, Centro

3. Plaza de la Corrala, Lavapiés (en frente de la nueva biblioteca, entrada principal) & Doctor Fourquet 24, Lavapiés*

Plaza de la Corrala, Lavapies

Doctor Fourquet 24, Lavapiés

 

4. Plaza de la Remonta, Tetuán

5. Plaza de Pilarica? (entre c/ Pilarica & c/ Dolores Barranco), Usera o Plaza Andreas Arteaga (cerca de la c/ Andreas Arteaga), Usera*

Plaza de Pilarica, Usera

Plaza Andreas Arteaga, Usera

 

*Cuando se indique dos localizaciones en un mismo barrio con la elección  de una será suficiente.

(MAYO 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lisa Cheung. VA VA VOOM VEG (documentación teórica)

 

VA VA Voom Veg es un prototipo de huerto móvil temporal que invita a los residentes en emplazamientos urbanos a cultivar vegetales frescos en el centro de la ciudad. Este proyecto acerca los placeres y recompensas de la jardinería a personas que no tienen la oportunidad porque viven en un entorno urbano. Además, pretende ampliar las posibilidades de uso de los espacios públicos para el beneficio público y los grados de participación y pertenencia que pueden ser alcanzados.

VVVV sigue la tradición de huertos de Gran Bretaña y otros países europeos. Los huertos se convirtieron en una necesidad por la escasez de alimentos durante la guerra y ahora parecen haber resurgido debido a la gran importancia otorgada a la producción orgánica y local de alimentos, a la vez que el precio de los mismos resulta cada vez más elevado. A menudo, algunos espacios inusuales y abandonados, situados en los centros urbanos han sido utilizados como huertos por su fácil accesibilidad y disponibilidad; transformando, de este modo, espacios “desaprovechados” en lugares comunitarios. Además, los jardines-huerto se caracterizan por un importante sentido de comunidad, en los que se implican individuos apasionados que comparten conocimientos, trabajo y, por supuesto, comida.

VVVV pretende reclamar el espacio público para el individuo y la comunidad. También aspira a aportar un sentimiento “rural” a la vida urbana conectando al habitante de la ciudad con la tierra a través del cultivo de comida en un entorno comunitario. Esto es especialmente relevante si tenemos en cuenta que la mayoría de las personas viven en pequeños apartamentos urbanos sin un espacio privado al aire libre y escaso acceso a zonas verdes. Además, este proyecto funciona como vínculo con la vida rural, de donde muchos provienen y a donde muchos desean volver.

La estructura tiene la forma ideal de una casa rural en forma de “A” ubicada sobre un trailer. Será colocada en una plaza pública de algún barrio madrileño a la cual tengan acceso los participantes. Uno de los lados consiste en un invernadero de cristal para el cultivo de semillas y pequeñas plantas. Mientras las plantas crezcan el techo acristalado se podrá deslizar sin problema permitiendo que las plantas sigan creciendo. Frutas y vegetales serán cultivados en el interior de la casa dentro de las muchas cajas de cristal. Además de eso, habrá lugar dentro de la casa para una biblioteca con libros sobre jardinería, lista de actividades y un “diario” del jardín (para registrar pensamientos, comentarios y experiencias).

Los residentes de la zona serán invitados a participar, decidir sobre la plantación, mantener y disfrutar de los frutos del jardín mientras dure el proyecto (febrero-julio). Su aportación y dedicación serán esenciales para el éxito del jardín y el proyecto. Se creará un club del jardín (formado por miembros de la comunidad) para llevar a cabo el mantenimiento regular del jardín, acompañadote talleres mensuales sobre jardinería y asistencia para novatos. Se celebrarán actividades comunitarias entorno a la plantación (meriendas en común, celebración de la fresa, festival de la cosecha, etc) donde todo el mundo será bienvenido. Por otra parte, el jardín móvil viajará a otros lugares de la ciudad para ofrecer talleres, demostraciones y otras actividades comunitarias.

Esta propuesta se basa en mi interés por los espacios públicos y la creación de entornos que fomenten el intercambio social. Estoy interesada en la creación de estructuras temporales que constituyan parte del paisaje urbano. Mis proyectos recientes han hecho de la jardinería y el cultivo de plantas un punto de interacción y participación.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Dagmar / transcripción - audio - postal)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Dagmar / transcripción - audio - postal)

 

   

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Pista 6
8 MB 8:43 min

Una vez, que volvi de…volvi de Alemania ..con… y cogí un taxi en el aeropuerto con mi novio entonces, de Alemania, hablabamos aleman todo el tiempo y el taxista ha pensado que eramos extranjeros y nos llevo un tour por Madrid…

2 personas charlando en aleman – hombre y mujer (muy bajo, en el fondo)

o sea en vez de llevarnos a un sitio directo a la direccion que yo le habia dado en forma directa, dio unas vueltas de mil demonios, no, porque pensaba de como eramos extranjeros no nos enterabamos …

Taxista que dice el precio del viaje en pesetas, muy alto

Cuando vuelvo a Madrid, siempre se me pone… la piel de gallina….(positivo, pensativo)

sobre todo cuando estoy en la zona de la Puerta del Sol.

Sonido de la entrada al metro Sol – ventilador?  - vendores de loteria

La Puerta del Sol tiene mucho que ver conmigo, sobre todo la estacion de metro de Sol …cada vez, cada vez que vuelvo a Madrid, el olor a metro que es una cosa, que yo creo que solo existe en Madrid … ese olor como a papel … es un poco como a papel periodico, el periodico en Espana, El Pais, huele muchas veces como el metro (se rie)

Crujir de papel periodico – abriendo una pagina

(con voz de noticias)

…el sitio mas espantoso del mundo es la puerta del sol o el centro de Madrid, el centro antiguo en la época de navidades…

 Y el calor que sale del metro en invierno, cuando vas paseando, o cuando estas enfrente en la pasteleria de la Mallorquina…. Y sale el olor a metro y digo, hay que bien esto es Madrid! (se rie)

Música española – cancion sobre Madrid (por ejemplo: caminando por la calle – ojos de brujo)

los domingos por la manana, como por la manana, despues del desayuno me iba a pasear con mi abuelo, iba a comprar el periodico, tomar el sol de invierno, que nos dieron unas rayitas de sol en la cara, y me llevaba al Café Central…en Bilbao…a comer chocolate con churros…y estos chocolates con churros lo recuerdo …. es como una cosa muy bonita mia, es una cosa muy dentro del corazon.

otra cosa que me encantaba en madrid, que compro cada vez que voy, son las violetas de Madrid. En Sevilla hay una tienda la violetera se llama, creo, que venden violetas que son unas pastillas, como unos caramelitos, de sabor a violeta…

Sonido del interior de la tienda, lentamente crossfade into interior de los correos en Cibeles

…envie un paquete, no esperate me lle (vo)…como era, no me acuerdo muy bien…tuve un problema con un paquete y montio un escandalo y empezé a pelearme con la senorita que estaba detras del mostrador…y hubo un jaleo, unos diviritos y yo la chillaba, y ella me chillaba

Dos perros o dos gallos luchando

y al final me volvi a casa sin paquete..sin papel...sin nada – muerta de rabia…pero recuerdo, que el edificio es precioso por dentro, no, pero la atencion al publico era terorifica, era malisima, entonces, en los anos ochenta, no

Cancion de amor 80’

Ay, si el jardin botanico (se rie) tenia un amigo aleman, un novio aleman, que nos dimos un beso muy bonito (se rie) debajo de una palmera.

Sonido del jardin, pasando a ella, sentada en un banco, contando lo siguente a algiuen

… me dio una envidia increible, que el senor Thyssen tuviera esa collecion privada en su casa…en su villa favorita en Suiza… Y dije que suerte ser tan millionario para poder tener unos cuadros tan fabulosos …

(continua sonido del parque)

Si, tenia muy, ähm ‘guter geschmack’, … como se dice en espanol? De buen gusto?

Pues, deje Madrid, porque me enamoré de un Hamburgues.

Sonido calle por la noche, sin mucho trafico, voces pero indeterminables, quizas perro ladrando (lavapies)

igual si, esta es mi ciudad.

Nunca te encuentras solo … siempre hay voces … escuchas voces

Llegan voces de lejos, de los basureros acercandose

…ay algo raro…y los vecino escuchan ruidos, y …en serio, ha salido en los periodicos y se hablaba que habia un fantasma dentro … y hay also muy extrano, de esto me enteraria yo del lugar, que es lo que pasa con, yo creo que es la Casa de America… que hablan que hay fantasmas, o hay zombies vivientes dentro…

Sonido de los basureros por la noche – desapareciendo con su camion.

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Objetos: DIE ZEIT – periodico aleman (el taxista tiene que comprarla cada jeuves) Violetas – el taxista ofrece una al cliente, cuando baja del taxi

Foto: Leyendo el periodico – periodico, vaqueros mios, sandales estilo jesus

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. PREPROYECTO (documentación técnica)

 DATOS TÉCNICOS DE INSTALACIÓN Y NECESIDADES

Se deberán imprimir imágenes seleccionadas incluyendo textos críticos escritos por un historiador de urbanismo, un arquitecto, un sociólogo, un crítico de arte, en una publicación que podría tomar la forma de periódico.

Carteles impresos para ser colocados en las calles de Madrid.

Publicación de un juego de postales (10 postales).

Disponible en el punto de información del proyecto con postales gratuitas, carteles y la publicación.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Marta / transcripción - audio - postal)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Marta / transcripción - audio - postal)

  

   

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Pista 5
7.5 MB 8:14 min

Tocar la bocina, caravana, paseo de castellana

Fijate que me acuerdo una vez..que habia mucho trafico, no …como siempre…y iba con… mi memoria siempre es de mi hermano ir con un mini…el tenia un mini asi pequenito…y donde no le resp..y no le respectaba mucho, porque como es un coche tan pequeno, entonces los autobuses  pues siempre le cortaban…o que le echaban de la caretera porque era tan pequeno

pasabamos cerca del Corte Ingles de la Castellana y exploto una bomba pues a ..en uno de los   ministerios, no me acuerdo que ministerio era, pero …

creo que un ano le quitaron la cabeza a un leon o algo asi que paso! Y era y Cibeles es un … o sea era

Silencio

y siempre me gustaria ir ….con un tanque por Madrid (se rie) para pasar por encima de todos estos coches

que no me respectan ni tal …

No sé, me fui huyendo un poco de mi, a lo mejor porque estaba media atormentada por la edad que tenia.

Viaje musical a su pasado – como si fuera buscando algo en la radio. Primero va atras hacia los anos 60 y luego mas adelante – acabe en 81 por alli cancion?

Yyyyy… ai, es que tengo ahora ….ahora estoy en otra epoca, perdon (se rie)… estoy en una epoca muy anterior.

Fue/ Paso en el 81 o en el 82? Bueno, de esto me acuerdo, porque nos mandaron al colegio, de, nos mandaron a casa…o no sé si era ese mismo dia, pero mi sensacion era de que hubo, que habia mucha policia cuando salia del colegio y al lado del colegio en una esquinita debia vivir algun militar o alguien importante… y recuerdo haber, eh cruzado la esquina para ir a coger el autobus y estaban los, los… policias con las metralletas, no…entonces era como dar la vuelta a la esquina y encotrarte una metralleta casi apuntandote a ti.

Patio de la escuela - Ninas que se rien

… fuimos a esperar…e..con unas amigas…no sé por que razon, porque nunca hemos sido muy …practicantes, no – pero era como el gran acontecimiento, entonces fuimos a ver que pasara el papa por alli…..ehhh, el recuerdo que tengo fue de una espera interminable, y estabamos unos tres o cuatro amigas…hmmm…realmente esperando..y hablando…y riendonos y luego paso el papa y fue question de dos segundos..que paso en un coche con una , en su urnita? Y ya (se rie)  Y ya se fue todo.

Sonido rapido de un coche que pasa de izquierda a derecha…zzzzooommmm

…no sabia que hacer…con mi vida. No sabia, no tenia planeado ir a la Universidad, no sabia en que.. es lo que iba a hacer.

(Entonces para ganar algo de tiempo)…fui de Madrid para estudiar ingles en Estados Unidos, seis meses …y me quedé diecisiete anos…(se rie)

La imagen es de…no sé si es una imagen que tengo ahora mas que nada, sabes, de ser muy seco….mucho calor y muy seco….

Grillos por la noche

yyyyyy como polvoriento….me parece que esto es una imagen que tengo ahora, no, porque donde vivo es muy verde, es muy humedo,

Crossfade a Castellana, lo del al principio

entonces mi impresion de Madrid es como … que le faltan arboles….

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Objetos:Revista Americana con un test psychologico, Bolsa estilo military

Foto: Rellenando el test (revista – boli – jersey azulaquamarina mio)

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.11 / documentación visual)

2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.11 / documentación visual)

 

     

     

(Noviembre 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. PREPROYECTO (documentación teórica)

  

Para Madrid Abierto pretendo realizar un proyecto para el cual ya encontré localizaciones en diciembre de 2007. Lo que más me interesa de Madrid es el extraordinario desarrollo que han sufrido en los últimos años, a lo largo de la periferia, zonas como Seseña Nuevo, Esquivias, Paracuellos de Jarama (Mira Madrid) donde la industria inmobiliaria ha construido gigantescas ciudades satélite. La intención es enfocar el tema desde un punto de vista documental y crítico. Con la crisis relativa al negocio de la construcción la situación está en un punto crítico y nadie sabe cómo irán las cosas en los próximos 2 años. 

Mi objetivo para este proyecto consiste en investigar fotográficamente sobre este asunto. Además me gustaría invitar a responsables de urbanismo y arquitectos para escribir textos críticos que incluirán un folleto. Para finalizar el proyecto se colocarán carteles impresos en las calles de diferentes partes de la ciudad y una serie de postales serán distribuidas en el centro de información de Madrid Abierto. Se le dará la vuelta a la imagen idealizada de la ciudad realizando una selección de imágenes disponibles para todos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10prtc3560

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Ana / transcripción - audio - postal)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Ana / transcripción - audio - postal)

  

        

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Pista 4
11.6 MB 12:43 min

Lo que mas me marca, lo que mas me marca en realidad, fue el trafico. El trafico en Madrid es desesperante….te pasas horas y no sé callejear, recuerdo callejear mucho, para evitarte un atasco, meterte por callecitas etcetera, desesperarte cuando encontrabas coches en segunda y tercera fila

Sonido mercado muy animado – ¿quien es la ultima? Permiso! X se vacia el mercado

Pero por otro lado, lo bueno de Agosto en Madrid siempre ha sido los aparcamientos. Habia aparcamientos por todas partes.

Sonido de barrer un suelo de piedra, en el mercado, tambien

Yo me acuerdo de una vez que me justamente pillé uno de los mercados pues casi cerrando, no… y de hecho nos pillo dentro cuando ya estaban cerrando y estaban todas las  mujeres de los puestos de frutas y verduras recogiendo y entonces fue curiosisimo y ademas me encanto estaba con mi hija (no sé si era la mayor o la pequeña, pues creo que era la pequena) y pusieron se

Musica con mujeres cantando - paisano

agarren las puertas ya pusieron la musica de la radio o de no sé donde a tope y todos se pusieron a cantar ,

pero vamos, al mismo tiempo que recogian sus puestos, sabes y limpiaban etcetera todas ellas estaban cantando, despues de todo un dia de horrible trabajo de aguantar a todo el mundo….

Pasos con tacones altos en la calle por la manana

Trabajaba en bankers trust, un banco americano que esta en el edifico de la piramide (…) y alli tengo los recuerdos que entraba por las mananas, entré ganando muchisimo dinero y sali ganando aun mas, o sea fue un empleo en realidad, super, porque en el ano alla ganaba cuatro millones y medio de pesetas al ano, pero tenia inconveniente que entraba a las ocho y media y no se sabia cuando salia, es decir que cuando salia yo, eh como digamos el horario de los estados unidos esta atrasado, pues …

que salias y ya no era lo que era durante el dia, no, por la noche este era otro mundo, es decir que por la noche salias  y aquellas mujeres tan guapisimas que eran todos hombres, no … pues estaban esperando clientela y entonces era cuando yo salia del banco.

salia cuando estaba la calle llena de travesties.

Hahahaha

Pasos rapidos con tacones altos en la calle, quizas pasando voces (que guapa – oye guapa, te vas conmigo…tse,tse,tse…. anmache von männern) … llama a un taxi

De verdad es que lo he disfrutado mucho, yo pienso que cogi Madrid en una buena epoca…en la que bueno no sé coincidio la indpendencia o sea el vivir, el salir de casa de mis padres…y regresar a Madrid buscar un poco mis raices.

En Madrid he estado 8 anos. En realidad los anos un poco de la juventud, desde los 23 anos hasta los 31

Haber logrado de alguna manera alli independizarme y no sé a nivel personal.

Ambiente / anuncios corte ingles, escaleras mecanicas / guarde sus bolsas, hay ladrones…

Bueno, el corte ingles siempre me ha resultado muy practico y te puedo decir que sigue resultandome…es caro, pero es uno de los negocios en los que entras y puedes hacer de todo! Entonces, pues es una cosa que es muy util, no. porque si tienes poco tiempo y en Madrid siempre tienes poco tiempo cuando estas trabajando estas de un camino a otro etcetera entonces  ???confundar un poco todo entonces es el tipico negocio que entras y haces de todo y ademas a un precio  que es no es el mas barato, pero, tienes la seguridad que es una buena, una buena oferta, la calidad es buena.

fade out del texto a partir de aquí lentamente – Madonna (I am a material girl)

Ademas te puedes descambiarlo con lo cual siguen propagando y han tenido razon con la politica desde los comiencos cuando todavia existia Galerias preciados, cuando yo estaba … despues desparecio ….(bla bla bla) Solia ir bastante a comprar al corte ingles, tanto como para comida como otros objectos

Silencio

En casa en Suiza

Por que, pues por que la etapa cuando yo vivi en Madrid de acuerdo con mi edad era buena, pero ahora en estos momentos digamos no consigiria a un precio razonable una calidad de vida comparable como la que tengo aqui…viviendo en una zona Buena, teniendo los colegios cerca, no teniendo que perder una hora para ir al trabajo y otra hora para regresar del trabajo. Hoy en dia si estuviese en Madrid, seria la tipica, el tipico matrimonio que vivieramos, viriamos en las afueras  en un chalet, a lo major en Las Rozas , los ninos irian a un colegio particular, los veiamos para el desayuno, se irian en el autobus, en casa tendriamos a una peruana, decogiendo la casa, y me iria en el coche, el se iria en el suyo, saliamos una hora hasta entrar en Madrid, despues eh, los ninos  comerian en el colegio y nos veiamos yo que sé? Si el suelte a las siete, despues hace las compras , a las ocho en casa para cenar otra vez, y despues, y asi seria el ritmo, no…

Suena el telefono

Si, curioso (por si misma)

Si … Espera que viene mi hija dandome la lata, un momentito…ya estoy

El encuentro con mi futuro marido lo tuve en la puerta del sol. O sea en una calle detras de la puerta del sol y tal, porque resulta que estabamos en noche vieja….nos ibamos a marchar ya a casa, una amiga y yo ..y de repente ..nos habiamos guardado unos claveles que nos habian dado en un restaurante que habiamos tomado la cena de noche vieja con las uvas y tal,

Reloj de la puerta sonando 12 veces en el fondo – luego musica de tunos

y por cierto una tradiccion  que los espanoles nunca pierdan …estemos donde estemos e seguimos comiendo las uvas…(…) teniamos unos claveles y nos ibamos para casa, no sé aburridas , no se ha ido muy bien, el ambiente ha estado bien,  y de repente vi unos tunos, a mi me ha gustado siempre la tuna, los tunos, no los que siguen tocando, aunque son todavia volitos no, los tunos estudiantes, no…y entonces vimos a un grupo de tunos y le dije al taxista , porque ibamos en un taxi, le dije ehm.. pare pare pare total que ya pasamos  (…) que ibamos a regalar los claveles a los chicos que mas me gustaron y entonces nos paramos y se los regalamos a los tunos y entonces logicamente estos ya no nos dejaron ir! Y entonces la noche se volvio muy divertida, nos bajamos del taxi y nos fuimos a tomar chocolate con churros  con ellos y ellos nos cantaron muchissimas canciones …espera un segundito por favor…vale, ya… y entonces pues  esto de alli nos fuimos, por la manana nos fuimos a casa

llave en la puerta o cuelga el telefono

Ha sido una etapa de mi vida. No quiero decir que ha sido una mala etapa, sino una etapa en un buen momento… en el momento que me fui de Madrid, pensé que solamente me iba a ir por tres anos e iba a regresar…entonces no sabia que me iba a quedar aquí. Fue por motivos laborales de mi marido, no.

Si me llegas a decir entonces que no hubiera vuelto, no me hubiera ido – quizas sea algo significativo para describir que en este momento yo me sentia perfectamente alli.

Y tambien el pensamiento que yo tengo, yo, llevo cuatro anos y medio trabajando en el consulado, de por ejemplo que nunca jamas podia incorporarme a nivel laboral en Espana a mi edad, en el mismo nivel que tenia antes de irme. Sabes, y esto es muy duro…

Contestador de ella en la embajada en zürich – en aleman y luego en espanol…dejeme un mensaje por favor…tut..tut..tut

Quires volver a Espana, o concretamente a Madrid, no porque a Madrid ha ________ conseguir trabajo a un nivel, digamos de cualificacion acceptable … es mayor, eh, te digo que no

Si te ocurre cualquier otra pregunta o quires aber algo, tienes alguna duda, me llamas y yo lo consulto (…)

Eso es una muy buena idea, porque el trafico en Madrid te marca para el resto de la vido, sabes

Yo regrese en el ano noventa, o sea regresé no, porque yo aqui no he vivido nunca…. Yo vivi, yo he nacido en Madrid, en el ano 58, mis padres emigraron a Alemania en el ano 60, he vivido en Frankfurt hasta el ano 76 o sea, 14 no 16 anos de mi vida, y despues me fue a vivir a Valencia. En Valencia he estado viviendo hasta el ano 82 y en el ano 82 me fui a Madrid.

En realidad no, nada especial excepto las caravanas y los retrasos

El golpe de estado me pillo en Valencia y de alli tengo un recuerdo muy marcado, porque yo era bastante jovencita, en esta epoca y me impresiono muchisimo ..porque yo no sé muy bien que es lo que pasaba, pero estaba en casa  y ponias la televison y solo habian marchas militares. Y la verdad es que bueno, fue algo que nunca, no sé llegue a comprender  como podia pasar eso en un pais como ese..(…) entonces cuando un poco me di cuenta de la diferencia que habia entre espana y Alemania al nivel politico, no …o sea de la tradiccion democratica  en Espana era muy joven cuando nosotros llegamos alli justamente en el 76.

Pues yo no sé, bocadillos de calamares estos se consiguen aqui iguales.

(…)Espana me parecio un poco provincial (….)Viniendo de Alemania me costaba un poco apoblarme y Madrid

La verdad es que me atraia mucho como un reto.

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Objectos: Bolsa del corte ingles con zapatos de tacones altos, recien comprados

 Foto: Subiendo el taxi – con medias y tacones altos y la bolsa en el brazo, falda gris estilo uniforme

 Cantante: Miguel Bose, concierto en la plaza de toros de las ventas. Salimos todos cantando "bandido, bandido....". Inolvidable tambien alli el concierto de Ana Belen y Victor Manuel.....tiempos de la "Puerta de Alcala".

 Lugar de manifestacion: Palacio de deportes-

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.06 / ubicación propuesta)

2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.06 / ubicación propuesta)

 

OFICINA TURISMO COLÓN

    

          

          

   

(Junio 2009) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Emily / transcripción - audio - postal)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Emily / transcripción - audio - postal)

 

   

 

Name Play Size Duration
Pista 3
9.5 MB 10:22 min

 

El estudio se encontraba detras de sepu (?), en la calle desengagno, y yo veia la telefonica desde, desde el balcon, por que estaba en el sexto piso.

Everyone thought, i would just stay there for ever.

< musica jazz

Cuando yo estaba sola, ponia jazz.

En el departamento de escultura que era muy pequeno y los professores ya bastante avanzado de edad y viejo de ideas, y es que me dijeron, que la escultura no va para mujeres y que no, que no recomendaba, que estudiaba a eso, y que bueno, me desatendaron bastante e tambien me, eh, me animaron dejar la facultad de todo y dedecarme a la escultura por mi cuenta.

Siempre subia la gran via y ..(?)... alli, detras de la telefonica para ir al estudio. y como los edificios alrededor son muy altos (??), la calle siempre estaba en sombra. Entonces sali del sol de gran via entrar en, en esta calle mas estrecha mas oscura, de que subi los, los seis pisos, un ascensor viejisimo, cuando funcionaba, si no caminando, al estudio, que estaba bastante soleado. Es esto me quedo grabado. A parte  que era mi lugar quizas favorito de todo Madrid.

Son veinte anos, no. Entonces lo que queda son como fotos, fotografias grabado en, en, en la mente…

Se oye el ascensor bajando, La puerta del ascencor abre, sonidos de la calle, pasos, paran

....cibeles, como el agua salpitaba y brillaba en el sol,

pasos continuan, paran

....y correos y (?) cubriciendo la fachada con el humo de los carros

pasos continuan, paran

... el olor de, de, de,  del circulo de bellas artes, un edificio muy viejo.

Sonidos de la calle >

...lo duro que son las aceras, y las calles, lachen, caminaba mucho, y...(?).... de tanto caminar.

No tenia mucha ropa, (...) tenia un, como un chaleco, chaleco no se diria, como un abrigo, medio abrigo, liviano, negro, de algodon. Ehm que ponia muchisimo hasta el negro se volvio gris como chocolate por el sol. Y tenia una falda gris con  florecitas rosadas y amarillasy lo mismo, que ponia hasta que ya, ya, ya no pudia ponerla mas.

Se rie x gente que se rie en un café

Fue en invierno con un sol de estos blancos que hay en invierno y fuimos al palacio cristal, no se si todavia se llama asi, y tenia la exposicion de Cy Twombly y todo era blanco. Eso con el sol, el vidrio, el blanco de Cy Twombly, eso era, un sueno (?). Eh despues nos fuimos a, a tomar unos martinis en una plaza, que hay, un cafe al la (?) de retiro con los amigos y ese dia se  me quedo. Con sabor del martini y, ehm  luz del cristal. No. (lachen)

En el café, brindar de vasos, reirse

A otra persona:

Tantos recuerdos. pero sobre todo las tertulias con las personas, no. Y los lugares, donde uno se reunia. Y como el tiempo parecio, los dias eran tan largos, y siempra habia tiempo para todo. Ehm, no hacia falta algo para entretenerse, la conversacion, con la conversacion bastaba.

Tambien hablo ingles, si, que cuando quieras (lachen)

Ehm, i was really glad that you called, because, ehm, im still having trouble putting it away. Really. And, ehm and let him go. Because for me it was also,was also, when i was starting finding myself. And sometimes its hard to say, to let that go. You know you cant go back again. You cant go back to being 19 or 22. Or free like that. Ehm. (...) And i was very, very involved with the people  (...)  Putting it all away has been very difficult for me. And yea, i need to.

Silencio

El metro llega en la estacion, gente entra y el metro parte. Silencio en la estacion del metro.

Una vez que, que yo regresaba de noche, ehm, yo vivia en el rastro, pero entonces estaba trabajando para una senora como interprete, y su hotel quedaba por Recoletos (...) Entonces yo regressaba para entrar en el metro, y ehm, me atraco un joven, un joven como tipo gitano, eh, tenia navaja y, y queria llevarme la cartera. Y yo recuerdo bien, por que la primera que me  (?) era una agresion, fisica, directa. Y mi reaccion era pelear, no era correr, sino defenderme. Y el no esperaba eso. Y yo recuerdo que pensaba, yo soy maja de (?) muchahcho, no, y seguro que es vicino mio en el rastro y que ridiculo es, que, por encontrarme, en un barrio de ricos me vuelvo victima, pero cuando estoy en mi casa alli cerca de un de el vive, no me hace ni caso.

Todo eso me paso por la mente mientras el me tenia la nevaja lachen, y yo pele con el, y al final la cartera se rompio y las cosas se cayeron por el piso y el recogio la cartera  (viatera?) y se fue, pero no tenia nada en la cartera, si no que tenia todo en mis bosillos, no, no no perdi gran cosas (lachen) pero si, yo me rio por que yo me ..(?) las cosas, que me pasaron por la mente en, en este momento.

Viene el proximo metro, sube:

En el metro (conduciendo)

Y la conversacion con el taxista eh por, por el camino, y siempre claro como hablo espanol y era estrajera y siempre hablaban conmigo, eso si, todo el mundo te, te habalba, te contaba cosas y intentaba en, enrollarte, enrollarte (lachen) y todo eso. Estas conversaciones hasta el areopuerto mezclado con un poco de tristeza, no, de, de, de, de dejar atras mi, mi vida mi mundo, no,  por un tiempo. Y despues de vuelta, cuando regressaba a Madrid, cogi el taxi y, y, regresaba al centro. La alegria de volver y encontrar los lugares. Y hablaba con el taxista con mucha alegria, con mucho animo por que llegaba, no, que regresabame. Al lugar donde yo me encontraba muy bien.

Musica jazz

Y ahora si uno regressa veinte anos mas tarde, ehm,  no va a entcontrar o no va buscar... Quiza el mismo lugar no va sentir al lugar de la misma manera, no? 

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Objetos: guia de galerias, tarjeta del café en el retiro

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (2009.03 / revisión proyecto / documentación teórica)

MARZO 2009

 

Para Madrid Abierto 2009-2010 pretendo realizar un ensayo fotográfico sobre dos nuevos vecindarios en las afueras de Madrid: Valdeluz, 60Km al noroeste de Madrid, cerca de la ciudad de Guadalajara y Seseoa situado 60Km al sur de Madrid.

El primer ejemplo es parte de un plan de desarrollo a largo plazo aplicado a la autopista A2, al norte de Madrid. La ciudad exclusiva, en su origen planteada para acoger a 30000 personas, incluyendo pistas de tennis y campos de golf, ha llegado a un abrupto parón en su construcción debido a la influencia de la crisis que ha afectado intensamente a España a finales del 2008. Actualmente la ciudad cuenta con 350 habitantes, una tienda de ultramarinos, grandes espacios comerciales vallados y una infraestructura dispuesta para seguir con subsiguientes edificaciones. La cercana estación de tren ofrece una conexión con Atocha gracias a trenes que tardan 20 minutos en llegar a su destino y salen 4 veces al día, siendo 15 la media de viajeros que utilizan esta comodidad tan cara.

Seseoa, en el sur de Madrid, representa la versión barata de Valdeluz. Construida por un antiguo trabajador de la aguas residuales, El Pocero, funciona a distintos niveles: como una utopía personal que ofrece a familias con pocos recursos la oportunidad de comprar un piso, o como un instrumento de especulación para otros. La mayor parte de la gente compró estos pisos para revenderlos y adquirir beneficios, lo cual explica por qué, únicamente 750 habitantes están empadronados en una ciudad originalmente construida para 13000 y teniendo en cuenta que 2500 personas han comprado uno o varios de estos pisos. Casi nadie vive un vecindario que surgió de la nada, en un área semi-desierta donde el agua tuvo que ser traída del exterior y donde no existe transporte público que conecte la localidad con Madrid.

Pretendo acercarme a la realidad de ambas localidades empezando por una amplia, distante, visión general, paisajes y paisajes urbanos para penetrar los espacios y captar detalles precisos en arquitectura, infraestructuras, instalaciones, escenas de la vida diaria y retratos. Aislamiento, vacío, una impresión de soledad, de suspensión del tiempo y una perturbadora sensación de incertidumbre, contribuirán a conformar una atmósfera que dominará toda la serie.

Estos diferentes aspectos serán yuxtapuestos con el propósito de crear una sólida narrativa. Trabajaré con el color con un formato medio y grande de cámara. De las 25 a 30 imágenes que constituirán la muestra todas serán editadas e impresas como suplemento de un periódico o revista de publicación diaria o semanal en el día de la inauguración y distribuido de modo gratuito en el centro de información de Madrid Abierto a lo largo de todo el tiempo que duren las exibiciones.

La publicación también incluirá una selección de textos : uno por Basurama sobre el contexto e interpretación del mundo inmobiliario y la crisis del desarrollo urbano, una entrevista a Kyong Park sobre el trato golbal que se da a esta problema y un análisis general de un autor que trate la significación del mundo inmobiliario como parte de un flujo monetario global y el fenómeno de la especulación.

Los textos serán impresos en su lenguaje original para ser traducidos posteriormente a Castellano e Inglés.

Idealmente, la pieza debería ser distribuida gratuitamente como suplemento de la publicación dominical de un periódico importante como podría ser El País. Esta posibilidad dependería de la voluntad de un periódico de apoyar el proyecto y financiar parte o la totalidad de los costes de impresión de la publicación. La actualidad del tema tratado podría tener interés para un periódico.

Aun así, la publicación podrá ser adquirida (por compra) a lo largo del transcurso de las intervenciones en el centro de información de Madrid Abierto. Una tirada también podría materializarse el día de la inauguración. Esta publicación compuesta por la selección de imágenes y una serie de textos escogidos podría ser distribuida de dos maneras: como suplemento gratuito distribuido junto con la publicación dominical (o de fin de semana) de El País(i.e.), como una caja de artista-publicación a la venta a lo largo de Madrid Abierto en el centro de información y en una serie de librerías escogidas contando con la colaboración de una distribuidora.

Una edición de coleccionista firmada podría también estar a la venta para ayudar a financiar el proyecto.

Adicionalmente, posters impresos con tinta serán colocados en una selección (10-15) de Mupis en El Paseo del Prado, cerca de Atocha.

Detalles técnicos de la publicación:

Formato: todavía por definir.Color de imprenta, papel semi-mate.Número de páginas: 64 (provisionalmente)Edición: ?Cubierta/caja para edición de artista.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (2004.10 / trabajo de campo)

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CONVOCATORIA

¿HA DEJADO MADRID HACE MÁS DE DIEZ AÑOS?  

SUS RECUERDOS DE LA CIUDAD FORMARAN PARTE DE UNA NUEVA INTERVENCIÓN ARTÍSTICA QUE SE REALIZARÁ EN MADRID EN FEBRERO 2005

Para mas información consulte: http://www.taximadrid.com

O simplemente mande un e-mail a: Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.

¡ESPERAMOS SU RESPUESTA CON GRAN INTERÉS!

 

Anne Lorenz    &   Rebekka Reich               Artistas (Allemagne)

 

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CUESTIONARIOS

Hola XXX (nombre de la persona o apodo),

Me alegra poder decirte que te hemos seleccionado para colaborar en nuestro proyecto titulado TAXI MADRID. Necesito que realices una breve entrevista, la cual, te enviamos a continuación. Tú opinión nos será de gran interés y ayuda, así que esperamos poder contar con ella.

Por favor, medita un poco las preguntas antes de contestarlas:

1. ¿Cuál es tú recuerdo más positivo de Madrid?

2. ¿Y el más negativo?

3. ¿Te ocurrió alguna historia o anécdota en Madrid que sigas contando o recordando de vez en cuando?

4. ¿Cuál era tú sitio favorito en Madrid? ¿Por qué?

5. ¿Hay algún sitio en Madrid que te dio buena suerte? ¿Y mala suerte?

6. En tú opinión, ¿Cuál era la zona o el sitio más espantoso de la ciudad?

No hace falta que nos respondas por escrito. Basta con que nos cuentes tus recuerdos cuando te llamemos por teléfono. A continuación te paso algunas fechas posibles para llamarte:

1

2

3

Un abrazo fuerte desde Zurich y muchas gracias por tú colaboración,

Anne & Rebekka

PD.: Quiero confirmarte que cuando te llamemos grabaremos la entrevista. Espero que nos des tu consentimiento por que a lo mejor, utilizamos algunas de las frases dichas con tú propia voz para la instalación de TAXI MADRID, pero casi seguro que la mayoría serán interpretadas por los actores que contrataremos.

 

 (Octubre 2004)

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Bárbara / transcripción - audio - postal)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (Bárbara / transcripción - audio - postal)

 

   

Name Play Size Duration
Pista 1
7.2 MB 7:52 min

Busca el canal en la Radio, The Cure „Killing an Arab“, Liedansage - fade out

Un poco antes de los dieciocho iba siempre vistada de negro. Y, asi muy, un poco estilo punki. Entonces tengo una epoca - como la pintura - una epoca asi negra.

No recuerdo nada. Recuerdo que hay muchos atascos de coches. Recuerdo mucho coches.

Es curioso. Me atraigo / atrae a volver a verlo, por que yo tengo un recuerdo asi de eso tenebroso, siniestro. De que como estaban puestas en un sitio oscuro sin ventanas …..una sala toda llena de las pinturas negras, y asi, como, yo las recuerdo como oscura, pero seguro que no.

Voz de un guia en el Prado (hombre), hablando de las pinturas negras. En el fondo se oyen pajaritos y trafico, asi como si las ventanas fueran abiertas.

Pienso verde in arboles, y, espacio.

Habia un sitio en Madrid, que antes de que terminaban la Almudena, la Catedral, eh, es  que estaba medio construida, estuvo mucho tiempo con amedio, amedia hacer, Fue una especie de ruinas, y al lado habia un, buen una placita, y se veia todo el, el, el lo que hay delante, que es la casa de campo y asi mucho verde e muy lejos, y no se, un sitio asi como con mucho, como con mucho encanto. El otro dia estuve y ya no tenia ninguno encanto.(se rie). Por que la catedral esta terminada y han puesto unas rayas y lo han tapado (?) todo, pero es un sitio  de que tengo un recuerdo especialmente, no se, bonito

Pajaros – crossfade – muchedumbre – llamando parolas de manifestaciones (de los anos 80)

Vivia por  (?), Ciudad Lineal. mi padre era diplomatico.

Es curioso.

Eh ay, por dios!

Tengo recuerdos de las manifestaciones, pero no de sitios concretos.

Yo tengo recuerdo de que cuando la Guernica estaba en la casa de buen retiro....

Sé que la Guernica la han llevado, pero yo recuerdo de verla asi en un sitio, que habia por ahi, que solo tenia la Guernica, que tambien me impresiono mucho, porque estaba alli solo.

Aviso del aeropuerto para Barbara Sela

Sea, que estuve dos anos en, en, en Roma, y luego volvi, tres anos en Inglaterra y luego volvi, despues estube estudiando en Hollandia, desde, pues, desde los dieciocho a los veintiuno, veintidos.

Derapar, frenar, se abre la puerta del coche, se escucha The Cure de por dentro, voz del taxista: al aeropuerto? Dentro del taxi con The Cure

Me acuerdo a uno, que va rapidisimo, eso ha pasado a menudo, pero recuerdo uno especialmente, que passaba miedo, no, con las taxistas de lo rapido, que van. Una vez, que, que iba  uno como con una television puesta, y corriendo mucho (?). Me daba mucho miedo. Ven, venia corriendo y ya no se, ni como me vio y se paro. Y, y cuando subi, vi, que estaba mirando la tele. y ya digo aqui me mato. (Lachen)

Flauta dulce – musica baroca de la epoca de las pinturas negras

Bueno, me fui primero para estudiar  y despues, cuando me vine ya aqui, por que me salio trabajo como flautista aqui, en Sevilla.

Soy de Madrid. Toda mi familia es de Madrid. Todos estan alli, pero no tengo asi un sentimiento, que soy Madrilena.

Sevillanas (ojos de brujo – no 9)

 

Objetos:

billete de entrada para el prado con imagen de pintura negra

hojas de musica para flauta dulce de la epoca baroca, utilizadas

 

foto: auriculares – jersey negro – bufanda oscura estilo punky - hojas de musica para flauta dulce de la epoca baroca, utilizadas

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (documentación visual)

2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (documentación visual)

 

REFERENCIAS

Fotos de archivo. Frank Hernández. Imágenes de un Desfile Militar en La Habana. Década del 70.

      

 

          

Fotos de archivo. Frank Hernández. Imágenes de un Desfile Militar en La Habana. Década del 70.

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (texto publicado)

 “Lo que queda son como fotos, fotografías, grabadas en la mente. Imágenes, como el señor que estaba leyendo el periódico y le saltaba una mano...

Ahora si uno regresa veinte años más tarde, no va a encontrar o no va a buscar... quizá el mismo lugar, no va a sentir el lugar de la misma manera”Emily Zhukov, Panamá

TAXI MADRID es una intervención pública móvil dirigida a cuestiones de percepción y de memoria lógica. Equipados con mini-instalaciones, doce taxis seguirán el eje del Paseo de Recoletos – Paseo del Prado durante el desarrollo de Madrid Abierto, transportando a sus pasajeros a través de los recuerdos y la memoria que otra persona tiene de Madrid, un ex madrileño.

Entrevistando a antiguos habitantes de Madrid, que actualmente están dispersos por el mundo, las artistas Anne Lorenz y Rebekka Reich tratan de encontrar recuerdos personales e intrigantes acerca de la ciudad. Con este material trazarán un collage sonoro que formará parte de una instalación más compleja, consistente en objetos y otros memorandos situados dentro de los taxis.

Los usuarios del taxi son confinados en el espacio del coche, abducidos de sus quehaceres diarios por un breve periodo de tiempo. Las artistas intentarán sorprender y entretener al pasajero introduciéndole en la memoria de un extraño, provocándole un lapso en el tiempo. Debido a la distancia geográfica de los entrevistados se enfrentarán dos momentos: los recuerdos del ex madrileño se fusionarán a las situaciones corrientes del momento, y la unión de ambos momentos en la memoria del pasajero.

Para experimentar TAXI MADRID, fíjate en el logo que aconseja el uso de auriculares.

Puedes localizar uno de los taxis intervenidos llamando a Teletaxi: 91 371 21 31 – 902 50 11 30. Pregunta por los taxis de Madrid Abierto.

COLABORANMontaje sonido, Grabaciones _ Javier Gonzalez Cruz ‘Supergato´Fotografia, Diseño grafico _ Cynthia GonzalezActriz _ Mar Corzo SanchezEntrevistas _ Ana Paredes, Bárbara Sela, Dagmar Milán Stradtmann, Emily Zhukov, Marta Ruiz de la Prada, Yolanda LunaTaxistas _ Maria Cancho, Manuel Infante, Antonio Martinez, Juan Francisco Salas Noves, Jesús Luis Martin, Angel Luis Martinez, Jose Maria Hernandez Carmona, Oscar Sanchez Vazquez, Jesús Garcia Hernandez, Luis Saiz Garcia, Antonio Villaverde Cordero, Enrique Gomez-Hernandez, Francisco Jose Fernandez Sanchez, Rafael Mateo GonzalezAGRADECIMIENTOS DE LAS ARTISTASJulio Sanz, Karin Bucher, Barnaby Drabble, Johannes Finkelstein, Javier Lozano, Mariela Sofia Bontempi

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (2005.01 / trabajo de campo / familia)

 

INVESTIGACIONES: FAMILIA

La Ley General de Educación ordena los diferentes tramos de la educación: educación preescolar, educación general básica (EGB), bachillerato unificado y polivante (BUP) y curso de orientación universitaria (COU), formación profesional (FP), educación universitaria y educación permanente de adultos (EPA).

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Los Alcaldes son designados por el Ministerio de Gobernación. Un tercio de los concejales son designados por las Juntas de los Sindicatos, otro tercio por entidades económicas y sociales, y el último, el tercio de representación familiar,  por los cabezas de familia y por las mujeres casadas.

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El Freudomarxismo y la Antipsiquiatría son críticos con la institución familiar. Pretenden terminar con la familia, sustituyéndola por otras formas más comunitarias de reproducción y socialización primaria de los niños. Analizan la psicología de masas que permite explicar el auge del nazismo y el fascismo y denuncian en la familia los aspectos represores y autoritarios que comparten con la empresa, la escuela y otras instituciones. David Cooper en su libro La muerte de la familia ataca específicamente la familia burguesa (patriarcal y monogámica) y relaciona a la familia con la generación de la esquizofrenia.

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La Ley 25/1971, de 19 de junio, de protección a la familia numerosa, publicada en elBOE n.º 150 del 24/06/1971, dice completar y perfeccionar tanto la acción protectora que la Seguridad Social ha de prestar a las familias numerosas, como las garantías especiales que le son de aplicación al ámbito del empleo y las relaciones laborales, y mantener los beneficios, establecidos en materia fiscal. Se regulan, hasta tanto que la Ley General de Educación alcance su pleno desarrollo, las exenciones y bonificaciones de derechos y tasas de educación, en todos sus grados y niveles, y los derechos preferentes a la formación profesional; se instituyen, por otra parte, subsidios de educación especial en favor de las familias numerosas con hijos subnormales o minusválidos. De igual modo, se les reconoce derecho preferente para la adjudicación de viviendas de propiedad o protección oficial, mejoras en el régimen de financiación de las mismas y concesión de créditos para la adquisición de las no oficiales. Por último, se mantienen las reducciones en las tarifas y complementos de los transportes públicos.

La Ley considera familia numerosa la constituida por: El cabeza de familia, su cónyuge y tres o más hijos; el cabeza de familia, su cónyuge, si lo hubiere, y dos hijos, siempre que, al menos uno de éstos, sea minusválido o incapacitado para el trabajo; el cabeza de familia en situaciones de viudedad, de separación matrimonial legal o hecho, y, en cualquiera de estos supuestos, tres hijos; el cabeza de familia, su cónyuge si lo hay, cuando alguno de ellos tenga incapacidad absoluta para todo trabajo, concurriendo tres hijos; el cabeza de familia y su cónyuge, cuando ambos fueran minusválidos o tengan incapacidad absoluta para todo trabajo, concurriendo dos hijos; el cabeza de familia, su cónyuge, si lo hay, y dos hijos, siempre que estos sean minusválidos o incapacitados para el trabajo. Los hijos pueden ser legítimos, legitimados, naturales reconocidos, ilegítimos con derecho a alimentos, o adoptivos, unos y otros de ambos cónyuges o de cualquiera de ellos.

Son familias numerosas de Primera Categoría las que tengan de tres a seis hijos. De Segunda Categoría las que tengan de siete a nueve hijos y de Categoría de Honor las que tengan diez o más hijos.

La Ley considera cabeza de familia al padre; en su defecto, a la madre, y, en caso de separación legal o de hecho, al cónyuge bajo cuyo cuidado hayan quedado los hijos. A falta de dichas personas lo es quien tenga a su cargo a los menores o incapacitados, siempre que convivan con él y a sus expensas. Si no se dan estas circunstancias, la protección se limita exclusivamente a los hijos, uno de los cuales se equipara a cabeza de familia.

Los cabezas familia numerosa y sus cónyuges tienen prioridad para ser empleados en cualquier puesto de trabajo siempre que reúnan la aptitud, conocimientos y demás condiciones exigidas para desempeñarlos y se trate de puestos de libre contratación. Se exceptúan de esta prioridad los puestos de carácter directivo o que puedan considerarse como de confianza. En aquellos casos en que se produzcan despidos, ceses de personal, reducciones generales de jornada o traslados forzosos, gozan dentro de su especialidad y categoría, de protección para la conservación de sus situaciones laborales. En su beneficio se duplican los plazos señalados legalmente para desalojar la vivienda que ocupen por razón de su trabajo.

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La ley obliga a la mujer a obedecer al marido. Sin la licencia marital, la mujer no puede trabajar, ni cobrar su salario, ni ejercer el comercio, ni ocupar cargos, ni abrir cuentas corrientes en bancos, ni sacar su pasaporte, ni el carnet de conducir, ni aceptar o repudiar herencias, aunque fuesen de sus padres, ni pedir su participación, ni ser albacea, ni defenderse ante los tribunales (salvo en juicio criminal), ni defender sus bienes propios, ni vender o hipotecar estos bienes, ni disponer de las gananciales más que para hacer la compra diaria, aunque los gananciales procediesen de su sueldo o salario. La mujer está obligada a seguir al marido dondequiera que él fije la residencia, no tiene patria potestad sobre los hijos hasta que muera el padre y en caso de fallecimiento de él, ella sólo tiene derecho a recibir la mitad de lo que quede.

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Si a alguna mujer contrae matrimonio con algún extranjero, automáticamente pierde la nacionalidad y es considerada extranjera; entonces se le extiende carta de residente y pierden eficacia sus estudios, no puede ser funcionaria y necesita permiso para trabajar.

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La familia española tiene como valores absolutos la indisolubilidad del matrimonio, la procreación del mayor número de hijos, el papel predominante del padre como cabeza de familia y el papel subordinado de las mujeres a las labores de reproducción biológica y doméstica.

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El tiempo dedicado a la fecundidad matrimonial se reduce a 7.5 años.La diferencia media de edad entre marido y mujer es de 1.9 años.La edad media de la mujer al casarse es de 23.7 años.Al nacer la mujer tiene una esperanza de vida de 75.1 años.Al nacer el hombre tiene una esperanza de vida de 69.6 años.La duración del ciclo vital hasta la viudez es de 45.1 años.El porcentaje de la duración de la vida marital sobre la vida media del hombre es el 64.8 %.El porcentaje de la duración de la vida marital sobre la vida media de la mujer es el 60.0 %.El promedio de hijos es de 2.5 por pareja.El número medio de miembros de la familia es 3.84. Es más alto en Canarias (4.3), Navarra y País Vasco (4.1), Andalucía y Cantabria (4.0). Es más bajo en Baleares (3.5) seguido de Castilla-La Mancha, Comunidad Valenciana, La Rioja y Aragón (3.6).Desde la constitución del nido hasta el primer nacimiento pasan una media de 1.4 años.Entre nacimientos pasa una media de 3 años.Nido vacío: 11.7 años.El porcentaje de duración del intervalo fecundo sobre el ciclo vital hasta la viudez es el 16.6 %.El porcentaje de duración del nido vacío sobre el ciclo vital hasta la viudez es el 25.9 %.La duración media de la viudez en la mujer es de 9 años.La duración media de la viudez en el hombre es de 2.2 años.La duración total del ciclo vital familiar masculino con viudez es de 47.3 años.La duración total del ciclo vital familiar femenino con viudez es de 54.1 años.La probabilidad de morir primero el hombre (mujer:1) es 2.7.

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El número de enero de la revista Ama muestra en portada una foto de la audiencia que los Príncipes de España concedieron a Ana María Benito de Asencio, que resultó elegida Ama de Casa 1970.

La ganadora tuvo que superar pruebas de costura, cocina, decoración y cultura. En el articulo interior, Ana María Benito se declara contraria al divorcio y al cine erótico y de violencia. Ana María es graduada social y perito mercantil, pero no ejerce y, aunque es partidaria de que la mujer trabaje, dice bastarle con los trabajos de la casa. Para ella, una buena ama de casa debe tener afán de superación, dedicación a su marido y sus hijos, y atención constante a los problemas del hogar, sobre todo a la educación de sus hijos. A la cena de proclamación acudió el “Todo Madrid”.

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Barcelona tiene un déficit de viviendas que se eleva a 85.590 en su perímetro urbano y de 18.120 en el resto del área metropolitana.

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Una lectora de la revista Telva critica la forma en que la revista idealiza al ama de casa. Esto, dice, hace sentir culpables a las mujeres que trabajan fuera del hogar. En la respuesta de Telva podemos leer: “...el ama de casa y madre de familia tiene que dedicar a los suyos lo mejor de su tiempo y de su personalidad... El mejor servicio a la sociedad que puede hacer es crear personas adaptadas socialmente, y en esta labor juega un importantísimo papel la familia.” También afirma que: “...por encima del bienestar técnico, industrial y material, existe el bienestar espiritual y psicológico que puede realizar estupendamente una esposa, una madre inteligente, culta, dedicada a los suyos con plena categoría.”

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El Doctor José L. Navarro, en un artículo titulado La Pildora... ¿Peligro??? recuerda el peligro de que las dosis mínimas de anticonceptivos orales provoquen microabortos. Y exclama: “¡Claro es que, en muchos países, la “escalada” anticonceptiva ha conducido ya a la legalización del aborto!”

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En una artículo publicado en Telva, Jean Guitton dice: “Apruebo a estos seres arraigados que sólo pueden vivir bien en un interior. La mujer en la casa... La mujer da a lo que reúne una especie de curvatura, amistosa y protectora, como el pájaro que curva las pajas para hacerse el nido.”

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Una lectora de Telva pregunta: “...¿No es verdad que este deber conyugal a rajatabla es algo caduco y que estas cosas se han de limitar a los días en que los dos esposos estemos de acuerdo?” Clara Fornet responde: “...Responsablemente, no tiene motivos para negarte; sólo alegas tu cansancio y pides comprensión y consideración por parte de tu marido. Pero él también puede pedirte consideración por parte tuya, referente a “algo” que en el hombre es mucho más imperioso que en la mujer.”

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Un numeroso grupo de procuradores en Cortes solicita la creación de un Banco de crédito a la vivienda.

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La Subcomisión  de estimación de la Demanda de la Comisión de la Vivienda estima que para el periodo de vigencia del III Plan de Desarrollo Económico y Social se necesitarán 1.500.000 viviendas.

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En la revista Hogar y Moda, Enrica Catani escribe el artículo titulado Los secretos del éxito de un matrimonio. En dicho artículo escribe: “...Un hombre no es una máquina de hacer dinero. Fuera de su casa, tienen que enfrentarse con problemas a veces muy serios y una mujer no puede pretender tener un marido eternamente sonriente. Ella tiene que saber comprender cuándo debe aplazar una conversación desagradable. Aplazarla solamente, si es importante... He dicho “importante”. Porque una mujer no puede pretender que se le escuche cuando aflige a su marido con chismes o con problemas sin importancia que debe resolver por sí sola. Pero es justo respetar el mal humor cuando se debe a preocupaciones serias...”

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En el artículo Consejos para llevarse armoniosamente, publicado en la revista Hogar y Moda, podemos leer: “Su pasatiempo favorito [de él] es la pintura, pero la mujer no sabe pintar. Este es uno de los casos en que la mujer debe aceptar incluso lo que no sabe hacer, y debe hacerlo con inteligencia y entusiasmo, porque, como se sabe, las artes figurativas revelan nobleza de sentimientos, educación espiritual de un ser sensible. De esta forma, aunque las dos personalidades sean muy distintas, es posible un acuerdo, debido a la comprensión que la mujer ha de demostrar y aplicar.”

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Según la revista Hogar y Moda, la mujer que trabaja fuera de casa dedica a ese trabajo 8 horas. A ellas hay que sumarles 5 horas de trabajo en casa y con los niños, 2 horas dedicadas a transportes, 2 horas dedicadas a comidas, y 1 hora dedicada a caminatas. Con lo cual, le quedan 6 horas de sueño al día. Sin embargo, la mujer que trabaja en casa, además de dedicar 8 horas a ese trabajo dedica otras 2 horas a ayudar a los niños en sus trabajos escolares, 3 horas en comidas, 2 horas en caminatas, 2 horas en costura, jardín y ayuda al esposo. Con lo cual, le quedan 7 horas para dedicarlas al sueño.

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Un matrimonio modelo madrileño, de  dos hijos, emplea el 45,5% de su presupuesto en alimentación. Calculando en un ingreso de 15.000 pesetas, se puede disponer de 6.830 pesetas al mes para alimentación; correspondiendo al día la cantidad de 227,60 pesetas. El promedio por persona es de 56,90 pesetas. Con este presupuesto, y según precios del mercado Vallehermoso de Madrid del 16 de diciembre de 1970, se podría confeccionar el siguiente menú diario: desayuno de café con leche, pan y mantequilla, almuerzo de sopa de gallina, timbal de gallina, y postre de manzanas, merienda de café con leche, y cena de repollo con patatas, merluza (congelada) al gratén, y postre de mandarinas. El citado gasto diario familiar incluye medio litro de vino.

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El 14 de enero, la esposa del cantante Andrés Do Barro da a luz a un varón de 3 kilos y medio.

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Bautizo de Carmen María Guadalupe Dolores, hija de Rocío Dúrcal y de Junior. Lola Flores fue la madrina.

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Bautizo de Patricia, hija de la bailarina María Rosa y Oscar Cruz.

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Los reportajes de decoración de la revista Sábado Gráfico están dedicados a las casas de los señores de Angulo, Ussia, Holmsen, Coca y Emilio Alduchi “Pirro”.

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El magistrado de trabajo número 8 de Barcelona dicta sentencia a favor de la asistente social Doña Reyes Martorell en su contencioso con Cáritas de Barcelona que la había despedido por casarse en matrimonio civil.

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Ana García Fernández y su marido, Manuel Rambla Encina, siempre se llevaron mal. Tras 15 años de matrimonio, Manuel murió el día 5 de enero a causa de las quemaduras que le produjo su esposa el 23 de diciembre al arrojarle mientras dormía una olla de agua hirviendo en la que, al parecer, había añadido un producto corrosivo.

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El Caso en su artículo sobre “el Lute” publicado el 23 de enero dice: “...estas hablillas aseguran que “el Lute”estaba locamente enamorado de ella y altamente preocupado por la incierta suerte de sus hijos. Y dicen que pasaba muchas horas en blanco en las tristes noches del Puerto, añorando su paz familiar, sus hijos, su “Chelo”...No; no se extrañe el lector. El amor es así... “el Lute” decidió jugarse el todo por el todo por su mujer. Y por sus hijos...”

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En el Caso, en un artículo titulado “La desnaturalizada madre de Barcelona ha ingresado en prisión”, leemos: “ Tuvo este hijo siendo soltera y después casó con un buen hombre, con quien tuvo otro hijo. Pero el marido la dejó, al ver que no podía hacerla caminar por derecho en lo tocante a la fidelidad, yéndose con su hijo. Ella siguió en lo suyo, frecuentando bares de mala nota y teniendo amigos más o menos duraderos, entre ellos un gitano al cual hizo una mala faena, por lo que el gitano a poco la pasaporta al otro mundo. En estas andanzas, su marido falleció en un accidente de coche, sin que el hijo de ambos le fuera devuelto a su madre, por suerte para el niño. Ella tuvo otra hija, de padre desconocido, que le cría una mujer mediante retribución...”

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El sábado 30 de enero Nicanor Rodríguez, un hombre educado, culto y religioso mató a su esposa, a los cuatro hijos y a la sirvienta tras lo cual salió a la calle desnudo y gritando frases como “Quieren anular la personalidad” y “Yo soy la justicia”. Sus colegas y amigos se habían percatado de que estaba obsesionado con el sistema Rogers de educación al que era contrario por completo y piensan que “... seguramente decidió matar a sus hijos porque creía que de ser educados en tal sistema se convertirían en autómatas” o que “... al anunciar la criada que marchaba el domingo, Don Nicanor se disgustara. La chica era muy joven y atractiva, y no es el primer señor que se siente atraído por la muchacha que sirve en su casa...”

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En Casteldefels (Barcelona), Laurencio Bicasanet mató a su padrastro de una puñalada en el corazón. La familia que acaba de ser herida por tan gran desgracia estaba compuesta por Ángel Domínguez Ríos, de 35 años de edad, de oficio marroquinero, su mujer Planes Armengol, de 49 años y nueve hijos, los seis mayores de un matrimonio anterior. Con el matrimonio habitaban siete hijos en edades comprendidas entre los 18 y los 5 años.

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Comentando un crimen ocurrido en El Goloso (Madrid), Alfonso de Aricha, en El Caso, del 6 de Marzo, escribe: “... es inquietante este “contagio” de parricidios con tres casos en pocos días, y un balance de cinco personas muertas, más otra, éste Tomás Ceferino Padín, quién tuvo la tranquilidad suficiente para, con los brazos en jarras, decir con absoluta naturalidad: “No pasa nada... Acabo de matar a mí mujer.”

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En Villahoyosa (Alicante), más de un centenar de personas pertenecientes a las familias gitanas de los “granadinos” y los “copitos” se enzarzan en un descomunal pelea con el resultado de un muerto, un herido grave, diez detenidos y varias casas abandonadas.

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Aparece en el BOE de 3 de febrero la ordenanza laboral para los empleados de fincas urbanas (porteros): la medida afecta a 100.000 familias.

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El 4 de febrero, por los señores de Otero, y para su hijo Felipe, fue pedida a los marqueses de Torrealta (señores de Paramés Fernández de Córdoba), la mano de su bella hija Pepita.

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Siete hermanos, todos maestros nacionales, naturales de Ysua (Lanzarote) ofrecen un almuerzo de homenaje a su padre, Don Juan Valenciano Curbelo, también maestro nacional. En el acto habló uno de los hijos, el Alcalde del pueblo de Haria, que exaltó los méritos del señor Valenciano, que nacido en el seno de una humilde familia, costeó la carrera de todos sus hijos.

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La Federación Nacional de Amas de Casa envía una solicitud al Ministro de Comercio insistiendo en que mientras el Código Alimentario no este vigente, se obligue a los comerciantes de conservas a poner en el envasado la fecha de caducidad y el precio para que no haya lugar a adulteraciones. También insisten en la mejora de los canales de distribución para luchar contra la retención de productos y la especulación. Otro de los quebraderos de cabeza del ama de casa es la subida desproporcionada de los precios de los productos de primera necesidad mientras los sueldos permanecen estables.

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Entre el 1 y el 5 de junio se celebra la Conferencia Nacional de la Familia, dedicada al estudio de sus problemas económicos.

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Según los resultados de una encuesta realizada por la Comisión Episcopal para la Doctrina de la Fé, los porqués del notable retroceso del índice de natalidad son los siguientes: “el hedonismo ambiental, la marginación de la moral, los medios anovulatorios, que se creen permitidos, y los anticonceptivos, que se piensan inmorales. Se palpa gran optimismo en las respuestas referentes a las relaciones prematrimoniales. Comparándolas con las de tiempos pasados, un 60% dicen que las de hoy son más serias frente a un 16% que opina lo contrario. Únicamente el 6% piensa que son como siempre.”

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Según el fiscal del Tribunal Eclesiástico de Málaga, “en los últimos cinco años, se han atendido 246 causas, de las cuales 214 han sido de separación, y 32 de nulidad a dispensa vincular. De las 246 causas, 10 se trataron gratis por ser pobres los litigantes. De los otros 236 casos, algo más de la mitad de los costes han sido los siguientes: 9 menos de 3.000 pesetas; 65 de 3.000 a 5.000 pesetas; 24 de 5.000 a 7.000 pesetas; 16 de 7.000 a 10.000 pesetas; 5 de 15.000 a 20.000; 3 de 20.000 a 30.000 pesetas; y un sólo caso ha costado 40.000 pesetas. En cuanto a la demora, de las 70 sentencias dictadas en los dos últimos años por aquel Tribunal, 18 tardaron menos de un año; 40 menos de dos; y solamente dos duraron más de dos años sin llegar a cuatro.”

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Setecientas viudas asisten a las II Jornadas Nacionales de Estudio de la Comunidad Cristiana de Viudas: “La sociedad no busca la promoción de la mujer viuda, que al ser cerca de 2.000.000 en España, consideramos una fuerza grande y la juzgamos con grandes posibilidades...”

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En las Jornadas de Estudios sobre la Emigración que se clausuran el 19 de febrero, Don Ángel Alfonso Martínez, periodista e interprete, señala que en Alemania donde él es emigrante desde hace once años “La reagrupación es una cuestión grave, gravísima. Ciento dieciocho matrimonios se han deshecho en los últimos seis meses. Además no le vemos solución porque el Instituto Español de Emigración no insiste en que la reagrupación se haga más rápida. El obrero español llega, al principio, con buenas intenciones; pero, tal vez sin querer ir más lejos, conoce a otra mujer, y lo que comienza como una broma, termina en separaciones matrimoniales. Las autoridades alemanas tienen fijado un plazo de un año para que pueda llevarse allí a la familia; pero hay que conseguir por todos los medios que este plazo sea reducido a tres meses.”

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El BOE de 20 de febrero publica una subida de las pensiones a partir del 1 de marzo: pensiones de vejez 300 pesetas y 150 pesetas mensuales de aumento según los casos; 180 pesetas mensuales de aumento por viudedad; 175 pesetas por orfandad; de 180 en favor de familiares si existe un sólo beneficiario, y en 75 pesetas si existe más de uno.

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El 25 de febrero se inaugura la nueva maternidad y hospital infantil en Oviedo. La inversión ascendió a 179.420.715,66 pesetas, por lo que el coste por cama resultó de 410.600 pesetas.

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Se conceden en Madrid para el presente curso 29.677 becas por un importe total de 207.514.000 pesetas; 24.264.000 pesetas para iniciación de estudios correspondientes a 4.231 becas;  183.250.000 pesetas se dedicaron para 25.446 becas de continuación de estudios.

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 (Enero 2005)

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RÍO, LAS COSAS QUE PASAN (texto publicado: periódico)

 

Notas de trabajo

Hangueando(*) o lo que es lo mismo, ir por ahí al garete

Desde hace unos años parte de mi trabajo se basa en la elaboración de publicaciones que con diversos niveles de participación pública en el momento de su realización apuestan por la circulación de aquellas historias, imágenes, ideas, etc.  que por su importancia y a la vez por su poca visibilidad creo merecen la pena ser conocidas y difundidas.

Reivindico así la capacidad de la gente para contar su propia experiencia y opongo estas narraciones a la manera muchas veces perversa que tienen los media de construir acontecimientos y marcar agendas, en definitiva de fabricar la realidad.

Parte importante de estas propuestas editoriales se apoya en el trabajo de reelaboración de imágenes, en su mayor parte encontradas, para redundar en la voluntad de contestar desde otros ángulos y con otras miradas aquello que se conviene ‘está ocurriendo’.

De esta manera narraciones, noticias, ecos, nuevas, imágenes, dibujos, y collages, editados en periódicos callejeros, posters, plantillas, murales y demás soportes plantean nuevas maneras de entender el mundo poniendo en duda las nociones de objetividad, imparcialidad y los roles de elaboración y recepción de la información.

¿Porqué “El Río”?

Además de una alusión cariñosa a la conocida sentencia de Heráclito hay una intención dialéctica en el recurso a la imagen de un río para hablar de aquello que se nos presenta como inevitable. La realidad, lo que acontece, el suceso, y tanto esto como su recreación y/o construcción es decir lo que entendemos como noticia, suelen presentarse como flujos inexorables.

Es por eso que este proyecto quiere ser una invitación a enfrentar de otra manera los acontecimientos y el proceso de reconstrucción que se da cuando se los lee. Uno puede dejarse llevar por la corriente pero si quiere y se inventa maneras puede llegar a alguna parte haciendo otras cosas con ella.

Grupo Mediático de Estar Por Casa

Una serie de circunstancias ajenas a mis primeras intenciones en el proceso de producción de este proyecto, hicieron que de un momento a otro mi idea inicial de hacer un periódico cartel para el mobiliario urbano se viese complementada con la posibilidad de unas emisiones en video para el Canal Metro de Madrid. De inmediato añadí a estos dos soportes de trabajo una página web. Tenía entre las manos, así casi sin pretenderlo, un pequeño conglomerado mediático, y con él, la posibilidad artesanal de fabricar un tipo diferente de noticias; y además una inesperada presencia en tres ámbitos del espacio público madrileño que no otra cosa son esos formatos –o deberían serlo-.

“El Río” juega de entrada a desconcertar con un nombre atípico para un medio de comunicación. El Río, dejando atrás un etapa de trabajo basada en la recopilación azarosa de artefactos culturales, da un giro para abordar las noticias y la manera como éstas se derraman por el entramado social a la vez que lo moldean. El Río se pregunta: ¿Es posible hacer más públicos y abiertos los medios de comunicación?

“El Río”, constituido como corporación multimedia de estar por casa, afronta el asunto desde varios ángulos. Primero considera noticia aquello que a priori no se concibe como tal, segundo, le da la vuelta a las noticias que nos llegan por los medios convencionales y tercero lotorga un gran importancia al dibujo y a la manipulación de las imágenes.

Abandonada toda idea de objetividad y de relato consensuado El Río se va a dedicar a convertir textos e imágenes en herramientas poético-políticas. El Río se ubica en el delgado filo entre la fabricación de noticias y el análisis de los sucesos, un espacio equívoco que como sucede a veces bien puede acabar siendo su contrario, es decir el de fabricación de sucesos y el del análisis de las noticias.

Periódico callejero, Canal Metro e Internet

Así en cada soporte en el que se le ha propuesto trabajar “El Río” buscará ampliar los márgenes de las convenciones de uso de estos . Veamos los soportes:

Cómo cartel para MUPI “El Río, las cosas que pasan” presenta un gran collage con una cantidad de textos, testimonios, citas e imágenes que considero relevantes a propósito de acontecimientos y procesos que se están desarrollando en América Latina y que son poco o nada difundidos en Europa. Sucesos que si bien son locales y circunscritos a áreas concretas de América Latina tienen gracias a la globalización consecuencias en España. Un puzzle sesgado y parcial de música, política, poesía e imágenes que busca encajar en las calles de Madrid. El MUPI convertido en periódico callejero mural, es a la vez una invitación a suspender momentáneamente el va y viene ciudadano y a dedicarle un rato a la lectura pública.

Para las emisiones de canal Metro “El Río, las cosas que pasan” presenta sencillas animaciones a partir de dibujos e imágenes con la incorporación de breves líneas de texto y con un uso muy comedido del sonido. El contenido de las animaciones tendrá un registro similar al del póster en el sentido de optar por un resultado gráfico y también haciendo énfasis en su vertiente más absurda presentando como noticia aquello que se supone no lo es. O presentando noticias de una manera que se supone no es la apropiada.

“El Río, las cosas que pasan” plantea un tercer espacio de presencia como es el de la red. Una página web creada a tal efecto servirá de punto de difusión del proyecto a la vez que cómo contenedor y muestrario de los contenidos del póster y las animaciones en video. En un segundo momento se empezaría a trabajar en este medio con mayor intensidad.

El artista transeúnte

Aprovecho mi condición de artista viajero que basa su trabajo en la recopilación de historias y en la reelaboración de imágenes para ofrecer versiones y ‘noticias’ que creo relevantes sobre asuntos locales con implicaciones globales. A caballo entre América Latina y España trabajo en este nuevo territorio nacido de las relaciones y procesos entre ambos contextos. Como transeúnte, ciudadano y artista ofrezco estos relatos en espacios públicos de Madrid, con la intención de reafirmar el carácter público de ambos: espacios y relatos.

Futuro

Es probable que próximas apariciones de El Río sean fruto del trabajo colectivo.

Enlaces

www.lascosasquepasan.net

www.puiqui.com

www.hangueando.info

En Lima a enero de 2005.

(*) Hanguear. spanglish para el verbo inglés to Hang Around y que en Puerto Rico se utiliza cómo sinónimo de deambular sin destino fijo ni propósito determinado.

Además Hangueando–Periódico con Patas, en sus dos versiones, cartel o diario de cordel, es un proyecto en el que llevo trabajando desde hace más de dos años. En el cartel la edición queda en mis manos y en el de cordel ésta se basa en un trabajo callejero que convierte la realización de un periódico en un hecho colectivo y su lectura en un acto público.

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. MISPLACING (documentación teórica)

 DES-UBICACIÓN. VISITA OBLIGADA

Fui testigo de la hambruna de Etiopía de 1984. Tenía 14 años y estaba viendo la televisión en casa.

Qué es el recuerdo de una imagen que he visto en la televisión. Una imagen con la que no guardo una relación directa, inmaterial, escurridiza, sin lugar preciso, que flota en el aire. No puedo volver al lugar donde ocurrió la tragedia. La televisión de mi salón es el lugar en que presencié la escena, pero la televisión ya muestra otras imágenes y mi salón no refiere a la tragedia en modo alguno.

Los medios de comunicación me convierten en un observador excesivamente pasivo. No existe la posibilidad de tener una reacción directa a lo que he visto en la pantalla. Hasta qué punto se es libre al observar sin compromiso, en otras palabras, ¿puede un testigo convertirse en culpable cuando observa y permanece pasivo?

Las reconstrucciones-propuestas, son un intento de superar la postura pasiva del observador. Con plastilina, una arcilla industrial inventada para realizar prototipos de productos industriales como pueden ser coches, estoy modelando imágenes que tuvieron gran impacto en mi adolescencia, momento en el tomé conciencia de mi mortalidad.

El proceso de reconstrucción de procesos hace posible obtener una relación física y directa con un cuerpo u objeto de la imagen televisiva.

DES-UBICACIÓN

En el espacio público se coloca un monumento. El monumento es una reconstrucción de, por ejemplo, la foto de un monje vietnamita que se prende fuego a sí mismo o una foto tomada en Abu Ghraib en la cual un prisionero está de pie sobre una caja, con la cara tapada y conectado a cables eléctricos. 

PREPARACIÓN

Para encontrar el lugar perfecto para llevar a cabo la des-ubicación y asegurarse que el icono mediático no tenga relación alguna con Madrid es importante llevar a cabo una buena observación de la ciudad, su historia, la disposición del espacio público y otros monumentos. A partir de la información de estas observaciones quiero tomar la decisión de qué icono mediático debería reconstruir y donde debería ser colocado.

Visitaré Madrid durante 3 días y me gustaría pedir a la organización si sería posible ponerme en contacto con un historiador y un urbanista que sepan mucho de Madrid y estén interesados en caminar conmigo a través de los barrios madrileños en los que se ofrece la muestra.

Adjunté imágenes de mis últimas piezas porque nunca realizo esbozos o maquetas de mi trabajo, la pieza misma es un esbozo, reconstrucción o propuesta. Y es importante para mí mantener esa energía de descubrimiento constante. El proyecto es un nuevo paso en mi trabajo, pero desde el concepto de la reconstrucción, mis trabajos anteriores están hechos de ese principio, el nuevo trabajo está conectado a los anteriores.

Si el comité decide invitarme a Madrid Abierto presentaré una solicitud a la fundación Mondriaan en Holanda. Esta organización apoya a artistas holandeses que son invitados al extranjero. Debido a la falta de tiempo no podría realizar esta solicitud de modo previo.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (2004.01 / trabajo de campo / efemérides)

 

INVESTIGACIONES: EFEMÉRIDES

1 de enero de 1971 - Nacionalización de la Banca privada en Chile.                              -  Eleuterio Sánchez “el Lute” se escapa de la prisión del Puerto de Santa María.

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2 de enero de 1971 - Nace Cesáreo García Rodicio http://www.cesareox. Casado. Carnet de Conducir: B1 (Año 1989) e-mail: Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo. Teléfono: 687 911121.

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3 de enero de 1971 - Mueren 66 personas en Glasgow al ceder una barandilla del estadio del Celtic por la presión de los espectadores.                                - Aparatoso choque de trenes en la estación de Chamartín. Cincuenta y tres heridos, la mayoría leves.

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4 de enero de 1971 - Nace Irina Melitopol. Altura 161 cm. Peso: 69 Kg. Color del pelo: Oro. Color de los ojos: Azules. Soltera. Sueña con tener una familia fuerte, amistosa y feliz. Busca a su amor, que tenga entre 35 y 50 años, que sea alegre, inteligente, bueno, estable y vigoroso.

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5 de enero de 1971 - Nace Marilyn Manson en Canton, Ohio.

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6 de enero de 1971 - Jesús Fernández Santos gana el Premio Nadal con Libro de la Memoria de las Cosas.

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7 de enero de 1971 - Nace en Valladolid la Guardia Civil Eva María Martín Martínez.

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8 de enero de 1971 - Nace Óscar Vives Martínez, programador y  grafista de la empresa Positive Soft.                               - Geoffrey Jackson, embajador de Inglaterra es secuestrado en Montevideo.

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9 de enero de 1971 - La Cámara de Comercio Americana Junior presenta a Elvis como uno de los 10 jóvenes norteamericanos más extraordinarios.

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10 de enero de 1971 - Fallece la diseñadora francesa Gabrielle "Cocó"  Chanel.

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11 de enero de 1971 - Se inaugura en Egipto la presa de Assuan,

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12 de enero de 1971 - La DIA informa que las fuerzas guatemaltecas habían “eliminado silenciosamente” a cientos de “terroristas y bandidos” en el campo.

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13 de enero de 1971 - 70 guerrilleros brasileños suben a un avión en Río de Janeiro y parten rumbo al Chile de Allende.

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14 de enero de 1971 - Se estrena Vente a Alemania, Pepe que fue vista por 2.078.570 espectadores.

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15 de enero de 1971 - Ejecución pública de Ernest Ouandié, lider del UPC (Camerún).

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16 de enero de 1971 - Nace el tenista español Sergi Bruguera,.

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17 de enero de 1971 - La  visión de ETA VI Asamblea se impone, cuando un comando secuestra a un conocido industrial vasco cuya fábrica estaba en huelga.                               - Dos muertos y más de treinta heridos en el descarrilamiento del Iberia Exprés en las proximidades de Campo de San Pedro, Segovia.

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18 de enero de 1971- Nace Josep Guardiola, futbolista español.

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19 de enero de 1971 - Un grupo de disidentes del Partido Comunista de Venezuela funda el Movimiento al Socialismo (MAS).

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20 de enero de 1971 - El cantante español Julio Iglesias contrae matrimonio con la señorita filipina Isabel Preysler en Illescas (Toledo).

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21 de enero de 1971 -  Nace en Madrid el torero José Ignacio Uceda Leal.

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22 de enero de 1971 -  El dictador haitiano Francois Duvalier nombra sucesor a su hijo Jean Claude.

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23 de enero de 1971 - En Prospect Creek, Alaska se alcanzan 80 grados bajo cero, la temperatura más fría jamás registrada en Estados Unidos.

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24 de enero de 1971 - Fallece Bill W, fundador de Alcohólicos Anónimos.

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25 de enero de 1971 - Idi Amin, jefe de las Fuerzas Armadas de Uganda, asume el poder tras un sangriento golpe de Estado.

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26 de enero de 1971 - Nace en Madrid María del Mar Sánchez de la Sierra, de la familia Sánchez de Alarcón.

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27 de enero de 1971 - Se crea en Francia un ministerio de Protección de la Naturaleza y del Medio Ambiente.

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28 de enero de 1971 - A  propuesta de Vicente Aleixandre, Emilio García Gómez y Pedro Laín Entralgo, Buero Vallejo es elegido miembro de número de la Real Academia de la Lengua.

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29 de enero de 1971 - Nace en Albacete el torero Manuel Caballero.

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30 de enero de 1971 - Las Naciones Unidas promulgan la Convención internacional para la eliminación de todas las formas de discriminación racial.

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31 de enero de 1971 - EE.UU. lanza al espacio el Apolo XIV en un tercer experimento del alunizaje.

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1 de febrero de 1971 - Muere en Limoges, Francia, el pintor y escritor dadaista Raoul Hausmann.                                - Un muerto, 45 heridos y más de 50 detenidos en Los Angeles durante la marcha de protesta de los chicanos contra las brutalidades policiales.

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2 de febrero de 1971 - Se firma en la ciudad iraní de Ramsar, la Convención Mundial sobre Humedales.                                 - Se inaugura la Estación Sur de Autobuses de Madrid, entre las calles Palos de Moguer y Canarias.

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3 de febrero de 1971 - La OPEP fija unilateralmente los precios del petróleo.                                  - Tropas sudvietnamitas, apoyadas por helicópteros norteamericanos, invaden Laos.

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4 de febrero de 1971 - La compañía automovilística británica Rolls Royce Ltd. hace público ante los tribunales su expediente de quiebra.

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5 de febrero de 1971 - Los astronautas estadounidenses Alan Shepard y Edgar Mitchell se posan en la Luna con el módulo Antares.                                    - Se levanta el estado de excepción en Guipuzcoa, aunque persiste la suspensión del Artículo 18 del Fuero de los Españoles en todo el territorio nacional.

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6 de febrero de 1971 - Nace en El Barraco (Ávila) el ciclista José María “Chaba” Jiménez.                                 - Ocho muertos y más de 100 heridos al reventar una caldera de vapor de Ensidesa.

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7 de febrero de 1971 - Un referéndum celebrado en Suiza aprueba por mayoría de dos tercios, la concesión del derecho al voto a la mujer.

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8 de febrero de 1971 - Se funda el Nasdaq, el primer mercado de acciones tecnológicas del mundo: se empiezan a cotizar más de 2.500 acciones de productos electrónicos.

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9 de febrero de 1971 - Regresa a la Tierra el Apolo XIV.                                 - Un terremoto en Los Ángeles provoca 57 muertos.

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10 de febrero de 1971 - Nace en Francia Béatrice Valle, actriz X especializada en sexo anal.                                 - Gregori Fegin sale hacia Israel tras obtener el permiso oficial de las autoridades soviéticas. Es uno de los cinco permisos concedidos de los 80.000 solicitados por hebreos tras el proceso de Leningrado.

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11 de febrero de 1971 - El nuevo plan quinquenal soviético se orienta hacia la producción de bienes de consumo.

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12 de febrero de 1971 - Se da en Canarias un caso de  gota fría.

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13 de febrero de 1971 - El presidente chileno Salvador Allende decide aceptar la reforma constitucional que establece el dominio del Estado sobre todos los recursos mineros y combustibles del país.

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14 de febrero de 1971 - Se firma el acuerdo de Teherán entre las compañías petroleras occidentales y los países exportadores de petróleo del Golfo Pérsico.                                       - Se inaugura la línea número 60 de autobuses, Plaza de la Cebada – Orcasitas.

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15 de febrero de 1971 - Entra en vigor en Gran Bretaña el sistema decimal.

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16 de febrero de 1971 - Desaparece Alcibiades Bethancourth, víctima de la dictadura militar panameña.

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17 de febrero de 1971 - Jacques Lacan imparte la cuarta sesión del seminario D'un discours qui ne serait pas du semblant.

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18 de febrero de 1971 - El periodista y fotógrafo francés Pierre Golendorf es detenido en La Habana y sometido durante su encarcelamiento a toda clase de torturas psicológicas.

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19 de febrero de 1971 - Aparece en Inglaterra el single de Paul McCartney que contiene los temas Another Day y Oh Woman Oh Why.

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20 de febrero de 1971 - Idi Amin Dadá se proclama presidente de Uganda.                                - España vence a Italia por dos a uno en Cagliari. Goles de Pirri y Uriarte. La alineación titular española fue: Iribar, Sol, Gallego, Tonono, Costas, Pirri, Claramunt, Uriarte, Amancio, Gárate y Churruca.

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21 de febrero de 1971 - Se da en Viena el Convenio sobre Sustancias Psicotrópicas.

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22 de febrero de 1971 - Hafez al-Assad se convierte en Jefe del Estado en funciones de Siria.

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23 de febrero de 1971 - Un fenómeno espectacular es observado en numerosos puntos de la península cayendo, poco después, a unas 24 millas al Norte de San Sebastián. Se trató del cohete Tibere.

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24 de febrero de 1971 - Nace en Barcelona el piloto de Formula 1 Pedro Martínez de la Rosa.

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25 de febrero de 1971 - España se adhiere a la Convención de Ginebra para Alta Mar.

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26 de febrero de 1971 - Claudio Sánchez-Albornoz presenta su dimisión como Presidente del Gobierno de la República.

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27 de febrero de 1971 - Muere Fernandel, actor cómico francés.

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28 de febrero de 1971 - En la vigésima tercera jornada del campeonato de Liga el Real Madrid gana al Club Atlético de Madrid por un 1 a 0. Gol de Pirri en el minuto 9.

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1 de marzo de 1971 - Se estrena Ransom for a Dead Man, programa piloto del telefilm Colombo.

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2 de marzo de 1971 - Mujibur Rahman proclama en Dacca a Bangla Desh república independiente de Pakistán, lo que originó una guerra civil.

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3 de marzo de 1971 - Fallece en Copenhague el arquitecto y diseñador Arne Jacobsen.

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4 de marzo de 1971 - Se estrena en Italia Muerte en Venecia de Luchino Visconti.

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5 de marzo de 1971 - Led Zeppelin interpreta en Belfast por primera vez en directo el tema Stairway to Heaven.

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6 de marzo de 1971 - El piloto estadounidense de Formula 1 Mario Andretti gana el Gran Premio de Sudáfrica.

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7 de marzo de 1971 - Se inaugura el Museo Dalí de Cleveland (Beachwood).

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8 de marzo de 1971 - En Nueva York, Cassius Clay es derrotado a los puntos por Joe Frazier, campeón del mundo de boxeo de los pesos pesados.

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9 de marzo de 1971 - Se aprueba la Ordenanza General de Seguridad e Higiene en el Trabajo.

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10 de marzo de 1971 - El Atlético de Madrid gana por 1 a 0, gol de Adelardo, al Legia de Varsovia en partido de Ida de los Cuartos de Final de la Copa de Europa.

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11 de marzo de 1971 - Se crea la Universidad Politécnica de Madrid, a la par que las de Cataluña y Valencia.

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12 de marzo de 1971 - Fernando Baena cumple 9 años.

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13 de marzo de 1971 - Nace en Esplugues de Llobregat (Barcelona), Carme Chacón Piqueras, secretaria de Cultura.

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14 de enero de 1971 - En una conferencia dada en Granby, Canadá, el arzobispo Lefebvre habla sobre la Santa Misa.

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15 de marzo de 1971 - Tiene lugar en Argentina la insurrección popular conocida por el Viborazo.

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16 de marzo de 1971 - Judas Priest se presenta en Essington, Inglaterra, con sus nuevos integrantes Ian Hill y Kenneth Downing.

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17 de marzo de 1971 - Mueren tres trabajadores en la construcción del tramo de metro entre Avenida de América y Pueblo Nuevo.

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(Enero 2005) 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RÍO, LAS COSAS QUE PASAN (texto publicado)

 

Introducción

Desde hace unos años parte de mi trabajo viene desarrollándose alrededor de la elaboración de publicaciones que con diversos niveles de participación pública en el momento de su realización apuestan por la circulación de aquellas historias, imágenes, ideas, etc  que por su importancia y a la vez por su poca visibilidad creo merecen la pena ser conocidas y difundidas.

Reivindicando de esta manera la capacidad de la gente para contar la propia experiencia opongo estas narraciones a la impositiva capacidad de los media por construir acontecimientos y marcar agendas, en definitiva construir realidad.

Parte importante de estas propuestas editoriales se apoya en el trabajo de reelaboración de imágenes, en su mayor parte encontradas, para redundar en la voluntad de contestar desde otros ángulos y con otras miradas aquello que se conviene ‘está ocurriendo’.

Así, de esta manera narraciones, noticias, ecos, nuevas, imágenes, dibujos, y collages, editados en periódicos callejeros, posters, plantillas, murales y demás soportes plantean nuevas maneras de entender el mundo poniendo en duda las nociones de objetividad, imparcialidad y los roles de elaboración y recepción de la información.

¿Porqué “El Río”?

Además de una alusión cariñosa a la conocida sentencia de Heráclito hay una intención dialéctica en el recurso a la imagen de un río para hablar de aquello que se nos presenta como inevitable. La realidad, lo que acontece, el suceso, y tanto esto como su recreación y/o construcción es decir lo que entendemos como noticia, suelen presentarse como flujos inexorables.

Es por eso que este proyecto quiere ser una invitación a enfrentar de otra manera los acontecimientos y el proceso de reconstrucción que se da cuando se los lee. Uno puede dejarse llevar por la corriente pero si quiere y sabe puede llegar a alguna parte.

Descripción

“El Río, las cosas que pasan” es una proyecto que partiendo de las pautas marcadas por anteriores trabajos –ver Antecedentes al final de este documento- busca ir más allá y hace presencia como “grupo mediático”  artesanal y de baja intensidad en tres ámbitos del espacio público madrileño.

“El Río” juega de entrada a desconcertar con un nombre atípico para un medio de comunicación. Más allá de Hangueando –el proyecto del cual procede-, El Río quiere contestar el papel de estos medios en nuestras sociedades, apartándose de la recopilación de miscelánea para ir a plantearle interrogantes a las maneras como se construye la realidad a través de las noticias.

“El Río”, constituido como corporación multimedia de estar por casa, afrontará el asunto desde varios ángulos. En primer lugar considerando noticia aquello que a priori no se concibe como tal, en segundo lugar dándole la vuelta a las noticias que nos llegan por los medios tradicionales y en tercer lugar otorgándole un gran importancia al dibujo y a la manipulación de las imágenes. Abandonada toda idea de objetividad y de relato consensuado El Río se va a dedicar a convertir textos e imágenes en herramientas poético-políticas. El Río se ubica en el delgado filo entre la fabricación de noticias y el análisis de los sucesos, un espacio equívoco que bien puede ser a la vez su contrario, es decir el de fabricación de sucesos y el del análisis de las noticias. “El Río” va a fabricar mesas a las que siempre les va a faltar una pata pues no queriendo ser objetivo tampoco quiere contar ninguna “verdad”.

Así en cada soporte en el que se le ha propuesto trabajar “El Río” buscará ampliar los márgenes de las convenciones de uso de estos . Veámos los soportes:

Cómo poster para MUPI “El Río, las cosas que pasan” presenta un gran collage con una cantidad de textos, testimonios, citas e imágenes que considero relevantes a propósito de acontecimientos y procesos que se están desarrollando en América Latina y que son poco o nada difundidos en Europa. Sucesos que si bien son locales y circunscritos a áreas concretas de América Latina tienen por mor de la globalización consecuencias en España. El MUPI de esta manera se convierte en un periódico callejero mural, en una invitación a suspender momentáneamente el va y viene ciudadano y a dedicarle un rato a la lectura pública. El póster da cuenta a su vez de la presencia de El Río en el Canal Metro y en la red.

Para las emisiones de canal Metro “El Río, las cosas que pasan” presenta sencillas animaciones a partir de dibujos e imágenes con la incorporación de breves líneas de texto y con un uso muy comedido del sonido. El contenido de las animaciones tendrá un registro similar al del póster pero haciendo énfasis en su vertiente más absurda presentando como noticia aquello que se supone no lo es.

“El Río, las cosas que pasan” plantea un tercer espacio de presencia como es el de la red. Una página web creada a tal efecto servirá de punto de difusión del proyecto para Madrid Abierto a la vez que cómo contenedor y muestrario de los contenidos del póster y las animaciones en video. En un segundo momento se empezaría a trabar en este medio con mayor intensidad.

www.lascosasquepasan.net

Conclusión

Quiero aprovechar mi condición de artista viajero que basa su trabajo en la recopilación de historias y en la reelaboración de imágenes para ofrecer versiones y ‘noticias’ que creo relevantes sobre asuntos locales con implicaciones globales. Como transeúnte, ciudadano y artista ofrezco estos relatos, en espacios públicos de Madrid, para potenciar su carácter público y explicitar mi voluntad de acercarlos a los demás.

Links

www.puiqui.com

NOTAS

“El Río, las cosas que pasan” – A modo de slogans

El periódico de aquello que se supone no es noticia. Análisis de sucesos por medio de citas, testimonios, dibujos e imágenes.

El Río de las cosas que pasan para tratar de entender un mundo que va a cambiar para siempre.

Con el recuento arbitrario de algunas cosas que merecen ser conocidas del presente de América Latina, el Caribe y otros lugares…

“El Río” en esta ocasión es un proyecto unipersonal pero no se descarta trabajar en el futuro en clave colectiva.

¿A qué se debe el cambio de Hangueando por El Río?

Hay varios motivos. En primer lugar está lo que yo creo dificultad para explicar Hangueando –el propio significado de la palabra- a un público ciudadano que necesita un acercamiento con menos prolegómenos.  El Río se entiende –y desconcierta- de una y con la mención de que es un periódico callejero no hay que añadir más.

En segundo lugar está lo mencionado más arriba respecto a la voluntad, sobretodo en el caso de los pósters, de ser más periódico y menos miscelánea. De seguir intentando comprender el mundo y a la vez no renunciar a intervenir en él.

En tercer lugar está la posibilidad de constituirse en lo que he llamado conglomerado mediático “del tres al cuarto” y enfrentar mejor la capacidad impositiva de los media de construir acontecimientos y marcar agendas, en definitiva de construir realidad.

Antecedentes

Hangueando(*) –Periódico con Patas (ver imágenes que adjunté en correo electónico de octubre).

(*) Hanguear.Versión spanglish del verbo inglés to Hang Around y que en Puerto Rico se utiliza cómo sinónimo de deambular sin destino fijo ni propósito determinado.

Periódico póster que tanto se encola en las paredes de las calles y se muestra en exposiciones, como se vende en presentaciones públicas que acaban en fiesta, se intercambia o se regala.

HANGUEANDO se nutre de una gran variedad de iniciativas autónomas como son la elaboración independiente y despierta de imágenes, la capacidad de referirse a la propia experiencia, el sentido crítico para con el contexto y la versatilidad de ciertos objetos que bien por su utilidad o su poder simbólico ayudan a conocer el mundo. HANGUEANDO es un trabajo de edición basado en el reciclaje de imágenes y sentidos, en la difusión de historias y puntos de vista que no suelen tener cabida en otros medios y en celebrar la alegría de vivir.

Hasta la fecha se han editado los siguientes posters:

N0 0. Octubre de 2002, 59,4x84cm. 1500 ejemplares. Cuatricomía. Editado e impreso en Lima. Distribuido en Lima, San Juan de Puerto Rico, Bucaramanga, Bogotá, Barcelona, Madrid, Rotterdam, Berlín y Ljubljana.

N0 1. Abril de 2003, 59,4x84cm. 1500 ejemplares. Cuatricomía. Editado en Bogotá e impreso en Lima. Distribuido en Lima, San Juan de Puerto Rico, Mayagüez, Bucaramanga, Bogotá, Barcelona y Módena.

N0 2. Noviembre de 2003, 100x140cm. 1500 ejemplares. Impresión Digital. Editado entre Puerto Rico y República Dominicana. Impreso en Barcelona con el auspicio de 22a. Distribuido en Puerto Rico y Barcelona.

N0 3. Primavera-Verano de 2004, 70x100cm. Editado en Terrassa. Impreso en Madrid con el auspicio de El Perro, Distribuido en España. (Inédito a 5 de enero de 2005)

“Coca Crónica” (Rótterdam, 2002)

Ver imágenes en link http://www.jstk.org/airport/raimond/index.html#

“Veni, Sentate, Contame”(Lima, 2003) y “La Pura Oscura” (Bogotá, 2004) reelaboración en plantilla de imágenes periodísticas sobre el conflicto colombiano. -Ver imágenes adjuntas al  correo electrónico enviado en octubre y el link: www.puiqui.com

“Mural Candela" (Terrassa, 2004) Mural para la visibilidad callejera de un espacio de encuentro y discusión política.

-Ver imágenes adjuntas y link http://www.p-oberts.org/index1.html

 

Links

www.puiqui.com

http://www.jstk.org/airport/raimond/index.html# 

http://www.p-oberts.org/index1.html

 

 

 

 

 

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2008. Annamarie Ho + Inmi Lee. LA GUERRA ES NUESTRA (documentación técnica)

2008. Annamarie Ho + Inmi Lee. LA GUERRA ES NUESTRA (documentación técnica)

SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

La producción de nuestra pieza está formada por dos pasos: (1) la fabricación de la señal misma y (2) la instalación de la señal en el Círculo de Bellas Artes.

FABRICACIÓN DE LA SEÑAL

Nuestra señal estará hecha de moldes de letras para avisos, en que cada letra de la frase La guerra es nuestra estará construida en Plexiglás negro y encendidas por luces LED. Cada letra será de 0,6 metros de alto, 0,6 de ancho y 0,5 de profundidad. La letras serán entonces montadas sobre un conducto eléctrico – un canal largo de aluminio – que también será soporte de los transformadores y cableado de alto voltaje en una sola unidad. El conducto eléctrico estará pintado de un color idéntico al de la fachada del edificio. La señal entera, incluyendo el conducto, debería ser de aproximadamente 0,6 metros de alto, 12,8 de ancho y 1 metro de profundidad. Por favor, tomad La guerra es nuestra_04.jpg como referencia.

Nuestra investigación preliminar en los EE UU indica que una señal similar a la de nuestra propuesta costaría aproximadamente 4000 euros y necesita de unos tres a cinco días para construir, dependiendo del fabricante. Para reducir los gastos de envío, pretendemos que la señal sea manufacturada localmente en Madrid.

INSTALACIÓN DE LA SEÑAL

El conducto de la señal será adherido al muro frontal del Círculo de Bellas Artes. Nuestras investigaciones indican que este tipo de señal es bastante fácil de instalar. Primero, los fabricantes crean un patrón específico para la fachada. Por seguridad, planeamos contratar un electricista por media jornada para consultarle y asegurarnos de que usamos una fuente de energía adecuado. Después, contrataríamos un equipo para la instalación de la propia señal – primero deberán realizar agujeros para colgar el conducto además de para hacer que corra la electricidad a través de la pared y después montar la señal con el uso de tornillos y placas, los cuales serán proporcionados por el fabricante de la señal. La propia instalación requiere dos o tres hombres y un día para ser completada.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. S/T (texto publicado)

 

 Lo que me sorprende del trabajo de Oscar Lloveras es su relación con la sociedad, pero también su relación con la naturaleza. Trata de borrar la dualidad… una dualidad existente entre unos y otros, o entre unos y la totalidad de su propio medio.

Sus obras son faros tangibles de una abertura permanente hacia lo monumental, pero también hacia lo infinitamente pequeño de una huella, de una ramilla encontrada dentro de un cuaderno de memorias... memorias de un recorrido escrito con la mirada. La insistencia de transmitir todo lo que se produce en el campo de visión. Una curiosidad (una abertura) que va a desplazarse dentro de ese campo.

Podríamos imaginar un gesto, que realiza un recorrido alrededor de un espacio limitado por signos invisibles. Luego, el gesto se traduce en el taller.

El todo vale escribe el accidente, la sorpresa; el cuerpo se libera de su soporte, a veces mordiente. La punta metálica incide y traduce lo aprehendido mediante su escritura plástica. Relación osmótica entre la presencia del recuerdo y la realidad del gesto. Se trata de adaptar esta suma de recuerdos a la realidad.

Es el porqué de la actividad de Oscar Lloveras, que penetra en los sitios y propone una observación. El gesto se desarrolla de manera ínfima o monumental. El trabajo físico –importantísimo- participa de lo físico del ambiente y lo interroga de nuevo. El encuentro de una relación directa entre lo observado y el hacer: lo vivido del propio sitio. Podríamos decir que el sitio se adapta a una intrusa, que es la obra.

El terreno es un paso obligado para borrar la ausencia, o más claramente, para ocuparla. Lloveras desarrolla obras planas, eliminando los vacíos producidos en las estructuras espaciales, y escalona sus bandas mediante huellas, dando un recorrido vertical.

Oscar Lloveras es un aventurero del espacio. Y sus sucesivos viajes se producen por necesidad de aprehender un todo sin concluirlo. El acto de fabricación está ligado siempre al placer. El placer está siempre presente, aunque su gesto sea monacal. Rayas de luz atraviesan el silencio. El cuerpo en pie deja un lugar al cuerpo plegado en el taller.

La diversidad de las técnicas y los materiales son testigos de esta sensibilidad que se produce del grano de arena hasta el árbol, de la arcada de una iglesia hasta la piedra en el camino. El recorrido de la arcada une el suelo y el cielo.

Lloveras trata de relacionar sus experiencias plásticas con los demás. “La forma se acerca al ser y el ser a la forma”. Su trabajo no tiene nada de inocente, sino que se desarrolla como las páginas de un libro. Comunicar es crucial en su obra; el lenguaje es preponderante. En su movimiento permanente, se dirige a la infinidad de nosotros.

Duchène Gérard

 

 

 

 

 

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2008. Annamarie Ho + Inmi Lee. LA GUERRA ES NUESTRA (documentación teórica)

 Proponemos crear una gran señal que declara “La guerra es nuestra.”, deletreada en negro, alumbrada eléctricamente y adherida a la fachada del Círculo de Bellas Artes. La señal utilizará un formato que se ve a menudo en escaparates y también en publicidad – el observador puede que no preste atención en un primer momento, teniendo en cuenta que solemos ser indiferentes a nueva información y datos que nos son constantemente ofrecidos, pero un segundo vistazo puede procurar una reacción diferente. Además, la instalación de dicha señal sobre un edificio cultural bien conocido lleva a la yuxtaposición de lo político y lo bello.

Estamos especialmente preocupados con el hecho de recuperar lo político para el arte. Durante casi dos décadas, el arte se ha alejado de algunos de los tópicos controvertidos que anteriormente había investigado, tales como el feminismo de los años setenta y el activismo por el SIDA en los ochenta, en pos de una exploración estética; de todos modos en los últimos dos años la política ha vuelto al arte. Este retorno está estrechamente vinculado al clima político que experimentamos ahora, sobre todo la guerra de Irak, y la mayoría de este nuevo trabajo es una reacción contra la política de muchos países, especialmente Estados Unidos.

El arte político sí efectúa cambios y puede hacerlo de muchas maneras – puede procurar cambios en todo desde políticas de Gobierno hasta modificaciones en la perspectiva del observador. Por ejemplo, la campaña de Act Up para dar mayor presencia a la crisis del SIDA en1987, que culminó en carteles con triángulos rosas con la etiqueta SILENCIO=MUERTE, tuvo efectos masivos. Los seis hombres que colaboraron en la campaña eran diseñadores y artistas, y su talento contribuyó al éxito de la campaña. Trabajaron prestando atención a cada detalle desde la frase (la primera elección era “el silencio gay es ensordecedor”) hasta el color elegido.

Uno sería ingenuo si pensase que la estética no tiene relevancia – todo es percibido desde un punto de vista estético, además de desde otros puntos de vista. Al proponer una pieza artística política, tuvimos que encontrar qué frase usaríamos (queríamos algo que fuese lo más simple posible y tuviese el máximo efecto), en qué formato mostrar nuestra señal (consideramos opciones como la cartelera, un cartel luminoso, con letras de neón pero, al final, nos decidimos por un formato que sería el más efectivo dado el coste), que fuente utilizar (nuestra elección fue Times New Roman porque es muy reconocible y refiere a la fuente usada en muchos textos), qué color utilizar (nos decidimos por el negro por la seriedad y gravedad de nuestro mensaje) y donde colocar la señal (el Círculo de Bellas Artes es un edificio público en una calle muy transitada, con un público amplio y variado).

La referencia inicial en la declaración “La guerra es nuestra.” es, por supuesto, la guerra de Irak. Pero la declaración es abierta; la “guerra” puede hacer referencia a cualquier cosa que incite pasión y preocupación en el observador. En Madrid, puede hacer referencia a las actividades del grupo vasco Euskadi Ta Askatasuna o a la necesidad de viviendas a precios más accesibles. Nuestro objetivo consiste en mostrar que todos son participantes voluntarios en lo político. La indiferencia es una declaración, de igual modo que lo puede ser declarar la guerra o verse envuelto en conductas activistas.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (2004.11-12 / documentación teórica)

 REVISÓN TEXTOS I (Noviembre 2004)

Casualmente he encontrado una caja de cartón rotulada: 1 ENERO 1971 AL 17 MARZO. Esta caja contiene cerca de 100 negativos en blanco y negro de fotografías presumiblemente realizadas por un anónimo fotógrafo comercial. Entre las imágenes existen algunas de familias en la pose típica que en aquellos años se requería para el carnet oficial de familia numerosa. Así posábamos en los años finales de la dictadura. ¿Algún parecido con nosotros, hoy?

Debajo de las habituales pancartas publicitarias del Círculo de Bellas Artes se colocarán otras cinco, cada una de ellas con la imagen de una de estas familias desconocidas. Contextualizando las imágenes, cinco rótulos electrónicos mostrarán textos referentes a aquella época.

...................................................................................................................................................................................REVISIÓN TEXTOS II (Diciembre 2004)

ANÉCDOTA

Casualmente he encontrado una caja de cartón rotulada “1 ENERO 1971 AL 17 MARZO”, que contiene cerca de 100 negativos en blanco y negro presumiblemente realizados por algún fotógrafo comercial. Entre las imágenes existen algunas de familias en la pose típica se requería para el carnet oficial de familia numerosa.

DESCRIPCIÓN

Debajo de las habituales pancartas publicitarias situadas en la fachada del Círculo de Bellas Artes se instalan otras cinco pancartas, cada una de las cuales exhibe la imagen de una de estas familias desconocidas. Bajo cada una de estas fotografías un display luminoso muestra textos referentes al año 1971, especialmente del período comprendido entre el 1 de enero al 17 de marzo:1. Efemérides generales;2. La familia;3. Arte en España en 19714. El Círculo de Bellas Artes;5. Noticias diarias actualizadas.

IMAGEN CONMEMORATIVA Y DOCUMENTAL

La aparición de la fotografía dio el golpe de gracia a las pinturas de historia. El papel conmemorativo y documental de éstas fue sustituido entonces por el reportaje fotográfico más rápido y fidedigno. La Historia desaparece como tema de las obras de arte moderno - quizás El Guernica sea la última. El retrato es otro ámbito que la fotografía y los nuevos medios de registro ha arrebatado prácticamente a las “bellas artes” y si a veces sigue siendo considerado arte lo es dentro de estas modernas disciplinas.El tema de la familia ha estado presente a lo largo de toda la historia del arte occidental. Baste con mencionar los bustos de antepasados romanos, las Sagradas Familias, las familias reales pintadas por Velázquez o Goya, las familias burguesas retratadas por los holandeses, las aristocráticas de Reynolds o las modernas de Hockney. Aunque las imágenes de Familias encontradas, puedan encuadrarse fácilmente en este tema, los textos que aparecen en los cinco rótulos electrónicos que las acompañan, nos remiten a la sociedad del momento en que estas fotos fueron tomadas. El concepto de familia es así ampliado para abarcar a los españoles y al resto de la humanidad. Evidentemente, lo que ocurría en el mundo afectaba a los protagonistas de estas fotografías y a todos los que ya estábamos aquí.Pero en este caso no se trata sólo de documentar o conmemorar, o de hacer un análisis sociológico exhaustivo sobre la situación de la familia o del arte español en los últimos años del franquismo, ni de incidir nostálgicamente en unos años decisivos en nuestra propia historia personal. Lo que se pretende es colocar un punto de anclaje común en los recuerdos colectivos -la elección de éste ha sido accidental- para desde ahí estirar nuestra memoria hasta el presente. Nos daremos cuenta, si tenemos la paciencia de leer los diferentes textos, de que en treinta y cuatro años hemos cambiado mucho y no hemos cambiado nada. Vistas de lejos las líneas rojas de los rótulos se desplazan sin avanzar.

INTIMIDAD Y ARTE PÚBLICO

Si esta obra no es cínica ni impactante, si no se refiere a problemas políticos ni de ciudadanía, ni quiere cuestionar usos ni abusos, si resulta pesada, si va a contracorriente y reúne en su interior los conceptos más desprestigiados del arte actual: historicismo, sociologismo, retrato y literatura..., si por todo ello esta obra puede parecer intempestiva, más aún lo parecerá si pese a su situación en la vía pública pretende hablar de temas personales.

En pos de la objetividad el arte contemporáneo parece haber dejado también de lado, junto a lo subjetivo, todo recurso a la vida íntima. Parece improcedente, hoy, que una obra toque temas existenciales. Como si la vida interior de cada uno fuera asunto que para nada incumba a los demás, ni a la sociedad, ni al arte. Quizás sea eso lo que se nos induce a pensar, que estamos ya de vuelta de todo. Así, arrinconada la historia, proscrito lo personal, replegada la memoria, se crea un hueco que alguien se encargará de llenar vendiéndonos un móvil a través del cual gastar nuestro tiempo hablando horas y horas sobre lo que sucede mientras hablamos.

En contraste con el ajetreo y la prisa de la gran vía, en competencia con la seducción de la publicidad, en dirección contraria al arte del momento, se trata, finalmente, de una obra sobre el tiempo y sobre nosotros. Sobre el paso de. Sobre la sensación de sofoco, de que inútilmente nos agitamos y caducamos, breves vidas microscópicas que surgen y se esfuman sin que la apariencia de la textura final se altere. Poca cosa, levísimas vibraciones. Fijar una imagen en la corriente del tiempo no es sino formular el deseo de que algo tenga sentido.

Fernando Baena

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (texto publicado)

 El Museo Peatonal es una institución itinerante dedicada a presentar exposiciones temporales en entornos urbanos. La colección del museo proviene de donaciones de aquellos que visitan, trabajan, o viven en los alrededores de la ubicación que el museo tenga en un momento determinado.

El interés de la institución es el de preservar la presencia de los peatones en un lugar determinado a través de una colección que se forma a medida que los donantes aportan objetos personales. El museo como tal, se materializa durante el ensamblaje de los artículos adquiridos. El proceso de donación es gratuito y los objetos donados son recolectados, inventariados, empacados y luego puestos en exhibición. Las transacciones toman lugar en la calle donde se ubica el museo, aprovechando el continuo flujo de caminantes que se desplazan de un lugar a otro de la ciudad. El personal de esta institución esta compuesto por artistas, quienes se presentan al público (vestidos con trajes azul marino y camisas blancas) fungiendo además los roles de curadores, guardianes del museo, museógrafos e instaladores. De esta forma, se examina la jeraquía laboral propia de las organizaciones culturales. Para recalcar su imagen institucional, El Museo Peatonal se vale de un texto y audio didáctico con el cual informa a los posibles donantes sobre su filosofía y la forma en la que ofrece sus servicios.

MISIÓN DEL MUSEO

“El Museo Peatonal es una institución itinirante dedicada a presentar exposiciones temporales en diferentes zonas de la ciudad. La colección del museo proviene de donaciones de gente como usted, aquellos que visitan, trabajan, o viven en los alrededores de la ubicación que el museo tenga en un momento determinado. El Museo Peatonal es la expresión física que refleja a traves de las donaciones, el espíritu del barrio en que se encuentra. El museo está actualmente aceptando donaciones para este espacio. Es por ello, que le invitamos a sumarse a este esfuerzo conjunto, contribuyendo con un objeto de su propiedad. Si desea mantener anonimato como donante, por favor solicítelo en el momento de su contribución. Para cualquier información adicional, favor de contactar al personal de la institución. Todos los objetos donados pasarán a ser propiedad del Museo Peatonal.Gracias por su cooperación”.

TRAYECTORIA DEL MUSEO PEATONAL

El Museo Peatonal, creado en el 2002, abrió sus puertas en la calle 42 de Nueva York, en el corazón de Times Square. El mismo año, la institución se trasladó por tres meses a la zona del desaparecido World Trade Center, como parte de Looking In, una muestra organizada por el Lower Manhattan Cultural Council. A principio del 2004, auspiciado por Longwood Art Gallery y el Bronx Council of the Arts, se estableció por dos meses en el condado del Bronx. Durante agosto y septiembre del 2004, The Passerby Museum/El Museo Peatonal, se trasladó a la Ciudad de México para presentarse en diferentes puntos la Ciudad Universitaria del la UNAM (Universidad Nacional Autónoma de México), apoyado por la Dirección de Artes Visuales de la UNAM y el MUCA Roma.

 

 

 

 

 

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2005. Compañía de Caracas. ESPACIO MÓVIL (2005.02 / trabajo de campo)

 INVESTIGACIONES

RECORRIDO AUTOBUSES DE LUNES A VIERNES HASTA EL 27 DE FEBRERO

LÍNEA 14De Plaza de Castilla a Atocha10.1811.5313.40De Atocha a Plaza de Castilla10.3812.1314.00

LÍNEA 459.4410.0410.4211.0211.2011.4112.1512.3512.5413.1413.4514.08

(Febrero 2005)

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (registro visitas)

 

5.325 personas accedieron al andamio

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (documentación técnica)

 El proyecto dura una semana. 151 personas (hombres y mujeres) con diferentes antecedentes (todos viviendo en el centro de Madrid) son seleccionadas en un casting. Se les contrata para vestir una ropa específica durante siete días y reciben una pequeña compensación económica. La principal condición para que tomen parte en el proyecto es:

-    que se muevan por Madrid (en su rutina diaria)-    que encajen con el perfilEL PERFIL REQUERIDO ES

-    50 jóvenes/deportistas/tipos sanos - rojo “Paulo Virilio”- vestimenta deportiva/camiseta de manga larga

-    50 punkis/”estilo callejero”, “Michel Foucault”- chaqueta militar de camuflaje con un “Michel Foucault” en rosa- impreso

-    50 roqueros/con tatuaje/gótico- “Giorgio Agamben”- sudadera con capucha negra

-    un doble de Fred Phelps con una señal corporal: “el infierno se acerca/el mundo acaba hoy” frente/espalda) y un traje negro/sombrero

Es importante que todos los personajes lleven una vida cotidiana en la que se hagan bien visibles. Además, el doble de Fred Phelps se paseará por las calles de día durante una semana (seis horas diarias, en las horas puntas), en esquinas/sitios públicos. Esta actividad se aplica de forma distinta a los demás elementos, permaneciendo como punto final simbólico del discurso contemporáneo como un todo (fundamentalismo).

 

MUESTRA

Toda la actividad será documentada en video y fotografías. Se toman fotos de los participantes escogidos en su rutina diaria. La totalidad del proyecto será entonces publicado (impresiones fotográficas, la ropa y videos expuestos) en una página web del proyecto.

Con la idea de dar mayor visibilidad a esta efímera pieza de arte visual, el filósofo Andreas L. Hofbauer se ha ofrecido a apoyar este proyecto con una “conferencia de escapada”. Aquí tenemos un pequeño texto que escribió para acompañar mi solicitud:

Como acompañamiento a “El infierno se acerca/El mundo se acaba hoy” de Andreas Templin, ofreceré informes videográficos, una conferencia participativa, además de acompañar, caso a caso, algunos de los “maniquíes”. El objetivo de esta empresa no consiste únicamente en un documental parcial sobre los eventos que se van dando, pero más bien como un mapa casual de de los viajes de aquellas, mal equipadas y desinformadas, cabezas nucleares andantes/Sprengkörper, que tienen un objetico claro. Con la presentación de los logotipos estilo moda de algunos importantes (y también en boga) pensadores de nuestros días (Virilo, Agamben y Foucault), algunas cuestiones fundamentales de nuestra política actual: velocidad, campo de (concentración) poder. En oposición a declaraciones fundamentalistas de estilo “con los pies en la tierra”, esto muestra únicamente el débil impacto y lucha desesperada de algunas posturas teóricas frente al poderío de la ideología de consumo.

Si uno es capaz de aprender más de la sociedad al contemplar sus reacciones a través del espectro, tomando como ejemplo aquellos que (sin saberlo) la desafiarían reflejando su propia vanguardia, uno tendría que aceptar una visión no muy alegre. Formas de alienación provenientes del fetichismo de las mercancías de las relaciones del mercado moderno, por ejemplo, el capitalismo consumista mundial (en disimulo de valores, nombres de marcas, corrección política, religión, éxito, etc.) sólo puede mostrarse mientras se están dando. Esto no quiere decir de ningún modo kritische Aufklärung, pero ofrece resistencia al traicionar sentencias intelectuales de segunda mano y contragolpes ideológicos.

El arte acciona un aspecto de la Plasticidad (o mejor aún trabajabilidad), en vez de representar (o doblar) una flexibilidad tanto comercial como ideológico/política forzada, que ha constituido el sostén de todas las formas de tácticas contraculturales.

Aún: No deberíamos olvidar que las figuras plásticas forman (dadoras de forma y constructoras de forma) pero también destruyen toda forma (explosiva plástica).

Al preguntárseles cómo destruirán la cultura dominante los situacionistas dirán: de dos modos: gradualmente al principio y después de modo repentino “empecemos de nuevo – primeros pasos primera vez.

PLANIFICACIÓN

La duración del proyecto está ideada para una semana. Será necesario estar desde dos semanas antes para prepararlo todo.

Yo llegaré a Madrid 14 días antes del lanzamiento del proyecto para prepararlo adecuadamente.

Cronología para la realización del proyecto: Los proyectos necesitan cinco semanas para realizarse plenamente

- Semana uno: preparación de ropa, impresión- Semana dos: llegada a Madrid, preparación- Semana tres: casting- Semana cuatro: ejecución del proyecto- Semana cinco: postproducción, producción de página web

La ropa usada será ofrecida en la edición de cada 50 vía Internet y a través de la página del proyecto. De cada elemento vendido, 50% de las ganancias serán reembolsadas a Madrid Abierto.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (texto publicado)

 La idea de esta propuesta es que la intervención a la Casa de América no sea una obra primordialmente para ser observada, sino invertir esa relación y utilizar la obra para desde ella observar la ciudad de Madrid y contemplar los eventos de su cotidianeidad urbana.

La intención de este proyecto es la de reconocer y utilizar la fachada de la Casa de América como un sitio estratégico -de grandes cualidades- para observar uno de los puntos urbanos mas emblemáticos de la ciudad de Madrid, como es la Plaza de Cibeles, el paseo de Recoletos y Calle de Alcalá; desde una altura y puntos visuales que son normalmente poco accesibles.

Se propone la edificación temporal de una estructura de andamios (accesible y segura) para uso del público en general, que podrá desplazarse en los distintos niveles y volúmenes de la estructura.

El proyecto es una obra que activará la fachada de la Casa de América y el lugar mediante su función y su uso, modificando las relaciones pre-existentes de la ciudadanía con el sitio.

Ofrece y propone una manera diferente de volver a ver su ciudad y su arquitectura, una posibilidad de dialogar mas activamente con el paisaje urbano de Madrid.

Los andamios encubren y significan ciclos de actividad y cambio. Son espacios urbanos subutilizados, impermanentes, miradores nómadas que ofrecen por algún tiempo definido, vistas específicas de la ciudad que no se obtendrían de ninguna otra manera y pasan inadvertidas.

Una desapercibida característica general de las grandes ciudades en Europa es la cantidad de andamios que predominan en las calles, áreas completas de limbo que cubren una gran cantidad de edificios (muchas veces los mas emblemáticos o de mayor valor histórico).

A quienes pasan por los alrededores solo se les permite apreciar algo equivalente a la parte trasera de un espejo, convirtiéndolos así en lugares sin lugar. Un edificio rodeado de andamios es comúnmente un no-evento visual en el que el ojo cotidiano no percibe casi nada.

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (documentación teórica)

 

“Cuando las cosas se ponen raras, los raros se hacen pro”Dicho contemporáneo, fuente desconocida

INTRODUCCIÓN GENERAL

Como ha quedado reflejado en mi declaración de intenciones, el principal motor de mis producciones artísticas se caracteriza por un uso impulsivo de estilos y gestos de gran variedad. La última pieza de arte público que realicé (“escena de tormenta”, comisionado por el Ayuntamiento de Núremberg/Alemania, “Monumento a Donatella Versace” Chicago/Berlín 2005, “satélite estrellado” 2006, varios lugares), que trataba de las experiencias vividas a través de otros, además de relaciones de “Co-Branding” indeseadas, son intervenciones críticas y diversas de una práctica artística distinguida, que pretende ser “post-productiva”.

En este caso, las tesis filosóficas que, en mi opinión, tienen un mayor y directo impacto en los individuos de las sociedades occidentales:- velocidad y devastación/Paul Virilio- el campamento/de concentración/Agamben- poder/Foucalt- odio/fundamentalismo/representado por Fred Phelps, predicador de derechas

Estos son los elementos de esta efímera intervención pública.

Me gustaría convertir estos filósofos en "etiquetas" pidiendo  a habitantes de los distritos seleccionados de Madrid que lleven en su vida diaria durante una semana prendas de moda urbana con la etiqueta-grabados impresas. Mientras se limitan simplemente a seguir con su rutina diaria, la propia creación artística penetra en el espacio urbano, y los conceptos filosóficos compiten cara a cara con los demás conceptos de las etiquetas y marcas en el dominio público.

Las preguntas que plantea esta obra son: Estos nombres, ¿son ya ‘etiquetas' (o la gente los aclama simplemente como grandes etiquetas) o transmiten un significado? ¿Puede una intervención tan efímera sobrevivir como creación artística a los ojos del público?

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (2006.11 / trabajo de campo)

2007. Dora García. REZOS / PRAYERS (2006.11 / trabajo de campo)

NOVIEMBRE 2006CONVOCATORIA

 

 (Noviembre 2006)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. TNEMTRAPA (trabajos relacionados)

2007. Mandla Reuter. TNEMTRAPA (trabajos relacionados)

 

INVITACIÓN, VARSOVIA, 2006

Durante medio año un apartamento de Varsovia será alquilado. Estará equipado con los muebles necesarios para llevar una vida aceptable: una cama, una mesa y algunas sillas. La apariencia del piso debería ser lo más neutra posible.

Este proyecto, anunciado como una exposición, consiste en distribuir llaves duplicadas al mayor número de gente posible en distintos lugares en los que estaremos disponibles mientras dure proyecto. Estos podrían ser, por ejemplo, Frankfurt, Berlín o Estambul.

El objetivo del proyecto consiste en reblandecer los límites entre un apartamento privado y un espacio público incrementando el número de gente con acceso al lugar. Un espacio podría ser definido, entonces, como una especie de espacio público una vez circulen cierto número de llaves.

Las llaves son distribuidas en mano junto a una carta de invitación que describe los puntos del proyecto. Un gran número de personas tendrá la posibilidad de visitar el apartamento y tomar parte activa en el proyecto. No hay ningún horario que dé una visión de cómo es frecuentado el apartamento; por tanto la constante posibilidad de encuentros casuales es muy alta.

Una parte esencial del proyecto es el acto de ofrecer las llaves a gente de varios países. Un potencial de posibilidades diversas es introducido a través de la dimensión especulativa implícita al proyecto. Los propietarios de las llaves se deben decidir sobre las posibles variedades. Otra parte del proyecto tiene que ver con la elección de la ciudad. La idea de tomar Varsovia como el punto de inicio de la exposición se comprende dentro de unas coordinadas geográficas de la ciudad, que exige tomar conciencia del lugar específico.

A pesar del tema del apartamento público/privado que subyace al proyecto, también deberá funcionar como una especie de plataforma social y una oferta para gente que viaja a otro lugar. A pesar de que intentaremos hacer lo posible para llevar a cabo el proyecto del apartamento, será necesario trabajar conjuntamente con alguna de las instituciones de Varsovia y gente en cuanto a temas de organización y mantenimiento del piso.

El proyecto de Varsovia se realizó con el apoyo de Buero Kopernikus, www.buerokopernikus.org and e-flux.

 

 

INVITACIÓN, 2005

Con la colaboración de Alexander Wolf.

El punto central del trabajo es la distribución de un juego de llaves a varias personas para acceder a un apartamento de una habitación en Varsovia. Como hay tantas llaves como tarjetas de invitación, más o menos 500, el apartamento pierde su carácter privado y se convierte en una especie de espacio público como podría ser un museo. El apartamento esta equipado de acuerdo con su tamaño (para una o dos personas).

Aunque el apartamento se encuentra en Varsovia, el proyecto en su conjunto no se basa en un lugar específico, dado que la distribución y entrega personal de llaves y tarjetas de invitación ya era parte esencial del mismo y los propietarios de las llaves podían ir a cualquier lado con ellas sabiendo que tienen acceso a un apartamento en Varsovia.

 

 

VÍDEO CASERO, 1999

En colaboración con Alexander Wolf.

Un apartamento privado fue alquilado durante un mes en Frankfurt. Durante este tiempo se mostraron 5 o 6 películas diarias de 17:00 a 2:00 de la madrugada. La lista contenía unas 150 películas que eran, de algún modo, típicos videos caseros. Las películas eran reproducidas por orden alfabético como aparecía en la tarjeta de invitación. La programación diaria era transmitida por un contestador telefónico y en un programa de radio local. La situación en el apartamento vacilaba entre ver vídeos de modo privado con amigos y sentarse en el sofá de un apartamento con absolutos desconocidos que se habrían hecho con una invitación.

   

à bout de souffle the abyss the addiction lʼage dʼòr akira alice`s restaurant alien hombre lobo americano as tears go by auch zwerge haben klein angefangen malas tierras teniente corrupto the bad sleep well barbwire barfly batman belle de jour bennys video die bettwurst the birds die bitteren tränen der petra v. kant blade runner blowup bodysnatchers bonny & clyde das boot la boum boyz ʻn the hood braindead brazil desayuno con diamantes bullet in the head buster keaton butch cassidy & the sundance kid el cabo del miedo carrie el color del dinero convoy crash darkstar days of heaven dead man el cazador dirty dancing der diskrete charme der bourgeoisie dobermann tarde de perros donnie brasco der dritte mann teléfono rojo volamos hacia Moscú das duell dune der ekel the exorzist face to face fallen angels fargo faster pussycat! kill! kill! femaletrouble the fog fitzcarraldo freaks the fugitive funny games ghost in the shell goldfinger the las uvas de la ira hana-bi heavy traffic hellraiser the heroic trio i hired a contract killer independence day jackie brown la escalera de Jacob kids kika the killer king kong king of n.y. die klapperschlange ein kurzer film über das töten lethal weapon liquid sky living in oblivion lohn der angst lolita mad max man bites dog der mann, der vom himmel fiel el mariachi mein name ist nobody der mieter the misfits moby dick motorpsycho asesinos natos 1984 nostalghia north by northwest the omen once upon a time in america once upon a time in the west outbreak die outsider der pate permanent vacation pink flamingos quadrophenia rambo reservoir dogs rio grande robocop rocky romper stomper rosemaries baby satyricon scarface the searchers secrets and lies short cuts sid & nancy the silence of the lambs der sinn des lebens slate, wyn and me snake eyes sommer der liebe der stadtneurotiker starship troopers starwars stille tage in clichy strange days tag der idioten tanz der teufel taxi driver terminator tykho moon titanic tokyo fist total recall die unbestechlichen united trash die unzertrennlichen violent cop wargames war of the worlds der weiße hai cuando éramos reyes white of the eye wild at heart wilde erdbeeren wild things wir kinder vom bahnhof zoo wut im bauch zabriskie point

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (texto publicado: web)

 Casualmente he encontrado una caja de cartón rotulada : 1 ENERO 1971 AL 17 MARZO. Esta caja contiene cerca de 100 negativos en blanco y negro de fotografías presumiblemente realizadas por un anónimo fotógrafo comercial. Entre las imágenes existen algunas de familias en la pose típica que en aquellos años se requería para el carnet oficial de familia numerosa. Así posábamos en los años finales de la dictadura. ¿Algún parecido con nosotros, hoy?

Debajo de las habituales pancartas publicitarias del Círculo de Bellas Artes se colocarán otras cinco, cada una de ellas con la imagen de una de estas familias desconocidas. Contextualizando las imágenes, cinco rótulos electrónicos mostrarán textos referentes a aquella época.

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. TNEMTRAPA (documentación técnica)

 NECESIDADES TÉCNICAS

- Apartamento privado en el centro de Madrid

- Presupuesto para amueblar el lugar

- Equipo de sonido

- Vídeo, reproductor de DVD

- Presupuesto para invitaciones impresas

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (2006.12 / trabajo de campo)

CONVOCATORIA / INVITACIÓN A PARTICIPAR

“Con la tortura musical nuestra cultura ya no es un medio  de expresión individual sino un arma… La música disco no ha muerto, se ha ido a la guerra ”Moustafa Bayoumi.Professor of English and postcolonial literature at Brooklyn College,City University of New York

 

En la profundidad de uno de los ventiladores del Metro de Madrid, localizado en  el corazón de la capital, instalaremos un poderoso equipo de sonido que lanzará las versiones del clásico tema cubano GUANTANAMERA. Esta pieza es una reflexión sobre el uso de la música como un instrumento de tortura que el Aparato  Psicológico de las Fuerzas Armadas Norteamericanas han  ejercido sobre sus detenidos en Afganistan, Iraq,  y Guantánamo.

Una invitación a participar…

Estamos invitando  a artistas que trabajan con sonido, músicos, DJs, raperos y artistas flamencos a colaborar en este proyecto, grabando sus propias versiones de Guantanamera, y  haciéndonos llegar versiones ya existentes.

Si deseas mandar una versión por favos contacta con

ALONSO GIL o FRANCIS GOMILA en:

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La instalación funcionará durante el periodo de un mes, coincidiendo con ARCO 07 (Febrero 2007)

 

(Diciembre 2006)

 

 

 

 

 

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2004. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (texto publicado: libro)

 

AnécdotaCasualmente he encontrado una caja de cartón rotulada “1 ENERO 1971 AL 17 MARZO”, que contiene cerca de 100 negativos en blanco y negro presumiblemente realizados por algún fotógrafo comercial.  Entre las imágenes existen algunas de familias en la pose típica se requería para el carnet oficial de familia numerosa.

DescripciónDebajo de las habituales pancartas publicitarias situadas en la fachada del Círculo de Bellas Artes se instalan otras cinco pancartas, cada una de las cuales exhibe la imagen de una de estas familias desconocidas.  Bajo cada una de estas fotografías un display luminoso muestra textos referentes al año 1971, especialmente del período comprendido entre el 1 de enero al 17 de marzo:1.    Efemérides generales.2.    La  familia;3.    Arte en España en 19714.    El Círculo de Bellas Artes;5.    Noticias diarias actualizadas.

Imagen conmemorativa y documentalLa aparición de la fotografía dio el golpe de gracia a las pinturas de historia. El papel conmemorativo y documental de éstas fue sustituido entonces por el reportaje fotográfico más rápido y fidedigno. La Historia desaparece como tema de las obras de arte moderno - quizás El Guernica sea la última. El retrato es otro ámbito que la fotografía y los nuevos medios de registro ha arrebatado prácticamente a las “bellas artes” y si a veces sigue siendo considerado arte lo es dentro de estas modernas disciplinas.

El tema de la familia ha estado presente a lo largo de toda la historia del arte occidental. Baste con mencionar los bustos de antepasados romanos, las Sagradas Familias, las familias reales pintadas por Velázquez o Goya, las familias burguesas retratadas por los holandeses, las aristocráticas de Reynolds o las modernas de Hockney. Aunque las imágenes de Familias encontradas, puedan encuadrarse fácilmente en este tema, los textos que aparecen en los cinco rótulos electrónicos que las acompañan, nos remiten a la sociedad del momento en que estas fotos fueron tomadas. El concepto de familia es así ampliado para abarcar a los españoles y al resto de la humanidad. Evidentemente, lo que ocurría en el mundo afectaba a los protagonistas de estas fotografías y a todos los que ya estábamos aquí.

Pero en este caso no se trata sólo de documentar o conmemorar, o de hacer un análisis sociológico exhaustivo sobre la situación de la familia o del arte español en los últimos años del franquismo, ni de incidir nostálgicamente en unos años decisivos en nuestra propia historia personal. Lo que se pretende es colocar un punto de anclaje común en los recuerdos colectivos -la elección de éste ha sido accidental- para desde ahí estirar nuestra memoria hasta el presente. Nos daremos cuenta, si tenemos la paciencia de leer los diferentes textos, de que en treinta y cuatro años hemos cambiado mucho y no hemos cambiado nada. Vistas de lejos las líneas rojas de los rótulos se desplazan sin avanzar.

Fragmentos de los textos que se proyectan en los rótulos luminosos.

EFEMÉRIDES [1 Enero al 17 Marzo de 1971].    9 de enero– La Cámara de Comercio Americana Junior presenta a Elvis como uno de los 10 jóvenes norteamericanos más extraordinarios.

.    10 de enero– Fallece la diseñadora francesa Gabrielle "Cocó"  Chanel.

.    11 de enero– Se inaugura en Egipto la presa de Assuan,

.   12 de enero– La DIA informa que las fuerzas guatemaltecas habían “eliminado silenciosamente” a cientos de “terroristas y bandidos” en el campo.

.    13 de enero– 70 guerrilleros brasileños suben a un avión en Río de Janeiro y parten rumbo al Chile de Allende.

.    14 de enero– Se estrena Vente a Alemania, Pepe que fue vista por 2.078.570 espectadores.

.    15 de enero– Ejecución pública de Ernest Ouandié, lider del UPC (Camerún).

.    16 de enero– Nace el tenista español Sergi Bruguera,.

.    17 de enero– La visión de ETA VI Asamblea se impone, cuando un comando secuestra a un conocido industrial vasco cuya fábrica estaba en huelga.

ARTE EN ESPAÑA EN 1971.    Alexandre Cirici i Pellicer participa en la creación de la Asamblea de Catalunya por lo que fue encarcelado durante una semana.

.    Rafael Canogar gana el Gran Premio de la Bienal de Sao Paulo.

.    La Fundación Rodríguez Acosta convoca el XII Concurso-Exposición sobre el tema “La mujer”. Varios premios desde 100.000 a 25.000 pesetas.

.    Aparecen los primeros síntomas de la enfermedad que acabará con la vida de Juan Eduardo Cirlot. A finales de año es operado de un cáncer de páncreas.

.    Se dividen los fondos del Museo Nacional de Arte Moderno. La pintura del XIX es entregada al Museo del Prado. Para la pintura del XX se crea el Museo Español de Arte Contemporáneo en un edificio del arquitecto Jaime López de Asiaín situado en la Ciudad Universitaria.

.    Última edición del Salón Femenino de Arte Actual.

.    Se aprueba el proyecto para el Museo de Escultura al Aire Libre de Madrid. Por amistad con Eusebio Sempere, los autores o sus familiares donaron las obras.

LA FAMILIA ESPAÑOLA EN 1971.    El primer bebé nacido en Madrid en 1971 es niña. Pesó al nacer cuatro kilos y es hija de doña Amparo Paloma Ortiz y de don Francisco Barrado Mateo.

.    La mujer, al contraer matrimonio con un extranjero, pierde automáticamente la nacionalidad española y es considerada extranjera; se le extiende carta de residente y pierden eficacia legal sus estudios, no puede ser funcionaria y necesita permiso de trabajo.

.    El consejo de ministros del 8 de enero aprueba un decreto por el que se mejora la protección de la familia mediante un aumento del 25 % en las asignaciones mensuales: por esposa, 375 ptas.; por hijo, 250 ptas.; por contraer matrimonio, 6.000 ptas.; y por cada nuevo nacimiento, 3.000 ptas.

.    Tras 15 años de matrimonio, Manuel murió el día 5 de enero de 1971 a causa de las quemaduras que le produjo su esposa al arrojarle mientras dormía una olla de agua hirviendo en la que había añadido un producto corrosivo.

.    La familia española tiene como valores absolutos la indisolubilidad del matrimonio, la procreación del mayor número posible de hijos, el papel predominante del padre como cabeza de familia y el papel subordinado de las mujeres a las labores de reproducción biológica y doméstica.

EL CIRCULO DE BELLAS ARTES EN 1971.    Función extraordinaria en el Teatro BBAA para entregar las medallas de oro y las Minerva de Plata concedidas desde 1965. Fueron en total 38. Se estrenó un monólogo del Presidente del Círculo de Bellas Artes, Joaquín Calvo Sotelo, titulado “Pis”.

.    Se concede el premio Francisco Alcántara de 1971 al escultor Luis Montoya con la  obra “Cabeza”.

.    Se convoca el Premio al mejor cartel del año con una dotación única de 100.000 pesetas. Se declaró desierto.

.    Medalla de Oro del Círculo de Bellas Artes al billarista Avelino Rodríguez Rico.

.    En Marzo de 1971 se celebra una exposición y sesiones para niños y mayores sobre “La marioneta”, a cargo del colectivo de Peralta y Alcaráz.

.    Junio de 1971 el Círculo de Bellas Artes organiza una Corrida Goyesca dedicada íntegramente al toreo con rejones.

.    Del 12/04/1971 al 14/04/1971 se celebra en el Círculo de Bellas Artes el Campeonato de España de Billar Interclubs “A tres bandas”.

 

 

 

 

 

 

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2007. Mandla Reuter. TNEMTRAPA (documentación teórica)

 El proyecto descrito aquí es un trabajo que desarrollé y realicé en 2005 en Varsovia, Polonia.

Para Madrid Abierto propuse una variación de este proyecto de apartamento. Será similar al trabajo de Varsovia ya que requiere un apartamento privado en el centro de Madrid como punto inicial del proyecto.

Como Madrid Abierto está diseñado como exposición en el espacio público, desarrollaré un trabajo que se vierta hacia el exterior desde un apartamento de la ciudad, ya que éste sería uno de los espacios más privados que hay. El apartamento será transformado en un espacio público o semipúblico, ya que los modos de ser accesible para el público serán modificados, además de que ocurrirán ciertas cosas en su interior, adecuadas tanto para el ámbito privado como para el público.

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (2005.12 / documentación teórica)

 Esta propuesta intenta cuestionar el poder, como institución de orden y control, desde su propio andamiaje. Condicionándose en la apariencia, en el solapado camuflaje, en la sintonía del objeto con la realidad, como una operación artísticamente “mínima” para detonar y subrayar su estrategia conceptual.

Ouroboros, como la mítica imagen de la serpiente que se muerde la cola, que se recontextualiza para disputar desde el orden filosófico la estructura social de hoy; creando así un extrañamiento, para condimentar la interacción desde su propia carga simbólica; pretendiendo compactar las posibilidades interpretativas, al ocultarse en un impacto visual, a partir de la propia escala formal, y su condición cotidiana.

(Diciembre 2005) 

 

 

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2005. Compañía de Caracas. ESPACIO MÓVIL (texto publicado)

“...cuando pienso en algo, de hecho, pienso en otra cosa. No se puede pensar en algo más que pensando en otra cosa. Por ejemplo, usted ve un paisaje que es nuevo para usted, pero es nuevo para usted porque lo compara en el pensamiento con otro paisaje antiguo, que ya conoce."Jean-Luc Godard

 

Aludiendo a la cita de Godard que abre este proyecto, su intención es establecer un puente entre la ciudad intervenida, Madrid, y una ciudad latinoamericana, Caracas, a través de imágenes fotográficas a color colocadas en paradas de autobuses y en autobuses que cubren el eje de acción propuesto   en Madrid Abierto.

El proyecto Espacio móvil busca jugar con las acepciones de "circulación" y "movilidad" en sus sentidos urbano --transporte-- y mediático --circulación de información--, para crear una paradoja visual --un disfraz-- y reflexionar sobre "la ciudad" a través del desplazamiento y la presencia de una dentro de otra.

Ciudad moderna latinoamericana por excelencia, Caracas fue una promesa de "futuro" a partir de las grandes intervenciones urbanas y construcciones de los años 50, que reflejaban su bonanza económica. Cincuenta años después, en la actualidad, Caracas es una ciudad en permanente movimiento que sufre a diario pérdidas, tanto en su memoria espacial como en los conceptos urbanos y técnicos que sustentan su habitabilidad.

La apertura de Madrid permite, de una manera visual, hacer una conquista espacial a través de fotografías del centro de Caracas (imágenes actuales de sus calles, sus edificios y su transporte) y a la vez ahondar en el carácter público y las posibilidades críticas de los objetos urbanos (autobuses y paradas en nuestro caso), fuera de las instituciones oficiales y de los soportes convencionales del arte. Asimismo toman como antecedente conceptual la intervención pictórica sobre autobuses realizada por el artista venezolano Carlos Cruz-Diez en La Bienal de Artes Visuales celebrada en Porto Alegre en el año 1997.

La Compañía de Caracas surge del interés por lo urbano y de la necesidad de registrar los viejos y nuevos fenómenos que definen "la ciudad", con una especial atracción por nuestra ciudad de origen, la cual sufre una contradicción esencial y se define entre arcaísmos y novedades, entre lo rural y lo tecnológico, entre una permanente mutación y particularidades inmutables.

 

DESARROLLO

Cuando nos planteamos intervenir Madrid a través de paradas y autobuses lo hicimos como un juego que no pretende comparar ambas ciudades, sino permitir que una circule dentro de otra, hacer una reconquista simbólica del espacio, llamar suavemente la atención sobre la idea de diferencia. Nuestra intención es desu­bicar, no indicar, sentar las bases de un caos: pequeñas bases como pequeña es la intervención dentro de Ma­drid. Austera, como la misma idea, bastarda, bellaca, una ocupación que se desmantela en veinte días. Una estrategia que no se reconoce en la publicidad sino en su reverso; que no pretende ser sólo visual sino lograr una imagen de la alteridad al travestir unidades móvi­les y fijas de Madrid con fotografías de Caracas.

En Venezuela el interés por el hecho urbano funciona, por un lado, como forma de aprehender la tradición, la memoria, antes de que desaparezca, se transforme o se diluya dentro de una organicidad urbana que no para de reciclar y cambiar la biografía de las cosas. Por otro lado es un síntoma en busca de un diagnósti­co que nos permita asimilar el cambio permanente del territorio urbano.

Entre las primeras imágenes que tomamos para el proyecto Espacio móvil, en abril de 2004, y las últimas, en diciembre de 2004, Caracas ha sufrido cambios subrayados, no sólo en la visibilidad y movilidad de parte del tejido social, como la proliferación de buhoneros (vendedores callejeros) y militares, sino también en su infraestructura urbana, que se hace evi­dente en la desaparición de esculturas públicas (por razones ideológicas, económicas, de mantenimiento), en el incremento del muralismo político-popular y en el deterioro de iconos arquitectónicos como el Centro Simón Bolívar o las torres de Parque Central.

En Caracas el espacio se moviliza: el privado al terri­torio público, lo público se cierra al paseante que con­quista los pasillos techados. Se instauran el cambio y el desplazamiento como tradición: una tradición que enmarca una modernidad que se mueve entre su pre­cocidad y su progeria.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (2006.01 / documentación técnica)

 

EL "LOCUTORIO COLÓN" ES UN PROYECTO ARTÍSTICO CON UN FUERTE CONTENIDO SOCIAL (5 CABINAS GRATUITAS PARA LLAMAR A LATINOAMÉRICA), PERO NO POR ELLO DEBE PERDER UN ÓRDEN DE FUNCIONAMIENTO BÁSICO QUE GARANTICE SEGURIDAD CIUDADANA Y USO PACÍFICO DE SU SERVICIO.

EL TÉRMINO ACORDADO CON LA ORGANIZACIÓN MADRID ABIERTO (ORGANIZADORA DEL EVENTO) Y FUNDACIÓN TELEFÓNCIA (COLABORADOR EN EL PROYECTO Y PROVEEDOR DE LA TECNOLOGÍA) ES EL DE ABRIR TODOS LOS DÍAS ENTRE EL 1 Y EL 26 DE FEBRERO 2006, CON UN HORARIO LIMITADO (DE 21:00 A 00:00).DE ESTA MANERA SE CONTROLA EL PERÍODO DE FLUJO DE USUARIOS.

ASÍ MISMO SE EMPLEARÁ UN SISTEMA DE ESPERA SEGÚN EL CUAL CADA VISITANTE RECIBIRÁ, A SU LLEGADA, DE PARTE DE UN/A AZAFATO/A UN BILLETE NUMERADO QUE LE DARÁ DERECHO AL USO DEL LOCUTORIO.LA DURACIÓN DE LAS LLAMADAS ESTÁ LIMITADA A 5 MINUTOS PARA EVITAR QUE EL SERVICIO SEA ABUSADO. SE ESPERA QUE LOS CIUDADANOS RESPETES ESTE SISTEMA DE ORDEN.

DURANTE LOS PRIMEROS DÍAS SE EVALUARÁ OBJETIVAMENTE EL FUNCIONAMIENTO Y EL FLUJO DE USUARIOS.  SI SE VIERAN INCIDENCIAS, SE DEBERÍAN TOMAR MEDIDAS. ESTAS CONSISTIRÍAN, EN PRIMERA INSTANCIA: INSTALACIÓN DE VALLAS PARA FORMAR UN PASILLO QUE CONTROLE EL ÓRDEN DE USO, EN SEGUNDA INSTANCIA EL MONITOREO CON ALGÚN AGENTE DE SEGURIDAD Y EN ÚLTIMO CASO, EL CIERRE DEL SERVICIO.

LOS AUTORES SON CONSCIENTES DE QUE UN PROYECTO ARTÍSTICO-SOCIAL NO DEBE INCURRIR EN ALTERCADOS O GENERAR INSEGURIDAD CIUDADANA Y ESTÁN DISPUESTOS A ASUMIR LAS MEDIDAS ARRIBA RESUMIDAS.

 

(Enero 2006)

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. CORTOCIRCUITO (documentación técnica)

 

EL MÉTODO

 Se colocarán en cada sala del Palacio de Comunicaciones fuentes de luz (40 x 30 x 30 cm) reguladas especialmente. Todas las fuentes de luz que estén dentro del edificio parpadearán brevemente mediante un impulso electrónico transmitido en paralelo. Este parpadeo se controlará de forma aleatoria y se podrá percibir desde fuera como una iluminación indirecta a través de las ventanas.

 

NECESIDADES TÉCNICAS

-    Todo el equipo de luces necesita una fuente de energía estándar; 230 V AC.

-    Los módulos de luz son autónomos.

-    Es posible instalar los módulos de luz en posiciones flexibles según la habitación. -    En cada sala del Palacio de Comunicaciones habrá uno o dos módulos de luz en uso (cada uno de 40x30x30xm).

-    La instalación hace uso de unos  10 Kw/h en todo el edificio (= 0,2kW/h cada módulo).

-    La instalación no necesita ningún equipo técnico especial.

-    La instalación será construida entre 1 y 2 días y será desmontada en unas 3-4 horas.

-    Todos los componentes están certificados por la alemana TÜV (Technical Supervisory Association)

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (texto publicado)

 Este proyecto consiste en tomar un elemento del entorno urbano, en este caso las cajas de metal dispuestas en algunas zonas de la ciudad y que generalmente son utilizadas por las compañías telefónicas.

La intención es tomar este elemento y realizar una serie que puede constará de 15 piezas más realizadas en la misma escala y siguiendo el mismo diseño, ubicándolas en el área contigua a donde están situadas originalmente un par de estas cajas.

Irrumpiendo en el sistema peatonal del Paseo de la Castellana para hacer presente un elemento anónimo en el diseño urbano, este proyecto busca medir las posibilidades escultóricas de estos elementos volcándolos sobre el mismo diseño que lo contiene provocando una interrupción en este sistema de orden urbano.

 

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. CORTOCIRCUITO (documentación teórica)

 

INSTALACIÓN TEMPORAL CINÉTICO-LUMINOSA

Mi obra de arte se ha centrado durante aproximadamente diez años en la iluminación cinética de la arquitectura. Con ocasión del próximo Madrid Abierto 2007 he aquí el esbozo de mi obra‚ Short circuit/Cortocircuito pensando en el `Palacio de Comunicaciones’.

 

LA IDEA

La arquitectura del Palacio de Comunicaciones se opone a la fuerza de las arquitecturas con las que normalmente trabajo. En el caso de esta construcción excesiva de hace noventa años, obra de Antonio Palacios, intento realizar una obra en oposición a mis instalaciones ‘que disuelven’ la luz en rascacielos (como por ejemplo, la sede de LUFTHANSA en Colonia, la ‘Technisches Rathaus’ de Francfort o el edificio IDUNA NOVA de Münster). Mediante una iluminación sincronizada dentro de cada sala del Palacio de Comunicaciones, generaré una unión de todos los espacios. La fachada estéticamente exagerada de este edificio neobarroco con sus elementos art déco se convertirá en una solución visual de su interior, lleno de recovecos.

 

EL MÉTODO

Se colocarán en cada sala del Palacio de Comunicaciones fuentes de luz (40 x 30 x 30 cm) reguladas especialmente. Todas las fuentes de luz que estén dentro del edificio parpadearán brevemente mediante un impulso electrónico transmitido en paralelo. Este parpadeo se controlará de forma aleatoria y se podrá percibir desde fuera como una iluminación indirecta a través de las ventanas.

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (2005.09 / documentación teórica)

 MEMORIA DESCRIPTIVA

En el presente documento se profundiza sobre las bases ya expuestas en la anterior memoria preliminar.

En primer lugar se acomete una búsqueda de emplazamiento concreto dentro delamplio espacio urbano de la Plaza de Colón. Al analizar el comportamiento de los ciudadanos se identifican dos zonas de flujo: la primera peatonal siguiendo el eje Serrano-Castellana (Jardines del Descubrimiento) y otra rodada que es el territorio marcado por los skateboarders para sus trucos. En el encuentro de estos dosámbitos decidimos intervenir de manera que la instalación pueda beneficiarse e incluso ser “apropiada” por los distintos tipos de ciudadanos que aquí conviven así como aquellos que vendrán atraídos por el hecho mismo del locutorio.

Nuestra intención es la de fomentar diversos tipos de comunicación: tanto la del rumor invisible que anuncia la existencia del locutorio Colón por los barrios de inmigrantes en Madrid, como la intercontinental facilitada por los interfaces telefónicos, así como la social entre aquellos que esperan su turno para hacer su llamada con aquellos que ya lo han hecho o incluso con los skateboarders oviandantes, y también la comunicación publicitaria-gráfica que con toda seguridad surgirá (carteles publicitarios pegados ilícitamente, graffitis…) antes o después sobe este nuevo huésped urbano.

No queriendo centrar toda la actividad en torno al elemento del teléfono y con el objetivo de permitir todos estos tipos de expresión anteriormente citados, se sugiere una variedad de posibilidades (quizás módulos ligeramente distintos el uno del otro) de uso de la propuesta ofreciendo una variedad de mini-espacios.

Se toma la decisión de fragmentar la propuesta en módulos fácilmente montables-desmontables-tranportables. Con esto se facilita la operación constructiva y se posibilita un uso posterior en otras ciudades o plazas. La construcción estaría formada por paneles de madera o viruta prensada con bastidores de listones de madera, de esta manera se reduce enormemente el coste material de la propuesta.

En aquellas horas del día en las que se desee cerrar la instalación, esta podrá convertirse en un “armario” estanco y a prueba de vandalismo.

(Septiembre 2005)

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon. S/T (texto publicado)

Sans façon es una colaboración práctica entre un artista (Tristan Surtees) y un arquitecto (Charles Blanc). Sus trabajos están definidos por su relación con lugares, incorporando la situación y las cualidades de cualquier ambiente como parte activa de la instalación.

Utilizan las intervenciones como un filtro a través del cual cada uno puede observar el espacio de diferente manera. Con una mínima intervención muestran las condiciones del lugar, los trabajos, la estructura, y aportan una percepción nueva del entorno. Tratan de crear algo que pueda ser celebrado, no por su magnificencia sino por lo que revela, lo que permite ser visto, disfrutado y reflexionado: la ubicación. Utilizan las intervenciones como una herramienta para enriquecer nuestras percepciones.

Ella le estaba diciendo: “yo no veo lo que ves tú”, y él: “Es posible que yo añada algo, lo admito, pero lo esencial está en las cosas, su poder de provocación [...], eso es indiscutible y mi único interés como guía es ser capaz de revelártelas. Yves Berger, Santa Fe.

La propuesta para Madrid Abierto se ubica en el Depósito Elevado de la Plaza de Castilla. Este edificio es un buen ejemplo de un objeto urbano banal sin pretensiones, es técnico y funcional. Es el tipo de estructura en la que los transeúntes no se fijan porque no es ni mencionado ni meritorio, es simplemente un depósito de agua.

La instalación intenta hacer que la gente lo mire de nuevo, no como una obra de arte en sí misma, sino que disfrute y aprecie esta estructura emblemática e impresionante.

Se proponen vestir los pilares de la torre con espejos acrílicos. En primer lugar, para crear una percepción diferente de este objeto; los edificios reflejados en los pilares presentan una nueva lectura de los alrededores, de los reflejos creados y de la apariencia inmóvil de la estructura. Además, esto expresa y juega con la cualidad arquitectónica del edificio.

Los reflejos crean cierta transparencia, las dimensiones del tanque de hormigón se hacen mucho más presentes una vez que la estructura sustentante desaparece (al mismo tiempo recuerda el estado inacabado que el edificio ofreció durante siete años a causa de una confusión política). Esta gran masa de hormigón colgando en el aire provoca una visión desequilibrada e incómoda, su construcción no parece que desempeñe su función estructural. El aspecto alterado del depósito elevado cuestiona el estado inmutable de nuestro ambiente construido.

La intervención transforma el depósito elevado en una “escultura” solamente cambiando la percepción del mismo. Por un período de tiempo, el depósito elevado se convierte en un acontecimiento. Mientras que anteriormente formaba parte de nuestra observación diaria, adquirirá una nueva existencia en la memoria y la imaginación una vez pasada la intervención.

 

 

 

 

 

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2006. Nicole Cousino + Chris Vecchio. SPEAKHERE! (2005.12 / documentación teórica)

 DESCRIPCIÓN BREVE

SPEAKHERE! une cuerpos a través del espacio por medio del sonido. Se instala un "hueco" del orador en una intersección especialmente transitada de Madrid, y un altavoz en un parque, una plaza u otro espacio público con el fin de transmitir canciones personales, palabras, frases, o susurros en tiempo real a un auditorio desprevenido.

EXPLICACIÓN DETALLADA

SPEAKHERE! es un una instalación de sonido interactiva con dos componentes principales. En un lugar (una calle o un lugar de intenso tránsito público) se instala un pequeño tubo en una pared o un soporte exento. Dentro del tubo hay un transmisor de radio GMRS de 3 vatios y un micrófono, montados para operar como dispositivo emisor. Se montará un pequeño letrero junto al tubo, invitando a los visitantes / transeúntes a hablar por el tubo / hueco. El sonido se transmite, en tiempo real, a un altavoz de megafonía que se ha montado en un árbol o poste en un parque u otro espacio público adecuado. Dentro del altavoz de megafonía hay otra radio GMRS de 3 vatios, que actúa como receptor. La radio está conectada a un pequeño amplificador, que se utiliza para amplificar el sonido emitido por el altavoz de megafonía. Todo aquello que se diga, entone, cante, o susurre será amplificado y comunicado al espacio público, que estará a unas manzanas, o a kilómetros, de distancia del "hueco" del orador.

Inspirado libremente en el concepto del Rincón del Orador del Hyde Park londinense, SPEAKHERE! se diferencia en que proporciona anonimato al orador / participante. Lo que se pretende es ofrecer la libertad y la capacidad de expresarse en público sin la neurosis de estar visible ante un auditorio.

La expresión de las propias ideas en un espacio público puede ser considerada un acto polémico o político, y suele evitarse, especialmente en los entornos urbanos. Normalmente, la única voz que se proyecta en el espacio público es la del Estado o la de una entidad religiosa. Este proyecto ofrece la oportunidad de que personas de muy distinto tipo y diferentes culturas, idiomas, perspectivas, actitudes y opiniones se expresen ante un auditorio potencial.

El receptor...

La segunda diferencia entre el Rincón del Orador y SPEAKHERE! es que la persona que habla por el "hueco" no sabe si hay un oyente en el otro extremo. ¿Está hablando al viento, a los árboles, a una multitud de ancianos con problemas de audición, a agentes de policía, a niños...? Pero, cuando hay un grupo de oyentes, SPEAKHERE! pretende transformar el espacio público inyectándole un componente imprevisto y espontáneo. La instalación también se propone unir espacios geográficos: el lugar del "hueco" del orador con el del espacio público / parque en el que se montaría el altavoz de megafonía.

OPCIONES ADICIONALES

Cuando la instalación se montó en Chicago (EE.UU.), los letreros colocados en torno al "hueco" del orador decían:

Hable libremente, critique, elogie, explique, cante, farfulle, piense en voz alta, dé voz a sus ideas, poemas, canciones, declaraciones, ante un auditorio paseante, presuroso, asombrado, rezagado, holgazán, de ciudadanos, socios, compañeros, amigos, hermanos, gatos, pájaros, follaje, objetos inanimados, fuerzas invisibles, atmósfera, migas de pan...

En el caso de Madrid, el texto que invite a participar podría ser específico para esta ciudad, o también podría cambiar cada semana, pidiendo a los viandantes que hablasen sobre determinados temas o respondieran a ciertas preguntas, etc.

(Diciembre 2005) 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. POLLINATING THE VERNACULUS (documentación técnica)

2007. Ben Frost. POLLINATING THE VERNACULUS (documentación técnica)

 

DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

Cada colmena preparada contendrá un único altavoz en mono y una pequeña luz no direccional. Cada caja está sellada excepto por pequeñas aperturas realizadas en la estructura (Este trabajo estará hecho a PRUEBA DE CLIMA y no requerirá una reconstrucción diaria cuando expuesta al aire libre) lo cual creará de noche un efecto visual no invasivo y sutil para acompañar el más obvio aunque intrínsecamente sutil efecto de aura. Cada caja, situada en una sola línea recta, separada por una distancia de unos 2 metros, preferiblemente en paralelo a un camino para andar, conteniendo tanto el altavoz como la luz, estará conectada a las demás creando una sola tira de cableado que requerirá acceso a un entorno interior seguro (remoto) en el cual un interfaz de audio de varios canales, ordenador básico ya sea de mesa o portátil*, y un amplificador, funcionarán como motor de la pieza y alimentarán cada canal de audio hasta su caja correspondiente.

*hay que tener en cuenta que esta instalación regulada por ordenador/interfaz podría ser potencialmente sustituida por 5 reproductores de CD de alta calidad con una función de repetición constante.

La pieza requerirá una única fuente de energía.

Una figura muy básica de instalación propuesta.

 

Todos los aspectos de la producción de contenido áurico hasta llegado el punto de la presentación será autofinanciado y/o apoyado por financiación de investigación externa del estudio de grabación ‘Greenhouse Studios’, Reikiavik www.greenhouse.is

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (texto publicado)

house-Madrid se desarrollará en Madrid Abierto durante un periodo de diez días en un espacio público de la ciudad.

Dos grupos de personas construirán y destruirán simultáneamente las fachadas idénticas de house-Madrid durante estos diez días. Se levantarán fachadas de 6,3 metros de altura, construidas con bloques ligeros hasta una altura de un tercer piso, y yuxtapuestas entre ambas en simetría rotacional. El proceso será sincronizado, y por tanto la construcción y destrucción será coreografiada secuencialmente: los segmentos opuestos de las dos fachadas se moverán lentamente alrededor de las mismas hasta que se complete house-Madrid. En el mismo punto y simultáneamente aparecerán dos casas diferentes.

house-Madrid se convierte en una estructura en constante movimiento a medida que las paredes aparecen y desaparecen, su espacio cambia y se vuelve inestable constantemente. Esto llevará consigo cuestiones acerca de la permanencia de las estructuras arquitectónicas, su relación con los alrededores y la naturaleza misma de la construcción. La arquitectura se redefine en el momento en que estructuras consideradas permanentes se vuelven animadas y temporales.

Como trabajo de colaboración, house-Madrid revela el proceso, el trabajo y la técnica de la edificación como una experiencia visible. La construcción de un monumento se convierte en un acontecimiento, una experiencia visible y espacial de un proceso continuo más que la presentación de una estructura arquitectónica terminada.

La obra explora las relaciones entre la arquitectura temporal y la permanente, al mismo tiempo que sirve para investigar sobre las fronteras entre proceso, trabajo artístico y documentación.

house-Madrid se documentará utilizando un único proceso. Alrededor de la escultura se situarán estratégicamente tres cámaras construidas especialmente para la ocasión. Las películas fotográficas se expondrán durante la acción para producir fotografías en blanco y negro. Las fotografías a gran escala resultantes revelarán la vista completa de las dos casas independientes, de las fachadas. Además, se realizará un video en tiempo real y una película en formato 16mm.

 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. POLLINATING THE VERNACULUS (documentación teórica)

  DESCRIPCIÓN DEL PROYECTO

Estoy usando un recinto cerrado para la cría comercial de abejas para construir 5 entornos sónicos. La colmena física contiene un altavoz que emite una de las 5 partes concurrentes de una banda sonora no lineal (una serie de patrones musicales de longitud variable). Cada una de estas partes constará principalmente de un tono de baja frecuencia que variará sutilmente de volumen y textura en el interior de cada caja… de cerca, con la oreja en cualquiera de las colmenas se ofrece al espectador una singular experiencia de tono y textura…

De todos modos, si toma distancia la interacción armónica de los 5 habitáculos creará una narrativa no lineal que fluye a merced de los patrones que crean infinitos algoritmos.

 

…Una singular y apagada experiencia- PERO QUÉ ‘SIGNIFICA’

- Perspectivas en conflicto, tanto externas como internas

- Armonía-Disonancia-Causa y Efecto

- Comunicación de lo vernáculo como la suma de lo secular

¿Qué patrones de respuesta son creados en estos momentos de perspectivas conflictivas y en este caso, movimiento melódico audible y sus varias introspecciones seculares implícitas?

La colmena ofrece  una imagen increíblemente poderosa de agresión pasiva… el singular e inofensivo insecto o el enjambre asesino… Una dulzura secular hecha de furia en masa y secretismo cauteloso. Estoy fascinado con las connotaciones de la ‘Caja cerrada’… Estoy fascinado por las insinuaciones que se deducen de una colmena guardada en un espacio público… ¿sobre nuestra seguridad?... ¿sobre la naturaleza de la emoción y la contención? Sobre el sentido de control y espacio personal – Estas ideas cuando son tratadas musicalmente juegan con la percepción del significado y a la inversa, las verdaderas intenciones.

¿Cómo afectan los prejuicios sobre las personas, en su  singular ‘colmena’, envueltas en su cultura, en la experiencia real que tenemos de ellas? ¿Son las abejas peligrosas o es la experiencia colectiva la que las hace así?

Varias divisiones religiosas y políticas diluyen la empatía natural de la condición humana, que ya sufre tensiones por razones de separación geográfica y lingüística – y esto ocurre tanto a nivel personal como social. Las armonías y disonancias en cuanto al sonido son relativas al oyente al igual que las reacciones a estructuras sociales y aspectos culturales son relativos según el individuo y su experiencia personal.

La distancia entre las colmenas y la transmisión de su sonido a través del espacio nos presentan estructuras lineales menos definidas y quizás perspectivas más confusas y terroríficas: Ergo: Muchas cajas generan muchas preguntas… Por lo tanto, ¿Tenemos Miedo de aquello que no podemos diseccionar?

Este trabajo también hace referencia a “La llegada de la colmena”  de la poetisa Estadounidense Sylvia Plath en la que usa la imagen de la colmena para expresar confusión interna usando una forma externa ‘…La caja está cerrada, es peligrosa…’ Estoy interesado en explorar la idea central sugerida por este poema… que el abrir la caja (el problema)… es arriesgar un ataque por parte de sus contenidos… una idea universalmente familiar…

Y de hecho, probablemente lo sea.

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (2005.12 / ubicaciones propuestas)

2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (2005.12 / ubicaciones propuestas)

DICIEMBRE 2005

 

Site for Pulsing Path - ambiguous vision (Madrid 2006) Gustav Hellberg

I would like to use the path that runs in the park like area in the middle of Paseo del Prado between Plaza de Canovas del Castillo and Plaza de Cibeles. I am giving two alternatives as I am not sure about how the lampposts are connected.

I've chosen this area because its park like feeling, where the idea of the path is in focus, also suggested by the title. This area's lampposts' old fashion design make them suitable as generic lamp posts. This is also the type of lamp posts I had in mind during the development of the work.

The area is interesting as it is not only a passage way for pedestrians but also a recreational area with benches for people to rest and playgrounds for children. It is an urban site with activity and stillness always surrounded by heavy traffic. In that surrounding the effect of a strange behaving set of lampposts will get its best impact.

I would suggest A before B if no technical or other problem favours B.

Version A:

Using the nine first lampposts along the middle path, counting from Pza. de Canovas del Castillo towards Fuenta de Apolo, for pulsing. The following lampposts, continuing northwards, need to be fitted with the same light bulbs as the pulsing ones if the light is not the same.

The northern part of this path gets to much light from the street which make me want that part to be 'normal', lights always on.

This part of the path is the darkest and the best effect will be able to reach here. It is also the most 'path like' stretch. The quieter part of this area could make it less visible.

Version B:

Using the 8 northern lampposts along the east path north of Fuente de Apolo .The 5 lights on the east side (play ground side) need to be fitted with the same light bulbs as the pulsing ones.

The playground area south of Fuente de Apolo is more used by children, also has more play equipment and should be left as it is. It is probably no use to change light bulbs.

This part is closer to the busier part of the street and the work might be seen by more people, even by people that are not waling down the Paseo del Prado. I am a little bit concerned that the 'playgroundarea' will disturb the path feeling.

 

Note, concerning both version A and B:If there's a too obvious difference in light strength and light temperature from the original lamps to the pulsing ones, it might be necessary to considering changing the closest ones.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Warren Neidich+Elena Bajo. SILENT (texto publicado)

 Proponen los artistas la colocación de una barrera de sonido / escultura de plexiglás, titulada Silent, desde el Museo de Escultura al Aire Libre en el Paseo de la Castellana hacia la calle del Marqués de Riscal. Este tipo de barrera de sonido se coloca normalmente a lo largo de las autopistas para limitar la contaminación acústica de los que viven a su alrededor. Pero los ambientes urbanos y los habitantes de las ciudades también sufren los efectos de la insidiosa contaminación sonora. El propósito de esta obra es crear áreas tranquilas y silenciosas dentro del complejo y congestionado espacio urbano y crear una escultura que conecte con las que ya están allí situadas.

En lugar de ser un monumento relacionado con el pasado, como lo están las otras esculturas en el área, Silent es una obra sobre el espacio y el proceso. Es un trabajo interactivo que crea un lugar donde la gente puede disfrutar de paz y tranquilidad; donde pueden pensar, leer o conversar. Ésta es una condición normal en el campo, donde hay muchos lugares en los que un hombre o una mujer pueden disfrutar de la tranquilidad y en lugares donde el ambiente urbano ha sido reducido y comprimido. Espacios como el que les gustaría crear son escasos, frágiles y preciosos. Quieren los artistas hacer de esta pieza un regalo/trabajo artístico a los ciudadanos de Madrid, como un acto de generosidad para que mejore su calidad de vida, un gesto efímero.

Las pantallas acústicas, como su nombre indica, son barreras construidas para desviar las ondas sonoras disonantes que se crean con la interacción de los automóviles con el asfalto. Al crecer, los países industrializados, como los pertenecientes a la Unión Europea, han comenzado a ocupar con viviendas las zonas de terreno disponibles, esos espacios marginales que quedaban a lo largo de las autopistas y las carreteras. Las comunidades de la periferia se han desarrollado en estos espacios y han creado nuevas estrategias y soluciones para controlar ciertas cualidades desfavorables como la contaminación sonora y del aire. Las pantallas acústicas son uno de estos inventos. Pero la ciudad es también un lugar donde este tipo de contaminación existe. El proyecto es fundamentalmente un rediseño, una reconstrucción y una recolocación de un artefacto industrial disponible que pasa de su lugar primigenio a lo largo de la autopista a uno incluido en la estructura urbana y cercano a un barrio muy activo, el entorno del eje de Castellana. Es un “readymade” recontextualizado y configurado para aliarse con un plan urbanístico que lo redefina como un lugar menos ruidoso al mismo tiempo que crea una obra de arte como un gesto ondulante de transparencia pura.

Se ha realizado un gesto específico en el que es especialmente importante el modo en el que el proyecto interactúa con el espectador. Las barreras de sonido utilizan muy diferentes tipos de materiales para reconfigurar las ondas de sonido que emanan de la autopista. Tanto si son de plexiglás, vidrio, piedra o cemento, la decisión es en su mayor parte estética. Lo que es importante para la configuración y la manipulación del ruido es el ángulo en el que se coloca el material que en este caso es de cinco grados. Este ángulo puede ir hacia la autopista o alejarse de ella dependiendo de a dónde quiera dirigirse el sonido, si hacia los coches o, por el contrario, proyectado en el espacio sobre la barrera. En este caso se ha decidido utilizar ambas estrategias en la producción de Silent. La obra, de 70 metros de largo, está situada en medio del bulevar y cambia de cinco grados hacia el tráfico a cinco grados que se alejan creando un desplazamiento máximo de diez grados. Estos diez grados tendrán una gran importancia para cómo el sonido es reconfigurado primero y experimentado por el espectador después.

Pero hay otros niveles del discurso que actúan subliminalmente y que son muy importantes para definir las relaciones sociales, políticas, históricas y psicológicas de nuestro proyecto que deben incluirse. Como se menciona más arriba, esta obra de arte público conectará profundamente con las personas que la vean y que interactúen con ella. Su reiteración del paisaje urbano creará significados metafóricos y analógicos como una escultura social que debe cruzarse. Esta reiteración es visual, acústica y física.

En primer lugar, su transparencia enmarcará de nuevo ciertas escenas prestando más atención a ciertas estructuras mientras simultáneamente decrece la presencia de otras. En segundo lugar, los urbanistas y los arquitectos que durante mucho tiempo han formado parte de la cultura del espectáculo y que ahora diseñan estructuras para que no crezca la estimulación. Todos estamos sobrestimulados por los sonidos de nuestra cultura tecnológica y necesitamos más paz. Esta obra disminuye el sonido mientras al mismo tiempo juega con él. Estamos también interesados en el modo en el que esas barreras de sonido operan en espacios de indeterminación separando la cultura nómada de la autopista de la prístina domesticidad de la vida sedentaria; como si la barrera fuese impenetrable al sonido pero permeable a otras formas de información permitiendo a estas muy diversas culturas el interpenetrarse formando morfologías híbridas. En nuestro cambiante, veloz y globalizado mundo este tipo de hibridez forma una analogía importante para cómo otras muy diversas culturas basadas en muy diferentes discursos pueden mezclarse y mutar. Especialmente en su más reciente manifestación como hojas de plexiglás transparente, estas barreras comienzan a operar como un extrema pero necesaria forma de vida para coexistir en cercana proximidad creando nuevas posibilidades de un tipo de tercer espacio, para emerger.

Debemos considerar estas obras relacionadas con experimentos escultóricos del pasado y no podemos hacerlo sin señalar las misteriosas similitudes morfológicas que estas estructuras tienen con las de Richard Serra, con las que comparten también fuertes características perceptivas y fenomenológicas, aunque su énfasis sobre la belleza y su mensaje socialmente positivo son conceptos muy diferentes de aquellos que le interesaban. Juntos, estos más profundos niveles de significado se dirigen a interactuar con las características materialistas de esta escultura física situada en un mundo real y físico. Pero leyendo la estructura de estos modos diferentes la obra se hace metafísica e inmaterial.

 

 

 

 

 

 

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2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (documentación teórica)

 

2003, DVD 07:43Cinematografía: Manne Lindwall(Canción original por Roky Erickson, editada por R.Erickson 1984)Arreglos musicales Ida Lunden

El proyecto “Todavía no me Amas” se compone de una película y un tour en vivo (2002-2006) en que músicos de diferentes ciudades fueron invitados para versionar colectivamente la canción “Todavía no me amas” (You Don’t Love Me Yet) del cantautor Tejano Roky Erickson. La película “Todavía no me Amas” (2003) muestra a un grupo de músicos tocando juntos en un estudio de grabación de Estocolmo y explota la repetición dramática de la melodía y las letras para desentrañar interpretaciones populares del amor, mientras evalúa la formación contemporánea de la subjetividad.

 

TOUR 2002-2006

Index, Stockholm Oct 4 2002

Eskilstuna Art Museum, Eskilstuna Ago 23 2003

Norrköping Art Museum, Norrköping    Sep 27 2003

Tingshuset, Östersund Oct 4 2003

Frieze Art Fair, London Oct 8 2003

Vara Consert House, Vara Nov 9 2003

Bar Alahuone, Helsingfors Dic 4 2003

Sjömanskyrkan, Gävle Dic 6 2003

Ystad Art Museum, Ystad Ene 24 2004

Vedanta Gallery, Chicago Abr 30 2004

Milton Keynes Gallery, Milton Keynes UK Marzo 15 2005

Festival a/d Werf, Utrecht, Marzo 19 2005

Festival Boulevard, Hertogenbosch Ago 5 2005

De VeenFabriek, Leiden 27/11, 2005

Próximamente: The Lab, San Francisco 16 de noviembre 2006-10-01

 

MÁS INFORMACIÓN SOBRE EL PROYECTO, NOTAS DE PRENSA Y TEXTO

La Galería Vedanta se complace en presentar la primera exposición en solitario de Johanna Billing en Estados Unidos y la última parada de la película y tour en vivo No Me Amas Todavía que ha visitado varias instituciones de Suecia incluyendo Index: La Fundación Sueca de Arte Contemporáneo donde se originó y la Frieze: Feria de Arte Contemporáneo de Londres. La inauguración incluirá actuaciones en directo de músicos de Chicago que tocarán ‘Todavía no me Amas’, escrita por el cantautor tejano Roky Erickson. También se exhibirá un vídeo de la grabación de la canción en los Estudios Atlantis de Estocolmo interpretada por varios Músicos suecos. De un modo, tanto esperanzado como desilusionado, la canción señala la dificultad de estar en una relación y atreverse a perder el control de uno mismo.

La película y proyecto de música en directo son una síntesis agridulce entre el individuo y el público, cuyo catalizador es esta canción de los ochenta. El proyecto comenzó en octubre de 2002 contando con la participación de  más de veinte cantantes, solistas y bandas. La canción de Roky Erickson, fue interpretada una y otra vez, repetida de muchas maneras, que reflejaban el estilo personal de cada intérprete. Una actuación seguía a la otra, en lo que acabó por parecerse a una letanía maníaca y tragicómica sobre las exigencias sociales que pesan sobre la gente; por ejemplo el concepto de autorrealización, o los riesgos de entrar en una relación con alguien y por tanto dejarse llevar. A pesar del aire desilusionado de la canción, un sentimiento de confianza y esperanza se discierne entre líneas.

La segunda parte del proyecto, la película Todavía no me Amas, producida en junio de 2003, invitó a un grupo de participantes, sólo que esta vez la actuación individual es reemplazada por un esfuerzo colectivo en los estudios Atlantis de Karlbergsvägen en Estocolmo, donde la grabación de audio y vídeo tuvo lugar. La película se encuentra en un punto intermedio entre un vídeo musical y un documental, con el énfasis en la actuación común de todos los protagonistas: los músicos; cantantes; ingenieros de sonido y cámaras. La película fue proyectada en seis lugares distintos de Suecia con la colaboración de instituciones de arte  que han actuado también como coproductores. El proyecto también incluye un CD de audio con la canción grabada, que será distribuido gratuitamente en cada evento.

 

Johanna Billing (Suecia) presenta su video-instalación “Ya No Me Amas” que explota una repetición dramática de la melodía y la letra para desentrañar las interpretaciones populares del amor, mientras analiza el modo en que se construye la subjetividad contemporánea.

El proyecto musical y proyección de vídeo se apropia de una canción de 1984 del cantautor estadounidense Roky Erikson. Billing escuchó la canción por primera vez en la radio mientras leía en un periódico que Suecia era el país con más viviendas unipersonales  del mundo. Billing relaciona el ímpetu de este proyecto con problemáticas contemporáneas de la identidad sueca, tales como el aislamiento y la naturaleza institucionalizada de la democracia, donde el consenso es más apreciado que la disensión. Todos los involucrados en el vídeo de Billing pertenecen a su generación, un grupo más joven al que a menudo se le acusa de indiferencia y apatía, en contraste con la generación anterior que a menudo es (auto) glorificada como activa en la transformación de la sociedad de los sesenta. Billing se centra en este grupo generacional para hacer uso de estas características de indiferencia y apatía como clichés, y aún como una realidad, una evaluación, y aún como un modo de evocar características emotivas que a menudo parecen decaer en el fango de la juventud contemporánea. El resultado es muy directo -  Œwarm, como lo denomina Billing – en especial en su enfoque hacia un público que no pertenece a las galerías – y por tanto surgen una serie de complicaciones:

En primer lugar, esta exploración de la emoción vía la recuperación de una canción pop casi olvidada, mientras se enfatiza la repetición, se convierte en un torbellino de obsesión afectiva. La experiencia de unas caras jóvenes ocupadas en tocar esta triste y pegadiza melodía que se repite una y otra vez evoca un acertijo de la subjetividad contemporánea (o subjetividad en general) como una espiral interminable y vacía en torno a conceptos emotivos clave, a los que uno se aferra desesperadamente como medio de definir la conciencia colectiva e individual, mientras brilla bajo el foco de ‘esa cosa llamada amor’. La rapsodia de esta melodía comienza como melodrama, se transforma en una parodia reflexiva (la lacrimosa melodía de 1984, interpretada por Band Aid, acaso Saben Ellos Que Es Navidad), y culmina en una espiral de pesadilla.

Billing habla de ello en términos de artistas y sus competitivos egos; especialmente en términos de su deseo de ser amados (por su búsqueda de carreras de éxito). Se ocupa de contrastar esto por medio de una “armónica unión de individualismos” como una “realidad viable”. Como tal, el trabajo opera como un examen del comportamiento humano, especialmente en cuanto a dinámicas de grupo dentro de un todo social unido por una intervención ritual de música repetitiva. A pesar del distanciamiento que la pieza opera con respecto al espectador, y la insuficiencia de la música, los participantes y especialmente la letra, lamentan y tratan las expectativas de ser feliz y encontrar el amor. La pieza no ofrece conclusión alguna, pero disipa algunas fantasías, resalta otras y, como todo el trabajo de esta exposición, comienza por lo cotidiano para obtener destellos de profundidad, locura e imaginaciones del futuro.

En general, si uno puede hablar de iluminaciones para la cultura contemporánea, estos trabajos en Cada Día Un día Sí Un Día No tratan de poner a prueba la realidad (y los sistemas que la construyen) y habla de una urgencia de enfrentarnos a mitologías individuales y colectivas que son el producto de historias de represión; un consenso sociopolítico y conductual, e injusticias continuadas.

(Un Día Sí Un Día No, exposición en Canadá 2005)

 

Todavía No Me Quieres (entrevista sobre el proyecto después del último evento, 2005, del libro Si no puedo bailar no quiero ser parte de vuestra revolución, 2006)

En su proyecto Todavía No Me Amas, que ha estado de tour en diferentes ciudades internacionales entre 2005 y 2006, Johanna Billing invitó a unos músicos a tocar una versión en vivo de una canción de Roky Erickson. Si no puedo bailar… organizó la parte holandesa del tour en 2005, que empezó en Utrecht, pasando por Hertogenbosch y acabó en Leiden.

En este proyecto Billing se hizo casi invisible como artista. Aun así, entre bambalinas, organizó el evento con la mayor precisión posible. Escogió un lugar que no se suele usar como escenario musical y propuso realizar el evento por la tarde en vez de por la noche, trató de transgredir conscientemente algunos patrones de comportamiento existentes tanto en el ámbito musical como visual. Como artista facilitó una experiencia colectiva en que la individualidad era expresada en las diferentes interpretaciones de la canción, invitando a los músicos a escuchar las presentaciones de unos y otros, y en que el público fue testigo del potencial de repetición ya que el concierto ofrecía un amplio abanico de versiones de este único texto. Cada evento tenía su formación específica de bandas de rock, coros, músicos con ordenador, profesionales, amateurs o conjuntos formados espontáneamente, sobre todo pertenecientes al ambiente local. Todos los conciertos acabaron con la proyección de la grabación de estudio de Todavía No Me Amas, un trabajo realizado por Billing con un grupo de músicos suecos.

En varias ocasiones Billing expresó sus ideas y pensamientos sobre el proyecto, como también explicó el proceso de realización del mismo. El texto que sigue es una compilación de referencias sacadas de una entrevista con Helena Holmberg en septiembre de 2003, publicada en la revista sueca Nifca Info. La parte principal procede de una conversación que tuvo Billing con ocasión del proyecto Días de Radio en De Appel, Ámsterdam, emitido en vivo el sábado 30 de marzo de 2005. La nota final proviene de una correspondencia por e-mail de abril de 2006 entre Billing y los comisarios de Si No Puedo Bailar…

 

POR QUÉ JOHANNA BILLING ESCOGIÓ ESTA CANCIÓN

“Creo que escuché la versión original de esta canción por primera vez en 2001. Fue escrita e interpretada por el cantautor estadounidense – al que también podría llamarse icono – Roky Erickson en 1984. Éste quizás sea más conocido por su trabajo con el grupo de rock psicodélico 13th Floor Elevators en los años sesenta. Tuvo una posterior carrera en solitario y sacó muchas canciones al mercado, aunque esta en particular no sea la más conocida.”

“Resulta que escuché esta canción, que trata del amor y las relaciones de un modo desilusionado y esperanzado a la vez, al mismo tiempo que me enteré de que Suecia es el país con más viviendas unipersonales del mundo. Eso me hizo pensar en cuánto valoramos la independencia. Yo he crecido en una época en la que es casi feo el depender de alguien. Esto se puede aplicar no sólo a los asuntos amorosos, sino también a otros campos. Puede ser muy difícil dejarse llevar junto con los propios intereses.”

“No puedo recordar si me gustó mucho al principio, pero no se me iba de la cabeza. Paso mucho tiempo pensando en ello. Imagino que me confundió un poco. Tenía mucha curiosidad por realizar un evento tipo manifiesto. Al tocar un tema escurridizo, vago y ambiguo, quería ver si con la participación colectiva sería posible capturar la esencia de la canción, de qué trata, de qué podría tratar…”

 

CÓMO SE ORIGINÓ EL PROYECTO

“Mi principal idea al principio de 2002 consistía en juntar músicos y artistas de muchos grupos diferentes en un estudio para que grabasen una versión conjunta. (¡Sí, sé que la palabra Band Aid viene a la mente! Pero para mi no se trataba de hacer un proyecto en relación a eso). En ese momento no había dinero para producir un proyecto de semejante magnitud. Index, la institución que me invitó a trabajar en este proyecto no tenía tanto dinero. Así que lo que hice fue invitar a todos estos grupos a Estocolmo para venir al sótano de Index y tocar una versión después de otra, veinte grupos seguidos de cuatro a ocho de la tarde. No era más que el principio de otra cosa. Nunca me atreví a pensar que esta puesta en común extremadamente simple pudiese llegar a convertirse en algo bastante mágico al final porque, mientras continuaba el concierto y la canción comenzaba a repetirse, se creó una atmósfera increíble que todavía no puedo describir del todo.”

 

CÓMO SE DESARROLLÓ EL PROYECTO

“¡Bien, así que el concierto fue exitoso! Podría haber acabado ahí pero la razón por la que los grupos se decidieron a participar fue porque se les había prometido realizar la gran versión más adelante en el estudio. Así que tuve que continuar y ya entonces comencé a sentirme un poco maniática. ¿Realmente debería seguir con esto? ¡Pero por lo visto esto era sólo el comienzo! Así que en junio de 2003, ocho meses después del primer evento en vivo, conseguimos la financiación y pudimos alquilar el maravilloso y prestigioso estudio Atlantis en Estocolmo donde Abba realizó algunas de sus grabaciones. Conseguí la ayuda de un músico y compositor muy talentoso llamado Ida Lundén para hacer arreglos de cuerdas, sección de viento y coros para la canción. Estos arreglos fueron muy flexibles y tuvieron que ser realizados en el estudio mientras la gente tocaba. Fue así porque no podíamos prever de antemano quién vendría a tocar y qué instrumentos traerían. ¡Todavía estoy alucinada con el hecho de que suena como si hubiese sido planeado! La versión del estudio, en que un conjunto de cuarenta y cinco músicos tomó parte, fue grabada en CD, distribuida y regalada durante el tour. También realicé una película a partir de esta sesión de grabación”.

“Hablemos del tour. ¿Cómo surgió la idea? En realidad se debió a un gran malentendido. Para conseguir financiación para la película y la grabación en el estudio, Mats Stjernstedt y Helena Holmberg de Index, habían contactado con un montón de pequeñas instituciones de arte suecas preguntando si les gustaría participar en el proyecto. Entonces proyectábamos la película y hacíamos exposiciones con ellos en las diferentes ciudades. Además, mi idea consistía en tener una banda o artista local para ofrecer algo nuevo en cada ciudad. Pero cuando llevábamos muchos meses metidos en el proyecto, me di cuenta de que había malentendido totalmente lo que Mats y Helena me habían dicho: resultó que estas pequeñas ciudades no querían realizar nada menor a lo que se hizo en Estocolmo, así que estaban deseosos de hacer un gran evento que involucrase a muchas bandas. ¡Me parece que al principio me entró el pánico! Hablábamos de organizar un gran tour con conciertos en vivo en diez ciudades en sólo un par de meses.”

“Sabiendo lo mucho que me costaba organizar una cosa así, aún estando acostumbrada a organizar conciertos, la otra cuestión era cómo funcionaría en un museo de arte que a lo mejor no había experimentado en el ámbito musical. Afortunadamente era demasiado tarde para decir nada y el tema del tour ya estaba ocurriendo.”

 

LAS IDEAS DE JOHANNA SOBRE EL CONCEPTO DE VERSIÓN

“Había estado pensando mucho en realizar versiones de otros temas. Personalmente me gustan mucho las versiones  y siempre he envidiado a los músicos por ser capaces de interpretarlas. Cuando haces una versión, pagas un tributo a algo, de un modo cariñoso; incluso puede que reveles tus influencias al hacerlo. Esto es algo difícil de encontrar en el mundo del arte donde te pasas el tiempo creando en torno a ti mismo un aura lo más única posible. Lo más cercano a una versión en el arte es el parafraseo. Esto suele ser algo más complejo y teórico y, en muy pocas ocasiones, sobre algo que te gusta, o que veneras…”

“Me imagino que otra de las razones por las que me gustan las versiones es que implican la idea de salir de uno mismo para centrarse en otra persona, adentrarse en el mundo de otro. No estás haciendo algo sobre ti mismo, o, si es un tributo, ni siquiera para ti mismo, pero en mi opinión eso no hace del resultado algo menos personal. Por el contrario, creo que cuando trabajas en una versión te dejas llevar más y experimentas aún más. Y el dejarse llevar, en una relación amorosa o una colaboración, es de lo que trata el proyecto.”

“Trabajar con versiones como formato para este proyecto ha servido un poco como catalizador. Porque se trata de descubrir algo mientras trabajas, participando en un proyecto por razones que, de alguna manera, no son las más inmediatas. En este caso, estás invitado a participar y no a tocar tu propia canción, sino la canción de otra persona, y podrás preguntarte para qué y para quién. Estas cuestiones y cómo te sitúas frente a ellas, constituye un ingrediente muy importante de este proyecto.”

 

SOBRE EL EFECTO DE UN CONTEXTO ESPECÍFICO

“Muchos de los intérpretes, no importa la posición que ocupasen, dijeron que nunca habían estado tan nerviosos como en estos conciertos en particular. Me imagino que se debe a que la escucha era extremadamente intensa. Te sientas, hay un silencio total, nadie habla ni bebe cerveza, como suele ocurrir en otros conciertos. Y, por supuesto, prestas atención a los pequeños detalles que hacen a cada versión diferente. O, si eres un intérprete, puede que compares tu propia versión con la de otros antes de tocar y quizás por eso muchos músicos estaban nerviosos.”

 

SOBRE EL ENCUENTRO DE DIFERENTES ESTILOS Y COMUNIDADES

“Durante estos eventos, el contexto funcionó casi como un truco – aunque no deliberado – para hacer que la gente escuchase con la misma atención distintos tipos de música. Y eso ha sido algo muy revelador a lo largo de este proyecto. Como suelo organizar muchos conciertos con el sello discográfico en el que trabajo, mi experiencia es que cuando se trata de música, la gente es muy quisquillosa en cuanto a su gusto, y en cuanto a qué tipo de conciertos les gusta asistir. No son tan abiertos como la gente que asiste a eventos artísticos.”

“Que sea posible montar un concierto con los tipos más duros del rap junto a estudiantes de guitarra clásica, y que se perciba como una cosa natural, por el hecho de estar atento a otra cosa, es realmente una experiencia increíble.”

“Creo que ha ayudado mucho el hecho de que había mucha mezcla entre el público. Me imagino que esto vino de la configuración que tratamos de crear en todas las ciudades que visitamos. En cada ciudad queríamos que la institución local colaborase con un grupo o sala de conciertos local. Y muchas veces ocurrió por primera vez, a menudo con escepticismo y dudas. ¿Podría esto ser algo bueno? Por supuesto nadie quería perder su integridad en el proceso. En ocasiones había miedo a que la música no fuese tomada suficientemente en serio en el contexto de un museo, y viceversa. ¡Algo gracioso que ocurrió en varias ciudades fue que, en lugar de felicitar a los músicos tras el concierto, la gente estaba sorprendida simplemente por el hecho de que todo hubiese ocurrido de verdad!

 

SOBRE LO QUE IMPLICA ESTE PROYECTO DE LARGA DURACIÓN

“Para mi, trabajar en un proyecto de larga duración resulta emocionante el tener tantos elementos y al mismo tiempo activar algo tan abierto y heterogéneo. La colaboración entre los organizadores también es interesante, ya que ahora realizan ‘versiones’ del concierto original en sus respectivas ciudades. Obviamente, hay una doble emoción relacionada con ello, pero aun así, eso es de lo que ha tratado el proyecto desde el principio. Encuentro que es emocionante– y adecuado - el hecho de delegar parte del control a la hora de trabajar en exposiciones y eventos. De las distintas partes de este proyecto, creo que esta es la más interesante: tratar de crear un formato más flexible a la hora de mostrar las cosas.”

 

POSTERIORES DESARROLLOS DEL  PROYECTO

“Tras la acogedora experiencia a la luz de las velas en Östersund, la cosa cambió totalmente al organizar el evento en la Feria de Arte Frieze en el Regents Park de Londres en octubre de 2003. Cuando estábamos con la prueba de sonido en una sala de conferencias desmontable que iba a acoger el concierto, los directores de la feria recibieron una llamada del propietario de la galería de al lado diciendo que no podía oír lo que decían sus clientes. Todo fue muy diferente al tratar de encajar en un contexto en el que sientes que contrastas de modo evidente sólo por el hecho de estar ahí – aunque, en primer lugar, esto fuese un proyecto de arte.”

“Después del evento de Londres creo que Mats, Helena y yo empezamos a sentirnos más seguros y relajados ahora que el proyecto había sido llevado a cinco ciudades: Estocolmo, Eskilstuna, Norrköping, Östersund y Londres. ¡Todo iba genial! En algún momento incluso creímos que este concepto nunca podría fallar…”

“Pero, un mes después fuimos a Vara, una ciudad muy pequeña de Suecia. Ahí, el proyecto se incorporó a un gran campamento cultural para la juventud, en que los jóvenes de los países bálticos vinieron a la sala de conciertos de la ciudad y participaron en todo tipo de talleres culturales durante una semana. Y Ya No Me Quieres fue uno de los proyectos en los que se supone que tenían que trabajar. Lo que hizo de esta experiencia algo tan diferente (y difícil), fue que su profesor les indicó, que debían hacer estas versiones, y no tenían elección. Un elemento muy importante de este proyecto es la libertad de elección y el hecho de que traigas algo contigo en el proceso, el miedo a lo que puedas perder o el especular con lo que puedas ganar, o cualquier otra razón por la que decidas participar. ¡Pero siempre debe ser decisión tuya!”

“La próxima parada no fue en Suecia sino en Helsinki, Finlandia. En ese momento todos mis prejuicios sobre la movida musical finlandesa se vieron confirmados cuando los músicos vinieron a la prueba de sonido con todo tipo de equipos electrónicos: game boys, sintetizadores y ordenadores caseros. Ni siquiera había suficientes enchufes para instalar todo y el concierto se retrasó durante horas.”

“En marzo de 2004 nos acercamos más a Roky Erickson, con la visita a Chicago, donde el evento fue organizado por Kristen Van Deventer, un entusiasta de la música que trabajaba en la Vedanta Gallery con muchos contactos, algunos de los cuales, eran de los mejores músicos de la ciudad.  Cuando realizamos los eventos en Suecia muchos de los músicos no habían oído hablar nunca de Roky Erickson. Aun así participaron. Algunos habían oído hablar de mi sello discográfico tomándolo como algún tipo de garantía y otros colaborarían por otras razones, la canción por ejemplo. Pero una de las cosas buenas relacionadas con el evento de Chicago era que esta vez nadie sabía quién era yo. Sin embargo, todo el mundo conocía a Roky Erickson, así que el evento se convirtió en una especie de tributo a Roky, cosa que fue muy bonita y bastante diferente de lo ocurrido en ocasiones anteriores.”

“El evento de Chicago debía haber sido la última parada del tour. Por muchas, y buenas razones no podía trabajar en ninguna obra nueva y empezaba a sentirme un poco atrapada. Así que durante el próximo par de meses no tuvo lugar ningún tipo de evento y rechazamos alguna de las propuestas que surgieron. Aún así, en Timisoara, Rumania, el grupo Makunochi Bento creó un remix en octubre de 2004. Y, mientras escuchaba esta versión en Rumania, recibí una llamada de Michael Stanley que trabaja en Milton Keynes, una ciudad a las afueras de Londres, preguntando si podíamos hacerlo otra vez. Al tener la canción en mente de nuevo, no podía decir que no. Así que en marzo de 2005 hubo otro concierto en Middletown may, el centro comercial de Milton Keynes, una nueva ciudad, de 35 años de antigüedad que, podría decirse, existe en torno a su centro comercial.”

“Sentada ahí, en medio del centro comercial, el evento se me hizo un poco extraño, porque justo en medio de los conciertos surgió un recuerdo de mi adolescencia en el pequeño pueblo de Jönköping cuando cantaba en un coro religioso, en realidad porque no había mucho más que hacer. De todos modos, de improviso me acordé de mí misma en un viaje a Estocolmo con el coro, en que nos pusimos a cantar en medio de un centro comercial del sur mientras los transeúntes paseaban. El estar en un evento en un espacio público como éste, me dejó un poco loca de repente. Puede que para mí, todo se reduzca a esto: la elección que realizas también como espectador de tomar parte o no.”

“Resulta gracioso sentarse aquí y hablar de ello en Ámsterdam porque, mientras hablo, se están planificando tres nuevas actuaciones de Todavía No Me Amas aquí en Holanda que tendrán lugar en Utrecht, el 19 de mayo, en el Festival a/d Werf, luego en agosto en el Theaterfestival Boulevard en Den Bosch y finalmente en el De VeenFabriek de Leiden en noviembre de este año. Así que para todos los oyentes holandeses, podéis considerar esto una invitación a participar, si queréis uniros a este proyecto y realizar una versión de la canción en algunas de las ciudades, poneros en contacto con Annie Fletcher, Frederique Bergholtz y Tanja Elstgeest que están organizando este evento conjuntamente.”

 

EPÍLOGO

“De hablar de ello, a hacerlo, y finalmente a estar sentada aquí escribiendo sobre ello. Realizamos los tres eventos en Holanda como ya dije. Fue bastante bien, creo yo. De hecho, fue tan bien la primera vez en el Festival a/d Werf de Utrecht que casi me sentí un poco rara al respecto. ¿A dónde se había ido toda la tensión y los nervios? Esa atmósfera de ansiedad y opresión en que podías percibir los sentimientos encontrados de desgana y entusiasmo y la preocupación entre canciones, sobre lo que iba a ocurrir luego, ¡se había evaporado totalmente! El evento de Utrecht fue muy agradable y llevadero: era un espectáculo ver a la gente aplaudir, cantar y ¡hasta hacer chistes y reír! Estaba asombrada. Me di cuenta de que quizás este sería mi primer contacto con el modo fácil y relajado que tienen los holandeses de socializar, haciendo cosas juntos sin ningún tipo de problema o de lucha, ¡colaboraban por el placer de hacerlo! ¡Así de simple! Fue genial, aunque un poco extraño darme cuenta de que las funciones que trataba de desempeñar con el proyecto no tenían cabida aquí. Empecé a pensar que a lo mejor no había la misma necesidad de hacer el proyecto en Holanda. Pero entonces, en una tarde lluviosa de agosto, cuando las sensaciones de festival veraniego se encontraban muy lejos, volví a estados de ánimo más desagradables entre el más reducido y dubitativo   público del Theater aan de Parade en Hertogenbosch. La atmósfera evolucionó gradualmente con cada nueva actuación y asombrosamente, al final, la gente simplemente no quería dejar de tocar: bises, una y otra vez.

Finalmente, el 27 de noviembre de 2005, el evento que fue anunciado como la última parada del tour Todavía No Me Amas tuvo lugar en Leiden. Fue el evento más masivo, con unas veintisiete bandas que tocaban durante dos horas de extremo frío en la helada VeenFabriek, que no había sido todavía reformada. Antes de que los grupos empezasen a tocar, y durante mi discurso de apertura subrayé el carácter exclusivo de este evento, hablando de lo final que era. Al mismo tiempo me sentí algo estúpida, de pie ahí diciendo eso, aun a sabiendas de que todo este tour por Holanda ni siquiera debería haber ocurrido, porque la parada anterior, en Milton Keynes – no, en realidad la de Chicago, o incluso la de Ystad era ¡la auténtica parada final…! Y esto es algo sobre el proyecto que me ha parecido tan impactante; el darme cuenta de que a lo mejor ni siquiera puedo pararlo. Ya no es mi proyecto y, por supuesto, no es mi canción. Cualquiera puede venir y hacerlo, y a lo mejor incluso mejor.

Y esa fue además una de las conversaciones más interesantes que mantuvimos al hablar de si el proyecto podría tener ‘otra oportunidad’ realizando un tour holandés, tras la parada final en Milton Keynes el año anterior. Empezamos a hablar sobre las diferencias entre realizar performance y proyectos de arte, el mundo del arte comparado con el mundo del teatro, o el mundo de la música. Una obra de teatro, un concierto o un tour, mejoran con cada actuación, cuanto más viaja y más oportunidades tiene la gente de participar. También en el mundo del arte, se da la sensación de que no está mal repetir algunas cosas, de hecho, ¡es algo bueno! Pero no demasiadas veces, entonces puede arriesgarse a perder credibilidad o valor, su singularidad como “objeto de arte/proyecto”. Por tanto, al discutir los modos de trabajar en arte, y cómo crear algo que tenga una función, mostrando las diferencias y las similitudes entre estos ámbitos, se hizo irresistible la necesidad de seguir explorando esta idea. Otro de los aspectos más interesantes de trabajar con este proyecto en Si No Puedo Bailar… era la noción de repetición. El tomar un proyecto ya de por sí repetitivo y repetirlo tres veces dentro de sí mismo, y en un área tan reducida, y encima, en sólo un par de meses, acabó por ser algo fascinante y desafiante. Y estoy tan contenta de contar con los mismos músicos una y otra vez en las distintas ciudades holandesas, como el fabuloso coro de pescadores De Rotte Herders que en su segunda participación llevaron su versión aún más lejos transformándose a sí mismos y a la canción, de formato folk tradicional cantada en un dialecto específico, a un rap súper chulo (¡también en holandés!). Pero para mi, también ha sido un placer trabajar con el mismo fantástico grupo de gente, como por ejemplo Joris Tideman y su gran modo de encontrar y trabajar con músicos, no sólo para un evento, sino una y otra vez, y tener la posibilidad de rehacer cosas, y trabajar con ellas, teniendo en cuenta las malas experiencias para hacer un trabajo más acabado la próxima vez.

Así que, ahora que todo ha acabado, y teniendo en cuenta que el último evento fue tan agradable, no puedo dejar de pensar en la vaga aunque sugestiva propuesta que escuché el otro día, pues alguien me dijo “sólo debía pensar en las posibilidades” de realizar un concierto de Todavía No Me Amas en San Francisco e imaginar “cuantos grandes músicos hay en esa zona. Sólo una vez más…”

 

 

 

 

 

 

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2004. Fernando Sánchez Castillo. PERSPECTIVA CIUDADANA (texto publicado)

El objetivo del proyecto era acercar al espectador las calidades de las esculturas ecuestres que, por su propia naturaleza elevada, se muestran inaccesibles al espectador de a pie.

Especialmente destacable es la estatua de Felipe IV situada en la Plaza de Oriente. En una limpieza reciente, ante la riqueza de detalles, los responsables del Ayuntamiento invitaron al Departamento de Vaciado de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando a sacar moldes de las partes más significativas. Se obtuvieron moldes de la cabeza del caballo, una pata, los guantes del Rey y otros pequeños detalles susceptibles de ser destruidos por la contaminación.

Además se encontraron detalles y motivos desconocidos, no catalogados, que adornaban la silla y las riendas. La calidad con que se esculpieron, fundieron y cincelaron les hace merecedores de ser conocidos y admirados por los ciudadanos.

La obra, que mostró sobre una tarima baja los fragmentos fundidos en bronce de la estatua, actúa además con las mismas estrategias populares del falso histórico o la ruina romántica, recuperadas por la postmodernidad hasta el infinito y pretende también defender el cuestionamiento continuo de los héroes impuestos o deseados que históricamente han sido eliminados y rápidamente sustituidos. Perspectiva ciudadana quiso recuperar la capacidad de pensar como esencia del hombre contemporáneo.

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (documentación técnica)

 DESCRIPCIÓN DE LA INSTALACIÓN

La instalación consiste en una gran – 5,5 m (largo) x 4,5 (alto) Banda Sonora de la Realidad (ver documentación) en una pared. En frente de una pared, hay una pequeña radio con antena que transmite RS. En el suelo, hay 25 recibidores de radio esparcidos por el lugar, transmitiendo sonido a un volumen moderadamente alto. Al lado de la pared hay una televisión con elementos de vídeo de las instalaciones previas, y una mesa con fotocopias A4 de mapas de instalaciones anteriores.

Web(en construcción)

En la web está toda la documentación sobre Banda Sonora de la Realidad. Es posible descargar sonido en formato MP3, e imprimir la Banda Sonora de la Realidad, que tiene incorporadas todas las instrucciones necesarias para realizar la intervención – es una especie de composición para realizar la intervención. 

La web nos permite una realización global de la intervención sonora, lo que significa también, que mi presencia como autor del proyecto no es absolutamente necesaria para llevarla a cabo.

NECESIDADES TÉCNICAS

Para la intervención- tiempo de preparación: 2 días completos- 1 transmisor de radio FM* con antena* o colaborar con una emisora de radio ya existente- 25 o más participantes que llevarían las radios- 25 receptores de radio portátiles*- 96 baterías de radio*yo tengo este material

Para la instalación- tiempo de preparación: 2 días completos- pared blanca de 5,5 m (largo) x 4,5 m (alto)- 20 m2 de espacio frente a la pared- 2 mesas 1m x 1m- 1 reproductor de DVD- 1 monitor de TV

 

 

 

 

 

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2004. Etoy CORPORATION (texto publicado)

 Participante como artista invitado, etoy.CORPORATION instaló su base de operaciones móvil, estudio y nodo de Internet, en pleno corazón de Madrid. Su intención fue la de presentar un experimento comercial al filo de la realidad, que responde a la propuesta de Madrid Abierto de analizar el funcionamiento de la industria del arte. Dos etoy.CARGO-TANKS (contenedores de carga) tomaron tierra en la Plaza de Colón, durante la noche del 29 al 30 de enero de 2004.

etoy, famosa por sus proezas de relación publica subversivas, tales como el secuestro digital (1,5 millones de rehenes en 1996); o el conflicto en 1999 disputado en la red con la compañía americana eToys Inc., la cual, en sus mejores tiempos, estuvo valorada en el NASDAQ en 10 billones de dólares americanos (TOYWAR, con cuatro billones de dólares, la más costosa acción en la historia del arte). etoy ha ganado varios premios internacionales de arte (ars electronica, swiss art award, etc.), y aparece regularmente en medios de comunicación tales como la CNN, WIRED NEWS, WASHINGTON POST, NZZ, TATE PUBLISHING, EL PAÍS, etc.

Entre el 5 y el 22 de enero, 15 etoy.AGENTES de Italia, EE.UU., Alemania, Suiza, Bélgica y España, se unirán en el mundo físico para gestar una espectacular y vital instalación en la Plaza Colón. Vestidos con sus uniformes y equipados con idénticas herramientas de alta tecnología, la etoy.TRIPULACIÓN llevará a cabo un análisis de la industria del arte, para explorar la aceptación por un diferente tipo de cultura económica. La cuestión fundamental es: ¿están los coleccionistas, las galerías y la población españoles preparados para cambiar el tradicional objeto de posesión (pinturas, fotografías y esculturas), la autoría (maestros y estrellas), y pasar a probar un sistema alternativo de producción de arte? agente.MARCOS / etoy.CFO: "¡Es tiempo de cuestionar los modelos establecidos del intercambio ecónomocultural!".

EL EXPERIMENTO

etoy.CORPORATION ofrecía participar en una obra de arte abierta, que no ha sido producida o definida todavía. Los coleccionistas visitantes de ARCO, así como la gente en la ciudad, quienes normalmente no compran arte, tuvieron la oportunidad de adquirir etoy.

PARTICIPACIONES

Seis diferentes paquetes de inversión (desde 2 euros a 30.000 euros) permiten la participación en una muy especial obra de arte.etoy.CORPORATION usaría todas las inversiones adquiridas en Madrid, para crear y documentar valores culturales concretos en el mercado hispano dentro de los cinco próximos años (escala y ubicaciones dependían del volumen y de los socios estratégicos). Con su inversión, los accionistas culturales tienen el derecho a votar las propuestas y resoluciones de proyectos. etoy.CORPORATION organiza el proceso de desarrollo y sirve como centro de información, para coordinar planificación y producción de esta operación mundial. El sistema avanzado de etoy que permite votación por Internet, a través de etoy.BLOGS y etoy.CHATS, así como muchos años de experiencia, garantizan el máximo impacto (REGISTRO DE LA VIDA EMPRESARIAL: www.etoy.com).

Los nuevos propietarios de etoy (con ya 2.500 participantes en todo el mundo) financiaron, produjeron y controlaron el etoy.PROYECTO español. Su contribución y participación como propietario es certificada por una tarjeta de accionista o un único etoy.SHARE-CERTIFICATE (véanse ejemplos en http://secure.etoy.com/, o bien en www.etoy.com), los cuales les dan acceso a los informes internos y a los procesos de votación de posteriores etoy.OPERATIONS.

EXENCIÓN DE RESPONSABILIDAD

etoy.CORPORATION es una escultura corporativa global con la finalidad de compartir beneficios culturales, en lugar de maximizar la riqueza financiera. etoy es una marca registrada de etoy.VENTURE association. Éxitos pasados no pueden garantizar rendimientos futuros. Recompra de capital social estrictamente limitado.

MISIÓN

La CORPORACIÓN etoy es una estructura colectiva formada oficialmente en zurich en 1994. etoy es un típico promotor (online desde 1994) que se desarrolló rápidamente, transformándose en un líder polémico del mercado en el campo del arte y el entretenimiento experimental en Internet. acciones y servicios como el secuestro digital (1996), etoy.TIMEZONE (1998), TOYWAR (1999/2000) o etoy.DAYCARE (2002) son clásicos del arte. la CORPORACIÓN etoy pertenece a más de 2000 ACCIONISTAS etoy: coleccionistas internacionales de arte, capitalistas de riesgo, los AGENTES etoy, la ADMINISTRACIÓN etoy, admiradores y varios cientos de soldados TOYWAR (que protegieron la MARCA etoy durante la batalla legendaria del TOYWAR). Los INVERSORES etoy controlan y poseen la estructura corporativa etoy.

etoy no vende objetos de arte individuales. etoy vende, intercambia y comercia partes de sí mismo: las "ACCIONES etoy" representan participación y valor cultural. las 640.000 ACCIONES etoy disponibles en el mercado internacional de arte igualan a 100% del PODER etoy (=100% de la compañía). los CERTIFICADOS DE ACCIONES etoy y las TARJETAS DE CÓDIGOS MAGNÉTICOS etoy, únicos y registrados, garantizan la limitación estricta de las ACCIONES etoy.

Desde 1998, los TANQUES etoy de color naranja (contenedores de transporte normalizados, sin ventanas, 12 por 6 metros -iconos de la globalización) conforman el sistema móvil y multifuncional de las oficinas de etoy incluyendo estudios, hoteles, salas de conferencia etc. dondequiera que se necesita a etoy en el mundo físico, los TANQUES naranja de etoy aparecen o desaparecen de la noche a la mañana para infectar la manera en que piensa y siente la gente (es decir en SAN DIEGO, SAN FRANCISCO, NUEVA YORK, ZURICH, TOKYO o TORINO entre 1998 y 2003). según la situación del mercado y de los proyectos, entre 5 y 15 AGENTES-NÚCLEO etoy (actualmente 4 mujeres y 11 hombres en suiza, austria, italia, alemania, japón y los ee.uu.) conforman el equipo de producción e investigación de la CORPORACIÓN etoy. la ADMINISTRACIÓN etoy (2 de 3 DIRECTORES etoy deben firmar los contratos) lleva a cabo el negocio diario.

etoy ganó varios premios internacionales de arte (e.g. la golden nica en la categoría .net / prix ars electronica) y regularmente aparece tanto en la TV (invitada y no invitada) como en otros medios para inyectar el VIRUS etoy: el new york times, el silicon valley reporter, el washington post, wired news, npr, le monde, der spiegel, nzz, woz, la repubblica, relax japan, etc. MIEMBROS DEL EQUIPO etoy dieron conferencias y hablaron en el laboratorio de media de la MIT en boston, la UCSD en san diego, el DASARTS en amsterdam, el ETH zurich, el gottlieb duttweiler institute, el intercommunication center icc en tokyo, el interactive institute en stockholm y en muchos festivales internacionales.

 

RECTIFICACIÓN etoy: las INVERSIONES etoy no están enfocadas para conseguir beneficios económicos.

EL RIESGO etoy se trata de rentas culturales, beneficio social y capital intelectual generados con los recursos invertidos

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (documentación teórica)

 INTERVENCIÓN SONORA MÓVIL EN ESPACIOS PÚBLICOS (2003)

ConceptoEl objetivo de la intervención es trasponer una situa­ción real en un espacio público a un plano de ficcio­nalidad. La intervención sonora altera el modo de percepción del oyente-transeúnte casual. Lo que el oyente ve se transforma en una ficción y en el soporte de que lo que oye. El resultado de esa alienación es que el oyente deja de percibir la realidad como algo que tiene un efecto inmediato en su existencia para percibirlo como un fenómeno estético. Este hecho, sin embargo, puede entrañar una amenaza directa contra su propia existencia.

 

DESCRIPCIÓN DEL PROYECTO

RS (REALITY SOUNDTRACK) es una intervención sonora en espacios públicos tales como oficinas de correos, pasajes, centros comerciales, calles...

Los portadores del sonido son personas provistas de pequeños receptores de radio (25 o más personas, cada una de ellas con un receptor).

Todos los receptores de radio transmiten la misma composición electrónica, que se emite desde una emisora móvil de corto alcance, o, aún mejor, desde una emisora de radio ya existente.

Todos los participantes-portadores caminan juntos por lugares de una ciudad, siguiendo una pauta de movimiento determinada. El resultado audible de la acción es una nube móvil de sonido que viaja a través de una ciudad.

La duración de la intervención es variable, preferiblemente en torno a 2 horas, por la tarde.

 

REALITY SOUNDTRACK SE HA PRESENTADO HASTA AHORA EN

2003- BREAK 2.2 Invisible Threat - Festival Internacional de Arte Contemporáneo de Ljubljana (Eslovenia) –- INTERVENCIÓN- 4ª Trienal de Arte Esloveno Contemporáneo “U3” - Museo de Arte Moderno, Ljubljana (Eslovenia) – PRESENTACIÓN SONORA

2004- Galería Public Space With a Roof y Radio Amsterdam FM, Ámsterdam – (Holanda) - INTERVENCIÓN e INSTALACIÓN- BREAKTROUGH – Perspectives on art from 10 new EU member states, La Haya (Holanda) – INTERVENCIÓN E INSTALACIÓN EASA 2004 - Asamblea de Estudiantes Europeos de Arquitectura, Rubaix (Francia) – TALLER DE 14 DÍAS CON ESTUDIANTES DE ARQUITECTURA, diferentes intervenciones.- SOUNDING OUT 2 - Simposio Internacional sobre el Sonido y los Medios, Universidad de Nottingham (Reino Unido) – CONFERENCIA CON EL TÍTULO: “Reality Soundtrack – transforming the perception of reality by means of sound intervention”- CONTEMPORANEA 2004 - Festival Internacional de Música Contemporánea, Udine (Italia) – INTERVENCIÓN- INTERVENING URBAN VOID – proyecto de investigación sobre estrategias de intervención en la ciudad, galería.- “Public Space With a Roof”, Ámsterdam (Holanda) – CONFERENCIA “... transforming the perception...”- COSMOPOLIS – microcosmosXmacrocosmos, Bienal Balcánica de Arte Contemporáneo, Museo Estatal de Arte Contemporáneo, Tesalónica (Grecia) INSTALACIÓN (intervención).- 7 SINS – LJUBLJANA – MOSCOW, ARTEAST EXHIBITION, Museo de Arte Moderno, Ljubljana (Eslovenia) – INSTALACIÓN (versión reducida)

2005- RADIODAYS – exposición invisible, galería DE APPEL, Amsterdam – RADIO TALK. www.radiodays.org/program_detail.php?programID=187- GAUDEAMUS MUSICWEEK – Festival internacional para jóvenes compositores, MUZIEKGEBOUW, Ámsterdam (Holanda). INTERVENCIÓN, INSTALACIÓN, CONFERENCIA.

  

 

 

 

 

 

 

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2004. Maider López. CARTELES PUBLICITARIOS Y BANDEROLAS (texto publicado)

A la hora de abordar su trabajo la artista prefiere centrarse en la ocupación formal del espacio y en el calibrado de su dimensionalidad física y objetual.

Le interesa la reflexión lingüística sobre lo que la pintura quiere decir o no y, también, descubrir las complicidades que han establecido pintura y arquitectura en la comprensión del hábitat humano y por extensión urbano. El lugar de la intervención es el Paseo de Recoletos, sirviendo a su vez de enlace entre los distintos proyectos de Madrid Abierto.

Por ello, se planteó un proyecto en el que la intervención pictórica se extiende a soportes no habituales como son las banderolas y los carteles publicitarios, y que al mismo tiempo están integrados en nuestro espacio colectivo urbano.

Un paseo por la calle es una continua identificación de signos. Un bombardeo de imágenes que nuestro cerebro ha aprendido a ignorar o prestar atención a través de una mirada selectiva.

Todo a nuestro alrededor son códigos descifrables: semáforos (verde = pasar, rojo = parar, etcétera), señales de tráfico, publicidad ( tanto mediante textos como con grafismos que también identificamos).

Pero, ¿qué pasa cuando las señales de tráfico no dicen lo que reconocemos y cuando los carteles publicitarios nos hablan en un código que no sabemos leer?

PUBLICIDAD QUE APARENTEMENTE NO ANUNCIA NADA.

CARTELES PUBLICITARIOS QUE EN VEZ DE REMITIRNOS A UN NUEVO OBJETO, SON AUTORREFERENCIALES.

CARTELES QUE LO ÚNICO QUE ANUNCIAN SON A ELLOS MISMOS.

 

 

 

 

 

 

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2006. Nicole Cousino + Chris Vecchio. SPEAKHERE! (documentación técnica)

¡INSTRUCCIONES PARA LA INSTALACIÓN HABLAQUÍ!   ¡GRACIAS!!!!

 

PUNTO A

1- desenchufa el cable principal

2- desenrosca el disco negro que está en medio del gran disco metálico

3- retira el disco metálico con cuidado – adherido con un clavo más

4- abre la caja con cuidado – puedes dejar la estructura de plástico en el suelo

5- desenganchar todos los cables eléctricos, cable de micro y de antena del transmisor de radio

6- cerrar la tapa de la caja para que la estructura se mantenga de pie

7- usar un pequeño destornillador para destornillar las distintas secciones. La sección del micrófono puede mantener el micro enchufado en su interior. La sección más elevada tiene la antena. Retira cada sección empezando por arriba y deberías ser capaz de tirar la antena hacia arriba. Si no se realiza con facilidad entonces tienes que retirar otra sección para desconectar dos cables que pueden estar pegados a la zona en curva

8- la sección final que está adherida a la base puede ser retirada abriendo la caja y quitando los tornillos que mantienen el anillo unido por un lado. El otro lado se mantiene con tornillos y también puede sacarse desde dentro de la caja

9- todos los tornillos podrían ser puestos en una caja y enviados dentro de la caja de plástico

10-  necesitarás una llave inglesa para quitar los tornillos que enganchaban la caja a la acera

11- hay cajas para la radio ICOM y el suministro eléctrico ASTRON. Pueden ser envueltas en papel burbuja y enviadas dentro de la caja de plástico que forma la base – asegúrate de que todo está bien empaquetado para que no haya traqueteo entorno a la caja

12- cada parte de plástico y el plato metálico pueden ser envueltos en papel burbuja y deberían poder encajar en las cajas en las que venían

 

PUNTO B

1- desenchufa el cable principal y elévalo del suelo y guárdalo en los arbustos para que luego Pedro o alguien pueda desconectarlo de la caja verde principal

2- abrir la caja y desconectar todos los cables del receptor de radio

3- dentro de la caja deberías ser capaz de desenroscar las tuercas del ojal de plástico gris que engancha los manguitos del altavoz a la caja y saca los cables del altavoz desde dentro de la caja

4- necesitarás una escalera y un destornillador grande para desconectar el cable que engancha los altavoces al poste. Desconectar cada altavoz

5- cada altavoz tiene un mango verde con el cable. El cable del altavoz necesitará estar desconectado del altavoz mismo antes de que el manguito sea retirado

6- los dos altavoces mayores tienen múltiples secciones. Desenrosca la sección donde está el altavoz primero y quita los cables del altavoz

7- los cables del altavoz en los manguitos verdes pueden ser desconectados de los altavoces al desenroscar el conector gris

8- los cables que hay en los manguitos verdes se enrollan

9- los altavoces pueden ser desenroscados entonces y divididos en secciones separadas

10- el altavoz más pequeño que parece una maceta – no te esfuerces en desenganchar el manguito del altavoz – puede permanecer como una sola pieza

 11- hay cajas para la radio ICOM, el suministro ASTRON, y el amplificador SONY. Este equipo puede envolverse en papel burbuja, empaquetado dentro de la caja verde y enviado así

 12- las partes del altavoz deberían ser envueltas en papel burbuja y deberían encajar en las cajas o puede que necesites una caja adicional para meter todo

      13- el poste de madera o “árbol” puede retirarse o quemado en el lugar y las cenizas ser tiradas entre los arbustos

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2006.11 / documentación visual)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2006.11 / documentación visual)

 

      

     

  

(Noviembre 2006) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. El Perro. VIRTUAL DEMOLITION MOBILE (texto publicado)

 La progresiva presencia de la imagen en la calle, como nuevo canal publicitario, necesita de estrategias que den cabida a la emisión de mensajes con un máximo de eficacia. La tradicional imagen del cartel publicitario empieza a ser desplazada por la imagen en movimiento incorporada en escaparates y próximamente en marquesinas y paneles publicitarios. El concepto de vía pública como espacio de conflicto continuado, tan próximo a las teorías afines a los postulados de la democracia radical, es cierto si lo entendemos como lucha por la imposición de mensajes, ya políticos, ya comerciales. Hace tiempo que en las democracias avanzadas, los espacios de poder se asocian con los flujos informativos. El ofrecer una posibilidad de intervención directa en un canal comunicativo supone también dar cabida a nuevos discursos, ante la dificultad de inserción de estos en medios altamente controlados, como puede ser la televisión (recordemos las dificultades de Addbusters y Media Foundation para emitir sus anuncios subversivos en cadenas generalistas, aún pagando), la vía pública se nos presenta como un espacio comunicacional abierto. VDM es una nueva tecnología de emisión de mensajes, un vehículo dotado de un proyector de vídeo que funciona mientras éste circula por la ciudad. Virtual Demolition Mobile ofrece el espectáculo de la ciudad en llamas, un espectáculo inocuo en tanto que virtual. Una prolongación lúdica de los temores de la sociedad urbana de nuestro tiempo.

La imagen de la ciudad como escenario de catástrofe se constituye en la imagen espectacular de nuestros días. Una experiencia estética de primer orden es ese espectáculo mediático ofrecido por las cadenas de televisión a todas las salas de estar de nuestros hogares, la seguridad y el confort con el que se recibe la información contrasta con la catástrofe en sí.

Virtual Demolition Mobile es un producto que busca la mercantilización de la experiencia.

Y aunque, tal y como afirma Ogilvey, surjan voces que se opongan a la “mercantilización de la pasión”, han de reconocer que la pasión es más segura cuando se recluye en el mercado que cuando se sublima con la religión o la política y entra en erupción.

La propuesta se desarrollará en Madrid en 3 fases:

1º Comunicación a los ciudadanos de Madrid, solici­tándoles su participación vía correo electrónico, a tra­vés del cual pudieron elegir el edificio o monumento de Madrid que querían someter a una demolición virtual. Esta comunicación completó con una distribución de publicidad en el lugar donde se ubicó la intervención.

2º Comunicación de fecha y hora para las demoliciones virtuales democráticamente elegidas.

3º Demolición virtual.

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (ubicación propuesta)

Situadas en el centro de Madrid y a lo largo de sus bulevares más transitados, en mitad de conjuntos históricos representativos y en zonas verdes, las instalaciones hurtarían al viandante tramos de espacios públicos, haciéndolos inaccesibles o invisibles.

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual IV)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual IV)

 

   

Fotografías no autorizadas por la Dirección de Metro. El motivo de esta decisión es el de no herir susceptibilidades entre sus clientes.

(Enero 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Diana Larrea. EL PALACIO ENCANTADO (texto publicado)

Este trabajo está incluido en una nueva serie de piezas en las que la artista ha partido de diferentes mitos cinematográficos para recrearlosde manera literal, intentando reproducirlos deliberadamente con toda exactitud y fidelidad.

En este caso, su propósito consistió en apropiarse de una imagen mítica procedente de la película Los pájaros de Alfred Hitchcock, y volver a reconstruirla de nuevo como una realidad tangible. Para ello, invade toda la parte frontal de la fachada de la Casa de América con multitud de cuervos negros hechos de un material sintético que se situan posados sobre las cornisas del edificio, ventanas, balcones, etc...; de tal manera que lo cubran prácticamente todo como si se tratara de un enorme enjambre de abejas. Al igual que sucede en el film, la presencia amenazante de los pájaros dentro de un entorno cotidiano alterará nuestra visión habitual de la realidad diaria.

La base de este trabajo se encuentra en el momento en que el espectador, al contemplar esta imagen que se encuentra omnipresente en nuestra memoria colectiva, la identifica y reconoce de inmediato evocando el modelo original de la película. Le interesa a Diana Larrea reflexionar acerca del concepto de mito como imagen cultural que actúa en la integración de los individuos. Al contrario de lo que se ha dicho, cuanto más se utiliza un mito más conserva su sentido esencial, afirmando su poder en el mundo de las ilusiones colectivas. La fuerza del mito radica en que nos da una conciencia de la realidad mucho más intensa que la propia realidad.

La simbología de esta imagen se encuentra presente en el mito universal del castigo divino. Tal y como relata el Antiguo Testamento en el episodio de las Plagas de Egipto, esta ocupación de las aves que acechan será algo inexplicable e insospechado por nosotros. Al repetir con esta réplica artística un acontecimiento similar en nuestro mundo actual, se hace referencia a estas temidas profecías que inexorablemente siempre se cumplen. El hecho de que una imagen procedente del mundo fantástico de nuestras pesadillas se haga de pronto realidad, confiere al trabajo un cierto carácter siniestro que resulta inquietante.

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual III)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual III)

 

DÍA 11

 

 

DÍA 12

 

 

DÍA 13

 

 

DÍA 14

 

 

DÍA 15

(Enero 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (texto publicado)

 La solución a los problemas de emancipación. Lo que un joven de hoy necesita para vivir como quiere.

INDICACIONES

Se trata de un habitáculo hinchable, con forma de burbuja, que permite un alto nivel de independencia sin tener que salir de la casa familiar. Fácil de montar, proporciona un máximo confort con un mínimo esfuerzo, gracias a sus tomas de agua, electricidad y teléfono para ser conectadas directamente a la casa de los padres. De este modo el gasto es nulo.

Además del modelo BÁSICO de burbuja, existe una amplia gama de modelos diferentes pensados para cada una de las tipologías del joven actual. Uno de los modelos con más altas prestaciones es el EMANCIPATOR DELUXE. Este habitáculo dispone de la EMANCIPATOR- CARD, una tarjeta con la que poder realizar compras con cargo a la cuenta familiar. Otro de los modelos es el XXL, que proporciona un 33% de independencia extra. El FIRE-WIRE está fabricado con un avanzado tejido inteligente que se adapta a los cambios de luz y temperatura e incluye numerosas interfaces de entrada y salida. El AUTODETERMINATOR, pensado para quienes definitivamente no quieren tener nada que ver con sus padres, a pesar de que permanecen en su territorio. El SEXMANCIPATÓN, fabricado con un plástico similar al látex y con un interior permanentemente lubricado, ideal para llevar a la pareja a casa. El GARDEN, el ÉTER, el PUNCHETA.... Elige el tuyo.

RECOMENDACIONES

El uso de EMANCIPATOR BUBBLE está especialmente recomendado para personas de entre 18 y 34 años, que siendo supuestamente maduras, por diversos motivos socio-económicos (precariedad laboral, precio de la vivienda, comodidad...), se ven obligadas a retrasar su proceso de emancipación familiar y de inserción plena en la sociedad.

ADVERTENCIA

EMANCIPATOR BUBBLE no se entiende como un habitáculo de emergencia, pero sí de duración limitada. Estos límites los ponen el usuario o su familia y la propia resistencia del material.

Más información y especificaciones en www.emancipator.org y en Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.

 

EMANCIPATOR BUBBLE es un producto de BUBBLE BUSINESS S.A. Parte de una idea original de los arquitectos Alex Mitxelena y Hugo Olaizola, y está siendo desarrollado y dirigido por Saioa Olmo con la producción de AMASTÉ.

 

SAIOA OLMO (Bilbao, 1976) es licenciada en Bellas Artes en la UPV y Master de Diseño en DZ. Entiende su trabajo como un modo de producción de experiencias y situaciones de encuentro en las que el espectador tenga una función muy activa. Trabaja de un modo completamente interdisciplinar, muchas veces colectivamente. Sus últimos proyectos son: la comunicación y nueva imagen de ARTELEKU (con AMASTÉ); Chi-gua-gua, alrededor del mundo de la moda y la noche; o QUÉJATE_KEXATU, en el que se proporcionaba un espacio para la queja, etc. Actualmente, además de en EMANCIPATOR, trabaja en proyectos como PAIS VASCO TRADE MARK, un proyecto sobre el diseño de la identidad; FOYU, un grupo de postmúsica junto a Leticia Orue; o forma parte del laboratorio sobre vivienda LABITACIONES en Arteleku.

 

AMASTÉ (www.amaste.com) está dirigida por Txelu Balboa (Vitoria 1974) y Ricardo Antón (Bilbao, 1974). Se dedica a la producción y difusión de proyectos relacionados con la sociedad actual y la cultura contemporánea. Entienden la creatividad, no tanto como un modo de expresión individual, sino como un espacio colectivo de comunicación. Editan la revista ESETÉ, colaboran en numerosos proyectos interdisciplinares y están presentes regularmente en eventos como ARCO, SONAR, LAUS, etc. Actualmente preparan números de ESETÉ dedicados al sexo, el metro o las prohibiciones, unas mesas de debate sobre nuevas publicaciones para ARCO o su presencia en la Bienal de Lleida.

 

Además, Alex y Hugo participan como consultores, Pedro Pérez es el diseñador industrial que ha desarrollado el prototipo y hay numerosos colaboradores que nos ayudan a sacar el proyecto adelante, como por ejemplo: Arteleku, Montehermoso, el Dpto. de Juventud del Gobierno Vasco, Madrid Abierto, Bilbotex y un montón de gente más sin la que todo esto no hubiese sido posible.

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (documentación teórica)

Nuestro proyecto pretende poner de manifiesto la erosión y la ocupación del espacio público, algo que sucede tanto en el nivel privado (edificación ilegal en su mayor parte tolerada) como en el nivel institucional (medidas en su mayor parte impuestas e invasivas).

Para Madrid Abierto proponemos instalar una serie de "obras", o "trabajos de construcción", que consistirán en andamiajes de tamaño real, o vallas de seguridad, provistos de las habituales lonas, plásticos y pantallas para proteger del polvo.

Situadas en el centro de Madrid y a lo largo de sus bulevares más transitados, en mitad de conjuntos históricos representativos y en zonas verdes, las instalaciones hurtarían al viandante tramos de espacios públicos, haciéndolos inaccesibles o invisibles.

Las vallas de cerramiento sugerirían que sucede algo de lo que estamos excluidos y podrían aplicarse a espacios abiertos, zonas verdes, o edificios. Modificarían nuestra percepción del contexto en que se inserten, y del uso que hacemos de él. Crearían heterotopías contemporáneas, islas inaccesibles, lugares que sólo podrían recuperarse a través de la trasgresión. A lo largo de la duración de la instalación, recogerían todos esos pecios de información urbana que flotan a la deriva —carteles, anuncios, avisos, envoltorios, folletos— y actuarían como interfaz, como registro o segunda y sucesivas pieles de todas las otras ciudades y espacios posibles.

 

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual I)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (2007.01 / documentación visual I)

 

DÍA 1

         

           

              

 

DÍA 2

            

            

              

 

DÍA 3

          

            

           

 

DÍA 4

           

         

             

 

DÍA 5

            

            

               

 

DÍA 6

           

           

               

 

DÍA 7

           

           

              

(Enero 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

07inib1339 

2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (documentación técnica)

 DATOS TÉCNICOS

- Un segmento escogido de farolas es alterado para que la luz ilumine a “impulsos intermitentes” en un ciclo lento.

- Si las farolas usan bombillas alógenas tendrán que ser cambiadas por bombillas normales. El efecto de la bombilla (vatios) depende de la potencia de las farolas existentes. Las bombillas necesitan una mayor potencia, alrededor de 300-400 W para crear el mismo efecto visual.

- Unidad de control más tenue conectada al circuito de farolas.

 

INSTALACIÓN

- Esto debe llevarse a cabo por un electricista profesional. La unidad más tenue es una unidad común según los patrones de seguridad europeos, tiene sus propios fusibles para eliminar todo riesgo a la seguridad.

- Cambio de bombillas.

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (imágenes)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (imágenes)

 

         

         

          

         

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (ubicación propuesta)

 

Un segmento escogido de farolas es alterado para que la luz ilumine a “impulsos intermitentes” en un ciclo lento. Como tanto el Paseo de la Castellana como el Paseo del Prado están alineados con árboles, una parte de estas avenidas puede ser adecuada. Es importante que el lugar escogido sea transitado de noche por peatones. Un trecho alejado de zonas ajetreadas no es adecuado ya que la interacción entre obra y espectador es crucial.

Uno también debe tener en consideración que el área escogida no debe estar iluminada únicamente por las farolas intermitentes ya que esto puede producir una sensación de peligrosidad. El objetivo principal consiste en crear una situación extraña más que aterradora. De todos modos, ambos bulevares tienen farolas alternativas para el tráfico de vehículos que proporcionarán luz suficiente en el área escogida. Luces de tiendas cercanas, cafeterías y otros caminos iluminados que circunden el área determinada pueden ayudar cuando el camino esté en su fase de oscuridad.

Con sólo desconectar unas seis farolas haciéndolas iluminarse de forma intermitente ya se creará la sensación de extrañeza en que consiste este proyecto, ya que la oscuridad total no es el objetivo del mismo.

Versión ISe le da un efecto pulsante a un camino de unas seis a diez farolas.

Versión IIFarolas que rodean un espacio menor, una estatua o fuente serán usadas.

Versión IIISi es posible, un trecho largo de farolas (entre dos calles que se cruzan) con un efecto pulsante.

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (documentación teórica)

 Controlar las farolas a lo largo de un camino de modo que ilumine a “impulsos intermitentes”

Un segmento elegido de farolas es alterado para que la luz pulse en un ciclo lento. La luz normal es lentamente apagada hasta que no hay luz en el camino. Después de un rato corto la luz vuelve en toda su potencia, creando de ese modo una situación inesperada para los peatones.

La luz oscilante de las farolas en Camino Pulsante activan el sendero y le dan un comportamiento que lo aleja de las calles ‘normales’; su expresión es transformada y se descontextualiza. Esto pone en cuestión la idea de normalidad y la incertidumbre entorno a la vida humana, a pesar de que siempre hayamos tratado de dominar el mundo estructurándolo.

La inercia del cambio, el envejecimiento de los seres humanos y los cambios sociales, hacen difícil descubrir su curso o hasta hacerse consciente de él. Camino Pulsante juega con la conciencia de nuestro entorno, la percepción de él y la memoria de apariencia. Una calle y su iluminación pueden no ser lo que uno cree. ¿Estamos siempre seguros del camino que seguimos? ¿Consiste el ver en un objeto o evidencia de su existencia?

Versión I:Se le da un efecto de “impulsos intermitentes” a un camino de unas seis a diez farolas.

Versión II:Farolas que rodean un espacio menor, una estatua o fuente será usada.

Versión III:Si es posible, un trecho largo de farolas (entre dos calles que se cruzan) con un efecto pulsante.

ELEMENTOS DEL PROYECTO

Luz – La luz hace que las cosas sean visibles en la oscuridadLa luz puede ser brillante, tenue o totalmente ausente. En nuestro mundo contemporáneo estamos acostumbrados a luz artificial. De algún modo confiamos en que siempre estará ahí: ¿Qué ocurriría si de repente desaparece o si la luz crea un efecto visual que engaña a la mente, creando tan sólo una imagen?

Camino – Un camino conduce a algún lugar, va del punto A al punto BEl camino puede hacerse vago y difícil de encontrar de repente y puede bifurcarse en dos o más caminos dejando en tus manos la decisión de cual seguir.

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RÍO, LAS COSAS QUE PASAN (imágenes + material físico)

2005. Raimond Chaves. EL RÍO, LAS COSAS QUE PASAN (imágenes + material físico)

* EJEMPLAR FÍSICO DISPONIBLE * VER PDF ADJUNTO

MATERIAL: papelUNIDADES: 2 MEDIDAS: 173'5 x 120 cm

 

   

      

       

       

       

Imágenes de los muppis en distintas localizaciones en Madrid + vídeos proyectados en Canal Metro, en las pantallas del  Metro de Madrid.

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (documentación visual)

2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (documentación visual)

 

 

Secuencia oscilante (ciclo contínuo)Luz - oscuridad - oscuridad - luz, aproximadamente 30 segundos

 

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (cd audio)

2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (cd audio)

 

     

1 Feten2 Jimena y Dirk3 Adriana Tijeras4 Moakara5 Trisexual Band6 Smokes Pleasure7 Silnave & R. Positiva8 Bettina Semmer y Dirk Busch9 Bala10 Ea7_dmZ11 Santiago Caiced12 Los Guantalibanes13 Arbol14 Pepe Narvona y Pililly15 Francis Gomilla16 Pseudjo17 S.A.Y.18 Azucar Letal19 Claudia Sacher

Name Play Size Duration
01 Feten
Alonso Gil + Francis Gomila

2.9 MB 3:12 min
02 Jimena y Dirk
Alonso Gil + Francis Gomila

3 MB 3:17 min
03 Adriana Tijeras
Alonso Gil + Francis Gomila

1.9 MB 2:07 min
04 Moakara
Alonso Gil + Francis Gomila

5.7 MB 6:14 min
05 Trisexual Band
Alonso Gil + Francis Gomila

3.9 MB 4:19 min
06 Smokes Pleasure
Alonso Gil + Francis Gomila

2.8 MB 3:03 min
07 Silnave & R. Positiva
Alonso Gil + Francis Gomila

6.6 MB 7:13 min
08 Bettina Semmer y Dirk Busch
Alonso Gil + Francis Gomila

3.7 MB 4:00 min
09 Bala
Alonso Gil + Francis Gomila

2.3 MB 2:31 min
10 Ea7_dmZ
Alonso Gil + Francis Gomila

6.8 MB 7:25 min
11 Santiago Caiced
Alonso Gil + Francis Gomila

3.9 MB 4:13 min
12 Los Guantalibanes
Alonso Gil + Francis Gomila

6 MB 6:36 min
13 Arbol
Alonso Gil + Francis Gomila

4.8 MB 5:15 min
14 Pepe Narvona y Pililly
Alonso Gil + Francis Gomila

4.4 MB 4:50 min
15 Francis Gomilla
Alonso Gil + Francis Gomila

3.8 MB 4:07 min
16 Pseudjo
Alonso Gil + Francis Gomila

4.1 MB 4:27 min
17 S.A.Y.
Alonso Gil + Francis Gomila

1 MB 1:03 min
18 Azucar Letal
Alonso Gil + Francis Gomila

2.9 MB 3:11 min
19 Claudia Sacher
Alonso Gil + Francis Gomila

0.9 MB 0:58 min

 

 

 

 

 

 

 

07insc1361,07inic1362

2006. Arnoud Schuurman. COSAS QUE HACER HOY EN EL ESPACIO PÚBLICO (documentación teórica)

 El espacio público como algo dado; exige comentarios públicos sobre cómo comportarse, dónde acceder, cómo organizar el espacio, cómo moverse por él y a qué velocidad.

Para mi proyecto me gustaría añadir notas juguetonamente por la ciudad enfatizando y cuestionando estos aspectos.

DEFICINICIÓN DE ‘STICKIES’

Los "postit" fueron inventadas hace tiempo. Su invención se debió a un error al intentar producir una mezcla de papel-pegamento. Acabó por convertirse en un gran éxito y son usadas hoy en día en todo el mundo por oficinistas, amas/os de casa y todos aquellos con mala memoria.

Funcionan como una especie de mensaje que puede pegarse en cualquier tipo de superficie. Los mensajes generalmente contenidos en ellas varían de pequeñas observaciones a listas de cosas a recordar: eventos, ideas personales, etc.

No fallan a la hora de cumplir con su función y siguen visibles ante ti.

Para algunos funcionarán, para otros no.

PROPUESTA

Propongo crear una serie de notas de gran tamaño, o postit, para escribir comentarios y sugerencias sobre el espacio público y ponerlas en varios lugares a lo largo del eje del Paseo de la Castellana.

Mi intención consiste en realizar observaciones filosóficas sobre lo público, para enfrentar a la gente con ideas/sugerencias que centellen en la rutina para superar barreras. Estimular el diálogo entre gente de distinta procedencia será el elemento clave. Estas notas podrían contener frases sobre distintos asuntos, espacios, eventos, tabúes y cosas que la gente hace o intenta no hacer.

Estas notas tratarán sobre temas de su entorno, pero también tendencias contemporáneas globales.

El tema tratará de modo sutil algún asunto político, publicitario o de activismo. No será ninguno de ellos y todos ellos, por ahora. El mensaje podría tener un sentido geopolítico, sonar a comercial o pretender ser una exigencia activista, pero permanecerá en el ámbito artístico del mensaje filosófico.

El contenido que aparecerá en las notas estará claro de antemano y podrá ser objeto de revisiones posteriores.

‘Sonríe a los extranjeros’ es una sentencia que me gusta especialmente, ya que trata un asunto sociopolítico muy actual.

PRESENTACIÓN

Las notas podrían ser presentadas de distintas formas.

El modo en que serán puestas a disposición del espectador será crucial. Podría tratarse de una hoja gigante puesta en el séptimo piso de un edificio, una señal insistente en un punto de mal funcionamiento público, una plaza en que la gente suele salir, pero también una pequeña nota pegada sobre unas escaleras antes de entrar en el metro. Una gran variedad de perspectivas y contenido potencial.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (imágenes + material físico)

2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (imágenes + material físico)

PUBLICACIONES EN EL DIARIO EL MUNDO

* EJEMPLARES FÍSICOS DISPONIBLES PARA CONSULTA * VER DIFUSIÓN / IMPRESA

       

       

       

 

MUPPIS

* EJEMPLARES FÍSICOS DISPONIBLES MATERIAL: papelUNIDADES: 2 por imagenMEDIDAS: 173'5 x 120 cm

    

       

 

FOTOGRAFÍAS DE ALGUNAS UBICACIONES

    

              

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. COSAS QUE HACER HOY EN EL ESPACIO PÚBLICO (ubicación propuesta)

  Las notas podrían ser presentadas de distintas formas.

 

El modo en que serán puestas a disposición del espectador será crucial. Podría tratarse de una hoja gigante puesta en el séptimo piso de un edificio, una señal insistente en un punto de mal funcionamiento público, una plaza en que la gente suele salir, pero también una pequeña nota pegada sobre unas escaleras antes de entrar en el metro. Una gran variedad de perspectivas y contenido potencial.

Todavía no he estado en Madrid, así que no sé qué sería posible. Concibo Madrid como una gran ciudad con grandes plazas y avenidas.

De acuerdo con esta referencia estoy bastante seguro de que debe haber algún lugar adecuado para poner una nota crítica, declaración absurda y mensaje positivo.

 

 

 

 

 

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2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. THE BATTLE AND RYE OBSERVER

2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. THE BATTLE AND RYE OBSERVER

 

Muestra de un colaboración reciente de Grennan and Sperandio con jóvenes en forma de publicación en the Battle and Rye Observer.

Para más información visita www.kartoonkings.com

 

 

 

 

 

 

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2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (documentación visual / trabajos relacionados)

2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (documentación visual / trabajos relacionados)

 

 TRABAJOS RELACIONADOS

Muestra de un colaboración reciente de Grennan and Sperandio con jóvenes en forma de publicación en the Battle and Rye Observer.

Para más información visita www.kartoonkings.com

 

 

 

 

 

 

05prmc0488

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (postales)

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (postales)

 

    

Yolanda

 

              

Bárbara

 

    

Emily

 

    

Ana

 

    

Marta

 

    

Dagmar

** MATERIAL FÍSICO DISPONIBLE PARA CONSULTA

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (2006.11 / documentación visual)

2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (2006.11 / documentación visual)

 

FOTOMONTAJE

 

REFERENCIAS

Cuesta de Moyano

 

MAQUETA     

   

(Noviembre 2006)

 

 

 

 

 

 

 

07inib1325

2005. Simon Greenan + Christopher Sperandio. SOY MADRID (documentación teórica)

 Todo el mundo tiene fuertes sentimientos sobre el lugar donde reside, pero lo que resulta exótico para el turista puede ser algo normal o incluso aburrido para sus habitantes. De cualquier modo, el turismo puede vigorizar la economía local, y se puede despertar un nuevo interés hacia un mismo monumento histórico cuando es visto a través de los ojos del visitante. Y los acontecimientos mundiales y las diferencias políticas dejan de ser importantes en comparación a una cuestión como... ¿cuál es el mejor restaurante del Paseo del Prado?

Desde la información para turistas a las diatribas políticas, SOY MADRID se convertirá en una buena plataforma de colaboración entre los madrileños y los artistas-turistas Grennan y Sperandio.

A través de anuncios en periódicos, el boca a boca y una web específica, soymadrid.com, Grennan y Sperandio invitan a los madrileños a que les cuenten sus historias de la ciudad. Ambos artistas convertirán las historias seleccionadas en tiras de cómic llenas de color y brillo, escritas en español e inglés.

Políticas o despreocupadas, serias o frívolas, divertidas o misteriosas, estas intervenciones darán la oportunidad, tanto a los madrileños como a los visitantes, de reconsiderar algunas cuestiones conflictivas como las nociones de identidad local, nacionalismo, política y turismo.

Los cómics resultantes se reproducirán en distintos medios, como posters, tiras en periódicos o a través de la web. El aspecto más importante del proyecto SOY MADRID es la colaboración con un periódico local, ya que las historias para el proyecto se solicitarán desde el mismo y las tiras seleccionadas se imprimirán en ese periódico también.

TÉCNICA NARRATIVA

Grennan y Sperando establecerán una atractiva y eficiente web (SoyMadrid.com), completa con foro y todo. Tras la creación de la web, y con asistencia mínima por parte de los organizadores, Sperandio visitará Madrid y solicitará historias de gente de todo tipo. Antes o durante la visita, se buscará el apoyo de un periódico local. Este diario dirigirá al público a SoyMadrid.com. De entrevistas personales y repuestas en la web, Grennan y Sperandio realizarán veintiún tiras de cómic. Durante el lanzamiento del proyecto, Grennan y Sperandio vigilarán cómo siete de las tiras convertidas en cartel son legalmente pegadas por las calles. Siete tiras serán publicadas en serie durante varias semanas con la colaboración de un periódico madrileño, y las siete restantes estarán accesibles en la web SOYMADRID, junto con un archivo del proyecto y un foro en que los visitantes puedan interactuar de modo abierto

 

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. S/T (imágenes)

2005. Óscar Lloveras. S/T (imágenes)

 

                  

          

          

 

 

 

 

 

 

 

05inic0536

2005. Rebekka Reich + Anne Lorenz. TAXI MADRID (documentación técnica)

PROCEDIMIENTO

1. Encontrar 10 ex-habitantes de Madrid que estén en Europa.2. Entrevistarlos telefónicamente o por e-mail con una misma serie de preguntas.3. Analizar las respuestas y construir un episodio para cada uno de los 10 taxis en colaboración con un escritor y un programador de sonido.4. Transformar y editar el material encontrado de acuerdo con nuestro criterio artístico para crear 10 mini-instalaciones.5. Crear las instalaciones usando sonido, lenguaje, música, olores, objetos e interacción con los taxistas.6. Ensayar con los taxistas.

CUÁNDO

Sep-nov 2004: entrevistas, primer viaje a Madrid: contactar con taxistas, contratación de actores para grabaciones de sonido, escritor, traductor y programador de sonidoDic 2004: diseñar episodiosEne 2005: grabaciones sonoras/postproducciónEne/Feb 2005: segundo viaje a Madrid. Instalación y ensayos, dos semanas antes de la inauguración

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (imágenes)

2009-2010. Adaptive Actions. CAMPO AA-MADRID (imágenes)

 

CAMPAMENTO EN LA ESTACIÓN DE TREN ATOCHA, MADRIDFotografía: Adaptive Actions

 

CHARLA Y TALLERDel contexto a la situación: Micropolíticas y Acciones AdaptativasPor Marie-Pier BoucherFotografía: Adaptive Actions

 

     

TALLER / PASEO URBANOEscanear, Transcribir, SuplementarPor Jean-Maxime DufresneFotografía: Madrid Abierto / Alfonso Herranz

 

       

       

Fotografías: Alfonso Herranz

 

ACCIONES LLEVADAS A CABO DURANTE AA CAMP EN MADRID

OPENING (AA147)Actor: AACreado por: unknownLugar: Madrid Fotografía: Adaptive Actionswww.adaptiveactions.net/action/147/

 

FREE LOUNGE (AA231)Actor: AACreado por: unknownLugar: Madrid BarajasFotografía: Adaptive Actionswww.adaptiveactions.net/action/231/

 

      

LA CASA Y LOS SUEÑOS (AA207)Actor: Paco SánchezCreado por: Paco SánchezLugar: Gran Canaria CP 35250Fotografía: Paco Sánchezwww.adaptiveactions.net/action/207/

 

EL PUENTE (AA224)Actor: gemeraldsCreado por: Familia Melgar- MolineroLugar: Villatuelda, BurgosFotografía: Melgar Molinerowww.adaptiveactions.net/action/224/

 

    

CUPS (AA203)Actor: AACreado por: unknownLugar: LondonFotografía: Adaptive Actionswww.adaptiveactions.net/action/203/

 

  

FREE PHONE (AA193)Actor: michacardenasCreado por: Micha Cárdenas, Elle Mehrmand, Chris Head, Katherine Sweetman, Felipe ZuñigaLugar: Tijuana Mexico/San Diego Ca.Fotografía: desconocidowww.adaptiveactions.net/action/193/

 

MONSTERS (AA226)Actor: TintaCreado por: E1000inkLugar: MadridFotografía: E1000ink www.adaptiveactions.net/action/226/

 

     

AM HERE (AA148)Actor: AACreado por: Lasse Johansson & Andrea ZimmermanLugar: Hackney east LondonFotografía: E1000ink www.adaptiveactions.net/action/148/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10inic2800, 09-10inmc2804, 09-10inic3382

2009-2010. Josep María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (imágenes)

2009-2010. Josep María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (imágenes)

 

           

       

Fotógrafo: Alfonso Herranz 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (2006.01-02 / documentación técnica)

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (2006.01-02 / documentación técnica)

 

PLANIFICACIÓN DE LA RUTA DE LA PERFORMANCE

ITINERARIO PARA DÍA 2 FEBRERO

 

ITININERARIO PARA DIA 2 FEBRERO (modificación)

     

 ITINERARIO PARA DÍA 9 FEBRERO

  

ITINERARIO PARA DÍA 16 FEBRERO

 

 

 

 

 

 

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2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (ubicación propuesta)

house-Madrid estará en una calle peatonal del Paseo de Recoletos, cerca de la Plaza de Colón.

El emplazamiento es accesible para traer los materiales.

Los bloques ligeros pueden almacenarse en un área vallada cercana al lugar.

 

 

 

 

 

09-10prtc3431

2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (imágenes)

2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (imágenes)

 

                    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10inic2780

2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (documentación teórica)

house-Madrid se desarrollará en Madrid Abierto durante un periodo de diez días en un espacio público de la ciudad.

Dos grupos de personas construirán y destruirán simultáneamente las fachadas idénticas de house-Madrid durante estos diez días. Se levantarán fachadas de 6,3 metros de altura, construidas con bloques ligeros hasta una altura de un tercer piso, y yuxtapuestas entre ambas en simetría rotacional. El proceso será sincronizado, y por tanto la construcción y destrucción será coreografiada secuencialmente: los segmentos opuestos de las dos fachadas se moverán lentamente alrededor de las mismas hasta que se complete house-Madrid. En el mismo punto y simultáneamente aparecerán dos casas diferentes.

house-Madrid se convierte en una estructura en constante movimiento a medida que las paredes aparecen y desaparecen, su espacio cambia y se vuelve inestable constantemente. Esto llevará consigo cuestiones acerca de la permanencia de las estructuras arquitectónicas, su relación con los alrededores y la naturaleza misma de la construcción. La arquitectura se redefine en el momento en que estructuras consideradas permanentes se vuelven animadas y temporales.

Como trabajo de colaboración, house-Madrid revela el proceso, el trabajo y la técnica de la edificación como una experiencia visible. La construcción de un monumento se convierte en un acontecimiento, una experiencia visible y espacial de un proceso continuo más que la presentación de una estructura arquitectónica terminada.

La obra explora las relaciones entre la arquitectura temporal y la permanente, al mismo tiempo que sirve para investigar sobre las fronteras entre proceso, trabajo artístico y documentación.

house-Madrid se documentará utilizando un único proceso. Alrededor de la escultura se situarán estratégicamente tres cámaras construidas especialmente para la ocasión. Las películas fotográficas se expondrán durante la acción para producir fotografías en blanco y negro. Las fotografías a gran escala resultantes revelarán la vista completa de las dos casas independientes, de las fachadas. Además, se realizará un video en tiempo real y una película en formato 16mm.

 

 

 

 

 

04prtc3429

2009-2010. Lisa Cheung. HUERT-O-BUS (imágenes)

2009-2010. Lisa Cheung. HUERT-O-BUS (imágenes)

 

     

        

         

 

COLÓN

    

 

LAVAPIÉS

   

      

 

TETUÁN

     

  

 

USERA

    

  

Fotógrafo: Alfonso Herranz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10inic2777, 09-10inic2776

2006. Virginia Corda + Paula Doberti. ACCIDENTES URBANOS (imágenes)

2006. Virginia Corda + Paula Doberti. ACCIDENTES URBANOS (imágenes)

 

     

           

Fotografías: Alfonso Herranz

 

            

Fotografías: Gabriel Andrés

 

 

 

 

 

06inic0949, 06inic0950

2004. Warren Neidich+Elena Bajo. SILENT (documentación visual)

2004. Warren Neidich+Elena Bajo. SILENT (documentación visual)

FOTOMONTAJE

"Silent"  Paseo de Recoletos render

"Silent" vista cruzando la calle render, Paseo de Recoletos, Madrid

 

REFERENCIAS

 

 

 

 

 

04prtic0048, 04pric0050

2006. Chus García Fraile. POST IT (imágenes)

2006. Chus García Fraile. POST IT (imágenes)

 

            

          

            

        

            

     

 

 

 

 

 

 

06inic0946

2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (imágenes)

2009-2010. Laurence Bonvin. GHOSTOWN (imágenes)

 FOTOGRAFÍAS IMPRESAS

      

 

.......................................................................................................................................................................................................................................................................EXPOSICIÓN EN EL ESPACIO 28001 (INFOMAB)

     

      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10inic2771-f09-10inmc3852

2006. Chus García Fraile. POST IT (2006.01 / documentación visual-técnica)

2006. Chus García Fraile. POST IT (2006.01 / documentación visual-técnica)

 

Círculo de Bellas Artes       Casa de América  

Instituto Cervantes   Círculo Bellas Artes    Palacio Comunicaciones    Casa de América

Casa de América    Palacio Comunicaciones    Instituto Cervantes

Círculo Bellas Artes   Palacio Comunicaciones    Círculo Bellas Artes    Palacio Comunicaciones

(Enero 2006)

 

 

 

 

 

 

06inib0911

2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (trabajos relacionados)

2009-2010. Josep-María Martín. UNA CASA DIGESTIVA PARA LAVAPIÉS (trabajos relacionados)

LA CASA DIGESTIVA, 2007Memoria y hábitat: prototipo de hábitat en OnexBAC, Bâtiment d’Art Contemporain. Onex y Ginebra, Suiza

** VER PDF ADJUNTO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10prmc3392

2005. María Alos + Nicolás Dumit. EL MUSEO PEATONAL (imágenes)

2005. María Alos + Nicolás Dumit. EL MUSEO PEATONAL (imágenes)

 

       

       

Fotografías: Alfonso Herranz

 

     

      

     

      

      

          

          

          

Fotografías: cortesía de los artistas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL TUNEL RECIÉN EXCAVADO (documentación técnica)

 

CALENDARIO

-    Sé que la tuneladora para solo una vez por semana;

-    Entonces bajariamos una vez a la semana ;

-    Estimo, aunque aún no lo sé que ese día fuera domingo ;

-    Entonces bajariamos al túnel :

.    Domingo 7 Febrero.    Domingo 14 Febrero.    Domingo 21 Febrero.    Domingo 28 Febrero

PREPARACIÓN

-    Iré a Madrid cuando sea necesario para hablar con encargados del tunnel para decidir juntos el plan de trabajo, las condiciones etc…-    Estimo estar en las dos primeras bajadas. -  Este calendario y todos los planes de preparación de viajes y bajadas al tunel y mi partcipación son completamente flexibles: me adpataré por supuesto a lo que la tuneladora necesite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL TUNEL RECIÉN EXCAVADO (documentación teórica + visual)

2009-2010. Lara Almarcegui. BAJAR AL TUNEL RECIÉN EXCAVADO (documentación teórica + visual)

 

 

BAJAR AL TUNEL RECIÉN EXCAVADO

El proyecto consiste en organizar visitas al túnel que se estará excavando a 40 metros bajo la calle Serrano. Como todavía no se habrá terminado y no lo habrán cubierto de hormigón, se podrá ver las capa de roca del subsuelo de Madrid recien excavado. La ciudad tal y como es relamente bajo tierra.

DETALLES

La visita será al nuevo túnel del Ave de casi 7 km de longitud que se estará excavando durante los próximos dos años bajo Serrano para unir Atocha conChamartín.

Las tuneladoras trabajan siempre y sólo paran un día a la semana, las visitas serán ese día.

La entrada al túnel será lo más cerca posible a nuestro eje, pues hay entradas cerca de Colón, Puerta Alcalá pero tendré que adaptarme a el trabajo de las empresas, por lo que hasta que no hablemos con ellos no podemos definir donde estará la entrada; Pero la inscripción a las visitas así como su publicidad se hará en el Punto de Información de Madrid Abierto. 

Varios detalles como cuánto público y cuantas visitas al día, horario, trazado del paseo dependerán de las empresas y el Ayuntamiento; tengo que adaptarme a ellos y no puedo definirlos todavía. El proyecto está algo indefinido pero es porque ha de tomar forma adaptandose a la realidad de las obras.

Necesitaremos un guía que cuánto más sepa de geología y el túnel mejor- también colaboraremos con empresas para localizarlo.

TEMAS

El proyecto tiene que ver con conocer la realidad física de la ciudad, roca tierra y antes de ser ciudad.

Siempre me han provocado curiosidad las mucha capas que hay en Madrid bajo tierra (metro, trenes, tlf, tuberías, ríos subterraneos, aparcamientos, bunkers).

La bajada a este subterráneo nuevo es una visita a lo primitivo y a la naturaleza que compone la ciudad pero también un acercamiento a todos los otros subterráneos de infrastructuras de Madrid.

El proyecto ofrece la experiencia de la visita a un lugar único en proceso que sólo existe temporalmente y va a transformarse.

El túnel de Serrano es una obra de ingenieria importante para la ciudad ; un proyecto en pleno centro, con la última tecnologóa, descentralización….

En la bajada al subterreaneo tenemos el negativo de la ciudad. Su subconsciente. Me parece muy interesante la acción de en lugar de construir, bajar, para saber más pero también para hacer simple y brutalmente lo contrario que los arquitectos. 

Plano de todo el túnel proyectado.

INFORMACION PRÁCTICA

El túnel ferroviario que, bajo la calle de Serrano, unirá las estaciones de Atocha y Chamartín estará destinado a dar servicio a los trenes de Alta Velocidad.

Las obras durarán dos años. Se realiazan a la vez que las obras de remodelación de Serrano, a cargo del Ayuntamiento que también incluyen un aparcamiento : Serranopark.

El túnel es un proyecto realizado por el Adif (Administrador de Infraestructuras Ferroviarias), organismo dependiente del Ministerio de Fomento.

El Consejo de Ministros adjudicó las obras a la UTE formada por Dragados, FCC Construcciones, Copisa y Tecsa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09-10prmc2610

2005. Compañía Caracas. ESPACIO MÓVIL (documentación visual)

2005. Compañía Caracas. ESPACIO MÓVIL (documentación visual)

 

          

                    

                   

                   

                    

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (imágenes)

2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (imágenes)

 

        

         

          

 

 

 

 

 

06inic0987

2009-2010. Susanne Bosch. PEQUEÑA PIEZA-ACCIÓN (documentación teórica)

TÍTULO PRELIMINAR: “PEQUEÑA PIEZA -  ACCIÓN” PARA UN BARRIO DE MADRID

Según las estadísticas del Banco de España en el último mes, quedan 820.000 Euros en monedas de Peseta y 956.000 Euros en billetes de Peseta en manos privadas de ciudadanos (julio 2008).

La ‘Pequeña pieza – ACCIÓN’ quisiera reunir las monedas de Peseta** en cierto barrio de Madrid mientras dure el evento de arte público.

Me gustaría recaudar estas monedas sin valor (a no ser que sean llevadas al Banco de España en la Calle Alcalá 48 para ser cambiadas) en un espacio público, visible para todos. Aparte de la recaudación me gustaría saber en qué querrían invertir este dinero sin valor, los miembros del barrio en el que se realice la recaudación. El proyecto recaudará y publicará estos deseos mientras dure el evento.

Al final del periodo, se realizará una estimación aproximada de las monedas recaudadas y todos aquellos que quieran participar en la toma de decisiones, serán invitados a asistir a un evento público***. Este evento se realizará para decidir colectivamente, entre los miembros del barrio correspondiente, qué ocurrirá con las pesetas y qué uso se hará de ellas.

La Tecnología de Espacio Abierto es un formato innovador para organizar reuniones de grandes grupos de personas (“Tecnología”, en este caso, significa herramienta – un proceso; un método). Representa un proceso de auto-organización. Los participantes diseñan un plan y programa mientras se desarrolla el propio evento. Por tanto, permite reunir todas las partes interesadas con sus puntos de vista, experiencias, preguntas y sabiduría. La Tecnología de Espacio Abierto permite que grupos de gente diversa traten temas complejos y posiblemente controvertidos. Funciona mejor donde los métodos más tradicionales de interacción fallan: en situaciones que entrañan conflicto, complejidad, diversidad de pensamiento y personas, y la necesidad de tomar decisiones en espacios cortos de tiempo. Sirve de apoyo para sistemas de todo tipo y tamaño a la hora de desenvolver las fuerzas de colaboración, cooperación, participación, creatividad y espíritu necesarias para afrontar los asuntos candentes que se tratan. Las reuniones vinculadas a la Tecnología de Espacio Abierto tienen un único moderador que inicia y finaliza la reunión y explica el método general. El moderador no tiene ninguna otra función en la reunión y no la controla de ningún modo.

La recaudación de dinero-desperdicio e ideas sobrantes que ha tenido lugar en 2 países y 2 contextos distintos ha sido siempre una experiencia única y muy diferente.

La participación de la gente en este proyecto depende en gran medida en las creencias y contexto histórico de una democracia participativa, donde la gente tiene un verdadero impacto a la hora de tomar decisiones.

Estoy interesada en el modo en que la gente se involucra cuando se dan cuenta de que tienen la oportunidad de marcar la diferencia con su contribución y se les invita a marcar esta diferencia a través de una acción y una idea/esperanza/sueño/aspiración.

Con la recaudación de pesetas el proyecto entra en conexión directa con un pasado local/nacional (en Alemania e Italia el proyecto recaudó la moneda usada en el momento (el Marco y el Euro).

Al concentrarnos únicamente en un barrio, el proyecto trata de alentar a un grupo de gente que vive en un mismo territorio a establecer relaciones personales, estableciendo una conexión con el lugar y entre ellos.

Me gustaría proponer barrios como Lavapiés, Retiro, Latina, Carabanchel, Moncloa-Aravaca.

............................................................................................................................................................................................................................................**Se cree que el nombre proviene de la palabra catalana “peceta”, que significa “pequeña pieza” o “piecita” (i.e., el diminutivo de peça”, “-eta” siendo el diminutivo femenino usual) [1]. De todos modos, también es posible que la palabra sea el diminutivo de “peso”, una moneda ya existente cuyo nombre se deriva de una unidad para medir el peso; esta teoría está en armonía con el caso de otras monedas como puede ser la libra británica.  “Peseta” es también el término utilizado en Puerto Rico para la moneda Estadounidense de un cuarto de dólar.

***Antonio Rodríguez de AEC- Actividades Educativas Culturales, podría ser el moderador del evento dada su experiencia como moderador de Tecnología de Espacio Abierto en Madrid (http://www.aec-spain.net).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RÍO. (2005.01 / documentación visual)

2005. Raimond Chaves. EL RÍO. (2005.01 / documentación visual)

 

 

             

De una hay dos versiones. Puestos a elegir prefiero Cabecera a El Río. Las fichas técnicas irían tal que así: "El Río, las cosas que pasan" Periódico cartel para mobiliario urbano -boceto de trabajo- Raimond Chaves, Lima 2005 "El Río, las cosas que pasan" Cabecera del periódico cartel para mobiliario urbano Raimond Chaves, Lima 2005 Víctor Jara está contento "El Río las cosas que pasan" Emisiones para Canal Metro Mosaico de imágenes de video Raimond Chaves, Lima 2005 La url finalmente es:www.lascosasquepasan.net En un par de días estrá activa aunque sólo con un pagina de binevenida. El lanzamiento oficial será el día 3

 

(Enero 2005)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (imágenes)

2006. Tere Recarens. REMOLINO (imágenes)

 

       

       

Fotografías: Alfonso Herranz

 

          

          

Fotografías: Gabriel Andrés

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Susanne Bosch. PEQUEÑA PIEZA-ACCIÓN (documentación técnica + visual)

2009-2010. Susanne Bosch. PEQUEÑA PIEZA-ACCIÓN (documentación técnica + visual)

 

ESBOZOS O IMÁGENES DEL PROYECTO E INSTALACIÓN TÉCNICA

El formato definitivo de la hucha depende en gran medida del emplazamiento.

Podría adoptar varias formas:

Este contenedor recauda monedas e ideas. Sirve como mesa de escritura al mismo tiempo que como hucha. El armazón y la parte trasera están hechas de metal, los lados y la parte frontal son de cristal.

El peso por metro cúbico de pesetas debe ser medido para asegurar que el armazón y la base soportarán el peso.

El contenedor tiene 150cm de alto y 50cm de ancho. La parte trasera mide 200cm de alto y sirve como panel de información. Se puede instalar varios modelos en un mismo barrio.

Carteles de din A 1 servirán para informar semanalmente sobre las ideas entrantes. Estos carteles se colgarán por el barrio.

Este contenedor pertenecería a un espacio más amplio, 200x200x200cm de altitud, anchura y profundidad. Está hecho de metal industrial con una parte frontal acristalada.

Sirve como centro de recaudación para deseos y monedas y la electricidad necesaria para iluminarse por la noche se obtendrá a través de paneles solares.

 

ROBO

Las pesetas no tienen ningún valor a no ser que sean cambiadas por euros.  El proyecto únicamente recolectará monedas.

Un ladrón potencial se vería obligado a llevar cubos de monedas al banco para conseguir una cantidad razonable de dinero.

Esto protege el proyecto a la hora de ser atacado.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T. (rectificación proyecto / 2004.12 / documentación visual + técnica)

2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T. (rectificación proyecto / 2004.12 / documentación visual + técnica)

 

          

Sin tìtuloConcreto y metalMedidas variables

(Diciembre 2004)

 

 

 

 

 

 

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2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (imágenes)

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (imágenes)

 

VINILO

 

INSTALACIÓN

         

 

PERFORMANCE

   

      

         

Fotografías: Alfonso Herranz

 

        

         

           

          

Fotogrfías: Gabriel Andrés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación técnica)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación técnica)

 

PLANIFICACIÓN

Estos son algunos de los temas que tendriamos que elaborar inmediatamente despues de recibir respuesta acercade esta propuesta:

1.Empezar el trabajo con Felipe Zuñiga para continuar la investigacion acerca de cual barrio, que agencias, que personajes involucrar. (crear una lista del equipo de trabajo a lo largo del proyecto)

2.Iniciar (y continuar) contactos con otras instituciones para crear el fondo economico necesario para desarrollar elproyecto.

3.Continuar y verifi car con mas exactitud la cuantifi cacion y presupuesto de materiales y sistemas necesarios para realizar el proyecto.

4.Clarifi car presupuesto general para la totalidad del proyecto

5.Consulta con nuestro ingeniero estructural para el analisis estructural del proyecto

6.Investigar restricciones existentes, en relacion a permisos, y procesos burocraticos en Madrid.

 

MATERIALES / ESPACIOS / PRUEBA IMAGEN

 

CROQUIS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010.Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación visual)

2009-2010.Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación visual)

 

PRUEBAS DE IMAGEN

     

 

REFERENCIAS

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (imágenes)

2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (imágenes)

 

       

        

  

Fotógrafías: Alfonso Herranz

 

           

Fotógrafías: Gabriel Andrés

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR + EMPTY WORLD (2008.01 / revisión proyecto / documentación técnica)

 

 ESTE PROGRAMA SE ARTICULA EN DIFERENTES ACCIONES CONCRETAS

2.1. Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía-EmptyWorldEl mercado inmobiliario se encuentra en “crisis” tras casi una década de beneficios obscenos. La mayoría de “pequeñas agencias amateur”, creadas al calor del dinero rápido, están cerrando. En esta coyuntura de “recesión”, hemos considerado que es el momento de crear nuestra propia Inmobiliaria antagonista. Con esa finalidad hemos constituido una agencia inmobiliaria cuya finalidad es poner-en-el-mercado las viviendas vacías existentes; esta inmobiliaria recibe el nombre de: Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía-EmptyWorld. La primera Oficina de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía-EmptyWorld “se abrirá” en el espacio de Liquidación Total -en el marco de Madrid-Abierto 08. Funcionando como una inmobiliaria común, en el escaparate de Liquidación Total se reproducirá la iconografía arquetípica de las agencias inmobiliarias tradicionales y se ofertarán viviendas vacías a potenciales inquilinos/as a través de un Catálogo de las viviendas disponibles existentes en el barrio. Dentro de la Inmobiliaria el/la futuro/a inquilino/a encontrará el asesoramiento necesario para formalizar su alquiler: Localización y condiciones de habitabilidad, Manual de Acceso al inmueble y Contrato de Cesión de derechos de ocupación y usos de las viviendas, etc.

2.2. Registro Virtual-CatálogoEl primer requisito, para poder poner en funcionamiento una inmobiliaria, es disponer de una “cartera de inmuebles” que ofertar a los potenciales clientes. Para hacernos con una “cartera” hemos decidido establecer un apartado dentro de la web (www.emptyworld.es) para la recogida de información mediante una herramienta de participación activa que permite, por un lado, elaborar un Registro Virtual de recogida de información relativa a la vivienda vacías (desocupadas) detallando sus características (localización, estado de la vivienda, características, metros cuadrados, número de habitaciones, datos del propietario, condiciones de habitabilidad, etc.), por otro, ofreciendo la posibilidad de mostrar esta información de manera que el/la usuario/a pueda, a través de un buscador, localizar las viviendas vacías, potenciales viviendas a “habitar”. El funcionamiento de nuestra inmobiliaria es una apropiación del método utilizado por numerosas inmobiliarias. La idea central es que el detournement sigue siendo una herramienta altamente eficaz en el contexto de las democracias ficción. Nuestro Registro Virtual-Catálogo es una herramienta que pretende hacer visible una contradicción fundamental del mercado capitalista; evidenciar el papel que como producto-mercancía asume la vivienda en el mercado inmobiliario alejándose paulatinamente del uso social que ,a priori , se asocia a este bien. Y es que, en el supuesto estado del bienestar, mientras existen más de TRES millones de viviendas vacías, la inmensa mayoría de trabajadores/as del estado español se encuentran hipotecados/as de por vida.

2.3.Señalización FísicaSeñalizar es una forma de “marcar”, de delimitar el acceso. Al igual que el resto de inmobiliarias, nuestra inmobiliaria necesita hacerse visible, necesita marcar aquellos inmuebles que “nos pertenecen a tod*s”. Para ello se invitará a los/as vecinos/as del barrio a realizar una campaña de señalización -mediante pegatinas con el logotipo de EmptyWorld- de las viviendas vacías en sus inmuebles/manzanas. El objetivo es delimitar el espacio, una forma de “entrar” dentro del circulo en el que se mueven los agentes gentrificadores definiéndonos como un contrapoder realmente existente y potencialmente capaz de suprimirlos, de desplazarles de su posición hegemónica dentro del territorio de gestión del espacio urbano. Como ya hemos señalado,

2.4.Contrato de CesiónEn una sociedad codificada todo ha de ser regulado mediante la formula “básica” del capitalismo: el Contrato. En nuestro caso, la propuesta de un Contrato pretende demostrar la posibilidad de que las Administraciones públicas, en colaboración con diversas entidades privadas, estimulen la introducción en el mercado de inmuebles desocupados, en determinadas condiciones, en aquellas ciudades/barrios que sufren de serias carencias de habitabilidad para sus ciudadanos/as. Esta no deja de ser sino una mera hipótesis de trabajo que, aunque en buena medida implicaría jurídica y políticamente a diversos agentes, no es, a nuestro juicio, factible en la actual correlación de fuerzas. De hecho, el presente proyecto invita, en estrictos términos jurídicos, y para su desarrollo en los términos pretendidos por su equipo redactor, a la necesidad de determinadas reformas legislativas que (tal y como sucede en la actualidad en Cataluña, con la recientemente aprobada Ley de la Vivienda) demuestran, con la evidencia de los hechos, su viabilidad en un nuevo y necesario escenario social. Necesitamos presionar socialmente a las diferentes Administraciones para que adopten, como un marco legal de garantías sociales mínimas, las regulaciones que se han establecido en Cataluña en referencia a los inmuebles vacíos. No es, obviamente, una solución, pero es un principio, un precedente legal que hay que ampliar. Necesitamos que los especuladores, los agentes gentrificadores, vean recortados sus “privilegios” y sean sometidos a la lógica del Estado Social. Nuestra idea del contrato, en última instancia, no es “transformar” un documento (carente de toda validez legal) en un artilugio “propagandístico”, sino en una representación, en una reivindicación simbólica, de la necesidad de “regular” un mercado que esta completamente al servicio de los operadores especulativos del capital: Un Contrato simulado que aglutine los mecanismos legales de un posible Contrato real.

2.5. Manual de cerrajería para principiantesLa mayoría de las inmobiliarias-promotoras colgaban, hasta hace poco, como reclamo, el cartel de: “llave-en-mano”. Obviamente, nosotros, seguimos “alquilando” sobre plano. La precariedad en la que se despliega este proyecto nos obliga ha dejar en manos del/la futuro/a inquilo/a el acceso al inmueble ofertado. Pero no podemos dejar que el único recurso que les posibilitemos sea la “patada-en-la-puerta”. Necesitábamos    facilitar el proceso de acceso al inmueble. Buscamos entonces la ayuda de otros colectivos que ya habían trabajado en territorios similares y la encontramos en Okupasa. Son ell*s quién por su experiencia facilitarán, a los/as “nuevos/as futuros/as residentes” dos herramientas; el Manual y la inscripción en un “Taller” dónde se explicarán, didácticamente, y por “expertos/as” los 12 casos posibles de acceso a una vivienda que recoge el Manual de cerrajería para principiantes: 1. Método del alambre. 2. Taladrar el cilindro. 3. Tarjeta de apertura. 4. Laminas deslizadoras TGF. 5. Campana Multipick. 6. Extrayendo el rotor. 7. Método del cilindro. 8. Extraer el anillo. 9. Picking and Raking. 10. Llave de Golpe.11. Cortar candados.12. Medidor de Trampa.

2.6. FranquiciaEl  método de franquicia en el que nos basamos es una reformulación de la idea del virus-célula que desarrollo el movimiento obrero autogestionario a finales del siglo XX : cada contexto es diferente y necesita de tácticas diferentes. Para el desarrollo de EW a mayor escala hemos definido un “Protocolo de Actuación” basado en los principios generales del CopyLeft. No pueden adquirirse franquicias de EW, sólo se puede reproducir EW, es decir;  todo el mundo puede acceder a los contenidos teórico-metodológicos de EW en la web (www.emptyworld.es) y establecer  una “oficina” de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía en donde considere necesaria su presencia. Pero antes debe de aceptar el “Protocolo de Actuación” y registrarse en la web. La idea es que EW se pueda extender rápidamente como un virus que muta y se adapta a las circunstancias del organismo en el que se instala. Creando así franquicias que, además de abastecerse del material que se pone a su disposición en la web, generen nuevas herramientas que circulen libremente a través de la red y refuercen  el proyecto. Se trata de dejar trabajar al general intellect social que se establezca en torno a EW. La creatividad social no tiene límites formales y puede redefinir cualquier proyecto en la praxis. Las franquicias, verdaderos “comandos autónomos”, son la base social de EW, su fuerza es la expresión más acabada de la potencia que el proyecto puede absorber socialmente.

2.7. Documento Audiovisual. (Entrevistas)La entrevista, al igual que la encuesta, es un método de construcción social de la realidad. Por lo general, cuando se entrevista a alguien se dirige el proceso con la intención de obtener las respuestas que el entrevistador desea y/o necesita. Nuestra intención era evitar esa tendencia a la manipulación indirecta de los sujetos entrevistados a través de el modelo de “entrevista abierta”. El objetivo último era descubrir lo que anteriormente ya hemos planteado como un objetivo específico; rastrear el territorio buscando “puntos de fricción” en el tejido social del área urbana en el que íbamos a intervenir. Por ese motivo, debíamos dejar hablar a los/as vecinos/as. El cuestionario se estructuro en tres niveles; Vecinos/as, comerciantes y agentes sociales ( Asociaciones de vecinos, movimientos sociales, expertos en la materia. etc) Todos tenían que interactuar con el cuestionario de forma amable, y por tato no se podía llevar la entrevista a terrenos incómodos. El cuestionario se amplío o recorto en función de las conocidas como preguntas de descarte, haciendo que los actores se encontrasen lo más cómodos posibles. El trabajo de posproducción y montaje de las entrevistas ha  seguido por ese mismo camino, intentando que las respuestas estén contextualizadas y se aprecien los matices discursivos de cada entrevistado/a. El resultado final es un material audiovisual que se “expone” en la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía como parte de la campaña de comunicación social y visual de EW. En el se aprecian las contradicciones que todo proceso de gentrificación genera en una estructura social concreta. Mientras los propietarios/comerciantes observan una realidad en transformación positiva, los/as vecinos/as siguen con las tradicionales reclamaciones sobre infraestructuras, servicios, etc., los agentes sociales, por su parte, continúan con sus reivindicaciones de carácter social y político-institucional. En definitiva, un Documento Audiovisual que pretende mostrar, con ciertas influencias innegables del free cinema británico, como una comunidad se estructura en un working progress permanente y cotidiano en el que cada mundo de vida encuentra un discurso legitimador de sus propias necesidades e intereses.

2.8. JornadasNo existe práctica sin teoría. Esta obviedad es el motor de la organización de  “Escenarios posurbanos: vivienda vacía y gentrificación”. Las Jornadas se organizarán en torno al fenómeno de la gentrificación y de la especulación inmobiliaria (véase Jornadas EmptyWorld)  y su objetivo es poner en discusión los diferentes tópicos respecto al fenómeno de la especulación, la gentrificación y la segregación urbana. Para ello, el programa de participantes ha intentado cubrir los diferentes campos que se interconectan en la cuestión invitando a investigadores y activistas de diferentes ámbitos y disciplinas. Con esa finalidad, el programa se estructura en tres sesiones de conferencias-debate con tres participantes representativos de esa diversidad de enfoques metodológicos expuesta. La necesidad de abordar el fenómeno desde la arquitectura, la sociología, las prácticas artísticas, etc., es el motivo de nuestra toma de posición. Con la intención de poner a disposición del movimiento antagonista el resultado de estas tres sesiones de trabajo y debate, y del resto de frentes abiertos por EW, intentaremos editar una publicación que recoja los materiales producidos.

 

CALENDARIO: SPECULATOR+ EMPTY WORLDMadrid 2008.

-    Se proyecta la imagen de Speculator como “obertura” de EmptyWorld-Madrid. (7/2/08).-    Acto de Apertura-Presentación de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía-EW. (Liquidación Total. 7 de Febrero 2008)-    Presentación de proyectos  Madrid abierto. 17:00-18:15 Viernes 8 de Febrero. Casa Encendida. Ronda de Valencia Nº2 -    Activación del Registro Virtual en www.emptyworld.es (8/2/08)-    Comienzo de la Campaña de Señalización Física de los inmuebles vacios.(CCSS. 9/2/08) -    Escenarios posurbanos: Vivienda vacía y Gentrificación. (Conferencias: 20,21 y 22 de Febrero 2008, Liquidación Total.)-    Fiesta Speculator. 22.00h. 22 de febrero de 2008 (Conde de vista Hermosa Nº 3 Local G  Metro Marques de Vadillo)-    Taller: “Manual de cerrajería para principiantes”. (A la espera de concretar fecha y lugar)

 

EMPTY WORLDwww.emptyworld.esEscenarios posurbanos: Vivienda vacia y gentrificación.

Febrero 2008Jueves 21, Viernes 22 y Sábado 23.Liquidación Total.C/San Vicente Ferrer 23 Local 2 Metro Tribunal. Madrid.

J-21. 18:00 h-21:00 h.·    Presentación Empty World (Asoc. de Vecinos de Malasaña – Acibu)·    Basurama. (Accion urbana)·    Colectivo emerge.es (Unidad sostenible) ·    Andrés Jaque. (Arquitecto. Profesor de proyectos de ETSAM)

V-22. 18:00 h-21:00 h.·    Fernando Roch.  (Catedrático de Urbanismo la ETSAM ) ·    Francisco Gil. (Cooperativa Praxis)·    Democracia. ( Welfare State)        

S-23. 18:00 h-21:00 h.·    V de Vivienda. (Asamblea popular por el derecho a la vivienda)·    Patio Maravillas. ·    Jordi Claramonte - Fiambrera Obrera. ( Okupasa)·    Santiago Cirugeda. (Arquitecto)

S-30. 18:00 h-21:00 h.·    Taller Empty World.

(Enero 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación teórica)

2009-2010. Teddy Cruz. TRÁFICO (documentación teórica)

Teddy Cruz conBrian JaramilloStella RobitailleClaire ShaferMegan Willisy artista invitado: Felipe Zuniga

 

INTRODUCCIÓN

Nuestro trabajo de investigacion y practica urbana en la frontera entre TJ y SD se ha concentrado en investigar nociones de sostenibilidad economica y social a la escala del barrio urbano, sugiriendo la produccion de nuevos espacios arquitectonicos de operacion pedagogica, cultural y de servicio social, que a su vez amplifi quen las economias y politicas informales producidas por emigrantes de las Americas en la ciudad Norte Americana.

Este proceso ha motivado el diseño y produccion de nuevas triangulaciones entre espacio fi sico,programas culturales alternativos, instituciones y comunidades. Nuestro trabajo en vivienda social en san Diego por ejemplo se ha concentrado en generar relaciones criticas entre pequeñas infrastructuras, ONG’s comunitarias, activistas sociales, artistas e instituciones publicas y privadas que puedan mobilizar el trafi co de produccion cultural, social y economica que emerge desde dentro de barrios marginales en la ciudad contemporanea.

PROPUESTA

Para MADRID ABIERTO quisieramos extender esta investigacion y transportarla al contexto de Madrid. Proponiendo un proyecto doble, 2 andamios:

1. Un Andamio fisicoComponente formal / fi sico: una pequeña infraestructura de uso, un andamio que se convierta en una nueva ‘fachada habitable’ para la Casa de America.

2. Un Andamio socio-CulturalComponente social: un sistema de programas e interacciones sociales que mobilizen, desde esta infraestructura, el trafi co de ideas y produccion cultural entre el Centro de poder cultural y economico de Madrid (manifestado emblematicamente por el espacio urbano de la Cilbeles) y los barrios de imigrantes en la periferia de esta ciudad.

EL ANDAMIO FÍSICOProponemos una nueva fachada para el Museo Casa de America. Esta nueva ‘cara’ temporal para el museo esta concebida como una fachada habitable que pueda ser ‘activada’ a traves de una coreografi a de programas culturales y sociales. La fachada la componen un andamio industrial generico que esta cubierto (forrado) con aproximadamente 2,500 conos de trafi co (genericos / color naranja).

El andamio y la piel de conos de trafico cumple dos funciones principales:1. activar visualmente la escala de la glorieta de la Cibeles y2. producir espacios de uso que estan ‘escondidos’ detras de la piel de conos, entre el andamio y la fachada neoclasica del museo.

EL ANDAMIO SOCIOCULTURALFelipe Zuñiga (artista)

Proponemos activar esta fachada principalmente con la presencia de un artista mexicano invitado por nosotros, convirtiendose en el ‘attaché cultural’ de nuestro proyecto. De alguna manera este proceso lo podemos concebir como un ‘artist in residence’ dentro del programa Madrid Abierto (un programa dentro del programa), transformando nuestra intervencion en Casa de America en una plataforma de trafi co cultural que facilite y promueva a un artista joven de Tijuana para producirun proyecto artistico a partir de una series de relaciones sociales con un barrio especifico en la periferia Madrileña.

Nostros diseñariamos el criterio conceptual detras de esta series de relacionessocio-culturales, las cuales se le darian al artista Mexicano como parametros para su trabajo.

El fondo economico que pueda apoyar este ‘programa dentro del programa’ seria parte de nuestra intervencion, ya que tendriamos que investigar y producir presupuestos economicos auxiliares a traves de otras institiciones culturales entre España y Mexico.

Felipe Zuñiga es un artista joven originario de la Ciudad de Mexico y quien ahora radica y trabaja en la ciudad fronteriza de Tijuana. Felipe se mudaria a Madrid durante el periodo de la exhibicion para vivir y trabajar en el andamio. Por esto es necesario que el andamio contenga un pequeño cubiculo que albergue a Felipe, como tambien espacios para apoyar una variedad de actividades y programas a lo largo del proceso.

PROGRAMAS SOCIO-CULTURALESLa idea es que Felipe reciba de nosotros un ‘programa de trabajo’ para producir triangulaciones a traves de agencias comunitarias y sus programas existentes, nuevas actividades culturales y los diferentes personajes, actores sociales de la comuindad que el escoja. Algunas de estas actividades incluyen generar proyectos pedagogicos e informacion urbana, tours entre la Cibeles y el Barrio, un proyecto de comida tipica Mexicana, etc. Los personajes involucrados en la historia pueden incluir, niños, activistas comunitarios, trabajadores sociales, etc.

El instrumento fundamental para iniciar esta interface es el documento producido por la municipalidad de Madrid: “Observatorio de las Migraciones y de la Convivencia Intercultural de La Ciudad de Madrid: Recursos para la Atencion a la Poblacion de Origen Extranjero de Madrid.”

Un deseo fundamental de este proyecto es el de que a traves de esta serie de actividades, nuestra intervencion pueda ser excusa para dejar algun trazo de colaboracion institucional despues de que Madrid Abierto 2010 concluya su edicion 2010.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. EMPTY WORLD (2007.10 / documentación teórica)

 

EMPTY WORLD. Agencia inmobiliaria de vivienda vacía.

Empty World es un proyecto desarrollado por el colectivo Todo Por la Praxis, vinculado al proyecto Madrid Abierto. El proyecto se recogerá en el programa de MA y la financiación por tanto dependerá de la organización de MA.

Vivienda vacía , gentrificación  y especulación

El crecimiento del precio de la vivienda sigue incrementándose cada año. Este año parece que ha sufrido una leve desaceleración, en torno a un 15% respecto al año anterior, los otros años tenía un crecimiento del 20 o 25%. Sin embargo, las dificultades en el acceso a una vivienda en propiedad o alquiler son cada vez mayores y el esfuerzo sobre el salario neto para poder acceder a una vivienda aumentan significativamente, llegando a niveles difícilmente sostenibles a medio plazo. La compra de una vivienda conlleva para la mayoría de los españoles la principal decisión inversora de su vida, a la que dedica buena parte de sus ingresos. El desmesurado crecimiento de los precios ha aumentado la intensidad del esfuerzo hasta acaparar una buena parte de las rentas  obtenidas en un ciclo vital. Un dato interesante puede resumir el problema de acceso de la vivienda en España: el precio medio de una vivienda se ha multiplicado por cinco en términos nominales en el periodo 1986-2006, mientras los salarios en ese mismo periodo sólo se han duplicado en términos nominales. El precio de la vivienda en términos reales ha crecido trece veces y media más que los salarios .

Frente al problema de la vivienda en el estado español se produce un fenómeno que manifiesta el descontrol del mercado inmobiliario. La dificultad de acceso a la vivienda se contrapone al gigantismo de un mercado con un crecimiento descontrolado que obvia un patrimonio ya existente que se encuentra abandonado o que forma parte de los procesos especulativos. A través de un dato se puede explicar de manera gráfica este fenómeno. En la ciudad de Madrid, el número de viviendas vacías iguala en número a las viviendas de nueva construcción en los tres PAUS más importantes de la ciudad (Sanchinarro, Las Tablas y  Carabanchel). Esta circunstancia nos lleva a cuestionar el modelo urbano impuesto por el mercado, ya que el abandono del patrimonio ya existente responde únicamente a un proceso especulativo e insostenible. A nivel ambiental, supone un consumo injustificado del territorio y a nivel económico, resulta un derroche en la inversión pública para cubrir los servicios y necesidades de los habitantes de las nuevas viviendas.

Es en las zonas centrales de la ciudad donde más acusado se produce este fenómeno, que se vincula a su vez con el proceso de gentrificación. La palabra gentrificación procede del inglés “gentry” y significa, literalmente, aburguesamiento. Este concepto viene a definir el proceso mediante el cual un barrio de clase obrera, que ha sufrido una situación previa de abandono y degradación del caserío, vive un proceso de revalorización que conlleva la expulsión de sus habitantes tradicionales y su sustitución por habitantes de clase media-alta. El proceso implica la sustitución de la población, de la tipología de viviendas y de las actividades comerciales y productivas. El móvil de este fenómeno es la ganancia especulativa obtenida a través del cambio sufrido en el valor del suelo entre la fase de abandono de la zona y su posterior revalorización. El barrio de Malasaña es un claro ejemplo de estas practicas, por lo que el análisis de estos procesos en este barrio será el objeto del proyecto.

Empty World

El proyecto propuesto se compone de varios elementos. Por un lado, la creación de una oficina virtual de una agencia inmobiliaria: EW en Liquidación Total. En las ventanas/escaparate de Liquidación Total se reproducirá la iconografía y la estética de las Agencias inmobiliarias y se realizará un catálogo fotográfico de viviendas vacías en el barrio que se proyectará en la sede EW. Por otro lado, y como una de las tareas de la agencia, se elaborará un registro de inmuebles vacíos. Para ello se obtendrán y se actualizarán los datos catastrales del barrio y se invitará a los vecinos del barrio a la participación en la elaboración de este registro a un nivel más amplio. En este sentido, se invitará a los vecinos del barrio a realizar una campaña de señalización mediante pegatinas de las viviendas vacías de sus inmuebles. Por último, se realizarán unas jornadas en torno al fenómeno de la gentryfication y de la especulación inmobiliaria.  Para las jornadas se invitará a:

-Santiago Cirugeda (Arquitecto)-V de Vivienda-Asociación de vecinos de Malasaña-Mesa de la Vivienda de Lavapies.-Cooperativa praxis.-Fernando Roch (Catedrático de Urbanismo en ETSAM)

(Octubre 2007)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TÁCTICAS URBANAS (ubicación propuesta)

2009-2010. Pablo Valbuena. TÁCTICAS URBANAS (ubicación propuesta)

Para hacer presente la concepción global de la propuesta creo importante que se distribuya alrededor de un eje o núcleo.

Manteniendo la independencia de las propuestas que se llevasen a cabo pero con continuidad espacial para que se entiendan como parte de algo más amplio, no simplemente como propuestas aisladas.

Esto facilita también agrupar las propuestas en las que puedan participar los ciudadanos pensando en que pueda haber alguien guiándoles en el proceso de generación de la intervención.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (imágenes)

2006. Lorma Marti. BLEND OUT (imágenes)

 

        

        

           

       

   

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (2008.01 / documentación técnica)

 

INFORME TÉCNICO

El montaje del proyecto se ubica en el Paseo Recoletos, a la altura del nº41-43,  El espacio designado se encuentra en uno de los ensanches del paseo que tienes unas dimensiones de 60m2 (10x6). La instalación se formaliza a través de  una portería de Trush de 640x420, que se distribuye en el espacio designado realizando una diagonal (adjunto plano). La portería de Trush soporta una lona microperforada, esta prevista la instalación  de 4 focos halógenos en la parte superior de la portería y en uno de los soportes de apoyo a dos metros de altura se ubica el laser que se encuentra anclado al trush y cerrado por una caja de aluminio.

Descripción técnica   

Portería TRUSS DE ALUMINIO CROMADO HIGH QUALITY Mod.Astralite-3 de medidas exteriores 640x420cm con pletinas de 80x120cm de aluminio para exterior.

Peso aproximado: 160kg

Lona Microperforada "Mesh" impresa Doble Cara 300dpi de 600x400cm confeccionada con vaina superior e inferior + barras de aluminio

4 Focos Halógeno de 500W para exterior + suministro cableado eléctrico

Blitz pro Laser. Dimensiones Blitz Pro. Equipo de láser Diodo láser 5 Watios verde (potencia típica 6 Watios) 10.000 horas de vida útil Sistema de Scanners Cambridge Technology Tarjeta de amplificación Laser Animation, 30K. Sistema de Refrigeración, Aire ForzadoLxAxA: 500x270x200cm Peso aproximado:18kg

Peso aproximado total de la instalación 180kg.

Necesidades técnicas de la instalación electrica 

-  1 tomas monofásicas 16 Amperios 220 Voltios. -  Cuadro eléctrico con diferencial independiente. -  Red Equipotencial ( Toma de tierra común ). -  Clavija tipo shucko

 

Voltaje total necesario

7000W

Fecha de montaje 

6 de febrero del 2008

(Enero 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (imágenes)

2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (imágenes)

 

           

          

           

 

INTERVENCIÓN AUDIOVISUAL EN CANAL METRO. METRO DE MADRID

    

   

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (2007.10 / trabajo de campo)

 CONVOCATORIA / Guía de tapas de Usera

La suerte te ha sonreído. Has sido elegido para participar en la confección de la Guía de tapas de Usera. El próximo día 27 de octubre a las 12 del mediodía quedaremos en… para explorar este aspecto de Usera.

Lo que tú tienes que hacer es llevar dos o tres amigos y recorrer la zona de Usera que te asignemos. Eres jefe de grupo y LHFA te dotará con 50 eurazos para gastarlos en tapas. A cambio, tú y tu grupo nos aportareis datos sobre al menos dos bares diferentes por cada participante. Por ejemplo: si sois tres, aportareis datos sobre seis bares. Y también dos fotos: una del exterior del bar y otra de su interior (producto, ambiente o arquitectura.

Para facilitaros el trabajo os pasaremos un formulario a rellenar en cada caso, una lista de bares, un mapa de la zona y un carné LHFA (necesitamos que nos envíes una foto tuya para confeccionarlo o llevarla al lugar de reunión).

Por favor, contesta rápidamente aceptando tu participación porque si no puedes tendremos que buscar a otra persona.

(Octubre 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Pablo Valbuena. TÁCTICAS URBANAS (documentación teórica + visual)

2009-2010. Pablo Valbuena. TÁCTICAS URBANAS (documentación teórica + visual)

 

‘a new relationship between space and psychology is needed: what we loose in geometrical space we recover in the form of psychological space’ Constant Nieuwenhuis_New Babylon lecture_Stedelijk Museum_Amsterdam_1960

INTRODUCCIÓN Este  proyecto  para  Madrid  Abierto  plantea  dos  objetivos fundamentales: Fomentar el uso creativo del espacio y recursos urbanos y llevar el concepto de ‘público’ a todos los estratos de la actuación.  Se  plasma  en  una  serie  de  instalaciones espaciales  generadas con elementos urbanos  de uso público, estandarizados  y  producidos en  masa que habitualmente ocupan la ciudad.

La  reapropiación temporal  de  estos  elementos  (vallas  de  obra, conos  de  tráfico,  mobiliario  de  terrazas,  andamios,  canalizaciones  de  plástico,...)  invasores  del  entorno  urbano  y  partícipes de la ciudad utilitarista  sufre  una  readaptación  a  un  uso  espacial  que genere otras experiencias en el espacio público. En  el  planeamiento  urbanístico  actual  todavía vemos  parte  de  la concepción modernista  de  la  ciudad  como  ‘machine à habiter’.  Le  Corbusier  fija  cuatro  funciones  de  la  ciudad  funcional:  vivir,  trabajar,  entretenimiento y transporte hacia y desde el lugar de trabajo.

En esta propuesta busco reactivar el aspecto relacional, lúdico y generador de experiencias de la ciudad contemporánea, involucrando al  ciudadano como pieza generadora de estas experiencias y diversificando  la intervención en actuaciones de menor escala.

Le Corbusier_Cité Radiuse_1935

Siguiendo vías conceptualmente cercanas a la postura situacionista de Constant Nieuwenhuys en New Babylon o los proyectos urbanos de Yona Friedman  me  interesa  alterar  la  visión  que  el  ciudadano  tiene  de  los  elementos urbanos.

Yona Friedmanr_Ville Spatiale_1958

Se  plantea  como  una  propuesta de perspectivas amplias  más  que  como  una  intervención  aislada.  Creo  necesario  presentarla  de  una  manera  global  aunque más  tarde  se tenga que ajustar  a  los  recursos disponibles.  De  esta  manera  el  conjunto  está  abierto  en  el  número  de  intervenciones y es escalable.

Formalmente  trabajo  con  ideas  que  estoy  desarrollando  en  otros proyectos    referentes  a  la  organización  de  elementos  en  órdenes macroscópicos y microscópicos  y  las  relaciones  formales  que  se  establecen entre estos órdenes, muy vinculadas con la generación formal de la ciudad en sus diferentes escalas.

Constant_New Babylon_Kllein Labyr [Small Labyrinth]

 

INTERVENCIONES

Paso a describir algunas de las intervenciones que engloba la propuesta: - VALLAS DE OBRAReutilización  de  las  vallas  dedicadas  a  acotar  zonas  de  obras, manifestaciones, eventos públicos.

Estas  vallas  se  sacan  de  su  contexto  habitual  de  prohibición  de acceso al espacio público para generar una instalación laberíntica que invita espacialmente a explorarla y acceder a su interior.

Se sujetan con  los propios medios de anclaje de  las vallas, bridas  de plástico, o grapas con giro para andamio.

 

- CONOS DE TRÁFICO Elementos  de  plástico  utilizados  en  la  ciudad  para  control  del  tráfico, limitación de carriles, prohibición de paso rodado,...

La  modularidad  de  estos  objetos  y  su  forma  apuntada  permiten generar configuraciones geométricas interesantes.

 

      

 Instalación de vallas en Pza. Colón

 

- MOVILIARIO TERRAZAS El espacio público en verano se ve privatizado temporalmente por el uso comercial que hacen las terrazas de la calle. Estas zonas sólo son utilizables para consumir, a pesar de hacer uso de un espacio que es común.   Planteo  el  cambio  de  función  de  este  mobiliario  modular, recuperando el espacio privatizado en verano para instalaciones espaciales en invierno, cuando el mobiliario está almacenado y sin un uso específico. La  gran  variedad  de  elementos,  todos  apilables  y  conectables mediante bridas permiten múltiples configuraciones.

Mobiliario de terraza readaptado en la Plaza de la Paja

 

- ANDAMIOS Los andamios para fachadas son otro elemento que habitualmente invade el entorno urbano, en este caso utilizo la estructura modular de  tubos y anclajes para generar estructuras abstractas sin una función específica.  

- CONDUCCIONES DE PLÁSTICOLas conducciones para llevar cables bajo tierra son elementos deformables, ligeros y conectables entre sí.

Se trata de un elemento presente en el subsuelo de las calles de una manera no visible. Me interesa hacer visible la presencia de un elemento que aunque masivo su presencia no resulta obvia.

 

- OTROS ELEMENTOS  Considerando la escalabilidad de la propuesta y su intención de actuación global, permite ser completada con otras intervenciones generadas con otros elementos presentes en la ciudad a mayor y menor escala, como contenedores de obra, cubos de basura,  ...

Instalación con andamio en Pza. Colón

 

TÁCTICAS Para articular  estas  intervenciones  planteo  las  siguientes estrategias: Medios de actuación utilizados por el ‘arte urbano’  - uso de la ciudad como soporte de trabajo - efimeralidad - rapidez de instalación - medios de producción baratos y accesibles - generado por ciudadanos Uso de elementos ya presentes en la ciudad -    cambio de función de estos objetos, de funcional a creativa. -    propiedades estándar, producción en masa. -    cualidades  adecuadas  para  su  uso  en  espacio  público: durabilidad,  fácil  apilamiento  para  transporte,  ensamblaje  limpio, fácil y rápido montaje y desmontaje. Involucrar todos los estratos de lo ‘público’ -  dar  la  posibilidad  al  ciudadano  pasivo  de  reflexión  sobre  su entorno urbano cercano y sus componentes -  el  uso  de  elementos  públicos  como  medio  de  involucrar  a estamentos administrativos. Me  parece  interesante  situar  al  artífice  del  ‘arte  público’  como generador de estructuras y situaciones  que activan experiencias  y cambios en la concepción urbana. De esta manera el alcance social de una propuesta puede ser mayor y en diferentes niveles si  lo comparamos con una acción individual en un luga preciso. El  hecho  de  generar  un  proyecto  de  arte  público  en  el  espacio urbano  toma mayor coherencia cuando la materia que lo conforma es de propiedad pública y está proporcionada por un organismo también público. En la misma línea planteo que varias de las intervenciones pueden ser  generadas por los propios ciudadanos.  En  las  instalaciones  construidas  con  elementos  sencillos  y  seguros  de  ensamblar  será interesante  que  el  ciudadano  se  involucre activamente en el procesogenerador de las instalaciones.  Una característica de la propuesta que me parece interesante es la adaptación del proyecto a diferentes áreas y contextos urbanos, como propuesta conceptual se puede ir adecuando a los elementos de usopúblico que se encuentran en diferentes ciudades.

Para hacer presente la concepción global de la propuesta creo importante que se distribuya alrededor de un eje o núcleo. Manteniendo la independencia de las propuestas que se llevasen a cabo pero con continuidad espacial para que se entiendan como parte de algo más amplio, no simplemente como propuestas aisladas.

Esto facilita también agrupar las propuestas en las que puedan participar los ciudadanos pensando en que pueda haber alguien guiándoles en el proceso de generación de la intervención.

 

 Instalaciones conos y tubos en paseo de Recoletos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (2008.01 / documentación técnica)

 NECESIDADES TÉCNICAS

- 1000 carteles 100x70 para pegada anunciando la obra y el autobús.- 1000 carteles 70x50 de plantas de Orcasur- 1000 x12 postales de iglesias de Usera- 1000x 15 calendarios pequeños con fotos de Usera- CD de audio- DVD de vídeo- 1000 A3 con microrrelatos.- Otros

(Enero 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Sierra. BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA (imágenes)

2008. Santiago Sierra. BANDERA NEGRA DE LA REPÚBLICA ESPAÑOLA (imágenes)

 

Ediciones Schellmann, Munich, Alemania. Diciembre 2007

           

           

          

       

       

    

 

CONFERENCIA

         

Jorge Díez, José Luis Corazón, Pablo España 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES (documentación visual)

2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES (documentación visual)

 

 

 

REFERENCIAS: TRABAJOS RELACIONADOS

TIME NOTES     OFICINA TIEMPO PERDIDO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. EMPTY WORLD (postal)

2008. Todo por la praxis. EMPTY WORLD (postal)

 

* Material físico disponible para consulta

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES (documentación técnica)

 

DESCRIPCION DE MONTAJE Y PRODUCCION

Producción general·    Impresión de billetes (emisión especial para Madrid Abierto)·    Flyers publicitarios para pegar por las calles

Producción para la acción de la oficina móvil·    Realización del “cart” en base a un triciclo·    2 actores o voluntarios para atender la oficina.·    1 impresora·    1 portátil (o PDA con teclado portátil)

Producción para la oficina central (en Casa de América)·    2 actores o voluntarios para atender la oficina.·    1 escritorio, mesa o kiosko·    2 sillas·    cartel publicitario para señalar la oficina·    1 ordenador·    1 impresora·    Conexión eléctrica·    Conexión a Internet

De ser posible, se exhibirían videos con acciones anteriores y documentación en vitrinas dentro del espacio de Casa de América

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (2007.05 / documentación visual)

2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (2007.05 / documentación visual)

 

    

    

      

(Mayo 2007)  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (imágenes)

2008. Todo por la praxis. SPECULATOR (imágenes)

 

       

           

             

           

            

Fotógrafo: Alfonso Herranz

 

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EMPTY WORLD

Oficina de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía -Empty World-      Jornadas sobre resistencias urbanas, gentrificación y especulación inmobiliaria

Oficina de la Agencia Inmobiliaria de Vivienda Vacía -Empty World-

      

        

Jornadas sobre resistencias urbanas, gentrificación y especulación inmobiliaria.

            

SPECULATOR

       

          

             

Fotógrafo: Todo por la Praxis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Gustavo Romano. TIME NOTES (documentación teórica)

  

TIME NOTES“Oficina móvil de reintegro del tiempo perdido” y otras acciones. Gustavo Romano

El proyecto Time Notes comprende una serie de acciones en espacios públicos utilizando un sistema de dinero basado en unidades temporales (billetes de 1 año, 60 minutos, etc.) En su reverso pueden leerse diversas citas de filósofos, escritores o economistas acerca del tiempo y del dinero.

A partir de una primera acción de lanzamiento desarrollada en Berlín, se realizaron otras en diferentes ciudades (Singapur, Rostock, Vigo) y en cada caso fueron producto de la observación de diferentes problemáticas locales relacionadas con el sistema de intercambio, la vivencia del tiempo (como propio o ajeno) y las reflexiones que sobre estos temas surgían en cada locación.

La propuesta para Madrid Abierto es la de ubicar una “Oficina móvil de reintegro del tiempo perdido” y realizar al menos otras 2 acciones más utilizando estos billetes, con temáticas que surjan de una observación de campo y de la interacción con problemáticas locales y actuales al momento de su realización.

Una oficina central funcionaría en Casa de América donde además, se exhibirían las documentaciones en video, los billetes y otros documentos que conforman el proyecto. La oficina móvil haría una itinerancia por distintos puntos de la ciudad durante el tiempo que dure el evento.

Se acompañará con una campaña en vía pública de bajo costo pero de gran tiraje y propagación.

DESCRIPCIÓN DE LA ACCIÓN

La oficina de reintegro del tiempo perdido se ofrece como lugar de recepción y clasificación del tiempo cedido involuntariamente, bajo presión o por razones arbitrarias (trabajando en un empleo no deseado, perdido en una relación equivocada, sirviendo al ejército, etc.).

En la oficina móvil, un representante de Time Notes House, tomará recibo de la descripción de cómo ha perdido su tiempo el declarante, y se lo reintegrará con un billete del valor correspondiente, en cuyo reverso, se imprimirá la causa de la pérdida. Se conformará además una base de datos online con la información recopilada.

La construcción de una oficina en base a un triciclo y el uso de una impresora portátil, un PDA con WIFI y un teclado plegable, otorgan la posibilidad de desplazamiento y autonomía tanto en la interacción con el público como en la  recopilación de datos y la subida de los mismos a Internet.

PROPUESTA DE EXHIBICIÓN

La acción será grabada en vídeo, el cual podrá ser exhibido junto con los videos de acciones anteriores del proyecto Time Notes. También se exhibirán copias de los billetes con los motivos del tiempo perdido por los participantes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (2008.02 / documentación visual)

2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (2008.02 / documentación visual)

 

   

 

REFERENCIAS TRABAJOS ANTERIORES

  

  

(Febrero 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (imágenes)

2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (imágenes)

 

     

    

           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inic2033

2009-2010. Adaptive Actions. EL ARTE DE PERDER EL TIEMPO (documentación teórica)

 

IDEA GLOBAL E INTENCIÓN

The Art of Loitering es un nuevo trabajoque será creado específicamente para Madrid Abierto.

El proyecto consiste en documentar, revelar y crear nuevas acciones de “loitering”-i.e. flânerie, hacer nada, perder el tiempo, quedar pasivo en un lugar, moverse lentamente y, a través de este simple acto, reafirmar el estado público de los espacios urbanos.

CONTEXTO

En Liverpool, pregunté a chavales y adolescentes cuál era, ciudad para ellos, el espacio más público de la ciudad. Varios respondieron que era su sótano o sofá. En su realidad, el espacio más público era el más privado: en el confort de sus casas lejos de cualquier cámara y sistemas de vigilancia. En tu salón puedes vaguear, dormir con una capucha sobre tu cabeza y reunirte en grandes grupos, sin miedo a contravenir las leyes sobre reuniones públicas (3 o más). Tras meditarlo, esta sorprendente, no prevista, espontánea e incluso, en un principio, violenta respuesta, me pareció de lo mas lógica. ¿Acaso las omnipresentes formas de control, crecientes prohibiciones, cámaras de vigilancia, no han exacerbado las fronteras entre lo entre lo visible y no visible, interior y exterior, privado y público? ¿Acaso el comúnmente comportamiento social visible, actividades ilícitas, signos de pobreza, diversidad y creatividad no se ven empujados hacia áreas subterráneas?

Observando ciudades alrededor del mundo así como la mía propia, uno se da cuenta de que la privatización y normalización del espacio público es un hecho global. ¿Hasta que punto se asemeja Madrid a muchas de estas ciudades objeto de este fenómeno mundial? ¿Vaguear forma parte activa de la vida y cultura latina (especialmente en España) y podría servir de inspiración a otras? ¿Qué significado tiene lentitud hoy en día? ¿Dónde se da la vagancia: aparcamientos subterráneos, parques, sótanos, pasos subterráneos, solares, edificios abandonados? ¿Cómo podemos describirlos, cualificarlos, hablar de ellos y hacerlos visibles? ¿Qué dicen estas prácticas de vagueo corrientes sobre el espacio público? ¿Dónde, cómo y con que instrumentos, artilugios o tácticas podemos iniciar y desarrollar nuevos espacios para hacer el vago en el ámbito de lo público, a menudo dedicados exclusivamente a la circulación y el consumo?

ACCIÓN-PROCESO

El proyecto dará cuenta de acciones de vagueo existentes en la ciudad y apoya la creación de nuevas actividades relacionadas con la arquitectura, espacios urbanos y objetos. Se divide en tres estadios complementarios: (1) una llamada a realizar propuestas; (2) acción, y; (3) su subsiguiente publicación/promoción.

1. Pedida de contribuciones y propuestasCon objeto de documentar y crear un inventario de acciones de vagueo urbanas, un estudio se llevará a cabo (antes y durante Madrid Abierto). El objeto de este proyecto consiste en documentar nuevos o ya existentes, marginales, individuales o populares, menos discutidos o bien conocidas formas y lugares para vaguear. La pedida de propuestas acelera el proceso.

Varias acciones existentes o propuestas de vagueo serán escogidas al mismo tiempo que una acción colectiva y un taller.

2. AcciónUn espacio para el vagueo y la entrega de propuestas será dispuesto en una calle o plaza transitadas de Madrid, o en un edificio público donde la gente circula y raramente tiene la oportunidad o el tiempo para parar. En este espacio temporal (con una gran señal indicando LOITERING  en español) combinando presencia, producción e interacción, los participantes y visitantes de Madrid recibirán boletos de lotería (equivalente o superior al salario medio por hora en España)???. Se les pagará por no hacer nada y vaguear en uno de los Representativos de estas Acciones Adaptativas para compartir (descubrir) y documentar sus ya existentes o propuestos actos de vagancia. Talleres y actos de vagancia colectiva también serán discutidos y elaborados desde este espacio, durante el evento.

Nuestro conocimiento compartido y buen hacer serán utilizados para alcanzar un proyecto creativo, cuyo objetivo es el de modificar el uso de la arquitectura y elementos urbanos. Esta infiltración del espacio público resalta tópicos tales como acciones de adaptación de los residentes y apropiaciones, potencial de transformación creativa y la multiplicidad de usuarios y usos.

3. Publicación/emisiónLas acciones de vagancia existentes o nuevas se harán públicas gracias a la distribución de múltiples ejemplos de un documento impreso y vía Internet**. La distribución en la comunidad tendrá como objeto representar las diferentes formas de loitering (en el trabajo, en casa o en lugares públicos en general) con la intención creativa de apropiarse realidades compartidas y, así mismo, como un proceso de adaptación. La presentación de acciones (en una escala mayor o menor), ya sean proyectadas o completadas, creará un vocabulario con el cual la imaginación colectiva pueda expresarse a sí misma a través del uso de estructuras existentes, y fomentar el desarrollo de acciones similares.

La intervención está basada en la repetición de una serie de micro-acciones, simples gestos que imparten e inician el cambio en nuestra percepción y concepción del entorno urbano. Este proyecto quiere activar los usos de los espacios públicos, contribuir y comenzar a reconstruir un imaginario urbano, enseñar, fomentar actos visibles de resistencia, de sociabilidad y signos de antagonismo positivo.

Jean-François Prost, 2008Representante del proyecto

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* El título del proyecto y el léxico del loitering se dará en castellano. Una investigación lingüística preliminar se está llevando a cabo, pero ninguna decisión definitiva ha sido tomada al respecto.

**Una sección será añadida a la web www.adaptativeaction.net con respecto al proyecto y una edición para Madrid de la publicación  de Adaptative Actions será producida durante y tras el evento.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (kit)

2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (kit)

 

KIT EXPLORANDO USERA Compuesto por: calendarios, marcapáginas, postales y un mapa que contiene una guía de tapas, vinos y licores

      

 

CALENDARIOS

         

    

       

       

        

 

POSTALES

      

       

          

           

     

 

MARCAPÁGINAS

 

GUÍA DE TAPAS, VINOS Y LICORES POR USERA

     

        

        

         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2009-2010. Iñaki Larrimbe. UNOFFICIAL TOURISM (documentación teórica)

 

DESARROLLO [FILOSOFÍA]

El turismo, esa gran industria, ha democratizado -y banalizado- las experiencias. Y el turismo cultural no se escapa de esa perversión: la gestión de la cultura entendida en base a crear hábitos de consumo en el ciudadano se impone hoy en día. Éste es ya es un fenómeno imparable.

Parafraseando a Begout cuando habla de Las Vegas: “se trata de seguir ahora una sola ley:proponer experiencias a los visitantes y a los turistas.” Y es así como las agendas locales en materia de cultura se vacían de contenidos en ese afán por atraer visitantes que generen beneficios económicos para las ciudades. En esa situación, los ciudadanos se convierten en extras de la película: la cultura ya no es un fin en sí misma, sino un recurso económico más.

Y de la misma forma que el turismo de “sol y playa” ha destruido numerosos entornos naturales, el nuevo turismo cultural merma los ecosistemas culturales locales. Lo paradójico de este nuevo paisaje es el que el lubricante que esta maquinaria funcione es aportado por los propios departamentos de Cultura de nuestras instituciones públicas.

El proyecto “Unoficcial tourism” se quiere incrustar, desde la economía de medios, desde el “háztelo tu mismo”, dentro de los mecanismos creados por las industrias de la cultura. Pero “Unoficcial tourism“ no alberga ánimo de crítica. Más bien su idea es formar parte de esa realidad desde una posición nihilista. Porque “Unoficcial tourism“ quiere ser un proyecto ideado para atender a consumidores culturales foráneos. Intentando así dar respuesta a la demanda de entretenimiento cultural que, como decíamos, las nuevas políticas culturales cimentadas en criterios socioeconómicos han generado.

El hecho que la gestoría política de la cultura se haya inclinado por aceptar la “esfera pública” de la cultura como un “recurso” más, en detrimento no solo de otros modos de acceder a la comprensión del hecho cultural, –ya sea en tanto que valor, estilo de vida o forma de arbitrar la diferencia–, sino que más allá de la resonancia mediática no parece mostrar interés alguno, ha influido a la hora de elaborar este proyecto. Así mismo y paradójicamente, si nos alineamos con Castell, “la transformación del capitalismo, el progresivo debilitamiento del estatismo, junto a los cambios sociales que tienen su origen en la proliferación de las nuevas tecnologías” abren un contexto institucional donde los recursos económicos y morales del llamado “sin ánimo de lucro” se utiliza como legitimación cultural para el desarrollo social, la creación de empleo, turismo cultural, etc. La plena aceptación de estos hechos ha provocado una serie de alteraciones en el sistema del arte que es preciso abordar con cierta actitud crítca. Extremo éste que por su propia lógica, no ven conveniente acometer las instituciones culturales públicas o privadas acogidas a estos nuevos planteamientos socioeconómicos.

DESARROLLO [METODOLOGÍA]

LA INTERVENCIÓNSe trata de customizar una caravana convirtiéndola en una oficina de turismo “no oficial” para situarla en las calles de Madrid y poder así atender a consumidores culturales foráneos (turistas). Optamos por el uso de una caravana como dispositivo formal por ser éste un recurso a nuestro alcance: es económico y fácil de transformar.

LOS CÓMPLICESTrazadores de itinerariosSe hace necesario contar con la colaboración de diversas personas vinculadas con la ciudad de Madrid para elaborar junto a ellos una serie de mapas, planos, que recojan itinerarios turísticos extraños, curiosos, personales…

Itinerarios ya creadosUna serie de artistas (Leo Bassi, por ejemplo) han creado en ocasiones itinerarios turísticos alternativos por Madrid. Se trataría de realizar una historiografía de ellos, plasmarlos en mapas, e integrarlos en nuestro proyecto para ofrecérselas a los consumidores culturales foráneos.

Guía turísticaEs necesaria la colaboración de una guía que atienda e informe a los turistas.

Diseñador gráficoNecesario para idear todo el material gráfico (planos, folletos…) y para customizar la caravana.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (2008.01 / documentación técnica)

2008. Santiago Cirugeda. CONSTRUYE TU CASA EN UNA AZOTEA (2008.01 / documentación técnica)

* VER LOS DOCUMENTOS ADJUNTOS

INSTRUCCIONES DE CONSTRUCCIÓN

     

 

 

PLANOS TÉCNICOS

    

 

MONTAJE

     

(Enero 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (2007.11 / documentación visual)

2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (2007.11 / documentación visual)

 

          

          

(Noviembre 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Warren Neidich + Elena Bajo. SILENT (documentación técnica / montaje)

2004. Warren Neidich + Elena Bajo. SILENT (documentación técnica / montaje)

 

 

          

          

            

          

 

 

 

 

 

04inib0101

2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (imágenes)

2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (imágenes)

 

                 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

05inic0527

Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (imágenes)

Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (imágenes)

 

          

                  

 

 

 

 

 

 

 

05inic0523

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (2008.01 / documentación técnica)

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (2008.01 / documentación técnica)

PLANOS TÉCNICOS

 

DETALLES CONSTRUCCIÓN

         

         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (imágenes)

2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (imágenes)

 

         

         

                

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Compañía Caracas. ESPACIO MÓVIL (imágenes)

2005. Compañía Caracas. ESPACIO MÓVIL (imágenes)

                

                

                

 

 

 

 

 

 

 

05inic0515

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (2007.11 / documentación visual)

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (2007.11 / documentación visual)

 

Sin titulo, 2007. Humo, aire y grafito sobre papel con impresión de la fachada de Casa de América. 21 x 29,7cm.

(Noviembre 2007) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Jota Castro. NO MORE NO LESS + LA HUCHA DE LOS INCAS (imágenes)

2008. Jota Castro. NO MORE NO LESS + LA HUCHA DE LOS INCAS (imágenes)

NO MORE NO LESS

       

         

         

     

       

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LA HUCHA DE LOS INCAS

           

      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME (documentación visual)

2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME (documentación visual)

TRABAJO RELACIONADO

 

FOLLOW ME, 2006Cemeterio Old Garrison , Berlín4th Berlin BiennalePhoto Eoghan McTigueInstalación de sonido envolvente en 4 canales

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (imágenes)

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (imágenes)

 

     

      

       

Fotógrafo: Alfonso Herranz

 

    

    

Fotógrafo: Fernando Prats

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inic2006, 08inic2007 

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK, 2003-04

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK, 2003-04

REALITY SOUNDTRAK. Amsterdam, 2004

 

       

REALITY SOUNDTRAK. Ljubljana , 2003

 

       

REALITY SOUNDTRAK. Thessaloniki, 2004

 

 

 

 

 

06pric0893

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (documentación visual)

2006. Tao G. Vrhovec. REALITY SOUNDTRAK (documentación visual)

 TRABAJOS RELACIONADOS

   

REALITY SOUNDTRAK. Amsterdam, 2004

 

       

REALITY SOUNDTRAK. Ljubljana , 2003

 

       

REALITY SOUNDTRAK. Thessaloniki, 2004

 

 

 

 

 

06pric0893

2008. Guillaume Ségur. WELCOME ON BOARD (imágenes)

2008. Guillaume Ségur. WELCOME ON BOARD (imágenes)

 

       

       

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. VI VÍDEO (estudio ubicación)

2008. Fernando Llanos. VI VÍDEO (estudio ubicación)

* VER PDF PARA CONSULTAR EL DOSSIER COMPLETO

  

          

TEXTO DE INTRODUCCIÓN EN VINIL AUTO ADHERIBLE

INTRODUCCIÓNProyecto de videointervenciones urbanas hechas aprovechando la infraestructura corporal del artista para subraya una dinámica que el autor llama “acupuntura urbana”, generando reflexiones puntuales en algunos partes de la ciudad donde se aparece como VIDEOMAN. Para cada edición se genera un arnes diferente para experimentar otras maneras de proyectar en las calles de las ciudades.

Todo se registra en foto y video, y después se monta todo a manera de instalación en la Casa de América.

Por un lado este proyecto busca acercar al público especializado a espacios no cotidianos y no reservados para el arte especificamente, y por el otro, a la gente que habita o transita dicho espacio cuestionarles aspectos de su cotidiano.

VIDEOMANPor Mauricio Alejo

A diferencia de los demás mortales, Videoman tiene un superpoder: el de hacerse notar. Esta habilidad, que es un estorbo si se quiere combatir el mal, resulta ser la fortaleza de su proyecto. Desde este protagonismo, que es implícito pero también asumido y fabricado, logra la disolución del espacio tradicional de proyección. Se apropia del centro y lo vuelve móvil. Este nomadismo es el que disuelve la autoridad que impone en el espacio cualquier proyección, la atención del espectador obligadamente se concentra hacia lo proyectado.

Para el “público” accidental que participa en el espacio que propone este “superheroe” no hay frente, ni detrás. No hay jerarquía de atención; lo proyectado y el proyectador son igualmente inusitados. Tampoco existe un lugar privilegiado para atender el evento, ni un principio o fin necesarios. Existe, eso si, la conciencia de una proyección que incluye al hombre que la genera. Para Fernando esto implica en última instancia una toma de responsabilidad del mensaje a nivel de tierra. No es en vano notar que al evento que produce Videoman no se asiste; se es parte de él. Se inventa junto con todos los presentes.

La bicicleta es una extensión natural de este nomadismo. Una prótesis signo de la conciencia que tiene del traslado y de su costo ambiental. Pedalear generando la energía necesaria para proyectar es una actitud que propone cierta responsabilidad, necesaria hoy en día hasta en las artes electrónicas.

En este proyecto de video intervenciones también existe una reformulación de la idea de público. Videoman es móvil pero también lo es quien atestigua la proyección; El espacio de encuentro es transitorio. De este modo el que participa queda a sus propias expensas; primero, para asumirse como público y después para definir que tipo de experiencia está teniendo.

Esto sin duda es una revitalización del espacio público; una participación que lo hace dúctil; una experiencia crítica y una reconstrucción colectiva.

 * Debido a la naturaleza del proyecto, de intervenir sorpresivamente la ciudad por las noches, es importante dejar un centro que muestre constantemente el proceso de construcción y la memoria del proyecto. Esta es la función de este espacio.

RELACIÓN DE COSAS QUE VIAJARON EN MALETAS Y LA CAJA DE CARTÓN

En la caja de cartón:- 1 bicicleta Dahon desplegablecon asiento separado.

En la maleta negra de tela:- 1 Traje de Videomanhecho a la medida.- 2 Pares de guantes cortos de tela CAT.- 5 Esculturas de Videoman.- 1 Mic sony stereo.

 

PROPUESTA PARA EL ESPACIO Y ELEMENTOS DE LA EXPOSICIÓN

VITIRNA- Muñecos de acción de videoman- Collage de presentación Sergio Alcalá: 23 x 18.5 cm.- Dibujos 5 hojas carta.- Postales Videoman.- Postal promotor de los muñequitos, una de 14.5 x 9.5 cm.

DIBUJOS A ENMARCAR- Dibujo a enmarcar: 56.5 cm alto x 76.5 cm ancho tamaño del dibujo,una marialuisa (paspartu) de 10 cm de cada lado.- Dibujo sobre la mesa,tamaño de la mesa 76 cm x 96 cm.- Enmarcar 2 dibujos de 15 x 10 cm.- Enmarcar un dibujo de 12.5 x 18 cm.

      

 

RENTAROrdenador: Cualquier modelo que navegue bien internet.Proyector: Cualquier modelo, pero que no sea grande.

 

PARED ENTRADA

3.22 m de alto x 4.10 m de ancho.Lleva el texto en vinilo y 3 fotografías impresas en papel mate a 50 x 50 cm cada una.Enmarcadas de la misma manera que los dibujos: Madera lisa clara sin barnizar ni pintar. Angulos rectos, con una marialuisa (paspartu) de 10 cm.

 

NOTAS DE PRENSA SOBRE PAPEL* A tamaño original.

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inib1940, 08inib1941, inib1942, 08inmb1939

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (registro de las vídeo-proyecciones)

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (registro de las vídeo-proyecciones)

 

Videointervención número 16

Nombre: Descubrimiento del colonSituación: Subrayando lo grotesco: proyección de películas porno gays varoniles sobre el mapa que muestra el re-corrido de Colón hacía América.Lugar: Monumento a Colón.

    

     

 

 

Videointervención número 17

Nombre: Apoyando las buenas costumbres (o botellón mestizo).Situación: Videoman proyecta karaokes de canciones ecuatorianas en un botellón madrileño.Lugar: Plaza Vázquez de Mella (Chueca)

     

 

Videointervención 18

Nombre: Solidaridad artísticaSituación: Apoyando a los colegas: se bajo el video de Santiago Cirugeda de internet y se proyectó sobre su pieza, después se intentó proyectar sobre el Banco de España la imagen de Jota Castro "La hucha de los Incas". Dicha pieza propone que se regrese el oro robado a los incas y ha sido retirada de la exhibición por ser "vandalizada". Lamentablemente por cuestiones técnicas que desconozco no se pudo proyectar y de nuevo no se pudo reclamar el dinero. Todo apunta a que no quieren regresarlo.Lugar: Paseo de los Recoletos y Banco de España.

      

 

Videointervención 19

Nombre: Proyección parásita (o "mexicaneando" al vecino).Situación: Durante un cocktel en la Casa de América, de un fotógrafo brasileño que expone en la sala de al lado, Videoman proyectó la historia de su propia pieza para aprovechar el poder de convocatoria. En este caso sin autonomía eléctrica, usando hasta la luz del lugar.Lugar: Casa de América.

      

 

Videointervención 20

Nombre: Manifestando opiniones.Situación: Hoy el Partido Popular (la -derecha conservadora- en España) hizo unas declaraciones muy polémicas sobre rebajar la edad penal a los 12 años, aumentar la vigilancia y la presencia policial. Durante el día se grabaron las opiniones de algunos ciudadanos en relación a dichas declaraciones y por la noche se proyectaron sobre las oficinas del PP.Lugar: Calle Génova.

       

 

Videointervención 21

Nombre: Sin sub-títulosSituación: Un atardecer caribeño es proyectado sobre un museo. Posibles lecturas: un tributo a Felipe Ehrenberg, o en honor a las futuras ciudades que serán cubiertas por agua o simplemente un acto de visualización creativa: una invocación líquida para la sedienta Madrid.Lugar: Museo Reina Sofía.

   

      

  

Videointervención 22

Nombre: Serenata amorosaSituación: Proyección de una operación a corazón abierto, acompañado en vivo por un músico laptopero vasco.Lugar y fecha: 14 de febrero en la Plaza de la Lealtad.

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inic1985, 08intc1986, 08inic1987, 08intc1988, 08inic1989, 08intc1990, 08inic1991, 08intc1992, 08inic1993, 08intc1994, 08inic1995, 08intc1996, 08inic1997, 08itc1998

2004. Diana Larrea. PALACIO ENCANTADO (imágenes)

2004. Diana Larrea. PALACIO ENCANTADO (imágenes)

 

          

          

          

          

 

 

 

 

 

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2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (imágenes)

2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (imágenes)

          

          

                   

                    

                    

 

 

 

 

 

 

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2006. Lorma Marti. BLEND OUT (documentación visual + técnica)

2006. Lorma Marti. BLEND OUT (documentación visual + técnica)

 

BOCETOS

 

    

 

        

 

 

REFERENCIAS

 

ESTUDIO UBICACIÓN

    

   

PROCEDIMIENTO DE INSTALACIÓN

Con el progreso del proyecto y en colaboración con los organizadores y la ciudad, encontrar lugares adecuados sería una cosa sencilla. Cualquiera de las acciones siguientes puede adecuarse a una óptima localización: alambrado de árboles, vegetación y posibles monumentos, derivación o reducción de cruces peatonales altamente transitados y la limitación de vistas prominentes. El tamaño y materialización de cada intervención se decidiría en detalle de acuerdo con el lugar, el grado de interferencia y el espacio disponible.

Las instalaciones consistirían en andamios y telas, vallas de seguridad y pantallas. Estos son fácilmente instalables con un esfuerzo mínimo. Para la iluminación nocturna con equipo específico para obras (luces de seguridad) necesitaríamos acceso a suministros de electricidad.

Más importante aún, la instalación debería ser montada de la noche a la mañana sin indicación previa, ni información de qué pasará ni bajo la responsabilidad de quién.

 

 

 

 

 

 

 

06pric0882, 06pric0881, 06prtc3474

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (imágenes)

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (imágenes)

 

    

         

         

         

     

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08inic1984

2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (2007.11 / documentación visual)

2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (2007.11 / documentación visual)

 

Odio/fundamentalismo/representado por una recreación de manifestaciones derechistas fanáticas. Esto es escenificado por un doble.

El campamento/el campo de concentración. Giorgio Agamben.     Poder. Michel Foucault.    Velocidad y devastación. Paul Virilio.

(Noviembre) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Anno Dijstra. PROPOSAL NR. 19 + GIFT (imágenes)

2008. Anno Dijstra. PROPOSAL NR. 19 + GIFT (imágenes)

 

    

          

         

FOTOGRAFÍAS: Alfonso Herranz

 

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FOTOGRAFÍAS: Anno Dijstra

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Andreas Templin. HELL IS COMING / WORLD ENDS TODAY (trabajo de campo)

CONVOCATORIA

 

Se buscan personas para colaborar en proyecto artístico de Madrid Abierto 2008

El artista Andreas Templin busca para su proyecto titulado “Hell is coming/World ends today” seleccionado en Madrid Abierto (www.madridabierto.com; del 7 de febrero al 2 de marzo) gente que quiera participar en la ejecución del mismo a través de dos vías.

-    Por un lado, busca ciudadanos residentes o que estén trabajando en la ciudad de Madrid que ejercería como modelos por una semana, vistiendo prendas de ropa de moda con los nombres de filósofos contemporáneos. Se busca gente a la que le guste el skate, metal, punk, visual kei, goth, Hip Hop o R’n’B. Gente que esté simplemente interesada en la cultura juvenil o involucrada en intervenciones de arte a nivel internacional, será también bienvenida.

-    Por otro lado, busca un actor con disponibilidad para los días 7 al 14 de febrero. Esta persona iría vestida con traje de vestir oscuro y sombrero e iría portando dos carteles por el centro de Madrid durante 4 ó 5 horas al día. Su localización transcurriría en ciertas plazas y calles céntricas de la ciudad, sin hablar con nadie y con cierta actitud de “visionario”

Para conocer honorarios que se retribuirán a los participantes y ampliar información del proyecto, por favor, contacte con Andreas Templin en Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.

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The visual artist Andreas Templin is currently preparing a project for Madrid Abierto, a yearly exhibition in City of Madrid for art in public space. He is doing live-artwork which involves 150 citizens of Madrid. Next to this he is looking for an actor who could play a role in the streets of Madrid.

The actor would walk around in "Sunday-cloths" (black aor dark suit) and a Stetson hat with  two signs through the Inner City of Madrid, always stay at a certain plaza or streetcorner for a while and than walk on to the next spot. He would not talk to anybody and just have a sort of visionary, energetic look. He should be around in the hours when most people are in the street. This would happen 7th till including 14th of February. He is payed  XXX- Euros including tax. If he could do this 4 to 5 hours a day would be perfect. It would pay him around XXX.- Euros an hour including tax. Please forward to people interested in this and have a look at the attached description.

Si quiere saber más del proyecto o inscribirse, por favor, contacte con Andreas Templin en Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.

http://worldendstoday.wordpress.com/

http://andreas-templin.blogspot.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08intb1933

2008. Dier + Noaz. ESTADO DE EXCEPCIÓN (imágenes + link vídeo)

2008. Dier + Noaz. ESTADO DE EXCEPCIÓN (imágenes + link vídeo)

 

         

         

         

         

 http://www.youtube.com/watch?v=B3qLb3gEkMk 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Guillaume Ségur. WELCOME ON BOARD (documentación técnica)

 

PLANTA

ALZADO

 

Contrachapado, aceroDimensiones: 700x600x185 cm 

DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

La pieza será realizada con la ayuda de un carpintero especializado en proyectos de skate park. Otorgará a la estructura una sólida base. Se diseñará para soportar el peso de mucha gente.

Para su transporte, la escultura será dividida en 8 partes que serán conectadas y atornilladas entre sí. Se instalarán refuerzos para estas partes.

Para la construcción de Madrid, aparte del carpintero y yo, necesitaremos 2 personas más para llevar y afianzar las distintas partes de la estructura. Los soportes utilizados para la fabricación también se usarán en el montaje del proyecto.

La unidad debe ser instalada sobre una superficie plana y preferiblemente suave para garantizar su uso como plataforma de skate.

El tiempo estimado de montaje será de un día.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NO SE VENDE (2008.01 / documentación técnica)

2008. Alicia Framis + Michael Lin. NO SE VENDE (2008.01 / documentación técnica)

 

NECESIDADES TÉCNICAS

-    ILUMINACIÓN (los focos necesarios para que iluminen los 10 metros de pasarela. No es necesario ningún foco movible, o filtros. Sólo luz concentrada en la pasarela.

-    Cámara y trípode para grabar la performance

-    Pantalla

-    Proyector

-    SONIDO: Un doble CD con mezclador y su amplificador a los bafles (2 bafles como mínimo)

 

(ENERO 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NO SE VENDE (2007.11-2008.01 / documentación visual)

2008. Alicia Framis + Michael Lin. NO SE VENDE (2007.11-2008.01 / documentación visual)

 

Diseño Jorge Masanet

Diseño Chus Burés      Diseño Chus Burés

 

        

Cortesía Galería Helga de Alvear

(NOVIEMBRE 2007 - ENERO 2008) 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Sans Façon. S/T (documentación técnica / montaje)

2004. Sans Façon. S/T (documentación técnica / montaje)

     

     

     

          

        

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (documentación técnica)

 

EL PROYECTO SE ARTICULA EN TRES FASES

1ª Exploración. Septiembre 2007

Concentración y convivencia en la zona de los participantes. Durante un fin de semana residirán en un hotel de la zona. Exploración intensiva por parte del colectivo LHFA compuesto para esta ocasión tras una convocatoria cerrada de, aproximadamente, 40 artistas.

2ª Elaboración. Septiembre 2007 a Febrero 2008

Trabajo a nivel individual y colectivo sobre el material recopilado y confección de material artístico de todo tipo, desde textos, dibujos o fotografías hasta material sonoro y audiovisual, y página web de Explorando Usera.

3ª Información. Febrero 2008

Apertura de la “oficina de turismo” de Usera en Madrid con dos posibles localizaciones: Mostrador en la Casa de América o Kiosco situado dentro de las localizaciones exigidas por la convocatoria Madrid Abierto para exhibir y repartir cd's, dvd's, guías, mapas, postales, posters, pegatinas, chapas, trípticos...

Personal: Dos auxiliares de información. Visitas guiadas durante el tiempo de Madrid Abierto: cena en restaurante colombiano con guitarristas, casas de té, videoclubs chinos, taberna la andaluza, navajas en el gallego, visita a la peña taurina... Bolsa de viaje LHFA/MADRID ABIERTO.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NOT FOR SALE / NO SE VENDE (textos publicados)

PERIÓDICO

 NOT FOR SALE (2007) es un work in progress que analiza la situación de los niños vendidos alrededor del mundo. El proyecto empezó en la ciudad de Bangkok, Tailandia, donde Alicia Framis realizó el primer retrato de un niño desnudo que sólo lleva un collar que dice: Not for Sale (no se vende). Esta imagen dio pie a una serie de  fotografías que a primera vista son suaves, pero que reflejan la realidad de la fragilidad y la peligrosa posición en la que están muchos niños en la actualidad, ya que viven el verdadero riesgo de convertirse en un producto más del mercado.

En NOT FOR SALE, MADRID ABIERTO 2008, Framis sigue desarrollando la misma idea junto al artista Michael Lin, pero en otro formato. En esta ocasión proponen una gran performance, una puesta en escena a manera de desfile en la que sesenta niños de diferentes edades llevarán collares con la misma inscripción -“Not For Sale”-, con la particularidad de que cada collar tendrá un diseño especial pues cada uno está confeccionado por distintos joyeros, orfebres y diseñadores  españoles que han colaborado en el proyecto.

Michael Lin tiene la responsabilidad de diseñar y construir una estructura arquitectónica especial, sobre la cual se llevará a cabo la performance. Será realizada en material textil y pintada con sus llamativos estampados que caracterizan su trabajo y servirán de plataforma para que se realice esta acción.

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LIBRO Y WEB

 NOT FOR SALE. Un proyecto de Alicia Framis y Michael Lin

Alicia Framis presenta su más reciente trabajo, realizado en su mayoría en su estancia en la ciudad de Shangai, donde vive y trabaja actualmente. Los proyectos de Framis siempre se relacionan con la sociedad y están directamente influenciados por la realidad que la rodea y el ambiente inmediato. Como es el caso de Not For Sale (2007) para Madrid Abierto. Un trabajo que refleja, de alguna manera, esta realidad y se vale de ingredientes del diseño de moda, la cultura popular y la arquitectura.

Not For Sale es un work in progress que analiza la situación de los niños que son vendidos alrededor del mundo. El proyecto empezó en la ciudad de Bangkok, Tailandia, donde Framis realizó el primer retrato de un niño con el torso descubierto que sólo llevaba un collar que decía: not for sale (no se vende).

 A primera vista las imágenes son suaves y dulces; los niños están sonrientes y parecen estar felices y saludables. Es sólo cuando los observas con atención cuando salta a la vista lo que Framis pretende señalar: la realidad acerca de la fragilidad y la peligrosa posición en la que están muchos niños en la actualidad. Desde el momento en el que nacemos tenemos un precio, y para muchos niños existe un verdadero riesgo de convertirse en un producto más del marcado global.

 Desde que vive en China, Framis está interesada en la idea del retrato como propaganda, como el de Mao Sedong o el del rey de Tailandia Bhumibol Adulyadej, ambos exhibidos usualmente por toda la ciudad. En Not For Sale se emplean los mismos métodos de los retratos-propaganda, se mantienen las mismas medidas, pero se cambia el sujeto del líder por una versión más doméstica. Estos carteles siempre se muestran optimistas, con una apariencia alentadora que contiene ciertos detalles y atributos que cubren el mensaje, sólo mostrándolo sigilosamente desde abajo o con la bandera o la muchedumbre  que muestra el poder del líder. Framis muestra un niño sonriendo en un escenario idílico y sólo con un pequeño atributo: el pequeño collar que revela su posible destino.

 Asimismo, Framis presenta este trabajo en conjunto con el artista Michael Lin, quien tendrá la responsabilidad de diseñar una estructura o plataforma arquitectónica especial, realizada en material textil, sobre la cual se llevará a cabo la performance.

 Los llamativos estampados que caracterizan la pintura de Michael Lin tienen su origen en los tejidos tradicionales asiáticos. Tanto los estampados como la cultura y la fabricación industrial de los tejidos y artes decorativas tradicionales, son conceptos importantísimos dentro de su trabajo; así, el tejido se transforma en estructuras arquitectónicas, y los niños pasearán sobre dichas estructuras, haciendo que los dos proyectos dialoguen y se complementen.

 De esta manera, la estructura arquitectónica con motivos de tejidos orientales se convertirá en el marco perfecto para el desfile de los niños que llevarán los colgantes de Not For Sale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (ubicación propuesta)

2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (ubicación propuesta)

 El distrito de Usera fue creado en la última reestructuración de 28 de Marzo de 1987. Actualmente es un entramado social de convivencia de tres culturas diferenciadas, chinos, españoles y latinos en un proceso complejo de adaptación.

El distrito se halla delimitado por el puente de Praga, Paseo de Santa María de la Cabeza, Plaza de Fernández Ladreda y la carretera nacional 401 (Madrid - Ciudad Real). En este distrito se localizan un gran número de actuaciones del Programa Barrios en Remodelación, finalizado en 1989 y varias colonias de viviendas municipales. Actualmente estamos asistiendo a una apertura de Usera hacia el centro (obras de enterramiento de la M30, dinamización cultural de la zona de Legazpi, extensión de la línea 3 hasta Villaverde).

Su situación de proyección natural del eje artístico madrileño Plaza de Castilla – Legazpi y su situación fronteriza delimitada por el río y hasta hace poco por la M-30, la nacional 401 y la salida a la carretera de Toledo, hacen de este distrito un lugar interesante de exploración artística.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. NOT FOR SALE / NO SE VENDE (imágenes)

2008. Alicia Framis + Michael Lin. NOT FOR SALE / NO SE VENDE (imágenes)

 

    

         

         

           

           

                 

       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (documentación teórica)

2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (documentación teórica)

Una oficina de turismo de Usera en Madrid"Un Madrid más abierto es posible"

 

El distrito de Usera fue creado en la última reestructuración de 28 de Marzo de 1987. Actualmente es un entramado social de convivencia de tres culturas diferenciadas, chinos, españoles y latinos en un proceso complejo de adaptación.

El distrito se halla delimitado por el puente de Praga, Paseo de Santa María de la Cabeza, Plaza de Fernández Ladreda y la carretera nacional 401 (Madrid - Ciudad Real). En este distrito se localizan un gran número de actuaciones del Programa Barrios en Remodelación, finalizado en 1989 y varias colonias de viviendas municipales. Actualmente estamos asistiendo a una apertura de Usera hacia el centro (obras de enterramiento de la M30, dinamización cultural de la zona de Legazpi, extensión de la línea 3 hasta Villaverde). Su situación de proyección natural del eje artístico madrileño Plaza de Castilla – Legazpi y su situación fronteriza delimitada por el río y hasta hace poco por la M-30, la nacional 401 y la salida a la carretera de Toledo, hacen de este distrito un lugar interesante de exploración artística.

En 2004, LHFA presentó a Madrid Abierto un proyecto titulado Historias de Madrid, 2ª parte que se hizo merecedor de una mención del jurado. En ese proyecto buscábamos crear una geografía imaginaria, local y sentimental atravesada por cargas históricas, políticas y culturales. Reproduciendo la primera secuencia de la película Historias de Madrid, se presentaba una instalación móvil -tableau mouvant- de denuncia social y reinterpretación de la historia y cultura nacional. Un autobús de dos plantas circularía continuamente por la glorieta de Cibeles informando, como si se tratase de una guía turística, de las implicaciones políticas e históricas de la zona recorrida. En la confluencia entre tipismo municipal y turismo internacional se abren en la tela urbana espacios de índole ideológica y se desenmascaran las poses vacuas de los dirigentes políticos, empresariales y culturales. Se trataba, pues, de una acción irónica que, mientras recorría el espacio del Madrid "típico", reflexionaba sobre la realidad oculta tras el tipismo de la política municipal.

Trabajos anteriores de LHFA como Benidorm en 2006 y Gibraltar en 2007, en los que un grupo pluridisciplinar y desjerarquizado de artistas abordan en un fin de semana de convivencia la realidad frágil de un espacio que, hasta ese momento, sólo funcionaba conceptualmente como marca, nos dan la experiencia necesaria para abordar con éxito este nuevo proyecto.

Ahora, en 2007, nos volvemos a presentar a Madrid Abierto con un proyecto, Explorando Usera, que incide nuevamente en las estrategias que subyacen bajo la mayoría de las iniciativas culturales auspiciadas desde arriba. Nos salimos del escaparate que supone el Eje Plaza de Castilla - Legazpi, dentro del cual se desarrolla Madrid Abierto, para irnos a explorar las posibilidades artísticas y turísticas del distrito de Usera.

Para el proyecto Explorando Usera aprovecharemos las fiestas del distrito, en la primera quincena de septiembre, para realizar un trabajo de campo que se desarrollará y documentará durante el siguiente trimestre. Los objetivos son claros: abrir Madrid generando nuevos flujos de información.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (documentación técnica)

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (documentación técnica)

 

 

DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE

Se realizara en tubo de neón de color blanco y de una altura de 40 centímetros el anuncio:“Se buscan hombres, para viaje arriesgado, poco sueldo, mucho frío, lar­gos meses de oscuridad total, peligro constante, regreso a salvo dudoso, honor y reconocimiento en caso de éxito”.

Se realizara una serie de 23 marcos aprx. de hierro, en el cual se ubicaran las frases completa en neon, así se podrá colgadar desde el marco y apoyarlo en las balconadas de la fallada de Casa de América.

NECESIDADES TÉCNICAS DEL PREPROYECTO

Equipo técnico especializado para montaje y desmontaje de publicidad en tubos de neón. Corriente eléctrica para iluminar anuncio.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (imágenes)

2007. [Nexus*] Art Group. PROYECTO_NEXUS (imágenes)

 

        

       

      

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (documentación teórica)

 

 El proyecto “Gran Sur” utiliza el anuncio de La Imperial Trans-Antarctic Expedition de 1914, liderada por Ernest Shackleton y publicada en el periódico de la época, con el propósito de reclutar hombres y poder realizar la expedición a la Antártica.

Con el tiempo según la leyenda dice, se ha transformado en un famoso anuncio.

“Se buscan hombres, para viaje arriesgado, poco sueldo, mucho frío, largos meses de oscuridad total, peligro constante, regreso a salvo dudoso, honor y reconocimiento en caso de éxito”

Esta expedición tenía como propósito cruzar el continente Antártico por el polo, sin embargo el barco, el Endurance, fue atrapado e impactado por bancos de hielo antes de que siquiera pudieran desembarcar. Los miembros de la expedición sobrevivieron después de una épica jornada on sledges over pack ice to Isla Elefante. Entonces Shackleton y otros cinco hombres cruzaron el Océano Antártico, en un bote abierto llamado James Caird, viajaban a Georgia del Sur para dar la alarma en la estación ballenera Grytviken. Después de varios intentos de rescate, finalmente todos los hombres de la Isla Elefante fueron rescatados en el pequeño barco chileno Yelcho comandado por Luis Pardo Villalón, desde Punta Arenas. 

Shackleton no perdió ni un solo hombre en los tres años que duró su expedición. La aventura de Shackleton, es posiblemente la más importante de cuantas se han vivido en los Polos, y aunque no aportó ningún beneficio material, ni ningún avance científico, a excepción de la experiencia personal de los protagonistas, la supervivencia de todos los participantes supone en si misma un triunfo, una victoria del hombre sobre los elementos basándose en dos principios fundamentales: la solidaridad y el espíritu de lucha.

Este anuncio es la corriente y motivación central de la instalación. Es comparable a un manifiesto o pensamiento artístico, es una síntesis a través de la palabra que nos narra una obra, el dibujo que traza y sintetiza una historia.

Los documentos recopilados de la expedición: fotografías, películas y bitácoras de viaje, revelan un recorrido experiencial de supervivencia. El sentido de la creación artística también transita por una ruta inexplorada y dirige los sentidos, hacia objetivos que nos ayudan a comprender nuestras propia percepción del mundo que nos rodea.

En nuestros propios limites están manifestándose nuestras fronteras a traspasar.La decisión del viaje de Ernest Shackleton es análogo a cualquier idea artística que busca como fin, descubrir y revelar lo inédito. Él tuvo una idea en la que nadie más creía.

 

La instalación expone imágenes ocultas detrás de cada palabra lumínica, un relato, un tiempo, un continente, en definitiva una relectura después de 93 años de su primera y única publicación en la prensa.

 

Cuantas breves historias a modo de anuncio podríamos publicar, de los millones de emigrantes latinoamericanos que también han viajado y seguirán eternamente cruzando el atlántico con la utopía de lograr una hazaña, ahora no hay que mirar el polo sur como destino, la nueva región es el mundo. “La gran fortaleza como explorador polar de Ernest Shackleton se debe a que, en el Gran Sur, todas aquellas preocupaciones mundanas desaparecen por completo”.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Prats. GRAN SUR (documentación visual)

2008. Fernando Prats. GRAN SUR (documentación visual)

 

Composición y orden de las frases del anuncio. Altura de Tipografía 40 cm. por el ancho de la fachada.

    Sin título, 2007. Collage sobre periódico de la Vanguardia. 45 x 30 cm.

Vista de la instalación en la fachada Casa de América

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Anikka Ström. THE MISSED CONCERT (imágenes)

2007. Anikka Ström. THE MISSED CONCERT (imágenes)

 

    

       

© La Casa Encendida / Enrique Escorza

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (documentación visual)

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (documentación visual)

TRABAJOS RELACIONADOS

 

        

     

     

    

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2007. Susan Phillipsz. FOLLOW ME (imágenes)

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (documentación técnica)

2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (documentación técnica)

 

LISTA DE EQUIPO PARA LA REALIZACIÓN DE LA PROYECCIÓN(aportada en su totalidad desde México por el artista)

1. 1 arnes donde se montará el equipo.2. 3 baterias AG. 12 volts, 18 amperhora.3. 1 cargador de baterias 29 ampers (min-12).4. 1 base para video proyector, con brazo remobible.5. 2 soportes para camara, (una movil, una fija).6. 1 inversor de voltaje DC a AC 400 watts.7. 2 bocinas.8. 1 proyector de video de 2 000 ansilumens.9. 1 DVD portátil.10. 1 Deck miniDV portátil.

LISTA DEL EQUIPO PARA MONTAR EN CASA DE AMÉRICA

1. 1 DVD player.2. Un proyector de video.3. Un ordenador para poner el sitio web de consulta con la info.4. Un vinil con info e imagen del proyecto.

PESO

Todo el equipo pesa como 15 kilos con todo.

MEDIDAS

Variable.

MATERIALES

Varios, metal, acrílico y equipo electrónico.

CONDICIONES DE ILUMINACIÓN

Dos o tres spots direccionables.

CONDICIONES DE ESPACIO

Si se desea se puede montar todo el equipo sobre un maniquí (ver imagen en sitio web). Se necesita un espacio propicio, si es una intervención urbana, podríamos usar una vitrina de alguna tienda, un aparador de ropa que generalmente tenga maniquies.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Fernando Llanos. [VI VÍDEO] (documentación teórica)

[ vi video ]Videointervenciones móviles en contextos urbanos específicos

Videoman es el elemento que congrega residuos de soportes mediáticos urbanos combinados con el medio tecnológico. Está hecho de fragmentos y al mismo tiempo genera fragmentación.

El proyecto crea nuevos modos (o modos extrapolados) de crear narrativas. Deja de ser algo donde la movilidad se desarrolla apenas en la pantalla delante de nosotros y pasa a ser algo que se desenvuelve con nosotros. El movimiento está en el caminar de las personas, de los coches, de la vida en la ciudad.Influenza [Raquel Rennó y Rafael Marchetti]

SE HA PRESENTADO EN

- V Bienal do Mercosul, Porto Alegre, Brasil, 2005.- Festival de artes electrónicas y video TRANSITIO_MX, Centro Nacional de las Artes, México, 2005.- 35 Festival Internacional Cervantino, Guanajuato, 2006.

Proyecto de videointervenciones urbanas hechas aprovechando la infraestructura corporal del artista para subraya una dinámica que el autor llama “acupuntura urbana”, generando reflexiones puntuales en algunos partes de la ciudad donde se aparece como VIDEOMAN. Para cada edición se genera un arnes diferente para experimentar otras maneras de proyectar en las calles de las ciudades.

Todo se registra en foto y video, y después se monta todo a manera de instalación.

Por un lado este proyecto busca acercar al público especializado a espacios no cotidianos y no reservados para el arte especificamente, y por el otro, a la gente que habita o transita dicho espacio cuestionarles aspectos de su cotidianidad, revalorar su historia y/o dar cabida a la interacción entre artista y público.

INTRODUCCIÓN

No podemos seguir esperando que la gente sea la que se acerque a los museos, debemos llevarles las reflexiones a sus espacios y ganar terren de manera convincente. Cómo los graffitis que gritan por las calles: ¡aquí estamos, y esto es lo que pensamos!; cómo las emisiones de radio pirata que no esperan para difundir sus ideas, compartir sus hallazgos, o contagiar sus creencias; cómo algunos músicos, poetas o performanceros de la calle y el metro.

DESCRIPCIÓN

Se realizaran una serie de videointervenciones dentro de los ejes del Paseo de la Castellana- Paseo del Prado y la Calle de Alcalá - Gran Vía, vinculando la historia o las caracteristicas propias del espacio al contenido de los videos. Se propone presentar después en la Casa de América los resultados de las videointervenciones, tanto las hechasen Madrid, como las de México y Brasil.Para mayor referencia sobre como son las videintervenciones urbanas y de como se puede montar la pieza, anexo algunas imágenes, pero se pueden ver los videos en:www.fllanos.com/vi_video

VIDEOINTERVENCIONES

Dichos actos cautivan la atención de la gente de manera directa y sorpresiva. Son efimeras debido a su naturaleza móvil, y serán moviles gracias a un arnes personal que diseño para que pueda trasladarme y usar todo el equipo.El contenido de las proyecciones puede estar vinculado a la historia del lugar, hechos recientes relacionados con el mismo y/o reflexiones locales de interés popular. Se puede involucrar a la gente que transite como parte del acto y de la pieza mediante un sistema de “circuito cerrado”.

LA PORTABILIDAD DEL EQUIPO

 Aprovechando las ventajas tecnológicas de nuestra época, donde los equipos son cada vez más pequeños y por ende más portátiles, yo portaré un arnes donde coloco la cámara, dos decks miniDVs, un mixer de video, el proyector y baterias, para hacer después una trayectoria donde realizo la acción.

LA MOVILIDAD

El kit montado en el arnes me permite estar en movimiento y establecer diferentes relaciones con el espacio y con la gente que este presente. Esto me posibilita por un lado generar dinámicas participativas con proyecciones que se van desplazando: provocando al seguir una acción determinada, cambiar su trayectoria, medir su interes, etc; Por otro lado, buscar para cada toma o secuencia del video una superficie cambiante de acuerdo al discurso específico del video proyectado.

EL CONTENIDO DE LAS PROYECCIONES

1. Aquel previamente producido y que tiene una relación con el entorno.2. El que se genera in situ con una cámara provocadora (circuito cerrado) que proyecte y manipule la participación de los transeuntes.

EL PROCESO

Investigar las locaciones, parte de la historia y su problemática contemporánea, analizo los mejores momentos y lugares para hacer la videointervención con base al flujo de personas y lo significativo que pueda resultar trabajar con ese espacio. Hago un levantamiento de imágenes, y comienzo a trabajar en el video que se proyectará. El día de la videointervención se proyecta el material en el espacio previamente seleccionado y se documenta el acto, la reacción de la gente y su relación con la piezas si es que se involucran.

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 MANERAS DE VESTIR UNA BANDERA (documentación técnica)

 DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

La realización de la arquitectura y su decoración se realizarán in-situ, creando una estructura desmontable para que pueda ser itinerante.

Será necesario la contratación de carpinteros para su construcción.

Aprovisionamiento de materiales: madera y herramientas para su manipulación. Pintura acrílica DULUX y material para pintar.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dan Perjovschi. OFF (imágenes + material físico)

2007. Dan Perjovschi. OFF (imágenes + material físico)

 

Paseo del Prado - Museo del Prado

Castellana - Colón nº 150    Castellana - General Oraá   Castellana - Pinar

Castellana - General Oraá    Castellana - María de Molina

Castellana - Ortega y Gasset    Castellana - San Juan de la Cruz

Castellana - Vitruvio    Glorieta Carlos V - Cuesta de Moyano

Castillo - Paseo del Prado    Doctor Marañón - José Abascal   Emilio Castelar - Gral M Campos

Paseo del Prado - Lope de Vega   ** Recoletos - Cibeles    Recoletos - Colón

Recoletos - Prim    **Raimundo Fernández Villaverde

 

** MUPPIS: EJEMPLARES FÍSICOS MATERIAL: papelUNIDADES: 2 dibujos originalesMEDIDAS: 173'5 x 120 cm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2008. Alicia Framis + Michael Lin. 100 MANERAS DE VESTIR UNA BANDERA (documentación teórica)

Alicia lleva 3 meses en Shangai preparando el proyecto, que consiste en crear una colección de vestidos hechos con el material de la bandera china, que servirán para realizar un gran desfile-performance en Madrid. Los vestidos los realizarán un grupo de diseñadores españoles y chinos. Teniendo en cuenta la situación de la mujer en China, cada diseñador invitado dará su versión del tema a través del vestido.

Para esta performance proyecto crear una plataforma arquitectónica especial, que sirva de pasarela para el desfile de los diseños. Se plantea que el evento sea itinerante y pueda viajar a diferentes ciudades, por lo que la plataforma será desmontable.

Mi unión con Alicia Framis para este proyecto reside en un interés común en el tema, así como en la complementariedad de las propuestas. Las estructuras arquitectónicas son parte fundamental en mi obra. Mis instalaciones son procesos arquitectónicos donde propongo una forma diferente de experimentar en el espacio con la pintura. Utilizo el espacio (público o privado) como medio donde “la obra se convierte en parte del espacio, más que un objeto en el espacio”. La pintura de sus instalaciones envuelve y transforma un entorno con un claro compromiso estético, pero, a su vez, invitando a ser pisada o manipulada, desafiando así la autonomía de las formas de arte e iniciando un proceso de trabajo en situacion, de participación directa con el espectador. Mi obra se sitúa dentro del marco de la práctica relacional, que define los valores estéticos como relaciones sociales y donde la comunicación, interacción y experiencia vital del público dentro del espacio conforma la base del proyecto artístico. Es importante el descontextualizar la obra e integrarla en la esfera de la realidad inmediata, diseñando interiores, mobiliario, tazas de café, una pista de tenis, o una pasarela para un desfile, como en este caso.

Los llamativos estampados que caracterizan mi pintura tienen su origen en los tejidos tradicionales asiáticos. Estos estampados, así como la cultura y la fabricación industrial de los tejidos y artes decorativas tradicionales, son conceptos importantísimos dentro de mi trabajo; así, el tejido se convierte en estructuras arquitectónicas, y los vestidos pasean sobre dichas estructuras, haciendo que los dos proyectos dialoguen y se complementen. De esta manera, la estructura arquitectónica con motivos de tejidos orientales será el marco perfecto para el desfile de vestidos realizados con la bandera china.

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Ben Frost. I LAY MY EAR TO FURIOUS LATIN (imágenes)

2007. Ben Frost. I LAY MY EAR TO FURIOUS LATIN (imágenes)

 

     

        

    

   

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS (documentación teórica)

2007. Dora García. REZOS (documentación teórica)

 

El proyecto “prayers/rezos” es una performance que se desarrolla durante veinticuatro horas y que es recogida en una obra sonora presentada como instalación de audio y video, y como sitio internet.

LA PERFORMANCE

Durante veinticuatro horas, treinta performers organizados por turnos de 4 horas cada uno en cinco puntos determinados de la ciudad, tanto fijos (plazas, calles, cruces, bares) como móviles (autobuses, metro, peatón), describen sin cesar todo aquello que ven y oyen en el lugar y el momento en que se encuentran, y esta descripción incesante, recitada como un rezo, es registrada individualmente por cada performer.La descripción recitada consiste tanto en descripción de personas, situaciones, actitudes, acontecimientos, como de edificios, estructuras, trayectorias, actividades, rutinas, objetos, atmósferas, circunstancias, sonidos, olores e incluso impresiones, deducciones e intuiciones del sujeto que describe o narra. Lo importante es que el “rezo” no se interrumpa y que las personas que casualmente se encuentren con el performer sean conscientes de que están siendo integradas en una estructura narrativa (por el simple procedimiento de oír cómo son descritas, ellas y lo que hacen, y esta descripción es registrada).

EL REGISTRO DE LA PERFORMANCE

Cada performer irá equipado con un sistema de registro sonoro, del tipo que se considere más adecuado en relación a la duración de la performance, la calidad del sonido y la comodidad del performer.

LA CONSTRUCCIÓN Y PRESENTACIÓN DE LA OBRA SONORA

Las grabaciones sonoras efectuadas por los performers se incorporarán en unas pocas horas a una estructura de programación flash previamente diseñada, construyendo un interface que permite al espectador, internauta o visitante combinar las registros sonoros de cada performance como lo desee, creando una especie de “rezo polifónico” que refleje la complejidad “caleidoscópica” de los diferentes lugares en los que las performances fueron realizadas,  complejidad que las descripciones de los performers intentan transmitir, pero que también podrían haber ayudado a crear (según la idea de que una realidad se crea en el momento en que es percibida y descrita, por así decirlo, “recitada”).

Este interface puede ser presentado según un modelo expositivo (instalación de audio y vídeo en una sala de exposición), pero también, y en cualquier caso, en un sitio internet que puede ser consultado en cualquier terminal de la red.

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (imágenes)

 

       

        

        

            

            

         

 

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Dora García. REZOS (documentación técnica + visual)

2007. Dora García. REZOS (documentación técnica + visual)

 

MODELOS DE PRESENTACIÓN

Primer modelo de presentación: el interface/ site internetEl interface programado en flash seguiría el modelo de otros trabajos realizados anteriormente, tales como “Lo Posible”

http://www.doragarcia.net/inserts/thepossible/htm/thepossible.htm

o “heartbeaters.net”www.heartbeaters.net(al entrar en la página flash home, clicar en “download sound”)

una combinación de ambos modelos, en los que las diferentes entradas llevarían nombres tales como“Gran Vía, 00:00-04:00”“Gran Vía, 04:00-08:00”“Gran Vía, 08:00-12:00”“Gran Vía, 12:00-16:00”“Gran Vía, 16:00-20:00“Gran Vía, 20:00-24:00”

y otros tales como:

“Autobús 27, 08:00-12:00”“Línea 1, 12:00-16:00”“Castellana/ Prado 16:00-20:00”“Cibeles e.a. 20:00-24:00”

se combinarían entre ellas de modo similar a como ocurre en “Lo Posible” y podrían ser descargadas como ocurre en “Heartbeaters.net”.

SEGUNDO MODELO DE PRESENTACIÓN: EXPOSICIÓN DE INSTALACIÓN DE AUDIO Y VÍDEO

Que podría hacerse de una manera similar a la desarrollada para el trabajo “Lo Posible” —ver imagen.

REQUERIENTOS TÉCNICOS

-    sistema de grabación de sonido, portátil, para los performers (mini disc o similar)-    para la presentación como instalación: ordenador (conectado o no a la red, según se presente la versión internet o la versión en cd), proyector de vídeo, instalación de audio (amplificador, speakers), sistema de ratón para la interacción del visitante.

 

 

 

 

 

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2007. Dirk Vollenbroich. CORTOCIRCUITO (documentación visual + vídeo)

2007. Dirk Vollenbroich. CORTOCIRCUITO (documentación visual + vídeo)

 

PRUEBAS IMAGEN

 

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2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (imágenes)

2007. Johanna Billing. YOU DON´T LOVE ME YET (imágenes)

 

     

     

        

    

     

                 

     

    

INDICACIONES: Please credit Johanna Billing for taking photo

 

 

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. DISCOTECA FALMING STAR (imágenes)

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2004. Sans Façon. S/T (imágenes)

2004. Sans Façon. S/T (imágenes)

 

                   

                    

                    

                    

       

       

       

       

 

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (documentación técnica)

 Nuestra propuesta es instalar en el interior de uno de los respiraderos del metro que dan a la calle, un equipo de sonido de alta amplificación por el que pasarán todas las versiones existentes de la canción la guantanamera, incluyendo las de Celia Cruz, Los lobos, Compay Segundo, Tito Puente, Nana MousKouri, The Maveriks, y The Fugees, entre muchos otros.

El espacio oscuro estará flasheado por un generador de luces estroboscopicas, y un proyector de vídeo lanzará imágenes referentes a la anatomía del sistema auditivo.

 

 

 

 

 

 

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2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (imágenes)

2004. Wolfgang Weileder. HOUSE MADRID (imágenes)

 

        

       

       

      

       

               

                

 

 

 

 

 

 

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (documentación teórica)

“Con la tortura musical nuestra cultura ya no es un medio de expresión individual sino un arma”Moustafa Bayoumi. Profesor del Brooklyn College, New York

Guantanamera es un proyecto multimedia que reflexiona sobre el uso de la música como instrumento de tortura. La pieza estaría ubicada en el interior de uno de los respiraderos de metro de Madrid que conectan con la calle (probablemente en el eje Alcalá - Gran Vía), y seria experimentable  audiovisualmente desde el exterior, es decir, desde el espacio público; la calle.

Los extraños desarrollos dentro del aparato militar estadounidense posteriores a la guerra de Vietnam, hicieron que un número de integrantes del  alto rango del personal de inteligencia militar comenzaran a pensar de manera innovadora, adaptando varias teorías de la Nueva Era a oscuras prácticas de estrategia militar.

Actualmente, en la guerra contra el terrorismo, las fuerzas militares de EEUU han usado música pop, rap y heavy metal, como un medio de tortura contra  los detenidos en las cárceles militares. Principalmente se ha utilizado en técnicas de privación del sueño, como base de una desorientación sistemática que en la mayoría de los casos conduce a la locura. Canciones de Eminem y Doctor Dre, entre otros, son utilizadas en Iraq, Afganistán o Guantánamo.

Durante la época de la inquisición se usaban distintos artefactos para torturar y hacer confesar a los detenidos, práctica que con el paso del tiempo fue desapareciendo. Sin embargo, ahora quizá no existan esos enormes aparatos, pero los métodos han evolucionado, y basta con tener un equipo de sonido y un disco para lograr la tortura.Si los británicos en Irlanda usaron el llamado white noise en sus interrogatorios a republicanos irlandeses, los estadounidenses prefieren la música de su país. “Esa gente jamás ha oído heavy metal. No lo soporta”, dijo un interrogador de Guantánamo en Newsweek. “Eminem les resulta tan extraño que se vuelven locos”, añadió otro en Afganistán, (citado por ABC ).Según un informe de Human Rights Watch, “los detenidos fueron sometidos  por largos periodos de tiempo a música rap y heavy metal puesta a todo volumen”. En la cárcel de Guantánamo  se usó a Eminem, Britney Spears, Limp Bizkit, Rage Against the Machine, Metallica y hasta Bruce Springsteen. La canción Bodies (cadáveres), del conjunto de metal Drowning Pool, fue usada en Afganistán y en Guantánamo. Haj Ali, el iraquí torturado en cárcel de Abu Ghraib en Iraq, protagonista de la infame foto del detenido encapuchado obligado a mantenerse en forma de cruz, tuvo que oír hora tras hora, día tras día, la canción rockera de David Gray Babylon, transmitida a todo volumen en su celda. Es irónico porque muchas canciones de Eminem y Doctor Dre instan a las víctimas de injusticias sociales a aguantar y rebelarse.

Los medios de comunicación han descrito una serie de medidas muy agresivas empleadas durante largo tiempo. Por ejemplo, a los presos poco dispuestos a cooperar los hacen desnudarse, los encadenan a una silla sujeta al suelo, y los someten a luces estroboscópicas, música rock y rap atronador, repetiendo las canciones constantemente, del orden de 50.000 veces, desde altavoces ubicadas cerca del oído. Los cautivos son obligados a escuchar la música a niveles de volumen insoportables las 24 horas del día, los siete días de la semana.

La guantanamera, es la canción mas internacional del cancionero cubano. Esa pegadiza canción que ha viajado por el mundo representando a los cubanos como un himno, es una adaptación de Julián Orbón basada en un poema de José Marti. La melodía existía desde el siglo XIX y Joseito Fernández la tomo para su noticiario cantado en las emisiones de radio de los años cuarenta.

Guantánamo es un vocablo de origen taino, que son los aborígenes de esa zona de Cuba, y significa “el rio de la tierra”. Es precisamente en esta zona geográfica donde esta situada la base naval de Estados Unidos.

 

 

 

 

 

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2004. Warren Neidich + Elena Bajo. SILENT (imágenes)

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2007. Alonso Gil + Francis Gomila. GUANTANAMERA (documentación visual)

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PRUEBAS IMAGEN

 

REFERENCIAS

   

   

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Fernando Sánchez Castillo. PERSPECTIVA CIUDADANA (imágenes)

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2004. Etoy CORPORATION (imágenes)

2004. Etoy CORPORATION (imágenes)

 

          

          

          

          

          

          

      

 

 

 

 

 

 

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2004. Maider López. CARTELES PUBLICITARIOS Y BANDEROLAS (imágenes)

2004. Maider López. CARTELES PUBLICITARIOS Y BANDEROLAS (imágenes)

 

     

     

     

       

     

          

                     

                              

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. FERNANDO (WE WERE YOUNG. FULL OF LIFE. NONE OF US WERE PREPARED TO DIE) (documentación teórica)

 

ANTECEDENTES DEL PROYECTO

DISCOTECA FLAMING STAR Desde 1998 Discoteca Flaming Star viene realizando  performances-colaboraciones con otros artistas en distintos contextos artísticos. En los últimos años la realización de trabajos audiovisuales ligados a la experiencia performativa ha ido en aumento. El grupo ha producido banners o fondos de telón, alfombras, collages, proyectos de audio y trabajos en vídeos.

El proyecto aquí propuesto quiere dar una dimensión escultural-física de carácter público a la búsqueda del grupo. Una búsqueda realizada en los campos de la expresión espontánea de la canción, entendiendo ésta como una respuesta individual a / en determinados momentos históricos, e investigando a través de ella formas de actuación e interpretación orgánicas ante los imperativos globales de la industria del entretenimiento.

LAS CASETAS DE LA FERIA DEL LIBRO NUEVO Y DE OCASIÓN Desde 1925, 30 casetas-librerías han estado ubicadas en la Cuesta de Moyano. En tanto que pequeñas, entre tanto de carácter pintoresco- las estructuras callejeras están ligadas a formas de economía informal que, salvo en su versión “manta”, son ajenas a las zonas delimitadas por  el proyecto “madrid abierto”.

En la actualidad las casetas están temporalmente situadas en el Paseo del Prado hasta ser reubicadas en una remodelada Cuesta de Moyano – la harán peatonal- a principios del 2007. Encontramos de especial interés la cuestiones que este cambio inneherentes a este cambio: ¿hasta qué punto la cultura como evento interviene en la planificación urbanística y en los intereses inmobiliarios? ¿significará la nueva cuesta un cambio en el contenido de las casetas – eliminando el contenido de segunda mano o especializado?

DESCRIPCIÓN Y OBJETIVOS DEL PROYECTO

Realización de una escultura-caseta de dimensiones y cualidades similares a las casetas de ventas de libros de la Cuesta de Moyano. La escultura, localizada en una zona cercana a las casetas, contiene un elemento de audio en el interior.

Discoteca Flaming Star modificará e incidirá en la caseta-chiringito-librería de forma que ésta aparezca dañada, extraña, abandonada, expuesta – en su exterior -  a actos de vandalismo.

-mezclar distintas categorías espaciales: interior-exterior, privado-público-artístico, visible, inaccesible, aparentemente funcional pero sin estar en funcionamiento.  ---Así: generar un espacio que no prometa nada que no quiera ofrecer nada; esperamos de esta manera invitar a una reflexión sobre el carácter político de lo público, así como  la vulnerabilidad  y la sustancia confrontativa del espacio público.

-a través de un elemento de audio – relato + música  de unos 15 minutos– enfatizar el carácter misterioso de la escultura – caseta. (El contenido del audio se definirá a través de un proceso de investigación de la literatura e historia de la zona en la que se encuentran (encontraban) las casetas-librerías). ---este elemento nos da un amplio margen para introducir explícitamente cuestiones de literalidad, (i)racionalidad, pasión, diálogo, paseo, marco público y  expresión colectiva a través de productos culturales. Permitiéndonos así integrar reflexiones a cerca de la diversidad de las relaciones de los distintos proyectos culturales e idológicos de/en la ciudad.

-si las condiciones atmosféricas lo permiten Discoteca Flaming Star se plantea la posibilidad de hacer uso performativo del interior de la caseta: “abriendo el chiringuito”.

JUSTIFICACION PERSONAL

RELEVANCIA DEL PROYECTOAdemás de los puntos arriba especificados en la descripción de los objetivos del proyecto, creemos que nuestra propuesta añade un punto de deliberación artística durante la FERIA DE ARCO. Ya que las casetas-librerías son también un tipo de feria  – no sólo en su estructura, también se autodenominan feria del libro nuevo y de ocasión-, ofrecen un campo de reflexión en el que Discoteca Flaming Star viene siendo activo desde su fundación: la reflexión de las cualidades y relevancia de la práctica artística contemporánea y la investigación y cuestionamiento en formas de encuentro con el público.

DENTRO DEL DESARROLLO ARTISTICO DE DISCOTECA FLAMING STAREn ocasiones anteiores hemos relizado proyectos que nos han puesto en contacto con un público no especifícamente artístico: performances en clubs y en la plaza del pueblo de Viandar de la Vera. Perola oportunidad brindada por Madrid Abierto nos permitiría investigar el acercamiento a una audiencia de paseantes, desde un proyecto audiovisual con potencial de marco performativo.

 

 

 

 

 

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2007. Discoteca Flaming Star. FERNANDO (WE WERE YOUNG. FULL OF LIFE. NONE OF US WERE PREPARED TO DIE) (documentación técnica)

 

KIOSKO PREFABRICADO

MEDIDAS

2,6x4,2x2,6 (medidas aproximadas)

DETALLES TECNICOS

* Estructura  formada por perfiles  laminados en  frío  tubulares  y  angulares  formando paneles,  que se ensamblan entre  sí por medio de tornillos cincados. Siendo todos los componentes totalmente desmontables.* Semi-cercha compuesta por perfiles abiertos formando una celosía tipo Pratt.* Correas de perfil tubular fijadas transversalmente por medio de tornillos. * Cubierta    de   perfil   galvanizado   por procedimiento  Sendzimir de 275 grs/m2  por cara  . Tipo ondulado de 0,6 mm. de espesor.* Cerramientos   exteriores  de  perfil  tipo 30/209  de  0,6  mm.   de   espesor galvanizado por el mismo procedimiento anterior* Puerta  metálica construida con perfil tipo perfrisa  de 0,9 m luz x 1,96m de alto. Con cerradura  de  seguridad marca Azbe de  dos pasadores  y  un juego de tres  llaves,  de abertura , hacia el exterior.* Abatibles  de kiosco formado con marcos  de carpintería  tipo perfrisa de 1,3 de volada pendulantes por la parte superior. Abertura de   los   abatibles  por  medio  de   guía telescópica  tubular ajustable por medio de un  pasador  con dispositivo de  seguridad. Cierre  de  cada  abatible,  por  medio  de pestillos   interiores  con  muelle,  para cierre de golpe.* Sistema de anclajes, por medio de pasamanos atornillados   en   la  base  del   kiosco.* A  todos los componentes, se les aplica un desengrasado y una capa de imprimación sintética antioxidante.* Juntas  de perfil goma-espuma dispuestas en las esquinas de puertas y abatibles.* Incluye cuatro abatibles frontales y puerta de peatón.   (DATOS APORTADOS POR LA COMPAÑIA PREDES (BARCELONA) –correspondientes al objeto especificado en el presupuesto-)

NECESIDADES PARA INSTALACION

4 personas x 1 díaEl montaje es básico: según PREDES “funciona como un mecano” y no se necesita una grúa.Realización de instalación eléctrica básica para alimentación de los elementos de audio y (en caso necesario fuente de calor).

TRANSFORMACION REALIZADA POR DISCOTECA FLAMING STAR

PinturaPintura con relieve para la realización de textos (para integrar – y mantener legibilidad ante grafittis, etc…)

Instalación de audioDFS x 1 día

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW - CANAL METRO (vídeo)

 

AUDIOVISUALES EMITIDOS EN LAS PANTALLAS DEL CANAL METRO

 

 

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (documentación técnica)

 Para la realización de este proyecto se necesita una grúa móbil, del tipo camión-grúa, con estabilizadores a ambos lados y con una potencia media de XXX. Asimismo, se precisa del personal apropiado para la manipulación del aparato, y de personal cualificado en el cálculo de fuerzas en un periodo anterior al montaje.

 

 

 

 

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2006. Wilfredo Prieto. OUROBOROS (documentación teórica)

 DESCRIPCIÓN

Se trata de montar una grúa de construcción que está enganchada consigo misma, de tal forma que las fuerzas se anulen y aparezca totalmente estática.

PROCESO

Se establece un proceso de aprendizaje en la compañía elegida para definir exactamente qué tipo de material es necesario para la realización del proyecto, así como para colaborar con técnicos especializados. Durante ese tiempo se analizará el material del que se dispone, y se diseñará un plan de acción para que la pieza pueda ser realizada sin constituir peligro alguno para el personal involucrado, así como para los espectadores que ésta pueda tener.

Igual de importante que la pieza realizada,acabada y expuesta es para mi el proceso de realización, es decir, permisos necesarios, adaptación del material, cálculos de ingeniería, etc. Los problemas logísticos que puedan surgir son igualmente fundamentales en la comprensión de esta acción como obra de arte.

DISCURSO

Mi obra en general pretende ahondar en un mismo principio, decir mucho con muy poco, una fórmula que también puede aparecer revertida, proyectar una compleja construcción para un exiguo resultado. Tomando referencias del minimalismo, la búsqueda del equilibrio entre las fuerzas es la búsqueda a la que me enfrento en este proyecto. La paradoja que se crea ante el pez que se muerde la cola, la contradicción del ying y el yang, el complemento universal de lo bueno y lo malo, la vida y la muerte, el círculo vicioso.

Ante el aparato estático, uno no puede más que asombrarse por la brutalidad visual del resultado. De todos modos, busco explorar el papel del arte en territorios de coexistencia, asi pues como cubano, me manejo en una reflexión sobre la vida cotidiana sin olvidar que la vida misma es una paradoja que nos impulsa a vivir, a morir, y, algunas veces, a crear arte.

 

 

 

 

 

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2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (Canal Usera Vídeo)

2008. LaHostiaFineArts (LHFA). EXPLORANDO USERA (Canal Usera Vídeo)

 

   

*EJEMPLAR FÍSICO DISPONIBLE PARA CONSULTA

 

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (ubicación propuesta)

Técnicamente “Remolino” debería estar en un espacio interior o bien protegido de la llúvia o de actos vandálicos (por las cualidades frágiles de los materiales). De todas formas, para la colocación de la pieza, estoy dispuesta a ver distintas posibilidades y adaptarla a un lugar sugerente, como podría ser en un vestíbulo o hall de un edificio.

 

 

 

 

 

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2007. Anikka Ström. THE MISSED CONCERT (vídeo)

 

  

© LA CASA ENCENDIDA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (documentación técnica)

 SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TECNICAS

Para construir “Remolino” es necesario un motor que es similar al de las puertas giratorias existentes y que se activa cuando la gente va a utilizarlas. Este motor se incrustaria en el eje de la pieza. Para ello necesitaria un técnico.

Las cuatro puertas van unidas al eje y el sistema está pensado para que sea una pieza desmontable.La estructura de las puertas es de madera y los dibujos serían realizados sobre plástico translúcido. Es conveniente que estos soportes sean lo más leves posibles.

Si “Remolino” debiera ser una pieza independiente del espacio (en el caso de que no se pudiera agujerear el suelo y/o el techo), en la parte inferior del eje habría una pieza consistente de metal capaz de estabilizar todo el peso.

El presupuesto que presento ha sido estudiado en Barcelona con un especialista en realización de obras.

MEDIDAS

3,60 m diametro2,50 m alto

 

 

 

 

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2006. Tere Recarens. REMOLINO (documentación teórica)

 "Remolino" es una puerta giratoria semejante a las que encontramos en hoteles o centros comerciales, que se mueve con la ayuda de un motor. De fabricación propia, utiliza los elementos básicos necesarios (motor y base de metal) y el cristal es cambiado por marcos de madera y plástico sencillo translúcido.

En cada una de las 8 hojas de la puerta, realizaré una serie de dibujos con temas cotidianos, sociales y humorísticos. De modo que los visitantes deberán perseguir los dibujos para verlos, pero otros dibujos estarán persiguiendo a los visitantes también.

Si los visitantes quisieran ver todos los dibujos, deberían dar 4 vueltas como mínimo.

En esta instalación, como en otras de las que ya he realizado, el público es el principal factor. Acostumbrados a pararnos en frente de un o unos dibujos, en este caso son los dibujos que tendrán su propio ritmo.

“Remolino” es el proyecto que completa un ciclo de trabajos que inicié desde que vivo en Berlin. Empezando por “He” un video en el cual invito a los alemanes a aspirar de un globo de helium, “Besenrein” el salto más alto que nunca he realizado, limpiando nubes con una escoba mientras salto en paracaídas, “19 marzo 2014” dos contenedores que se abrirán en esta misma fecha y como si fueran las huellas de un fuerte aterrizaje en picado; seguidamente el rebote, que seria el proyecto “Shooting Star”, un salto con pértiga en un patio interior y fotografíado desde arriba del edificio, y por último, “Remolino” vuelve a lo terrenal, es decir, movimiento físico mas que mental.

Una de las cualidades que me gusta incluir en mis instalaciones son el publico en general y Madrid Abierto es exactamente lo que ofrece.

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (documentación técnica)

2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (documentación técnica)

 

   

La intervención “locutorio Colón” es muy sencilla y requeriría del patrocinio de alguna empresa, preferiblemente de telecomunicaciones, que facilitara tanto el equipamiento como la asistencia técnica y montaje. Se deja abierto a negociación los términos exactos de uso (por tiempo limitado/ilimitado…) del teléfono.

La dispersión de la noticia del locutorio Colón se haría mediante la difusión del rumor en distintos locutorios de la capital.

Todos estos aspectos están abiertos a debate y negociación con el equipo de comisariado y los posibles patrocinadores.

 

 

 

 

 

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2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (vídeo documental)

2006. Arnoud Schuurman. TRANSLUCID VIEW (vídeo documental)

 

             

Vídeo documental editado por Arnoud Schuurman sobre su proyecto TRANSLUCID VIEW

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Tanadori Yamaguchi + Maki Portilla-Kawamura + Key Portilla-Kawamura + Ali Ganjavian. LOCUTORIO COLÓN (documentación teórica)

 

COLÓN, EL PRIMER COMUNICADORDice la historia que Cristó bal Colón descubrió América, aunque nosotros preferimos expresarnos en términos menos eurocéntricos y entendemos que Colón estableció el primer canal de comunicación entre el Viejo y el Nuevo Mundo, el primer hilo de una red que durante los siglos se ha densificado exponencialmente.

Creemos que la Plaza de Colón debería mantener ese carácter de comunicación con el que identificamos al personaje que le da nombre (curiosamente los jardines junto a la plaza se llaman Jardines del Descubrimiento). Ahora, más de cinco siglos después de aquel primer contacto, sugerimos utilizar este céntrico ágora como exponente del estado de la relación contemporánea entre Europa y Latinoamérica.

REDES LOCALES, REDES GLOBALESMichel Serres describe la condición hipercomunicativa contemporánea con su brillante reflexión sobre el hors là en su libro Atlas. Hors-là es un estado que pone en relación el contexto local y el contexto global, las redes comunitarias y las redes internacionales, lo minúsculo y lo mayúsculo.

Dentro de la maraña social de Madrid encontramos nuevas comunidades emergentes, formadas mayoritariamente por grupos de inmigrantes. De entre ellas, las correspondientes a los países latinoamericanos, son las más populosas. Por lo general siempre es imprescindible un catalizador que funcione como colágeno de cohesión social. En nuestra sociedad de la comunicación, los locutorios cumplen esta función catalítica entre los grupos de recién llegados. Son los vórtices físicos de una red imprecisa y densa de relaciones locales y además habilitan relaciones globales. En otras palabras, un epítome del hors-là.

LOCUTORIO COLÓNLa propuesta es tan sencilla y pragmática que roza el campo de lo debatiblemente (y deliberadamente) no-artístico. Somos conscientes de ello, y aun así sugerimos la instalación durante la duración del evento Madrid Abierto, de un locutorio gratuito en la Plaza de Colón.

Este proyecto intenta alejarse de la objetualidad y ansias de eternidad que con frecuencia tanto pesan sobre el arte contemporáneo. En cambio, el proyecto intenta ahondar en los aspectos colaterales a la pieza (el locutorio) misma: en cómo se corre la voz sobre su existencia, en cómo se organizan los turnos de uso, en las actividades paralelas que puedan surgir improvisadamente a su alrededor, en el horario de empleo previsiblemente nocturno que tendrá…

Nos gusta pensar que la plaza será exactamente la misma una vez se desmantele la cabina de teléfonos, sin embargos, habrá participado en elaborar una red social más compleja e intensa entre aquellos que a un lado y otro del Atlántico la han disfrutado.

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. HANGUEANDO, 2002-03

2005. Raimond Chaves. HANGUEANDO, 2002-03

Soporte para lectura pública de L'UnitàModena, Italia 2003

Hangueando en el Barrio de Venecia, Bogotá, Colombia, abril -mayo 2003     Hangueando en el Cerro, Naranjito, Puerto Rico, octubre de 2002

 

       

Hangueando, periódico con patas nº 1,2,3

 

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (vídeo)

 

  

VÍDEO-PROYECCIÓN DEL REPORTAJE FILMADO EN LA HABANA

La obra funciona al situar dos videocámaras con diferentes movimientos de ángulos, manipuladas por tres fotógrafos que se moverán constantemente, en las áreas abiertas del museo grabando una serie de situaciones (B/W) que luego se retransmitirán sobre una de las caras de una pantalla, previamente editadas, para reconstruir el environment del sitio. Simultáneamente sobre la otra cara de la misma pantalla, se proyectará -sólo en horas puntuales- el reportaje filmado en La Habana, logrando el contrapunto temporal entre ambos sistemas de vigilancia.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RIO, LAS COSAS QUE PASAN (documentación visual / trabajo relacionado)

2005. Raimond Chaves. EL RIO, LAS COSAS QUE PASAN (documentación visual / trabajo relacionado)

Soporte para lectura pública de L'UnitàModena, Italia 2003

Hangueando en el Barrio de Venecia, Bogotá, Colombia, abril -mayo 2003     Hangueando en el Cerro, Naranjito, Puerto Rico, octubre de 2002

 

       

Hangueando, periódico con patas nº 1,2,3

 

 

 

 

 

 

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2004. Wolfgang Weileder. HOUSE-MADRID (vídeo-instalación)

2004. Wolfgang Weileder. HOUSE-MADRID (vídeo-instalación)

 

           

  

       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (documentación técnica)

 DESCRIPCIÓN DEL SISTEMA DE MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

El Museo Peatonal requiere de un espacio tipo vitrina con acceso a la calle, localizado en una zona pública o comercial con alto tráfico peatonal. Las dimensiones de la vitrina pueden ser flexibles (preferentemente del tamaño de un escaparate de tienda) ya que parte de la filosofía de la institución es amoldarse al espacio en que se inserta dentro del contexto ya existente.

El interior de la vitrina será configurado a manera de “white box”, emulando el interior blanco de una galería de arte.

En la parte exterior de la vitrina se instalará el logo y la filosofia del museo, fabricados en vinil adhesivo, facilmente removible. El audio (con el mismo texto) será amplificado hacia el exterior por medio de dos bocinas de computadoras conectadas a un CD-player, localizado dentro del espacio. Por seguridad, estas bocinas podrán removerse durante las horas que el museo no esté en operación.

PRODUCCIÓN Y MONTAJE

Formularios de donación foliados con hoja de carbón (2000 hojas)1000 bolsitas de plástico (ziplock) tamaño sandwich1000 tachuelas de corcho1000 etiquetas chicas para impresión laserCD PlayerBocinasLetreros en vinil2 UniformesTintorería para uniformesPintura y otros materiales de construcciónCables eléctricosAsistentes de trabajoInstalaciónHabilitación del espacio

 

 

 

 

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2005. María Alos + Nicolás Dumit. MUSEO PEATONAL (documentación teórica)

 

FILOSOFÍA DE UNA ORGANIZACIÓN NÓMADA

El Museo Peatonal es una institución itinirante dedicada a presentar exposiciones temporales en diferentes zonas de la ciudad de Nueva York y en otros entornos urbanos dentro y fuera de de los Estados Unidos. La colección del museo proviene de donaciones de aquellos que visitan, trabajan, o viven en los alrededores de la ubicación que el museo tenga en un momento determinado.

FORMATO

Intervención interactiva/instalación tejida en el en entorno urbano:

Esta institución funciona como una intervención/instalación de carácter específico que utiliza como “escenario” lugares localizados en zonas peatonales, altamente transitadas; idealmente espacios en edificios con acceso a la calle, localizados en zonas públicas y/o comerciales dentro de la ciudad. El interés de la institución es el de preservar la presencia de los peatones en un lugar determinado a través de una colección que se forma a medida que los donantes aportan los mas disimeles objetos personales, souvenirs y reliquias. El museo como tal se materializa conjutamente con el objetivo del proyecto, durante el ensamblaje de los artículos adquiridos. El proceso de donación es gratuito y los objetos donados son recolectados, clasificados, empacados y luego puestos en exhibición. Las transacciones toman lugar en la calle donde se ubica el museo, aprovechando el contínuo flujo de caminantes que se desplazan de un lugar a otro de la ciudad. El personal de esta institución esta compuesto por los propios artista, quienes se presentan al público (vestidos con trajes azul marino y camisas blancas) fungiendo además, el rol de comisarios, guardianes del museo, museógrafos e instaladores. De esta forma, se examina la jeraquía laboral propia de las organizaciones culturales.

Para recalcar su imagen institucional, el museo peatonal se vale de un texto y audio educativo con el cual informa a los posibles donantes sobre su filosofía y las forma en la que ofrece sus servicios.

TRANSCRIPCIÓN DEL AUDIO / TEXTO

“El Museo Peatonal es una institución itinirante dedicada a presentar exposiciones temporales en diferentes zonas de la ciudad. La colección del museo proviene de donaciones de gente como usted, aquellos que visitan, trabajan, o viven en los alrededores de la ubicación que el museo tenga en un momento determinado. El Museo Peatonal es la expresión física que refleja a traves de las donaciones, el espíritu del barrio en que se encuentra.

El museo está actualmente aceptando donaciones para este espacio. Es por ello, que le invitamos a sumarse a este esfuerzo conjunto, contribuyendo con un objeto de su propiedad. Si desea mantener anonimato como donante, por favor solicítelo en el momento de su contribución. Para cualquier información adicional, favor de contactar al personal de la institución. Todos los objetos donados pasarán a ser propiedad del Museo Peatonal. Gracias por su cooperación”.

RUTA ABIERTA DE EL MUSEO PEATONAL

En el 2001 el Museo Peatonal abre sus puertas en la concurrida calle 42 de la ciudad de Nueva York, en el corazón de Times Square, invitado por la organización Chashama. El mismo año, la institución se traslada por tres meses a la zona del desparecido World Trade Center, como parte de Looking In, una muestra organizada por el Lower Manhattan Cultural Council. A principio del 2004, auspiciado por Longwood Art Gallery y el Bronx Council of the Arts, el Museo Peatonal se establece por tres meses en el condado del Bronx.  Actualmente la institución está en proceso de trasladarse temporamente a la Ciudad de México. Invitado por el MUCA Roma, El Museo Peatonal se instalará en la Ciudad Universitaria (UNAM) por un mes.

Esperamos tener la oportunidad de continuar nuestro itinerario hacia otras ciudades, incluyendo a Madrid, bajo el formato de Madrid Abierto, aprovechando el flujo de visitantes de la feria de arte ARCO 2005.

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (documentación teórica)

 La idea de esta propuesta es que la intervención a la Casa de América no sea una obra primordialmente para ser observada, sino invertir esa relación y utilizar la obra para desde ella observar la cuidad de Madrid y contemplar los eventos de su cotidianeidad urbana.

La intención de este proyecto es la de reconocer y utilizar la fachada de la Casa de América como un sitio estratégico -de grandes cualidades- para observar uno de los puntos urbanos mas emblemáticos de la ciudad de Madrid, como es la Plaza de Cibeles, el paseo de Recoletos y Calle de Alcalá; desde una altura y puntos visuales que son normalmente poco accesibles.

Se propone la edificación temporal de una estructura de andamios (accesible y segura) para uso del público en general, que podrá desplazarse en los distintos niveles y volúmenes de la estructura.

El proyecto es una obra que activará la fachada de la Casa de América y el lugar mediante su función y su uso, modificando las relaciones pre-existentes de la ciudadanía con el sitio. Ofrece y propone una manera diferente de volver a ver su ciudad y su arquitectura, una posibilidad de dialogar mas activamente con el paisaje urbano de Madrid.Los andamios encubren y significan ciclos de actividad y cambio. Son espacios urbanos subutilizados, impermanentes, miradores nómadas que ofrecen por algún tiempo definido, vistas específicas de la ciudad que no se obtendrían de ninguna otra manera y pasan inadvertidas.Una desapercibida característica general de las grandes ciudades en Europa es la cantidad de andamios que predominan en las calles, áreas completas de limbo que cubren una gran cantidad de edificios (muchas veces los mas emblemáticos o de mayor valor histórico). A quienes pasan por los alrededores solo se les permite apreciar algo equivalente a la parte trasera de un espejo, convirtiéndolos así en lugares sin lugar. Un edificio rodeado de andamios es comúnmente un no-evento visual en el que el ojo cotidiano no percibe casi nada.

La estrategia de producción de esta obra es atenta a la naturaleza del concurso y su exhibición; los materiales que la componen se “alquilan”, es una obra de arte solo y mediante la función que cumple y las experiencias que surgen de ella. Es el resultado de un reciclaje de productos de consumo, al terminar “Madrid abierto” no habrá ningún material de desperdicio, los andamios se desmontaran y volverán a servir para sus fines ordinarios. Considero esta obra un evento que permite ciertas experiencias visuales, auditivas y fenomenológicas, mas que una escultura de características materiales, definidas y permanentes.

Formalmente la estética de la obra obedecerá y será guiada por los sistemas constructivos estándar de edificación y montaje de andamios en general.Formada por un grupo de volúmenes a diferentes alturas y cubiertos con mallas de diferentes colores.

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (documentación técnica)

 

Técnicamente la estructura se edificará con un sistema de andamiaje tubular metálico, (que ofrece gran rapidez para montaje y desmontaje) compuesto por marcos, diagonales, mástiles, barandillas y rodapiés, sujetada por anclajes, grapas y ménsulas. Las escaleras de acceso y movimiento dentro de la estructura pueden ser metálicas o de madera y las plataformas serían de aluminio o acero, probablemente cubiertas por madera de pino al natural.

Los volúmenes serían cubiertos por malla plástica perforada, que se utiliza comercialmente para este uso en andamios.

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (textos publicados: periódico)

 El control de las farolas a lo largo de una calle o de un camino significa que la luz adquiere un efecto palpitante. La luz se atenúa mediante una lenta secuencia, desapareciendo y reapareciendo lentamente en un ciclo continuo.

La luz oscilante de las farolas de Pulsing Path – ambiguous vision activa un camino de un parque y le otorga un comportamiento, separándolo de los caminos “normales”. Su expresión se transforma y desplaza, destacando de este modo cuestiones sobre los estados de la normalidad y la incertidumbre que rodea a la existencia humana.

El ser humano intenta controlar el mundo estructurándolo. Las sociedades se crean a través de varias estructuras de poder, que, sin embargo, nunca están completas o son sólidas. Debido a que las características de cada individuo que crea una sociedad difieren, la imperfección se convierte en la naturaleza (despreocupada) de estas estructuras sociales impuestas. La inercia del cambio, combinada con los ciclos de la vida humana actual y la evolución de la sociedad, dificultan el seguimiento de su curso o incluso el ser consciente de él. Pulsing Path – ambiguous vision trata de forma consciente nuestro entorno, nuestra percepción de este entorno y la memoria de su apariencia. Una calle iluminada puede no ser lo que se percibe en un primer momento. ¿Siempre estamos seguros hacia dónde nos lleva un camino? ¿El hecho de ver un objeto es prueba de su existencia?

CREACIÓN DE UNA SITUACIÓN INUSUAL, EN CONTRADICCIÓN CON LA “NORMALIDAD”

El proyecto Pulsing Path – ambiguous vision funciona mediante el cambio de situaciones cotidianas, centrándose en la visión. Juega con la realidad tal y como estamos acostumbrados a verla. La visión se puede definir simplemente como lo que percibimos con nuestros ojos: el fenómeno físico que ocurre cuando se transforma la luz en imágenes mentales comprensibles a través de la vista. Pero visión también puede ser lo que se “ve” con nuestra imaginación: un hecho inmaterial y totalmente abstracto. Y esto puede llevarnos a nuevas formas de pensar y planificar el futuro. De este modo la visión se convierte en un elemento lingüístico.

Aquellas ideas que una vez estaban claras se difuminan y las descripciones asumidas se ponen en duda, nuestro mundo, ya por sí complejo, lo es cada vez más. Pero como éste es el mundo en el que tenemos que funcionar día a día, tenemos necesariamente que simplificarlo para que tenga sentido. Somos capaces de elegir qué partes de nuestros factores mundiales queremos utilizar y cuáles dejamos de lado. Muchas de ellas se dejan de lado porque no han sido registradas en nuestras mentes o simplemente se han olvidado. La mayor parte de esta realidad es abstracta y está encerrada en nuestras mentes en forma de pensamientos o imágenes. Algunas de éstas se llevan a cabo como construcciones sociales o agendas políticas, derivando de las imágenes difusas de nuestras mentes o de las visiones ambiguas.

Las imágenes que tenemos de nuestro entorno son una mezcla complicada de imágenes que vemos directamente y de aquellas almacenadas en nuestra memoria. Por supuesto, no se trata de que ambas correspondan: algunas de nuestras imágenes mentales se pueden modificar, quizás se incluyan en una imagen de cómo nos gustaría que fuera nuestro entorno, o de forma alternativa distorsionar las imágenes que no queremos que sean así. Personas diferentes ven cosas diferentes; dependiendo de qué ha registrado el individuo. La misma cosa se puede ver de múltiples maneras. Por ello, seguir un camino y ver una dirección clara puede convertirse en algo incierto. Un camino, manipulado por el proyecto Pulsing Path - ambiguous vision, normalmente guiado por farolas, se escapa del campo de visión y a continuación vuelve tan brillante como siempre, al igual que el gato de Cheshire en Las Aventuras de Alicia en el País de las Maravillas de Lewis Carroll. La mente empieza a cuestionarse lo que conoce como “normalidad”: ¿qué pasa si la luz que siempre está allí desaparece repentinamente? o ¿si esa luz, en vez de iluminar crea un efecto visual que engaña a tu mente y destapa diferentes visiones?

En este sentido, el proyecto Pulsing Path modifica de forma radical una situación ordinaria. Mientras se atenúa la luz y desaparece temporalmente, nuestra aprensión habitual de un entorno también desaparece. Se plantea una cuestión: ¿La falta de luz crea dudas y miedos? o ¿libera nuestras percepciones nubladas al modificar una norma o una condición asumida?

 

 

 

 

 

 

 

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2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (documentación visual)

2005. José Dávila. MIRADOR NÓMADA (documentación visual)

 

ESTUDIOS PRELIMINARES. Bocetos para la propuesta de la estructura de andamios.

     

 

Propuesta: Vista volumétrica de la estructura de andamios en la cual el público puede transitar y observar la ciudad.

 

TRABAJOS RELACIONADOS

Vista exterior e interior de un proyecto similar realiza-do en el pasado para el Camden Arts Centre en Londres, 2001 

 

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (imágenes)

2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (imágenes)

 

     

              

          

 

                                                        

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (ubicación propuesta)

2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (ubicación propuesta)

 

 ESPACIO A INTERVENIR

Museo de las Esculturas al Aire Libre de la Castellana (paso peatonal bajo el puente).

    

Zona Vigilada replantea el contrapunteo entre dos espacios culturales específicos, desde la visión del acoso como evento controlador de nuestros actos sean privados o públicos. El primer espacio seleccionado, es el Museo de las Esculturas…; el segundo espacio es un reportaje filmado en Cuba, para este proyecto. Que cuestione la vigilancia - desde testimonios personales, imágenes de archivo e imágenes tomadas con cámaras ocultas - como medio de soporte y persuasión para mantener el poder. De ahí mi interés por recontextualizar dentro del primer espacio, esta estrategia de sobre vivencia del status como una “pieza museable”.

 

 

 

 

 

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2005. Raimond Chaves. EL RIO, LAS COSAS QUE PASAN (vídeos Canal Metro)

 

Para las emisiones de canal Metro “El Río, las cosas que pasan” presentaba sencillas animaciones a partir de dibujos e imágenes con la incorporación de breves líneas de texto y con un uso muy comedido del sonido. El contenido de las animaciones tuvo un registro similar al del póster pero haciendo énfasis en su vertiente más absurda presentando como noticia aquello que se supone no lo es.

                      

                       

                        

                        

                        

                        

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (documentación técnica + visual)

2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (documentación técnica + visual)

 

DESCRIPCIÓN MONTAJE

Construir una pantalla con salida de sonido entre las dos columnas localizadas en el centro del separador de vías - que queda justo debajo del puente - ruta de mayor tráfico peatonal del sitio.

Las dimensiones de la pantalla serán de 200cm x 450cm. Me interesa montar una pantalla de material sintético fuerte, cogida a las columnas con tubos (como tubos de andamios).

Colocar dos vídeos proyectores, frente a cada cara de la pantalla. Uno proyectará las imágenes del primer espacio (B/W) y el otro las imágenes del segundo espacio (full color).

Las cámaras se moverán por diferentes ángulos del Museo de las Esculturas y sobre el puente, conectadas a una computadora (ubicada también en áreas del museo) y a uno de los vídeo proyectores.

 

NECESIDADES TÉCNICAS

- Instalar una pantalla con dimensiones de acuerdo al espacio y salida de sonido.

- Instalar 2 vídeo proyectores con accesorios, uno de los cuales debe estar conectado a un reproductor de DVD; el otro para conectar desde el ordenador.

- Cables para conectar las cámaras, los vídeos proyectores y el ordenador.

 

 

 

 

 

 

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2006. Gustav Hellberg. PULSING PATH: AMBIGUOUS VISION (texto publicado)

 Controlar el alumbrado público de una calle de modo que ilumine a “impulsos intermitentes”.

La luz oscilante del alumbrado público de Pulsing Path activa la calle y la hace comportarse de un modo diferente al de las calles "normales". Su expresión se transforma y se desplaza. Este hecho plantea preguntas sobre los estados de normalidad y la incertidumbre que rodea a la existencia humana, aunque siempre hayamos tratado de dominar el mundo estructurándolo.

La inercia del cambio, el envejecimiento del ser humano y los cambios sociales hacen difícil descubrir su rumbo, o siquiera tener conciencia del él. Pulsing Path juega con nuestra conciencia de lo que nos rodea, la percepción que tenemos de ello, y el recuerdo de su apariencia. Una calle y su alumbrado pueden no ser lo que pensamos. ¿Estamos siempre seguros de a dónde conduce el camino? ¿Ver un objeto es prueba de que existe?

LA LUZ HACE LAS COSAS VISIBLES EN LA OSCURIDAD

La luz puede ser intensa, tenue, o inexistente. En el mundo actual estamos habituados a que la luz reduzca la oscuridad. En cierto modo contamos con que siempre esté ahí. Pero, ¿y si desapareciera súbitamente, o si en lugar de iluminar creara un efecto visual que engañara nuestra percepción, creando visiones diferentes?

VISIÓN

La certidumbre de seguir el camino y ver una dirección clara puede disolverse. Como bien sabe el gato de Cheshire de la novela de Lewis Carroll Alicia en el País de las Maravillas, el camino normalmente iluminado por el alumbrado callejero desaparece de nuestro campo visual tan sólo para volver de pronto, tan resplandeciente como siempre.

"En esa dirección, – dijo el Gato, trazando un círculo con la zarpa derecha – vive un Sombrerero. Y en esa dirección – añadió, dibujando otro con la izquierda – vive una Liebre de Marzo. Visita al que quieras: los dos están locos.”

 

 

 

 

 

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2005. Henry Eric Hernández García. ZONA VIGILADA (documentación teórica)

 

AutorHenry Eric. 2004/05.

ColaboraciónDull Janiell, editor de cine (cubano residente en Madrid).Laura Orizaola, fotógrafa (española).

DESCRIPCIÓNPropongo este proyecto, resguardando una de las premisas fundamentales de la poética de mi obra, en cuanto a realizar art interventions en recintos que he llamado ghettos culturales: espacios individuales o colectivos construidos por una  ideología determinada, en una época determinada y luego transformados hasta quedar en el olvido o sumergidos en la decadencia cultural -entiéndase ideológica, económica, social-

La obra funciona al situar dos videocámaras con diferentes movimientos de ángulos, manipuladas por tres fotógrafos que se moverán constantemente, en las áreas abiertas del museo transmitiendo las imágenes en tiempo real (B/W) sobre una de las caras de una pantalla y editándolas al momento, para reconstruir el environment del sitio. Simultáneamente sobre la otra cara de la misma pantalla, se proyectará - sólo durante el ciclo de tiempo de las Horas Puntas - el reportaje filmado en La Habana (en tres partes / sonido / full color); logrando el contrapunteo temporal entre ambos sistemas de vigilancia.

El proyecto incluye además el diseño y la edición de un Cartel que será distribuido por toda la ciudad anunciando la intervención: El Museo de las Esculturas al Aire Libre/presenta /ZONA VIGILADA/a film by henry eric.

 

 

 

 

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2005. Fernando Baena. FAMILIAS ENCONTRADAS (documentación teórica)

DESCRIPCIÓN

Casualmente he encontrado una caja de cartón rotulada: 1 ENERO 1971 AL 17 MARZO. Esta caja contiene cerca de 100 negativos en blanco y negro de fotografías presumiblemente realizadas por un anónimo fotógrafo comercial,. Entre las imágenes existen algunas de familias en la pose típica que en aquellos años se requería para el carnet oficial de familia numerosa.

Habrán pasado 34 años; yo cumplía 9. Así posábamos en los años finales de la dictadura. ¿Algún parecido con nosotros hoy?

La obra que planteo consiste en la colocación de 5 pancartas conteniendo cada una de ellas la imagen de una de estas familias desconocidas. Cada pancarta medirá dos por tres metros y será colocada debajo de las habituales pancartas publicitarias del Círculo de Bellas Artes como indica el boceto adjunto. El sistema de montaje será similar al utilizado en las pancartas que actualmente se exponen.

Debajo y contextualizando las imágenes, 5 rótulos electrónicos de un metro mostrarán textos referentes a:1.    Efemérides generales del período comprendido entre el 1 de enero al 17 de marzo de 1971;2.    Noticias aparecidas sobre el tema de la familia en las mismas fechas;3.    Arte en España en aquella época;4.    El Círculo de Bellas Artes en el período comprendido entre el 1 de enero al 17 de marzo de 1971;5.    Noticias diarias actualizadas.

REFERENCIAS

1 de enero de 1971.- Nacionalización de la Banca privada en Chile.2 de enero de 1971.- Nace Cesáreo García Rodicio, Casado. Carnet de Conducir: B1 (Año 1989) e-mail: Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo. Teléfono: 687 9111213 de enero de 1971.- Mueren 66 personas en Glasgow al ceder una barandilla del estadio del "Celtic" por la presión de los espectadores. 4 de enero de 1971,- Nace Irina Melitopol. Altura 161 cm. Peso: 69 Kg. Color del pelo: Oro. Color de los ojos: Azules. Soltera. Sueña con tener una familia fuerte, amistosa y feliz. Busca a su amor, que tenga entre 35 y 50 años, que sea alegre, inteligente, bueno, estable y vigoroso.5 de enero de 1971,- Nace Marilyn Manson en Canton, Ohio.6 de enero de 1971.- Jesús Fernández Santos, premio Nadal con "Libro de la Memoria de las Cosas".7 de enero de 1977.- Nace en Valladolid la Guardia Civil Eva María Martín Martínez.8 de enero de 1971.- Nace Óscar Vives Martínez. Programador y  Grafista de la empresa Positive Soft.9 de enero de 1971.- La Cámara de Comercio Americana Junior presenta a Elvis como uno de los 10 jóvenes norteamericanos más extraordinarios.10 de enero de 1971.- Fallece la diseñadora francesa Gabrielle "Cocó" Chanel. 11 de enero de 1971.- Se inaugura la presa de Assuan, en Egipto.12 de enero de 1971.- la DIA informó que las fuerzas guatemaltecas habían “eliminado silenciosamente” a cientos de “terroristas y bandidos” en el campo.13 de enero de 1971.- 70 guerrilleros brasileños subían a un avión en Río de Janeiro y partían rumbo al Chile de Allende14 de enero de 1971.- Se estrenó Vente a Alemania, Pepe. Fue vista por 2.078.570 espectadores 15 de enero de 1971.- Ejecución pública de Ernest Ouandié, lider del UPC (Camerún)16 de enero de 1971.- Nace Sergi Bruguera, tenista español. 17 de enero de 1971.- La  visión de ETA VI Asamblea se impone, cuando un comando secuestra a un conocido industrial vasco cuya fábrica estaba en huelga.18 de enero de 1971.- Nace Josep Guardiola, futbolista español. 19 de enero de 1971.- Un grupo de disidentes del Partido Comunista de Venezuela funda el Movimiento al Socialismo (MAS) 20 de enero de 1971.- El cantante español Julio Iglesias contrae matrimonio con la señorita filipina Isabel Preysler, en Illescas (Toledo). 21 de enero de 1971.-  Nace en Madrid jose Ignacio Uceda Leal, torero.22 de enero de 1971.-  El dictador haitiano Francois Duvalier nombra sucesor a su hijo Jean Claude. 23 de enero de 1971.- Se alcanza la temperatura más fría jamás registrada en Estados Unidos, 80 grados bajo cero en Prospect Creek, Alaska.24 de enero de 1971.- Fallece Bill W, fundador de Alcohólicos Anónimos.25 de enero de 1971.- El jefe de las Fuerzas Armadas de Uganda, Idi Amin, asume el poder tras un sangriento golpe de Estado. 26 de enero de 1971.- Nace en Madrid María del Mar Sánchez de la Sierra, de la familia Sánchez de Alarcón.27 de enero de 1971.- Se crea en Francia un ministerio de Protección de la Naturaleza y del Medio Ambiente.28 de enero de 1971.-  Buero Vallejo es elegido miembro de número de la Real Academia a  propuesta de Vicente Aleixandre, Emilio García Gómez y Pedro Laín Entralgo,29 de enero de 1971.- Nace en Albacete Manuel Caballero, torero.30 de enero de 1971.- Las Naciones Unidas promulgan la Convención internacional para la eliminación de todas las formas de discriminación racial. 31 de enero de 1971.- EE.UU. lanza al espacio el "Apolo XIV" en un tercer experimento del alunizaje.

1 de febrero de 1971.- Muere en Limoges, Francia, el pintor y escritor dadaista Raoul Hausmann, 2 de febrero de 1972.- Se firma en la ciudad iraní de Ramsar, la Convención Mundial sobre Humedales.3 de febrero de 1971.- La OPEP fija unilateralmente los precios del petróleo. 4 de febrero de 1971.- La compañía automovilística británica "Rolls Royce Ltd." hace público su expediente de quiebra ante los tribunales. 5 de febrero de 1971.- Los astronautas estadounidenses Alan Shepard y Edgar Mitchell se posan en la Luna con el módulo "Antares". 6 de febrero de 1971.- Nace en El Barraco (Ávila) el ciclista José María “Chaba” Jiménez.7 de febrero de 1971.- Un referéndum celebrado en Suiza aprueba, por mayoría de dos tercios, la concesión del derecho al voto a la mujer. 8 de febrero de 1971.- Se funda el Nasdaq, el primer mercado de acciones tecnológicas del mundo: se empiezan a cotizar más de 2.500 acciones de productos electrónicos.9 de enero de 1971.- Regresa a la Tierra el Apolo XIV.10 de febrero de 1971.- Nace en Francia Béatrice Valle, actriz X especializada en sexo anal.11 de febrero de 1971.- El nuevo plan quinquenal soviético se orienta hacia la producción de bienes de consumo. 12 de febrero de 1971.- Se da en Canarias un caso de  gota fría. 13 de febrero de 1971.- El presidente chileno, Salvador Allende, decide aceptar la reforma constitucional que establece el dominio del Estado sobre todos los recursos mineros y combustibles del país.14 de febrero de 1971.- Se firma el acuerdo de Teherán entre las compañías petroleras occidentales y los países exportadores de petróleo del Golfo Pérsico.15 de febrero de 1971.- Entra en vigor en Gran Bretaña el sistema decimal. 16 de febrero de 1971.- Desaparece Alcibiades Bethancourth, víctima de la dictadura militar panameña.17 de febrero de 1971.- Jacques Lacan imparte la cuarta sesión del seminario “D'un discours qui ne serait pas du semblant”. 18 de febrero de 1971.- Pierre Golendorf, periodista y fotógrafo francés es detenido en La Habana y sometido durante su encarcelamiento a toda clase de torturas psicológicas.19 de febrero de 1971.- Aparece en Inglaterra el single de Paul McCartney que contiene los temas Another Day y Oh Woman Oh Why.20 de febrero de 1971.- Idi Amin Dadá se proclama presidente de Uganda. 21 de febrero de 1971.- Se da en Viena el Convenio sobre Sustancias Psicotrópicas.22 de febrero de 1971.- Hafez al-Assad se convierte en jefe del Estado en funciones de Siria.23 de febrero de 1971.- Un fenómeno espectacular es observado en numerosos puntos de la península cayendo, poco después, a unas 24 millas al Norte de San Sebastián. Se trató del cohete Tibere. 24 de febrero de 1971.- Nace en Barcelona Pedro Martínez de la Rosa, piloto de Formula 1.25 de febrero de 1971.- España se adhiere a la Convención de Ginebra para Alta Mar.26 de febrero de 1971.- Claudio Sánchez-Albornoz presenta su dimisión como Presidente del Gobierno de la República. 27 de febrero de 1971.- Muere Fernandel, actor cómico francés.28 de febrero de 1971.- En la vigésimo tercera jornada del campeonato de Liga el Real Madrid gana al Club Atlético de Madrid por un 1 a 0. Gol de Pirri en el minuto 9.

1 de marzo de 1971.- Se estrena Ransom for a Dead Man, programa piloto del telefilm Colombo.2 de marzo de 1971.- Mujibur Rahman proclama en Dacca a Bangla Desh república independiente de Pakistán, lo que originó una guerra civil. 3 de marzo de 1971.- Fallece en Copenhague el arquitecto y diseñador Arne Jacobsen. 4 de marzo de 1971.- Se estrena en Italia, Muerte en Venecia, de Luchino Visconti.5 de marzo de 1971.- Led Zeppelin interpreta en Belfast por primera vez en directo el tema Stairway to Heaven. 6 de marzo de 1971.- El piloto estadounidense de Formula  Mario Andretti gana el Gran Premio de Sudáfrica.7 de marzo de 1971.- Se inaugura el "Museo Dalí" de Cleveland (Beachwood). 8 de marzo de 1971.- Derrota de Cassius Clay en Nueva York, por puntos, ante el campeón del mundo de boxeo de los pesos pesados, Joe Frazier. 9 de marzo de 1971.- Se aprueba la Ordenanza General de Seguridad e Higiene en el Trabajo.10 de marzo de 1971.- El Atlético de Madrid gana por 1 a 0, gol de Adelardo, al Legia de Varsovia en partido de Ida de los Cuartos de Final de la Copa de Europa.11 de marzo de 1971.- Se crea la Universidad Politécnica de Madrid, a la par que las de Cataluña y Valencia.12 de marzo de 1971.- Fernando Baena cumple 9 años.13 de marzo de 1971.- Nace en Esplugues de Llobregat (Barcelona), Carme Chacón Piqueras, secretaria de Cultura. 14 de enero de 1971.- En una conferencia dada en Granby, Canadá el arzobispo Lefebvre habla sobre la Santa Misa. 15 de marzo de 1971.- Tiene lugar en Argentina la insurrección popularconocida por el Viborazo. 16 de marzo de 1971.- JUDAS PRIEST se presenta con sus nuevos integrantes Kenneth Downing e Ian hill en Essington, Inglaterra. 17 de marzo de 1971.- Mueren tres trabajadores en la construcción del tramo de metro entre Avda. América - Pueblo Nuevo.

 

 

 

 

 

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2005. Compañía de Caracas. ESPACIO MÓVIL (documentación teórica)

PRESENTACIÓN

Proyecto                   Espacio móvil

Autoría del proyecto    La Compañía de Caracas (fundada en abril de 2004) formada por Ángela Bonadies y Maggy Navarro

Intervención efímera    Se intervendrá el eje del Paseo de la Castellana y del Paseo del Prado con imágenes fotográficas colocadas en paradas de autobuses y sobre autobuses que cubran esa ruta

Temática de la intervención    Fotografías urbanas actuales de la ciudad de Caracas

Materiales    Vinilo adhesivo translúcido para las paradas y los autobuses. De ser posible: duratrans Day and night para los espacios reservados a publicidad en las paradas de autobuses

“…cuando pienso en algo, de hecho, pienso en otra cosa. No se puede pensar en algo más que pensando en otra cosa. Por ejemplo, usted ve un paisaje que es nuevo para usted, pero es nuevo para usted porque lo compara en el pensamiento con otro paisaje antiguo, que ya conoce.”  Jean-Luc Godard

Aludiendo a la cita de Godard que abre este proyecto, nuestra intención es establecer un puente entre la ciudad intervenida, Madrid, y una ciudad latinoamericana, Caracas, a través de imágenes fotográficas a color colocadas en paradas de autobuses y en autobuses que cubren el eje de acción propuesto en Madrid Abierto.

El proyecto Espacio móvil busca jugar con las acepciones de “circulación” y “movilidad” en sus sentidos urbano –transporte- y mediático -circulación de información-, para crear una paradoja visual -un disfraz- y reflexionar sobre “la ciudad” a través del desplazamiento y la presencia de una dentro de otra.

Ciudad moderna latinoamericana por excelencia, Caracas fue una promesa de “futuro” a partir de las grandes intervenciones urbanas y construcciones de los años 50, que reflejaban su bonanza económica. Cincuenta años después, en la actualidad, Caracas es una ciudad en permanente movimiento que sufre a diario pérdidas, tanto en su memoria espacial como en los conceptos urbanos y técnicos que sustentan su habitabilidad.

La apertura de Madrid nos permite, de una manera visual, hacer una conquista espacial a través de fotografías del centro de Caracas (imágenes actuales de sus calles, sus edificios y su transporte) y a la vez ahondar en el carácter público y las posibilidades críticas de los objetos urbanos (autobuses y paradas en nuestro caso), fuera de las instituciones oficiales y de los soportes convencionales del arte. Así mismo tomamos como antecedente conceptual la intervención pictórica sobre autobuses realizada por el artista venezolano Carlos Cruz-Diez en La Bienal de Artes Visuales celebrada en Porto Alegre en el año 1997.

La Compañía de Caracas surge del interés por lo urbano y de la necesidad de registrar los viejos y nuevos fenómenos que definen “la ciudad”, con una especial atracción por nuestra ciudad de origen, la cual sufre una contradicción esencial y se define entre arcaísmos y  novedades, entre lo rural y lo tecnológico, entre una permanente mutación y particularidades inmutables.

En las imágenes que anexamos colocamos ejemplos -no definitivos- de nuestra intervención, cuyo espíritu se define entre “Venezuela tropical que linda es” y “Ocaso jubilación”, frases que se leen sobre los autobuses que nos sirven de coartada.

 

 

 

 

 

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2005. Compañía de Caracas. ESPACIO MÓVIL (documentación técnica)

Nuestro proyecto se basa en colocar imágenes fotográficas actuales de Caracas en paradas de autobuses que se encuentren en el eje de la convocatoria y también en autobuses que cubran ese trayecto.  El material a utilizar es vinilo adhesivo translúcido. A continuación detallamos el presupuesto desglosado.

PARADASDimensionesVariables, alrededor de 10m2 por parada. Cristales útiles: alrededor de 2.20 metros de altura y entre 3 - 5 metros de largo. Ventana de publicidad: 1.70 x 1.15 metros aprox.

Material a utilizarVinilo translucido para los cristales. Material day aŠaµ–ight para la ventana reservada a publicidad, de ser posible utilizarla. Este material se aprecia perfectamente de noche y día sin necesidad de iluminación especial.

AUTOBUSES   DimensionesVariables, alrededor de 20 m2 por autobús (una sola cara).

Material a utilizarVinilo exterior translúcido (llamado windows), que es un material especial para colocar también sobre las ventanas: desde dentro se puede mirar al exterior.

GASTOS DE MONTAJE          Instalación del vinilo sobre los autobuses y en las paradas por operarios especialistas.

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (documentación teórica)

Cada uno de los tres proyectos aquí propuestos busca con la ayuda de la intervención una modificación de la experiencia urbana, para este caso nos hemos basado casi exclusivamente en los sistemas de transito y los sitios que conviven entre estos sistemas, como son las jardineras y áreas verdes. 

Estos proyectos consideran argumentos críticos que subrayan el orden y el planeamiento del sistema y diseño urbano, aquí se insertan y se activan nuestros proyectos, al señalar por un lado la naturaleza de la ciudad que vive bajo sistemas de practica social que permean y socavan los espacios y por otra reafirman una circunstancia mutable del planeamiento urbano.

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (documentación técnica)

DESCRIPCIÓN DEL MONTAJE Y NECESIDADES TÉCNICAS

Tratándose en nuestro caso de obras que tienen como soporte conceptual la arquitectura y el urbanismo, buscamos en su realización los materiales propios de la construcción y utilizamos los mismos sistemas que esta ocupa, por este motivo no existe una necesidad especial, en estos proyectos, de montaje o requerimientos técnicos extras que no hayan sido indicados en el listado del siguiente punto.

 

AMPLIACIÓN DE UNA ÁREA VERDE

El proyecto ampliación de una área verde consiste en extender hacia la calle y la banqueta una de estas áreas generando un espacio entre dos de los sistemas de orden del planeamiento urbano con el vial y el peatonal.

REQUERIMIENTOS

Equipo técnico para construcción:•    cortadora horizontal de concreto con disco•    pico •    pala•    carretilla•    cinta métrica•    nivel•    madera para construcción (en caso necesario)

Equipo técnico para jardinera:•    rastrillo  •    malla para cribar tierra•    cubeta•    manguera•    pico •    pala

Material de construcción:•    concreto (en caso necesario)•    block o ladrillo (en caso necesario)•    pintura (en caso necesario)•    material decorativo (si este existe en el contexto)•    hierro para elementos urbanos (si este existe en el contexto)•    varilla (en caso necesario)•    Materiales de jardinería:•    rollo de césped y/o flores (dependiendo de las características del diseño ornamental)•    tierra para plantas•    Fertilizantes

Mano de obra:•    operador para cortadora de concreto•    jardinero•    Albañil

CONEXIÓN DE DOS JARDINERAS

Proyecto Conexión de dos jardineras: dos jardineras son conectadas a partir de la extensión de una de ellas interrumpiendo un sistema de orden urbano, la calle.  Esta interrupción es cometida por un sitio delimitado y considerado de ornamento.

REQUERIMIENTOS

Equipo técnico para construcción:•    cortadora horizontal de concreto con disco•    pico•    pala•    carretilla•    cinta métrica•    nivel •    madera para construcción (en caso necesario)

Equipo técnico para jardinera:•    rastrillo•    malla para cribar tierra•    cubeta•    manguera •    pico•    Pala

Materiales de construcción:•    concreto•    block o ladrillo (en caso necesario)•    pintura (en caso necesario)•    material decorativo (si este existe en el contexto)•    hierro para elementos urbanos (si este existe en el contexto)•    varilla (en caso necesario)

Materiales de jardinería: •     rollos de césped y/o flores (dependiendo de las características del diseño ornamental)•    tierra para plantas•    fertilizantes

Mano de obra:•    operador para cortadora de concreto•    jardinero•    Albañil

CONEXIÓN DE DOS BANQUETAS

En este otro caso, las banquetas, pertenecen a un sistema de distribución y transito peatonal, suponen un orden en la delimitación de recorridos dentro de la planeación urbana pero que por medio de la obstrucción y extensión interrumpe otro sistema de la misma naturaleza, este sistema son las calles de uso casi exclusivo de vehículos.

REQUERIMIENTOS

Equipo técnico para construcción:•    pico •    pala•    carretilla•    cinta métrica•    nivel•    madera para construcción •    cortadora horizontal de concreto con disco (en caso necesario)•    revolvedora para concreto armado

Materiales de construcción:•    concreto armado•    block o ladrillo•    pintura (en caso necesario)•    material decorativo (si este existe en el contexto)•    hierro para elementos urbanos (si existe en el contexto)•    varilla

Mano de obra:•    operador para cortadora de concreto•    albañil

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (documentación visual)

2005. Colectivo Tercerunquinto. S/T (documentación visual)

BOCETOS

AMPLIACIÓN DE UN ÁREA VERDE

 

CONEXIÓN DE DOS JARDINERAS

 

CONEXIÓN DE DOS BANQUETAS

 

TRABAJOS RELACIONADOS

SELECCIÓN FOTOGRÁFICA

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (ubicaciones propuestas)

2004. Bubble Business. EMANCIPATOR BUBBLE (ubicaciones propuestas)

       

EMANCIPATOR BUBBLE EN MADRID ABIERTO

Entendemos la intervención en el espacio público como una interacción con el contexto y sobre todo con la gente y sus problemáticas cotidianas.

Así para MADRID ABIERTO, EMANCIPATOR BUBBLE plantea presentarse a modo de contenedor-stand informativo (emplazamiento a definir en el recorrido) en el que se pueda presentar a los transeúntes el producto a través de diferentes soportes (web, maqueta, chicles, paneles informativos...), a la vez que se recoja información y sugerencias que abran posibilidades hacia soluciones más reales.

Cabe la posibilidad de complementar esto (según el presupuesto o la posibilidad de establecer algún tipo de acuerdo), por ejemplo, con la inserción de publicidad en marquesinas o del vídeo promocional en alguna de las televisiones locales o en la tv del metro, etc.

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. FAUBOUR BETUNE

2005. Óscar Lloveras. FAUBOUR BETUNE

 

         

         

FAUBOUR BETUNE

 

 

 

 

 

05prid0463

2005. Óscar Lloveras. KAMIYAMA, Japón, 1999

2005. Óscar Lloveras. KAMIYAMA, Japón, 1999

CHAMPS 

         

COLLINE

         

FOREST

       

KAMIYAMAla Montagne des DieuxIchinosaka, Japón, 1999Installations sur les chemins

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2005. Óscar Lloveras. JARDÍN VOBAN

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2005. Óscar Lloveras. ARTIUM, París, 2003

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2005. Óscar Lloveras. S/T (documentación visual + vídeos / trabajos relacionados)

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